28 mars 2010

V 8 No 24: Inscription au Pré-Colloque de l'ACOC 2010

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin

Sommet du Pic au camp Mercier (mars 2010)

Section Nouvelles www.acoc.info
Poste d'api - RAC - Cégep Marie-Victorin
Colloque annuel des c.o./ psy
Colloque 2010 des c.o. du Québec du 2 au 4 juin
Journée Pré-Colloque pour les membres de l'ACOC
Admission universitaire au trimestre Aut 2010
Programmes universitaires encore ouverts
Admission au collégial – 2e tour
École d'été en océanographie de l'ISMER

Journée Pré-Colloque de l’ACOC le 1er juin 2010 à Québec au Collège Mérici. Programme de la journée : 10h30 Accueil-Café, 11h00 Assemblée générale annuelle, 12h00 Dîner 13h00 Capsule collégiale : visite des installations du programme Orthèses et prothèses orthopédiques, 14h00 à 16h30 Conférence : Progresser dans le changement, des outils pour se faciliter la tâche. Inscription : 50$ comprenant le dîner et la conférence, transmettre rapidement un chèque au nom de l’ACOC à la trésorière Diane Fortin, c.o. Cégep de Chicoutimi 534, rue Jacques-Cartier Est Chicoutimi, Qc, G7H 1Z6. Pour votre reçu, envoyer un courriel à acoc@videotron.ca et il vous sera remis sur place.

Progresser dans le changement : Personne ne peut diriger le vent, mais on peut toujours apprendre à ajuster ses voiles. Les changements font partie de la vie. Il y a ceux que nous souhaitons pour grandir, avancer, améliorer notre état, ceux qu'on désire, qu'on prépare patiemment ou impatiemment. Puis il y a ceux que nous n’avons pas choisis, ces bouleversements que nous rencontrons sur notre parcours, qu’ils soient liés à l’âge, à l’état de santé, au travail ou à la famille. Ceux-là provoquent des déséquilibres, c’est certain, des remises en question même et parfois une baisse de l’estime de soi. Mettant à l’épreuve les capacités d’adaptation des individus, ces changements les obligent à chercher et à développer des stratégies nouvelles pour se ressourcer, contrer l’anxiété et le stress et rétablir un équilibre rompu. Cette formation donnera l’occasion aux participants de comprendre le processus de la transition et surtout d’apprendre des outils efficaces pour retrouver un sentiment de contrôle et provoquer des états d’esprit qui aident à faire de ces changements des tremplins de notre développement. Marc Vachon, psychologue, agira à titre de formateur. il a enseigné pendant plus de 25 ans la psychologie de la communication et le développement organisationnel. Il s'intéresse particulièrement à la recherche et au développement de stratégies efficaces pour se redonner du pouvoir et améliorer son mieux-être au travail comme dans la vie de tous les jours. Il est coauteur du livre Oser changer : mettre le cap sur ses rêves, publié en mars 2010 www.oserchanger.com/livre_oserchanger Table des matières du livre www.oserchanger.com/livre_table_matieres

Colloque annuel des professionnelles et des professionnels des Services de psychologie et d'orientation des collèges et des universités québécoises. Réservez dès maintenant la date du 28 mai 2010. Le 28 mai prochain se tiendra à Montréal une journée rencontre sur le thème suivant : « Mon histoire est une épopée… » en présence de Nancy Huston, écrivaine et essayiste "Les hommes sont une drôle d'espèce, les seuls à «tricoter des histoires pour survivre» et à y «croire dur comme fer». http://www.acoc.info/

Conseillère ou conseiller d'orientation ou Conseillère ou conseiller en formation scolaire (remplacement 3 jours semaines) au Cégep de l’Outaouais www.cegepoutaouais.qc.ca/index.php/le-cegep/offres-demploi/59-offres-demploi-personnel-professionnel

Je travaille comme Aide Pédagogique Individuelle (API) au Bureau de la reconnaissance des acquis et des compétences (RAC) du Cégep Marie-Victorin. Ma collègue nous quitte et nous avons besoin de recruter rapidement quelqu'un. Je vous invite donc à consulter l'offre d'emploi en pièce jointe et à faire parvenir votre C.V. si le tout vous intéresse et correspond à votre profil. Si vous avez des questions, n'hésitez pas à m'en faire part! Catherine Dagenais api catherinedagenais@hotmail.com Site www.collegemv.qc.ca/fr-CA/Accueil/Ressources_humaines/Emplois/Personnel%20professionnel/aide_pedagogique_individuel/index.aspx Offre www.collegemv.qc.ca/CMS/Media/3485_224_fr-CA_0_PR_17_API.pdf Pour postuler www.collegemv.qc.ca/fr-CA/Accueil/Ressources_humaines/Emplois/Personnel%20professionnel/aide_pedagogique_individuel/Formulaire/index.aspx

Commissaire aux plaintes concernant les mécanismes de reconnaissance des compétences professionnelles. Entreprise : Fonction publique québécoise. Date limite : 2010-04-06 pour postuler www.camo.qc.ca/CMS/offres/offre1759.doc Ce concours vise à pourvoir à un emploi régulier à l’Office des professions du Québec, dans la région administrative de la Capitale-Nationale.

Collégial
Grille de validation des acquis et du point de départ correspondant aux adultes. Très bien fait. Cet utilitaire sous format Excel a pour but de faciliter l’adaptation au Renouveau pédagogique. On peut rapidement voir pour chacun des programmes offerts au SRACQ, les préalables de l’ancien et du nouveau régime (J4, J5). Il est également possible de vérifier si les acquis d’un candidat répondent aux conditions d’admission et connaître, le cas échéant, les modules à faire au secteur des adultes. Pour télécharger l’outil de validation des acquis: www.sracq.qc.ca/acquis

L’ÉCOLE DE CIRQUE DE QUÉBEC A 15 ANS L’École de cirque de Québec, le nouveau partenaire du Cégep Limoilou pour le premier DEC en Arts du cirque offert dans un établissement public, célèbre son 15e anniversaire http://www.ecoledecirque.com/

Les personnes handicapées pourront devenir des pros de l’assurance ! Le Cégep du vieux Montréal (Direction de la formation aux entreprises) offre le programme de formation menant à une attestation d’études collégiales (AEC) en assurance de dommages, spécialement dédié à des personnes handicapées. www.camo.qc.ca/actualites/communiques.php?eventID=677

Nouveau bulletin scolaire

A+, A dépasse les exigences 85 % et plus
B+, B répond à presque toutes les exigences 75 – 84 %
C+, C répond à plusieurs des exigences 60 – 74 %
D+, D répond à peu d’exigences 50 – 59 %
E ne répond pas aux exigences 49 % et moins
www.mels.gouv.qc.ca/lancement/BulletinsExemples/BulletinJeremySec.pdf Nouveau bulletin scolaire www.mels.gouv.qc.ca/renouveau/index.asp?page=pub_bulletins

Sur le site du SRACQ, la formation continue en recrutement ajoute les Cégeps Lévis Lauzon et Rivière-du-Loup à ceux de Ste-Foy et Limoilou. www.sracq.qc.ca/guide/fc/index.asp?vcegep=fz

Génération pognon
Trois cégépiens sur quatre travaillent tout en étudiant. Du jamais-vu. Y sacrifions-nous une génération ? Oui, dit le sociologue québécois Jacques Roy dans un essai. www.lactualite.com/20080821_143748_24652

Collège de la Gaspésie et des Îles. Freiner l'hémorragie grâce à une bourse. Le rapport Boudreau propose d'offrir aux étudiants résidant à plus de 50 kilomètres du Collège de la Gaspésie et des Îles une bourse de 6000 $ par année. Radio-Canada a obtenu une copie de ce rapport commandé par la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, pour régler les problèmes de financement du collège. Ce rapport n'a jamais été rendu public par le gouvernement Charest. Le Collège de la Gaspésie et des Îles a perdu 40 % de sa clientèle en 10 ans. Au début de chaque année scolaire, une dizaine de programmes sont menacés de disparaître. En plus de proposer qu'une bourse soit offerte aux étudiants, le rapport Boudreau suggère aussi que le collège obtienne davantage de programmes uniques, particulièrement dans le secteur des pêches et de l'éolien. Dans le rapport, on peut lire que ces mesures sont coûteuses, mais essentielles pour éviter la longue agonie du seul collège de la Gaspésie et des Îles. L'association des étudiants ne se fait cependant pas trop d'illusion sur l'application de ces mesures par la ministre Michelle Courchesne, explique son président Vincent-Olivier Bastien. « Elle nous a dit que le rapport l'intéressait, mais qu'elle n'allait pas le suivre dans son intégrité. Ça nous a surtout dit qu'il fallait peut-être laisser le gouvernement de côté et travailler nous même. » Le rapport Boudreau intéresse le député de Matane, Pascal Bérubé. « Il ne faut pas que cette volonté politique ne soit que pour le cégep de Gaspé parce que le cégep de Matane vit le même type de problématique », dit-il. Cette problématique se vit dans les régions où la baisse démographique se fait sentir. www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2010/03/24/003-rapport_Boudreau_bourse.shtml

Communauté virtuelle de partage : ouverture d'une nouvelle section portant sur les clientèles à besoins spécifiques. Une nouvelle section portant sur les clientèles à besoins spécifiques vient d'être mise en ligne sur le site de la Communauté virtuelle de partage (CVP). Vous pourrez y trouver rapidement toutes les informations utiles pour soutenir vos interventions auprès de ces clientèles, tels des outils d'intervention, des politiques de différents ministères, des recherches, des ressources, etc. Visitez la nouvelle section et participez à notre concours Avez-vous les réponses? Afin de stimuler la visite de cette nouvelle section, nous vous invitons à participer à notre concours Avez-vous les réponses? qui aura lieu du 30 mars au 12 avril 2010 et vous donne la chance de gagner un week-end pour deux dans une auberge champêtre. C'est très facile de participer : rendez-vous sur le site de la CVP* (choixavenir.ca), à la section Clientèles à besoins spécifiques, cliquez sur Concours et suivez les indications. Vous aurez à trouver, dans la nouvelle section, la réponse aux deux questions du concours. Bonnes visites et bonnes chances! * Vous n'avez pas de codes d'accès? Pour en faire la demande, rendez-vous à la page d'accueil de la CVP. http://www.choixavenir.ca/

