Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin
(800 membres, 11e saison du bulletin électronique)
Aurore boréale à Bergeronne le 14 novembre 2012
(photo Jean-Michel Lagueux-Tremblay)
Semaine des professionnelles et professionnels de l’éducation
du 19 au 23 novembre 2012
Les services professionnels en éducation, une solution qui s’impose
Deux vidéos de la Semaine des pros
Deux vidéos de la Semaine des pros
T’es important pour
nous! Le suicide n’est pas une option! C’est le message que le Comité de
prévention du suicide du Cégep Limoilou souhaite diffuser en s’associant à KJT
pour le lancement du clip « Grande réussite ». Venez
voir le clip ainsi que les capsules de témoignage sur You tube :
http://youtu.be/2iBHPjqJNxk
Admission universitaire janvier 2013
Collégial
Programmes universitaires hiver 2013
Portes ouvertes universitaires
Information médecine à l'Université Sherbrooke
Portes ouvertes dans les cégeps
Être Asperger et se trouver un emploi Dans mon précédent billet, je
présentais les caractéristiques générales du syndrome d'Asperger et laissais
entrevoir que ce trouble rendait très laborieuses la recherche et l'insertion
en emploi. Bien qu'on se doute qu'une personne ayant des habiletés sociales
réduites ait de la difficulté à décrocher un emploi, qu'est-ce que distingue la
personne Asperger de la personne simplement peu habile ? D'abord, quelques
statistiques. Selon Müller, Schuler, Burton et Yates (2003), les personnes
Asperger connaissent plus le chômage que la population en général. Elles se
retrouvent aussi en plus grand nombre dans des emplois pour lesquels elles sont
surqualifiées. Toujours selon ces mêmes auteurs, on estime à 10% le nombre de
personnes Asperger réussissant à se trouver un travail. Autrement dit, 90% des
personnes Asperger seraient en situation d'exclusion du monde du travail.
Pourtant, les personnes Asperger font d’excellents employés. Non seulement
elles excellent habituellement dans un talent particulier, mais de par leur
régime de vie rigide et encadré, elles sont très loyales, honnêtes et
ponctuelles. Mais comme on peut le deviner, les personnes Asperger éprouvent
des difficultés cruciales. Pour lire la suite http://acochandicap.blogspot.ca/2012/11/etre-asperger-et-se-trouver-un-emploi.html Ouf ! Tout qu'un défi de faire une démarche d'orientation dans ce
contexte ! Auriez vous des idées, des pistes de solutions, des expériences à
partager ? Avez-vous vécu une expérience
de counseling avec une personne Asperger sur laquelle vous aimeriez échanger ?
J'attendrai de vos commentaires sur le blogue
http://acochandicap.blogspot.ca Émilie Robert, c.o.
Trouble d'apprentissage: autre bataille
juridique en vue au Québec Invoquer des problèmes budgétaires pour
expliquer le manque de services spécialisés au sein des commissions scolaires
n'est pas une excuse valable dans tous les cas, a jugé la Cour Suprême. Les
droits des élèves avec des troubles d'apprentissage étant maintenant solidifiés
par un récent jugement, la Commission des droits de la personne et de la jeunesse
se prépare pour sa prochaine bataille judiciaire: celle de l'intégration de ces
enfants en classe régulière à l'école. www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201211/13/01-4593463-trouble-dapprentissage-autre-bataille-juridique-en-vue-au-quebec.php
Jusqu'où doit-on aller ? - Émilie
Robert c.o. Vous êtes-vous déjà demandé jusqu'où
allait votre rôle professionnel face aux besoins d'un client ? Je parie que
cela vous arrive plus souvent qu'autrement. Pourtant, si vous faites partie
d'un ordre professionnel, comme c'est mon cas, votre rôle est défini par un
énoncé de compétence et un code d'éthique encadre votre pratique et guide votre
jugement professionnel. Mais c'est rarement aussi simple. Partons d'un exemple
concret. Je travaille auprès d'étudiants en situation de handicap ou ayant des
troubles de santé mentale. Ces étudiants me consultent d'abord pour un motif
d'orientation scolaire et professionnelle. Mais une fois assis dans mon bureau,
ils sont accaparés par des préoccupations immédiates. Pour faire une démarche
efficace, je dois composer avec cette réalité. Ces étudiants consultent la
psychologue ou l'orthopédagogue de mon équipe. Mon travail ne consiste pas à
les suppléer, mais souvent je me retrouve à appeler un étudiant pour lui
rappeler de payer ses frais d'inscription en retard. Je fais des démarches
auprès des professeurs pour aider ces derniers à gérer un étudiant en classe.
J'en aide quelques-uns à organiser leur temps d'études et travaux scolaires
afin de réduire leur anxiété. Une fois qu'ils ont quitté le collège, ils me
rappellent pour des conseils...Ces jeunes ont de multiples besoins et ces
apprentissages contribuent à la fois à préparer leur projet professionnel mais
aussi à se dégager l'esprit pour ensuite
être disponibles à travailler leur projet d'orientation. Où tracer la limite ?
