19 novembre 2010

V 9 No 10 : Le retour à un ordre unique OCCOQ

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin www.quelquechosedelacoc.blogspot.com 
(707 membres, 9e saison du bulletin électronique)
À un moment donné dans le cyberespace de l' automne,
nous avons franchi le cap des 300 000 visites du site http://www.acoc.info/  
302475 visiteurs depuis 2005


Le 8 décembre sera un grand jour, le retour à notre ordre unique : Il est à souligner que ce changement majeur est le fruit d’une réflexion et d’une action concertée, d’une maturation de la structure créée en 2000, notamment à la lumière des travaux préparatoires à la Loi 21. Avec l’introduction du nouveau concept d’activités partagées, il n’est plus nécessaire que deux professions partagent un même ordre pour obtenir la réserve d’une activité commune. Laurent Matte c.o. président de l’OCCOQ

Section Nouvelles www.acoc.info
Portes ouvertes dans les cégeps
Conférence sur l'admission en orthophonie à l'U. Laval
Programme de bourses d'études Toyota-Jour de la Terre

S'inscrire avant le 29 novembre
31 membres sont inscrits au prochain Carrefour de l’orientation 2010 à l’UQAR-campus de Lévis mardi 30 novembre 2010 de 9h30 à 12h00 (suivi d’un dîner et d’une rencontre avec l’UQAR en après-midi, information ci-dessous). La Journée des partenaires de l’université Laval aura lieu le lendemain 1er décembre (information ci-dessous). Nous organisons aux deux ans le Carrefour de l'orientation durant cette période de l'année pour faciliter les déplacements des membres et la participation à ces deux événements.

Le thème du Carrefour de l'orientation (pour s'inscrire, envoyer un courriel à acoc@videotron.ca  ; défrayer sur place les frais de 30$: chèque au nom de l'ACOC; d'autres informations seront transmises par courriel aux inscrits seulement) sera: Soutenir l'orientation scolaire et professionnelle : méthodes pour intégrer une meilleure prise en compte des relations sociales de nos clients. Description de l'atelier : La connaissance de soi implique initialement la « re » connaissance de soi. Les relations sociales de nos clients contribuent à soutenir et à mobiliser les pensées, les émotions et les comportements favorables à la construction du projet professionnel de jeunes adultes. Toutefois, comment intégrer ces dimensions « extérieures » au processus un à un ? L'atelier vise à décrire les différents rôles pouvant être joués par les relations sociales selon la nature et les formes d'échanges interpersonnels, de même qu'à proposer des pistes de réflexion et d'intervention adaptées. Conférencier : Louis Cournoyer, c.o. est professeur en counseling de carrière à l'Université du Québec à Montréal. Ses travaux de recherche portent sur la persévérance aux études collégiales, la construction du projet professionnel chez les jeunes adultes, ainsi que le rôle des relations sociales et des réseaux sociaux sur l'orientation scolaire et professionnelle. Conseiller d'orientation depuis 15 années, il possède une expérience variée auprès des jeunes adultes et adultes. Il est engagé au sein de plusieurs comités professionnels ayant pour objet le développement professionnel des c.o.

C’est avec plaisir que nous vous invitons au Campus de Lévis le 30 novembre prochain pour une rencontre d’information sur quelques programmes de formation de l’UQAR, certains uniques au Québec, ainsi qu’une visite du campus. Cette rencontre suivra le Carrefour de l’orientation de l’ACOC qui se tiendra en nos murs, soit au 1595, boulevard Alphonse-Desjardins à Lévis. Vous trouverez ci-contre le déroulement de l’activité de l’après-midi. Veuillez confirmer votre présence par courriel à jacques_dastous@uqar.ca  avant le 25 novembre 2010. Une vignette de stationnement vous sera transmise par courriel. Au plaisir de vous rencontrer. Robert Paré Vice-recteur à la planification et aux partenariats pour le campus de Lévis Information Jacques d’Astous 1-800-463-4712 ou 418-833-8800, poste 3224


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JOURNÉE DES PARTENAIRES 2010 Université Laval qui se tiendra le mercredi 1er décembre 2010, à l’auditorium Jean-Paul-Tardif du pavillon La Laurentienne. Nous vous invitons à assister à des conférences données par des professeurs qui sont des acteurs importants des grands débats de société et que nous vous offrons le privilège de visiter trois infrastructures scientifiques dotées d’installations à la fine pointe de la technologie regroupant des chercheurs de haut niveau : Le Consortium de recherche pour le calcul scientifique de haute performance (CLUMEQ). Le Centre d’optique, photonique et laser (COPL), infrastructure de calibre mondial représentant le plus imposant parc d’équipement en optique-photonique en milieu universitaire au Canada. L’Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), le plus important regroupement de chercheurs au Canada à se consacrer entièrement aux interactions complexes entre les aliments, leurs composantes, la nutrition et la santé. Inscrivez-vous avant le 19 novembre à cette journée riche en découvertes en remplissant le formulaire en ligne www.br.ulaval.ca/journee_des_partenaires_2010. Pour plus d’information sur le déroulement de la journée, veuillez consulter l’ordre du jour ci-joint ou communiquer avec : Pierre Bonenfant, responsable de promotion et d’information sur les études Pierre.Bonenfant@br.ulaval.ca

