14 mai 2007

V 5 No 38: Des vies complexes: La culture éducationnelle des élèves sous-performants



Oies des neiges au Cap Tourmente

Pour s’inscrire au 6e Congrès de l’ACOC en partenariat avec HEC Montréal (30 mai au 1er juin 2007) : Consultez le Programme (ainsi que la description des conférences et suggestions d'hébergement) et complétez le Formulaire d’inscription. S'inscrire avant le vendredi 18 mai afin de faciliter le travail du Comité de perfectionnement. www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 Les 9 partenaires du 6e Congrès de l'ACOC:

Évaluation du site de l’ACOC www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=954 Soyez nombreux à compléter le questionnaire! Votre collaboration serait très appréciée et je vous en remercie à l'avance ! Raymond Jean, c.o.- gestionnaire du site www.acoc.info


L'assemblée générale annuelle de l'ACOC : vendredi 1er juin 2007 de 8h30 à 10h15 au Salon L’Oréal du HEC Montréal. www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 .

Info collégiale
Les étudiants sous-performants sont au coeur d’une étude au Collège Vanier Une étude qui se penche sur les étudiants qui risquent de faillir et sur leur vécu éducatif lorsqu’ils entrent au cégep, suggère des moyens de combler le gouffre entre la culture du collège et celle des étudiants sous-performants. L’étude intitulée, Des vies complexes: La culture éducationnelle des élèves sous-performants, a été réalisée un groupe de chercheurs du Collège Vanier : Jock MacKay, professeur de sociologie et de philosophie, Doug Miller, aide pédagogue avec The Learning Centre et Guy Quinn, professeur d’éducation physique et fondateur du programme Explorations. Dans l’étude qui est basée sur des interviews menées auprès de cégépiens, et d’élèves et d’enseignants du secondaire, les auteurs ont constaté que le problème commence déjà au secondaire où les élèves ne sont pas bien préparés à réussir au cégep. « Ces élèves arrivent au cégep en grande partie ignorants des attentes institutionnelles. Ils pataugent souvent dans un monde scolaire qui leur semble mystérieux, qui ne leur est pas familier, et qui est apparemment indifférent aux difficultés de jeunes adultes qui veulent avancer dans la vie tout en subissant des pressions multiples. » Pour obtenir leurs données, les auteurs ont interviewé des étudiants de Vanier qui avaient terminé le secondaire avec une moyenne de moins de 70%. Le portrait qui en ressort en est un d’élèves qui mènent de vies complexes. Pour presque tous ces élèves sous-performants, l’école est avant tout un lieu de socialisation. Ils vont à l’école pour être avec leurs amis. Ils ont des liens de famille solides et affirment aller au cégep pour plaire à leurs parents. La plupart de ces élèves ont étudié dans plus d’une langue et plusieurs sont issus de familles immigrantes. Quelques uns ont eu à faire face à l’exclusion, la marginalisation ou le racisme et plusieurs ont vécu la plupart de leur vie dans une grande pauvreté. En plus, plusieurs de ces jeunes ont d’autres responsabilités outre les études et sont actifs sur le marché du travail rémunéré. Malheureusement, les élèves qui profiteraient d’étudier à un rythme approprié à leur réalité contextuelle, sont pénalisés financièrement parce qu’ils n’étudient pas à temps plein. Que peut-on faire pour encourager le succès des élèves sous-performants? En tout premier, « Le ministère de l’Éducation doit abandonner les pratiques qui pénalisent financièrement les élèves qui n’ont pas les moyens financiers, ou pour qui les études ne font pas partie de peurs priorités, d’étudier à temps plein,” au dire des auteurs. www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=67365&B=1

