13 avril 2011

V 9 No 21: La Cote R et les cours échoués

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin www.quelquechosedelacoc.blogspot.com 
(749 membres, 9e saison du bulletin électronique)
Partenaires du IXe Congrès de l'ACOC 2011 
Section Nouvelles www.acoc.info
Programmes universitaires encore ouverts aux admissions
Inscription au Congrès 2011 de l'ACOC

Décès d’André Gagné (cofondateur de l’ACOC, 1er trésorier) À son domicile le 23 janvier 2011, est décédé à l'âge de 62 ans MONSIEUR ANDRÉ GAGNÉ, fils de feu monsieur Evariste Gagné et de feue Émilia Donahue demeurant à Gaspé et autrefois de Percé. Monsieur André Gagné laisse dans le deuil: 1 frère, 2 soeurs, 1 beau-frère, plusieurs neveux, nièces, oncles, tantes, cousins, cousines et de nombreux amis. Les services professionnels ont été confiés à la Résidence Funéraire Valère Fortin inc de Gaspé www.hgdivision.com/?id=9&titre=Avis_de_deces&em=2  Le service aura lieu le 3 juin 2011 à 14h00 à Gaspé. Envoyer vos condoléances en cliquant sur ce lien www.hgdivision.com/?funeraire=1&condoleance=1&idavis=3673  " André Gagné, l'homme aux chaussettes blanches et aux chemises colorées, est décédé le 20 janvier dernier. Durant 20 ans, André s'est occupé d'organiser les perfectionnements collectifs des c.o. du collégial avec le défunt C2P4. Non, C2P4 n'est pas un robot, c'est le Comité collégial de perfectionnement provincial du personnel professionnel. Grâce à André, nous avions « notre formation continue ». La fin du C2P4 n'a pas empêché André de s'impliquer. Il a été co-fondateur de l'Association des c.o. du collégial (ACOC) et a fait partie du premier conseil exécutif de l'ACOC en 2001. Écrivain à ses heures, tous les prétextes étaient bons pour envoyer aux journaux des « lettres aux lecteurs »; politique, éducation, vie syndicale, etc. Ses lettres ont d'ailleurs été publiées à maintes reprises. Tu nous manque déjà, André. Allez, au revoir! " Hélène Trudeau, c.o. présidente de l'ACOC

79 membres (réguliers, associés, honoraire) inscrits au IXe Congrès de l'ACOC : L’énergie du savoir http://www.congresacoc.com/ . Tous ceux et celles qui reçoivent le bulletin électronique peuvent s’inscrire au IXe Congrès de l’ACOC. Sur le site du congrès, vous avez toute l’information dont le programme et le formulaire d’inscription et le lien pour réserver votre hébergement. Pour visiter les résidences, aller sur cette page  https://oraprdnt.uqtr.uquebec.ca/pls/public/gscw031?owa_no_site=232 . Le lien pour réserver est prêt et fonctionnel: www.uqtr.ca/residencesms  Il faut cliquer sur Colloques et congrès dans le bas de ce lien (carré vert) et indiquer dans le formulaire au menu déroulant ACOC 2011. Le Comité de perfectionnement recommande fortement cette option d’hébergement. Les congressistes seront dans la résidences R qui est une résidence toute neuve, très bien située à côté du CIPP (Centre intégré de pâtes et papiers, où aura lieu le Cocktail des partenaires de l'ACOC mercredi à 17h30), collée sur la piste cyclable (marche en nature); il n'y a pas d'hôtels près de l'UQTR et il y a plusieurs options à la résidence (voir sur notre site web du congrès) soit en chambre unique ou en appartements partagés avec 1-2-3 collègues (que vous pouvez indiquer sur votre formulaire).

L’UQTR http://www.uqtr.ca/  (vidéo www.uqtr.ca/video , plan du campus www.uqtr.ca/campus/plancampus.shtml) est fière d'accueillir le IXe congrès de l'ACOC qui aura lieu les 1, 2 et 3 juin prochain à Trois-Rivières dans la belle région de la Mauricie. Le Comité de perfectionnement s'est engagé à vous proposer une programmation des plus énergisantes. Pour effectuer votre inscription, veuillez télécharger et compléter le formulaire (n'oubliez pas de l’enregistrer sur votre ordinateur http://www.congresacoc.com/ ). Vous devrez par la suite l’imprimer et le poster en incluant votre chèque  au nom de l'ACOC à la trésorière Diane Fortin, c.o. De plus, afin d'obtenir un reçu, veuillez transmettre une copie du formulaire complété à acoc@videotron.ca  (n'oubliez pas d'inclure votre formulaire complété dans votre courriel).

Si vous indiquez dans le formulaire que vous serez présent au Mini-colloque sur l’évaluation en orientation le mardi 31 mai à l'UQTR (pour les membres de l’ACOC inscrits au IXe Congrès, sans frais supplémentaires d'inscription sauf repas et hébergement; d’autres informations parviendront aux inscrits à cette activité en mai), nous vous conseillons de suivre l’autoformation au Guide d'évaluation en orientation qui est fortement recommandée comme préalable à la participation à cette activité.  L’autoformation est une première étape d’appropriation du Guide d’évaluation en orientation. Allez sur le site de l’ordre (inscription gratuite) http://www.orientation.qc.ca/ à Zone membre, Événements, Recherche par thème, Processus et instruments d'évaluation, Autoformation sur le Guide d'évaluation (cliquer là pour s’inscrire).

