16 juin 2008

V 6 No 32: Votre communauté au bout du fil… la ligne 211

Le temps du Weigelia

L'édition du bulletin électronique prend congé pour la période estivale, le Conseil exécutif de l'ACOC vous souhaite un bel été!


Conseiller (ère) en information scolaire et professionnelle Campus Notre-Dame-de-Foy Fin du concours Le lundi 30 juin 2008 Temps complet Sous la responsabilité du directeur du Service aux étudiants, la personne titulaire de ce poste donne des renseignements aux étudiants sur tous les aspects de la recherche d'emploi et de stage. Elle offre des ateliers de soutien à la rédaction de curriculum vitæ ainsi qu’à la passation d’entrevue d’embauche. Elle sensibilise les étudiants aux comportements à adopter sur le marché de l’emploi. En étroite collaboration avec la conseillère en gestion et développement des ressources humaines, la personne titulaire de ce poste participe occasionnellement aux activités promotionnelles visant l’attraction de la main-d’œuvre enseignante, professionnelle et administrative. Sandra Lussier direction@cndf.qc.ca www.ameqenligne.com/detail_poste.asp?NoPoste=7792


Votre communauté au bout du fil… Qu’est-ce que le 211 ?
Le Service 211 (ligne téléphonique ou par Internet) est un service d’information et de référence centralisé qui dirige rapidement les personnes vers les ressources communautaires qui existent dans les régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches. Un numéro à trois chiffres facile à retenir … [lire la suite] www.211quebecregions.ca/apropos.php Après Toronto, Calgary, Edmonton, Niagara, Simcoe, Halton, Windsor et Thunder Bay, c’est au tour de la grande région de Québec de joindre le réseau des 211! Nous sommes heureux de pouvoir enfin annoncer l’ouverture du Service 211 pour le 1er avril prochain. Grâce aux sommes recueillies, nous pouvons débuter les opérations de la centrale 211 en donnant accès au service téléphonique 45 heures par semaine, soit du lundi au vendredi, de 9h à 18h; s’ajoute aussi un accès Internet à la base de données au http://www.211quebecregions.ca/

Diaporama (album) du 7e congrès à Moncton www.flickr.com/photos/10892802@N08/sets/72157605167634050/show Une partie des photos sont aussi sur le site du Bulletin http://www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/ Vous pouvez transmettre des documents reçus à la suite d’une conférence, peu importe le type de perfectionnement, ou un lien Internet à acoc@videotron.ca

Info collégiale
Le Cégep de Sainte-Foy offre un programme de Conduite de procédés de production pharmaceutique Le Cégep de Sainte-Foy lance un programme de Conduite de procédés de production pharmaceutique pour répondre directement au besoin criant de main-d’oeuvre des entreprises pharmaceutiques de la région. En effet, Pôle Québec-Chaudière-Appalaches évalue à environ 200 le nombre d’emplois spécialisés à pourvoir actuellement dans le domaine de la production pharmaceutique. Grâce à cette nouvelle formation, le Cégep de Sainte-Foy contribue au développement et à l’expansion de l’industrie pharmaceutique dans la région. « Nous souhaitons former de la main-d’oeuvre spécialisée pour répondre aux besoins de l’industrie, et à cet égard, nos programmes de formation continue sont des outils particulièrement efficaces qui permettent à de nombreux adultes d’acquérir rapidement de nouvelles connaissances, d’élargir leur champ de compétences et d’améliorer leur employabilité.», explique le directeur général du Cégep de Sainte-Foy, M. Denis Juneau. Il ajoute que le programme vise aussi particulièrement l’intégration des immigrants au marché du travail, un premier projet collégial concret dans le cadre du Pacte de l’emploi. La clientèle immigrante qui désire s’y inscrire bénéficiera d’ailleurs de cours de français d’appoint, financés par Emploi-Québec. Au terme de leur formation, les techniciens maîtriseront entre autres les techniques de manipulation et de contrôle des appareils et des équipements utilisés en production pharmaceutique et celles inhérentes à la conduite des procédés spécifiques à la fabrication de divers types de production dont des comprimés, des capsules, des onguents, des crèmes ou des produits stériles, ainsi qu’à l’optimisation de ces procédés. « Cet arrimage direct entre l’école et le marché du travail est prometteur et l’ensemble de la région en bénéficiera. Des entreprises attendent déjà les premiers diplômés », a expliqué Mme Natalie Quirion, directrice Services aux entreprises et administration de Parc technologique du Québec métropolitain. La première cohorte de Conduite de procédés de production pharmaceutique démarrera en août 2008 et est financée par Emploi-Québec. Le programme, qui est offert pour la première fois dans la région de Québec, a été développé par le Collège Gérald-Godin où il était offert en exclusivité jusqu’à maintenant. www.guidesanteenligne.com/news_detail.asp?ID=92248

Le Campus Notre-Dame-de-Foy : nouveau programme de thanatologie La formation continue du Campus Notre-Dame-de-Foy offre, dès cet automne, un cours thanatologie (thanatopraxie et conseiller-conseillère aux familles). Le début des cours est prévu le 2 septembre 2008. Le Campus est le seul collège à offrir cette formation en thanatologie dans l’est du Québec. http://www.cndf.qc.ca/

Aménagement forestier : un autre été difficile en vue La durée des travaux sylvicoles pourrait être écourtée et certains travaux reportés cet été en raison de la crise forestière qui perdure. L'été s'annonce donc très difficile pour les sylviculteurs. Selon le responsable du secteur forêt à la Conférence régionale des élus de la Gaspésie et des Îles, Thomas Bernier, plusieurs entreprises seront tentées de repousser le plus possible certains travaux. M. Bernier explique que les industriels forestiers sont entrés en 2008 dans le début d'un nouveau plan d'aménagement quinquennal et que les entreprises peuvent réaliser tous leurs travaux seulement dans la dernière année du plan. Le directeur de la coopérative Eaubois de Sainte-Anne-des-Monts, Stéphane Castonguay, note déjà que le nombre de travailleurs passera de 80 à 2007 à 30, cette année. Les plantations d'arbres seront donc deux fois moins nombreuses. Plusieurs saisonniers ne parviendront pas à cumuler un nombre de semaines de travail suffisant pour se qualifier à l'assurance-emploi, souligne M. Castonguay. Les travailleurs forestiers touchés par la diminution des travaux sylvicoles en Gaspésie pourraient cependant trouver une nouvelle niche. Pour contrer la menace d'une nouvelle épidémie de la tordeuse du bourgeon de l'épinette, certaines coopératives d'aménagement proposent un traitement sur le terrain. Cette solution serait plus écologique que l'épandage aérien d'insecticides. www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/06/12/011-plants-arbres.asp

Centre d'études autochtones Entente avec les Innus Le cégep de Baie-Comeau et le conseil de Betsiamites s'unissent pour implanter un centre d'études autochtones afin de répondre rapidement aux besoins particuliers de la communauté innue. Le cégep de Baie-Comeau, qui compte une trentaine d'étudiants réguliers en provenance de Betsiamites, souhaite étendre les échanges culturels avec les Innus. La directrice du cégep de Baie-Comeau, Danielle Delorme, y voit même une occasion d'intégrer des contenus issus de la culture autochtone dans certains programmes. « Et au-delà de ça, nous allons faire une analyse des besoins très, très, très précise, de façon à pouvoir identifier les nouveaux programmes et services que nous pourrions offrir », ajoute Mme Delorme. De son côté, le chef de Betsiamites, Raphaël Picard, avoue que la plupart des emplois de sa communauté dans les secteurs traditionnels comme la santé, la police et l'éducation sont déjà occupés. Il veut toutefois développer des expertises dans de nouveaux créneaux comme le secteur éolien. « Je suis un environnementaliste, l'économie de l'environnement est tellement importante pour moi. Et ça, il faut développer des gens, il faut développer leurs compétences en vertu du domaine environnemental et écologique », fait valoir le chef. Les deux partenaires sont d'avis que si le projet est bien présenté, le financement du futur centre sera assuré par des transferts budgétaires gouvernementaux. www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/06/13/002-etudes-autochtones.asp

