27 mars 2008

V 6 No 23: De la flexibilité pour un diplôme d'études secondaires de qualité au secteur des adultes


À Pâques, au Mont du Midi (Massif du sud)

À noter à votre agenda
Carrefour de l’orientation
(thème à préciser) le mercredi 26 novembre 2008 à l’UQAR-Lévis jumelé avec une rencontre avec les représentants des deux campus et la journée des partenaires de l’université Laval, le lendemain : jeudi le 27 novembre 2008.

Inscription au colloque de l’ACC (Association Canadienne de Counseling) à Moncton
À partir du 1er avril: 490$ pour les membres réciproques ou 300$ par jour (au lieu de 425$ et 245$ par jour jusqu’au 31 mars) www.ccacc2008.ca/fr/download_forms.cfm?lang=fr Pour consulter le programme provisoire: www.ccacc2008.ca/fr/presentations.cfm?lang=fr Apparemment, les inscriptions pour le colloque de l'ACC vont très bien et ils atteindront bientôt leur capacité maximale.

Inscription au 7e Congrès de l’ACOC
Présentement, nous sommes 30 membres inscrits. Sur cette page du site de l’ACOC, vous retrouvez le programme et les modalités d’inscription: formulaire de réservation pour l’autobus et celui pour le logement au campus de Moncton www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950
Moncton J’embarque! Dès que les places disponibles seront comblées, nous évaluerons la possibilité d’un deuxième autobus. Comme vous recevez ce bulletin électronique, vous êtes membre de l’ACOC (compléter le formulaire désigné).

Info collégiale

De la flexibilité pour un diplôme d'études secondaires de qualité au secteur des adultes Dans un avis qu'il rend public aujourd'hui, le Conseil supérieur de l'éducation conclut à la nécessité de rehausser les exigences d'obtention du diplôme d'études secondaires (DES) au secteur des adultes. Ces exigences doivent cependant être souples pour tenir compte des caractéristiques des élèves et des objectifs qu'ils visent avec l'obtention du diplôme, soit la poursuite des études au collégial ou en formation professionnelle, la recherche d'un emploi ou l'insertion sur le marché du travail. Tel est le message que le Conseil supérieur de l'éducation livre dans l'avis intitulé De la flexibilité pour un diplôme d'études secondaires de qualité au secteur des adultes http://www.cse.gouv.qc.ca/ Pour élaborer cet avis, le Conseil a tenu compte de cinq considérations : le rehaussement des exigences d'obtention du diplôme d'études secondaires, auquel il souscrit; l'objectif d'une hausse de la diplomation tant au secteur des jeunes qu'au secteur des adultes, qui doit être concilié avec l'objectif de l'acquisition d'une formation générale de base solide; la souplesse du système scolaire, qui doit aussi se trouver dans les conditions d'obtention du diplôme en formation générale des adultes sans en compromettre la valeur; le respect d'une particularité de l'éducation des adultes, soit le projet de formation de l'adulte au cœur de la réponse éducative; enfin, la cohérence du système scolaire au regard de la transition interordres. Les exigences de sanction proposées par le Conseil: Au regard des exigences d'obtention du DES actuellement en vigueur en formation générale des adultes, la proposition du Conseil vise tout d'abord à hausser le niveau d'exigence en langue seconde. En outre, en plus des unités requises dans le domaine des langues, cette proposition rend obligatoire l'obtention d'unités dans le domaine de l'univers social et dans celui de la mathématique, de la science et de la technologie. Le Conseil propose aussi de rendre admissibles, mais non obligatoires, des unités dans les domaines des arts, du développement personnel et professionnel. Ces conditions permettront à un nombre important d'élèves inscrits en formation générale des adultes d'obtenir un diplôme équivalent à celui qui sanctionne la fin de la fréquentation scolaire obligatoire, tout en respectant leurs besoins et le projet qu'ils visent avec l'obtention du diplôme. La proposition du Conseil vise à concilier des exigences qui témoignent de compétences de base permettant de répondre aux défis d'un monde de plus en plus complexe, la prise en compte de la finalité individuelle de l'obtention du diplôme au secteur des adultes et, finalement, la valorisation d'un diplôme reconnu socialement, différent de celui obtenu au secteur des jeunes mais de même valeur. Pour préparer cet avis, le Conseil a examiné les données statistiques produites sur les élèves inscrits en formation générale des adultes. Il a également mené une consultation dans des centres d'éducation des adultes et auprès de diverses organisations qui s'intéressent à l'éducation des adultes et à la formation continue. En terminant, le Conseil rappelle ce qui est stipulé dans la Politique gouvernementale d'éducation des adultes et de formation continue : « La capacité des individus d'accéder au savoir et d'apprendre tout au long de leur vie est une des conditions du développement culturel, social et économique ». C'est la raison pour laquelle il invite les organisations qui s'intéressent à l'éducation des adultes et à la formation continue à promouvoir un DES aux exigences rehaussées en faisant valoir le droit des adultes de témoigner de solides compétences de base au terme de leurs études secondaires. www.cse.gouv.qc.ca/FR/Publications/index.html?lstPublication=Avis&lstCommission=ALL