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Conseillère ou conseiller d’orientation au cégep de Trois-Rivières (Contrat de professionnel temporaire à temps complet, pendant les sessions d’enseignement, du 6 décembre 2010 au 20 mai 2011 ) Les personnes intéressées sont invitées à faire parvenir leur candidature et leur curriculum vitae avant 17 h le 29 novembre 2010 à ress.humaines@cegeptr.qc.ca . www.cegeptr.qc.ca/public/ab5fc928-8c2e-4c27-a3a7-2b68d294d0ec/ressources_humaines/conseiller_dorientation_dsae_nov_2010_ext.pdf

Aide pédagogique individuel Cégep régional de Lanaudière Fin du concours Le mercredi 24 novembre 2010 Temps plein www.ameqenligne.com/detail_poste.asp?NoPoste=15678

Conjuguer équité et performance en éducation, un défi de société. Dans son Rapport 2008-2010 sur l’état et les besoins de l’éducation, intitulé Conjuguer équité et performance en éducation, un défi de société, le Conseil supérieur de l’éducation rappelle que malgré l’ampleur du chemin parcouru en matière d’éducation au Québec depuis la Révolution tranquille, il faut faire un pas de plus pour que le Québec puisse continuer à figurer parmi les sociétés les plus avancées sur le plan de la performance de son système d’éducation. À titre d'exemple, alors que près de 62 % de sa population possédait moins de 9 ans de scolarité en 1951, le taux d’obtention d’un diplôme d’études secondaires s’élevait à plus de 87 % en 2007. De plus, entre 1975 et 2007, le taux d’obtention d’un diplôme d’études postsecondaires a plus que doublé, passant de 22 à 49 % au collégial, et de 15 à 33 % pour un baccalauréat. Toutefois, les exigences des sociétés modernes exercent des pressions importantes sur le système d’éducation pour former davantage de personnes scolarisées, qualifiées et capables d’exercer pleinement leur citoyenneté. Malgré tout le chemin parcouru, le Conseil est d’avis qu’il faut continuer à engager les efforts nécessaires pour lever les obstacles qui subsistent à l’accès à l’éducation et à l’accès à la réussite, dans des curriculums à la hauteur de la complexité des savoirs. Des zones de vulnérabilité : Aussi, le Conseil relève, pour chaque ordre ou secteur d’éducation, certains aspects du système éducatif qui limitent ou qui fragilisent l’accès ou la réussite éducative de certaines populations. Aux yeux du Conseil, trop de jeunes quittent l’école sans avoir acquis une première qualification. Aussi, la capacité du système d’intervenir rapidement auprès des élèves qui ont des caractéristiques particulières ou qui vivent des situations qui fragilisent leur accès à la réussite, et dont on connaît à l’avance les risques potentiels au regard de l’échec scolaire et du décrochage, apparaît centrale et constitue une zone significative de vulnérabilité. De plus, à l’enseignement primaire et secondaire, la prise en compte de la diversité des rythmes et des besoins d’apprentissage mérite aussi qu’on y prête attention de manière à éviter l’accumulation de retards souvent irréversibles dans les apprentissages, lesquels, constate le Conseil, annoncent systématiquement une forte probabilité d’échec scolaire. À l’enseignement postsecondaire, l’ouverture à la diversité – c’est-à-dire à une population étudiante hétérogène et ayant des besoins variés et complexes – constitue, selon le Conseil, une zone de vulnérabilité. Cela exige des établissements et des intervenants une plus grande capacité d’adaptation. En outre, l’analyse des taux de réussite au collégial et à l’enseignement universitaire montre que, malgré le chemin considérable parcouru depuis une quarantaine d’années, il y a encore place à amélioration tant sur le plan de la diplomation que sur celui de l’accès à l’éducation. Dans son rapport, le Conseil relève d’autres zones de vulnérabilité, dont notamment l’accès des jeunes de moins de 20 ans à la formation professionnelle ainsi que la participation des adultes à la formation continue, tant en établissement qu’en entreprise. Dans ce dernier cas, le Québec accuse un retard considérable sur le reste du Canada. www.cse.gouv.qc.ca/FR/Bulletin/index.html#2010-11-16

Collégial
Des jeunes, du projet Proj’action du Carrefour Jeunesse-emploi Charlesbourg-Chauveau, sortent un DVD! Le 20 novembre prochain aura lieu, au CEGEP Limoilou campus de Charlesbourg, le lancement du DVD « Lever les voiles » la conclusion du projet Proj’action du Carrefour jeunesse-emploi Charlesbourg-Chauveau (CJECC). Afin de lever les voiles sur le trouble déficitaire de l’attention, le trouble anxieux et le trouble de comportement et démystifier leurs problématiques, l’équipe de Proj’action, qui compte 24 jeunes et près de 100 bénévoles, a travaillé d’arrache-pied dans le but de réaliser de A à Z un documentaire sur le sujet. Les jeunes de Proj’action ont choisis ce moyen d’expression dans le cadre de leur cheminement d’orientation et de réalisation et en puisant de leurs expériences de vie personnelles. Quoi : Cocktail du lancement officiel du documentaire « Lever les voiles » Où : CEGEP de Limoilou campus Charlesbourg (Stationnement gratuit) Salle Montaigne (Porte 2) 7600, 3e Avenue Est Québec (Québec) G1H 7L4 Date : Samedi, le 20 novembre 2010 Heure Cocktail à 11h15 (billets au coût de 60.00$ incluant la projection) Projection à 12h45 (billets au coût de 8.00$ admission générale). www.cjecc.org/nouvelles.php