Le Cégep André-Laurendeau offre en exclusivité l'Attestation d'études collégiales permettant d'effectuer les fonctions de chef de train. Cette formation permettra aux étudiants d'apprendre les notions liées à la planification des étapes du voyage, à l'inspection des wagons et de la mécanique, à l'application des normes de sécurité, au triage des wagons selon leur contenu (matières dangereuses), au contrôle des manœuvres d'aiguillage, aux principes de fonctionnement et de conduite d'une locomotive et aux communications avec les contrôleurs de chemin de fer. Selon le Comité sectoriel de main-d'œuvre de l'industrie ferroviaire du Québec, ce programme d'études, d'une durée de 585 heures échelonnées du 15 septembre au 13 mars 2009, vise à combler la pénurie de main-d'œuvre engendrée par un nombre important de départs à la retraite dans ce secteur : " Au cours des cinq prochaines années, près de la moitié des employés atteindra l'âge de la retraite. Cette situation entraînera une forte demande de jeunes travailleurs ". Le chef de train assume plusieurs responsabilités. À chaque instant, il veille à rendre les manœuvres sécuritaires en observant plusieurs protocoles pour éviter des accidents. Ce travail exige une bonne capacité de concentration et une excellente forme physique pour effectuer des opérations sur un train en mouvement. Les chefs de train doivent faire preuve de souplesse lorsque survient un incident tel un bris mécanique ou lorsque la voie est obstruée. Le chef de train doit parfois s'engager à parcourir de grandes distances et travailler souvent la nuit. Cependant, les salaires reflètent bien les responsabilités. Les salaires de départ, auxquels s'ajoutent plusieurs avantages sociaux, se situent à environ 40 000 $ selon l'expérience et la charge de travail. Les candidats devront être prêts à travailler à l'extérieur, été comme hiver, selon des horaires variables et pourraient être appelés à travailler dans différentes régions. L'industrie ferroviaire canadienne, regroupant quelque 60 exploitants, emploie près de 36 000 personnes d'un océan à l'autre. http://montreal.24heures.ca/ChroniquesHebdo/EmploiEtFormation/2008/06/05/5775211-sun.html

Info universitaire
Le compte rendu du rendez-vous de la réussite : « Une nouvelle génération d’étudiants : quels défis pour l’enseignement supérieur? » organisé par le CAPRES et le Carrefour de la réussite au collégial dans le cadre du congrès du colloque de l’AQPC, est maintenant disponible sur le magazine électronique du Consortium. www.uquebec.ca/capres/fichiers/AQPC-2008.shtml : LE RENOUVEAU DE L’ENSEIGNEMENT AU SECONDAIRE : ENJEUX POUR LE POSTSECONDAIRE Les transitions scolaires : Une comparaison interprovinciale Pierre Chenard, Registraire / Université de Montréal Pierre Doray, Directeur / CIRST, professeur / UQAM Impacts pour les collèges François Vasseur, Conseiller pédagogique / Cégep Limoilou INTÉGRATION EFFICACE AUX ÉTUDES POSTSECONDAIRES La pédagogie de la première session: comment faciliter la transition du secondaire au collégial par de petits gestes Sylvain Lambert, Directeur des études / Cégep de Granby Haute-Yamaska L’accueil des étudiants : le passage aux études universitaires Renaud Thériault, Directeur des services aux étudiants Université du Québec à Chicoutimi NOUVEAUX PROFILS, NOUVELLES STRATÉGIES ET ORIENTATIONS Marie-Johanne Lacroix, Présidente du Carrefour de la réussite au collégial Directrice générale, Cégep de Granby Haute-Yamaska

Manque d'orthophonistes et d'audiologistes au Québec - Le gouvernement du Québec annonce l'attribution d'un montant de 200 000 $ à l'Université de Montréal pour le démarrage d'une clinique universitaire en orthophonie et en audiologie. La ministre de l'Education, du Loisir et du Sport et ministre de la Famille, Mme Michelle Courchesne et le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, ministre du Tourisme et ministre responsable de la région de Montréal, M. Raymond Bachand, ont annoncé le 13 juin, l'attribution d'une aide financière de 200 000 $ à l'Université de Montréal pour le démarrage d'une clinique universitaire à l'Ecole d'orthophonie et d'audiologie. L'automne dernier, l'Université a présenté au gouvernement un plan de développement qui vise à combler les besoins d'orthophonistes et d'audiologistes au Québec. Ce plan prévoit une augmentation graduelle du nombre d'admissions dans ces programmes. L'objectif est d'atteindre, au cours des prochaines années, 70 inscriptions en orthophonie et 30 inscriptions en audiologie. «Le projet de l'Université de Montréal est très intéressant. Cette clinique offrira un milieu de stage intra-universitaire. En plus d'améliorer la formation pratique des étudiantes et des étudiants, elle permettra d'atténuer la pression que l'encadrement des stages exerce sur les professionnels», a déclaré M. Bachand. «L'ouverture de cette clinique contribuera à pallier le manque de professionnels dans ces domaines. De concert avec les partenaires du réseau de la santé, le gouvernement travaille depuis quelques années déjà en vue de trouver des solutions aux problèmes de main-d'oeuvre qui touchent ce secteur», a ajouté Mme Courchesne. Mentionnons que cette somme de 200 000 $ est accordée pour l'année universitaire 2007-2008. Le même montant sera alloué pour les quatre années subséquentes, à condition que l'augmentation des admissions prévue dans le plan de l'Université se concrétise et que les crédits gouvernementaux requis soient approuvés. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Juin2008/13/c3734.html

Les psychologues du Québec veulent diagnostiquer l'autisme Un enfant autiste participe à une séance de réadaptation avec une ergothérapeute. Plus de 600 enfants montréalais attendent depuis au moins un an d'obtenir un diagnostic d'autisme. Puisque seuls les pédopsychiatres peuvent poser ce diagnostic et que ces spécialistes sont rares, l'attente avant d'obtenir un rendez-vous est longue. Pour corriger la situation, les psychologues du Québec souhaitent obtenir le droit de diagnostiquer l'autisme. Dans toute l'Amérique du Nord, le Québec est le seul territoire où les psychologues n'ont pas le droit de diagnostiquer cette maladie. Les États-Unis et l'Ontario le font depuis longtemps. Un groupe de psychologues québécois souhaite renverser la situation. «On veut que les psychologues qui ont un doctorat et qui sont spécialisés en autisme aient le droit de diagnostiquer cette maladie», explique la psychologue Katherine Moxness. www.cyberpresse.ca/article/20080612/CPACTUEL/806121057/6685

Les avocats québécois retourneront sur les bancs d'école Tous les avocats québécois devront bientôt retourner sur les bancs d'école. À compter d'avril 2009, les membres du Barreau du Québec devront suivre une formation continue obligatoire à raison de 30 heures tous les deux ans. S'ils ne s'exécutent pas, ils pourraient perdre leur droit de pratique - une première au Canada. «Ça devenait essentiel en 2008, dit Me Gérald Tremblay, le nouveau bâtonnier du Québec. Nous ne pouvons plus accepter qu'un avocat pratique pendant 20 ans sans faire de formation, même s'il fait un excellent travail. Il faut garder ses méninges occupées.» Le Barreau du Québec fait peut-être figure de pionnier au Canada, 43 des 52 barreaux américains, dont ceux de New York et la Californie, obligent déjà leurs avocats à suivre de la formation continue. Les avocats britanniques, français et allemands doivent aussi retourner régulièrement sur les bancs d'école sous peine de sanction. «Nous ne nous sommes pas occupés de la question de la formation continue aussi rapidement que d'autres barreaux car nous ne pensions pas qu'il y avait un problème, dit Me Tremblay. Comme disait le président Lyndon Johnson: if ain't broken, why fix it.» Outre les cours offerts par le Barreau, les avocats pourront suivre des cours universitaires, parfois même dans un autre domaine que le droit s'il y a un lien avec son champ de pratique. Les séances de formation organisées par les cabinets d'avocats seront aussi admissibles. Tous les cours devront être approuvés par le Barreau du Québec, qui peaufine actuellement sa liste de critères. «Nous voulons une approche souple, dit Me Tremblay. Nous voulons notamment privilégier la cyberformation, une solution intéressante pour les avocats qui pratiquent en région.» Le Barreau du Québec soutient que la formation continue obligatoire ne deviendra pas une source de financement additionnelle. «Notre but, c'est de couvrir nos dépenses», dit Me Tremblay. Au Québec, plusieurs ordres professionnels - les comptables agréés, les notaires, les architectes mais pas les médecins - forcent déjà leurs membres à suivre une formation professionnelle obligatoire. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080606/LAINFORMER/806060899/5891/LAINFORMER01

