Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin
(860 membres, 11e saison du bulletin électronique)
Nous avons franchi le cap des
100 000 visites du Bulletin (102 941) et 500 000 du site ACOC (545 512)
Partenaires du Xe Congrès de l'ACOC à l'UQAT
La date limite d’inscription du 26 avril 2013 est dépassée.
Pour vérifier la possibilité de s'inscrire, envoyer un message à acocinfo@gmail.com
Nous avons franchi le cap des
100 000 visites du Bulletin (102 941) et 500 000 du site ACOC (545 512)
Partenaires du Xe Congrès de l'ACOC à l'UQAT
Pour vérifier la possibilité de s'inscrire, envoyer un message à acocinfo@gmail.com
Convocation à l'Assemblée générale annuelle de l'ACOC
Veuillez noter que l'Assemblée générale annuelle de l'ACOC se déroulera dans le cadre du Xe congrès, le jeudi 30 mai 2013 8h00, à l’UQAT. Il n'est pas nécessaire d'être inscrit au Congrès pour participer à l'Assemblée générale. L’ordre du jour est le suivant :
Section Nouvelles
Information Colloque Dialogue 2013
Un nouvel outil pour aider les ados à surmonter les
conséquences de la cyberintimidation. Le site AidezMoiSVP.ca offre de précieux
conseils aux jeunes éprouvés par la diffusion d'images à caractère sexuel sur
Internet. http://aidezmoisvp.ca/app/fr
Information Colloque Dialogue 2013
Admission tardive université automne 2013
Admission universitaire
Postes d'api au Cégep St-Laurent
et au Collège Ste-Anne
Rencontre annuelle des psy et c.o.
des cégeps et universités
Ajuster à chaque client notre façon d'intervenir. Dans
mon précédent billet, je vous parlais du jeune Jean-François et de « l'équation
mathématique » que j'avais utilisée pour faciliter sa compréhension de son
choix de programme et d'éventuel métier. Bien qu'efficace auprès de cet
individu, cette métaphore ne conviendrait pas à tous. Et comme tout le monde,
les personnes Asperger sont toutes très différentes. J'oserais même dire que
les outils d'orientation que j'utilise avec la clientèle neurotypique sont plus
facilement généralisables que ceux que j'ai élaborés pour les personnes
Asperger. S'il y a une chose essentielle que j'ai retenue de ma pratique
jusqu'à maintenant, c'est que les personnes Asperger ont en commun leur diagnostic,
mais sont toutes uniques et différentes, les unes des autres et des
neurotypiques. À chaque nouveau client, je dois m'ajuster et remodeler mes
outils. Ainsi, je rencontre des étudiants au profil différent de Jean-François,
particulièrement les filles Asperger, qui sont anxieuses et pour lesquelles le
contrôle est un besoin qui prend beaucoup de leur attention. Avec ces
personnes, j'utilise une méthode que j'appelle « l'opérationnalisation » de
leur projet d'études et de carrière. L'objectif est de nommer les différentes
dimensions du choix de carrière à partir de choses que l'on peut compter,
vérifier, toucher, voir, sentir... Cela permet à la fois de répondre au besoin
de contrôle et de le déjouer pour démêler le besoin de se rassurer du besoin
que comblera leur choix professionnel. Comme exemple… (la suite sur le blogue
animé par Émilie Robert, c.o.) http://acochandicap.blogspot.ca
Le drame de la surqualification. À quoi bon avoir
un bac si c'est pour travailler comme caissier? C'est la question que beaucoup
de gens se posent ces temps-ci, alors que plusieurs diplômés universitaires
peinent à trouver un emploi dans leur domaine. Les plus touchés ne sont
cependant pas ceux qu'on croit. Quelque 284 000 diplômés universitaires
travaillaient au salaire minimum aux États-Unis l'an dernier, signalait
récemment le Wall Street Journal. Une situation loin d'être idéale, surtout
pour ceux qui ont des dettes d'étude à rembourser. Mais il y a pire. «Les
travailleurs hautement qualifiés repoussent les peu qualifiés encore plus au
bas de l'échelle et, jusqu'à un certain point, hors du marché du travail»,
souligne une étude publiée le mois dernier par le National Bureau of Economic
Research américain www.lapresse.ca/debats/editoriaux/ariane-krol/201304/22/01-4643151-le-drame-de-la-surqualification.php
Serveuse surqualifiée cherche job
en histoire. Vous en connaissez parmi vos proches. Des gens brillants ou doués,
mais dont l'emploi ne correspond pas du tout au domaine de formation. Des gens
tantôt frustrés, tantôt aigris, tantôt résignés. Ce phénomène s'appelle la
surqualification et il est plus répandu qu'on pense. Lundi, une étude réalisée
par les économistes Brahim Boudarbat et Claude Montmarquette est venue
quantifier le phénomène. Les deux chercheurs du CIRANO se sont concentrés sur
la région de Montréal. Selon leurs conclusions, 31,5% des travailleurs de la
région de Montréal sont surqualifiés pour le poste qu'ils occupent. Autrement
dit, presque un employé sur trois a reçu une formation qui lui est peu ou pas
utile, que ce soit au cégep, à l'université, au secondaire ou dans une école de
métier. Cette proportion est légèrement plus élevée qu'à Toronto (29,2%) ou
Vancouver (29,3%). http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/francis-vailles/201304/11/01-4639733-serveuse-surqualifiee-cherche-job-en-histoire.php#
L’inflation des diplômes Par Mario
Charette Obtenir un bon diplôme pour décrocher un emploi en demande demeure
donc toujours la stratégie la plus sûre.
De plus en plus d’employeurs embauchent des diplômés des collèges et des
universités pour des emplois qui pourraient être occupés par des diplômés du
secondaire. C’est du moins ce qui ressort d’un sondage effectué par Career
Builder en novembre 2012 auprès de 400 employeurs du Canada. Environ 36 % des
employeurs interrogés ont signalé qu’ils avaient augmenté leurs exigences pour
des postes qu’ils comblaient auparavant grâce à des diplômés du secondaire. Ils
embauchent donc de plus en plus souvent des diplômés de l’enseignement
supérieur pour ces postes. Les employeurs ont également noté les effets
positifs de cette nouvelle pratique sur leur entreprise. Ainsi, 76 % d’entre
eux pensent que les diplômés de l’enseignement supérieur fournissent un travail
de meilleure qualité, et 45 % d’entre eux ont noté une augmentation de la
productivité. Ce n’est pas la première fois qu’on observe ce phénomène, qu’on
appelle l’inflation des diplômes. Lorsque les employeurs ont beaucoup de
candidats parmi lesquels choisir, ils augmentent les exigences scolaires liées
à leurs postes. Les candidats qui ne possèdent pas les diplômes requis décident
alors de retourner sur les bancs de l’école pour les obtenir. Il s’ensuit une
spirale inflationniste : le nombre grandissant des diplômés incite de plus en
plus d’employeurs à augmenter leurs exigences, ce qui pousse ensuite plus de
candidats potentiels à retourner aux études dans l’espoir de se démarquer.
L’inflation des diplômes est un phénomène qu’on s’attend à observer lorsque les
emplois sont rares et la main-d’œuvre abondante. Dans cette situation, les
employeurs ont en effet beau jeu d’augmenter leurs exigences, car la
compétition pour les postes devient féroce. Il est surprenant d’en parler de
nos jours, alors que les employeurs se plaignent de la pénurie de main-d’œuvre
et que tant d’analystes prévoient des difficultés grandissantes de recrutement
au cours des prochaines années. On s’attendrait à l’inverse, c’est-à-dire à ce
que les employeurs réduisent leurs exigences, non? Il est néanmoins possible
que l’inflation des diplômes coexiste avec une pénurie de main-d’œuvre. Le
nombre de candidats formés a augmenté de façon constante au cours des années.
Ainsi, en 1976, 22 % des Québécois détenaient un diplôme collégial et 14 % un
diplôme universitaire. En 2009, ces chiffres étaient respectivement de 48 % et
de 32 %. Les employeurs peuvent donc augmenter leurs exigences sans crainte. De
plus, les diplômés formés pour les postes les plus en demande sont rares. C’est
cette réalité qui fait dire aux employeurs qu’ils font face à une pénurie de
main-d’œuvre pour leurs postes-clés. Les diplômés qui ne peuvent y accéder
présenteront donc leur candidature pour d’autres postes qu’ils croient pouvoir
combler. Comme ils sont alors très nombreux, les employeurs pourront augmenter
leurs exigences pour ces postes. Obtenir un bon diplôme pour décrocher un
emploi en demande demeure donc toujours la stratégie la plus sûre! http://journalmetro.com/opinions/de-bon-conseil/289372/linflation-des-diplomes/
Rencontres annuelles des professionnels en
orientation et en psychologie des cégeps et universités ». Après 3 ans de
pause, les rencontres annuelles des professionnels en orientation et en
psychologie des cégeps et universités sont de retour ! Anciennement organisées par M. Michel Roy,
Mme Hélène Trifiro, M. Henry Hamel et M. Yvon Trottier, une nouvelle équipe
prend la relève : Katia Doyon (UQAM), Stéphanie Métivier (Université de
Sherbrooke - campus Longueuil) et Véronique Mimeault (Université Laval). Nous
vous convions donc à ce rendez-vous incontournable du printemps ! N.B. Veuillez
noter que cette invitation s’adresse aux psychologues et conseillers
d’orientation œuvrant dans les services aux étudiants. Merci de transmettre l’invitation aux
professionnels concernés dans votre établissement qui ne sont pas dans notre
liste d’envoi. Il reste encore des places disponibles. N’oubliez pas de vous inscrire avant le 30
avril pour un tarif préférentiel ! Le comité RAPOP
Mois de l’autisme - Tirer avantage des aptitudes au
travail des personnes autistes. C’est après avoir constaté les aptitudes de son
fils autiste, en matière de prévision mathématique et en ce qui a trait à la
mémoire photographique, que Thorkil Sonne a fondé au Danemark la
compagnieSpecialisterne, en 2003. Specialisterne, qui a depuis fait des petits
un peu partout dans le monde, vise précisément à exploiter les forces des
personnes autistes pour les insérer au monde de l’emploi, entre autres dans le
domaine de l’informatique. Très bientôt,
une entreprise canadienne, à Calgary celle-là, suivra l’exemple deSpecialisterne.