Universitaire
Université Laval. Tout un «lifting» pour le bac en communication Thierry Watine, directeur du département d'information et de communication de l’Université Laval, compte bien exploiter les ressources actuelles du baccalauréat en communication publique pour mieux le réformer. Le pavillon Louis-Jacques-Casault de l’Université Laval devrait prendre un tout autre visage, d’ici septembre 2011, alors que sera construit un nouveau centre de production multimédia ultra-moderne, qui s’insère dans la réforme complète du baccalauréat en communication publique. Refonte des cours et des concentrations du programme, création d’un studio de télévision, d’un nouveau studio de radio, d’une agence de publicité et de relations publiques, d’une salle pour groupes de discussion, tout a été mis en branle par la direction du département d'information et de communication de l’Université Laval afin de rattraper les 25 années de retard qu’il affiche sur d’autres universités offrant le même type de programmes. Le centre de production multimédia, dont les travaux débuteront en mai, au troisième étage de l’ancien Grand Séminaire, a été imaginé par Thierry Watine, directeur du département, en mars 2009, soit quatre mois avant l’obtention de son nouveau poste. Sa priorité : redonner ses lettres de noblesse aux trois concentrations du programme − journalisme, relations publiques et publicité sociale − afin de former d’excellents communicateurs... et de prendre 25 ans d’avance sur les autres programmes universitaires. « Je veux le projet idéal, il fallait rêver au projet idéal. On va réécrire le baccalauréat, tout en créant un équilibre entre enseignement professionnel, recherche et cours pratiques. J’essaie d’adapter le programme aux nouvelles réalités. On le fait pour les étudiants », poursuit-il. Pour y parvenir, M. Watine s’est entouré d’une équipe de professeurs, de professionnels et d’étudiants, avec qui il construira, cet été, le nouveau baccalauréat. Il espère que le projet sera adopté à l’automne, par la direction de l’Université Laval, afin que tout soit prêt pour l’automne 2011. De quoi réjouir le recteur, Denis Brière, qui a accueilli positivement cette réforme. « On réagit pour rattraper le retard. On révise nos programmes à une plus haute fréquence qu’on l’a fait dans le passé. Avant, on le faisait aux 10 ans, maintenant les facultés le font aux cinq ou six ans parce que ça évolue très rapidement », a-t-il lancé. Une première étape de ce remaniement a été de rendre obligatoire l’ordinateur portable, le MacBook Pro, à tous les nouveaux élèves du baccalauréat en communication publique, à l’automne 2009. Si les étudiants se sont montrés réticents à cette annonce, notamment à cause des coûts rattachés au portable, il semble que le tout se soit calmé depuis. « On nous reprochait de ne pas avoir assez de prises de courant et de ne pas avoir adapté les cours, mais on s’est ajusté rapidement », a commenté M. Watine. Si cette restructuration semble novatrice et avant-gardiste, reste qu’il est impossible, pour le moment, de mettre la main sur son coût total. Compte tenu de la précarité du projet, ni M. Watine ni M. Brière n’ont véritablement pu s’avancer sur le sujet. http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/regional/archives/2010/03/20100326-193628.html

Superinfirmières en péril
Le ministre de la Santé, Yves Bolduc, s'était engagé à créer 500 postes d'infirmières praticiennes spécialisées au Québec. Mais le réseau n'en compte toujours que 58. L'embauche de superinfirmières se fait au compte-gouttes, car les hôpitaux manquent d'argent. La Montréalaise Stéphanie Béchard, l'une des rares infirmières qui souhaitent se spécialiser en cardiologie, est incapable d'obtenir une promesse d'embauche et pourrait devoir quitter son programme, a appris La Presse. Après avoir travaillé pendant trois ans comme infirmière aux urgences et aux soins intensifs à Montréal, Mme Béchard, 25 ans, a voulu se spécialiser. En suivant une formation universitaire de deux ans, elle pourrait devenir infirmière praticienne spécialisée (IPS), ce qui lui donnerait le droit notamment de prescrire des médicaments et de poser des diagnostics simples. «Je crois que c'est la solution pour améliorer l'accès aux soins au Québec», dit Mme Béchard. L'été dernier, la jeune femme a été acceptée au programme de maîtrise de l'Université de Montréal. Immédiatement, elle a entrepris des démarches pour trouver un emploi - obtenir une promesse d'embauche est primordial pour les futures IPS. «La formation demande beaucoup d'heures d'études. Pour éviter que nous ayons à travailler en étudiant, le gouvernement nous donne des bourses. Pour y être admissible, il faut avoir une promesse d'embauche. Mais c'est très difficile à obtenir !» dénonce Mme Béchard. À la recherche d'un emploi, l'étudiante s'est adressée au Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) l'été dernier. «On voulait m'engager au service de chirurgie cardiaque. Les listes d'attente ont augmenté dans ce domaine et on pensait qu'une infirmière praticienne pourrait aider», dit-elle. Mme Béchard a donc signé sa partie du contrat avec le CHUM. Mais l'hôpital n'a jamais signé la sienne. «En décembre, le CHUM m'a dit qu'il n'avait pas de budget pour m'engager», dit-elle - ce qu'a confirmé la porte-parole du CHUM, Nathalie Forgues. La jeune infirmière s'est ensuite adressée à l'hôpital du Sacré-Coeur, qui a aussi refuser de l'engager, faute de budget. La directrice générale de l'Association québécoise des établissements de santé et de services sociaux, Lise Denis, confirme que les hôpitaux n'ont pas suffisamment d'argent pour engager des superinfirmières. «Le gouvernement verse 20 000 $ par année aux hôpitaux pour engager des infirmières praticiennes. Mais ça ne suffit pas pour couvrir tous les coûts. Car quand on engage une praticienne, il faut carrément créer un nouveau poste», dit Mme Denis. «Il faut que de l'argent soit dégagé dans le prochain budget pour faciliter l'embauche des praticiennes, soutient Mme Béchard. Sinon, les filles ne vont pas rester dans ces programmes.» En attendant, la jeune femme est découragée. Pour arriver financièrement, elle doit travailler 24 heures par semaine aux soins intensifs à l'hôpital Maisonneuve-Rosemont en plus d'assister à 12 heures de cours, d'étudier et de faire ses travaux. «Pour l'instant, je réussis à survivre. Mais si ça ne débouche pas, si je n'ai pas de certitude de trouver un emploi, je ne prendrai plus ce risque. J'ai vraiment envie d'être infirmière praticienne. Mais je ne peux pas continuer comme ça.» Les hôpitaux ne sont pas les seuls à manquer d'argent pour les IPS. Les universités québécoises, dont plusieurs sont déficitaires, demandent depuis plusieurs mois au gouvernement de financer le programme de formation. «Ce programme coûte très cher. Certaines universités pensent à le suspendre si rien n'est fait», explique le vice-recteur aux études de l'Université Laval, Bernard Garnier. Les universités ont rencontré le ministère de la Santé et le ministère de l'Éducation la semaine dernière. «Il n'y a pas encore de conclusion sur la table. Une autre rencontre est prévue le 1er avril. On demeure optimiste. Mais on est très nerveux», souligne M. Garnier. Sans dire que le programme de formation des superinfirmières est «moribond», M. Garnier reconnaît que les inscriptions sont à la baisse. «Les hôpitaux n'ont pas d'argent pour engager les étudiantes. Donc les infirmières hésitent à pousser leur formation. Il reste pas mal de ficelles à attacher. On attend vraiment de l'argent», résume M. Garnier. Au cabinet du ministre Bolduc, on réitère que les infirmières praticiennes sont une «priorité» et que des annonces pourraient bientôt être faites à ce sujet. www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201003/23/01-4263611-superinfirmieres-en-peril.php

La thérapie à distance réussit aussi bien qu'en face à face www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20100322-la-therapie-a-distance-reussit-aussi-bien-quen-face-a-face.html

Faut-il que plus d'hommes enseignent dans les écoles primaires? www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-leducation/20100322-faut-il-que-plus-dhommes-enseignent-dans-les-ecoles-primaires.html

Des étudiants de l'UdeM innovent avec UniversiTV http://universitv.tv/

Caroline Allard, philosophe et... mère indigne www.nouvelles.umontreal.ca/campus/parlons-des-personnes/20100322-caroline-allard-philosophe-et-.-mere-indigne.html

Vous pensez poursuivre vos études au 2e ou au 3e cycle? Découvrez en un même temps et un même lieu tous les programmes d'études de dix universités québécoises offerts après le baccalauréat. Des représentants des universités seront sur place pour vous conseiller et répondre à vos questions. Choix de programmes (DESS, maîtrise, MBA, doctorat) Conditions d'admission Soutien financier Perspectives professionnelles Et encore plus http://www.salondescyclessuperieurs.ca/ Trois-Rivières Hôtel Delta Trois-Rivières Lundi 29 mars 2010 15h à 19h, Québec Hôtel Plaza Mardi 30 mars 2010 15h à 19h.

Test de français obligatoire
104 étudiants en enseignement de l'UQAR pourraient passer une année de plus aux études. Le vice-recteur à la formation et à la recherche de l'UQAR, Jean-Pierre Ouellet, se dit très préoccupé des difficultés éprouvées par ses étudiants en enseignement à la suite des résultats des tests de français obligatoire. M. Ouellet réagit aux informations dévoilées en début de semaine par LCN et le Journal de Montréal, à l'effet que 63 % des étudiants de l'UQAR qui ont passé le Test de certification en français écrit pour l'enseignement (TECFEE) en 2009 l'ont échoué. L'Université de Sherbrooke a le pire palmarès avec 67 % d'échecs. Ce test doit être réussi à 70 %. Selon l'agent d'information de l'UQAR, Mario Bélanger. La cohorte de 2008 compte 236 étudiants à Rimouski et Lévis. « On a un taux de réussite de 56 % (132) après deux passations. Il nous reste donc 44 % (104) des étudiants qui n'ont pas réussi et auxquels il reste une dernière tentative. La cohorte d'étudiants de 2008 est la première à se retrouver obligée de passer cet examen », dit le vice-recteur Ouellet. Les étudiants qui ratent leur troisième chance peuvent être exclus du programme d'enseignement pendant un an et passer une année d'études strictement sur le français avant de passer le test et d'être réintégrés au programme régulier. « Je peux garantir que c'est un problème majeur qui ne nous laisse pas indifférents. On est très préoccupés. On essaie d'accompagner les étudiants le mieux possible avec cette nouvelle réalité. Entre autres, nous proposons des mesures volontaires aux étudiants pour les aider à améliorer leur français, notamment trois cours de un crédit. On a également des ateliers de français offerts par notre Centre d'aide à la réussite. Il y a du soutien pédagogique, mais c'est un problème profond, un problème du système qui part du primaire et qui aboutit ici. On ne devrait pas avoir à former les étudiants au niveau du français. Ce devrait être acquis », déclare encore M. Ouellet. « C'est un problème dans toutes les universités. D'ailleurs, il y en a qui acceptent de dévoiler leurs résultats, et on a été parmi les premiers à le faire par souci de transparence. Mais il y a des universités qui ne veulent pas dévoiler leurs résultats. On se doutait que ça pouvait avoir l'effet d'une bombe de dévoiler ces résultats, mais on pense que c'est une explosion qui était nécessaire, pour s'assurer que nos processus sont corrects, mais aussi pour sensibiliser nos étudiants. Nos mesures sont volontaires. On envisage appliquer des mesures coercitives, par exemple pour obliger des étudiants à suivre certains cours. On est en réflexion », conclut M. Ouellet. www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2010/03/20100327-141608.html

Formation, documentation formation
Les hommes et les femmes réagissent différemment au stress www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20100322-les-hommes-et-les-femmes-reagissent-differemment-au-stress.html



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À noter à votre agenda
Journée Pré-Colloque de l’ACOC le 1er juin 2010 à Québec : 11h00 Assemblée générale annuelle, 12h00 Dîner 13h00 Capsules collégiales 14h00 Conférence.


En 2011, le 9e congrès de l’ACOC aura lieu en partenariat avec l’UQTR les 1er, 2 et 3 juin.