Colloque de l’Association des registraires des collèges du Québec (ARC) Octobre 2010 ATELIER - QUESTIONS POUR LE MELS Question : Certains collèges offrent 2 cours de mise à niveau en chimie dans le programme de soins infirmiers pour les étudiants qui n'ont pas réussi le cours de chimie de secondaire V. Si nous ne pouvons plus offrir les cours de mise à niveau à partir de l'automne 2011, que ferons-nous avec les étudiants qui sont actuellement dans des grilles de soins avec mise à niveau et qui auront échoué un ou 2 de ces cours? Pourrons-nous offrir les cours de mise à niveau pour ces étudiants seulement (très coûteux si pour quelques étudiants seulement) ou s'ils doivent retourner faire leur chimie au secondaire? Réponse : En fait, le programme de Soins infirmiers bénéficiaient d’une exception jusqu’à l’automne 2011 au plan des conditions d’admission et des modalités pour y satisfaire. Les élèves admis dans un programme dont les conditions d’admission sont rehaussées restent admissibles dans ce programme car ce sont les conditions d’admission qui prévalaient au moment de son admission qui s’appliquent. Les deux cours de mise à niveau en Chimie pour Soins infirmiers seront désactivés à l’automne 2012, le temps que les étudiantes admises avant l’automne 2011 puissent les suivre. Pour le reste, c’est aux collèges à prendre la décision à l’égard de l’offre de cours de mise à niveau. Notamment, les élèves admis avant l’automne 2011 qui n’auront pas atteint les 2 objectifs et standards de formation générale complémentaire devront le faire autrement qu’avec les cours de mise à niveau en chimie à compter de l’automne 2012. www.cse.gouv.qc.ca/FR/Bulletin/index.html#2010-11-16

Question : Est-ce qu’on pourrait offrir des cours de chimie mise à niveau au cégep pour des étudiants de niveau postsecondaire seulement (étudiant ayant obtenu un DES des régimes antérieurs)? Réponse : Comme pour tous les programmes d’études conduisant au DEC, l’élève qui ne remplit pas une condition d’admission devra suivre le cours nécessaire avant d’être admis dans le programme.

Question : Pouvons-nous avoir la confirmation que nous ne pourrons plus admettre d’étudiants sans le préalable de chimie réussi? Réponse : La confirmation que les étudiantes ne pourront plus être admises en Soins infirmiers sans le préalable de chimie a été donnée en novembre 2007, au moment où le ministre a pris sa décision dans ce dossier. La décision apparaît sur la fiche d’identification du programme dans le site Web du Ministère ainsi que dans le cahier officiel de ce programme.

Question : Quand la nouvelle version de l’annexe sur la concordance des anciens cours du secondaire avec les nouveaux cours sera disponible? Réponse : Le document sera disponible d’ici décembre 2010. Des travaux sont en cours à la Direction de la sanction des études (du secondaire) sur ce point.

Admission et cours de mise à niveau en 180.A0 et 180.B0 à compter de l'automne 2011. Lorsque l'admissibilité d'un élève à un programme d'études a été établie et que cet élève y a été inscrit à au moins un trimestre, l'élève demeure admissible à ce programme, peu importe que les conditions d'admission soient modifiées par la suite. En d'autres mots, les conditions d'admission du programme Soins infirmiers qui entrent en vigueur à l'automne 2011 ne s'appliquent qu'aux élèves admis pour la première fois dans ce programme à compter de l'automne 2011. Les collèges ne doivent donc pas inscrire en Session de transition les élèves sans chimie admis dans le programme avant l'automne 2011, mais bien les laisser inscrits dans le programme. Pour les élèves sans chimie admis avant l'automne 2011, ils auront jusqu'au 1er septembre 2012 pour réussir les cours 202-1A3-RE et 202-2A3-RE, qui seront par la suite désactivés dans les systèmes ministériels.

Question supplémentaire : Qui doit recommander la délivrance du DEC sans mention quand l'élève (qui y a droit) a fréquenté plusieurs collèges et qu'il ne répond aux modalités d'aucune PIEA de ces collèges? Réponse : Il faut d’abord s’assurer que les modalités de sanction du DEC sans mention prévues dans les PIEA ne vont pas à l’encontre du RREC. Par exemple, une PIEA ne pourrait pas exiger que l’élève ne soit pas inscrit dans une AEC car le RREC stipule que ce n’est que l’inscription au DEC qui empêche la délivrance du DEC sans mention. Cependant, dans la mesure où les PIEA sont conformes au RREC, le plus logique serait que le DEC sans mention soit recommandé par le dernier collège fréquenté par l’élève. Il serait important dans ce contexte de prévoir dans chaque PIEA des mesures d’exception aux modalités habituelles de sanction du DEC sans mention.

Question supplémentaire : L’imposition au secondaire de 3 étapes amène le problème suivant : lors des demandes d’admission au collégial le 1er mars, les résultats d’une seule étape de secondaire 5 sont disponibles, ce qui est très peu. Que peut faire le Ministère à ce sujet? Réponse : La question a été posée à M. Jean-Guy Hamel, directeur de la sanction des études au secondaire. M. Hamel confirme l’imposition de trois étapes dans le contexte de l’implantation du bulletin unique dès l’année scolaire 2011-2012 dans les écoles du Québec. Ces nouvelles dispositions feront partie du régime pédagogique en préparation. Des informations précises peuvent être trouvées sur le site du MELS à l’adresse suivante : www.mels.gouv.qc.ca./bulletinNational  , et plus particulièrement dans la section Document explicatif destiné aux directions d’écoles.