De plus en plus de femmes dans l’enseignement
L’entrée sur le marché du travail de nouvelles générations d’enseignants a accéléré la féminisation de la profession. Les enseignantes, qui constituent actuellement les deux tiers de la cohorte des 50 ans et plus du corps professoral, voient ce pourcentage augmenter à 82,5 % chez les moins de 30 ans. Ce changement entraîne aussi un autre sens pour la vie professionnelle, alors que le travail vient en troisième position dans les valeurs sociales privilégiées par ces recrues... après la famille et les amis, selon une étude menée en 2006 dans les programmes de formation à l’enseignement de l’Université du Québec à Trois-Rivières. «Les femmes dans l’enseignement aiment les relations humaines et réussissent bien en éducation, mais elles se retrouvent avec des salaires et des conditions de travail difficiles et moins payées que des informaticiens, par exemple», explique Johanne Fortier, présidente depuis neuf ans de la Fédération de l’enseignement (FSE) de la Centrale des syndicats du Québec dont le congrès se termine aujourd’hui à Rimouski par l’élection d’une nouvelle présidente. Le prolongement des heures de travail en dehors des heures normales risque de faire peu d’adeptes d’autant plus que le nouveau régime d’assurance parentale accentuerait ce phénomène. Selon une étude du ministère de l’Éducation réalisée en 2001, la féminisation de la profession se poursuivra jusqu’en 2010, alors que trois professeurs sur quatre seront des femmes. Les départs massifs de 1996 à 1998 ont provoqué un renouvellement d’une personne sur cinq enseignants à temps plein et de 45 % du personnel à temps partiel. Toutefois, les premières années de travail de ces jeunes enseignantes sont très difficiles. Seulement 35 % des commissions scolaires ont mis en place des mesures pour accueillir les nouveaux enseignants avec très peu de pratique et de transfert intergénérationnel (mentorat, rencontres d’équipe...). Le taux d’abandon chez les enseignants serait de deux à trois fois supérieur aux autres professions du secteur public. « On s’en va vers une société des savoirs, mais on ne se préoccupe pas de l’insertion professionnelle des enseignants », a dit Mme Fortier. Les quelque 150 congressistes de la FSE ont, entre autres, débattu de l’intégration des élèves en difficulté et des enfants handicapés dans les classes ordinaires. www.cyberpresse.ca/article/20080612/CPSOLEIL/80611243/5133/CPSOLEIL

Une autre option transparaît, des centres d'apprentissage appliqué pourraient remplacer les établissements universitaires de Shippagan d'Edmundston et de Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick, selon un rapport non publié dont un journal de la province a obtenu copie. Il est difficile, semble-t-il, d'obtenir un consensus pour réformer le réseau provincial d'éducation postsecondaire. Le gouvernement libéral de Shawn Graham a promis de revoir les universités et le Collège communautaire du Nouveau-Brunswick. Il a d'abord donné le mandat à une commission de trouver des solutions. Cette dernière a suggéré de transformer en polytechniques les centres universitaires de Shippagan, d'Edmundston et de Saint-Jean. Son idée a été très mal reçue. Le premier ministre Graham a ensuite demandé aux recteurs des universités et aux directeurs des centres collégiaux des moyens de mieux intégrer leurs institutions. Ce rapport, qui devait pourtant être complété en quelques semaines, se fait toujours attendre. Le quotidien Telegraph-Journal a toutefois réussi à mettre la main sur une copie. On y parle de nouveaux échelons de bureaucratie et d'investissements totalisant 466 millions de dollars. Le ministre de l'Éducation postsecondaire, Ed Doherty, s'est dit déçu du fait que le rapport a été glissé aux médias, mais il n'a pas nié l'information publiée. Selon le ministre Ed Doherty, le rapport et la réponse que son gouvernement entend y donner sont encore incomplets. Quant aux polytechniques, ce nom semble avoir été écarté. Les campus régionaux deviendraient plutôt des instituts d'apprentissage appliqué. « On revient sur les polytechniques, peut-être avec une nouvelle définition, une polytechnique déguisée, mais ça m'inquiète énormément pour le futur de l'Université de Moncton, campus de Shippagan et d'Edmundston », a déclaré Paul Robichaud, député progressiste-conservateur de Lamèque-Shippagan-Miscou. Kalin McCluskey, porte-parole de l'Alliance étudiante du Nouveau-Brunswick, estime que le rapport accorde peu d'importance à l'essentiel. « On est désappointé qu'un document qui était censé être central pour les étudiants n'ait pas beaucoup de chose à propos des étudiants. On a beaucoup de choses pour la gouvernance des universités et des collèges, mais il n'y avait pas beaucoup de choses pour les étudiants », affirme Mme McCluskey. Le recteur de l'Université de Moncton, Yvon Fontaine, n'a pas voulu commenter les informations. Il a rappelé que le rapport n'a pas été officiellement dévoilé. Le ministre Doherty ajoute que le rapport définitif et la réponse du gouvernement seront présentés d'ici quelques semaines, c'est-à-dire pendant la période estivale. http://www3.globetrotter.net/nouvelles/article.fr.do?pn=regional/atlantic&articleID=2938368

Nouveau programme en écosanté à l'Université de Montréal
www.fep.umontreal.ca/ecosante/

Le parc technologique du Québec métropolitain fête ses 20 ans Depuis deux décennies, le parc technologique fait l'orgueil de la Vieille Capitale. Il compte désormais 93 entreprises, dont près d'une dizaine étrangère. Chaque jour, il accueille près de 5 000 travailleurs. www.lesaffaires.com/article/0/immobilier/2008-06-12/479151/le-parc-technologique-du-queteacutebec-meteacutetropolitain-fetecircte-ses-20-ans.fr.html%0A

Un robot qui repousse les limites du réseau de la santé
Votre mère, 82 ans, s'est fracturé la hanche en sortant de son bain. À l'hôpital, on lui a implanté une prothèse pour ensuite lui donner son congé. La voilà de retour chez elle… après trois jours d'hospitalisation. Comment vous assurer que votre mère reçoit les soins dont elle a besoin? Et si un robot pouvait permettre à votre mère de recevoir… www.usherbrooke.ca/udes/journal/affiche/vol1/no6/actualite/article/839

Pour mieux répondre aux besoins des personnes qui souffrent, l'UdeS offre le 1er programme en gestion de la douleur au Québec La Faculté de médecine et des sciences de la santé a lancé officiellement le 1er programme en gestion de la douleur au Québec. Ce microprogramme de 2e cycle sera offert dès septembre 2008, au Campus de la santé de Sherbrooke et au Campus de Longueuil, par le biais des activités du Centre de formation continue de la Faculté. Selon des études sur la prépondérance de la douleur, on estime que 80 % des visites chez le médecin, toutes cliniques confondues, sont effectuées en raison de la douleur. Présente dans les milieux de soins, la douleur, qu'elle soit aigüe ou chronique, n'est pas nécessairement soulagée de façon adéquate. Face à cet état de fait, les professionnels de la santé sont appelés à jouer différents rôles exigeant des connaissances particulières, d'où l'importance de ce microprogramme. «La prise en charge de la douleur interpelle tous les professionnels de la santé, qu'ils soient médecins généralistes et spécialistes, infirmières, physiothérapeutes, ergothérapeutes, pharmaciens ou psychologues, indique Gilles Voyer, doyen associé de la Faculté et directeur de son Centre de formation continue. Ils sont appelés à développer cette expertise afin d'offrir une gestion optimale de la douleur aux patients placés sous leurs soins, puisque les besoins continueront d'augmenter.» www.usherbrooke.ca/udes/journal/affiche/vol1/no6/leadership/article/858

«Il faut valoriser l'aspect humain du travail d'infirmière» Selon la professeure Louise O'Reilly, plusieurs infirmières décrochent de la profession parce qu'on a sacrifié l'aspect humain au cœur de leur travail www.usherbrooke.ca/udes/journal/affiche/vol1/no6/chroniques/article/859

Formation, documentation
La recherche d'emploi : une entreprise quasi scientifique À défaut de détenir une formation ou une expertise rarissime, mieux vaut amorcer sa recherche d'emploi armé d'une technique solide. Qu'il s'agisse des jeunes diplômés, des nouveaux chômeurs ou encore des personnes au parcours professionnel peu orthodoxe, tous doivent acquérir cette compétence qui consiste à savoir comment entrer en entreprise. Afin de les y aider sont nés plusieurs organismes depuis les deux dernières décennies, notamment les Carrefours jeunesse-emploi (CJE). Leurs services n'ont cessé d'évoluer, au gré des besoins diversifiés des chercheurs d'emploi qui, au bout du compte, ont de bonnes chances de trouver une ressource adaptée à leur profil. Dans leur recherche d'emploi, les jeunes ont-ils besoin d'un « accompagnement » particulier? L'État doit bien le croire un peu puisqu'Emploi-Québec finance aujourd'hui un réseau de 110 Carrefours jeunesse-emploi. Bon an mal an, quelque 55 000 jeunes âgés de 16 à 35 ans, peu ,importe leur statut, recourent à ce service. « L'une de nos missions : faire en sorte de réduire au minimum le nombre de jeunes sur l'aide sociale ou d'aider les jeunes déjà en emploi qui n'ont pas de diplôme, dit l'agente d'information Marie-Soleil Trottier. Nous offrons un accompagnement accru, à long terme et personnalisé, que nous estimons mieux adapté à certains jeunes. » Ainsi, le programme Jeunes en action, instauré le 1er avril 2007 pour les 18-24 ans qui font leur première demande d'assistance-emploi, aide au développement d'une autonomie personnelle et sociale dans le but de réintégrer le marché du travail ou de retourner aux études. Pendant une durée maximale de 52 semaines, les participants recevront une allocation un peu plus élevée que la prestation d'assistance-emploi. Les CJE affichent aussi une préoccupation marquée pour les décrocheurs scolaires, par l'entremise du programme IDEO 16/17. « Cette mesure s'adresse aux 16-17 ans dans le but de prévenir une première demande précoce d'assistance-emploi ou, s'ils n'ont pas encore décroché, de les soutenir dans la persévérance scolaire », explique Mme Trottier. La mesure cible les jeunes des milieux défavorisés. Les jeunes qui ont la fibre entrepreneuriale pourront quant à eux relever le Défi de l'entrepreneuriat jeunesse (http://www.defi.gouv.qc.ca/), un programme comportant un soutien financier et auquel s'associent 90 « agents de sensibilisation ». Les CJE n'excluent nullement les diplômés universitaires, mais ceux-ci sont « sans doute plus autonomes dans leur recherche d'emploi », concède Mme Trottier. Les CJE se veulent « complémentaires avec les autres ressources de la communauté » et « partenaires » des employeurs, d'où une participation assidue à des activités comme les foires d'emploi régionales. Pour trouver le Carrefour jeunesse-emploi près de chez-vous, consulter le site : http://www.cjereseau.org/