Le Bulletin printemps 2008 est maintenant disponible sur le site d’OrientAction. Ce Bulletin vous présente cinq articles intéressants sur le développement de carrière et le résultat du sondage OrientAction : Pour une vision systémique en orientation scolaire par Claude Grenier Le cercle de legs, un accompagnement privilégié par Diane Doyon et Jacques Limoges Cinquantaine…transition … retraite par Simon Gagné Test en ligne : le MBTI – indicateur de types psychologiques Myers-Briggs par Wilfrid Larochelle Un « citron » qui (se) presse ! par Jacques Limoges. Accédez à ces articles et à d’autres informations en cliquant sur le lien suivant www.orientaction.ca/bulletins/v5-n1/v5-n1.html ou rendez-vous sur http://www.orientaction.ca/ à la rubrique Bulletin.

Comment devenir guide accompagnateur?
Trois diplômes d’études collégiales mènent principalement à la profession de guide accompagnateur : Techniques d’intervention en loisir; Techniques de tourisme (option Accueil et guidage touristique) et Techniques du tourisme d’aventure. Certains de ces programmes sont aussi offerts sous forme d’attestations d’études collégiales (AEC). Consultez l’Inforoute de la formation professionnelle et technique pour connaître les établissements qui offrent les formations liées au tourisme. Communiquez ensuite avec l’aide pédagogique individuel (API) responsable du programme choisi dans un collège pour en savoir plus sur la profession (le taux de placement, les employeurs, les exigences, etc.). L’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec offre également une formation de courte durée de guide accompagnateur et un cours spécial pour former des guides touristiques à Montréal. Outre la formation, certaines compétences sont incontournables pour exercer le métier. Le bilinguisme est essentiel et la connaissance d’une troisième langue, et même plus, est un atout. Il faut aussi avoir de la facilité à entrer en communication avec les gens et une capacité d’adaptation à tous les types de clientèles (personnes âgées, enfants, étudiants, etc.). Des qualités d’animateur et d’organisateur sont aussi recherchées. Suivant le genre de guidage visé, il sera bon de vous intéresser à l’histoire, à la culture ou aux activités de plein air. Notez qu’il est possible d’accéder à la profession avec un diplôme d’études secondaires (DES) et une expérience pertinente dans le domaine touristique. Il n’est pas rare de voir des entreprises former leurs guides sur le terrain. Les principaux employeurs du secteur sont les agences de voyages, les services d’autobus nolisés et les voyagistes. Vous pourriez contacter directement ces entreprises pour recueillir de l’information. Mentionnez votre intérêt à exercer la profession et explorez avec les recruteurs quels sont les diplômes privilégiés par leur compagnie; s’ils offrent des formations à l’interne; quelles sont les qualités nécessaires, leurs exigences, les condi-tions de travail chez eux, etc. Les associations qui font la promotion des métiers du tourisme sont aussi de bonnes sources d’information. Tournez-vous, par exemple, vers la Corporation des guides accompagnateurs du Québec et le Conseil québécois des ressources humaines en tourisme. http://carriere.jobboom.com/carriere/guide-survie/2008/03/16/5023041.html