Invitation mardi dernier aux médias : La FECQ dévoile deux sondages sur la Cote R et interpelle la ministre Line Beauchamp. La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) invite les représentants des médias à une conférence de presse le mardi 12 avril à Québec concernant la méthode d'évaluation des étudiants au collégial. La FECQ est appuyée dans sa démarche par : la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ), la Fédération des enseignantes et enseignants de cégep (FEC-CSQ), la Fédération du personnel de soutien de l'enseignement supérieur (FPSES-CSQ), les Services collectifs inc. et l'enseignant chercheur Jacques Roy. La FECQ dévoilera deux sondages sur la Cote de rendement au collégial (Cote R) et un étudiant vivant une injustice en raison du calcul de sa Cote R viendra témoigner. La FECQ et ses partenaires interpelleront la ministre de l'Éducation Line Beauchamp alors que le Comité de gestion des bulletins d'études collégiales (CGEBEC) se penche sur le rôle et le calcul de la Cote R. Quoi : Dévoilement de deux sondages sur la Cote R et demande à la ministre Beauchamp Où : Salle 103 B et C, Centrale des syndicats du Québec, 320, rue St-Joseph Est, Québec Quand : Mardi 12 avril 2011 à 10h Qui : Léo Bureau-Blouin, président de la FECQ Louis-Philippe Savoie, président de la FEUQ Mario Beauchemin, président de la FEC-CSQ François Kirouac, coordonnateur général des Services collectifs inc. (association étudiante du Cégep de Ste-foy) Jacques Roy, enseignant chercheur au Cégep de Ste-foy et pour l'observatoire jeunes et société Alexandre Blanchette, étudiant au Cégep de Victoriaville. La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) représente près de 55 000 étudiants réunis dans 22 associations étudiantes présentes sur l'ensemble du territoire québécois. Depuis 20 ans, elle défend et promeut les droits et intérêts des étudiants des cégeps. www.fecq.org/Invitation-aux-medias-La-FECQ,296

La FECQ réclame de l'indulgence pour la Cote R. Les cégépiens souhaitent bénéficier d'une chance de se racheter pour les cours échoués qu'ils reprennent avec succès. La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) souhaite que la note qui a mené l'élève à l'échec ne soit plus comptabilisée dans le calcul de la cote de rendement au collégial (Cote R) lorsque le cours a été repris avec succès. Le calcul actuel fait en sorte qu'une mauvaise note entache l'ensemble du dossier de l'élève, même une fois le cours repris et réussi. La FECQ soutient que 76,6 % des 1000 élèves sondés veulent ainsi préserver leur Cote R afin de ne pas nuire à leurs chances d'accéder à l'université. La FECQ a mené cette enquête nationale auprès de 1000 élèves. Un autre sondage, mené par Service Collectif Inc. au Cégep de Sainte-Foy, a obtenu des résultats similaires avec 71,5 % des 4048 répondants qui ont abondé dans le même sens. La FECQ déplore la rigidité de la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ) qui refuse de modifier son calcul de la cote R. La fédération étudiante demande à la ministre de l'Éducation Line Beauchamp d'intervenir . « Le calcul de la Cote R incite au décrochage scolaire. Plutôt que de donner une seconde chance aux jeunes qui sont dans une période souvent difficile de leur vie, on leur suggère de changer de programme ou de rallonger leur parcours. Ça n'a aucun sens! », s'indigne le président de la FECQ, Léo Bureau-Blouin. L'enseignant du Cégep de Sainte-Foy Jacques Roy partage l'avis des étudiants. « Il apparaît absurde qu'un étudiant ayant obtenu 30 points sur 50 à la mi-session se retrouve avec 30 points sur 100 parce qu'il aurait abandonné le cours durant la session. Cela est indéfendable intellectuellement et éthiquement. De plus, il est plutôt particulier que, contrairement au Code criminel qui prévoit des dispositions permettant dans certains cas de faire disparaître un dossier judiciaire, la note de l'étudiant lui portant préjudice reste à vie. » La Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ), la Fédération des enseignantes et enseignants de cégep (FEC-CSQ) et la Fédération du personnel de soutien de l'enseignement supérieur (FPSES-CSQ) appuient les demandes de la FECQ. « C'est déjà difficile pour un étudiant de reprendre un cours, le calcul actuel de la Cote R n'aide en rien la persévérance scolaire », ajoute le président de la FEC-CSQ, Mario Beauchemin. La FECQ représente près de 55 000 étudiants réunis dans 22 associations étudiantes présentes sur l'ensemble du territoire québécois. www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2011/04/12/004-cegep-fecq-coter.shtml  Lire aussi les commentaires sur cet article via la page Internet.

75 % des étudiants souhaitent modifier la Cote R : La FECQ interpelle Line Beauchamp www.lescegeps.com/nouvelles/2011-04-12_75_des_etudiants_souhaitent_modifier_la_cote_r_la_fecq_interpelle_line_beauchamp Voici le texte de leur proposition http://fecq.org/Cote-de-rendement-au-collegial : La FECQ prône que lorsqu’un cours échoué est repris et réussi, la note de l’échec précédent  soit retirée du calcul de la CRC http://fecq.org/IMG/pdf/fecq_coter_problematique_.pdf

CoteR.ca est un outil qui vous permet de comparer les standards d'admission des différentes universités québécoises. http://www.coter.ca/  Outil développé par Gregory A. Lussier

Cote R sur Wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/Cote_R

La cote R - Ne tirons pas sur les cégépiens. Dans sa forme actuelle, la cote R est bel et bien un obstacle à la réussite scolaire Jacques Roy - Professeur-chercheur au Cégep de Sainte-Foy et à l'Observatoire Jeunes et Société 27 septembre 2010 www.ledevoir.com/societe/education/296962/la-cote-r-ne-tirons-pas-sur-les-cegepiens

Le mystère de la cote R
Pour être admis dans un programme universitaire contingenté, les étudiants du collégial doivent avoir une bonne cote R. Et pour avoir une bonne cote R, il faut avoir de bonnes notes. Mais le père d'une étudiante en doute : malgré d'excellents résultats en classe, sa fille a obtenu une cote R décevante. Cela a eu d'importantes conséquences pour elle. Aujourd'hui, son père remet en question ce calcul complexe. www.radio-canada.ca/emissions/la_facture/2010-2011/Reportage.asp?idDoc=139304

Collégial
Intégrer les nouvelles populations étudiantes en situation de handicap : Mission possible ! www.uquebec.ca/capres/Publications/Projet-interordre/bulletin-8fev10.pdf  Bilan des activités www.uquebec.ca/capres/Publications/Projet-interordre/Bulletin-Juin-2010.pdf  LA TRANSITION INTERORDRE : COLLÈGE-UNIVERSITÉ DES FORMULAIRES COMMUNS www.uquebec.ca/capres/Publications/Projet-interordre/Transition.shtml  L'accueil, le soutien et l'intégration des étudiants en situation de handicap au Cégep du Vieux Montréal www.uquebec.ca/capres/fichiers/art_CVM_avril2011.shtml