Les pilotes courtisés par les compagnies aériennes
Après plusieurs années de vaches maigres, les perspectives s’améliorent pour le transport aérien, avec des conséquences positives pour les pilotes et autres employés québécois du secteur. Le secrétaire général de l'Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), Raymond Benjamin, a indiqué à la fin septembre que le transport aérien avait rattrapé l'écart perdu au niveau du trafic international à la suite de la récession. Signe d’un revirement de la situation, Air Canada a fait paraître récemment une pleine page dans des quotidiens québécois visant à souligner la qualité de ses employés et à se positionner comme un employeur de choix auprès de recrues prometteuses. «On s’emploie à l’excellence. Air Canada ne recrute que parmi les meilleurs», affirme la publicité. Selon Daniel Adams, gestionnaire des opérations chez Max Aviation, à St-Hubert, Air Canada prévoirait d’embaucher bientôt quelque 150 pilotes au Canada pour pallier les départs à la retraite et gérer la reprise, ce qui représente un nombre jamais vu depuis de nombreuses années. Il n’a pas été possible de s’entretenir avec un porte-parole d’Air Canada vendredi. Du côté de Pascan Aviation, un transporteur régional, on affirme avoir embauché une quarantaine de nouveaux employés, dont 20 pilotes, dans la dernière année. Chef instructeur au Centre de formation aéronautique de Québec, Éric Jutras, souligne que le secteur de l’aviation est très cyclique et qu’il se relève actuellement d’une période difficile à la suite de la crise financière de 2008-2009. De façon générale, les pilotes et autres employés du transport aérien devraient profiter de vents favorables dans les prochaines décennies. Alors que l’industrie doit composer avec de nombreux départs à la retraite de pilotes issus de la génération des baby-boomers, elle doit aussi gérer une forte augmentation de la demande en provenance des pays émergents. Le géant américain Boeing a annoncé récemment que les compagnies aériennes devraient embaucher plus d’un million de travailleurs en 20 ans pour faire fonctionner les 30 000 nouveaux avions qui seront mis en opération pendant cette période. L’OACI prévoit pour sa part une pénurie de pilotes pour les 20 prochaines années. «Les compagnies aériennes vont avoir besoin de 49 900 nouveaux pilotes par année, mais les capacités mondiales de formation sont seulement de 47 025 pilotes par année», écrit l’organisation. M. Adams signale que l’école de Max Aviation forme chaque année une centaine d’étudiants chinois. Ces étudiants sont formés aux frais de sociétés aériennes chinoises et ont un emploi garanti dans leur pays à leur retour. Il ajoute que de nombreux pilotes québécois et canadiens sont aussi courtisés par des transporteurs de pays émergents en Inde, aux Émirats arabes unis et en Thaïlande. M. Jutras signale que les conditions de travail sont souvent meilleures à l’étranger qu’au pays. «Les pilotes qui s’expatrient ne paient presque pas d’impôt et sont souvent logés gratuitement», explique-t-il. Malgré des perspectives qui s’améliorent, le secteur aérien continue de souffrir d’une mauvaise image auprès de la jeunesse québécoise. «Les jeunes d'ici sont moins attirés par le métier. Il y a de moins en moins de points de contact entre les jeunes et notre industrie et les frais de formation sont très élevés », déplore Marco Prud’homme, pdg de l’Association québécoise du transport aérien. Un futur pilote doit débourser environ 60 000$ pour sa formation, et les salaires sont maigres dans les premières années, souligne M. Jutras. «Les choses s’améliorent, mais beaucoup de gens ont encore une perception négative de l’industrie», mentionne-t-il. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/11/20101105-155742.html