J'y vais d'abord avec mon jugement. J'y vais aussi en fonction du volontarisme
de l'étudiant. Plus il veut s'aider, plus j'alimente cette motivation. Mais
parfois je sens que j'ai outrepassé la limite et je me suis mise à « jouer à la
travailleuse sociale ». Parfois je me dis que j'aurais dû en faire plus, ou
plutôt, faire autrement. Alors au-delà des normes et des codes d'éthique, il
demeure difficile, notamment pour les conseillers d'orientation, d'avoir des
frontières claires quant à notre rôle auprès d'un client. C'est d'ailleurs un
thème qui est au coeur des préoccupations des membres de cette profession.
Depuis que j'en fais partie, il me semble que beaucoup de colloques, congrès,
groupes de travail et conférences portent sur le thème du rôle du c.o. Et je
comprends tellement pourquoi. Notre énoncé de compétence chevauche plusieurs
domaines de la vie des gens. C'est ce qui fait à la fois la spécificité et
globalité de notre profession. Et c'est ce que j'aime tant de ma profession.
Avez-vous des cas qui vous ont fait réfléchir à ce thème ? Qu'en pensez-vous ? www.orientaction.ca/index.php?option=com_content&view=article&id=369&catid=36&Itemid=1
La bascule des mots - Jacques Limoges.
Au cours des dix dernières années, le mot agressif est sorti du giron des
mauvais mots --surtout des mauvais agissements-- pour devenir un comportement
socialement correct, voire valorisé. Ainsi, on fait de plus en plus l’éloge du
caractère agressif d’une stratégie de vente, qu’il s’agisse de la vente d’un
produit, d’un service ou de soi-même comme lors d’une démarche de recherche
d’emploi. Or depuis la dernière campagne électorale québécoise, un autre mot
fait constamment l’objet d’une bascule, cette fois vers le négatif. Il s’agit
du mot improvisation comme dans : « Le gouvernement fait de l’improvisation »,
« La ministre improvise », etc. Quel contraste avec le fait que le Québec est
considéré à juste titre comme le berceau des ligues d’improvisation (http://www.lni.ca), un art de la scène
précurseur de l’ère du clic unique comme dans la publicité qui dit : « D’un
simple clic vous pourrez augmenter votre marge de crédit de 10 000,00 dollars »
! Dans ces ligues d’improvisation, pas
de textes préécrits, pas de mémorisation de lignes, pas de metteur en scène.
Non, un thème sortit d’un premier chapeau, une catégorie théâtrale sortit d’un
deuxième et une durée sortit d’un troisième et, clic (i.e. sifflet), voilà que
l’acteur doit performer, le match vient de commencer ! Comme conseillère et
conseiller, il y a lieu de rappeler que savoir improviser s’avère une dimension
importante de l’adaptation, une compétence qualifiée générique par Rousseau (http://www.competencesgeneriques.com), compétence si fondamentale au 21e siècle à l’heure du zéro délai, des
soubresauts boursiers et de la mondialisation effrénée. Il serait donc dommage,
par exemple, qu’une personne souhaitant une promotion retire ce mot de son CV
surtout s’il maîtrise cette compétence à un niveau élevé. En revanche, il sera
impératif de lui suggérer de la contextualiser afin d’éviter toute
interprétation négative. www.orientaction.ca/index.php?option=com_content&view=article&id=370&catid=36&Itemid=1
De l'avenir pour les «sciences molles» www.lactualite.com/societe/de-lavenir-pour-les-sciences-molles
Ils ont étudié en arts plastiques, en philosophie ou en théologie... et
ils occupent aujourd'hui des fonctions aussi variées qu'historien à Ubisoft et
animateur de télévision ! Portrait de cinq diplômés en sciences humaines qui
ont su tirer leur épingle du jeu.