Les météorites, témoins de nos origines extra-terrestres Cette météorite de 1430 libres a été découverte sur le terrain d'une ferme du Kansas. Elle serait à ce jour la plus grosse météorite découverte en Amérique du Nord. Nous sommes tous un peu des extraterrestres: des éléments essentiels à l'émergence de la vie sur Terre sont venus de l'espace, affirme une équipe internationale de chercheurs qui a analysé la structure d'une météorite tombée sur l'Australie. Les scientifiques européens et américains ont prouvé que les bases azotées (ou bases nucléiques) des météorites, présentes dans l'ADN des cellules vivantes, sont bien venues de l'espace et ne se sont pas incrustées sur elles après leur chute sur Terre. «L'analyse montre que les bases azotées contiennent une forme de carbone lourd qui n'a pu se former que dans l'espace. Les matériaux formés sur Terre contiennent une variété de carbone plus légère», affirme dans un communiqué l'Imperial College de Londres, dont deux chercheurs ont participé à l'étude. La contribution des météorites à l'émergence de la vie sur Terre, longtemps considérée comme une possibilité, devient beaucoup plus probable. En mesurant les teneurs d'isotopes de carbone dans deux molécules trouvées sur la météorite de Murchison, tombée sur l'Australie en 1969, les scientifiques qui publient leurs résultats dimanche dans la revue britannique Earth and Planetary Science Letters ont constaté qu'il s'agissait d'un type de carbone différent de celui des roches terrestres. Cette découverte conforte la théorie selon laquelle «les matières premières nécessaires à la vie qui ont été amenées sur la Terre primitive (entre 4,5 et 3,8 milliards d'années) sont d'origine exogène», a déclaré à l'AFP Zita Martins, co-auteur de l'article. Elle ajoute que «les conditions atmosphériques sur la Terre primitive n'étaient pas idéales pour la synthèse des bases azotées» donc l'émergence de la vie, qui a pourtant commencé à apparaître à cette époque. Or, à l'époque où le système solaire était encore en cours de formation il y a quelque 4 milliards d'années, les planètes étaient soumises à un bombardement incessant de météorites. C'est pourquoi «nous pensons que les première formes de vie ont pris des bases azotées trouvées sur des fragments de météorites pour les utiliser dans le codage génétique», permettant ainsi la transmission de leurs caractéristiques aux générations futures, explique Mme Martins. Le mystère de la vie n'est pas entièrement résolu pour autant. «Personne ne sait exactement comment on est passé de l'existence sur Terre de ces briques de construction (nécessaires à l'apparition de la vie) à la vie elle-même», reconnaît cette spécialiste d'astrobiologie. Pour son collègue Mark Sephton, également du Imperial College, la confirmation de l'origine extra-terrestre de ces molécules dans les météorites pourrait avoir des implications pour la vie ailleurs que sur Terre. «Les éléments clés de la vie - dont les bases nucléiques - pourraient être largement répandues dans l'univers. Au fur et à mesure que des matières premières de la vie sont découvertes dans l'espace, la possibilité de l'émergence de la vie là où les conditions sont propices devient plus probable», estime-t-il. www.cyberpresse.ca/apps/pbcs.dll/article?AID=/20080616/CPSCIENCES/80616022/1020



---------------------------------------------------------------------
Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 28 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Programmes universitaires encore ouverts à l'admission www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=942 Raymond Jean, c.o.

À noter à votre agenda
Carrefour de l’orientation
(thème possible: L'orientation et la clientèle des services adaptés) le mercredi 26 novembre 2008 à l’UQAR-Lévis jumelé avec une rencontre avec les représentants des deux campus et la journée des partenaires de l’université Laval, le lendemain : jeudi le 27 novembre 2008

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

Abonnement au bulletin électronique
Quelque Chose de l'ACOC


Votre courriel :

10 juin 2008

V 6 No 31: Des outils technos pour les élèves ayant des troubles d’apprentissage

Le temps du Cerisier des sables
Des outils technos pour les élèves ayant des troubles d’apprentissage À compter de la session d’examen de juin 2008, sur demande de l’école, un élève ayant un trouble d’apprentissage pourra utiliser des outils technologiques d’aide à l’écriture, incluant des outils d’aide à la correction, pour la passation des épreuves ministérielles d’écriture. C’est ce que la Direction de la sanction des études du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) a confirmé aux commissions scolaires dans un mémo Info/Sanction en janvier dernier www.infobourg.com/data/fichiers/214/554info%20-%20aideecriture.pdf?utm_source=Bulletin_Edu_CA-FR&utm_medium=Email&utm_term=Outils_technos-LienInfoSanction&utm_campaign=Juin2008 . Cette décision fait suite à une recommandation formulée par un comité de travail, regroupant différents professionnels du MELS, dont le Service national du RÉCIT en adaptation scolaire. Pour savoir comment procéder, consultez l’article complet de l’Infobourg ici. Parmi les logiciels autorisés, certains font partie de la gamme De Marque :- Outils de planification et d’organisation des idées (comme Inspiration http://carnets.demarque.com/demarque/fr/ca/?cat=12 et Hop! Écrire http://education.demarque.com/visualiser.php?id=52&utm_source=Bulletin_Edu_CA-FR&utm_medium=Email&utm_term=Outils_technos-LienHopEcrire&utm_campaign=Juin2008%22 )- Outils d’écriture avec support visuel et sonore (comme WordQ http://education.demarque.com/visualiser.php?id=148&utm_source=Bulletin_Edu_CA-FR&utm_medium=Email&utm_term=Outils_technos-LienWordQ&utm_campaign=Juin2008 ) Demande de Démo en ligne pour l’essayer pendant 30 jours http://education.demarque.com/demo.php?idTableProduit=148

À la suite du 7e congrès à l’université de Moncton L’Université de Moncton, campus d’Edmundston accueille des conseillers en orientation du réseau collégial québécois le 16 mai 2008 Une délégation de 32 membres de l’Association des conseillers et conseillères d’orientation du collégial du Québec (ACOC) ont découvert les programmes d’études, services et nombreux attraits de l’Université de Moncton, campus d’Edmundston (UMCE), lors d’une tournée du groupe en sol néo-brunswickois, le vendredi 16 mai dernier. Sur la photo : Lise Caron, doyenne de la Faculté de foresterie de l’UMCE; Jacques Paul Couturier, doyen des Études de l’UMCE et le Conseil exécutif de l’ACOC Les déléguées et délégués, qui rentraient de leur visite du campus de Moncton, dans le cadre de la tournée « Moncton, j’embarque », ont pu faire connaissance avec les dirigeants et les membres de l’équipe des Services aux étudiantes et étudiants de l’UMCE. Des présentations variées ont été offertes aux participantes et participants qui ont également pu déguster la ploye, mets typique de la région. Les membres de l’ACOC ont également pu visiter les espaces ultramodernes de l’UMCE, tout en échangeant avec le personnel du campus d’Edmundston.
www.umce.ca/nouvelles/suite.php?id=299 et dans le journal local www.lemadawaska.ca/culture/article/316802;culture et sur AMEQ en ligne du 2 juin www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=91221&B=1


Diaporama (album) du 7e congrès à Moncton www.flickr.com/photos/10892802@N08/sets/72157605167634050/show Une partie des photos sont aussi sur le site du Bulletin http://www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/ Vous pouvez transmettre des documents reçus à la suite d’une conférence (colloque de l’ACC) ou un lien Internet à acoc@videotron.ca

Bonjour la famille de "Moncton, j'embarque!"
Comment allez-vous? C'est fou comme le temps passe vite! Cependant, l'été est à nos portes! Par l'objet du courriel, vous croyez que je pense déjà à Noël?? C'est en plein ça, car je dois vous dire que... Je vais être papa pour une deuxième fois le 25 décembre prochain!!! Hey oui, jour de Noël!! Nous sommes vraiment heureux et la maman se porte très bien! Bruno, il m'en manque 3!! Ha! Ha! Du côté de notre GÂTEAU souvenir de "Moncton, j'embarque!", nous allons finir notre "glaçage" cette semaine. Nous prévoyons vous envoyer vers la fin de cette semaine, par la poste, nos petits morceaux de gâteau! En passant, MERCI encore une fois pour les beaux commentaires inscrits dans la carte que je regarde régulièrement!! Merci aussi à ceux qui m'écrivent depuis votre retour dans vos régions respectives! Passez une belle journée! Amicalement, Mathieu
mathieu.gingras@umoncton.ca et toute l'équipe du Bureau du recrutement étudiant à l'Université de Moncton!