Déficit d'attention: gare aux faux diagnostics
Ce sont les médecins et les psychologues scolaires qui identifient le plus souvent les enfants souffrant d'un TDAH étant donné les temps d'attente pour rencontrer un neuropsychologue. Le neuropsychologue Benoît Hammarrenger tire la sonnette d'alarme : au Québec comme ailleurs, des médecins prescrivent trop souvent du Ritalin à des enfants qui ne souffrent pas réellement d'un trouble de déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Les faux diagnostics sont nombreux et leurs conséquences peuvent être «dramatiques», dénonce cet expert. www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201104/03/01-4386077-deficit-dattention-gare-aux-faux-diagnostics.php

Printemps 2011 Une publication du site OrientAction : Counseling de carrière auprès des immigrants, l’art de construire des ponts; Tant de croyances, tant d’énergies diffuses ... ! Le bilan de compétences – regards croisés entre la théorie et la pratique; Concevoir le processus de counseling de carrière au regard des acquis de la formation de maîtrise en cariérologie; Un pont vers le succès: meilleures pratiques du programme Passeport pour ma réussite; Une approche stratégique, éclectique et narrative du changement en counseling de carrière; Une approche du counseling de carrière centrée sur les schémas d’adaptation de la personne; Test en ligne: Guide pour s’orienter (GPS); Concevoir une approche du counseling de carrière par l’intégration de l’analyse de projets personnels (APP) www.orientaction.ca/index.php?option=com_content&view=article&id=310&catid=63&Itemid=79

Planification stratégique de l’OCCOQ : La profession vit une transition importante, les défis à relever sont importants pour la protection du public et pour le développement de la profession www.orientation.qc.ca/Ordre/PlanificationStrategique.aspx?sc_lang=fr-CA

Pour notre édition printanière (Portail du réseau collégial), nous vous avons préparé un menu diversifié, dont la caractéristique commune à toutes les composantes est certainement la passion qui anime les personnes qui réalisent les projets, et nous en parlent. Voici ce menu : Une entrevue avec M. Bernard Bérubé, président de la Fédération du personnel professionnel des collèges, à propos de l'arrimage entre formation et emploi. Une collaboration de l'Alliance Sport -études nous permet de vous présenter cet organisme qui vise doublement la réussite de nos jeunes. Une entrevue réalisée avec le PDG du Groupe CTT- Centre d'excellence des technologies textiles, géosynthétiques et matériaux souples ; entrevue qui démontre toute l'importance et l'utilité de l'innovation en matière de textiles. Le programme Performa se donne un nouveau site Web, une nouvelle qui nous parvient de M. Normand Martineau. Campus écodurables : un site Web pour découvrir les initiatives environnementales des collèges et universités du Québec, et particulièrement la cuvée des projets 2010-2011. Dans notre rubrique International, un article sur le projet Sénégal en santé du Cégep du Vieux montréal qui fête ses 10 ans, déjà ! Et à notre Agenda, nous vous rappelons le bouillonnement culturel qui prévaut dans les collèges, au printemps, et plus particulièrement en avril. Comme d'habitude, nous complétons ce menu avec des nouvelles d'intérêt pour le réseau collégial, dont plusieurs se rapportent aux thèmes des dossiers d'actualité. Alors, nous vous souhaitons bonne lecture et bon printemps. www.lescegeps.com/nouvelles/2011-03-28_le_portail_du_reseau_collegial_publie_sa_16e_infolettre

Un détecteur d’infections transmissibles sexuellement et par le sang dans quatre cégeps de la Montérégie. Dans les prochains jours, les étudiants de quatre cégeps de la Montérégie seront invités à passer au détecteur d’ITSS. Attention, l’appareil n’est pas une nouvelle technologie révolutionnaire de prévention, mais plutôt un faux détecteur d’ITSS qui est utilisé pour sensibiliser les étudiants au fait qu’il n’est parfois pas possible de détecter une infection à première vue et que bien souvent, des tests sont nécessaires. www.santemonteregie.qc.ca/agence/presse/communiques/detail/20110328comm.en.html

Collège SALETTE : un nouveau site Internet. Le collège Salette vient de mettre en ligne son nouveau site internet : www.collegesalette.qc.ca Outil de communication stratégique, ce nouveau site internet est appelé à porter l’image et le message du collège auprès d’un large public : étudiants mais aussi parents, enseignants, partenaires, médias, etc. Programme (AEC) : Design graphique / Design Web et médias interactif / Illustration publicitaire (lien de la brochure http://collegesalette.qc.ca/wp-content/uploads/2011/03/brochureSALETTE_2011.pdf . Une section Portfolios a également été mis en place pour permettre aux professionnels d’avoir accès aux portfolios de nos étudiants diplômés et d’obtenir, si désiré, plus d’information sur le candidat potentiel http://collegesalette.qc.ca/portfolios/

Aucun problème culturel n'explique le décrochage
Y a-t-il une culture dans la région qui permettrait d'expliquer l'important taux de décrochage des élèves? Non, démontre une enquête menée par la Chaire de recherche sur la réussite et la persévérance des élèves de la CSRS. On commence à avoir passablement d'information sur les causes du décrochage, qui sont multiples. Mais qu'en est-il de la culture de la réussite scolaire dans la région? Aurait-elle pu jouer un rôle dans le haut taux d'abandon scolaire? C'est ce qu'a voulu savoir la Commission scolaire de la Région-de-Sherbrooke (CSRS), qui a mandaté la chaire pour en savoir davantage sur cette question. «On a appris qu'il n'y a pas de problème majeur dans la société qui peut expliquer le décrochage scolaire», explique Laurier Fortin, professeur titulaire de la Chaire de recherche. M. Fortin a travaillé sur cette étude avec le professeur Sylvain Bourdon, professeur titulaire au département d'orientation professionnelle de l'UdeS. www.cyberpresse.ca/la-tribune/estrie/201103/29/01-4384227-aucun-probleme-culturel-nexplique-le-decrochage.php