Sous le nom de With Precision, cette entreprise sociale vise l’employabilité
des personnes autistiques au-delà du monde de l’informatique. « L’une des
forces de personnes autistes, même si ce n’est pas le cas de toutes, c’est
qu’elles ont de grandes habiletés à traiter les détails avec beaucoup de
précision », dit Russ Peardon, qui travaille à la mise sur pied de With
Precision. Ces qualités peuvent être d’une grande utilité dans le domaine de la
santé ou dans l’industrie du pétrole, dit-il, où les employés peuvent être
tenus de transcrire une masse de renseignements. www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/375635/tirer-avantage-des-aptitudes-au-travail-des-personnes-autistes
Le défi de l’intégration professionnelle des
autistes http://click.xydo.com/toolbar_view/2893/3/839?e=W1VOSVFVRV0=&utm_source=CERIC%20Subscribers&utm_campaign=ee9c901426-OrientAction_en_bref_04_11_134_11_2013
Valorisons l’Abitibi-Témiscamingue www.valorisation-abitibi-temiscamingue.org
Des étudiants de l’UQAT remportent le concours
Academia d’Ubisoft. Formée de cinq étudiants de l’Université du Québec en
Abitibi-Témiscamingue (UQAT), de deux étudiants de l’École de technologie
supérieure (ÉTS) et d’un étudiant de l’Institut supérieur des techniques de
design sonore, l’équipe Gama s’est classée en première position lors de la 3e
édition du Concours Universitaire Academia Ubisoft, dont la remise des prix
avait lieu le 11 avril dernier. Leur prototype de jeu vidéo en 3D, Shine, a
également permis à l’équipe de remporter les prix pour la meilleure direction
artistique et le meilleur design. L’équipe Flexibag, composée d’étudiants de
l’UQAT, s’est quant à elle illustrée parmi les nominés pour le premier prix. www.uqat.ca/universite/medias/communiques/index.asp?RefCom=916 (Vidéo sur le site)
Santé : Un cégépien de Québec fait une découverte
prometteuse. David Drouin fait une découverte prometteuse. Un cégépien de 19
ans de Québec fait une découverte prometteuse dans la recherche de traitements
contre les infections bactériennes. Dans un laboratoire de l'Université Laval,
David Drouin a réussi à démontrer qu'une faible concentration d'huile de
cannelle combinée avec des probiotiques affaiblit la bactérie E. coli. www.radio-canada.ca/regions/quebec/2013/04/24/012-cegepien-decouverte-infections-bacteriennes.shtml
Les nouveaux visages du Lac-Saint-Jean Portraits d’immigrants récemment établis au
Lac-Saint-Jean, grâce, entre autres, à l’organisme Portes ouvertes sur le
Lac.Assistante de direction dans une entreprise ferroviaire en Côte-d’Ivoire,
Marie-Gabrielle Tacka a quitté son pays pour offrir la paix et la sécurité à
ses enfants. Pour préparer le terrain et trouver un emploi, elle a dû laisser
ses trois plus jeunes en Côte d’Ivoire pendant un certain temps. «C’est pour
eux que je fais ça», a-t-elle témoigné au début de novembre, deux semaines
avant que la famille ne soit réunie. À l’arrière-plan, on aperçoit Cathy
Lupien, agente d’intégration de Portes ouvertes sur le Lac. www.jobboom.com/carriere/les-nouveaux-visages-du-lac-saint-jean
Qui s'intéresse encore à la génération ... X ? http://orientationpourtous.blogspot.ca/2013/04/qui-sinteresse-encore-la-generation-x.html
Les femmes dans le secteur de la construction
Entrevue avec Julie Miville-Dechêne www.youtube.com/watch?v=x4GfIYLBAkA «
Pas de femmes sur les chantiers de construction, pas de contrats publics » www.csf.gouv.qc.ca
La construction au féminin
La construction au féminin
Harcèlement, discrimination, blagues sexistes : le quotidien des travailleuses de la construction n’est pas rose. Certaines arrivent pourtant à s’y tailler une place. www.jobboom.com/carriere/la-construction-au-feminin
Les pages «Spotted» sous surveillance à la CS des
Navigateurs Les pages Spotted ont été créées pour déclarer
anonymement et humoristiquement sa flamme à un ou une inconnue de son école,
mais les pratiques dérivent parfois vers l'insulte, voire l'intimidation. Le
personnel des écoles est aussi touché. La commission scolaire des Navigateurs
se fait shérif du Web avec l'arrivée à Québec des pages Facebook «Spotted», sur
lesquelles les étudiants déclarent de façon anonyme leur béguin pour les
garçons et les filles de leur école. C'est que les conversations publiées
tournent parfois à la cyberintimidation. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201304/09/01-4639269-les-pages-spotted-sous-surveillance-a-la-cs-des-navigateurs.php
Collaboration entre le CAMO pour personnes
handicapées et L’Événement Carrières. Un succès pour le 1er grand salon de
l’emploi INCLUSIF! La première collaboration entre le Comité d’adaptation de la
main-d’œuvre (CAMO) pour personnes handicapées et L’Événement Carrières a connu
un vif succès : plus de 500 personnes handicapées ont participé à ce premier
grand salon de l’emploi inclusif qui se tenait les 10 et 11 avril derniers au
Palais des congrès de Montréal. Un des
objectifs de cette première collaboration était de permettre aux étudiants, aux
finissants, aux diplômés et aux personnes actives sur le marché du travail, qui
ont une limitation fonctionnelle, d’avoir accès à un plus grand nombre
d’employeurs, à une plus grande diversité de secteurs d’emploi et à davantage
de postes. Le tout, en leur assurant un salon inclusif offrant les mesures
d’accommodement pouvant leur être nécessaires (interprètes, accompagnateurs,
documentation en Braille, etc.), afin de signaler leurs compétences aux 160
exposants présents. Un autre objectif était de permettre à un plus grand nombre
d’employeurs de rencontrer et de tirer profit d’une main-d’œuvre qualifiée et
diversifiée. Avant cette première collaboration, le CAMO pour personnes
handicapées avait réalisé 4 éditions de sa Journée Contact employeurs/personnes
handicapées, un salon de l’emploi dédié spécifiquement aux personnes
handicapées. Souhaitant intégrer la formule de sa Journée Contact à un salon de
l’emploi grand public, le CAMO a approché L’Événement Carrières, leader dans
l’organisation de salons carrières à Montréal depuis 10 ans, qui est vite
devenu un partenaire incontournable dans la réalisation de ce premier grand
salon de l’emploi inclusif. Partenaire du CAMO pour les services
d’interprétariat lors de L’Événement Carrières : La Fondation des Sourds du
Québec Éric Daigle, conseiller information & communications Comité d’adaptation
de la main-d’œuvre (CAMO) pour personnes handicapées e.daigle@camo.qc.ca www.camo.qc.ca
Industrie minière
L'avenir est dans les mines Et ça presse! Avec 30%
des travailleurs qui partiront à la retraite d'ici 5 ans, les compagnies
minières... » http://affaires.lapresse.ca/cv/industrie-miniere/
Accorder le droit de prescrire aux infirmières -
Pour une reconnaissance de l'expertise et une meilleure accessibilité aux
soins www.guidesanteenligne.com/detail_news.php?ID=428253&cat=;28
Formation des infirmières: le temps d'avancer Les craintes syndicales que soulève le rehaussement
de la formation initiale des futures infirmières sont légitimes mais elles ne
doivent pas devenir un frein à la réalisation de cet objectif. Le Québec a déjà
trop tardé et des considérations qui n'ont rien à voir avec la sécurité du
public ou la qualité des soins ne doivent pas repousser indûment les
changements nécessaires www.lapresse.ca/le-soleil/opinions/editoriaux/201304/08/01-4638832-formation-des-infirmieres-le-temps-davancer.php
Pour un meilleur accès aux soins de santé Les
infirmières sont prêtes à prescrire. En conférence de presse aujourd'hui,
l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) a fait état de sa
demande d’obtenir le droit, pour les infirmières et infirmiers du Québec, de
prescrire des analyses de laboratoire et certains médicaments de façon
autonome. Cette demande touche des situations précises pour lesquelles les
infirmières et infirmiers possèdent l'expertise requise. « Les infirmières sont
prêtes à jouer pleinement leur rôle auprès des patients et 96 % d'entre elles
affirment que le droit de prescrire améliorerait l'accès aux soins pour la clientèle
», a déclaré Lucie Tremblay, présidente-directrice générale de l’OIIQ. Et la
population abonde dans le même sens puisqu'un sondage CROP a révélé que plus de
90 % des Québécois croient que le droit de prescrire pour les infirmières dans
des situations déterminées permettrait d'améliorer l'accès aux soins de santé
et diminuerait les temps d'attente dans les urgences et les cliniques
médicales. Quand on pense qu'un Québécois sur quatre n'a pas de médecin de