Les cégépiens ne sont pas pressés
Seuls 42,1 % des jeunes qui entreprennent des études au secteur préuniversitaire des cégeps décrochent leur diplôme après la durée prévue de deux ans. Il s'agit d'un léger recul par rapport aux deux années précédentes. Au secteur technique, le taux de succès de 37,8 % en trois ans est plus faible encore. Mais il s'agit du meilleur résultat jamais vu, selon les dernières données du ministère de l'Éducation. «Chez nous, un étudiant sur trois change de programme, a commenté hier Caroline Tessier, porte-parole de la Fédération des cégeps. Compte tenu du mandat d'orientation du collégial, la durée prévue nous apparaît relative.» La Fédération ajoute un délai de grâce de deux ans dans son calcul des taux d'obtention des diplômes, a-t-elle précisé. Il est vrai que les cégépiens sont plus nombreux à se voir décerner leur DEC avec un peu de retard. En leur donnant un an de plus que prévu, 63,2 % obtiennent leur diplôme au secteur préuniversitaire et 53,8 % au secteur technique. Il reste que le Québec n'a pas de quoi pavaner. À peine 39,4 % d'une génération obtient un DEC (données de 2003-2004). C'est bien en deçà de l'objectif du Ministère, fixé à 60 % pour 2010. Avec un taux de décrochage élevé au secondaire, plusieurs jeunes voient tout bonnement les portes des cégeps rester fermées devant eux. Règle générale, les femmes s'en tirent mieux, avec un taux d'obtention du DEC de 50 % contre 29,3 % chez les hommes. Le collégial privé obtient de brillants résultats, avec un taux de succès de 67,7 % en deux ans au secteur préuniversitaire, contre 39,5 % pour le public. Mais cet écart est réduit au secteur technique (39,8 % de diplômés en trois ans au privé et 37,5 % au public). On pouvait s'attendre à une amélioration, avec les 40 millions investis depuis 2001 dans l'aide à la réussite, mais ce n'est malheureusement pas le cas.» Solution : engager davantage de psychologues, de professeurs et d'orienteurs pouvant soutenir les élèves, selon Mme Bond-Roussel. Pour améliorer le taux de succès, l'ex-ministre de l'Éducation, Jean-Marc Fournier, songeait l'hiver dernier à assouplir les exigences d'entrée au collégial et à créer un DEC sans spécialité. www.cyberpresse.ca/article/20070509/CPACTUALITES/705090666/1019

Regard sur... les jeunes et le travail
Cet ouvrage propose une lecture de la question du travail des jeunes en la cadrant dans la perspective des transformations qu’ont connues les sociétés occidentales au cours des deux dernières décennies. Fruit d’un projet collectif de l’Observatoire jeunes et société, il réunit des textes originaux issus de travaux récents qui abordent, tour à tour, les multiples facettes de cet objet si particulier qu’est le travail des jeunes dans les sociétés occidentales contemporaines. Les contributions sont regroupées en trois axes principaux : a) les parcours professionnels et le rapport au travail, b) l’insertion professionnelle et les liens études-travail et c) les ­milieux de travail et les conditions d’emploi. L’ensemble offre une analyse approfondie des relations complexes entre les jeunes et le monde contemporain du travail caractérisé par la flexibilité structurelle, les reconversions professionnelles et de nouvelles formes de revalorisation de l’activité productive. Outil de référence pour les chercheurs et les étudiants qui ­s’intéressent à la question des jeunes et du travail, aide à la réflexion pour les responsables d’élaboration des politiques, ce livre s’adresse à tous ceux qui sont à la recherche d’une meilleure compréhension de la dynamique des transformations qui ont lieu au Québec et dans l’ensemble du monde occidental. Avec la collaboration de Madeleine Gauthier, Liette Goyer, Jacques Roy. Vingt ans après, les nouveaux visages du travail des jeunes; De « jeunes chômeurs » à « jeunes travailleurs » :évolution de la recherche sur les jeunes et le travail au Québec depuis les années 1980; L’influence du contexte sociétal sur les trajectoires scolaires et professionnelles des jeunes adultes; Le rapport au travail et la « génération numérique »; Les formes de soutien parental à l’insertion professionnelle. Le cas des jeunes ayant abandonné leurs études secondaires ou collégiales; L’orientation professionnelle auprès des jeunes : une mise à jour permanente? La structuration de l’insertion professionnelle des jeunes par les modes de recrutement des entreprises; Les jeunes et le travail en milieux communautaires : choix, contrainte et ajustement; Le cheminement scolaire et l’insertion professionnelle des jeunes qui ont interrompu leurs études secondaires; Quitter sa région pour étudier, y revenir pour travailler : question de pouvoir du diplôme? Les logiques sociales de la dualité travail-études : le cas des jeunes de l’enseignement collégial; Les mutations dans les formes d’emploi et leurs conséquences sur les jeunes; Les jeunes des années 1980 : une génération sacrifiée ? www.pulaval.com/catalogue/regard-sur-les-jeunes-travail-9017.html