Info collégiale
Articles lors du colloque de Cannexux
Des articles qui seraient intéressant à pointer aux c.o.. J'ai assisté cette année ainsi que l'année dernière à Cannexus (Toronto et Montréal), à deux ateliers portant sur une recherche en cours sur l'état de la situation de la formation des praticiens en développement de carrière. Cette recherche est subventionnée par la Fondation Canadienne de Counseling par le truchement de la Canadian Education and Research Institute for Counselling (CERIC) . Les deux articles que je vous pointe sont en anglais, mais le premier est disponible en français sur le site www.contactpoint.ca/cjcd/pages/current.html Dans le premier, on cite la situation de l'enjeux de la réglementation de l'orientation au Canada. On cite un de mes articles sur le sujet, où je soulignais la différence entre la situation au Québec comparé au reste du Canada (p.23). On propose aussi un modèle de formation qui tiendrait compte des différentes professions dans le domaine de l'orientation. Les chercheuses veulent valider cette année leur modèle avec des professeurs et des praticiens. L'autre recherche que ces chercheuses ont mené, porte sur une enquête faite auprès des praticiens. Près de 1000 répondants ont répondu au sondage dont 25% viennent du Québec, en majorité des c.o.. L'Ordre est cité comme organisation ayant collaboré. On y trouve des données démographqiues, des données portant sur la formation, l'identité, connaissances et compétences Report on the Canadian Career Counsellor Education Survey www.contactpoint.ca/cjcd/v6-n1/article1.pdf Michel Turcotte,conseiller d'orientation, psychologue Analyste michel.turcotte@hrsdc-rhdsc.gc.ca

À la section Nouvelles de http://www.acoc.info/
-Nous remercions le Service d'orientation du Cégep de Sainte-Foy de rendre disponibles leurs documents sur les rôles professionnels par domaine. Tableau sur les sciences de la nature; Tableau synthèse sur les huit rôles professionnels en sciences humaines; Tableau synthèse en administration; Tableau synthèse en langues et lettres; Tableau synthèse en génie; Tableau synthèse en arts et musique (à venir bientôt). www.cegep-ste-foy.qc.ca/freesite/index.php?id=11369
-Poste d'api au Collège de Maisonneuve
Fin du concours: jeudi 12 juin 16h
-Poste d'api/co au Collège Laflèche pour un contrat d'un an
Fin du concours : au plus tard vendredi 13 juin 16h
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=945

Nouvelle formation : Les travailleurs des parcs éoliens pourront suivre une formation sur l'entretien, la sécurité et le sauvetage. Ces formations seront offertes par l'Université du Québec à Rimouski en collaboration avec le Groupe Falardeau, une entreprise de Québec spécialisée dans le travail en hauteur, et la firme ATI Éolien. Une première session de cours sera donnée en septembre sur le site de la grande éolienne de Cap-Chat. La formation comprendra des cours théoriques, mais aussi pratiques. Il s'agit d'un travail parfois complexe et difficile, explique Steve Tremblay du groupe Falardeau. « C'est du travail qui peut être fait en quatre heures, cinq heures de temps attaché avec des cordes à plus de 300 pieds dans les airs », précise M. Tremblay. Les tours d'éoliennes sont en effet d'une hauteur qui va parfois jusqu'à 100 mètres. L'entretien de ces mastodontes est un métier à haut risque et les travailleurs québécois ont peu d'accès à une formation spécialisée. L'entreprise est responsable de la sécurité de ses travailleurs dans un parc éolien, explique Jean-Louis Chaumel du groupe éolien de l'UQAR. « Donc, il faut former votre personnel, vos ingénieurs, vos techniciens », souligne l'économiste. D'ici cinq ans, il y aura 1500 éoliennes dans l'Est du Québec, qui compte déjà 300 de ces grands moulins à vent. www.ameqenligne.com/showNewsPermit.asp?id=19707

Matane déjoue les prédictions
Contrairement aux prévisions du ministère de l'Éducation, la clientèle du cégep de Matane se maintient. Le ministère avait prévu que la clientèle du cégep s'abaisserait de 28 % en cinq ans pour s'établir à 470 élèves à l'automne 2007-2008. La réalité a été tout autre. L'automne dernier, le cégep comptait 660 étudiants inscrits à temps plein. Le directeur général, Émery Béland, explique que le cégep a complètement revu son offre de formation afin d'augmenter le taux de fréquentation. L'introduction de nouveaux programmes comme la production 3D ou les techniques en multimédia a su attirer une clientèle de l'extérieur de la région. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/06/09/001-cegep-matane_n.asp

Le Cégep de Sainte-Foy lance un deuxième Centre collégial de transfert de technologie en imagerie numérique et médias interactifs Le Cégep de Sainte-Foy, fort de son expertise en matière de technologies de l’information et des communications, élargit ses activités de développement et de recherche appliquée grâce au lancement d’un second centre collégial de transfert de technologie (CCTT). Ce nouveau centre de recherche, le CIMMI, permettra de contribuer à la progression technologique et à l’essor des entreprises et des organismes de la région de Québec dans deux secteurs-clés de l’économie : l’imagerie numérique (regroupant l’imagerie numérique appliquée et l’imagerie médicale) et les médias interactifs (regroupant le divertissement interactif et développement Internet). Le Cégep de Sainte-Foy possède une expertise reconnue en médias interactifs et en imagerie numérique, notamment en imagerie médicale. Outre les programmes de formation offerts en Techniques d’intégration multimédia, Technologie de radiodiagnostic, Techniques de l’informatique, profil informatique de gestion et programmation 3D et jeux vidéo, les professeurs-chercheurs du Cégep ont collaboré à de nombreux projets de formation, de transfert technologique et de recherche appliquée, dont certains ont donné lieu à l’obtention de brevets. Technologies de l'information: arrimage entre école et entreprises : Déjà florissante à Québec, l’industrie des technologies de l’information reçoit un solide coup de pouce du monde de l’éducation. Un Centre collégial de transfert de technologie en imagerie numérique et médias interactifs (CIMMI) verra le jour au Cégep de Sainte-Foy.www.cyberpresse.ca/article/20080602/CPSOLEIL/80602229/6942/CPSOLEIL03

S'entraîner à (re)travailler
Au Québec, les premières entreprises d'entraînement, concept créé en Allemagne dans les années 40, apparaissent en 1995. « C'est une entreprise qui simule les postes d'une entreprise réelle. Les “employés” y effectuent de vraies tâches, font des ventes; mais aucune marchandise n'est livrée et l'argent n'est pas réel », résume Marie Rübsteck, directrice générale du Réseau canadien des entreprises d'entraînement (RCEE). Les 20 entreprises d'entraînement québécoises actuellement en activité sont financées par Emploi-Québec et accueillent en moyenne 25 participants à la fois pour une durée maximale de 15 semaines. Les tâches sont variées : comptabilité, facturation, marketing, achats, ressources humaines, secrétariat, communications, informatique… Et les entreprises peuvent choisir n'importe quel secteur d'activité à condition, au bout du compte, de pouvoir vendre quelque chose. De façon fictive, évidemment! « La méthode est celle de l'apprentissage par le travail, et dans un environnement très structuré, en fait similaire à celui d'une entreprise réelle », dit Mme Rübsteck. À l'exception de celles rattachées à des établissements d'enseignement, les entreprises d'entraînement s'adressent aux prestataires de l'assurance-emploi ou de l'assistance emploi, soit des personnes qui ont parfois quitté le marché du travail depuis un certain temps. « Elles doivent mettre leurs compétences à jour, réapprendre un savoir- être. C'est ce qu'on leur permet ici », ajoute Mme Rübsteck. Environnement structuré, oui, mais aussi « très sécuritaire », l'entreprise d'entraînement donne le droit à l'erreur. « Des objectifs d'apprentissage sont fixés, les compétences et les attitudes sont évaluées, mais les lacunes de la personne ne conduisent à aucune sanction. C'est la vie de travail sans la pression qui y est souvent rattachée », souligne Marie Rübsteck. Les rares « congédiements » visent en fait des personnes orientées à tort vers ce type de ressource. Les deux tiers des participants sont des femmes, et 40 % ont un diplôme d'études secondaires, 35 % détiennent un diplôme d'études collégiales et 25 %, un diplôme universitaire. Durant leur passage dans l'entreprise, ils auront consacré 80 % de leur temps au travail et l'autre 20 % à la recherche d'emploi. Le taux de placement est de 80 %. « Les employeurs prennent les entreprises d'entraînement au sérieux », affirme Mme Rübsteck. Il faut dire que celles-ci bénéficient du parrainage d'entreprises bien réelles et reconnues. Les participants peuvent donc mentionner cette expérience dans leur curriculum vitæ : elle sera considérée. À l'échelle mondiale, on compte environ 5000 entreprises d'entraînement, qui « font des affaires » entre elles et tiennent des foires commerciales. Du commerce international fictif! Tout en prenant de l'ampleur, le concept évolue. Ainsi, en Europe, des entreprises d'entraînement s'intéressent à la clientèle particulièrement difficile des ex-détenus; et un peu partout, la réflexion s'amorce quant à ces groupes de population ayant un « indice d'employabilité » très bas. Ici, on constate que l'entreprise d'entraînement constitue la première « expérience de travail » en sol canadien de certains immigrants, et une porte d'entrée privilégiée pour l'emploi. www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/entrainer-travailler-8044.html