Produit en Belgique, le site «Des métiers pour l'informatique» www.awt.be/web/inf  propose des informations et des témoignages sur le vaste monde de l'informatique, ses métiers, ses carrières et les études qui y mènent. De nombreuses vidéos, de riches textes et des images diversifiées illustrent la réalité des travailleurs qui utilisent quotidiennement l'informatique, dans des secteurs aussi variés que la santé ou l'humanitaire. L’ensemble des informations se retrouve également dans un guide téléchargeable. Au bas de la page, le site complémentaire «Des métiers pour le multimédia» www.awt.be/web/mul  . Vous y suivre, à travers 36 fiches-métiers regroupées en 5 catégories, les étapes qui permettent à un produit, ou à un service multimédia, de prendre vie, depuis la décision de production, jusqu’à sa réalisation et sa diffusion. Bien que produit à l’extérieur du Québec, ce site présente plusieurs similitudes avec ce qui se vit ici. Soyez toutefois vigilent quant aux programmes de formation : ceux-ci diffèrent de ceux offerts dans le système scolaire québécois. À votre clavier ! Go !

Pénurie de main-d'oeuvre dans le secteur du vêtement
L’industrie de production de vêtements devra dénicher jusqu’à 13 000 travailleurs d’ici deux ans. La relève et la formation professionnelle manquent toutefois à l’appel, indique un organisme actif dans le secteur. « Seulement pour remplacer les têtes grises qui partiront à la retraite, nous devrons trouver plus de 7 500 travailleurs qualifiés », explique Jean Rivard, directeur général du Conseil des ressources humaines de l’industrie du vêtement (CRHIV). Le secteur du vêtement devrait toutefois connaître une croissance de plus de 12 % au cours de l’année en cours, selon des chiffres de l’entreprise Sageworks Inc, qui œuvre dans l’analyse financière. « Ces prévisions nous laissent croire que nous devrons non seulement remplacer les 7 500 employés qui quitteront pour la retraite. Mais il nous sera aussi nécessaire de trouver 5 000 à 6 000 travailleurs de plus pour combler de nouveaux postes », explique Jean Rivard. L’industrie fait cependant face à un manque criant de formation professionnelle, et cela, au même moment où Québec pense fusionner ses huit différents programmes de formation en production de vêtements en un seul. Jean Rivard ne blâme pas le gouvernement. « Personne ne s’inscrit à ses programmes. L’industrie de l’aiguille doit regarder ailleurs et faire un effort.» « Avant, c’était facile. De 1920 à 1960, l’immigration constituait un terreau fertile pour notre industrie. À l’époque, huit personnes sur dix savaient coudre. Seulement deux sur dix en sont capables aujourd’hui », poursuit-il. « Avec la mondialisation, la fabrication de vêtement bas de gamme s’est déménagée en Asie. Nous nous retrouvons avec des produits de niche de haute qualité qui doivent être confectionnés par une main-d'œuvre très qualifiée. Mais celle-ci manque à l’appel », dit-il. L’industrie n’avait pas embauché depuis plusieurs années à cause des pertes d’emplois occasionnées par les transferts de manufactures en Asie. Mais maintenant que l’hémorragie est contrôlée, le secteur du vêtement doit trouver des solutions. La formation en entreprise est considérée comme une avenue très intéressante. « Louis Garneau et Canada Goose ont réussi superbement à recruter et à offrir une formation de haut niveau à leurs employés », insiste Jean Rivard. La hausse des salaires et la bonification des conditions de travail sont aussi envisagées. « C’est un point très important pour attirer des travailleurs et l’augmentation de la rémunération se fera sentir, c’est certain », avance-t-il. Malgré les problèmes de l’industrie du vêtement au cours des dernières années, l’optimisme rayonne néanmoins dans les propos de Jean Rivard. « Je prédis que nous relèverons le défi d’ici trois à cinq ans. Nous y arriverons parce que l’industrie n’a pas le choix si elle veut survivre. » http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/03/20110330-184628.html

CoeffiScience, le Comité sectoriel de main-d’œuvre : chimie, pétrochimie, raffinage et gaz http://www.coeffiscience.ca/ , dispose de plusieurs outils pour faire découvrir ce secteur professionnel. Parmi les outils offerts, on compte 12 séquences vidéo présentant les professions et métiers les plus demandés dans ce secteur. www.coeffiscience.ca/metiers_et_professions  Vous y observerez des travailleurs, dans leur environnement de travail, exécutant des tâches de tous les jours, parlant de leur quotidien. Rencontrez ces travailleurs. Formation professionnelle :Mécanicien de machines fixes Mécanicien industriel Chaudronnier Tuyauteur industriel; Formation collégiale/technique : Technicien en environnement Technicien en instrumentation Représentant technique Technicien de procédés chimiques; Formation universitaire : Chimiste Hygiéniste industriel Ingénieur chimiste Spécialiste en réglementation Pour de plus amples informations sur les métiers et professions de ce secteur, consultez l’onglet «Promotion des carrières du secteur». www.coeffiscience.ca/promotion_des_carrieres_du_secteur  Trousse des découvertes pétrochimiques: www.coeffiscience.ca/promotion_des_carrieres_volet_scolaire  Laboratoire virtuel. Visitez le tout nouveau laboratoire virtuel sur le site http://www.scienceenjeu.com/ . Une nouvelle façon d'intéresser les jeunes à la science chimique. www.coeffiscience.ca/promotion_des_carrieres_volet_scolaire