Le Salon Éducation et le Salon Formation Carrière (voir la section Nouvelles www.acoc.info) 10 au 13 octobre 2007 – Place Bonaventure – Montréal www.saloneducation.com et www.salonformationcarriere.com
Un incontournable pour les étudiants du collégial ! La 12e édition du Salon Éducation et du Salon Formation Carrière de Montréal aura lieu du 10 au 13 octobre 2007 à la Place Bonaventure. Cet événement, devenu un véritable incontournable au fil des ans, est entièrement consacré à l’éducation, à l’emploi et à la carrière. Encouragez vos étudiants à venir y recueillir de nombreuses informations !Lors du Salon Formation Carrière, soit les 12 et 13 octobre, suggérez à vos finissants d’apporter leur CV, d’aller le remettre en main propre aux grandes et petites entreprises qui seront sur place afin de recruter du personnel et invitez-les à passer au Centre d’évaluation professionnelle du CV ! Encore cette année, ils retrouveront également le Salon Éducation, du 10 au 13 octobre, présentant des aires d’animation, des démonstrations de métiers ainsi qu’une panoplie de renseignements sur les besoins du marché du travail et sur les programmes d’études disponibles au Québec et à l’étranger aux trois niveaux d’enseignement. Nous vous encourageons fortement à diffuser toute l’information nécessaire du plus grand rassemblement consacré à l’éducation, à l’emploi et à la carrière au pays, parmi tous les étudiants de votre établissement ! Pour les étudiants du collégial et les adultes, nous avons maintenant un tarif spécial de 3 $ par personne pour les groupes de 10 personnes et plus, ce qui représente un rabais de 25 % par rapport au prix d’entrée régulier. Notre période d’inscription est maintenant ouverte. Ne tardez pas à inscrire votre école afin de réserver votre temps de visite, les places étant limitées. Formulaire d'inscription électronique : www.saloneducation.com/saloneducation2007/fr/visites_scolaires/inscrire.php Louise Pauzé Coordonnatrice des visites scolaires visitescolaire@ineo.ca

Une nouvelle infirmière sur sept ne se trouvera pas un emploi
Une étude démontre qu'une nouvelle infirmière sur sept n'arrivera pas à se trouver un emploi, au Canada. L'étude de l'Association des infirmières et infirmiers du Canada, rendue publique mercredi, soutient que, malgré une pénurie de personnel médical qui s'aggravera probablement avec le temps, 15 pour cent des 8000 infirmières qui termineront leurs études cette année ne se trouveront pas un poste. Cette situation, selon l'Association, ne fera qu'accroître le temps d'attente pour les patients de même que le stress des infirmières aux prises avec une charge de travail trop importante. L'Association précise que la formation d'une infirmière coûte environ 60 000 $ aux différents gouvernements. Elle note que si 1200 diplômées ne trouvent pas de boulot, les contribuables auront jeté 72 millions $ par la fenêtre. L'Association des infirmières et infirmiers du Canada dit ne pas savoir quelle est la cause exacte du problème, mais la présidente de l'Association canadienne des soins de santé, Sharon Sholzberg-Gray, avance que celui-ci pourrait résulter du fait que les infirmières disponibles ne résident peut-être pas là où il y a des postes disponibles. www.cyberpresse.ca/article/20070509/CPACTUALITES/70509018/1019