Lien du diaporama du VIIIe Congrès 2009 http://picasaweb.google.com/ACOCinfo/ACOC2009VIIIeCongres#slideshow

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC ACOC@videotron.ca

Abonnement au bulletin électronique
Quelque Chose de l'ACOC

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Les modalités d'inscription au bulletin sont mentionnées sur le site www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/2006/08/v-5-no-1-modalits-dinscription-au.html

23 mars 2010

V 8 No 23: Guide écoresponsable

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin

Sommet du Massif du sud (mars 2010)

Section Nouvelles www.acoc.info
Admission au collégial
Admission universitaire au trimestre aut. 2010
Programmes universitaires encore ouverts
École d'été en océanographie de l'ISMER
Colloque 2010 des c.o. du Québec 2 au 4 juin
Colloque annuel des c.o./psy des collèges/universités
Semaine québécoise des adultes en formation

Journée Pré-Colloque de l’ACOC le 1er juin 2010 à Québec : 11h00 Assemblée générale annuelle, 12h00 Dîner 13h15 Capsules collégiales 14h00 Conférence. Lieu et conférencier à confirmer. Réservez ce temps et un peu d'argent (autour de 50$) pour cette Journée Pré-Colloque.

Colloque annuel des professionnelles et des professionnels des Services de psychologie et d'orientation des collèges et des universités québécoises. Réservez dès maintenant la date du 28 mai 2010. Le 28 mai prochain se tiendra à Montréal une journée rencontre sur le thème suivant : « Mon histoire est une épopée… » en présence de Nancy Huston, écrivaine et essayiste "Les hommes sont une drôle d'espèce, les seuls à «tricoter des histoires pour survivre» et à y «croire dur comme fer». Nancy Huston. L’espèce fabulatrice. L’humain a besoin de ces histoires qui structurent et donnent un sens à sa vie. Elles lui viennent de sa famille, de son milieu, de son pays ou encore c’est lui-même qui les construit pour donner une cohérence à son existence. Parfois ces histoires sont un boulet, un carcan étouffant que l’on subit comme un mauvais destin. Parfois, elles sont source de liberté, nourrissent et stimulent la créativité, l’épanouissement de la personne. Toujours, elles sont présentes au cœur de notre travail auprès des étudiantes et des étudiants. La personne qui est devant nous n’arrive pas seule mais pleine de ses histoires personnelles, histoires de familles, et autres. Quel est notre rôle? Mieux comprendre l’histoire de l’autre? L’aider à utiliser les ressorts de son histoire pour continuer de grandir. Et la nôtre, notre histoire? À cette occasion, nous aurons le plaisir de recevoir, entre autres, Madame Nancy Huston, écrivaine et essayiste qui nous parlera de l'identité, du sens et de la fiction. Avec Madame Huston, nous aurons le regard d'une romancière, d'une essayiste et d'une philosophe sur la question de l'identité et du sens. Elle nous parlera de l'identité basée sur une série de fictions, sur les histoires que l'homme se raconte et auxquelles il s'évertue à croire et qui donnent un sens à son existence. Elle nous parlera également de la fonction des fictions humaines et de leurs conséquences sur la conduite humaine. De plus amples informations pour inscription vous parviendront sous peu. Comité organisateur : Henri Hamel U. Laval Hélène Trifiro U. de Montréal Yvon Trottier Cégep Ahuntsic Michel U. de Sherbrooke www.acoc.info/accueil/laNouvelle.asp?IdNews=498 Michel Roy Service de psychologie et d'orientation Université de Sherbrooke Michel.Roy@USherbrooke.ca

Collégial
Si vous organisez des événements, le cégep de Saint-Félicien a conçu un Guide écoresponsable pour solutionner, par exemple, les questions suivantes : 1.L’activité génère-t-elle des déplacements? 2.Les activités requièrent-elles l’utilisation de grandes quantités d’eau? 3.Les activités généreront-elles des déchets? 4.À partir de l’achat de produits, les activités généreront-elles des matières résiduelles pouvant être recyclées ou réutilisées? 5.Les emplois générés grâce à l’événement seront-ils locaux 6.Est-ce que l’achat de produits tient compte de l’éthique et de l’environnement? 7.Les produits et services requis pour les activités seront-ils locaux? Si ces questions vous préoccupent, vous êtes candidat à l’organisation d’un événement écoresponsable. Le comité met à votre disposition le «Guide pour organiser un événement écoresponsable en 8 étapes» afin de vous aider dans cette démarche. Cet outil est un condensé du «Guide des événements écoresponsables» produit par la Chaire en éco-conseil de l’Université du Québec à Chicoutimi qui a accepté que nous en présentions une version abrégée. Nous espérons qu’il vous sera utile pour réduire l’impact sur l’environnement et la société des événements que vous organisez. Nous vous encourageons à l’utiliser en commençant par ce qui est possible de faire pour vous, la stratégie du «petit pas» peut s’avérer plus réaliste. www.cstfelicien.qc.ca/blog-ddl/?page_id=173 L’organisation d’un événement écoresponsable en 8 étapes www.cstfelicien.qc.ca/blog-ddl/wp-content/uploads/2010/01/Guide-pour-organiser-un-evenement-ecoresponsable-en-8-etapes-final-.pdf

Découvrez qui sont les gagnants du concours « Je clip sur ma carrière/ Opération 1er mars » http://monemploi.com/ma_formation/jeclip/default.html du site http://toutpourreussir.com/fr

La Fédération des cégeps exprime ses attentes en vue du Budget du Québec 2010-2011. À quelques jours du dépôt du Budget du Québec 2010-2011, la Fédération des cégeps s'attend à ce que le réseau public des collèges québécois obtienne minimalement, dans ce budget, ce dont il a besoin pour maintenir ses services. Prenant en considération la situation économique dans laquelle se trouve le gouvernement du Québec et la volonté de ce dernier de rétablir l'équilibre budgétaire d'ici 2013-2014, la Fédération considère que les éléments suivants doivent au moins être couverts dans le prochain budget : l'augmentation des coûts de système des cégeps, qui est liée notamment au vieillissement du personnel et à la progression dans les échelles de traitement; le maintien de la somme de 12 M$ dédiée aux cégeps depuis 1998 dans le cadre du versement fédéral en provenance de la Fondation canadienne des bourses du millénaire. Le gouvernement du Québec a obtenu un montant compensatoire de 115 M$ pour son retrait du Programme canadien des bourses aux étudiants mis sur pied par le fédéral à la fin des activités de la Fondation. www.lescegeps.com/nouvelles/2010-03-18_la_federation_des_cegeps_exprime_ses_attentes_en_vue_du_budget_du_quebec_2010-2011

FONCTION PUBLIQUE CONDITIONS SALARIALES. Personne ne veut en sortir. Avec de tels écarts salariaux à l'avantage de la fonction publique du Québec, il devient difficile de trouver de la main-d'oeuvre pour combler certains métiers dans les PME de la province. «C'est certain que personne ne veut sortir du gouvernement pour entrer dans une entreprise privée. C'est sécurisant d'avoir la sécurité d'emploi, le salaire plus élevé et les avantages sociaux», affirme M. André Desaulniers, directeur général et chasseur de têtes pour la firme Talent. À l'exception des grandes industries comme les papetières, des alumineries et autres, il n'a jamais pu offrir aux chercheurs d'emploi des conditions salariales qui rivalisent avec celles de la fonction publique. «On remarque que les employeurs privés ne peuvent pas offrir autant qu'au gouvernement. Les salaires des PME sont toujours 20 ou même 30 % moins chers que dans le public», ajoute-t-il. «De plus en plus, on se fait voler des gens qui s'en vont au gouvernement», commente, pour sa part, Marcel Bérubé, président du groupe Perspectives, une autre firme de recrutement de personnel. Ce dernier précise que le phénomène concerne surtout les postes de soutien, les techniciens, les métiers spécialisés et le secteur des ressources humaines. C'est certain qu'avec une si grande différence de salaires, le gouvernement va continuer d'attirer de plus en plus de monde", considère-t-il. http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/actualites/national/archives/2010/03/20100318-055416.html

FONCTION PUBLIQUE CONDITIONS SALARIALES 21% de plus que dans le privé. Alors que les conventions collectives des employés de l'État arrivent à échéance et que les négociations n'ont pas permis de conclure une entente, le Journal de Québec a analysé les conditions salariales de certains groupes d'employés de la fonction publique du Québec pour constater qu'il y a d'importants écarts avec les PME, qui représentent 98 % des employeurs de la province. En moyenne, les salaires des employés du gouvernement sont supérieurs de 21 % comparativement à ceux offerts dans le secteur privé. L'analyse a été faite en considérant les taux horaires, mais également en incluant les avantages sociaux et les régimes de retraite offerts dans la fonction publique, alors qu'ils sont quasi absents dans le privé. Il est évident que les conditions salariales de l'État sont considérablement plus élevées, soit en moyenne de 21 % au Québec, selon un rapport de la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (FCEI). Par exemple, un agent de bureau qui travaille dans un ministère gagne 16,78 $ l'heure dès son entrée en poste mais sa paie s'élève à 22,50 $ s'il est rendu à l'échelon supérieur. Et c'est sans compter sa sécurité d'emploi, ses avantages sociaux et son régime de retraite. Pendant ce temps, les firmes de recrutement de personnel ont peine à trouver des agents de bureau aux fonctions comparables à qui l'on offre entre 14 et 18 $ l'heure, notamment dans les compagnies d'assurances et les services financiers qui proposent certains avantages sociaux. C'est donc 2,78 $ de moins l'heure, en moyenne, sur le salaire d'un employé de l'appareil gouvernemental. Les postes de commis dans les entrepôts du gouvernement sont parmi ceux qui sont les plus avantagés comparativement au privé et spécifiquement à la Société des alcools du Québec. Dans la récente convention collective de cette société d'État, on apprend qu'un commis aux entrepôts de Québec et de Montréal, notamment celui qui est affecté au ramassage des bris et des bouteilles cassées, gagne 24,83 $ l'heure au premier avril prochain. Par contre, au centre de distribution de Provigo, dans la région de Québec, la convention collective en vigueur dit qu'un commis aux fonctions similaires sera plutôt payé 12,82 $ l'heure à son embauche. Il n'atteindra jamais le salaire de son confrère de la SAQ puisque, même après 30 ans de service, il touche 23,16 $. Bien qu'il soit difficile de comparer le travail des infirmières du réseau de la santé, il est toutefois établi que celles qui dénombrent sept années de services complétées sont présentement rémunérées au taux horaire de 26,60 $ depuis le 1er avril 2009. C'est le plus grand groupe de salariés de la Fédération des infirmières du Québec, soit 32 000 syndiqués qui se trouvent à cet échelon salarial. Leur rémunération est cependant de 11,6 % plus élevée que dans les établissements privés, comme celle de tous les travailleurs des établissements de soins de santé de la province. Avec les avantages sociaux, la dif férence passe à 22,4 %, selon l'étude de la FCEI. Pour sa part, un enseignant en moyenne possède 10 ans d'ancienneté et 17 ans de scolarité au Québec. Avec 35,70 $ l'heure, il fait partie du plus grand groupe de syndiqués du réseau primaire et secondaire de l'éducation, soit 57 029 professeurs. Il travaille 40 heures par semaine et son salaire est échelonné sur douze mois, précise-t-on au syndicat qui les représente. La FCEI révèle que cet enseignant, comme l'ensemble du personnel du réseau de l'éducation de la province, reçoit un salaire supérieur de 5,2% sur les professeurs des écoles privées et de 11,6 % de plus si l'on considère ses avantages sociaux. Dans ses revendications au gouvernement, le front commun syndical de la fonction publique du Québec se base sur une donnée de l'Institut de la statistique du Québec qui soutient que la rémunération moyenne des employés de l'État accuse un retard de 8,7% sur l'ensemble des salariés au Québec. Or, c'est plutôt tout le contraire avec la plupart des métiers lorsqu'on les compare avec les salaires du secteur privé. Une ana-lyse du Journal de Québec, avec la collaboration de la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante, démontre que les salaires des employés de l'appareil gouvernemental au Québec sont 4,5% plus élevés que dans les PME de la province qui représentent 98% des employeurs. En considérant les avantages sociaux et les régimes de retraite, les salariés de la fonction publique du Québec gagnent donc 21% de plus que dans le privé, où l'on retrouve la majorité des travailleurs du Québec. Et c'est sans compter le concept de la sécurité d'emploi. http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/actualites/national/archives/2010/03/20100318-055415.html