famille et que la population québécoise est vieillissante, il n'est pas
étonnant que les délais d'attente à l'urgence comme dans les cliniques
s'allongent. Selon l'OIIQ, il est primordial de placer le patient au cœur des
décisions et des actions qui doivent être prises afin d’améliorer le système de
santé québécois. Le renforcement de la première ligne et des soins dans la
communauté requiert que les infirmières puissent offrir des soins complets à
leurs patients. LES DEMANDES Concrètement, les infirmières souhaitent prescrire
: Certaines analyses de laboratoire, des radiographies et des tests pour
compléter l’analyse de la condition de santé des personnes (par ex., analyse et
culture d'urine, radiographie de la cheville et du genou, etc.) ; Des analyses
de laboratoire, des radiographies, des produits et des pansements pour le
traitement des plaies ; Des médicaments à caractère préventif (par ex.,
contraception orale d'urgence, cessation tabagique, etc.) Des médicaments et
effectuer certains traitements pour des troubles mineurs (par ex., traitement de
certaines ITSS, traitement de la constipation, traitement de l'infection
urinaire, etc.). CAMPAGNE : LES SOLUTIONS INFIRMIÈRES L'annonce de cette
proposition marque le début d'une campagne de l'OIIQ, qui interpelle cette
année le public en posant la question : « Pour faciliter l’accès aux soins à
l’ensemble de la population, pourquoi au Québec ne mise-t-on pas davantage sur
l’expertise des infirmières et infirmiers ? ». Cette campagne se déploiera du
14 avril au 18 mai. Elle propose des messages publicitaires télévisés et un
microsite : www.solutionsinfirmieres.ca «
Donner aux infirmières le droit de prescrire dans certaines situations est une
solution porteuse, applicable à court terme, et réalisable sans investissement
gouvernemental et sans apport supplémentaire de deniers publics. C'est une
situation dont nous sortirons tous gagnants, en premier lieu les patients du
Québec », a conclu Lucie Tremblay. MÉMOIRE À L'OFFICE DES PROFESSIONS DU QUÉBEC
Afin de concrétiser sa proposition, l’OIIQ prévoit déposer un mémoire auprès de
l’Office des professions du Québec et du gouvernement du Québec d’ici l’automne
2013. Ce mémoire précisera les modalités qui permettront aux infirmières et
infirmiers de poser ces gestes. À propos de l'Ordre des infirmières et
infirmiers du Québec L'OIIQ est un ordre professionnel régi par la Loi sur les
infirmières et les infirmiers et par le Code des professions. Au 31 mars 2012,
il comptait 72 169 membres et quelque 15 000 étudiants immatriculés. Sa
principale mission est d'assurer la protection du public par la surveillance de
l'exercice de la profession infirmière. L'OIIQ a également pour mandats de
promouvoir une pratique infirmière de qualité et de contribuer au maintien des
compétences des infirmières. www.oiiq.org/salle-de-presse/communiques/les-infirmieres-sont-pretes-a-prescrire
Les infirmières veulent un droit limité de
prescription de médicaments Selon la présidente de l'Ordre des infirmières,
Lucie Tremblay, ces nouvelles mesures permettraient d'améliorer l'accès aux
soins de santé et de diminuer les temps d'attente dans les urgences et les
cliniques médicales. À compter de dimanche prochain, l'Ordre des infirmières et
infirmiers du Québec lancera une offensive publicitaire afin d'obtenir pour ses
membres plus de pouvoirs pour prescrire des médicaments, demander des
radiographies et des analyses de laboratoire et traiter des plaies qui sont
actuellement réservés aux médecins et en partie aux pharmaciens. L'annonce en a
été faite, jeudi, au cours d'une conférence de presse. Pendant un mois, des
messages publicitaires expliquant la position de l'Ordre seront diffusés sur
huit chaînes de télé et sur le Web. Un total de 11 000 affiches seront
distribuées dans les établissements de santé en vue de forcer la main aux
médecins et au gouvernement. Selon la présidente de l'Ordre des infirmières,
Lucie Tremblay, ces nouvelles mesures permettraient d'améliorer l'accès aux
soins de santé et de diminuer les temps d'attente dans les urgences et les
cliniques médicales. À la fin de 2011, l'organisme professionnel avait réclamé
sans succès des pouvoirs similaires lors des échanges sur le projet de loi 41
pour permettre aux pharmaciens de prescrire certains médicaments et d'empiéter
sur les pouvoirs des médecins. C'est en juin prochain que les pharmaciens
pourront commencer à faire certaines prescriptions dans un cadre limité.
Médecins ouverts. Le président de la Fédération des médecins omnipraticiens du
Québec, le Dr Louis Godin, ne s'oppose pas à ce que de nouveaux pouvoirs soient
confiés aux infirmières. Au lieu de la façon proposée par l'Ordre des
infirmières, il préconise plutôt la délégation d'actes ou l'emploi
d'ordonnances collectives qui sont permises depuis une dizaine d'années avec
l'accord des médecins. «Ce serait une façon plus rapide d'y arriver», a-t-il
dit. Toutefois, le Dr Godin a reconnu que les ordonnances collectives avaient
été très peu utilisées pour permettre aux infirmières de faire des
prescriptions en raison du blocus des pharmaciens. «Ça n'a pas marché parce que
les pharmaciens refusaient d'accepter les prescriptions venant d'une
infirmière, même s'il y avait une ordonnance collective acceptée par un
médecin. Ils estimaient qu'elles n'avaient pas le pouvoir et la compétence de
faire ça», a-t-il soutenu. Par ailleurs, il ne s'est pas dit surpris de la
demande de l'Ordre des infirmières, qui revient à la charge pour avoir plus de
pouvoirs. «C'était quelque chose qui était prévisible avec l'adoption de la loi
41, qui a accordée aux pharmaciens le pouvoir de renouveler et de faire
certaines prescriptions. D'autres professionnels de la santé vont probablement
faire des demandes similaires», a-t-il commenté. En plus de pouvoir prescrire
certaines ordonnances, les infirmières demandent le pouvoir de prescrire des
médicaments pour la contraception orale d'urgence et la cessation tabagique, le
traitement d'infection transmissibles sexuellement et par le sang, la
constipation, l'infection urinaire. L'Ordre des infirmières déposera un mémoire
à l'Office des professions et au gouvernement du Québec d'ici l'automne. Un
sondage CROP réalisé en janvier dernier pour le compte de l'Ordre montre une
grande réceptivité dans la population aux changements proposés. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/sante/201304/11/01-4640052-les-infirmieres-veulent-un-droit-limite-de-prescription-de-medicaments.php
Bac en soins infirmiers obligatoire: une menace pour les
cégeps régionaux. Selon un sondage effectué par la Fédération des cégeps du
Québec auprès de plus de 3000 étudiants, 84 % des répondants avaient
l'intention de poursuivre des études universitaires, mais 42 % d'entre eux
n'auraient pas choisi la profession d'infirmière si le baccalauréat avait été
obligatoire. La formation universitaire obligatoire des étudiants en soins
infirmiers fragiliserait les cégeps en régions aux prises avec une baisse
démographique et des compressions budgétaires répétitives dans le réseau
collégial de l'éducation www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/sante/201304/13/01-4640716-bac-en-soins-infirmiers-obligatoire-une-menace-pour-les-cegeps-regionaux.php
Vers la retraite à 67 ans Les jeunes d’aujourd’hui devront travailler plus
longtemps que leurs aînés avant d’avoir droit aux prestations de retraite des
régimes publics. Mais en seront-ils capables? Regard sur le report de l’âge de
la retraite, une tendance mondiale qui n’est pas sans ambiguïté. Entre 2023 et
2029, l’âge auquel les Canadiens pourront toucher la pension de la Sécurité de
la vieillesse sera progressivement haussé de 65 à 67 ans. Et depuis 2013, le
Régime de rentes du Québec récompense de façon importante les individus qui
terminent leur vie active à 70 plutôt qu’à 65 ou 60 ans (voir encadré). Augmenter l’âge de la retraite pour tous sans
distinction suscite toutefois des questionnements, dit Patrik Marier,
professeur agrégé et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les
politiques publiques comparées au Département de science politique de
l’Université Concordia. En effet, on ne
vieillit pas tous avec le même portefeuille ni le même état de santé! www.jobboom.com/carriere/vers-la-retraite-a-67-ans/
La preuve d'une pénurie de main-d'oeuvre est mince Les principales données sur l'emploi - selon
l'enquête sur la main-d'oeuvre de Statistiques Canada - indique que le taux de
chômage atteint 7,2 %, soit plus d'un point de pourcentage de plus qu'en 2008.