Louise Richer Directrice
générale de l'École nationale de l'humour (ENH) Bac en psychologie (UQAM, 1976)
« J'ai étudié en psychologie parce que j'ai
un intérêt fondamental pour l'humain, son comportement et les motivations qui
l'amènent à faire des choix. Même si j'ai choisi une autre voie, je ne regrette
pas mes études universitaires : c'est là que j'ai formé ma pensée. Si l'on
choisit les sciences humaines, c'est aussi parce qu'on est habité par des
préoccupations plus larges que sa petite personne. Durant la crise du
printemps, on a vu combien les jeunes qui étudient dans ces domaines étaient
structurés, avaient une pensée, un sens collectif. Je trouve toutefois assez
inquiétante la mentalité selon laquelle les études universitaires doivent être
un investissement rentable dans l'immédiat. Selon moi, il faut prendre le temps
d'évoluer, de se structurer l'esprit, d'acquérir une culture générale, une
capacité de réflexion... Cette préoccupation se reflète d'ailleurs dans la
pédagogie élaborée à l'ENH. Même si nous donnons une formation professionnelle,
il était pour moi essentiel d'élargir notre mandat à la compréhension du monde
environnant. Avec, par exemple, des cours de sciences politiques, de français
et d'histoire de l'humour depuis l'Antiquité. Cela dit, la moitié de nos
étudiants ont un bac - pour la plupart en sciences humaines. »
Maxime Durand Historien à Ubisoft Bac en
histoire (Université de Montréal, 2010) Campement d'hiver de George Washington
à Valley Forge. Incendie de New York en 1776. Massacre de Boston. Combats à la
pointe du mousquet. Batailles navales. Architecture. Vêtements... Chaque
élément historique d'Assassin's Creed III, le nouveau jeu vidéo d'Ubisoft, en
magasin le 30 octobre, a été vérifié et approuvé par Maxime Durand. Ce
bachelier en histoire de l'Université de Montréal a été recruté en 2010 comme
historien-recherchiste. Sa mission : effectuer une
recherche en vue de l'élaboration du troisième opus de la populaire série
Assassin's Creed, qui se déroule durant la guerre de l'Indépendance des
États-Unis. « Le joueur s'immergera
totalement dans le 18e siècle, dit-il. Et participera aux moments marquants de
la révolution américaine. » Un emploi rêvé pour
un jeune homme féru de jeux vidéo, qui se destinait à l'enseignement. « Je ne croyais pas
jouer un rôle aussi important. Or, on m'a confié énormément de pouvoir et de
liberté. » Et alors qu'il
avait été recruté sous contrat pour le temps de sa recherche (qui a duré deux
ans et demi), Maxime a finalement décroché un poste permanent comme
coordonnateur de production. D'autres historiens sont en poste à Ubisoft, mais
leurs tâches ne sont pas toujours liées à leurs études. Par exemple, l'un
d'entre eux travaille comme « écrivain » (histoire et
dialogues de jeux) et un autre comme acheteur.
Jean-Luc Mongrain Journaliste et
animateur de télévision Bac en théologie, éthique et philo (Université de
Sherbrooke, 1975). « Mes études en sciences humaines m'ont permis d'élaborer
une grille d'analyse du comportement de l'être humain, de ses aspirations, de
ses limites, de sa quête de sens, de sa foi en lui-même ou en son groupe, sa collectivité.
Que ce soit par les textes théologiques, la psychologie, la sociologie ou
l'anthropologie, cet apprentissage s'est avéré une source formidable pour moi,
comme commentateur de la vie politique et de l'organisation sociale.
L'éclairage théologique et sociologique m'a beaucoup aidé, par exemple, à
analyser la question des accommodements raisonnables. Pas plus que la valeur
d'une société ne repose que sur son PIB, la rentabilité du savoir ne se mesure
pas par la seule valeur économique, monétaire. Choisir un programme d'études en
se laissant subjuguer par l'appât du gain n'a aucun sens. »
Louis Garneau
Ex-champion cycliste ; président fondateur de Louis Garneau Sports Bac en arts
plastiques (Université Laval, 1983) « Les arts mènent à tout. Étudier en arts,
ça ouvre l'esprit, ça stimule la créativité et l'innovation. Et l'innovation,
c'est ce qui fait que notre entreprise est toujours en vie : on fêtera nos 30
ans l'an prochain. On devrait inclure une formation en arts dans les cours
d'administration. Un produit qui est beau, qui a la bonne couleur, la bonne
forme, va se vendre partout dans le monde. Alors qu'un produit laid, mal
dessiné, coûte souvent le même prix qu'un beau produit, mais peut conduire à
des échecs dramatiques pour les entreprises. Ma pratique est commerciale, mais
je garde un esprit artistique dans tout ce que je fais. Il ne se passe pas une
journée sans que je dessine, dans ma tête ou sur un bout de papier, un objet,
une forme, une invention. Les casques sont des sculptures, et les maillots, des
tableaux : ça va au-delà du simple objet. Je suis heureux d'avoir été chercher
le côté pratico-pratique des arts, mais j'ai aussi une activité artistique : je
continue de peindre. J'ai installé mon atelier dans les locaux de l'usine. J'ai
une fondation et je redonne le produit de la vente de mes tableaux à des œuvres
de charité. »
Philippe Lapointe Vice-président
principal au développement des médias multiplateformes, TC Média
(Transcontinental) Maîtrise en philosophie (Université de Montréal, 1981) «
J'ai aimé passionnément mes études supérieures de philosophie. Étudier la
philo, c'est étudier de grands textes de gens qui ont consacré leur existence à
essayer de comprendre le sens de la vie et d'ordonner le monde selon une
certaine raison. C'est aussi un apprentissage de la pensée critique, dans le
sens justement de ce que les philosophes appellent « l'usage juste de la raison
». La philosophie est l'antidote par excellence à la démagogie et à la pensée
magique. D'ailleurs, les talibans ont interdit la philosophie, parce qu'elle
est par définition liberté.mPour le jeune journaliste que j'ai été, la philo
m'a certainement aidé à poser les bonnes questions, à énoncer clairement des
réalités complexes. Pour le gestionnaire que je suis devenu, la philo aide à
penser « out of the box », et donc encore là à poser les bonnes questions. Pour
ceux qui associent la philosophie à un passé lointain, je recommanderais la
lecture de deux penseurs québécois contemporains, Jean Grondin (Du sens de la
vie) et Charles Taylor (Les sources du moi). »
Pas de récession pour les jeunes
Après avoir profité du boom économique
des années 2000, voilà que les travailleurs de la génération Y surfent sur une
nouvelle vague : les employeurs se les arrachent ! www.lactualite.com/20090504_152308_8020
Les emplois payants qui ont de l'avenir
!