Portrait de l'effectif infirmier 2009-2010 - CROISSANCE DE L'EFFECTIF INFIRMIER ET NIVEAU DE FORMATION EN PROGRESSION CONSTANTE À quelques jours de son congrès annuel, l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) dévoile le portrait de son effectif 2009-2010. Il note que cet effectif poursuit sa croissance et atteint 71 371 membres, un nombre inégalé à ce jour. Il s'agit d'une augmentation de 1,1 % par rapport à 2008-2009 ; celle-ci se situe dans la moyenne enregistrée au cours des cinq dernières années. Quant à la formation, la proportion des infirmières détenant un diplôme universitaire en sciences infirmières ou autres disciplines s'élève à 48 %. Si on tient compte uniquement du baccalauréat en sciences infirmières, la proportion s'élève à 30 %, un taux jamais atteint jusqu'à maintenant. L'OIIQ compte ainsi 21 719 infirmières bachelières parmi ses membres. ll s'agit d'une hausse de 18 % du nombre de titulaires de baccalauréat depuis 2005-2006, première année de diplomation des infirmières ayant terminé le programme intégré DEC-BAC. « Les infirmières sont de plus en plus nombreuses à poursuivre leurs études au niveau universitaire, c'est une tendance qui favorisera le développement de nouveaux rôles infirmiers et répondra aux besoins du système de santé », a indiqué la présidente de l'OIIQ, Mme Gyslaine Desrosiers. « Créé en 2001, le programme DEC-BAC a nettement encouragé la formation universitaire. Ce programme est attractif et doit continuer à faire l'objet d'incitatifs et d'encouragement. La formation est capitale, elle doit être une priorité pour tous », a ajouté la présidente. Parallèlement, de plus en plus d'infirmières suivent de la formation continue. Les données révèlent que 78 % d'entre elles ont déclaré avoir suivi de la formation continue en 2009, comparativement à 63 % en 2005. Néanmoins, une infirmière sur cinq déclare n'avoir fait aucune formation continue. C'est pourquoi l'OIIQ entend contribuer à améliorer l'accès à ce type de formation. Depuis 2003, l'OIIQ a délivré annuellement entre 2 400 et 2 800 permis à de nouvelles infirmières. Ce nombre de permis représente un record pour les 25 dernières années confirmant l'attrait pour la profession. L'OIIQ constate ainsi que ses campagnes de promotion de la profession portent leurs fruits. Autre élément intéressant : la rétention de la relève. On observe qu'en moyenne, 90 % des infirmières qui ont intégré la profession durant la première moitié des années 2000 exerçaient toujours au Québec après cinq ans. Ces chiffres sont excellents si on les compare à ceux d'autres provinces ou d'autres professions. Par exemple, le taux de rétention après cinq ans des infirmières ontariennes est de 85 % et celui des infirmières auxiliaires québécoises est de 78 %. Une ombre au tableau : les très nombreux départs à la retraite. En effet, plus de 15 500 infirmières sont âgées de 55 ans ou plus et donc potentiellement admissibles à la retraite. Ces infirmières représentent 22 % de l'effectif, une proportion qui a doublé en dix ans. De plus, on dénombre 10 800 infirmières de 50 à 54 ans, un groupe qui sera sous peu admissible à la retraite. « Les départs massifs à la retraite sont préoccupants, c'est pourquoi il est primordial pour nous à l'OIIQ de continuer à sensibiliser les décideurs pour qu'ils trouvent des façons de bonifier les conditions d'exercice et qu'ils adoptent des mesures incitatives pour encourager les infirmières plus âgées à poursuivre leur carrière lorsqu'elles le souhaitent », a soutenu Mme Gyslaine Desrosiers. Alors que le nombre total d'infirmières augmente d'année en année, le nombre de celles travaillant dans le réseau public de la santé demeure le même. Si bien que l'effectif infirmier du réseau représente aujourd'hui 82 % de l'effectif du Québec comparativement à 87 % en 2001-2002. À l'échelle du Québec, 3 863 infirmières déclarent qu'elles travaillent pour le compte d'une agence de placement, soit une augmentation de 50 % depuis 2005-2006. Ces infirmières représentent 5,8 % de l'ensemble de l'effectif. Cette statistique grimpe à 12 % chez les infirmières qui résident dans la couronne nord de Montréal. www.cnw.ca/fr/releases/archive/November2010/04/c9072.html

Des études collégiales à Odanak
Un moment historique. Une belle aventure. Un défi pour les jeunes et pour la communauté d'Odanak. Un gain pour les Premières Nations et pour l'ensemble de la population québécoise. Autant d'expressions qui ont été utilisées pour qualifier ce projet de nouvelle institution postsecondaire des Premières Nations dont Le Nouvelliste avait fait état en septembre dernier et qui a fait l'objet d'une annonce officielle de la part du Conseil en éducation des Premières Nations (CEPN), hier, à la Salle communautaire d'Odanak. Dès son ouverture, en septembre 2011, on offrira dans la nouvelle école qui sera construite à cette fin et qui sera annexée au nouveau motel industriel et commercial qui a été érigé en bordure de la route 132, à l'est du périmètre urbain de Pierreville et d'Odanak, un programme préparatoire aux études collégiales pour faciliter la transition entre l'enseignement secondaire et l'enseignement postsecondaire. Grâce au partenariat établi avec le Collège Dawson (anglophone) et le Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue (francophone), l'IPPN offrira un programme bilingue unique, soit Sciences humaines - Premières Nations, accrédité par le ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) du Québec. Ce projet en préparation depuis 5 ou 6 ans, permettra d'offrir un programme qui mènera à l'obtention d'un diplôme d'études collégiales (DEC). www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/vie-regionale/rive-sud/201011/17/01-4343449-des-etudes-collegiales-a-odanak.php