Football collégial AA : Dave Parent dirigera les Titans de Limoilou Dave Parent sera le premier entraîneur-chef de l’histoire du programme de football des Titans de Limoilou qui feront leurs débuts dans le circuit collégial. Parent traîne avec lui une intéressante feuille de route. L’ex-demi défensif des Gaiters de Bishop’s et des Axemen d’Acadia a remis sur pied le programme sportif des Alérions du Petit Séminaire de Québec qui battait sérieusement de l’aile lorsqu’il est entré en scène, en 2004, au terme de sa carrière de joueur. Avant d’être promu dans le réseau universitaire, Parent a disputé tout son football scolaire et collégial chez les Alérions qui ont maintenant pignon sur rue à Garneau. En plus de diriger l’équipe juvénile AAA pendant quatre ans, Parent était le responsable des sports au Petit Séminaire. Sous sa gouverne, le football et le basket-ball ont fait le saut dans le calibre AAA et les filles de rugby ont connu beaucoup de succès, tout comme le programme de natation. Au cours de la prochaine saison, Parent demeurera à la tête des Alérions, tout en recrutant et en jetant les bases du programme des Titans qui évolueront en deuxième division avec le but avoué de gravir les échelons au fil des ans. Les Titans ne voulaient pas briser les ponts avec un programme scolaire en exigeant que son entraîneur-chef soit en poste au cégep dès août, ce qui explique pourquoi Parent dirigera les Alérions une dernière année. Le comité de sélection a reçu 18 candidatures et cinq personnes ont été rencontrées en entrevue, le 30 mai. Quelques jours plus tard, les trois membres du comité de sélection en sont venus à la conclusion que Parent était leur homme. Joli hasard, Parent et son adjoint, Jean Chabot, étaient présents à Limoilou il y a quelques semaines, lorsque les dirigeants ont confirmé que l’équipe était acceptée dans les rangs du circuit collégial. Parent sera de retour à Limoilou, ce matin, lorsqu’il sera la tête d’affiche de l’événement cette fois-ci. Son embauche y sera confirmée. www.mediamatinquebec.com/?Section=Accueil&id=10222

Info universitaire
Parlons des personnes... Serge Larivée, l’enfant résilient devenu professeur Serge Larivée est conscient d’avoir été aidé à des moments clés de sa vie. Dernier d’une famille de sept enfants, Serge Larivée n’était pas né pour devenir professeur d’université. C’est pourtant le métier qu’il exerce depuis 31 ans à l’École de psychoéducation. Après avoir gran-di dans le faubourg Saint-Jean-Baptiste, un quartier pauvre de la haute-ville de Québec, dans une maison où il n’a jamais eu son propre lit, il a été placé pendant trois ans (de l’âge de cinq ans à huit ans) à l’orphelinat d’Youville, à Giffard, en banlieue de la Vieille Capitale. «Avec un tel départ, mes chances d’étudier un jour à l’université étaient presque nulles», relate ce spécialiste des mesures d’intelligence. Presque… Bel exemple de résilience, un concept psychologique défini par l’éthologue français Boris Cyrulnik voulant que certains individus transforment en forces leurs pires épreuves, le jeune Serge n’a pas su lire avant la troisième année. Il était petit, timide, bègue, et avait toutes les difficultés du monde à satisfaire aux exigences de l’école. Sa mère savait à peine lire et son père trimait dur. «J’étais un véritable cancre et je souffrais de troubles d’apprentissage. Dans le système actuel, j’aurais eu tous les “-ogues” à mes trousses comme les orthopédagogues et les psychologues», se rappelle-t-il en riant. Un talent particulier pour le chant l’amène à la chorale de l’orphelinat. «Chanter m’aidait, dit-il. Je me suis beaucoup reconnu dans le film Les choristes. C’était mon histoire…» Il hésitera, bien plus tard, entre des études en sciences humaines et en chant classique. Pourquoi avoir choisi les sciences humaines? Manque de courage, blague-t-il. Dans les années 50, les pères dominicains offrent à ses parents de l’inscrire gratuitement au cours classique du collège jésuite (Garnier). Mais là encore, les études sont une épreuve… Échecs, mauvaises notes, il devra reprendre sa quatrième année. Un préfet lui dira sur un ton sévère, à l’issue de ses belles-lettres (l’équivalent de la cinquième secondaire): «Compte tenu de vos résultats scolaires et de vos origines sociales, il est évident que vous ne pourrez jamais aller à l’université.» Pour le jeune homme, c’est un choc. «Je me souviens de m’être dit “Ah oui? C’est ce qu’on va voir.”» Quelque temps après, en effet, le vent tourne. Élu président de sa classe, Serge Larivée milite dans le mouvement étudiant et rédige son premier rapport de recherche, un projet de «cogestion disciplinaire» qui fera couler beaucoup d’encre et ébranlera la direction du collège. Puis, il quitte Québec pour s’inscrire au certificat en éducation spécialisée de l’Université de Montréal, l’ancêtre de la psychoéducation. Cette fois, il sera parmi les meilleurs. Après le certificat suivront le baccalauréat et la maitrise. Il effectuera ses études de doctorat à Genève et Lausanne sur le fonctionnement cognitif des délinquants. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1509/221/

L'UQTR obtient le financement pour la construction d'un pavillon interdisciplinaire en santé L'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) s'est vu confirmer le vendredi 16 mai par le ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) du Québec l'obtention du financement nécessaire à la construction d'un pavillon interdisciplinaire en santé. Près de 11 millions de dollars seront investis par le MELS dans ce projet, alors que l'UQTR y injectera, pour sa part, quelque 5 M$. http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=7413

L’Université de Montréal sur iTunes U
http://itunesu.umontreal.ca/ L'UdeM est la première université canadienne à diffuser des nouvelles par vidéo. L’Université de Montréal innove avec « Forum en clips », disponible sur YouTube, iTunes U et umontreal.ca http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1475/131 L’UdeM lance Forum en clips C’est avec beaucoup de fierté que l’Université met en ligne ses premières vidéos. La parole est ainsi donnée aux acteurs de la communauté !http://nouvelles.umontreal.ca/component/option,com_magazine/func,show_edition/id,48/Itemid,337 Exemple pour le moment: Audrey Lacroix en route pour Beijing Pour l’étudiante, la natation est devenue un mode de vie; La pomme de terre, ce légume incompris Mario Cappadocia dévoile tout le potentiel du tubercule; L’art de soigner les pianos Denis Brassard est technicien de piano. Il nous explique son métier; Le Moyen Âge, toujours d’actualité L’UdeM est la seule université québécoise qui offre un diplôme en études médiévales; Délia 2008 La 15e exposition des finissants de la Faculté de l’aménagement rend hommage à la religieuse Délia Tétreault; Architecture : Mercado de Barcel Alexandre Massé explique son projet de fin d’études; Architecture de paysage Marilyne Fleury et Mathieu Drapeau expliquent leur projet de fin d’études, Voie à suivre; Design industriel : Osmose 2018 Alain Massicotte explique son projet de fin d’études; Urbanisme : la mobilité des travailleurs du Grand Montréal Philippe Dubé explique son projet de fin d’études; Design d'intérieur : SubTERA, spa urbain Mariane Simonet présente son projet de fin d’études.