Le GPS est utilisé dans plus de soixante milieux et nous comptons déjà au-delà de 10 000 utilisateurs présentement. Cet outil novateur s'adresse aux professionnels du développement de carrière, aux enseignants et aux professionnels des services complémentaires. Il cible les jeunes âgés entre 14 et 18 ans qui entreprennent ou poursuivent une démarche d'exploration personnelle et professionnelle. Jusqu’à présent, on remarque que le GPS se prête à plusieurs scénarios d’application, selon ce qui convient le mieux à chaque milieu. Certains l'intègrent au cours Projet personnel d'orientation (PPO), d’autres l'utilisent dans le cadre du cours Exploration de la formation professionnelle. Il sert aussi d’outil de référence pour la sensibilisation à l'entrepreneuriat au secondaire. Et cela, en plus de l'utilisation qui en est faite en consultation individuelle ou en atelier de travail. On l’utilise dans des milieux très variés : les écoles secondaires, publiques ou privées, le réseau des carrefours jeunesse-emploi (IDÉO, Motivation jeunesse, Service d'orientation personnalisé, etc.), les centres d'éducation des adultes (secteur jeunes), le Service régional de la formation professionnelle, la pratique privée, etc. De façon générale, les intervenants procèdent à la passation en groupe et beaucoup d'entre eux font un retour sur les résultats en classe. Les conseillers d'orientation qui l’utilisent m'ont rapporté qu'ils exploitent les informations contenues dans les résultats et l'interprétation en intervention individuelle, lors des rencontres avec les jeunes. Ils soulignent aussi que lors des rencontres individuelles, le jeune qui a utilisé le GPS est plus motivé et préparé à la consultation. Il a des questions précises à poser au professionnel et il a en main des informations spécifiques à sa situation. De plus, certains professionnels utilisent le bilan qu'offre le GPS comme point d'appui au dossier du jeune, particulièrement dans le cas où il a un plan d'intervention en matière de réussite. On rapporte qu'il est agréable de compléter le questionnaire « en ligne » puisque chaque jeune travaille individuellement sur un médium qu'il exploite aisément et qui est différent de ce qui lui est présenté habituellement, le « papier-crayon ». Les énoncés sont rédigés dans un langage compréhensible pour les jeunes et couvrent un large éventail de sujets. Le GPS permet à l'élève de s'engager puisque après avoir mesuré la perception qu’il a de ses ressources, il lui demande de se mettre en action. L’introspection est un préalable à son engagement dans l'action. Le GPS est aussi un instrument de mobilisation pour les intervenants : il leur donne l’occasion de collaborer pour choisir les interventions à préconiser dans leur milieu. Un commentaire que j’entends fréquemment est qu'il est difficile pour certains intervenants (c.o., CISEP, professionnels des services complémentaires, etc.) de faire place à de nouveaux outils comme le GPS, particulièrement lorsque le curriculum scolaire ne contient pas de cours se rapportant au PPO ou à l’exploration. En effet, puisque les professionnels doivent « empiéter » sur les cours généraux comme le français ou l'anglais, ils trouvent dommage de ne pouvoir exploiter de façon optimale les informations qu'apporte le GPS. Selon eux, dans ce contexte, il est dommage de disposer de si peu de temps pour exploiter l'outil comme ils le voudraient. Aussi, la passation paraît un peu longue au départ, mais est mise en perspective lorsqu’ils reçoivent le rapport final (bilan) qui donne un portrait complet de la situation du jeune. Il faut noter que les résultats et l'interprétation comportent 16 pages lorsqu’ils sont imprimés. Dans certains milieux, on doit demander au jeune d'imprimer son rapport chez lui, faute de budget pour les photocopies. Certains jeunes s'attendent à obtenir des suggestions de professions à la fin du questionnaire en ligne. Cela rend compte de l'importance de donner des explications claires quant à l'objectif du GPS. L'outil leur permet de prendre conscience des ressources de leur milieu et de leurs ressources personnelles pour ainsi les préparer à faire des choix pour leur avenir. Certains jeunes ont la perception que des énoncés se répètent au cours du questionnaire en ligne GPS. Il est important que chaque jeune prenne le temps de bien lire chaque consigne à chacune des sections du questionnaire parce qu'elle diffère parfois d'une section à l'autre. De façon unanime, les intervenants sont satisfaits de l'apport du GPS dans leur milieu parce qu'il permet d'obtenir « à grande échelle » de l'information personnalisée sur les jeunes. Quant aux jeunes, ils sont enthousiastes envers leurs résultats. Certains disent que le GPS leur a permis de réfléchir sur leur situation et même de se questionner sur des sujets auxquels ils n'avaient pas encore pris le temps de réfléchir. Ils découvrent leurs ressources personnelles et celles de leur milieu, ce qui pour l'équipe du GPS constitue l'atteinte d'un des objectifs de l'outil! J’espère que ces précisions pourront répondre à votre questionnement. Si toutefois vous avez besoin de plus amples renseignements, n’hésitez pas à me contacter. Mes coordonnées sont indiquées ci-dessous. Sachez qu'un questionnaire au sujet du bilan décisionnel est en cours de conception et que le questionnaire en ligne GPS adapté pour la clientèle adulte est en validation. Que de nouveautés à venir dans le domaine de la réussite et de l'orientation! Au plaisir de vous faire découvrir le Guide pour s'orienter, Caroline Chantale Cartier, c.o. Consultante pour le Guide pour s'orienter (GPS) Septembre éditeur Inc. caroline@septembre.com

Vous pouvez dès maintenant vous inscrire à la liste de messagerie du site Orientaction. En vous inscrivant à cette liste, vous serez informés des nouveautés sur le site Orientaction, de la dernière livraison du Bulletin, de colloques à venir et d’informations reliées au domaine du développement de carrière. Cette liste diffère de la liste de diffusion du COinternet. Le COinternet est un lieu d'échange entre professionnels du domaine du développement de carrière, alors que cette liste de messagerie est utilisée par l'équipe d'Orientaction pour vous communiquer les dernières nouveautés. Pour vous inscrire, rien de plus simple, rendez-vous sur le site d’Orientaction en cliquant sur ce lien : www.orientaction.ca/index.php?option=com_content&view=section&id=10&Itemid=102

Universitaire
BACCALAURÉAT EN CRIMINOLOGIE à l’université Laval. Programme présentement en cours d’approbation . Un projet de programme de baccalauréat en criminologie, élaboré par la Faculté des sciences sociales en collaboration avec la Faculté de droit, est présentement étudié par les instances concernées (CREPUQ et MELS). S’il est approuvé par le MELS, ce nouveau programme sera offert à compter de la session d’automne 2011. www.fss.ulaval.ca/index.php?pid=533

Sciences de l’éducation : Faible taux de réussite. L’Université Laval, inquiète. La direction de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval s’inquiète du faible taux de réussite de ses étudiants au Test de certification en français écrit pour l’enseignement (TECFEE), et ce, à un point tel qu’elle est prête à leur recommander de sacrifier temporairement leur formation pour ne suivre que des cours de français. Les résultats de la deuxième passation du TECFEE, qui s’est déroulée à la fin du mois de janvier, sont alarmants aux yeux de Marcel Monette, doyen de la Faculté des sciences de l’éducation (FSE). Selon ces données, les résultats sont encore plus faibles au deuxième examen qu’au premier, qui a eu lieu au début de septembre, où à peine 60 % des étudiants avaient réussi les deux parties − rédaction et code linguistique − du test. Ce faisant, à ce jour, 37 % des étudiants n’ont toujours pas obtenu la note de passage de 70 %. « Ce qui est très inquiétant, c’est qu’il y a là-dedans des étudiants qui ont échoué au premier et au deuxième test. On les invite à suivre des ateliers de perfectionnement, mais peu le font, et on ne peut pas les forcer », se désole-t-il. La situation est d’autant plus alarmante qu’après trois échecs, l’étudiant est exclu automatiquement du programme d’enseignement pour une durée d’un an. Pour éviter cette situation, M. Monette songe fortement à réunir les étudiants en situation d’échec après deux essais afin de leur offrir de se consacrer exclusivement à des classes de français, la session ou l’année suivante, quitte à retarder leurs études en enseignement. Les ateliers et les cours de perfectionnement en français sont disponibles, aux dires de M. Monette, mais souvent sous-utilisés par les étudiants. « On réfléchit à des façons de s’assurer qu’ils auront les compétences de se présenter à la troisième passation. Pour qu’ils soient prêts », ajoute-t-il. Pas question, cependant, de modifier le test ou d’en abaisser le seuil de réussite. « On s’attendait à ce que ce soit difficile; c’est difficile. Si les gens se donnent les moyens, ils devraient réussir le test. Nous, on pense qu’un bon enseignant doit aussi être capable de s’exprimer correctement. Ça fait partie des éléments qui constituent ce qu’est un bon enseignant », plaide-t-il. Le TECFEE est arrivé dans la majorité des universités québécoises à l’automne 2009. Les étudiants en enseignement, toutes matières confondues, sont admissibles à l’examen environ une année après le début de leurs études. Il est obligatoire d’avoir obtenu la note de passage au test pour s’inscrire au Stage 3, qui signifie la prise en charge importante d’une classe d’élèves. http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/regional/archives/2010/03/20100320-205203.html