Y a-t-il une pénurie de main-d'oeuvre au Canada? Plusieurs employeurs affirment
que oui, mais des sondages menés dans le milieu des affaires et des recherches
gouvernementales indiquent que la preuve est, au mieux, mince et épisodique. http://affaires.lapresse.ca/economie/canada/201304/11/01-4640041-la-preuve-dune-penurie-de-main-doeuvre-est-mince.php
Les recteurs dans le collimateur de Québec Québec serre la vis aux universités. Désormais, tout
changement aux salaires et aux conditions de travail de leurs dirigeants devra
être approuvé par le gouvernement www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201304/09/01-4639282-les-recteurs-dans-le-collimateur-de-quebec.php
L'Université Laval confirme qu'elle quitte la
CREPUQ Selon e recteur de l'UL, Denis Brière, l'autonomie
des universités est régulièrement attaquée depuis les dernières années.
L'Université Laval (UL) confirme qu'elle se retire de la Conférence des recteurs
et des principaux des universités du Québec (CREPUQ), soulignant que celle-ci
ne répond plus aux besoins de l'institution «en matière de défense et de
promotion des intérêts de son identité». Dans un communiqué de presse transmis
en milieu d'après-midi, le recteur de l'Université Laval, Denis Brière,
détaille les raisons qui le poussent à faire cavalier seul et à quitter la
CREPUQ, qui compte 19 établissements universitaires dans la province, dont 10
qui font partie du réseau de l'Université du Québec. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201304/15/01-4641126-luniversite-laval-confirme-quelle-quitte-la-crepuq.php
La CREPUQ se fissure L’Université de Montréal pourrait imiter celle de
Laval, qui a quitté l’organisation pour mieux se défendre. La Conférence des
recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ) est dans la
tourmente. Après le départ du recteur de l’Université Laval, Denis Brière,
celui de l’Université de Montréal, Guy Breton, aurait lui aussi signifié au
conseil d’administration qu’il partirait dans les prochains mois, a appris Le
Devoir. « Il y a une réflexion à ce propos. Oui, il y a des insatisfactions,
mais aucune décision n’a encore été prise », a déclaré Mathieu Filion,
porte-parole de l’UdeM…. Selon Éric Bauce, l’Université Laval défendra
désormais ses propres positions, mais demeurera en interaction avec les autres universités.
« On peut facilement travailler avec nos collègues des autres universités sans
être sur la même plateforme, a-t-il dit. On n’est jamais aussi bien servi que
par soi-même. » www.ledevoir.com/societe/education/375813/la-crepuq-se-fissure
Le budget de la CREPUQ amputé de 15 % avec le
départ de l'Université Laval. En quittant la Conférence des recteurs et des
principaux des universités du Québec (CREPUQ), l'Université Laval la prive de
15 % de son budget de fonctionnement. Un autre départ pourrait faire très mal à
l'organisation, qui assure ne pas être en crise. Le budget total de
l'organisation est évalué à 5 millions $, dont 4 millions proviennent des
cotisations des établissements universitaires établies en fonction du nombre
d'étudiants. Le reste est versé par le ministère de l'Enseignement supérieur.
Pour l'année 2013-2014, l'Université Laval devait acquitter une facture de 629
492 $. Afin d'éviter de couper le cordon ombilical trop drastiquement, le
vice-recteur, Éric Bauce, explique que l'établissement s'acquittera de la
moitié de cette somme d'ici les six prochains mois. Une grogne partagée. De son
côté, l'Université de Montréal, contribue pour près de 18 % de l'ensemble des
cotisations des membres de la CREPUQ en allongeant un montant de 759 819 $. Or,
cette dernière jongle également avec l'idée de quitter le groupe
d'universités.«On ne cache pas qu'il y a des insatisfactions à l'égard de la
CREPUQ», a admis le porte-parole de l'établissement montréalais, Mathieu
Filion. Il souligne par ailleurs qu'aucune décision n'a encore été prise et que
les doléances du recteur Guy Breton à l'égard de l'organisation ne sont pas
nécessairement les mêmes que celles évoquées par son collègue de l'Université
Laval, Denis Brière. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201304/16/01-4641269-le-budget-de-la-crepuq-ampute-de-15-avec-le-depart-de-luniversite-laval.php
L'Université de Montréal menace aussi de quitter la
CREPUQ. CREPUQ: le recteur Guy Breton lance un ultimatum. http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201304/17/01-4641650-crepuq-le-recteur-guy-breton-lance-un-ultimatum.php
Les recteurs s'entredéchirent
Le front commun des universités se fissure. Le
recteur de l'Université de Montréal, Guy Breton, a informé ses homologues jeudi
qu'il envisageait de quitter la Conférence des recteurs et des principaux des
universités du Québec (CREPUQ), a appris La Presse de sources sûres. Après
avoir brandi la même menace, le recteur de l'Université Laval, Denis Brière, a
officiellement claqué la porte lundi. Les universités sont profondément
divisées sur la révision de leur formule de financement et sur la stratégie à
adopter face au gouvernement Marois. Deux clans s'opposent: les universités à
charte - Montréal et Laval, entre autres - et les neuf établissements du réseau
de l'Université du Québec. Une réunion houleuse. La réunion du conseil d'administration
de la CREPUQ a été passablement houleuse jeudi dernier. Guy Breton a donné à
ses collègues un «préavis» quant à son départ de la CREPUQ, selon une source
qui a requis l'anonymat. L'Université de Montréal quittera le navire d'ici six
mois, aurait-il dit. M. Breton aurait confié qu'à l'Université de Montréal, on
le presse de se retirer de l'organisme. Le recteur aurait donné une «dernière
chance» à la CREPUQ, qui organisera bientôt une «journée de réflexion
stratégique». www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201304/16/01-4641328-les-recteurs-sentredechirent.php
Cégeps : le défi du recrutement en région. La baisse
démographique inquiète les cégeps situés en région. Leurs représentants ont
tenté de trouver des solutions lors du Colloque sur le développement des cégeps
en région, qui s'est déroulé vendredi à Saguenay. Le ministère de
l'Enseignement supérieur prévoit que les cégeps auront 26 500 étudiants en
moins d'ici 2020. « Pour les 10 prochaines années, l'enjeu prioritaire, c'est
la baisse démographique. » — Jean Beauchesne, président-directeur général de la
Fédération des cégeps www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2013/04/19/001-colloque-cegeps-region.shtml
L'entreprise idéale : les multiples contradictions
des étudiants. Les Y ont à nouveau droit à une étude. Cette fois, il n'est pas
question de déterminer s'ils sont égoïstes et opposés à la hiérarchie mais de
s'interroger sur leur vision de l'entreprise parfaite. Pour autant, leurs
réponses éclairent encore un peu mieux cette génération aux attentes parfois
contradictoires. Le travail doit ainsi être réalisé en équipe (88%) mais le
bureau semi-fermé est plébiscité par la majorité d'entre eux, détaille l'étude
menée par le cabinet Deloitte en partenariat avec JobTeaser. Les étudiants veulent également se sentir
intégrés à un groupe tout en réclamant une forte autonomie au quotidien. Leur
vision du manager idéal est-elle aussi multiple. Pour 67% d'entre eux, ses
principales qualités sont relationnelles plutôt qu'organisationnelles avec un
management participatif plutôt que directif. Mais le manager devra également
être organisé et structuré (29%) ainsi qu'enthousiaste et communicatif (21%).
"Ce sont les traits caractéristiques de la Génération Y (...), elle ne
considère pas que l'autorité vienne uniquement de la compétence ou de
l'expertise, mais elle attend de leurs managers qu'ils leur fassent confiance,
et soient à l'écoute. Les entreprises devront modifier leur mode de management
pour arriver à conserver les talents", explique Nicolas Lombard, cofondateur
de JobTeaser. Même l'argent ne suffira pas, semble-t-il, à fidéliser les
meilleurs : la majorité des étudiants cite l'intérêt du travail et le
développement des carrières comme les deux premiers facteurs d'attractivité en
entreprise. Plus d'équité dans les rémunérations. Question paie justement, deux
tiers des futurs salariés souhaitent être associés aux bénéfices de
l'entreprise et ils estiment que l'écart maximum entre les mieux et les moins
bien payés ne doit pas dépasser un rapport de 1 à 10. Une équité qui ne masque
pas l'envie d'être reconnu selon leurs compétences par le salaire. Pour Gabriel
Bardinet, Manager Capital Humain chez Deloitte, "le salaire idéal devra
reconnaître la performance de chacun avec une rémunération variable de l'ordre
de 25 à 30% du salaire de base ce qui est nettement supérieur à ce qui se
pratique en début de carrière où le bonus est de l'ordre de 5 à 8% maximum du
salaire de base". Comment organiser le travail pour les Y ? La taille
de l'entreprise compte également pour les étudiants. Ni trop petite, ni trop
grande, 41% d'entre eux aspirent travailler dans une entreprise de taille
moyenne. Mais qui leur offre un environnement international : 27% des étudiants
envisagent leur avenir professionnel à l'étranger. "On voit ici tout le
paradoxe et les contradictions de cette génération qui souhaite évoluer dans
une entreprise de taille moyenne mais à dimension et vocation
internationales", analyse Gabriel Bardinet. Ici et ailleurs, les étudiants
envisagent également de travailler en entreprise tout en bénéficiant d'une
forte flexibilité entreprise/domicile. "Le poste idéal est un poste
polyvalent nomade mais intégré au sein d'une équipe, si possible
internationale, et avec des horaires flexibles permettant de s'adapter aux
contraintes personnelles", perçoit Nicolas Lombard. Pas sûr que le monde
du travail sache trouver la réponse à ces multiples attentes. Pour autant,
l'entreprise peut déjà mieux appréhender leurs souhaits en comprenant leur
recherche d'individualisation en proposant davantage de parcours adaptés aux
attentes de chacun, estiment les auteurs de l'étude. Il faudra aussi que les
organisations jouent encore plus avec les outils et espaces collaboratifs et
apprennent à développer un management plus participatif. www.blog-emploi.com/index.php/post/entreprise-ideale-selon-les-jeunes-etudiants
Collégial
Les cégeps peinent à recruter des profs www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201304/07/01-4638474-les-cegeps-peinent-a-recruter-des-profs.php
Les cégeps peinent à recruter des profs www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201304/07/01-4638474-les-cegeps-peinent-a-recruter-des-profs.php
Taux d'admission stable au Cégep
de Sherbrooke . C'est à partir du 9 avril que les 3 468 personnes ayant fait
une demande d'admission au Cégep de Sherbrooke reçoivent la confirmation de
l'acceptation ou du refus de leur demande. Le taux d'admission au premier tour
s'est maintenu au même niveau que l'an dernier à pareille date soit 69 %. Le
facteur de contingentement de certains programmes justifie qu'un peu plus des
deux tiers soient admis. Les 1 090 lettres de refus postées précisent qu'il est
toujours possible de déposer une demande d'admission au Cégep de Sherbrooke
pour la session d'automne 2013 par l'entremise du SRAM (service régional
d'admission du Montréal métropolitain) avant le 22 avril pour le deuxième tour.