Info universitaire
Les jeunes délinquants souffrent-ils de troubles cognitifs?
Selon les vues traditionnelles de la psychiatrie, de la psychologie et de la criminologie, le jeune qui volerait une automobile est le même genre de personne qui en attaquerait une autre sur la rue. Cependant, des chercheurs du Groupe de recherche sur l’inadaptation psychosociale chez l’enfant de l’Université de Montréal (GRIP), de l’Université Rutgers aux États-Unis et de l’Institut de psychiatrie de Londres ont publié hier une étude longitudinale dans Archives of General Psychiatry démontrant le contraire. L’équipe internationale a récemment examiné le développement de la violence physique et du vol dans un échantillon de 698 hommes suivis entre l’âge de 12 et 31 ans. Cette équipe de chercheurs, dont l’auteur principal est le Dr Edward D. Barker, ont également examiné comment la violence et le vol étaient reliés au fonctionnement intellectuel. Les chercheurs ont découvert que les comportements physiquement violents augmentaient chez un homme sur dix (13%) au cours de l’adolescence, alors qu’un homme sur deux (55 %) s’impliquait davantage dans le vol. Ces chercheurs ont également trouvé que les voleurs étaient plus brillants que ceux qui étaient violents, c’est-à-dire qu’ils ont obtenu de meilleurs scores à des tests évaluant leurs fonctions neurocognitives. Pourtant, l’approche clinique habituelle classifie ces comportements antisociaux violents et non violents dans la même catégorie : le trouble des conduites. Le trouble des conduites recoupe essentiellement quatre types de comportements antisociaux : la violence physique envers les personnes et les animaux, la fraude et le vol, la destruction de biens matériels, et les violations graves des règles établies. « En supposant qu’un enfant qui est violent envers les autres est le même genre de personne que celle qui ment ou qui vole, les pratiques conventionnelles proposent le même type d’intervention – qui fonctionne plus ou moins bien, explique le Dr Jean Séguin, chercheur au GRIP et professeur au Département de psychiatrie. Ces nouveaux résultats de recherche remettent en question cette notion en suggérant tant aux chercheurs qu’aux cliniciens, qui doivent souvent traiter en groupe, qu’il faut éviter de mélanger des pommes et des oranges en offrant les mêmes diagnostiques et interventions à des enfants qui sont différents du point de vue intellectuel et au niveau de leur développement. Cette recherche augmente les chances de développer des interventions plus efficaces pour chaque type d’enfant, souligne-t-il. » www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=67533&B=1

Génie : salaires à la hausse
Au 1er février 2007, le salaire moyen des ingénieurs variait entre 46 200 $ pour un jeune diplômé et 112 000 $ pour un pro cumulant 35 ans d'expérience, selon une enquête du Réseau des ingénieurs du Québec. La hausse moyenne de la rémunération entre 2006 et 2007 est de 5,1 %. Et en avril dernier, le taux de chômage était de seulement 3,4 % dans la profession. www.cnw.ca/fr/releases/archive/May2007/04/c5024.html

Formation, documentation
Bulletin « branché sur Academos » du mois de mai 2007 : http://www.academos.qc.ca/ Un nouveau site Web dès septembre 2007 et Academos s'agrandit!

Le colloque Dialogue 2007 se déroulera les 12, 13 et 14 septembre 2007 au Campus du Fort Saint-Jean. La formule est simple, peu coûteuse et conviviale. Vous trouverez le programme officiel ainsi que le formulaire d’inscription au colloque (www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=948), que vous devrez remplir et nous faire parvenir avant le 10 août 2007. Vous recevrez également le programme par la poste d'ici la fin mai. Bernard Pomerleau, président et son équipe

La démographie mènera le Québec vers un gouffre
Le Québec se dirige tout droit vers une crise des finances publiques en raison de sa situation démographique, crise qui ne pourra être évitée que si des correctifs sont apportés dès maintenant en augmentant les impôts, les taxes et les tarifs. www.cyberpresse.ca/article/20070510/CPACTUALITES/70510081/1019

Avis aux profs ennuyeux !
Les professeurs soucieux de l’état d’esprit de leurs étudiants pendant leurs cours pourraient bientôt posséder un outil informatique révélateur ! En effet, un système qui mesure le degré d’attention des étudiants est présentement à l’essai en Chine et au Royaume-Uni. Il permet à l’enseignant d’adapter son cours en fonction de la réponse des étudiants. www.cyberpresse.ca/article/20070510/CPSCIENCES/70510009/1020/CPSCIENCES