Éducation. Deux tiers des futurs profs échouent Les futurs enseignants qui sont inscrits à l'Université de Sherbrooke ont raté massivement le nouvel examen national de français qu'ils doivent réussir pour obtenir leur diplôme. Avec 67 % d'échecs, c'est la pire performance rendue publique jusqu'à présent au Québec. Il y a quelques semaines, l'Université de Sherbrooke refusait toujours de révéler les résultats obtenus par ses étudiants lors de la première passation du fameux Test de certification en français écrit pour l'enseignement, le TECFÉE. Une demande formulée en vertu de la Loi sur l'accès à l'information a toutefois permis de percer ce mystère. Selon les documents obtenus par le Journal, 67 % des étudiants qui avaient passé le test en avril 2009 l'avaient échoué. Cette proportion atteignait pas moins de 83 % chez ceux qui se destinaient à l'enseignement de l'éducation physique. Ces résultats sont les pires à avoir été rendus publics jusqu'à présent. Seule l'Université du Québec à Rimouski présente une fiche comparable. En septembre 2009, 63 % des étudiants qui y avaient subi l'examen pour la première fois l'avaient raté. Le Journal a aussi mis la main sur les résultats obtenus à l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), qui n'avaient toujours pas été divulgués. Lors de leur premier essai, en mai 2009, 59 % des étudiants n'étaient pas parvenus à y obtenir la note de passage. Depuis l'automne dernier, les étudiants qui se destinent à l'enseignement doivent obligatoirement réussir le TECFÉE avant d'entreprendre leur troisième stage. Pour y arriver, ils doivent obtenir au moins 70 % dans les deux volets de l'examen, et n'ont droit qu'à trois essais avant d'être suspendus du programme À l'Université de Sherbrooke, on reconnaît que les résultats de la première vague sont "très inquiétants." «On surveille ça de près et on fait notre possible pour soutenir nos étudiants», indique Julie Desjardins, vice-doyenne à la formation de la Faculté des sciences de l'éducation. Déjà, un cours obligatoire a été ajouté au programme d'enseignement de l'éducation physique, qui affiche le plus bas taux de réussite. Les étudiants qui ont échoué le test ont été obligés de suivre un cours d'appoint cette année. Ils pourront se soumettre de nouveau à l'examen d'ici quelques semaines, dit Mme Desjardins. http://www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2010/03/20100323-044249.html

L'École Polytechnique de Montréal inaugure le premier baccalauréat en génie aérospatial au Québec www.polymtl.ca/carrefour/article.php?no=3069

Création de 500 postes d'infirmières praticiennes spécialisées - L'OIIQ est inquiet du prochain budget www.guidesanteenligne.com/news_mail.asp?ID=129572

Zone vidéo de la faculté des sciences sociales de l’université Laval Dans cette section, vous trouverez quelques-unes des conférences des sciences sociales ainsi que les vidéos de la Faculté qui furent présentés lors de la 20e Soirée des prix d’excellence. D'autres vidéos sont à venir, revenez nous visiter ! Anthropologie, Économique, Psychologie, Relations industrielles, Science politique, Service social, Sociologie, Affaires publiques et relations internationales www.fss.ulaval.ca/index.php?pid=515

Agathe Deschamps, L'urgence de vivre pour soigner les autres. Depuis presque un an, Agathe Deschamps (Baccalauréat en sciences infirmières 2004) travaille à titre d’infirmière en salle d’urgence à Lausanne, en Suisse romande francophone, pour le Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV). Celle qui, toute petite, quémandait dans les agences de voyage de vieilles revues sur l’Europe, l’Asie et l’Afrique, a toujours caressé le désir de découvrir le monde. À 14 ans, elle envisageait déjà de travailler pour Médecins sans frontières. Si Agathe Deschamps a toujours été attirée par le domaine de la santé, elle convoitait aussi exercer une carrière dont la souplesse lui permettrait de voyager et de travailler à l’étranger. «Le voyage et la découverte sont innés chez moi. Le monde est tellement vaste et beau, plein de panoramas, de religions et de cultures différentes. Lorsque je visite un nouveau pays, c’est comme si j’arrivais sur une nouvelle planète. C’est une richesse inestimable et un privilège unique de pouvoir parcourir le monde et de s’instruire de cette façon», raconte la jeune femme de 29 ans. www.adul.ulaval.ca/sgc/site/adul/pid/13596

Le rapport annuel 2008-2009 du Conservatoire est maintenant publié www.conservatoire.gouv.qc.ca/actualites-et-calendrier/actualites/article/le-conservatoire-de-musique-et-d-2664 Notons aussi que le Conservatoire peut dorénavant offrir les programmes de baccalauréat et de maîtrise en interprétation musicale. Cette reconnaissance de la formation supérieure du Conservatoire est très importante pour les élèves, bien qu’elle suppose d’augmenter le nombre de cours de culture générale. Pour se conformer à cette exigence de la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ), le Conservatoire a conclu des ententes de partenariat avec différentes universités sur le territoire québécois. Ces échanges font en sorte que le Conservatoire vient enrichir de son expertise et de son approche pédagogique particulière, l’offre de formation supérieure en musique. Nancy Bélanger, responsable communications et relations publiques
Conservatoire de musique et d’art dramatique du Québec nancy.belanger@conservatoire.gouv.qc.ca

Nuit de la création
Le jeudi 25 mars de 20h00 à 2h00 du matin, les étudiants de la Faculté des lettres, de la Faculté de musique et de l’École des arts visuels vous convient à une nocturne d’hommages bien sentis au Musée national des beaux-arts du Québec. L’entrée au Musée est libre www.aufil.ulaval.ca/articles/nuit-creation-24281.html

Laval remporte la Simulation boursière interuniversitaire Plus de 400 étudiants en finance et en administration provenant de 11 établissements universitaires canadiens participaient à l'événement www.aufil.ulaval.ca/articles/laval-remporte-simulation-boursiere-interuniversitaire-24181.html

Profession grand reporter
Qu’elle soit en mission en Irak, en Tchétchénie ou en Afghanistan, la journaliste Anne Nivat privilégie le tête-à-tête avec les gens de l'endroit www.aufil.ulaval.ca/articles/profession-grand-reporter-24301.html

Formation, documentation formation
Le Conseil supérieur de l'éducation du Québec rend public aujourd’hui un avis intitulé Pour soutenir une réflexion sur les devoirs à l’école primaire. Cet avis, ses versions abrégées en français et en anglais, et le communiqué de presse sont publiés sur le site Internet du Conseil. http://www.cse.gouv.qc.ca/ Pour soutenir une réflexion sur les devoirs à l'école primaire. La pratique de donner des devoirs est très répandue au Québec. La presque totalité des écoles primaires y a recours et, d'une façon générale, parents et enseignants estiment que les devoirs sont un moyen pour favoriser la réussite des enfants. Les devoirs et les leçons présentent cependant leur lot de difficultés pour plusieurs familles. Chaque école est invitée à réfléchir à ses pratiques en matière de devoirs et de services d'accompagnement scolaire qui y sont associés, en ayant à l'esprit les principes de pertinence, d'équité et de cohérence pour que tous les élèves aient accès à des conditions qui soient favorables à leur réussite éducative. C'est ce que soutient le Conseil supérieur de l'éducation dans un avis intitulé Pour soutenir une réflexion sur les devoirs à l'école primaire, qu'il a rendu public le 18 mars. Pour produire cet avis, le Conseil a procédé à une recherche documentaire qui s'est intéressée notamment aux effets des devoirs sur la réussite au primaire. Il a aussi conduit une enquête auprès des écoles primaires du Québec sur la pratique des devoirs et sur les mesures d'aide mises en place.

Une majorité de parents favorables aux devoirs www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201003/18/01-4262115-une-majorite-de-parents-favorables-aux-devoirs.php

L’Événement Carrières se tiendra les 7 et 8 avril au Palais des congrès de Montréal. Il s’agit de 3 salons spécialisés en 1 : Salon Carrières & Emplois La Presse (emplois secteurs généraux) Salon Emploi de la santé et des services sociaux Salon des carrières en technologie/Salon carrières du Réseau des Ingénieurs du Québec. Nous serions très heureux d’accueillir vos étudiants et nouveaux diplômés afin de leur permettre de découvrir de nouvelles opportunités de carrières et de rencontrer directement les recruteurs du milieu. Pour plus d’information et connaître la liste des organisations participantes, visitez notre site Internet: http://www.ecarrieres.com/ ou communiquer directement avec moi!
Dossiers chauds. À la une / Les autodidactes : Du succès sans les études. Ils ont abandonné l’école et ne s’en portent pas plus mal. À preuve : leur chèque de paye et la liste de leurs réalisations font pâlir les envieux bardés de diplômes. Des p’tits chanceux? Des p’tits vites, plutôt. Obstinés, humbles et audacieux. Rencontre avec des autodidactes. http://carriere.jobboom.com/marche-travail/dossiers-chauds/2010/03/03/13095421-jm.html

L'extrait de thé vert pourrait retarder ou prévénir la maladie d'Alzheimer. Reconnu depuis longtemps pour ses effets bénéfiques dans le traitement des maladies cardiaques, du diabète et de quelques cancers, une nouvelle étude a fait la démonstration qu'un extrait spécifique du thé vert pourrait retarder ou prévenir la maladie d'Alzheimer et la démence. A. Holliday & Company's "Teawell 50", est une extraction pure à 50 % de l'EGCG (épigallocatéchine gallate) - un flavonoïde qui est le plus puissant des quatres principaux catéchines dans le thé vert. Dans cette étude, des rats ont été nourris avec des aliments contenant le Teawell 50, et comparé à un groupe de contrôle dont la nourriture ne contenait pas l'extrait. Les résultats ont démontrés que les rats qui étaient nourris avec le Teawell 50 ont profités d'une réduction de 18 % des radicaux libres dans une région capitale du cerveau qui est impliquée dans l'apprentissage et la mémoire. Cette région du cerveau est sévèrement atteinte lorsque la maladie d'Alzheimer est présente. "Ceci démontre que la consommation régulière de thé vert pourrait protéger contre les effets délétères du stress oxydant, retardant ainsi ou prévenant les déficits de la mémoire relatifs au vieillissement", a expliqué le Dr. Bastianetto. Selon le Dr. Bastianetto, la découverte de la capacité du Teawell 50 de franchir la barrière hémato-encéphalique en concentration suffisante et d'atteindre le cerveau est significative. "Le thé vert a une haute concentration en catéchines bénéfiques - spécialement de l'EGCG", a expliqué Christine Renken de A. Holliday & Company. "Extraire cette substance permet de l'utiliser dans la nourriture telle que les yogourts et les boissons, les suppléments alimentaires pour animaux et même les produits de beauté." L'EGCG a été associé avec des conditions dégénératives telles que les maladies cardiovasculaires, le diabète, la maladie de Parkinson et certains types de cancer. Des études ont démontrées que l'EGCG pourrait inhiber la production des molécules inflammatoires associées avec l'arthrite rhumatoïde; réduire la coagulation sanguine et le cholestérol; fortifier les défenses du système immunitaire, tonifier le métabolisme et brûler du gras, et également protéger des maladies des gencives et réduire les caries. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le http://www.teacoff.com/ .