Plein de ressources est un portail éducatif produit par le Ministère des ressources naturelles et de la faune http://education.mrnf.gouv.qc.ca/  . Vous y découvrirez, entre autres, un album photos de la faune québécoise, une encyclopédie de nos ressources naturelles, l'atlas détaillé de notre territoire, le répertoire des métiers qui font bon ménage avec la nature, des témoignages de gens passionnés par leur métier, etc. Plusieurs possibilités de navigation s’offrent à vous : Par exemple, en cliquant sur l’un des logos («L’énergie», «La forêt», «Le territoire», «La faune» ou «Les mines»), vous découvriez diverses ressources : témoignages, vidéos, jeux, photos, etc. pour chacun de ces secteurs. Aussi, à partir de la page d’accueil, cliquez en haut de la page, à droite, sur la mention «Je suis étudiant», choisissez votre niveau scolaire (exemple : «Secondaire – 2e cycle»), puis cliquez sur le logo de la loupe. Plusieurs ressources seront affichées. Dans la colonne de gauche de la page, vous pouvez affiner votre recherche en choisissant «Domaine du développement professionnel» dans le menu identifié «Domaine d’apprentissage». Vous aurez ainsi accès à une kyrielle de ressources, dont entre autres :mPlace aux expertsmPlace à la relèvemMythes et réalités Forestia (aussi accessible directement sur le Répertoire PPO) Un espace GRAND comme nous (aussi accessible directement sur le Répertoire PPO) Jeunes cartographes recherchés! Etc. De plus, la rubrique «Nos chroniques» ou le moteur de recherches représenté par «Je rechercher» et une loupe vous présentent d’autres résultats de ressources à consulter, selon vos intérêts et même votre niveau scolaire. Bonnes découvertes!

SITUATION DES IMMIGRANTS SUR LE MARCHÉ DU TRAVAIL QUÉBÉCOIS Diplôme canadien : un atout qui ne fait pas tout. Les immigrants ayant obtenu un diplôme d'études canadien ont davantage de facilité à entrer sur le marché du travail québécois que les autres. L’obtention d’un diplôme canadien facilite l’intégration des immigrants sur le marché du travail, d’après une étude menée par l’Institut de la statistique du Québec, lundi. Mais l’enquête révèle également que l’obtention d’un tel diplôme ne fait pas tout. D’après les statistiques, le taux de chômage des immigrants diminue systématiquement avec la durée de leur résidence au Canada, leur niveau d’étude, mais aussi avec l’obtention d’un diplôme scolaire dans le pays d’accueil. En effet, parmi les immigrants, ceux ayant obtenu leur dernier diplôme d’études au Canada affichent le taux de chômage le plus faible avec 8,5 %, alors que celui des immigrants au Québec est estimé à 13,7 %. « Ce résultat permet de mettre une nouvelle fois en évidence la problématique de la reconnaissance des diplômes étrangers », a déclaré Jean-Marc Kilolo-Malambwe, l’analyste en statistiques du travail qui a mené l’étude. www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2011/03/20110328-163851.html

RECHERCHE DE LA FECQ SUR LA FORMATION À DISTANCE www.fecq.org/Recherche-de-la-FECQ-sur-la

Le Cégep@distance se dissocie de la recherche de la FECQ www.cegepadistance.ca/apropos/communique_cegepadistance_se_dissocie_fecq.asp . Le Cégep@distance souhaite rétablir les faits cités à son sujet dans la recherche La formation dans son salon: entre besoins et contraintes présentée ce matin en conférence de presse par la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) et invite toutes les personnes interpelées à une extrême prudence avant d’en diffuser son contenu. Le Cégep@distance, contrairement à ce qu’affirme la FECQ, n’a jamais refusé de participer à cette recherche dont il n’a été informé du contenu que la veille de sa diffusion. Immédiatement, le Cégep@distance a signalé à la FECQ son souhait de travailler avec elle pour rétablir la vérité dans les données présentées, mais la FECQ a décidé de procéder autrement. Le Cégep@distance accueille positivement la réalisation de toute recherche sérieuse portant sur la formation à distance. Il a tout intérêt à y participer, car il en découle souvent des recommandations intéressantes. C’est pourquoi le Cégep@distance est ouvert à collaborer à l’élaboration de ce type de document. Le Cégep@distance met en doute la méthodologie utilisée pour réaliser recherche de la FECQ : les données tirées de différentes sources à propos du Cégep@distance sont la plupart du temps désuètes ou citées hors contexte et ont maintes fois été mal interprétées par son auteur. Il est possible de consulter les publications du Cégep@distance au www.cegepadistance.ca/apropos/publications.asp . Le rapport d’évaluation du Cégep@distance publié par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, se trouve quant à lui à http://bit.ly/EvalCAD

Projet Osmose du Cégep à distance. Étudiez seul ou en équipe, à votre choix, à votre rythme et selon vos besoins tout en ayant un accès facile à votre tuteur et aux autres étudiants. Écoutez le témoignage de Guillaume et Yann qui sont présentement dans l’option Osmose. www.cegepadistance.ca/cours/osmose

«Il y en a des emplois en forêt»
Le directeur de l'École forestière de La Tuque, Gilles Renaud, est entouré des quatre premiers finissants du tout nouveau programme professionnel d'arboriculture et élagage, Maxime Parenteau, Nicolas Roy, Yan Palandre-Bédard et Maxime Lamontagne. «Il y en a des emplois en forêt. Tellement que nous n'arrivons pas à répondre à la demande des entreprises forestières», lance d'entrée de jeu, le directeur de l'École forestière de La Tuque, Gilles Renaud, lors d'une soirée-rencontre tenue cette semaine entre les finissants de ce centre de formation professionnelle et des dirigeants d'entreprises du milieu forestier. www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/economie/201104/04/01-4386196-il-y-en-a-des-emplois-en-foret.php