Pierre Lefaivre, directeur du Service de l'organisation scolaire invite les
personnes non admises au 1er tour d'admission, mais désireuses d'entreprendre
des études collégiales dans un programme autre que leur premier choix à
considérer « qu'il y a de la place au deuxième tour dans tous les programmes
préuniversitaires, notamment en Arts et lettres profil communication ainsi
qu'en Histoire et civilisation. Les Sciences humaines aussi peuvent accueillir
de nouvelles demandes. » Ceux et celles dont les intérêts s'orientent plutôt
vers les programmes techniques ont beaucoup d'avantages à sélectionner un
programme à forte demande de recrutement de personnel. « Les perspectives sont
excellentes dans l'une ou l'autre des techniques administratives, les
techniques informatiques et la famille des techniques physiques,
particulièrement Technologie du génie civil et les Technologies du génie
électrique » poursuit M. Lefaivre.Les descriptions des programmes offerts au
Cégep de Sherbrooke, ainsi que leurs préalables, peuvent être consultées sur le
site Web : http://cegepsherbrooke.qc.ca/programmes . Afin d'aider à la réflexion, un service de renseignement
est assuré par l'équipe de conseillers et conseillères d'orientation du 8 au 15
avril inclusivement. Il suffit de transmettre un message à l'adresse de
courriel : renseignements.programmes@cegepsherbrooke.qc.ca .
Réparateur contrôle
électrotechnique, Sorel-Tracy - Rio Tinto (vidéo) www.youtube.com/watch?v=Zd2ZWrkcjEI
Valérie
Guertin, une vie d’ambulancière remplie d’action http://journalmetro.com/plus/carrieres/289268/valerie-guertin-une-vie-dambulanciere-remplie-daction/
Le film
accompagnant le référentiel des Métiers du Jeu Vidéo 2012. Excellent reportage
sur ce secteur trop peu méconnu. Merci ! En tant que conseillère d'orientation,
je vais exploiter cette vidéo pour montrer aux parents les plus réticents que
le secteur du jeu vidéo est un véritable secteur d'avenir et performant, loin
de tous les clichés habituels. www.youtube.com/watch?v=3_HVvBQqwhw
Nous sommes le Service
correctionnel du Canada. Notre mission :en tant que composante du système de
justice pénale et dans la reconnaissance de la primauté du droit, nous
contribuons à la sécurité publique en incitant activement et en aidant les
délinquants à devenir des citoyens respectueux des lois, tout en exerçant sur
eux un contrôle raisonnable, sûr, sécuritaire et humain. Nous le faisons avec
fierté et passion … pour les Canadiens et les Canadiennes. Vidéo www.csc-scc.gc.ca/text/emplo/emplo-fra.shtml
Quatre professions qui ont du
mordant La diversification des services offerts
participe notamment à la croissance de ce domaine d’emploi. C’est bien connu, les dentistes font partie
des professionnels les plus mal-aimés. Pourtant, le domaine de la santé
buccodentaire est en pleine croissance depuis quelques années, offrant même des
perspectives d’emploi intéressantes. «Dans les années 70, les gens ont pris
conscience de leur santé dentaire, explique le docteur Guy Lafrance, dentiste à
Gatineau. Le Québec avait alors le record mondial de caries et d’extractions
dentaires.» Depuis, une vague de prévention et de sensibilisation a déferlé sur
la province, poussant les Québécois à être plus attentifs à leur santé
dentaire. Mais, même si le nombre d’actes a diminué, le vieillissement de la
population, la diversification des services offerts par les professionnels et
les départs à la retraite participent à la croissance de ce secteur. Aussi, les
assurances dentaires dont disposent de plus en plus d’employés contribuent
également au changement du paysage de la dentisterie. Voici un portrait des
quatre principales professions du domaine. http://journalmetro.com/plus/carrieres/289250/quatre-professions-qui-ont-du-mordant/
Le pouvoir des secrétaires Humble, le métier de
secrétaire? Détrompez-vous. Ces professionnelles remplissent des tâches de plus
en plus stratégiques et agissent souvent au nom du patron. Bref, on ne confie
plus ce rôle à n’importe qui. C’était du sérieux, l’Opération Écrevisse : trois
ans d’enquête, 81 arrestations et des saisies comprenant six kilos de cocaïne,
une centaine d’armes à feu, près de un million de dollars en argent liquide
ainsi qu’un avion et un hélicoptère. Le démantèlement de ce réseau de trafic de
drogue en Abitibi-Témiscamingue en 2010 n’aurait jamais été possible sans Josée
Villeneuve… une secrétaire à la Sûreté du Québec. La femme de 51 ans est
modeste – «J’ai juste l’impression d’avoir fait mon boulot» –, mais son
supérieur, le sergent Stéphane Mailloux, ne tarit pas d’éloges. «Sa charge de
travail a explosé pendant l’opération. Du jour au lendemain, elle s’est
retrouvée avec un bureau temporaire installé dans un sous-sol, avec 16
enquêteurs au lieu de 5. En trois ans, elle a lu, résumé et trié plus de 15 000
rapports.» Sa contribution à l’opération est telle que la Sûreté du Québec lui
a remis un prix en 2011. Rares sont les secrétaires qui voient la qualité de
leur travail ainsi récompensée. Ces Wonder Women du bureau – en 2011, 97 % des
97 000 secrétaires du Québec étaient des femmes, selon Emploi-Québec – sont
pourtant dignes d’admiration. Car contrairement à ce que trop de gens pensent
encore, elles font mille fois plus que taper des lettres, répondre au téléphone
et préparer des présentations PowerPoint. Et sans elles, nos bureaux seraient
en proie au chaos. www.jobboom.com/carriere/le-pouvoir-des-secretaires/
Sur la route de Johannie Arsenault
À titre de planificatrice média, Johannie Arsenault
(Baccalauréat en consommation, 2010) œuvre dans le domaine des communications
et des médias pour l’agence PHD Germany à Francfort, en Allemagne. Son travail
consiste à coordonner les activités médiatiques d’un client dans le domaine de
la mode en menant une campagne internationale en Europe et en Asie. La
planification média consiste à analyser les besoins du client, à identifier les
médias dans lesquelles seront placées les publicités du client, et ce, en
fonction de la stratégie choisie et à participer au développement des
programmes de communications traditionnels et numériques Hésitante quant aux
différents choix de programmes universitaires, elle a finalement découvert un
programme qui regroupait la plupart des disciplines qui l’intéressaient. « Sciences de la consommation fût la
meilleure solution pour moi qui avait mille et un intérêts en tête et pour qui
l’inscription à une université allait être la décision ultime qui me préparerait
pour le futur », témoigne la diplômée. Même si elle avait été acceptée dans
plusieurs universités à travers le Québec, elle a finalement opté pour
l’Université Laval. « Plutôt par hasard,
j’ai trouvé le « bac » parfait pour moi. Je suis vendue à mon programme, je
dois le dire honnêtement », raconte-t-elle. « Ayant bénéficié d’un programme
multidisciplinaire, mes connaissances entourant le monde de la consommation et
ses différentes sciences me permettent de voir la situation d’une marque ou
d’un produit dans son ensemble avant de pouvoir en étudier chaque facette »,
décrit la diplômée pour résumer l’apport de sa formation à l’Université Laval.