Plan de carrière Travailler en Abitibi-Témiscamingue. Deux secteurs d’avenir : la ruée vers l’or et la construction. Si vous êtes un travailleur qualifié pour les grands chantiers hydroélectriques, il y a du travail plus au nord http://carriere.jobboom.com/carrieres-avenir/regions/2010/01/08/12392891-je.html

Plan de carrière Secrétaire à barbe Pas évident pour un homme d’exercer la profession de secrétaire, d’hygiéniste dentaire, d’esthéticienne, de nutritionniste ou de travailler en soins infirmiers, etc., domaines féminisés à plus de 90 %. http://carriere.jobboom.com/marche-travail/tendances/2010/03/03/13097876-jm.html

Le passeport électronique pour tous dès 2011 www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/national/201003/18/01-4262102-le-passeport-electronique-pour-tous-des-2011.php

Les TI créateurs d'emploi : Réalité ou virtualité ? www.reseauti.com/?utm_source=liste-diffusion&utm_medium=courriel&utm_campaign=colloque-sur-les-ti-a-l-uqtr


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À noter à votre agenda
Journée Pré-Colloque de l’ACOC le 1er juin 2010 à Québec : 11h00 Assemblée générale annuelle, 12h00 Dîner 13h15 Capsules collégiales 14h00 Conférence. Lieu et conférencier à confirmer. Réservez ce temps et un peu d'argent (autour de 50$) pour cette Journée Pré-Colloque.


En 2011, le 9e congrès de l’ACOC aura lieu en partenariat avec l’UQTR les 1er, 2 et 3 juin.

Lien du diaporama du VIIIe Congrès 2009 http://picasaweb.google.com/ACOCinfo/ACOC2009VIIIeCongres#slideshow

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC ACOC@videotron.ca

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15 mars 2010

V 8 No 22: L’admission conditionnelle au collégial

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
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La gang d'Amazoniens 2010 vous invite à un spectacle de variété qui se tiendra le 9 avril prochain au petit amphi du Cégep de Sainte-Foy! La gang des 12 bioécologistes de TBE du cégep de Ste-Foy qui vogueront bientôt sur l'Amazone, avec un peu de votre aide! Écomaris par son projet phare au Brésil, Expédition environnementale en Amazonie envoie, à chaque année, des étudiants de niveau collégial, sur l'Amazone afin de leur permettre de développer une vision systémique de la réalité environnementale amazonienne. www.ecomaris.org

Section Nouvelles www.acoc.info
Admission au collégial
Admission universitaire
au trimestre d'automne 2010
Programmes universitaires encore ouverts
École d'été en océanograpie de l'ISMER pour passionnés des océans

L’admission conditionnelle au collégial. Article dans le dernier numéro du journal de l’APAPI L’entr’API Par : Johanne Cossette, Isabelle Gagnon et Johanne Routhier Aides pédagogiques individuelles, Cégep Marie-Victorin Quelques constats : Les étudiants qui n’ont pas obtenu leur DES… - ont échoué deux fois plus de cours que ceux qui l’ont obtenu - sont davantage en situation majeure d’échec (deux fois plus) que ceux qui l’ont obtenu. Parmi les étudiants qui ont obtenu leur DES, plus le nombre de cours suivis était élevé, plus ils en réussissaient; chez ceux qui ne l’ont pas obtenu, plus le nombre de cours suivis était élevé, plus ils ont eu des échecs. 20 étudiants sur 70 (29%) ont réussi tous leurs cours au Cégep Marie-Victorin : 14 avec DES; 6 sans DES. Malheureusement pour ces six étudiants, le règlement ne leur permet pas de poursuivre au collégial car ils devaient obtenir leur diplôme pendant leur première session. 17 étudiants (24%) n’ont réussi aucun cours: 5 avec DES; 12 sans DES. Quant à savoir si la matière échouée au secondaire influence la réussite au collégial… Bien sûr! Qu’en est-il de leur réussite ? Total des cours échoués / Total des cours suivis % des cours échoués Étudiants ayant obtenu leur DES 68 / 227 30% Étudiants n’ayant pas obtenu leur DES 102 / 174 59% Nombre d’étudiants en situation majeure d’échec % d’étudiants en situation majeure d’échec Étudiants ayant obtenu leur DES 13 / 39 33% Étudiants n’ayant pas obtenu leur DES 20 / 31 65% Total 33 / 70 47% Sur les 33 étudiants en situation majeure d’échec : - 11 avaient échoué leur français au secondaire, soit 1/3 - 7 avaient échoué leur anglais, soit 21%. Portrait de la cohorte automne 2009 163 étudiants ont été admis conditionnellement (sans DES) au 31 juillet 2009. 66 d’entre eux (40,5%) ont obtenu leur DES au 21 septembre 2009. 34 étudiants (20,8%) ont été expulsés ou ont signé un avis de départ en raison du DES non obtenu et/ou nombre d’unités manquantes trop élevé. 63 étudiants (38,7%) sont présentement inscrits sans DES (21 en Accueil et intégration, 14 dans les programmes préuniversitaires et 28 dans les techniques). 17 ont conservé tous les cours prévus à la première session de leur grille de programme. Les chiffres qui précèdent amènent à conclure que l’obtention du DES avant l’entrée au cégep s’avère un bon indicateur de la réussite au collégial. http://apapi.org/fichiers/Entre_api_2010_fevfinal.pdf

OrientAction suit le courant et met en ligne son BLOGUE. Le premier billet est déjà disponible. Il est écrit par notre blogueuse Émilie Robert c.o. sous le titre de Facebook, Twitter, Youtube et l’orientation scolaire et professionnelle. Lisez ce premier billet et apportez votre commentaire. http://www.orientaction.ca/ Vous pouvez aussi devenir blogueur sur OrientAction : soumettez-nous votre intention à admin@orientaction.ca et nous communiquerons avec vous. L’équipe Orientaction. Envoyer un message au COinternet : cointernet@googlegroups.com S'abonner au COinternet : admin@orientaction.ca

Collégial
Emploi étudiant. Chacun son rythme. Travailler en étudiant est un bon moyen de payer ses droits de scolarité et ses frais de subsistance. Ça aide aussi à prendre de l’expérience. Or, le travail peut également nuire à la réussite scolaire. Comment équilibrer le tout? À 19 ans, Marc-Michel Rousseau-Lefebvre s’est inscrit en techniques d’usinage pour devenir machiniste. Ayant quitté le nid familial, sans soutien financier parental ni prêt ni bourse, il n’avait pas le choix de travailler. «Pendant deux ans, j’ai passé 30 heures par semaine sur les bancs de l’école et en moyenne 35 heures au travail comme apprenti machiniste. Je travaillais de 16 h 30 à minuit, cinq jours par semaine. Un horaire de fou qui ne m’a pas empêché d’obtenir mon diplôme avec succès.» Mais attention : tous les étudiants ne sont pas taillés dans le même bois que ce jeune homme. À partir d’un certain nombre d’heures, le boulot risque de nuire à la santé et à la réussite scolaire. Selon les travaux de Jacques Roy, professeur au Cégep de Sainte-Foy et chercheur à l’Observatoire Jeunes et Société, «les étudiants qui travaillent 20 heures et plus par semaine ont des résultats scolaires inférieurs à la moyenne et voient leur taux d’échec et d’abandon scolaire augmenter». «Après un mois d’un régime strict de “travail-études”, des étudiants au bout du rouleau débarquent dans mon bureau. Trop souvent, ils ont déterminé le nombre d’heures à consacrer au travail seulement en fonction de leurs engagements financiers, en négligeant le temps pour la famille, les amis et les loisirs.» Chantale Desjardins, conseillère d’orientation, Cégep de Sherbrooke Lisandre Bujold-Dubuc, élève en sciences humaines au Cégep de Sherbrooke, bosse de 15 à 20 heures par semaine comme caissière dans un magasin. Ne lui demandez pas d’en prendre davantage, car «plus je travaille, moins j’ai de bons résultats scolaires», explique-t-elle. Chantale Desjardins, conseillère d’orientation au Cégep de Sherbrooke, suggère de déterminer le nombre d’heures à consacrer au travail en considérant d’abord le temps nécessaire pour respecter ses autres priorités (présence à ses cours, travaux scolaires, amis et famille, loisirs) et obligations (préparation des repas, ménage, lavage, courses, etc.). «Après un mois d’un régime strict de “travail-études”, des élèves au bout du rouleau débarquent dans mon bureau, dit-elle. Trop souvent, ils ont déterminé le nombre d’heures à consacrer au travail seulement en fonction de leurs engagements financiers, en négligeant le temps pour la famille, les amis et les loisirs.» «L’étudiant doit être attentif à quatre signaux : le stress, la fatigue, le sentiment de surcharge et la démotivation. Quand il les ressent, une lumière devrait s’allumer. Le danger, c’est qu’un jeune abandonne ses études à cause du travail et conclue que les études ne l’intéressent pas, alors que c’est le contexte qui ne lui permet pas de s’y intéresser.» Pour s’en tirer financièrement, on peut alors demander un coup de pouce à ses parents, faire une demande de prêts et bourses ou abandonner des cours et prolonger sa formation.» «Vaut mieux s’endetter un peu ou étirer la durée de nos études», renchérit Chantale Desjardins. Marc-Michel et Lisandre ont tous deux prolongé leur formation de six mois pour arriver à concilier le travail et les études. «Si j’avais eu droit aux prêts et bourses, j’en aurais fait la demande pour travailler moins, avoue Marc-Michel. Mais aujourd’hui, je me réjouis de ne pas avoir accumulé de dettes d’études.» http://carriere.jobboom.com/carrieres-avenir/dossiers/2010/01/11/12423631-je.html

Programme du Colloque de l'ordre www.occoppq.qc.ca/ConseillerOrientation/Nouvelles/~/media/D8ECB1CCDE4D4C219F012A9F4A5CC04D.ashx L’incidence des pratiques professionnelles de l’orientation sur les étudiants inscrits à la Session d’accueil et d’intégration au collégial France Picard, Ph.D., professeure adjointe, Université Laval Collaborations : Nicolas Boutin et Catherine Soucy, étudiants à la maîtrise en sciences de l’orientation et auxiliaires de recherche, Université Laval. Notre communication porte sur les résultats préliminaires d’une recherche qui se déroule depuis l’automne 2009 dans 21 cégeps. Des conseillers d’orientation, des aides pédagogiques individuels, des conseillers pédagogiques et des enseignants collaborent avec des chercheurs universitaires afin de cerner l’incidence des interventions en orientation offertes dans le cadre de la Session d’accueil et d’intégration (SAI) à des étudiants indécis au regard de leur choix scolaire et professionnel. Les résultats touchent les caractéristiques de cette population étudiante, la diversité des pratiques professionnelles de l’orientation qui ont cours dans ce programme et l’effet de la SAI sur la précision du choix scolaire et sur la persévérance aux études. Un concept « orientant » vers une approche personnalisée Fabienne Plante, conseillère d’orientation, Cégep Beauce-Appalaches Collaborations : Hélène Fortin, conseillère d’orientation et Éric Cyr, conseiller pédagogique à l’aide à la réussite, Cégep Beauce-Appalaches. Plusieurs étudiants qui entreprennent des études collégiales éprouvent de la difficulté à vivre cette transition. Ils sont confrontés à une absence de but vocationnel, à un manque de connaissance de soi, à une démotivation face à leurs études. Pour d’autres, ils doivent composer avec un deuil suite à un refus. Depuis 2003, ce concept a été développé et mis en place pour répondre aux besoins d’orientation professionnelle, de suivi, d’accompagnement de notre clientèle de la Session d’accueil et intégration. Nous élaborerons sur la présentation du concept, les stratégies utilisées et les constats des étudiants ayant bénéficié de la Session d’accueil et intégration qui a fait sa marque au Cégep Beauce-Appalaches.