Docteur Fido. La zoothérapie complémente les autres soins médicaux ou sociaux. La zoothérapie est de plus en plus utilisée. Pourtant, il existe peu d’institutions qui offrent une formation dans ce domaine. L’AEC en stratégie d’intervention en zoothérapie de l’Institut des technologies agricoles (ITA) forme depuis cinq ans des personnes capables de mettre en place des stratégies qui font appel à un animal dans le cadre d’interventions thérapeutiques. Il n’est pas question ici d’intervenir auprès de monsieur Tout-le-Monde. Les zoothérapeutes travaillent avec des personnes souffrant de problèmes d’ordre biologique, psychologique ou social. «C’est pourquoi notre AEC n’est pas ouverte à tous. Pour y être admis, le candidat doit détenir un DEP ou un DEC dans un domaine psychosocial ou un DEP en techniques de santé animale», précise Josée Duranleau, conseillère pédagogique à la formation continue au Cégep de Saint-Hyacinthe. «La formation s’adresse aux professionnels qui ont envie d’inclure les techniques de zoothérapie dans leur pratique», renchérit Carole Cochrane, conseillère en formation au Service de la formation continue au campus de La Pocatière de l’ITA. On retrouve parmi les étudiants des psychologues, des éducateurs spécialisés, des techniciens en santé animale, etc. Une partie de la formation est consacrée à différents types de relations d’aide, l’autre aux comportements, aux besoins et aux soins animaliers. Deux aspects que doit absolument maîtriser le futur professionnel. «Comme l’être humain, l’animal a aussi ses limites. Parfois, il est moins en forme. D’autres fois, la relation avec le patient est plus difficile à établir. Il est essentiel que le zoothérapeute comprenne à la fois l’animal et le patient. Il doit bien déterminer la place de chacun», précise Mme Cochrane. La formation : Formation à temps partiel Durée : 585 heures Stages : 4 stages de 15 heures Nombre d’étudiants : de 25 à 30 www.journalmetro.com/carrieres/article/822342--docteur-fido Programme d’intervention en zoothérapie de 56 heures www.zootherapiequebec.ca/

Universitaire
Un nouveau programme universitaire d'art-thérapie. L'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) sera le premier établissement au pays à offrir le programme d'art-thérapie en français à la prochaine session d'automne. Le ministère de l'Éducation vient d'autoriser le financement de cette formation de deuxième cycle entièrement développée par une équipe de la région.,Seule l'université Concordia à Montréal dispense la maîtrise en art-thérapie, mais en anglais seulement. De son côté, l'UQAT offrait un programme court dans le domaine depuis 1997. La responsable du programme à l'UQAT, Jocelyne Labrèche explique que les professionnels de la santé, de l'éducation ou en intervention sociale peuvent être intéressés par la formation, qui présente une façon d'aider les gens autrement que par la parole. L'obtention du programme francophone de maîtrise en art-thérapie représente une grande fierté pour la rectrice de l'UQAT, Johanne Jean. « Ça nous permet d'exercer un leadership, de développer des équipes », souligne-t-elle.,La maîtrise est la seule attestation reconnue par l'Association des arts-thérapeutes du Québec. L'obtention de cette attestation est précieuse selon l'étudiante Anne-Marie Marcil. « C'est quelque chose de très important, dit-elle. Ça va me permettre d'avoir une reconnaissance plus facile par mes pairs dans les différents milieux de la santé. »,Un premier colloque d'art-thérapie aura lieu du 2 au 4 juin à l'UQAT. www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2011/03/31/002-arts-therapeute-uqat.shtml

L’UQTR lance un nouveau programme court de 2e cycle en chiropratique sportive. L’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) a annoncé le 28 mars le lancement d’un tout nouveau programme court de 2e cycle en chiropratique sportive, lequel sera offert à compter de l’automne 2011 aux chiropraticiens désireux de se perfectionner dans le domaine des soins destinés aux athlètes. https://oraprdnt.uqtr.uquebec.ca/pls/public/pgmw001?owa_cd_pgm=0620

Examen de français pour les futurs profs: le droit à l'échec illimité à l'étude. Présentement, au Québec, au moins 25 étudiants en enseignement ont échoué à quatre reprises au test obligatoire de français. Tous les futurs profs québécois doivent désormais réussir le même examen de français pour obtenir leur brevet d'enseignement. Le hic, c'est que les sanctions en cas d'échec varient présentement d'une université à l'autre. Les doyens tentent depuis longtemps d'en arriver à une entente commune et jonglent même avec l'idée de permettre un nombre illimité de reprises. Présentement, au moins 25 étudiants sont en échec après quatre tentatives. Depuis l'automne 2009, tous les étudiants en enseignement doivent passer le Test de certification en français écrit pour l'enseignement (TECFEE). Les étudiants doivent réussir cet examen avant de faire leur troisième stage, qui survient généralement pendant la troisième année de leur baccalauréat de quatre ans. Selon ce qui était prévu au départ, les futurs profs avaient trois chances d'atteindre le seuil de réussite, fixé à 70 %. Un troisième échec devait entraîner la suspension du programme pour une durée d'un an et un quatrième échec, l'expulsion définitive. Confrontées à un taux d'échec élevé, les universités ont toutefois voulu assouplir les sanctions pour ceux qui échouent, comme le rapportait Le Soleil en mai 2010. Or, près d'un an plus tard, aucune entente provinciale n'est encore officiellement conclue. Résultat : les étudiants n'ont pas droit aux mêmes règles d'une université à l'autre, même si aucun étudiant ne peut faire son troisième stage - ni obtenir son brevet d'enseignement - s'il n'a pas réussi le TECFEE. À l'Université de Sherbrooke, 25 étudiants ont été suspendus après trois échecs et deux d'entre eux ont été exclus après leur quatrième échec. «On continue d'appliquer la politique tel que prévu», explique la vice-doyenne à la formation, Julie Desjardins. À l'Université de Montréal, à l'Université du Québec à Montréal (UQAM), à l'Université du Québec à Rimouski (UQAR) et à l'Université du Québec à Chicoutimi, les étudiants qui échouent à quatre reprises - ils sont une vingtaine au total - ne sont ni suspendus ni exclus. Puisqu'ils ne peuvent compléter leur formation, ils n'ont toutefois pas accès au brevet d'enseignement. Pour l'instant, ces étudiants n'ont plus droit à une reprise. Mais l'Association des doyens et directeurs pour l'étude et la recherche en éducation (ADEREQ) songe à permettre un nombre illimité de reprises, une décision qui n'est toutefois pas encore entérinée. «L'ADEREQ propose d'attendre un an avant de tenter une cinquième passation et un an additionnel pour une sixième passation. Le nombre d'essais serait illimité», indique Jean Brousseau, doyen des études de premier cycle à l'UQAR. Marie Nadeau, professeur de didactique du français à l'UQAM, estime que cette mesure permettrait «d'enlever le stress de l'examen» qui peut influencer le résultat à la baisse. «De toute façon, on voit que la majorité des étudiants le réussissent sans avoir à le passer 10 fois», ajoute-t-elle. D'autres universités n'ont pas attendu l'entente officielle avant de permettre une cinquième passation. C'est le cas de l'Université Laval, où les quatre élèves exclus après quatre échecs pourront retenter leur chance l'an prochain, pour une cinquième fois. Le doyen de la faculté des sciences de l'éducation, Marcel Monette, admet toutefois que le flou qui existe présentement place les universités dans «une situation inconfortable». «Les étudiants sont inquiets, ils se demandent quelles règles s'appliquent», dit-il. Même son de cloche de la part de Marie Nadeau, qui espère que les nouvelles règles seront «plus équitables». «Malheureusement, la première cohorte a servi de cobaye. Les règles ont changé en cours de route, et les informations n'étaient pas claires», affirme-t-elle. Heureusement, les taux d'échec parfois désastreux - jusqu'à 75 % dans certains programmes après une tentative - seraient maintenant à la hausse, puisque les universités sont mieux préparées à aider les étudiants à réussir l'examen, explique-t-on. À l'Université de Sherbrooke par exemple, le taux d'échec de la première cohorte après deux tentatives était de 30 %, alors qu'il est maintenant de 17 %. www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201104/01/01-4385800-examen-de-francais-pour-les-futurs-profs-le-droit-a-lechec-illimite-a-letude.php