Le Cégep Beauce-Appalaches rend accessible la formation en maintenance d’éoliennes. Les personnes intéressées à suivre la formation en maintenance d éoliennes ne doivent pas souffrir de vertige ni de claustrophobie pour être admissibles. Dès le mois d’avril, le Cégep Beauce-Appalaches rendra accessible l’Attestation d’études collégiales (AEC) en maintenance d’éoliennes aux gens de la région désireux d’occuper un emploi dans le domaine de l’éolien. Grâce à une entente entre le Groupe Collegia (Consortium des services de formation continue du Cégep de la Gaspésie et des Îles et du Cégep de Matane) et le Cégep Beauce-Appalaches, les Beaucerons pourront débuter une formation en maintenance d’éoliennes dans leur propre région. Dans un premier temps, la formation, d’une durée totale de 14 mois, sera offerte au Cégep Beauce-Appalaches (CBA). Les cours de la première session (quatre mois) seront dispensés au Centre intégré de mécanique industrielle de la Chaudière (CIMIC) à Saint-Georges. La suite de la formation se donnera au Centre québécois de formation en maintenance d’éoliennes (CQFME) du Cégep de la Gaspésie et des Îles qui détient d’ailleurs l’exclusivité pour ce type de formation au Québec. Des enseignants du Cégep de la Gaspésie pourraient venir donner la formation en Beauce. Toutefois, le CBA prévoit la possibilité que du nouveau personnel enseignant soit embauché dans les prochains mois. Cette mesure vise à faciliter l’accès à la formation en maintenance d’éoliennes à ceux de la région, mais aussi à favoriser l’embauche locale dans ce secteur d’activité. «Je crois qu’en délocalisant une partie de la formation en maintenance d’éoliennes, nous répondons aux besoins de la région avec le meilleur de nos capacités», indique Caroline Bouchard, coordonnatrice de la Formation continue au CBA. Précisons qu’avec l’implantation de parcs éoliens à Thetford Mines, Saint-Luc et Saint-Robert, 25 postes à temps plein de techniciens en maintenance d’éoliennes devront être comblés à court terme. À l’échelle provinciale, plus de 400 emplois seront disponibles d’ici 2015. «Le programme de maintenance d’éoliennes est un programme assez long qui comprend 1400 heures de formation, alors on pense qu’à n’en délocalisant 400, on va donner le goût aux gens de la région de faire un retour aux études et de s’embarquer dans ce projet de vie», mentionne Caroline Bouchard. La formation s’adresse à ceux qui ont interrompu leurs études pendant au moins deux sessions consécutives ou durant une année scolaire et qui détiennent un diplôme d’études secondaires (DES) ou une formation jugée suffisante. Ils doivent aussi avoir réussi les Mathématiques et les Sciences physiques 416. Le CBA et le Groupe Collegia espère combler les seize places disponibles à la formation. Notons que le programme sera financé par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, donc les personnes admises bénéficieront de la gratuité scolaire. Seuls les coûts d’admission et les frais d’inscriptions devront être couverts par l’étudiant. De plus, certains inscrits pourraient être admissibles au soutien du revenu d’Emploi-Québec, partenaire au projet. Les inscriptions se font en ligne au www.cegepba.qc.ca/inscription . Pour obtenir plus d’informations sur le programme, contactez la Formation continue du CBA au 418-228-8896 poste 235 ou par courriel au fcontinue@cegepba.qc.ca . http://leclaireurprogres.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=165821&id=1020&classif=Nouvelles

Opération charme au Cégep de la Gaspésie et des Iles: relance du programme d’incitatifs, version bonifiée. Pour le Cégep de la Gaspésie et des Iles, 50 étudiants de plus par année feraient une énorme différence. Une différence quant au maintien, à moyen terme, de la quantité et de la qualité des services de notre institution d’enseignement collégial. C’est pourquoi près de 400 000.00 $ seront investis dans la promotion du Cégep et de ses programmes. Avec des facteurs sociaux comme le décrochage scolaire, l’exil des jeunes vers les grands centres et la popularité des écoles privées des grandes villes (qui offrent des attestations d’études collégiales rapides et admissibles au régime de prêts et bourses) la compétition est féroce pour un Cégep de région éloignée. Pourtant, à Gaspé, on a décidé de faire ce qu’il faut : jouer la carte du charme régional et celle de la qualité de l’enseignement. Question d’encourager les étudiants gaspésiens à profiter de « leur » Cégep, mais aussi d’attirer de nouveaux étudiants en quête d’aventures et de dépaysement. Le Cégep de la Gaspésie et des Îles reprend donc son initiative et lance à nouveau un programme d’incitatifs pour convaincre les étudiants à s’inscrire dans l’établissement d’enseignement postsecondaire de leur région. Dans la foulée du Rapport Boudreau, le Cégep offrira 100 bourses de 1 500.00 $, de l’hébergement gratuit, des transports aller-retour du Campus à la maison et même des portables, selon certaines modalités. Ces bourses et les autres incitatifs visent à supporter les étudiants qui doivent sortir du milieu familial afin de poursuivre leurs études collégiales. Par ces mesures, la direction du Collège désire d’abord sensibiliser les futurs collégiens à considérer la vie en région comme lieu privilégié d’études sur plusieurs aspects, dont la qualité de l’enseignement, la proximité avec les professeurs et la vie étudiante diversifiée. Selon Emploi-Québec, pour la période allant de 2009 à 2013, 8600 postes sont à combler dans la région. Dans ce contexte, la rétention des jeunes pour les études collégiales ne suffira pas à répondre aux besoins de la Gaspésie et des Îles. Ainsi, le Cégep se donne comme objectif d’offrir entre 35 et 50 bourses de 5 000 $ à des étudiants provenant de l’extérieur de la région, dans des programmes ciblés. Chercher l’aventure, étudier en Gaspésie, y demeurer pour s’y faire une vie ; c’est un peu la mission que souhaite réussir la direction du Cégep. Pour ce faire, une invitation est faite aux employeurs et aux organismes régionaux, afin de s’allier, pour contribuer au montage financier de ces bourses destinées à attirer des étudiants venant d’ailleurs. Malgré l’annonce tardive du programme d’incitatifs en janvier dernier, une étude du Centre d’initiation à la recherche et d’aide au développement durable (CIRADD) évalue que les mesures ont pu influencer dans leur choix de cégep, à différents niveaux, environ 25 élèves cette année. Même si le nombre total d’élèves est stable comparativement à l’an dernier, avec la baisse démographique, 30 élèves de plus que le nombre prévu se sont inscrits dans l’établissement. De quoi convaincre de la pertinence des incitatifs. Pour connaître tous les détails sur les incitatifs du Cégep, la population est invitée à visiter le site Web du Cégep de la Gaspésie et des Iles, ou encore à composer le 1 888 368-2201, poste 1626. http://lepharillon.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=165543&id=1633&classif=Nouvelles