L'horticulture ornementale : un jardin de possibilités! Caractérisées par une croissance constante de leurs activités, les entreprises du secteur de l'horticulture ornementale connaissent une période florissante. Et celle-ci n'est pas près de s'estomper! Le revers de la médaille : les employeurs sont touchés par la rareté de la main-d'œuvre et doivent redoubler d'efforts pour trouver le personnel qualifié. Les personnes à la recherche d'une carrière dans le secteur de l'horticulture ornementale trouveront sur le site http://www.horticompetences.ca/ des renseignements sur les différents métiers et programmes d'études, ainsi que des capsules vidéo qui présentent des travailleurs en action. www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/horticulture-ornementale-jardin-possibilites-8543.html

HAUSSE DES DEMANDES D’ADMISSION Le Cégep Limoilou se démarque dans la région de Québec. Pour une quatrième année consécutive, le Cégep Limoilou connaît une augmentation significative des demandes d’admission. Le Cégep Limoilou se démarque des autres cégeps de Québec avec une hausse de 8,4 % au 1er mars. « Une augmentation de 5,6 % de la demande au Campus de Québec et de 13,9 % au Campus de Charlesbourg , précise la directrice des études, Anne Filion. Ces résultats encourageants sont sans doute attribuables à l’offre de programmes du Cégep qui semble rencontrer les intérêts des jeunes. Alors que le Service régional d’admission au collégial de Québec (SRACQ) note une légère augmentation globale de 2,4 % de la demande pour les cégeps de l’Est du Québec — une croissance qui se compose d’une baisse de 4,6 % au secteur préuniversitaire et une hausse de 8 % au secteur technique — la réalité est différente au Cégep Limoilou : CAMPUS DE QUÉBEC Augmentation de 5,7 % soit +1,8 % au préuniversitaire et +9,6 % au technique; CAMPUS DE CHARLESBOURG Augmentation de 13,6 % soit +22,6 % au préuniversitaire et +7,4 % au technique. Les résultats de ce premier tour des demandes d’admission sont prometteurs pour la rentrée 2010 et peuvent aussi s’expliquer par l’arrivée du nouveau DEC en Arts du cirque qui soulève un vif intérêt et a fait l’objet d’une soixantaine de demandes. www.climoilou.qc.ca/news/hausse_des_demandes_dadmission_443.php

Un record de 764 demandes d’admission au Cégep de Victoriaville. Et une ruée vers les soins infirmiers. À l’avant-plan, le directeur des études Daniel Mercier. À l’arrière, Denis Desrochers, président du conseil d’administration et le directeur général, Vincent Guay. Le directeur des études, Daniel Mercier, manquait de mots pour qualifier ce record en dix ans du nombre de demandes d’admission au cégep de Victoriaville à l’issue du premier tour. Au total, 764 élèves ont manifesté l’intention d’étudier au Cégep en septembre prochain, une hausse de 4,66% par rapport à l’an dernier. «Ce sont des résultats remarquables! Notre augmentation frise les 5%, alors que la hausse moyenne au Québec est de 1%», commente M. Mercier. La hausse la plus spectaculaire concerne le programme des soins infirmiers, alors que 113 élèves ont acheminé une demande… trop pour le nombre de places habituellement réservées à la cohorte de première année (72). L’an dernier, elles étaient 89 à vouloir amorcer ce programme. Les techniques… gagnantes. www.lanouvelle.net/article-438160-Un-record-de-764-demandes-dadmission-au-Cegep.html

Correction de l'épreuve de français: le privé est recalé www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201003/08/01-4258661-correction-de-lepreuve-de-francais-le-prive-est-recale.php

La plupart des étudiants ont du mal à joindre les deux bouts. Selon un rapport publié le 8 mars, dans l'ensemble du pays, la plupart des étudiants ont de plus en plus de mal à trouver les ressources nécessaires pour payer leurs frais de scolarité. Dans le rapport intitulé "Canadian Student Survey: Summer Work and Paying for Post-Secondary Education" (Sondage auprès des étudiants canadiens : emplois d'été et frais d'études postsecondaires), on examine les tensions découlant des taux de chômage élevés chez les jeunes, les moyens auxquels les étudiants ont recours pour financer leurs études et la façon dont le manque de fonds limite leur capacité à poursuivre leurs études. www.lescegeps.com/nouvelles/2010-03-08_la_plupart_des_etudiants_ont_du_mal_a_joindre_les_deux_bouts_selon_lalliance_canadienne_d

La pénurie d’enseignants en Soins infirmiers est là pour rester. Permanence et critère d’ancienneté constituent la seule solution selon le syndicat www.letraitdunion.com/article-437196-La-penurie-denseignants-en-Soins-infirmiers-est-la-pour-rester.html

Hausse de 28 % des demandes d’admission - Le Collège de Rosemont se démarque au 1er tour du SRAM sur l’île de Montréal. Le Collège de Rosemont a été l’un des premiers cégeps à mettre en place la session Accueil et intégration. Il a ainsi développé une expertise pour offrir un encadrement personnalisé, avec une aide pédagogique et une équipe multidisciplinaire, et ce, pour accompagner un élève et l’amener à intégrer le programme de son choix. Trois parcours de continuité DEP-DEC [Diplôme d’études professionnelles (DEP) – Diplôme d’études collégiales (DEC)], uniques au Québec, font partie de la carte des programmes du Collège de Rosemont; ce sont : - Soutien informatique (DEP) et Techniques de l’informatique, voie de spécialisation Gestion de réseaux informatiques (DEC); - Secrétariat (DEP) et Techniques de bureautique, profil Microédition et hypermédia (DEC); - Procédés infographiques (DEP) et Techniques de bureautique, profil Microédition et hypermédia (DEC). www.lescegeps.com/nouvelles/2010-03-11_hausse_de_28_des_demandes_dadmission_-_le_college_de_rosemont_se_demarque_au_1er_tour_du_

Conseil supérieur de l'éducation du Québec rend public un avis sur le projet de règlement modifiant le Régime pédagogique de la formation générale des adultes. Cet avis et le communiqué de presse sont publiés sur le site Internet du Conseil. Les modifications ont trait aux conditions d’obtention du diplôme d’études secondaires (DES) en formation générale des adultes. Le Conseil est favorable au projet de modifications, car il les considère nécessaires pour que le diplôme décerné en formation générale des adultes témoigne d’une formation générale solide et de qualité répondant aux exigences de la société québécoise. Toutefois, le Conseil a conscience que ces nouvelles exigences rehaussées pourront représenter un défi important pour certains adultes. C’est pourquoi, il demande à la ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport, de s’engager à allouer les ressources requises pour offrir à ces adultes le soutien et l’encadrement que nécessiteront ces nouvelles exigences. Finalement, parce que le rehaussement des conditions d’obtention du DES pourra représenter un réel défi pour certains adultes, le Conseil juge important d’évaluer les effets qu’auront ces nouvelles exigences sur la diplomation en formation générale des adultes, au terme de 3 ans d’application. http://www.cse.gouv.qc.ca/

Le programme Parents-Études du Cégep Limoilou - Un gage de réussite ! Le Prix Égalité 2010, dans la catégorie « Conciliation travail-famille », a été décerné au Cégep Limoilou par le Secrétariat à la condition féminine, pour son programme Parents-Études. Implanté en 1989 à l’initiative du Service de l’action communautaire et vie spirituelle, le programme Parents-Études du Cégep Limoilou donne aux étudiants-parents, particulièrement aux mères étudiantes, des chances réelles d’entreprendre et de réussir des études collégiales, en facilitant la conciliation des responsabilités familiales et des obligations scolaires. Un trophée et une bourse de 1000 $ accompagnent ce Prix Égalité. www.climoilou.qc.ca/news/le_programme_parents-etudes_du_cegep_limoilou_un_gage_de_reussite__441.php

Création du Centre québécois de formation en maintenance d’éoliennes au Cégep de la Gaspésie et des Îles www.meq.gouv.qc.ca/ministere/info/index.asp?page=communiques&id=746 Formation www.collegia.qc.ca/fr/index2-50.html

Qui sont ces C? Suis-je C, Y, X, BB ou senior? Pour ceux qui s’interrogent encore, voici une petite récapitulation du lexique des générations. Les années servant de bornes inférieures et supérieures aux différents segments démographiques varient selon les sources d’information et parfois de façon importante. Malgré le chevauchement causé par ces variations, les principales générations sont grosso modo: Senior – née avant 1947 Baby-boomer – issue du baby-boom d’après-guerre, soit de 1946 à 1960 et même jusqu’en 1966 Génération X – de 1965 à 1980, ce qui regroupe les 30 à 45 ans Génération Y – de 1980 à 1990 soit les jeunes dans la vingtaine. Génération C – née entre 1984 et 1996, les 12-24 ans. La génération C, qu’on appelle aussi la Net Generation, s’imbrique en grande partie dans la génération Y. Toutes deux ne peuvent concevoir le monde sans ordinateurs et autres gadgets électroniques. Les plus jeunes sont nés avec la technologie et ont bien souvent utilisé un ordinateur avant même de savoir écrire tandis que les autres ont grandi avec elle et ne peuvent s’en passer. http://veilletourisme.ca/2010/02/02/qui-sont-ces-c/

Les Y sont‐ils ingérables? Un reportage diffusé par Télé‐Québec, à KILOMÈTRE ZÉRO, le 28 septembre 2009. http://video.telequebec.tv/video/1734/les-y-sont-ils-ingerables

Le Cégep de La Pocatière, le Cégep de Lévis-Lauzon et Maisons Laprise, partenaires pour un tout nouveau programme de formation en techniques de dessin de bâtiment assisté par ordinateur http://lepeuplecotesud.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=133486&id=2269&classif=Nouvelles

Universitaire
UQAR à Lévis: des bourses pour garder les infirmières. Une mesure supplémentaire vient d'être mise en place pour contrer la pénurie de personnel infirmier en région, particulièrement dans la Chaudière-Appalaches. Un programme de bourses de 25 000 $ sur cinq ans sera offert aux étudiants et étudiantes à temps complet qui s'inscriront au DEC-Bac du baccalauréat en sciences infirmières du campus de Lévis de l'Université du Québec à Rimouski (UQAR). «En échange de la bourse, les étudiantes devront s'engager à faire leur stage en Chaudière-Appalaches. On demande également qu'elles prennent un engagement moral de travailler au moins deux ans dans la région après avoir obtenu leur diplôme», a indiqué, hier, la directrice de la Fondation de l'UQAR, Denise Banville. Ce nouveau programme, qui prévoit l'octroi de cinq bourses de 1000 $ par année à compter de septembre, sera financé par l'Agence de la santé et des services sociaux de la région. Il s'agit de la deuxième agence régionale à avancer des fonds pour un programme de bourses aux infirmières après celle du Bas-Saint-Laurent en collaboration avec la Fondation de l'UQAR. www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201003/12/01-4260271-uqar-a-levis-des-bourses-pour-garder-les-infirmieres.php