L’ensemble d’activités et d’aventures que lui a offert l’Université a joué un
rôle décisif sur la personne qu’elle est devenue. Elle a apprécié la qualité
d’enseignement des différentes facultés et le sérieux des cours. « J’ai eu
d’excellents chargés de cours, tout comme d’excellents professeurs », précise
Johannie Arsenault. Au cours de ces 3 années, elle a aussi eu la chance de
faire la rencontre d’étudiants provenant de chaque coin du Québec et aussi
beaucoup d’étudiants étrangers. « Cela apporte une riche diversité aux
perspectives amenées sur les sujets abordés en classe et aussi des amitiés sans
frontières », relate-t-elle. « Ayant participé à la vie étudiante du programme
en sciences de la consommation, j’ai aussi pu m’investir dans les tâches
entourant la direction de l’association étudiante, comme le recrutement et
l’accueil des nouveaux étudiants, l’organisation d’événements entourant le baccalauréat
et les journées carrières », ajoute-t-elle. Pendant ses études, elle a fait une
session d’études en France grâce au profil international de son programme.
Comme elle n’avait pas encore terminé ses études, elle a fait des démarches
auprès des professeurs de l’Université Laval afin de compléter ses derniers
cours de la session d’automne à distance. Dans le cadre de cette aventure, elle
a aussi fait la demande pour l’obtention d’un visa jeunesse d’une année en
Allemagne pour la suite de son séjour en France. « J’avais envie d’aller
m’accomplir davantage en Allemagne et de percer sur le marché du travail dans
ce pays », partage la diplômée. « Vivre en Allemagne c’est bien. Dans mon cas,
je me surprends à dire que c’était sans doute plus facile de m’adapter étant
donné que c’était ma première adresse et non plus celle de mes parents »,
ajoute la diplômée. Heureusement, elle avait suivi un cours de langue allemande
à l’Université Laval avant son départ. À
son arrivée en Allemagne, Johannie Arsenault a été notamment impressionnée par
le système de transports en commun et les nombreuses coutumes. Les gens fêtent
sans limite de temps, dans les boites et les clubs, rien ne se passe avant
minuit et rien ne se finit avant 6 h. En contrepartie, les dimanches sont
parfois longs, car tous les commerces et les épiceries sont fermés. En matière
culinaire, la nourriture typique allemande est très simple mais diversifiée,
grâce aux autres différentes cultures présentes à Francfort. À long terme, elle
désire continuer de gagner de l’expérience professionnelle en Allemagne.
Toutefois, elle désire éventuellement accepter un poste au Québec, ce qui lui
permettrait de se rapprocher de sa famille. www.adul.ulaval.ca/sgc/adul/cybercontact/site/adul/op/edit/pid/21127
Philippe Charland, ingénieur en géomatique, diplômé du
baccalauréat en génie géomatique de l'Université Laval parle de sa passion, de
sa profession et de son travail à la Ville de Québec (Vidéo) www.youtube.com/watch?v=c2IINSl8gjE
Caroline Huard, arpenteure-géomètre, diplômée du
baccalauréat en sciences géomatiques de l'Université Laval parle de sa passion,
de sa profession et de son travail chez Ecce Terra, une firme
d'arpenteurs-géomètres. www.youtube.com/watch?v=AhGI_UHn4U4
La forêt québécoise en manque d'ingénieurs Francine Bernier est ingénieur forestier à Lac-Mégantic.
Elle remarque qu'en plus d'être peu nombreux, les nouveaux ingénieurs ne sont
pas portés à travailler dans les régions éloignées. La PresseLes ingénieurs
forestiers sont de plus en plus difficiles à recruter au Québec, et la pénurie
empirera d'ici cinq ans. Si bien que l'Ordre des ingénieurs forestiers du
Québec prépare présentement une campagne publicitaire télévisée qui sera
diffusée cet automne pour encourager les jeunes à choisir ce métier. En 2011,
on dénombrait 1800 ingénieurs forestiers actifs au Québec. Ce nombre représente
5% de moins qu'en 2002, année qui a marqué le début de la décroissance des
membres de l'Ordre. Alors que le nouveau régime forestier du Québec entrait en
vigueur la semaine dernière, la profession compte présentement deux fois plus
de départs à la retraite que de diplômés. Si la tendance n'est pas renversée,
on comptera trois fois plus de départs que d'entrées dans la profession en
2020, selon François-Hugues Bernier, directeur des communications et de la foresterie
de l'Ordre. Francine Bernier, ingénieur forestier depuis dix ans et fondatrice
de la firme ProForêt Consultants, située à Lac-Mégantic, éprouve énormément de
difficulté à recruter des ingénieurs. «C'est encore plus difficile de les
amener ici, en région, dit-elle. Les diplômés se placent pratiquement tous dans
leur région d'origine ou à Québec. Maintenant, il y a des ingénieurs forestiers
dans toutes les MRC. Même si des emplois se sont perdus dans les pâtes et
papiers, d'autres sont apparus. Quand on veut embaucher un ingénieur, il faut
planifier pratiquement six mois à l'avance, et même plus.» Salaire moyen: 78
000$ Les conditions de travail ne sont certes pas en cause: un ingénieur
forestier gagne en moyenne 78 000$ par an. Malgré cette rémunération
alléchante, trop peu d'étudiants fréquentent les trois programmes en foresterie
du Québec donnés à l'Université Laval. Présentement, une trentaine d'étudiants
sont inscrits en aménagement et environnement forestier, une dizaine en
opérations forestières et une quinzaine en génie du bois, indique Robert
Beauregard, doyen de la faculté de foresterie, de géographie et de géomatique
de l'Université Laval. En quinze ans, les inscriptions ont baissé de 60%. Selon
M. Beauregard, l'apparition d'une foule de nouveaux programmes universitaires
dans le domaine de l'environnement pourrait expliquer cette désaffection. Sans
compter que l'industrie forestière a eu mauvaise presse auprès des candidats
potentiels ces dernières années. «La crise forestière que l'on vit depuis cinq
à sept ans qui tarde à se terminer a causé des fermetures d'usines de pâtes et
papiers ou de sciage, ce qui donne à croire aux jeunes qu'il n'y a pas de
débouchés dans ce domaine. D'autre part, divers événements ont causé du tort à
la réputation environnementale de l'industrie, comme le film L'Erreur boréale,
en 1999. Les jeunes sont davantage attirés par la protection de l'environnement
que par sa gestion», dit Denis Villeneuve, président de l'Ordre. Or, malgré la
crise forestière, le taux de chômage des ingénieurs forestiers est passé de 4%
en 2002 à 1,4% en 2012. «Même s'il y a eu plusieurs fermetures d'usines, il en
reste beaucoup en opération, et il y a une diversification d'employeurs. Il y a
un peu moins d'ingénieurs forestiers qui travaillent dans l'industrie, mais on
voit d'autres acteurs qui les embauchent maintenant, comme les Conseils
régionaux des élus, les organismes de gestion de la faune, les ZEC et les
pourvoiries, les associations de chasseurs et les organisations
environnementales», dit Robert Beauregard. D'autre part, le travail d'ingénieur
forestier a beaucoup évolué au cours des dernières années. «Ils continuent de
faire une partie de leurs tâches traditionnelles, comme la planification des
opérations forestières, la délimitation des aires de coupe, le calcul de la
possibilité annuelle de volume de bois à récolter, dit M. Beauregard. Mais de
nouvelles fonctions se sont ajoutées à cela, comme la gestion des bassins
hydrographiques, la gestion du carbone, l'aménagement d'habitats fauniques. Le
métier s'est beaucoup diversifié.» Pour mieux montrer cette nouvelle diversité
du métier d'ingénieur forestier en 2013, l'Ordre lançait l'automne dernier des
capsules vidéo. On peut les visionner au www.oifq.com http://affaires.lapresse.ca/cv/201304/10/01-4639447-la-foret-quebecoise-en-manque-dingenieurs.php
Sherbrooke, le programme de baccalauréat en pharmacologie
allie une formation scientifique rigoureuse et une formation axée sur la
pratique, répondant aux standards élevés de l'industrie pharmaceutique et
biomédicale. Le programme se distingue notamment par l'option avantageuse du
régime coopératif, par la qualité de l'encadrement fourni aux étudiants, par
son programme d'appui à la réussite, et par l'étendue de l'expertise
interdisciplinaire offerte, de la pharmacologie moléculaire à la pharmacologie
clinique, en passant par les communications, la gestion et le marketing.