Universitaire
Séjour découverte en informatique à l'Université de Montréal Du 14 au 16 janvier 2011, l'Université de Montréal accueillera les étudiants du collégial pour leur donner un avant-goût des études universitaires et les informer des perspectives d'emploi pour les diplômés en informatique. Tout ça dans un cadre amical qui regroupe des étudiants de tous les coins du Québec. Tirage de bourses de 500 $. Les étudiants qui seront inscrits au cégep à l’hiver ou à l’automne 2011 peuvent poser leur candidature. Inscription avant le 15 décembre 2010. Pour les détails : http://sejour.iro.umontreal.ca/

Des PME pourront développer des logiciels et jeux vidéo à l’UQAC http://lereveil.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=166001&id=2058&classif=Nouvelles

Un campus de l'UdeM à Laval dès septembre
www.nouvelles.umontreal.ca/campus/campus-regionaux/20101108-un-campus-de-ludem-a-laval-des-septembre.html

Ça va, docteur? www.cyberpresse.ca/opinions/201010/08/01-4330848-ca-va-docteur.php

Un âge limite de pratique pour les médecins? www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201011/15/01-4343006-un-age-limite-de-pratique-pour-les-medecins.php

Modifications au bac en imagerie et médias numériques. Place au bac en Sciences de l’image et des médias numériques. Connu sous le nom de baccalauréat en imagerie et médias numériques depuis sa création en 2003, le programme est modifié et devient le bac en sciences de l’image et des médias numériques. Ce baccalauréat unique en Amérique du Nord, à haute teneur scientifique, était de plus en plus confondu avec les formations à vocation artistique et le domaine du divertissement (création de jeux vidéo, cinéma, etc.). Cette nouvelle appellation vise donc à mieux refléter son contenu scientifique et multidisciplinaire, combinant notamment les mathématiques, l’informatique et la physique, et à attirer les étudiants informaticiens souhaitant se spécialiser dans le domaine de l’IMN. www.usherbrooke.ca/sciences/programmes-detudes/premier-cycle/baccalaureats-en-informatique/sciences-de-limage-et-des-medias-numeriques

L’informatique à l’UdeS en vidéo. Les étudiants réalisent 9 clips et relèvent 9 défis. À l’UdeS, on apprend beaucoup par la pratique… Est-ce vrai? Un habitat intelligent pour personnes en perte d’autonomie… Ça fonctionne? Les étudiantes et étudiants du Département d’informatique se sont donné le défi de démontrer en images les aspects les plus percutants de leur programme et de leur vécu à l’Université de Sherbrooke. Ils ont relevé le défi avec brio grâce à neuf courts clips qui répondent chacun à une question en moins de 30 secondes! Constatez par vous-même en visionnant les vidéos. www.usherbrooke.ca/informatique/defis-detudiants-en-informatique/il-parait-que-les-profs-sont-toujours-disponibles

Université de Sherbrooke Du Ritalin pour mieux réussir à l'école. Des étudiants en médecine de l'Université de Sherbrooke n'hésitent pas à prendre des médicaments, dont du Ritalin, pour obtenir de meilleurs résultats scolaires. Selon des étudiants rencontrés par Radio-Canada, la prise de Ritalin améliore la concentration, ce qui aide à mieux performer lors des examens. Même si le Ritalin n'est vendu que sous ordonnance, Sylvie Godbout, qui est psychiatre à l'Université de Sherbrooke, croit qu'il est possible d'en trouver assez facilement à l'université. « Les gens, comme ils ont des mentors, des tuteurs, il y a toujours des professeurs qui sont près des étudiants, j'imagine que c'est comme ça que ça passe. Ou encore, c'est leur médecin de famille, mais ils ne vont sûrement pas chercher ça sur le marché noir », dit-elle. Selon Mme Godbout, le problème n'est pas que des étudiants prennent du Ritalin, mais la raison qui les pousse à le faire. « Je pense que c'est en proportion de ce que ces gens-là vivent comme stress », avance-t-elle. Le Ritalin entraîne peu d'effets secondaires lorsqu'il est pris en doses modérées. Malgré tout, sa consommation n'est pas conseillée si elle n'est pas justifiée. « Les étudiants [en médecine] connaissent la molécule, donc ils savent jusqu'où ils peuvent aller avec cette molécule-là », fait toutefois valoir la pharmacienne Lynn Germain. Il n'y a pas d'études récentes sur la consommation de Ritalin dans le milieu universitaire. Le phénomène serait toutefois répandu dans les universités de la province selon les étudiants rencontrés par Radio-Canada. www.radio-canada.ca/regions/estrie/2010/11/14/001-ritalin-etudiants-medecine.shtml

L'École de criminologie, vedette internationale de la télévision www.nouvelles.umontreal.ca/enseignement/nos-etudiants/20101115-lecole-de-criminologie-vedette-internationale-de-la-television.html

Bourses d'études. Ça se prend bien. Isabelle Perreault a toujours trimé dur. Elle a travaillé si fort qu’elle s’est classée parmi les six meilleurs au Québec à l’examen professionnel de l’Institut canadien des comptables agréés en 2009. Un rendement scolaire payant, puisqu’elle a décroché non pas une, mais deux bourses d’excellence durant ses études universitaires. http://carriere.jobboom.com/marche-travail/secteurs/comptabilite/2010/07/30/14878781-je.html