Le centre sur le climat de l'UQAM au bord de la fermeture www.cyberpresse.ca/environnement/201003/08/01-4258620-le-centre-sur-le-climat-de-luqam-au-bord-de-la-fermeture.php Formation www.collegia.qc.ca/fr/index2-50.html

Le côté animal de l'UdeM !
La Faculté de médecine vétérinaire de l'Université de Montréal tiendra l'événement « Découverte 2010 », du vendredi 19 au dimanche 21 mars prochain. Durant ces trois jours, les personnes intéressées à découvrir la profession de vétérinaire pourront visiter la seule faculté de médecine vétérinaire du Québec, en compagnie de guides étudiants. www.nouvelles.umontreal.ca/campus/activites-speciales-et-invites/le-cote-animal-de-ludem.html

Les étudiants désertent la médecine familiale « Si on ne fait rien, cette situation précaire va empirer. De plus en plus de Québécois se retrouveront sans médecins de famille et les cliniques familiales fermeront l’un après l’autre », met en garde le président de la FMOQ, le Dr Louis Godin. Le milieu de la médecine familiale est en crise, selon la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ), qui craint que le pire soit à venir si Québec n’investit pas davantage pour rendre la profession attrayante auprès des étudiants en médecine. À l’aube de la date d’échéance de renouvellement de leurs conditions de travail, les médecins omnipraticiens ont soumis mardi plusieurs propositions au gouvernement afin de corriger le tir alors que plus de 25% des Québécois n’ont toujours pas de médecins de famille. « Si on ne fait rien, cette situation précaire va empirer. De plus en plus de Québécois se retrouveront sans médecins de famille et les cliniques familiales fermeront les unes après les autres », a mis en garde le président de la FMOQ, le Dr Louis Godin. www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2010/03/20100309-122904.html

Le gouvernement doit poser des gestes concrets à la suite des résultats décevants du 1er tour d'admission en résidence en médecine familiale. Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) est extrêmement préoccupée des résultats du premier tour d'admission en résidence dans les quatre facultés de médecine de la province. La première étape du processus d'admission dans les différents programmes est maintenant terminée et il reste encore malheureusement 80 postes à pourvoir en médecine familiale, soit plus de 20 % des postes offerts. En comparaison, moins de 7 % des postes en médecine spécialisée sont toujours vacants après le premier tour d'admission. Ces résultats décevants montrent à la fois la justesse des propositions présentées par la FMOQ dans le cadre du renouvellement de l'Entente générale régissant les conditions de travail des médecins omnipraticiens, qui vient à échéance le 31 mars prochain, et l'urgence d'agir. Ces données provisoires, dont le portrait change peu après le second tour d'admission si on se fie aux années antérieures, s'ajoutent aux données définitives guères encourageantes des trois dernières années. www.guidesanteenligne.com/news_mail.asp?ID=129323

Enseigner dans un milieu minoritaire francophone au Canada : 2 stagiaires québécoises racontent. Deux étudiantes de l’Université Laval seront bientôt de retour au Québec après un séjour de neuf semaines dans une communauté francophone du Canada. Elles y ont réalisé un stage dans le cadre du programme de Stages en enseignement de l’Association canadienne d’éducation de langue française (ACELF). Une expérience que Samuelle Gagné et Andréanne Grenon-Savard qualifient de positive tant sur le plan des apprentissages qu’elles en retirent que sur le plan du vécu culturel. www.infobourg.com/sections/actualite/actualite.php?id=15017

La forêt expliquée aux élèves www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/actualites/201003/10/01-4259083-la-foret-expliquee-aux-eleves.php

Abbott soutient le programme d'infirmière praticienne de l'Université McGill www.guidesanteenligne.com/news_mail.asp?ID=129133

Implantation d’un circuit du médicament robotisé et automatisé au CHUQ. Un robot qui permet aux équipes de soins de passer plus de temps au chevet des patients www.guidesanteenligne.com/news_mail.asp?ID=129150

Un baccalauréat en génie industriel
Le Département de génie mécanique accueillera dès l’automne les premiers étudiants de ce programme www.aufil.ulaval.ca/articles/baccalaureat-genie-industriel-23801.html et pour en savoir davantage www.gmc.ulaval.ca/industriel

Une station à l'écoute de la Terre
Depuis 40 ans, le sismographe du Département de géologie et de génie géologique est à l'affût des soubresauts de la planète www.aufil.ulaval.ca/articles/une-station-ecoute-terre-23611.html

Un agrément de prestige pour l'École d'actuariat Elle devient le seul Centre d’excellence de la Society of Actuaries au Québec www.aufil.ulaval.ca/articles/agrement-prestige-pour-ecole-actuariat-23691.html

Une première cohorte d’infirmières bientôt diplômées en soins critiques. Environ 60 infirmières en soins critiques seront bientôt diplômées de la faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke. Aux yeux du professeur Stephan Lavoie, la formation de ces infirmières s’avère un élément de réponse à la crise dans les urgences. Environ 60 infirmières en soins critiques seront bientôt diplômées de la faculté de médecine et des sciences de la santé de l’Université de Sherbrooke. Ci-dessus, l’étudiante Mélissa Roy procède à certaines manoeuvres avec le professeur Stephan Lavoie. Professeur à l’École des sciences infirmières de l’UdeS, Stephan Lavoie explique qu’avec cette formation, les diplômées sont davantage en mesure d’évaluer le patient, de mieux le stabiliser, et sont mieux préparées à transférer le patient si nécessaire. Les étudiants qui souhaitent devenirs infirmiers peuvent étudier au Cégep ou à l’université. Dans le cas de la formation de soins critiques, il s’agit d’un baccalauréat offrant près de 250 heures de formation et stages en soins d’urgence, en soins intensifs et en traumatologie. Aux yeux de M. Lavoie, qui a pris part à la mission humanitaire en Haïti récemment, une meilleure rétention et un meilleur recrutement passe par une reconnaissance de la profession, notamment en désignant les soins critiques comme une spécialité. Tout en mentionnant qu’il ne veut pas faire de politique, M. Lavoie note que deux infirmières, l’une diplômée au collégial et l’autre spécialisée en soins critiques à l’université, gagneront sensiblement le même salaire annuellement. Compte tenu des exigences de la formation et de l’encadrement serré qu’elle exige, la FMSS n’envisage pas d’augmenter la capacité de la cohorte. La vitesse de croisière a été atteinte, commente M. Lavoie. « La formation m’apporte beaucoup d’outils en milieu de travail. Cela me permet d’être plus en confiance avec mes connaissances, j’anticipe mieux ce qui peut se passer », commente Kyria Rocheleau, une étudiante au baccalauréat en sciences infirmières qui travaille à temps partiel. Actuellement, dans les urgences, 41 % des infirmières ont moins de 35 ans. La FMSS a tenu un point de presse, hier, afin de faire connaître sa contribution pour améliorer la situation dans les urgences. http://tiny.cc/S1TUL

Entrez voir la VIDÉO La faune et la flore en laboratoire http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=9184

Entrez voir la VIDÉO. Découvrez l'ergothérapie http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=9183

Formation, documentation
Une étude unique interroge des personnes atteintes de maladie mentale, à propos de leurs expériences avec la police. Une des plus importantes difficultés à laquelle doivent faire face les forces de l'ordre, est la gestion d'interventions impliquant des personnes aux prises avec la maladie mentale. Bien que la majorité de ces personnes ne commettent aucun crime, environ 1 sur 5 sera amenée à être en contact avec des représentants de la loi, étant donné que les policiers sont souvent les premiers à répondre, en cas d'incidents. www.guidesanteenligne.com/news_mail.asp?ID=129321

Darwin fait sourire les créationnistes www.cyberpresse.ca/international/etats-unis/201003/09/01-4258745-darwin-fait-sourire-les-creationnistes.php

Le bioalimentaire, toujours en croissance Au Québec, l’industrie bioalimentaire a créé 25 000 nouveaux emplois depuis 2005. Le secteur d’activité le plus dynamique : la transformation des aliments et des boissons. www.mapaq.gouv.qc.ca/Fr/Centre_Presse/Communiques/2010/10037.htm

Une nouvelle compréhension des mécanismes cérébraux de la dépression www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=7636

La consommation prolongée de cannabis liée à des symptômes psychotiques www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=7630

La dyscalculie concerne plusieurs adultes www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=7638

L'écart salarial entre hommes et femmes persiste. Même s'il y a plus de femmes diplômées, leur salaire est toujours inférieur à celui des hommes. Plus de femmes que d’hommes ont des diplômes universitaires mais cela ne change rien à l’écart salarial entre les sexes, note l’Association d’études canadiennes, données à l’appui. Le revenu annuel moyen des Canadiens a augmenté de 48 563 $ en 2001 à 51 221$ en 2005, révèlent les données des recensements de 2001 et de 2006. Pour les hommes, le salaire moyen a augmenté pendant cette période d’environ 3300 $, passant de 55 210 $ à 58 537 $. Or, pour les femmes qui ont un salaire de base inférieur en partant, leur hausse salariale était d’environ 2200$, passant de 39 135$ à 41 331 $. www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2010/03/20100307-200442.html

Fonction publique du Québec: 717 millions de congés accumulés http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201003/10/01-4259420-fonction-publique-du-quebec-717-millions-de-conges-accumules.php

Pénurie de professionnels: des milliers d'enfants doivent attendre www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201003/12/01-4259932-penurie-de-professionnels-des-milliers-denfants-doivent-attendre.php

La domotique aiderait à traiter la schizophrénie www.guidesanteenligne.com/news_mail.asp?ID=129234

Phobie, désensibilisation systématique et humour: Visualiser le film Get Out (7 min). Get Out est un film d'animation de 7 minutes. Dans un hôpital psychiatrique, un psychiatre essaie de convaincre un patient de surmonter sa phobie des portes et de sortir dehors. Réalisé en 2009 par Charlotte BOISSON, Julien FOURVEL, Pascal HAN-KWAN, Tristan REINARZ et Fanny ROCHE, étudiants de l'École Supérieure des métiers artistiques (ESMA), le film est récipiendaire de plusieurs prix dont le Prix du meilleur film d'animation au festival Animarte. http://www.getout-lefilm.com/

Un lipdub plus symbolique que réussi contre la réforme scolaire www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201003/12/01-4260167-un-lipdub-plus-symbolique-que-reussi-contre-la-reforme-scolaire.php Le lipdub n'était toujours pas en ligne, samedi, mais on peut trouver sur YouTube une version audio de la chanson d'Anthony Leclerc. www.youtube.com/watch?v=t7hl9F88zu0



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À noter à votre agenda
En 2010
, nous planifions participer au colloque de l’Ordre qui aura lieu les 2, 3 et 4 juin 2010 au Centre des congrès de Québec sous le thème Évaluer et intervenir : des indissociables de notre pratique. http://www.occoppq.qc.ca/ L'ACOC organisera une journée précolloque pour ses membres le 1er juin.

En 2011, le 9e congrès de l’ACOC aura lieu en partenariat avec l’UQTR les 1er, 2 et 3 juin.

Lien du diaporama du VIIIe Congrès 2009 http://picasaweb.google.com/ACOCinfo/ACOC2009VIIIeCongres#slideshow

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC ACOC@videotron.ca
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