L'Université vient de produire une vidéo dans laquelle des professeurs, la
coordonnatrice du programme et des étudiants présentent leur formation et ses
nombreux avantages. www.usherbrooke.ca/pharmacologie
Des étudiantes et étudiants finissants au baccalauréat en
kinésiologie innovent en développant une application web gratuite
d’entraînement physique qui s’adresse à tous. KinApp, lancée officiellement le
9 avril, contient un programme d’entraînement musculaire et des capsules
d’information sur des sujets comme l’alimentation et la prévention de blessures
à l’effort. C’est dans un cours de gestion de projet que les 28 étudiants
impliqués ont conçu le programme. www.usherbrooke.ca/orientation/vos-infolettres/nouvelles/nouvelles-details/article/21646
La microbiologie, une passion www.usherbrooke.ca/bloguesapart/2013/02/18/la-microbiologie-une-passion
Nouveau laboratoire en 3D à l’UdeS : révolutionner
l’enseignement et la recherche universitaires. La Faculté des sciences de
l’Université de Sherbrooke lance son laboratoire de visualisation immersive
(3D), un environnement virtuel en temps réel aux multiples possibilités
innovatrices en recherche et développement multidisciplinaires. En plus
d’offrir la visualisation immersive de scènes dynamiques, il permet une
représentation spatiale de phénomènes en médecine, en ingénierie, en histoire,
en psychologie, en éducation et en marketing, entre autres. www.usherbrooke.ca/sciences/accueil/nouvelles/nouvelles-details/article/21709
Des femmes de génie Les femmes se font rares en génie. Sur le marché du travail
comme dans les universités, elles sont peu nombreuses. Encore aujourd’hui,
elles semblent croire que le génie est une profession de gars. À l’Ordre des ingénieurs du Québec, les
femmes ne représentent que 13 % des membres. En 2002, cette proportion était de
10 % et en 1992, de 5 %. Les femmes progressent donc dans cette profession,
mais à très petits pas. Dans l’ensemble des universités québécoises, leur
présence est aussi timide. En 2010, les femmes représentaient seulement 16 %
des étudiants inscrits dans tous les programmes de baccalauréat en génie. En
2012, 22 % des étudiants de premier cycle à l’École Polytechnique Montréal
étaient des femmes, 19 % à l’Université Laval et 9 % à l’École de technologie
supérieure. Profession de gars? «Les filles optent d’emblée pour un métier où
elles vont aider et être utiles à la société. Elles ne perçoivent pas le génie
comme faisant partie de cette liste», constate Nadia Ghazzali, titulaire de la
Chaire CRSNG-Industrielle Alliance pour les femmes en sciences et génie au
Québec. Le rôle social de la profession gagnerait à être davantage connu pour
attirer plus de femmes. Historiquement,
le génie a toujours intéressé davantage les garçons que les filles, confirme
Daniel Lebel, président de l’Ordre des ingénieurs du Québec. Celles qui
penchent pour les sciences sont plus attirées par les sciences de la santé et
les sciences humaines que par les sciences physiques et les mathématiques.
«Elles ont des préoccupations plus humaines, sociales et
environnementales.» Ces préférences se
reflètent dans les champs de pratique que les ingénieures en exercice
choisissent d’investir. Actuellement, à l’Ordre, les femmes représentent 31 %
des membres œuvrant en environnement, 27 % de ceux qui travaillent en santé et
sécurité, 24 % des ingénieurs chimistes et 23 % des membres travaillant en
génie biomédical. À l’Université Laval, les branches les plus populaires auprès
des filles sont le génie alimentaire, des eaux, industriel, géologique,
chimique et agroenvironnemental. À
l’École Polytechnique Montréal, en 2012, la moitié des étudiants inscrits en
génie chimique étaient des filles. Elles représentaient aussi 48 % des
étudiants en génie géologique et 47 % de ceux inscrits en génie biomédical. www.jobboom.com/carriere/des-femmes-de-genie
Inauguration de l'agrandissement du campus de Rouyn-Noranda
de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue www.uqat.ca/universite/medias/communiques/index.asp?RefCom=914
Devenir médecin... ou escalader l'Everest La Faculté de
médecine de l'Université Laval forme différents experts de la santé: du médecin
à l'orthophoniste, en passant par le kinésiologue ou le physiothérapeute. Le
Soleil vous propose une incursion dans la réalité des médecins résidents et
vous donne un aperçu des divers cursus offerts par la plus vieille faculté
d'Amérique du Nord à donner une formation médicale en français. Être admis en
médecine n'est pas simple. Chaque année, seuls 230 candidats sur les 2500 qui
déposent une demande sont admis. «Et quand on commence la formation, on a
l'impression d'être face à l'Everest», dit Marie-Hélène Cormier,
médecin-résidente en médecine familiale (résidence d'une durée de deux ans).
«Mais l'accompagnement et la formation sont très adéquats», pondère-t-elle.
Rénald Bergeron, doyen de la Faculté de médecine de l'Université Laval, le
confirme. «On est très fier de les accueillir et on a à coeur de leur donner le
maximum pour qu'ils deviennent les professionnels dont la société a besoin. On
les aide donc à absorber les connaissances, mais aussi les enjeux desquels ils
seront responsables.» www.lapresse.ca/le-soleil/dossiers/la-sante-tout-un-monde/201304/04/01-4637756-devenir-medecin-ou-escalader-leverest.php
La méditation et le TDAH touchent des régions du cerveau qui
se chevauchent. Les personnes qui pratiquent la méditation sont plus habiles à
se concentrer sur une source d’information précise. Les adeptes de la
méditation de pleine conscience possèderaient une plus grande épaisseur
corticale dans des régions du cerveau responsables de la régulation de
l'attention. Une partie de ces mêmes zones serait plus mince chez les individus
souffrant d'un trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité
(TDAH). Des chercheurs de l'Université de Montréal et de l'Université McGill
ont établi ce rapprochement qui fait l'objet d'un article publié dans la revue
Biological Psychology. «Cette recherche
donne à penser qu'on aurait peut-être intérêt à procéder à des études cliniques
bien contrôlées pour vérifier si des personnes aux prises avec un TDAH
pourraient bénéficier des effets de la méditation. D'autant plus que des
travaux à l'aide de l'imagerie fonctionnelle ont déjà montré que la méditation
pourrait améliorer les capacités d'attention de gens qui ne présentent pas un
tel déficit», estime Pierre Rainville, professeur au Département de
stomatologie de l'UdeM et directeur du Laboratoire de recherche en
neuropsychologie de la douleur. www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-sociales-psychologie/20130408-la-meditation-et-le-tdah-touchent-des-regions-du-cerveau-qui-se-chevauchent.html
Un boulot social
Il y a de l’avenir pour la relève dans le secteur de
l’économie sociale. Déjà, plus de 42 % des employeurs interrogés en 2012 par le
Comité sectoriel de main-d’œuvre de l’économie sociale et de l’action
communautaire (CSMO-ÉSAC) ont indiqué avoir eu du mal à pourvoir des postes au
cours des trois dernières années. De plus, la majorité d’entre eux prévoit une
vague de départs à la retraite vers 2016. Signe de l’essor du secteur, le site
spécialisé Engagés.ca a vu le jour il y a bientôt un an pour diffuser les
offres d’emploi en économie sociale et en développement durable. www.jobboom.com/carriere/un-boulot-social/
Lancement du nouveau site Étudier à l’UQAM et d’une page
d’accueil révisée. L'UQAM dévoile le nouveau site internet etudier.uqam.ca qui
s'adresse aux étudiants et aux futurs étudiants de l'UQAM. La refonte du site
Web, qui permet une navigation plus rapide et plus intuitive, vise à mieux
répondre aux besoins des usagers en leur offrant dans un seul site intégré de
l'information sur les 315 programmes offerts à l'UQAM aux trois cycles
universitaires, tout en leur présentant un portrait global de l'Université et
de ses particularités. www.uqam.ca
Documentation
Chômage record en Espagne à plus de 27% La France elle aussi, en panne de croissance, pourrait atteindre son record en matière de chômage: les chiffres attendus dans la journée devraient battre le record de 1997, établi à 3,195 millions de sans-emploi. Face à l'urgence de la situation, le président François Hollande a appelé au «rassemblement du pays» autour de ce dossier «essentiel». Rapporté à la population active, le taux de chômage en France tourne en effet autour de 10,2% en métropole et 10,6% avec les Dom, mais les perspectives sont très pessimistes: le Fonds monétaire international (FMI) table sur une poursuite de la flambée, pour atteindre 11,6% (avec les Dom) en 2014. Le moteur de la croissance devrait y rester à l'arrêt au moins pour l'année en cours, le FMI prévoyant une contraction du produit intérieur brut de 0,1% cette année. En Espagne, quatrième économie de la zone euro, le chômage a bondi à la fin mars de plus d'un point, après 26,02% au dernier trimestre 2012: ce chiffre dément les propos optimistes tenus mercredi par Mariano Rajoy, qui avait prédit la hausse «la plus faible de ces dernières années». Le chiffre est «dramatique», a d'ailleurs reconnu la secrétaire d'État à l'Emploi, Engracia Hidalgo. Le pays de 47 millions d'habitants compte désormais 6 202 700 chômeurs, soit 237 400 personnes de plus qu'au trimestre précédent. L'Institut national de la statistique souligne que cette nouvelle flambée du chômage touche «presque toutes les tranches d'âge, particulièrement les 25-29 ans» qui perdent 69 900 emplois, et «presque toutes les régions», avec un record à 36,87% pour l'Andalousie. Très significatif d'une «fracture sociale» grandissante qui inquiète toutes les organisations humanitaires, le nombre de foyers dont tous les membres sont au chômage augmente lui aussi, à 1 906 100, sur un total de 17 millions de foyers http://affaires.lapresse.ca/economie/international/201304/25/01-4644402-chomage-record-en-espagne-a-plus-de-27.php .
Nouvelle
date de formation CURSUS – En plus des dates déjà annoncées (voir calendrier
ci-dessous), nous vous donnons un nouveau rendez-vous : le 5 juin 2013 à
Longueuil! Objectifs : s’approprier la
démarche (exploration par domaines et
par famille), maîtriser les outils qui l’accompagnent (questionnaires et
exercices proposés dans le guide) et expérimenter les stratégies existantes
(scénarios, jeu de cartes et guide L’école et le monde du travail). Dates et
lieux : 1er mai 2013 de 9h à 16h, Québec (Collègue Jésus-Marie de Sillery) 16
mai 2013 de 13 h à 15 h, en ligne (Thème : La démarche CURSUS) 22 mai 2013 de
13 h à 15 h, en ligne (Thème : Le jeu de cartes CURSUS) 28 mai 2013 de 13 h à
15 h, en ligne (Thème : L’école et le monde du travail) 5 juin 2013 de 9h à
16h, Longueuil (Université de Sherbrooke, campus de Longueuil) Tous les détails
figurent dans l’offre de formation complète : www.septembre.com , section « Offre de formation ».