Examen de français pour les futurs profs: une entente sous peu. «C'est sûr que c'est long, mais c'est un peu compliqué. Les parents grognent, les étudiants grognent, mais il faut trouver l'équilibre entre tout ça.» Bernard Garnier est président du comité des affaires académiques de la CREPUQ, la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec. C'est son comité, conjointement avec le ministère de l'Éducation et les doyens des universités, qui doit approuver les nouvelles sanctions entourant le Test de certification en français écrit pour l'enseignement (TECFEE). Le Soleil rapportait hier qu'en l'absence d'une entente provinciale, les sanctions en cas d'échec varient présentement d'une université à l'autre, au grand dam de certains qui pressent les différents acteurs d'en arriver rapidement à une entente. Bernard Garnier affirme que la CREPUQ s'y consacre maintenant «de façon plus soutenue» et promet des résultats sous peu, sans se risquer à dévoiler un échéancier. M. Garnier, qui est aussi vice-recteur aux études à l'Université Laval, rappelle qu'au départ, les universités ont voulu assouplir les règles pour répondre à la grogne des étudiants et de leurs parents. Des étudiants qui ont échoué ont même porté plainte devant l'ombudsman de leur université pour contester la légitimité de cette exigence. Il est toutefois impossible de savoir combien de plaintes ont été déposées, puisque ce processus est confidentiel. «On comprend que c'est décevant pour les étudiants qui échouent, mais il faut aussi que la maîtrise du français soit bonne. Il faut trouver une solution raisonnable», ajoute M. Garnier. Il est par ailleurs beaucoup trop tôt pour affirmer qu'un nombre illimité de reprises sera permis, comme le souhaitent des doyens. Présentement, les étudiants ont droit à un maximum de quatre tentatives pour réussir l'examen. «Le débat n'est pas clos», indique M. Garnier. www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201104/02/01-4385974-examen-de-francais-pour-les-futurs-profs-une-entente-sous-peu.php

Nouveau bac en sciences politiques à l'UQAC
Un nouveau programme de baccalauréat en sciences politiques démarrera l'automne prochain à l'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC). L'établissement espère ainsi inciter les jeunes à continuer leurs études en sciences humaines dans la région. www.cyberpresse.ca/le-quotidien/le-quotidien-du-jour/201104/12/01-4389005-nouveau-bac-en-sciences-politiques-a-luqac.php

Un médecin au bout du fil pour 38$. Pour éviter une visite à l'urgence, certains patients sont prêts à payer 38$ pour une consultation téléphonique avec DocTel. Consulter un médecin au téléphone pour 38$? Obtenir une ordonnance en moins de trois heures sans même sortir de chez soi? C'est possible avec DocTel, un service téléphonique de consultation médicale qui fait grincer des dents le Collège des médecins. DocTel offre ses services 7 jours sur 7, de 8h à 20h. Les patients n'ont qu'à téléphoner ou à prendre rendez-vous par internet. Un médecin les rappelle de 30 minutes à 3 heures plus tard. Au téléphone, le médecin peut poser un diagnostic et même prescrire un médicament, comme des antibiotiques ou des anti-inflammatoires, en appelant lui-même à la pharmacie du patient. DocTel se veut une solution «efficace, pratique et économique aux problèmes médicaux mineurs», explique le site web. Par exemple, DocTel s'occupe souvent d'infections des voies respiratoires supérieures, d'infections urinaires, d'entorses, de maux de tête et de questions portant sur la santé des voyageurs, indique-t-on. Le service ne remplace ni les urgences ni le médecin de famille, mais il peut «dépanner» lorsqu'une visite «n'est pas vraiment nécessaire ou trop longue à obtenir». Exactement le cas de Mme Auclair, qui a utilisé le service l'année dernière pour son mari. «Il avait déjà eu un problème de santé identique. Il savait exactement ce qui l'aiderait», dit-elle. La consultation téléphonique a évité au couple, qui habite dans Lanaudière, de faire deux heures de route pour consulter un médecin. Son mari guéri, Mme Auclair se dit satisfaite de la consultation médicale, si ce n'est qu'elle est maintenant membre de DocTel. Cela lui coûte 3,50$ par mois, en plus des 38$ pour la consultation. Tous les trois mois, DocTel prélève 11,85$ sur sa carte de crédit, ce que Mme Auclair n'avait pas réalisé au départ. Elle a tenté de se désabonner, sans succès. DocTel n'a pas donné suite à ses demandes et n'a pas rappelé La Presse. DocTel suscite un malaise au Collège des médecins du Québec qui n'avait jamais eu vent du service avant l'appel de La Presse. «Sur le plan médical, on n'aime pas ça. Il n'y a pas de présence physique avec un patient qui n'est pas connu du médecin», dit le secrétaire du Collège, le Dr Yves Robert. «Pour avoir fait de la médecine du voyage pendant 15 ans, je peux vous dire que ça ne se fait pas facilement au téléphone!» lance-t-il. Selon lui, cette pratique soulève bien des questions: comment le médecin est-il sûr qu'il s'agit d'un problème bénin? Comment conserve-t-il ses dossiers? De quelle façon est-il payé? En fait, DocTel gère la prise de rendez-vous en tant que partenaire d'affaires d'une association de médecins qui retient les services de médecins participants à la Régie de l'assurance maladie du Québec (RAMQ). Le concept ressemble à celui de Santé sans file, qui avait émergé en 2008: l'entreprise Myca, qui offrait un service de consultation par vidéoconférence internet, agissait à titre d'intermédiaire entre les médecins et des patients abonnés. Jugé illégal par la RAMQ, Santé sans file est mort dans l'oeuf. Un médecin participant à la RAMQ n'a pas le droit de demander des frais de consultation à un patient. Il ne peut pas non plus facturer l'ouverture ou l'administration d'un dossier, explique le porte-parole de la RAMQ, Marc Lortie. La Régie mène actuellement 11 enquêtes sur des médecins ou des cliniques qui auraient facturé des frais illégaux à des patients, notamment pour des bilans de santé ou des forfaits de soins. Trois coopératives de santé sont visées (La Prairie, Gatineau et Pointe-du-Lac) ainsi que Plexo, MedSync, Medisys, Globale santé express, Physimed, Rockland MD, Clinique chirurgicale de Laval et le Dr Pierre Mailloux. Devant l'ampleur du problème, le Collège des médecins a fait une sortie publique il y a deux semaines. «Les faiblesses du système de santé sont en train de devenir une occasion de faire de l'argent sur le dos des patients», déplore le Dr Robert. www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201103/29/01-4384506-un-medecin-au-bout-du-fil-pour-38.php  Site de DocTel http://www.doctel.ca/