Les mises à pied se multiplient au
Québec, mais des milliers d'emplois lucratifs attendent toujours d'être
pourvus. Lueur d'espoir en temps de crise. http://www.lactualite.com/20090508_150509_7808
Je vous propose d'offrir aux membres de
votre association une mise à jour sur les rectifications de l'orthographe en
français. Plusieurs ouvrages les admettent maintenant : le Petit Larousse
(2012), le Bescherelle, le logiciel Antidote, le Multidictionnaire, parmi bien
d'autres. La session de formation, qui dure habituellement de 2 h 30 à 3 h, se
déroule dans un contexte interactif, dynamique et souple. Elle comprend les
avancées dans le domaine de l'éducation, les ouvrages de référence et les
logiciels à jour, les nouvelles règles et des exercices avec corrigé. Linguiste
chevronnée, je compte 25 années d'expérience en animation de sessions de
formation : je me rendrai dans votre milieu, à la date qui vous conviendra. À
noter que je réponds régulièrement aux demandes du réseau scolaire (écoles
primaires et secondaires (réseau privé ou public), cégeps ou collèges,
universités), à l'échelle du Québec, de même que dans les Maritimes et dans
l'Ouest canadien. N'hésitez pas à communiquer avec moi pour obtenir plus de
détails. Hélène Dumais, M.A. (Université Laval, 1982) Hélène Dumais helene.dumais@videotron.ca Linguiste www.hdumais.com Formatrice agréée auprès de la
Commission des partenaires du marché du travail.
DÉCOINCER CE CLIENT COINCÉ
http://media.ofsys.com/T/OFSYS/H/609350/HfIa7E/Carrièrévolution%20-%20Volume%203%20Numéro%203_MB.pdf et Au cours de la dernière année, le Conseil canadien pour le
développement de carrière (CCDC) a établi un groupe de travail sur la certification formé de représentants de
toutes les provinces qui offrent ou offriront éventuellement la
certification aux professionnels en développement de carrière et aux
conseillers d’orientation.
Le Guide des études et de l'éducation
permanente au Québec : à paraître en novembre 2012. Destiné aux étudiants ainsi
qu’aux travailleurs intéressés par les opportunités d’études et de formations
permanentes au Québec, il présente l’éventail des services offerts par les
universités, Cégeps et écoles à Montréal et en région. Il analyse les
particularités du système québécois et présente des témoignages et des conseils
pour bien choisir sa formation, réussir ses études et atteindre ses objectifs
professionnels. Enfin, il oriente sur les procédures relatives à l’obtention
d’un visa d’étude et sur les opportunités offertes aux étudiants pour rester
vivre au Québec. Un Guide pour qui ? Les résidents permanents, en tant que
parents ou pour eux-même. Les étudiants. Fidèle aux principes d'Immigrant
Québec, le Guide sera gratuit et téléchargeable sur le site. www.immigrantquebec.com/guide-des-etudes-et-de-leducation-permanente-au-quebec/
Collégial
Le nombre d'élèves en difficulté
explose dans les cégeps. Le nombre d'étudiants en difficulté dans les cégeps a
connu une augmentation fulgurante au cours des deux dernières années. D'environ
3000 en 2009-2010, il est passé à près de 9000 en 2011-2012, selon des chiffres
provisoires de la Fédération des cégeps. À l'approche du premier budget du
gouvernement Marois, le réseau collégial lance un appel à l'aide et réclame un
financement à long terme www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201211/08/01-4591507-le-nombre-deleves-en-difficulte-explose-dans-les-cegeps.php
Universitaire
Le nombre d’élèves diminue encore
à Rouyn-Noranda L’effectif scolaire de la
Commission scolaire de Rouyn-Noranda (CSRN) ne cesse de diminuer. Avec les
coupes budgétaires qui devraient survenir pour une troisième année consécutive,
la situation est inquiétante. En 2010-2011, la CSRN comptait 4962 élèves dans
ses murs, un effectif qui a diminué à 4794 pour l’année en cours, une
diminution de 168 élèves. Toutefois, malgré cette situation précaire, Yves
Bédard, directeur général de la CSRN, assure que cette diminution d’élèves
cadre avec les prévisions de l’organisation. «On est à la queue de la période
de diminution de clientèle importante qu’on a connue. Est-ce que c’était la
dernière année? On se croise les doigts, on espère que oui, mais on n’est pas à
l’abri», admet-il. Les impacts budgétaires. Il est certain que cette diminution
a un impact direct sur le budget de la CSRN puisque les commissions scolaires
sont majoritairement financées en fonction de leur nombre d’élèves. «