Qui dort apprend
Mozart aimait épater la galerie en
faisant toutes sortes d'acrobaties au piano. Il parvenait à jouer parfaitement
même s'il avait les yeux bandés ou si le clavier était recouvert de tissu. Il
était aussi reconnu pour ses performances à l'envers, c'est-à-dire en faisant
dos au piano. Comment arrivait-il à retrouver son doigté? Grâce à son génie,
certes, mais aussi à l'aide de deux mécanismes propres à l'apprentissage des
enchainements de mouvements, appelés séquences motrices: la représentation
spatiale et la représentation motrice. «C'est la connaissance abstraite et
physique des mouvements. Pour jouer à l'envers, avec un doigté différent,
Mozart faisait donc appel à la représentation spatiale de ses pièces», explique
Geneviève Albouy. Cette stagiaire postdoctorale fait partie d'un groupe de
chercheurs de l'Université de Montréal qui ont découvert que le sommeil
influence la consolidation de ce type de représentation. En effet, une sieste
de 90 minutes améliorerait les performances motrices de sujets qui ont appris
au moyen de la représentation spatiale. www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-sociales-psychologie/20130422-qui-dort-apprend.html
Métier :
promeneur de chiens
Kyle
Bartlett, promeneur de chiens, Le chien urbain. Je promène entre 15 et 20
chiens par jour, principalement dans le Plateau-Mont-Royal,
Hochelaga-Maisonneuve, le Vieux-Port et près du marché Jean-Talon. J’ai fondé
mon entreprise il y a quatre ans, après avoir terminé des études en
urbanisme. Une promenade coûte de 15 à
20 $. J’en offre trois types : les pauses pipi, les marches de 30 à 45 minutes
et les sorties «aventure» de 60 minutes et plus, sur le mont Royal ou près du
canal Lachine. Pour minimiser les
risques d’accrochage avec d’autres bêtes, je ne fréquente pas les parcs à
chiens. Mes chiens sont toujours attachés et je n’en promène jamais plus que
six à la fois. Sinon, j’aurais du mal à les contrôler et ça pourrait devenir
dangereux. D’ailleurs, à Toronto, une loi interdit de promener plus de six
chiens en même temps. J’ai toujours avec
moi : ma laisse maîtresse – que je porte en bandoulière et à laquelle tous les
chiens sont attachés, afin d’avoir les mains libres –, des friandises, de
l’eau, des souliers imperméables et beaucoup, beaucoup de sacs pour ramasser
les crottes. J’ai déjà ramassé plus d’excréments que je pensais le faire dans
toute ma vie. Les gens me confient leur
animal et les clés de leur maison. Ce n’est pas rien! J’ai une police
d’assurance spécialement conçue pour les promeneurs de chiens – qui couvre les
frais de vétérinaire en cas d’accident, par exemple – et une preuve que je n’ai
pas d’antécédents judiciaires. Ça aide à gagner la confiance. J’envoie un rapport écrit à mes clients après
chaque promenade. Je leur dis si le chien a fait ses besoins, comment il s’est
comporté et les variations dans son état de santé quand j’en remarque. Au fil des ans, j’ai travaillé avec une
centaine d’animaux, du chihuahua au grand danois. Je ne discrimine ni sur la
taille ni sur la race : les seuls que je refuse, ce sont les chiens
agressifs. Je ne suis pas un dresseur,
mais je suis devenu très habile. Certains maîtres sont jaloux de voir que leur
chien m’obéit mieux qu’à eux! Pendant la
journée, les chiens sont mes seuls compagnons. Je m’attache beaucoup à eux.
J’essaie de ne pas faire de favoritisme, mais certains me plaisent plus que
d’autres – en général, ceux qui sont les mieux élevés! Le plus difficile, c’est
quand ils déménagent ou doivent être euthanasiés. Heureusement, ça n’arrive pas
souvent. www.jobboom.com/carriere/metier-promeneur-de-chiens
De la
lecture à la pratique ... INTERVENIR EN SANTÉ MENTALE Compte-rendu de l'ouvrage
L’intervention en santé mentale, Québec : Fides Fortin, B., (2006) Amélie
Lesage-Avon Finissante à la maîtrise en carriérologie, UQÀM http://orientationpourtous.blogspot.ca/2013/04/de-la-lecture-la-pratique-intervenir-en.html
Sexologue
belge Dr Iv Psalti, docteur en sciences biomédicales, qui sera à Montréal du 23
au 26 mai pour une formation (accréditée par l'OPQ) sur la sexualité féminine
et masculine et dont vous trouverez tous les détails à http://optionsante.com/FPSA_2012.pdf Yvon Dallaire, psychologue et auteur
yvondallaire@optionsante.com
www.yvondallaire.com
www.coupleheureux.com
Négocier
son salaire comme un pro Vous
faites de l’urticaire juste à y penser. Mais si vous changez d’emploi, de
grâce, négociez votre salaire! Les travailleurs qui négocient ajoutent en
moyenne 5 000 $ à leur rémunération annuelle, selon une étude réalisée par des
chercheurs américains il y a quelques années. L’embauche est le meilleur moment
pour le faire : une fois en poste, vos augmentations seront limitées par les
politiques de rémunération de l’entreprise. Avant de négocier, tentez d’en
apprendre le plus possible sur les conditions salariales dans l’industrie, dans
la région et pour le poste en question. Consultez les enquêtes de rémunération
et l’association ou l’ordre professionnel approprié, par exemple. Présentez
votre demande comme un investissement. Questionnez l’employeur potentiel sur
les défis liés au poste. Montrez que vous serez en mesure de les relever grâce
à votre expérience. L’argent demandé sera alors perçu par l’employeur comme un
investissement. Mais attention, plus vous promettez, plus les attentes seront
élevées!
Évitez de
parler le premier. Le patron vous demandera certainement d’annoncer vos
couleurs. Résistez! Sinon, vous pourriez viser trop bas. Et – surprise! – votre
demande correspondra à son offre. Expliquez plutôt que vous désirez une
rémunération équitable par rapport à vos collègues, à vos subordonnés et à
l’échelle salariale, et qu’il est mieux placé que vous pour faire une
proposition juste. Donnez une fourchette large. S’il insiste pour que vous
dévoiliez vos attentes, évitez à tout prix de donner un seul chiffre. Dites
plutôt qu’elles varient selon un ensemble de facteurs (bonification, avantages
sociaux, etc.) et fixez une fourchette très large. www.jobboom.com/carriere/negocier-son-salaire-comme-un-pro/
Psychologie
: Les 5 grands regrets des mourants www.aufeminin.com/societe/psychologie-les-5-grands-regrets-des-mourants-s1514.html
Dopage à
l’Everest Dans l’univers de la montagne, c’était un secret de Polichinelle.
Mais il aura fallu que le légendaire alpiniste Reinhold Messner ne le dise tout
haut pour que le dopage sur les plus hauts sommets du monde ne soit finalement
dénoncé. http://blogues.lapresse.ca/massicotte/2013/04/24/dopage-a-leverest/
Les sectes très actives auprès des
personnes âgées et dans les formations de développement personnel www.psychomedia.qc.ca/sectes/2013-04-25/miviludes-personnes-agees-developpement-personnel
Un excès d'optimisme impliqué dans le
jeu pathologique.
Les joueurs pathologiques souffrent d'un biais
d'optimisme qui modifie leur représentation des probabilités et qui influence
leurs décisions, selon une étude française publiée dans la revue Psychological
Medicine. Cette caractéristique aide à expliquer et à anticiper la
vulnérabilité de certaines personnes face aux jeux d'argent. www.psychomedia.qc.ca/jeu-pathologique/2013-04-25/exces-d-optimisme
La direction de l’UQAT est heureuse de vous accueillir pour le Xe congrès de l’ACOC en 2013 (28 au 31 mai, à la même semaine que le Festival des Guitares du Monde en Abitibi-Témiscamingue) ANNE-MARIE NADEAU Agente de recrutement Service des communications et du recrutement Campus de Rouyn-Noranda Anne-Marie.Nadeau@uqat.ca Osez l’Abitibi-Témiscamingue lors du Xe Congrès de l’ACOC. C’est avec plaisir et fébrilité que l’équipe du Service des communications et du recrutement vous attend pour vous faire connaître notre université, mais surtout, pour vous faire vivre l’expérience UQAT! Le nord-ouest du Québec regorge de beautés et de trésors peu connus. Profitez du congrès de l’ACOC pour découvrir ce qui se cache de l’autre côté du Parc De La Vérendrye. Avant-goût de la programmation : expérimentation du studio MoCap; La culture autochtone; L’art-thérapie; Visite minière; Festival des guitares du monde en Abitibi-Témiscamingue; Les défis d'orientation durant la transition au collégial; et plus encore! www.uqat.ca/acoc2013
C'est officiel: l'OCCOQ recevra le Congrès mondial de l'Association internationale d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec du 3 au 5 juin 2014.
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Quelque Chose de l'ACOC
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