Nouveau programme d’AEC en Techniques ambulancières au Cégep de Baie-Comeau en partenariat avec le Cégep de Chicoutimi www.cegep-baie-comeau.qc.ca/attestation-detudes-collegiales.html

Formation interrompue à Montmagny en Soins infirmiers Le Centre d'études collégiales de Montmagny, une composante du cégep de La Pocatière, ne formera plus d'infirmières en raison du faible taux d'inscriptions pour ce programme. Une quinzaine d'étudiantes étaient inscrites en 2006-2007 contre à peine huit ou neuf cette année. Cette décision risque d'avoir un impact important sur le Centre de santé et de services sociaux de Montmagny qui fait face à une pénurie d'infirmières. Les étudiants devront quitter la région afin de recevoir leur formation, souligne François Parent, directeur des ressources humaines à l'hôpital de Montmagny. « Ces personnes-là vont être obligées de s'expatrier un peu, soit à La Pocatière, soit à Lévis pour aller étudier et à ce moment-là, pour nous, c'est pas nécessairement une bonne nouvelle », juge M. Parent. La concurrence très forte opposée par les hôpitaux de la capitale nationale ajoute aussi à la difficulté de recruter le personnel à Montmagny. www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2008/03/25/011-infirmiere_fin_formation.shtml?ref=rss

Info universitaire
Chute du nombre d'étudiants en vue à l'Université Laval D’après les prévisions du MELS, seules les universités du Québec à Rimouski et à Chicoutimi enregistreront des baisses plus importantes que Laval, avec 19,2 % et 21,8 %. Si rien n’est fait, l’Université Laval encaissera une baisse de clientèle trois fois plus importante que la moyenne des universités québécoises d’ici 2021. Avec, bien sûr, une diminution équivalente de son financement. Les plus récentes prévisions de l’effectif étudiant rendues publiques hier par le ministère de l’Éducation (MELS) montrent que la chute de l’effectif appréhendée à l’Université Laval en 2021-2022 sera de 14,6 % par rapport à 2006-2007, alors que la moyenne provinciale est établie à 4,4 %. www.cyberpresse.ca/article/20080321/CPSOLEIL/80320280/-1/CPSOLEIL

La neurochirurgie vient au secours de la psychiatrie Quand rien ni personne ne peut venir à bout du mal de vivre, des interventions d’un nouveau type peuvent être pratiquées. Le Dr Paul Lespérance tient l’appareil qui permet de faire passer un flux magnétique très fort, lequel produit de l’électricité dans le cerveau. Des développements neuroscientifiques, inimaginables il y a à peine une décennie, redonnent aujourd’hui espoir à des patients atteints de dépression réfractaire, dont rien ni personne ne peut venir à bout. Stimulation du nerf vague, stimulation cérébrale profonde, stimulation magnétique transcrânienne, voilà autant d’interventions sur lesquelles se penchent quelques psychiatres au pays, dont Paul Lespérance, qui dirige l’unité de neuromodulation psychiatrique du CHUM. Quand on lui demande pourquoi il s’est passionné pour ce volet avant-gardiste de la psychiatrie, Paul Lespérance répond d’abord par une boutade: «J’ai toujours aimé les bébelles.» Plus sérieusement, il estime que les psychiatres ont le devoir de chercher à soulager les patients dont l’existence ne connait aucune amélioration. Et puis, «la psychiatrie a aujourd’hui la maturité pour être une véritable discipline médicale, sur le même pied que les autres.» http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1182/221/

Québec financera le campus de Longueuil
Ce n'est qu'en 2009 - au lieu de 2008 - que la nouvelle tour de 16 étages, construite à côté de la station de métro Longueuil et qui abritera le campus de l'Université de Sherbrooke à Longueuil, sera enfin inauguré. Québec annoncera sous peu qu'il financera la construction du campus de l'Université de Sherbrooke à Longueuil. Les locaux accueilleront toutefois leurs premiers étudiants un an plus tard que prévu. La faute à l'UQAM et à ses mésaventures immobilières, dit le recteur sherbrookois Bruno-Marie Béchard www.cyberpresse.ca/article/20080326/CPACTUALITES/803260779/1019