Présentement, notre situation est précaire au niveau financier et avec la
situation de plein emploi qu’on vit actuellement, nos centres d’éducation des
adultes et professionnels ont beaucoup de difficulté à aller chercher de la
clientèle et de la maintenir en place», informe le directeur général. Pour ce
qui est d’atteindre l’équilibre budgétaire prochainement, le directeur général
l’espère bien, mais «il reste que les coupures qui ont été faites sont quand
même majeures et ont un impact inimaginable.» «On analyse notre organisation, on
est en plan de redressement et on essaie de trouver des solutions pour arriver
à un certain équilibre. C’est un défi au quotidien», rétorque-t-il. Une
possible augmentation des élèves. Malgré un effectif scolaire qui s’en va en
diminuant, le nombre d’élèves au préscolaire se maintient alors qu’il diminue
très peu au primaire. La diminution majeure se voit au secondaire avec 146
élèves de moins qu’en 2010-2011. «On pensait avoir un petit peu plus
d’augmentation au niveau du préscolaire, mais ça se maintient et c’est ça qui
est important. Tant que la situation n’est pas en chute libre, ça, c’est une
bonne nouvelle pour nous», conclue Yves Bédard. www.hebdosregionaux.ca/abitibi-temiscamingue/2012/11/06/le-nombre-deleves-diminue-encore-a-rouyn-noranda
Les emplois payants qui ont de
l'avenir ! Les mises à pied se multiplient au
Québec, mais des milliers d'emplois lucratifs attendent toujours d'être
pourvus. Lueur d'espoir en temps de crise. On n'aurait pas imaginé, il y a 10
ans à peine, que les mineurs se tailleraient une place dans le palmarès des 100
emplois d'avenir les mieux rémunérés. Ils y sont, pourtant. Et en très bonne position.
Leur revenu annuel moyen — 72 000 dollars, et jusqu'à 90 000 avec les primes —
les place devant les ingénieurs en aérospatiale, les architectes et les
policiers ! Tout cela avec un diplôme d'études secondaires, plus huit mois de
formation professionnelle. Sur cette
liste des emplois d'avenir les plus payants au Québec, les mineurs constituent,
bien sûr, une exception. Les boulots qui exigent au minimum un diplôme d'études
collégiales — occupés par les travailleurs qu'on dit « hautement qualifiés » — sont
encore les mieux rétribués. « Depuis 40 ans, ces emplois occupent une part sans
cesse croissante dans l'ensemble du marché du travail », dit Normand Roy,
économiste au ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale du Québec. Le
moment de parler d'emplois payants peut sembler mal choisi. Après tout, pas une
semaine ne passe sans qu'on annonce des mises à pied. Bombardier, CAE, QIT-Fer
et Titane, Pratt & Whitney, autant de fleurons du Québec inc. qui
suppriment des postes par centaines depuis janvier. Et les économistes
n'annoncent rien qui puisse redonner espoir aux chômeurs : 75 000 mises à pied
prévues au Québec en 2009. Jusqu'à 400 000 au Canada. Aux États-Unis,
uniquement en mars, 663 000 travailleurs ont perdu leur gagne-pain. Mais la
reprise viendra. Et avec elle, la chasse aux travailleurs. D'ici 2012, au
Québec, 700 000 postes devront être pourvus. Ou presque. Les économistes
révisent ces chiffres présentement. La situation économique a beau avoir changé
depuis l'an dernier, la démographie, elle, nous place devant la même évidence :
les baby-boomers prendront un jour leur
retraite. « Pour les jeunes, l'heure n'est pas au découragement, dit Normand
Roy, d'Emploi-Québec. On a une ou deux années difficiles devant nous, mais le
marché du travail est toujours de plus en plus accueillant. » Médecine, prévention des incendies, gestion,
génie, pilotage, plomberie, soudure... Les jeunes qui veulent faire de l'argent
ont l'embarras du choix et les employeurs leur font les yeux doux. En
extraction minière seulement, au moins 1 000 nouveaux travailleurs devront être
recrutés d'ici cinq ans. « Devant la retraite des baby-boomers, toutes les professions sont en état d'alerte,
dit Daniel McMahon, président de l'Ordre des comptables agréés du Québec. On se
bat tous pour attirer les jeunes. »
L'Ordre des CA multiplie les campagnes publicitaires depuis cinq ans
pour rendre la profession plus sexy. Elles ont porté leurs fruits. Le nombre de
jeunes comptables qui se présentent à l'examen d'agrégation est passé de 394 en
2004 à environ 700 cette année. « Nous avons atteint un équilibre, se félicite