Documentation
Toyota Canada et la Fondation Toyota Canada, en partenariat avec Jour de la Terre Canada, ont mis sur pied le Programme de bourses d’études Toyota-Jour de la Terre pour aider à cultiver la richesse que constitue le leadership environnemental. Ce programme souligne les efforts des finissants d’un établissement d’enseignement secondaire ou d’un établissement d’enseignement collégial du Québec qui se sont distingués dans le cadre de services communautaires et d’activités parascolaires et bénévoles axées sur l’environnement et qui ont fait preuve d’excellence dans leurs études, et les encourage à poursuivre leur excellent travail. À ce jour, Toyota Canada, la Fondation Toyota Canada et Jour de la Terre Canada ont récompensé 120 étudiants et ont accordé à ces jeunes leaders environnementaux plus de $600 000 en bourse d’études. Le Programme de bourses d'études Toyota-Jour de la Terre comporte 20 prix de 5 000 $ chacun décernés chaque année. Ce montant est affecté directement aux frais de scolarité, de logement et de repas (s'il y a lieu), au paiement de livres ou à d'autres dépenses liées aux études au cours de la première année d'études postsecondaires à temps plein au Canada. Pour plus d'information, visitez le http://www.jourdelaterre.org/




Academos intervient directement auprès des jeunes Québécois en leur donnant un accès au monde du travail par un moyen qu’ils connaissent bien : l’Internet. Aujourd’hui, Academos est fier de présenter de nouveaux services qui multiplieront ces occasions de contact : Des portraits de mentors www.academos.qc.ca/portraitdementor  , pour avoir une vision humaine de parcours réels. Voici un aperçu : « et dire que mon refus en faculté de médecine aura été pour moi l’occasion de découvrir une de mes plus grandes passions : l’orthophonie! ». Mon emploi de rêve www.academos.qc.ca/emploidereve  , un outil interactif où les jeunes peuvent inscrire leur emploi de rêve et savoir combien d’autres sont intéressés par le métier qui les allume, et pourquoi. Des vidéos sur les métiers, pour offrir un descriptif réaliste des métiers d’avenir du Québec. www.academos.qc.ca/nos-videos

Avez-vous remarqué ? Un rôle essentiel. Ce site du Cégep de Ste-Foy s’adresse à tous ceux qui se préoccupent du bien-être des jeunes adultes et n’exige pas de connaissances spécifiques en santé mentale. Il se veut une introduction à l’intervention psychosociale à partir d’indices comportementaux. La vie du jeune collégien est jalonnée d’épisodes de perturbations émotives plus ou moins intenses. La plupart des étudiants du collégial vivent, à l’occasion, des périodes où l’anxiété, l’agressivité ou l’humeur dépressive dominent.

Des symptômes dépressifs chez 16 % des élèves
Ils ne sont pas bruyants, ne dérangent pas les autres en classe, mais ils n'ont pas nécessairement la tête à apprendre. Difficile de détecter les élèves ayant des symptômes dépressifs: ces derniers passent souvent inaperçus. Grâce à un partenariat avec la Chaire de recherche sur la réussite et la persévérance des élèves de l'UdeS, la CSRS a maintenant un outil pour identifier ceux qui ont tendance à broyer du noir, et, du même coup, à risque de décrochage. Avec l'application du programme Pare-Chocs, la CSRS souhaite ainsi prévenir plutôt que guérir. La Tribune s'est entretenue avec des artisans du programme, et s'est aussi intéressée à l'envers de la médaille, soit l'unité des adolescents aux prises avec des maladies mentales du CHUS. Environ 16 % des élèves au Québec présenteraient des symptômes dépressifs, un facteur lié au décrochage scolaire. Pas facile de les aider: en classe, ces jeunes passent souvent inaperçus. Avec la mise en application du programme Pare-Chocs, les intervenants de la Commission scolaire de la Région-de-Sherbrooke espèrent ainsi les tirer de l'ombre. www.cyberpresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201011/15/01-4342776-des-symptomes-depressifs-chez-16-des-eleves.php

DÉCROCHAGE, PAUVRETÉ ET PARENTALITÉ PRÉCOCE : RÉSULTATS D'ÉTUDE MENÉE SUR 30 ANS SUR LES JEUNES DÉFAVORISÉS http://now.concordia.ca/for-media/communiques-de-presse/20101116/decrochage-pauvrete-et-parentalite-precoce-resultats-detude-menee-sur-30-ans-sur-les-jeunes-defavori.php

Un lien entre syndrome de fatigue chronique et troubles de la personnalité? www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=8256

Première cartographie des variations génétiques individuelles www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20101108-premiere-cartographie-des-variations-genetiques-individuelles.html

Regretter un changement de sexe: le dernier tabou www.cyberpresse.ca/vivre/societe/201011/12/01-4341925-regretter-un-changement-de-sexe-le-dernier-tabou.php




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À noter à votre agenda
En 2011, le 9e congrès de l’ACOC aura lieu en partenariat avec l’UQTR les 1er, 2 et 3 juin. www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=971

Prochain Carrefour de l’orientation à l’UQAR-campus de Lévis : le mardi 30 novembre 2010 a.m. Le Carrefour sera suivi d’un dîner et d’une rencontre avec l’UQAR en aprè-midi. La Journée des partenaires de l’université Laval aura lieu le lendemain 1er décembre.


Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC ACOC@videotron.ca

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