Formation, documentation
Les filles hyperactives font face à des problèmes à l’âge adulte Une importante étude démontre que les filles du niveau primaire qui sont hyperactives ont besoin de programmes de prévention intensifs Les filles qui sont hyperactives sont plus susceptibles de devenir des fumeuses, de sous-performer à l’école ou au travail et d’être attirées par des relations mentalement abusives à l’âge adulte, selon une étude conjointe de chercheurs de l’Université de Montréal et du University College London (UCL). http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1169/1/

Le cerveau des schizophrènes diffère selon le sexe
Il semble y avoir une masculinisation du cerveau des femmes et une féminisation de celui des hommes chez les schizophrènes Même si dans certains milieux il n’est pas politiquement correct d’en faire état, il existe plusieurs différences neurologiques, légères mais significatives, entre le cerveau d’un homme et celui d’une femme. Ces différences, qui touchent à la fois à l’étendue des circuits neuronaux et aux dimensions de certaines structures cérébrales, seraient dues en partie aux hormones sexuelles de l’environnement intra-utérin. Les travaux d’Adrianna Mendrek, chercheuse au Centre de recherche Fernand-Seguin et rattachée au Département de psychiatrie de l’UdeM, montrent qu’il y aurait une inversion sexuelle de certaines de ces différences chez les schizophrènes. «En comparaison de la population en général, il semble y avoir une masculinisation du cerveau des femmes et une féminisation du cerveau des hommes», affirme-t-elle. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1188/221/

L’école des femmes
Alors que les filles récoltent les honneurs à l’école, un garçon sur quatre décroche avant le bal de fin d’études. Un déséquilibre inquiétant. Samuel Pratte est une bolle. Sa moyenne générale de 90 % fait de lui, selon ses dires, le meilleur élève de cinquième à l’École secondaire L’Escale, à Louiseville. Enfin, le meilleur parmi les gars… Car il est détrôné, et de loin, par les filles. «Certaines ont une moyenne générale de 97 %! Je n’essaie même pas de me mesurer à elles : je n’arriverai jamais à leur niveau. Pour moi, la femme est un être parfait!» proclame l’adolescent de 16 ans. Ce genre de commentaire consterne Michel Thibeault, président fondateur de la Fondation pour Hommes, dont la mission est d’améliorer la condition masculine. À titre de responsable du programme d’aide aux devoirs à l’école primaire de Louiseville, il a souvent l’occasion de constater le fatalisme des garçons. «Quand on leur demande pourquoi les filles réussissent mieux à l’école, ils répondent : “C’est normal, ce sont des filles!” De la même façon qu’on trouvait normal, il y a 40 ans, qu’une fille soit coiffeuse et un gars, médecin... Ils sont convaincus de valoir moins qu’elles.» Pourtant, les filles n’ont pas plus de matière grise que les garçons. «Lorsqu’ils y mettent autant d’heures d’études, les deux sexes ont des résultats scolaires comparables, au primaire comme à l’université», remarque Jean-Claude Saint-Amant, chercheur en éducation au Centre de recherche et d’intervention sur la réussite scolaire. L’historienne Micheline Dumont en-dosse cette approche, et déplore du même coup qu’on s’inquiète surtout des problèmes scolaires des garçons. «En réalité, les garçons réussissent bien mieux qu’il y a 50 ans, alors que le taux de décrochage était d’environ 75 %! Mais les médias s’énervent chaque fois que les hommes réussissent moins bien que les femmes. Au fond, ils endossent les valeurs de la société patriarcale.» http://carriere.jobboom.com/marche-travail/dossiers-chauds/2008/03/16/5022991.html Lire aussi Imprenables forteresses féminines et masculines http://carriere.jobboom.com/marche-travail/dossiers-chauds/2008/03/16/5023016.html et Minute, papillon ! Les filles détrônent les gars à l’école et pourraient changer à jamais le visage du marché du travail. Mais le girl power n’est pas à nos portes, tempèrent des spécialistes. http://carriere.jobboom.com/marche-travail/dossiers-chauds/2008/03/16/5022956.html