Daniel McMahon. Mais dès que l'économie prendra du mieux, on retombera en
manque de personnel. » Depuis cinq ans,
la pénurie de comptables agréés a entraîné les salaires vers des sommets. Ils
gagnent désormais 130 000 dollars par année en moyenne, estime leur ordre
professionnel. Une croissance de 20 % à 25 % depuis 2004. http://www.lactualite.com/20090508_150509_7808?page=0,0 Plusieurs facteurs
font grimper les salaires, explique Florent Francœur, président-directeur
général de l'Ordre des conseillers en ressources humaines agréés du Québec. La
pénurie de travailleurs en est l'un des principaux. « En ce moment, les
plombiers peuvent exiger à peu près ce qu'ils veulent », dit-il. À cela
s'ajoutent le facteur conjoncturel (« le bogue de l'an 2000 a porté les
salaires des informaticiens à la hausse »), les heures supplémentaires (« qui
permettent aux policiers et aux pompiers de presque doubler leur revenu ») et
la demande de certains types de travailleurs (« les géants de l'aéronautique
s'arrachent les ingénieurs »). Il reste
qu'en général le salaire réel des Québécois — calculé en fonction du pouvoir d'achat
qu'il procure — diminue depuis 30 ans. « Le libre-échange, la faiblesse de
l'économie, la force du dollar américain ont fait que les hausses de salaires
obtenues depuis les années 1970 correspondent à la hausse du coût de la vie »,
dit l'historien Jacques Rouillard, spécialiste de l'histoire du syndicalisme
québécois. Depuis le début des années
2000, ce sont les professions médicales qui ont pris la tête du classement des
emplois d'avenir. « Une question de démographie, dit Normand Roy, d'Emploi-Québec.
La population vieillissante demande de plus en plus de soins. » Malgré un salaire de 140 000 dollars — soit
100 000 dollars de plus que ce que gagne en moyenne le travailleur québécois —,
la profession d'omnipraticien attire peu. « Idéalement, il faudrait 800
nouveaux omnipraticiens juste pour combler les besoins actuels », dit Louis
Godin, président de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec.
L'automne dernier, la Fédération a mis sur pied un plan d'action pour
convaincre les étudiants en médecine de s'orienter vers cette pratique. Entre
autres mesures : augmenter les salaires, question de freiner l'exode des jeunes
médecins vers les spécialités et vers les autres provinces canadiennes. Cela dit, soigner des bobos ne branche pas
tout le monde. Si vous tenez tout de même à ce que votre compte en banque soit
bien garni, pensez génie, droit, finance, gestion de personnel, actuariat,
mécanique ferroviaire. Revenus annuels : plus de 70 000 dollars. Vous n'êtes
pas du genre à traîner sur les bancs d'école ? Devenez plombier, soudeur,
facteur, croupier, militaire. Salaire moyen d'au moins 40 000 dollars garanti.
Mais force est de constater qu'il s'agit d'emplois occupés en majorité par des
hommes. Si elles veulent un salaire décent, les femmes doivent étudier plus
longtemps. Ou opter pour un métier de gars ! Les anciens modèles d'emploi ont
la vie dure, estime l'historien Jacques Rouillard. Certains domaines sont
encore réservés aux femmes. Souvent, ce sont des emplois moins bien rémunérés.
Coiffeuse, préposée aux bénéficiaires, aide familiale... « Mais les choses
changent, dit ce professeur de l'Université de Montréal. On assiste à la mixité
homme-femme dans de plus en plus d'emplois. » Si les diplômes d'études
professionnelles sont surtout l'affaire des hommes, les salles de cours des
universités sont de plus en plus occupées par les femmes. Elles comptent pour
les deux tiers des étudiants en médecine et en génie. « Il faudra un jour
songer à une façon de ramener les hommes dans ces facultés », dit Florent
Francœur, de l'Ordre des conseillers en ressources humaines agréés. Et côté
salaire, les médecins sont gâtés.
Accorder trop d'importance au salaire est une erreur, prévient Isabelle
Michaud, conseillère en orientation et psychothérapeute de Québec. « Il faut
d'autres motivations que l'argent pour se lever chaque matin et aller
travailler. » Laurent Craste, 40 ans,
peut en témoi gner. Après ses études en médecine vétérinaire à Paris —
entreprises notamment en raison du salaire de plus de 100 000 euros que cela
lui assurait —, il a tout laissé tomber pour devenir … céramiste. « Je ne
pouvais pas m'imaginer vacciner des animaux toute ma vie, dit-il. Mon travail
de création m'apporte une grande satisfaction intellectuelle. » Son salaire ?