Le marché des déchets
Au Québec, des dirigeants d'entreprise se définissent désormais comme des " entrepreneurs environnementalistes ". Rien de moins! Le vocable est utilisé notamment par les membres du Conseil des entreprises de services environnementaux (CESE) qui sont engagés principalement dans la gestion des matières résiduelles, un des quatre sous-secteurs de l'environnement (les autres étant l'eau, les sols et les eaux souterraines ainsi que l'air et les changements climatiques). " Selon les chiffres du Comité sectoriel de main-d'œuvre en environnement (CSMOE), l'environnement représente actuellement 32 000 emplois directs, dont près de la moitié dans le seul domaine de la gestion des matières résiduelles (GMR). " Et on y prévoit des investissements de l'ordre de 600 millions de dollars pour la période allant de 2005 à 2008 ", dit Robert Lemieux, p.-d.g. de Recyc-Québec, un organisme relevant du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP). La croissance est en grande partie attribuable aux responsabilités environnementales des municipalités, qui doivent concrétiser le principe des " 3 R " : réduire, recycler et réutiliser. Les plans de gestion des matières résiduelles des municipalités, largement imposés par le MDDEP, couvrent également les matières dangereuses et les débris de construction, et concernent autant les entreprises que les individus. Le grand objectif, à atteindre en 2008 : récupérer 60 % de la demi-tonne de déchets produite en moyenne par un individu en une année. On en récupère aujourd'hui à peine 25 % : du papier essentiellement, tandis que le verre, le plastique, les pots de peinture, les vêtements prennent encore le chemin du sac poubelle. Pour les entreprises, la rentabilité est déjà au rendez-vous. " Un marché très important se dessine pour les matières recyclées, et en particulier pour l'aluminium et les autres métaux ", affirme M. Lemieux. Pour faire une tonne d'aluminium qui se vendra 1 800 $, il faut par exemple 60 000 canettes de boissons gazeuses ou de bière. Or les Québécois en consomment environ un milliard par an! " Un excellent rapport qualité-prix ", estime M. Lemieux. Il se crée de plus en plus d'emplois dans le domaine de la collecte et du tri des matières, mais ce sont des emplois, il faut le dire, traditionnellement peu spécialisés et associés à la réinsertion dans le marché du travail. Mais le contexte change. " Il y a des usines de tri très sophistiquées, mécanisées, où les interventions manuelles sont réduites au minimum ", dit M. Lachance. Le traitement de certaines matières exige en outre des procédés particuliers. De plus, la plupart des biens de consommation consistent en un assemblage de plusieurs matières. L'emploi de valoriste, qui requiert une formation de niveau collégial, a donc été créé. Et si les entreprises du domaine ont toujours d'importants besoins en mécaniciens et en camionneurs - les " convoyeurs " -, on y retrouve également des technologues spécialisés et des ingénieurs chimistes. Les entreprises qui recrutent Biogénie (décontamination sol et eau) www.biogenie-env.com
SNF (recyclage de métaux) www.snf.ca www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/marche-des-dechets-6889.html

Les vacances de la construction seront décalées d'une semaine
En 2008, les travailleurs de la construction du Québec auront congé du 18 juillet au 2 août, plutôt que du 13 au 27 juillet comme c'est le cas cette année. Ainsi en a décidé l'Association de la construction du Québec (ACQ). C'est qu'il faut maintenant composer avec les canicules désormais plus fréquentes à la fin juillet, et mieux vaut les subir au bord d'un lac que sur un chantier! http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national/archives/2007/05/20070502-113928.html

Jeu électronique : 200 nouveaux emplois à Québec
Le développeur de jeux électroniques Beenox a récemment annoncé la création de plus de 200 nouveaux postes à Québec d'ici 2009, ce qui triplera le nombre de ses employés dans la capitale. L'entreprise recrute déjà à partir de son site Internet. http://benefice-net.branchez-vous.com/nouvelles/07-05/11-211703.html

Avant d'imprimer, pensez à l'environnement.
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Guide sur l’admission universitaire Automne 2007 :
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915
Raymond Jean, c.o. gestionnaire du site
www.acoc.info

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca


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