UQO Une faculté de médecine pour 2010?
www.radio-canada.ca/regions/ottawa/2008/05/15/006-uqo-faculte-medecine_n.shtml

Les profs sont déprimés
Les profs du secondaire étaient les plus malheureux de leur sort (19,4 % insatisfaits) tandis que ceux du préscolaire présentaient le plus haut indice de bonheur (94,3 % satisfaits). Les enseignants québécois ont les blues; presque trois profs sur quatre considèrent qu’ils font un métier ingrat et pas assez valorisant. Une enquête menée en 2005 par l’équipe de la professeure Joséphine Mukamurera de l’Université de Sherbrooke et présentée au dernier congrès de l’ACFAS donne une bonne idée du moral des troupes dans les écoles de l’après-réforme. Dans un volet de l’enquête faite auprès de 2000 enseignants, 14,6 % des répondants se sont dits plutôt ou tout à fait insatisfaits de leur carrière. Les profs du secondaire étaient les plus malheureux de leur sort (19,4 % insatisfaits) tandis que ceux du préscolaire présentaient le plus haut indice de bonheur (94,3 % satisfaits). Tous niveaux confondus, 71,2 % des profs étaient assez ou totalement en accord avec la prémisse voulant qu’ils font un métier ingrat et pas assez valorisant. www.cyberpresse.ca/article/20080604/CPSOLEIL/80603220/6730

Les biologistes, champions du doctorat
Les universités canadiennes ont décerné environ 4 100 doctorats entre le 1er juillet 2005 et le 30 juin 2006, révèle Statistique Canada. Les biologistes sont les plus nombreux à devenir docteurs. Ils sont suivis des diplômés en génie, en sciences humaines, en sciences sociales, en psychologie et en enseignement. La bonne nouvelle : 70 % des répondants ont déclaré avoir des projets professionnels fermes pour la première année suivant l'obtention de leur doctorat. www.statcan.ca/Daily/Francais/080521/q080521d.htm

La fête du haut savoir : L’Université de Montréal décerne cette année 10 860 diplômes! http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1515/221/ Le CHUV est ouvert! Il s’agit du plus moderne des centres hospitaliers universitaires vétérinaires du Canada http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1490/221

Formation, documentation
Pour contrer les pénuries de main-d’œuvre en science et en technologie. Des ados à motiver, pour des carrières «allumées» ! www.lbr.ca/article-21-8671.html Dossier spécial: Technosciences : des carrières allumées. Ce dossier est conçu pour rassembler les articles visant à faire la promotion des carrières scientifiques. Pour l’instant, il hébergera les 8 chroniques de la série : Une richesse sous-estimée : l’énorme potentiel des jeunes, publiées sur LBR.ca. Tel père tel fils… Et si cet adage, au pays des bleuets, ne tenait tout simplement pas la route… Ghislain Boivin : ingénieur de profession, entrepreneur par conviction La relève ne se bouscule plus au portillon des facultés de génie… Le recrutement de la main-d’œuvre qualifiée. Et vous, employeurs de la région-02, qu’en pensez-vous? Excellentes perspectives d’emploi pour les jeunes, à la condition que… Entrevue avec M. Clément Desbiens, économiste chez Emploi-Québec. Le recrutement des professionnels hautement qualifiés. Une conjoncture qui suscite le questionnement… À l’aube d’une prise de conscience collective… Les jeunes et l’apprentissage des sciences ! Une richesse sous-estimée : l’énorme potentiel des jeunes. Et si «relève en sciences », rimait avec urgence ? www.lbr.ca/dossier-10-1.html

Rio Tinto Alcan pourrait agrandir son usine de Saguenay Rio Tinto Alcan étudie la possibilité d'agrandir son usine d'aluminium de Saguenay, au Québec, un projet qui pourrait coûter jusqu'à 2,5 milliards $ US, selon le géant de l'aluminium. La société montréalaise a annoncé le 29 mai qu'elle accélérerait une étude de préfaisabilité pour agrandir son usine pilote AP50 et y ajouter une capacité de 140 000 tonnes - ce qui pourrait coûter entre 2 et 2,5 milliards $ US. L'étude de Rio Tinto évaluerait également une expansion additionnelle subséquente de 400 000 tonnes. Le travail préparatoire de l'usine pilote AP50 a déjà commencé. Le chef de la direction de Rio Tinto, Tom Albanese, avait déjà annoncé à la mi-avril que sa compagnie étudiait la possibilité d'agrandir ses opérations à Alma. L'étude d'agrandissement de l'usine pilote vient donc s'ajouter à ce projet. La première phase de l'usine pilote AP50 comptera 44 cuves et une production initiale de 60 000 tonnes d'aluminium par an, en utilisant une technologie de nouvelle génération et en fonctionnant grâce à l'hydroélectricité renouvelable. L'aluminium léger est notamment utilisé dans les industries automobile, aérospatiale et d'emballage. Le Québec se classe parmi les régions du monde les moins coûteuses pour la production d'aluminium, en raison de ses importantes provisions d'énergie hydroélectrique à faible coût. www.lesaffaires.com/article/0/mines-et-metaux/2008-05-30/478649/rio-tinto-alcan-pourrait-agrandir-son-usine-de-saguenay-.fr.html

Bourse du carbone à Montréal: c'est parti!
En partenariat avec la Bourse des valeurs mobilières de Chicago, la Bourse de Montréal ouvre officiellement le 30 mai le Marché climatique de Montréal. Le premier ministre Jean Charest, la ministre de l'Environnement Line Beauchamp et le ministre fédéral de l'Environnement John Baird participent à l'événement. La Bourse du carbone de Montréal, en partenariat avec celle de Chicago, permettra aux entreprises d'échanger des droits d'émission de gaz carboniques. La Banque mondiale estime que la valeur des transactions à l'échelle de la planète atteindra 92 milliards de dollars cette année. www.radio-canada.ca/nouvelles/environnement/2008/05/30/001-bourse-carbone-mtl.shtml

Bombardier cherche 750 nouveaux travailleurs
Le carnet de commandes de Bombardier Aéronautique est bien garni, si bien que l'entreprise montréalaise s'est placée en mode embauche. La filiale de Bombardier est à la recherche de 750 travailleurs dont 500 ingénieurs à Montréal au cours des deux prochaines années. Ces ingénieurs vont travailler sur différents prototypes d'avions dont le tout nouveau appareil Learjet 85, le CRJ1000 et les appareils qui formeront la Série C. Pour les autres postes, Bombardier est à la recherche de main-d'œuvre qualifiée dont des monteurs et des peintres d'avion. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080528/LAINFORMER/80528203/5891/LAINFORMER01

Les municipalité du Québec se mobilisent pour attirer la relève Les villes et municipalités du Québec n'échappent pas au problème de relève et la situation risque de se complexifier au cours des prochaines années. À Lévis, par exemple, la moitié du personnel-cadre va prendre sa retraite d'ici 10 ans. Au Québec, au moins 16 000 fonctionnaires municipaux partiront à la retraite d'ici 5 ans. L'Union des municipalités du Québec (UMQ) compte multiplier les efforts pour trouver la relève nécessaire, en intéressant les jeunes. Selon le président de l'UMQ, Robert Coulombe, il faut démystifier la fonction publique municipale auprès des étudiants en droit et en administration. Il est possible selon lui de mener une carrière intéressante dans l'une ou l'autre des 1100 municipalités de la province. « Souvent, les jeunes pensent que le milieu municipal, c'est uniquement faire du déneigement, de la voirie », soulève-t-il. L'UMQ s'associe à des universités et à des associations professionnelles pour redorer l'image des municipalités. Quatre bourses d'études et des stages rémunérés seront offerts dans cinq villes. Des foires de l'emploi seront aussi organisées. Ces mesures visent à pallier une erreur du passé, précise le directeur général de l'Association des directeurs généraux des municipalités du Québec, Claude Delisle : « Quand le directeur général partait, plus souvent qu'autrement, on allait chez le bras droit du directeur général et on lui donnait une promotion. Ce qu'on pouvait offrir aux jeunes n'était pas très reluisant. On a été probablement victime de ce conservatisme-là », explique-t-il. Les jeunes auraient ainsi davantage choisi jusqu'à maintenant de faire carrière au sein des gouvernements provincial ou fédéral plutôt qu'au municipal. www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/05/28/012-fonctionnaires-releves_n.asp

C'est l'heure des retraites à l'UQAR
L'Université du Québec à Rimouski met en place une stratégie pour planifier les départs à la retraite. D'ici 2014, 75 des 174 professeurs de l'UQAR seront partis à la retraite. Déjà cette année, 20 enseignants partiront. Ces départs s'ajoutent à tous ceux des employés de soutien et du personnel administratif. Ainsi au cours des six prochaines années, près de deux cadres sur trois devront être remplacés. Le vice-recteur Daniel Bénéteau estime qu'il s'agit d'un véritable défi pour l'université. « Il va y avoir un renouvellement extrêmement important de notre personnel au cours des cinq prochaines années », constate-t-il. Pour assurer un changement de garde tout en douceur, l'université a fait preuve de créativité en déployant d'ores et déjà une série de mesures. Parmi les moyens mis en place, l'institution embauche du nouveau personnel avant le départ de l'ancien pour assurer la transmission des connaissances. L'UQAR demande aussi à ses employés de consigner par écrit toutes les informations pertinentes à l'occupation de leur poste. C'est comme un répertoire, un genre de guide pour les personnes qui auront à prendre la relève éventuellement », explique M. Bénéteau. Ces mesures s'appliquent à tous les corps d'emploi. Étonnamment, selon la direction, c'est le personnel de bureau qui risque d'être le plus difficile à remplacer. www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/05/29/008-uqar-retraites_n.asp