Vingt mille dollars. « Et pas le moindre regret ! » La rémunération demeure tout de même un
élément central du recrutement et de la fidélisation des employés, estime
Florent Francœur. « En tant qu'employeur, si vous offrez un salaire en dessous
de ceux qu'offrent vos concurrents, bonne chance pour recruter. » Le salaire convaincra peut-être un employé
d'aller travailler chez un concurrent. Il n'aurait cependant aucune influence
sur les jeunes au moment de choisir leur carrière. « Je ne connais personne qui
devient médecin parce qu'il veut gagner 300 000 dollars par année, conclut
Florent Francœur. On choisit un métier d'abord parce qu'il nous passionne. »
Une recherche novatrice aux
répercussions mondiales pour l'industrie minière. L'un des principaux problèmes
environnementaux associés à l'exploitation minière est la production de
quantités importantes de rejets miniers solides entreposés en surface. Ainsi
exposés, ils peuvent causer la contamination des eaux de drainage. Par
ailleurs, des études antérieures montrent que certains rejets miniers peuvent
séquestrer du CO2. Cependant, il existe peu d'information quant aux
répercussions de ce phénomène par certains rejets miniers sur la qualité des
eaux de drainage qui peuvent devenir très alcalines. Soulignons que les
directives québécoises et les normes canadiennes interdisent le rejet dans
l'environnement d'eaux alcalines à pH supérieur à 9,5. En comprenant mieux ces
phénomènes géochimiques, il sera possible d'améliorer les outils de prédiction
de la qualité des eaux de drainage minier. Ainsi, il sera plus facile de
proposer des options de gestion des rejets appropriées pour les compagnies
minières qui doivent gérer ce type de rejets. www.uqat.ca/universite/medias/communiques/index.asp?RefCom=869
Documentation
Vers des besoins criants dans le camionnage Décroissance de l'emploi et besoin de travailleurs: c'est ce qu'on retient du dernier diagnostic de la main-d'oeuvre dans le secteur du transport routier de marchandises au Québec fait par le Comité sectoriel de main-d'oeuvre de l'industrie du transport routier au Québec (CAMO-route). N'est-ce pas un peu paradoxal? «La décroissance de l'emploi est due à la situation économique difficile, mais là, on sent la reprise dans l'industrie, explique Mario Sabourin, directeur général du CAMO-route. D'ici trois ans, on aura un bon manque de main-d'oeuvre.» http://affaires.lapresse.ca/cv/201211/12/01-4592830-vers-des-besoins-criants-dans-le-camionnage.php
Éclipse solaire
totale en Australie (vidéo) www.lapresse.ca/videos/actualites/201211/14/46-1-magnifique-eclipse-solaire-en-australie.php/350d6ce6fdd7403ea9c907f61036cd05
La Soirée d’information sur le Web de
l’Université d’Ottawa se tiendra le jeudi 6 décembre 2012. Nos présentations
seront diffusées en direct sur le Web pour permettre aux futurs étudiants et à
leurs parents qui n’habitent pas la région d’Ottawa de bénéficier des précieux
renseignements et conseils fournis. La présentation en français sera diffusée à
18 h (HNE) et celle en anglais à 19 h 30 (HNE). L’information portera
principalement sur les étapes importantes de l’admission au premier cycle des
élèves des écoles secondaires et des cégeps du Canada, les dates limites et les
façons de maximiser le potentiel de bourses. Après l’événement, les
présentations seront aussi disponibles en ligne sur notre site Web www.admission.uottawa.ca/Default.aspx?tabid=3567 . Pour obtenir tous les détails concernant l’activité,
rendez-vous à notre site Web. Nous vous invitons à diffuser l’information
ci-dessus dans vos communications aux parents et à la faire circuler auprès de
vos élèves. De plus, les élèves recevront bientôt une invitation par courriel. liaison@uOttawa.ca
Journée information scolaire à
l’UQAC
Diplôme universitaire : emploi garanti ou un an gratuit L’Université de Regina, en Saskatchewan, fait le pari que
ses diplômés trouveront un emploi dans leur domaine dans les six mois suivant
l’obtention de leur bac. Peu importe leur discipline. S’ils n’y arrivent pas,
ils auront droit à une année d’études supplémentaires, sans frais ! http://www.lactualite.com/societe/education/diplome-universitaire-emploi-garanti-ou-un-gratuit
Avec plus de 2 800 inscriptions, EDUlib remporte un vif
succès auprès du public. Avec plus de 2 800 inscriptions enregistrées en moins
de deux semaines, HEC Montréal est heureuse de souligner le succès d'EDUlib,
une plateforme où l'on trouve des cours universitaires à libre accès, une
première au Québec. www.hec.ca/nouvelles/2012/nouv_201295_EDUlib_inscription.html
Scolarité universitaire: le Québec est à la traîne www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201211/14/01-4593548-scolarite-universitaire-le-quebec-est-a-la-traine.php