André Chartrand, lieutenant, caserne 27, Service de sécurité incendie de Montréal. Tout feu tout flamme! Je suis pompier depuis 19 ans. Il faut être fasciné par le feu et avoir le cran de s’en approcher pour exercer ce métier. Mais il faut aussi le craindre, sinon on prend des risques inutiles. Dans un incendie, la fumée est si épaisse que je ne vois pas ma main! Je me déplace souvent à quatre pattes pour voir sous la couche de fumée. L’eau qui me tombe dessus sous forme de vapeur brûlante donne l’effet écrasant d’un sauna. La chaleur peut être intenable. L’avertisseur de détresse de ma bonbonne d’air sonne quand la température ambiante atteint 260 °C et, quand ça arrive, je dois quitter les lieux immédiatement. Mais on commence à avoir trop chaud même en dessous de cette température. La visière d’un de mes hommes a déjà fondu sans qu’il s’en rende compte! J’ai déjà vu des points noirs tant il faisait chaud. C’est dangereux, car l’étape suivante est le coup de chaleur, qui peut être mortel. Pour sentir la chaleur et bien évaluer le danger, je déplace ma cagoule de façon à exposer un peu la peau de mon cou. Le pire moment de ma carrière est survenu quand deux collègues sont devenus prisonniers d’un duplex en flammes. Leurs cris étaient atroces. Je croyais qu’on arriverait trop tard, mais on les a sauvés. Ils s’en sont tirés avec des brûlures au deuxième degré au cou et aux oreilles. Je ne fais pas qu’affronter le feu. Je dois aussi composer avec des gens en état de choc sur un lieu sinistré, que ce soit un incendie, un accident d’auto, une fuite de gaz ou une inondation. L’alarme sonne entre une et quatre fois par jour. Mon horaire varie : quatre quarts de jour (de 7 h à 17 h), suivis de sept jours de congé; ensuite, trois quarts de nuit (de 17 h à 7 h) et quatre jours de congé; puis six jours consécutifs pendant lesquels j’effectue 86 heures de travail. Entre deux alertes, on met à jour nos connaissances et on forme les recrues. À la caserne, nous sommes 11 hommes par quart de travail. La camaraderie est très forte, un peu comme dans une équipe de hockey : on se serre les coudes, on se taquine, on rit beaucoup. On cuisine aussi tous nos repas et on fait le ménage de nos quartiers comme à la maison. Mais quand l’alarme retentit, on laisse tout en plan. Le poteau, on l’utilise pour vrai : c’est pour éviter de se fouler le pied dans l’escalier! Mon équipement pèse environ 27 kilos, sans compter la hache et les tuyaux. Dans une intervention, je me dépense autant qu’un hockeyeur qui se donne à fond pendant 30 minutes. Je m’entraîne donc de trois à cinq fois par semaine en cardio et en musculation. C’est bien beau monter 18 étages par les escaliers, mais rendu en haut, je dois avoir la force de défoncer la porte! C’est un métier dur, mais j’en retire une immense fierté, parce que mes décisions permettent de sauver des biens matériels, des maisons et surtout des vies. 10-10. http://carriere.jobboom.com/marche-travail/tranches-vie/2008/03/16/5022221.html


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Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Documents réalisés par Raymond Jean, c.o.

Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Pour le moment, 34 membres des 20 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (9) : les cégeps St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Trois-Rivières, Lanaudière, Outaouais, Vieux-Montréal et l’université de Sherbrooke. À l’est (11) : Alma, Jonquière, Limoilou, Gaspésie, St. Lawrence, Ste-Foy, St-Félicien, Lévis-Lauzon, Chicoutimi, Psycho-Carrière et l'Université Laval. Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

Sur le site du bulletin, nous pouvons maintenant afficher des mini-diaporamas www.quelquechosedelacoc.blogspot.com Celui du congrès de l’année dernière vous dirigera vers le site de toutes les photos, si vous cliquez sur l’une ou l’autre. Éventuellement, nous pourrons identifier nos partenaires. De plus, nous vous mentionnons que tous les bulletins sont archivés sur ce site. Le site du bulletin est plus que la somme de ses courriels…

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