Adieu, retraite?
La retraite obligatoire à l'âge de 65 ans a été instaurée à l'époque où l'espérance de vie des travailleurs n'atteignait pas 70 ans. De nos jours, elle dépasse les 80 ans, et les travailleurs de 65 ans sont souvent au sommet de leur forme intellectuelle. Le cerveau est d'ailleurs un organe qui se bonifie avec l'âge, comme le bon vin. La notion de retraite disparaîtra-t-elle pour autant? http://carriere.jobboom.com/marche-travail/tendances/2008/05/14/5561791.html

Canaliser les démonstrations émotives au travail
Les employeurs misent généralement sur la rationalité, l'efficacité, la technique, la rigueur, la performance et le profit. Dans cet univers, les émotions ont-elles leur place? Certains travailleurs veulent les anesthésier, alors que d'autres cherchent une manière de les exprimer. Il s'en trouve même pour dire qu'une bonne gestion des émotions peut nous aider à mieux travailler et, par ricochet, à mieux vivre. www.journaldunet.com/management/vie-personnelle/dossier/gerer-emotions-au-travail


---------------------------------------------------------------------
Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Programmes universitaires encore ouverts à l'admission www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=942 Raymond Jean, c.o.

À noter à votre agenda
Carrefour de l’orientation
(thème possible: L'orientation et la clientèle des services adaptés) le mercredi 26 novembre 2008 à l’UQAR-Lévis jumelé avec une rencontre avec les représentants des deux campus et la journée des partenaires de l’université Laval, le lendemain : jeudi le 27 novembre 2008

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

Abonnement au bulletin électronique
Quelque Chose de l'ACOC


Votre courriel :

03 juin 2008

Xe Congrès de l'ACOC 28 mai au 31 mai 2013 à l'UQAT

Notre appréciation unanime de notre séjour à l'UQAT
(cliquer sur la flèche)
(les vidéos ne peuvent être visionnées avec les IPad et IPod)
Nos partenaires
Un gros merci à Anne-Marie Nadeau 
et toute son équipe
(photo mise à jour sur le site de l'UQAT)
Une fille, c't'une fille
À droite de l'UQAT,  nos résidences
« Osez autrement » par Rémi Mailloux
Rémi Mailloux, directeur de la Ressource 
pour personne handicapée de l'Abitibi-Témiscamingue.
 Vivant avec la paralysie cérébrale, monsieur Mailloux 
a reçu le prix Reconnaissance de carrière Persillier-Lachapelle
La création numérique et la création 3D : un univers audacieux 
en création et nouveaux médias vous feront découvrir 
l'univers de la création numérique et de la création 3D.
Cet atelier vous montrerea l'envers du décor : 
les étapes de production, les projets d'ampleur internationale, 
l'environnement dans lequel évoluent 
des étudiants aux profils multiples. 
Centre de l'UQAT à Mont-Laurier
 Mot de bienvenue de Stéphane Lapointe, directeur du centre de Mont-Laurier
 Mot de bienvenue d’un représentant du Centre d’études collégiales de Mont-Laurier.
France-Andrée Joanis  Centre d'études collégiales 
de Mont-Laurier cégep de St-Jérôme

Dans l’autobus entre Val-d’Or et Rouyn-Noranda
Par Paul-Antoine Martel, artiste semi-professionnel
 Conteur, improvisateur, animateur et scénariste, 
Paul-Antoine Martel est un passionné des mots 
et surtout de l’Abitibi-Témiscamingue. Détenteur d’une majeure 
en études cinématographiques et d’un certificat en journalisme 
de l’Université de Montréal, Paul-Antoine 
ous fera découvrir la région à sa façon, 
avec humour, enthousiasme et optimisme
Piwaseha – Mythes et réalités de la culture autochtone
 Pavillon des Premiers-Peuples 
 Par Janet Mark, coordonnatrice des dossiers autochtones 
au Service de la formation continue de l’UQAT
Nancy Crépeau coordonnatrice Service Premiers Peuples

des programmes de choix au Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue
Lors de cet atelier, les enseignants Marc Legault et Pierre Milot 
vous présenteront les domaines d’études liés aux programmes 
de technologie minérale (géologie, exploitation et minéralurgie) 
et de technologie de l’électronique industrielle
Développer son efficience aux études 
comme au travail, c’est oser autrement!
 par Louise Lemieux, professeure invitée et coordonnatrice 
de l'Unité de recherche en éducation cognitive.
et
(pas de photo que des émotions en souvenir...)
 par Lise Pelletier, professeure d’art-thérapie 
 détentrice d’une maîtrise en art-thérapie et 
candidate à la maîtrise en travail social, 
Lise Pelletier est professeure en art-thérapie 
Elle pratique l’art-thérapie en clinique privée 
depuis dix ans auprès des enfants, des adolescents 
et des adultes, tant en individuel qu’auprès des groupes 
confrontés à des problématiques 
diverses telles que l’anxiété, le deuil, 
la dépression, le cancer et les difficultés d’adaptation.

 Échanges et discussion avec 
France Picard, Ph.D., (CRIEVAT)
L’atelier permettra de simuler une expérience 
de co-développement professionnel et 
d’identifier certaines formes de difficultés professionnelles 
les plus courantes rencontrées dans le contexte 
de l’accompagnement des jeunes en transition, 
et les solutions proposées pour résoudre les impasses professionnelles.
Une histoire où les professionneles de 
l'orientation sont les héros 
Toute la vérité sur l’avenir dans le Nord du Québec
 Benoit Plante et Bruno Bussière, tous deux professeurs
à l'Institut de recherche en mines et en environnement de l'UQAT

Les sciences cliniques pour se perfectionner dans le domaine de la santé 
 par Manon Champagne, professeure responsable
 de la maîtrise et du doctorat en sciences cliniques de l’UQAT

Une personne, c't'une PERSONNE

Dégustation - Chez GIBB

 
Les frères Greffard, Francis et Sébastien
guitare et djembé, de Rapide danseur


La vengeance de l'autobus jaune
(vidéo Raymond Jean)
Un bus, c't'un bus
Jean-Marie, notre chauffeur

Tourisme Abitibi-Témiscamingue et Mathieu Dupuis 
ont développé une carte interactive qui permet aux plus avides 
de se rendre sur les lieux où certaines photos ont été prises 
et de trouver ce qu’il y a à voir, à faire ou à découvrir dans le secteur. 
Une nouvelle façon de parcourir le territoire. 
Amusez-vous bien! Jetez aussi un oeil sur les photos inédites. 
Dans la section Blogue, retrouvez les articles que 
Mathieu Dupuis a publiés pendant la production du livre 
Abitibi-Témiscamingue sur la route avec Mathieu Dupuis. 

Produits du terroir dans notre frigo

Dégustation - Chez GIBB


Festival de la guitare du monde en Abitibi mercredi soir
Les gitans d’Espagne sont à l’origine de la sonorité hispanique, 
du flamenco et de bon nombre de motifs musicaux latins. 
Johannes Linstead, maître de la guitare latine, 
a toujours eu un peu de manouche en lui.
Photo de l'UQAT
Boum boum badaboum

Le nouveau Conseil exécutif
(s'ajoute Benoit Dumas absent)

Le prochain Comité de perfectionnement
(s'ajouterait Chantale Vaillancourt)
Le nouveau Conseil exécutif et les Comités
Partenaires du Xe Congrès 
de l'ACOC à l'UQAT

Sur la route de l'Abitibi 
du Conseiller aux communications de l'ACOC

 Un oiseau, c't' un oiseau
Ci-dessous Grèbe jougris, niche 
qu'à Rouyn-Noranda au Québec
(toutes les photos sont de Bruno Tremblay)
Le Grèbe jougris est un nicheur commun 
dans l’ouest et le centre du Canada. 
Sa nidification a été confirmée, 
pour la  première fois au Québec, en 1980.
Depuis ce temps, les mentions de nidification 
ayant mené à la production de jeunes sont 
demeurées confinées à seulement 6 plans d’eau 
situés dans les limites de la municipalité 
de Rouyn-Noranda, en Abitibi.

Un lac, c't'un lac
Un lac, c't'un lac
Un lac, c't'un lac
STATION DE RECHERCHE DE LA FORÊT  
DU LAC DUPARQUET

Ma trace
La batée mythique pour trouver de l'or
Un lac, c't'un lac
Paruline à gorge orangée
Viréo de Philadelphie 
pour l'entendre
Viréo aux yeux rouges
 Busard St-Martin
Canard d'Amérique
 Narcisse
 
Naturellement au Parc d'Aiguebelle