Documentation
Vers des besoins criants dans le camionnage Décroissance de l'emploi et besoin de travailleurs: c'est ce qu'on retient du dernier diagnostic de la main-d'oeuvre dans le secteur du transport routier de marchandises au Québec fait par le Comité sectoriel de main-d'oeuvre de l'industrie du transport routier au Québec (CAMO-route). N'est-ce pas un peu paradoxal? «La décroissance de l'emploi est due à la situation économique difficile, mais là, on sent la reprise dans l'industrie, explique Mario Sabourin, directeur général du CAMO-route. D'ici trois ans, on aura un bon manque de main-d'oeuvre.» http://affaires.lapresse.ca/cv/201211/12/01-4592830-vers-des-besoins-criants-dans-le-camionnage.php
Scolarisés et analphabètes http://m.ledevoir.com/societe/education/363657/scolarises-et-analphabetes
Enfant intimidé, adolescent
agressif http://www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-sociales-psychologie/20121029-enfant-intimide-adolescent-agressif.html
Sensibilité au rejet basé sur l'apparence Certaines personnes s'attendent
anxieusement à être rejetées à cause de leur apparence physique et cette
sensibilité peut avoir des conséquences sérieuses sur la santé mentale et
physique selon de récentes études publiées dans la revue Personality and Social
Psychology Bulletin. Amener les gens à penser à leurs points forts et à leurs
relations proches peut aider à atténuer ces effets négatifs. Dans une première
étude, la psychologue Lora Park a développé et validé une échelle mesurant la
sensibilité au rejet basé sur l'apparence physique auprès de 242 étudiants.
Ceux qui obtenaient des résultats élevés étaient plus susceptibles d'avoir
aussi une faible estime de soi, un niveau élevé de neuroticisme, un style
d'attachement insécure, de baser leur valeur personnelle sur leur apparence et
de se considérer comme peu attrayant physiquement. Ils rapportaient également
davantage de symptômes de troubles alimentaires. www.psychomedia.qc.ca/image-corporelle/2007-12-18/sensibilite-au-rejet-base-sur-l-apparence
La quête de l'indice
L'inspection préachat, c'est
chercher l'indice. En quoi consiste le travail de l'inspecteur en bâtiment? À
réaliser un examen visuel attentif, d'un oeil plus exercé que celui du client
moyen, des systèmes et des composants d'une maison. Comment choisir le bon?
Voici quelques pistes. http://maison.lapresse.ca/habitation/conseils/201211/07/01-4591391-la-quete-de-lindice.php
Missions humanitaires, Volontariat
international et Stages à l'étranger. À travers des missions de bénévolat et
des stages en Afrique, Asie, Amérique Latine et Europe de l'Est, Projects
Abroad permet aux volontaires de progresser dans leur développement personnel.
Aucune qualification particulière n‘est nécessaire. Vous aussi, vous pouvez
participer ! Vous choisissez individuellement le type de mission, le pays
d‘action, la date de départ et la durée du programme. Depuis notre création en
1992, plus de 40 000 volontaires ont vécu avec nous une expérience unique.
Contactez-nous pour discuter vos projets ou commandez une brochure dès
maintenant ! www.projects-abroad.ca/fr
L'exploitation des gaz de schiste
compromet celle des énergies renouvelables www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-technologies/20121029-lexploitation-des-gaz-de-schiste-compromet-celle-des-energies-renouvelables.html
La direction de l’UQAT est heureuse de vous accueillir pour le Xe congrès de l’ACOC en 2013 (28 au 31 mai, à la même semaine que le Festival des Guitares du Monde en Abitibi-Témiscamingue) ANNE-MARIE NADEAU Agente de recrutement Service des communications et du recrutement Campus de Rouyn-Noranda Anne-Marie.Nadeau@uqat.ca Osez l’Abitibi-Témiscamingue lors du Xe Congrès de l’ACOC. C’est avec plaisir et fébrilité que l’équipe du Service des communications et du recrutement vous attend pour vous faire connaître notre université, mais surtout, pour vous faire vivre l’expérience UQAT! Le nord-ouest du Québec regorge de beautés et de trésors peu connus. Profitez du congrès de l’ACOC pour découvrir ce qui se cache de l’autre côté du Parc De La Vérendrye. Avant-goût de la programmation : expérimentation du studio MoCap; La culture autochtone; L’art-thérapie; Visite minière; Festival des guitares du monde en Abitibi-Témiscamingue; et plus encore!
C'est officiel: l'OCCOQ recevra le Congrès mondial de l'Association internationale d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec du 3 au 5 juin 2014.
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Quelque Chose de l'ACOC
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