ÉCOLES. PROFS MASCULINS Des stéréotypes dès la fin du primaire. Enseignant et père de famille, Simon Lamarre est aussi doctorant en fondements de l’éducation à l’Université de Montréal. L'idée d’offrir des bourses aux hommes souhaitant devenir enseignants n'augmentera pas la présence masculine dans nos écoles, croit un étudiant au doctorat qui se penche sur la question depuis un an. À son avis, il faut plutôt lutter contre les stéréotypes sexuels qui apparaissent chez les enfants... dès la fin du primaire. « Déjà, à 11 ou 12 ans, les enfants ont une perception très négative du métier d’enseignant et énormément de stéréotypes. C’est comme s’ils avaient déjà enregistré ce qu’est un métier de gars et un métier de fille », a expliqué au Journal Simon Lamarre, qui est doctorant en fondements de l’éducation à l’Université de Montréal. « Des enfants de 11 ou 12 ans disent régulièrement et sans se questionner que les femmes ont plus de patience que les hommes, qu’elles sont moins sévères, qu’elles sont meilleures que les hommes pour s’occuper des enfants, qu’il en a toujours été ainsi et donc que c’est à elle que revient cette tâche », relate-t-il. À l’heure actuelle, à peine 8 % des enseignants québécois titulaires de classe, au primaire, sont des hommes. Au moment où cette faible présence masculine inquiète plusieurs observateurs, Simon Lamarre a entrepris un doctorat visant à comprendre ce phénomène. Il vient de compléter une centaine « d’entretiens exploratoires » avec des élèves de la fin du primaire, afin de connaître leur perception du travail de prof. À son avis, les campagnes publicitaires visant à attirer un plus grand nombre d’hommes en enseignement ne sont pas suffisantes pour renverser la vapeur. Pas plus que la « discrimination positive » qu’a proposée récemment le professeur Égide Royer, de l’Université Laval. Le chercheur suggérait notamment d’accorder des bourses aux candidats masculins qui étudient en enseignement, en plus de favoriser leur accès rapide à des postes permanents. http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/national/archives/2011/04/20110407-051135.html

Enseignants: hausser les salaires et abolir la sécurité d'emploi, dit Legault. Le plan de la coalition de François Legault suscite déjà la grogne des enseignants et de parents, qui soulignent entre autres qu'on ne peut appliquer les mêmes critères de résultats aux écoles des milieux défavorisés ou plus aisés. En publiant le manifeste de la Coalition pour l'avenir du Québec, François Legault avait promis aux enseignants une importante augmentation de salaire. Mais il n'avait pas dit qu'il comptait mettre fin à leur sécurité d'emploi. Mais cette augmentation est assortie de conditions. Pour la coalition de François Legault et de Charles Sirois, ce sont les directeurs d'école qui devraient embaucher, choisir les enseignants. Ces derniers, mieux payés, seraient désormais embauchés pour des contrats à durée fixe, de trois ou cinq ans, a expliqué l'ancien ministre à une série de groupes. Pour les professeurs, syndiqués, qui jouissent d'une solide sécurité d'emploi, il s'agit d'un changement majeur. Hier un proche conseiller de M. Legault a confirmé que l'abolition de la permanence pour les enseignants fera partie de ses propositions. Mais les directeurs d'école n'auront pas droit de vie ou de mort sur leurs enseignants, un licenciement devra être précédé de constats très clairs, explique-t-on. Les augmentations de salaire des enseignants seront déterminées par la performance de leurs élèves. Même logique pour les directeurs d'école. Ils seront choisis par les parents, mais les mécanismes restent à définir. Leur rémunération sera fixée sur la performance de leur école. François Legault reste proche des «contrats de performance» qu'il avait voulu mettre en place pour les universités et les cégeps durant son séjour à l'Éducation, sous le gouvernement Bouchard. Passé par la suite à la Santé, sous Bernard Landry, il avait voulu administrer la même médecine aux hôpitaux. Dans les luxueux bureaux de Charles Sirois à Montréal, les syndicats et les associations de parents ont aussi appris que les commissions scolaires seraient abolies dans son plan de match. Un imbroglio constitutionnel est à prévoir parce que les commissions scolaires désormais linguistiques sont inscrites dans la Constitution. M. Legault remplacerait les commissions scolaires par 20 «structures», calquées sur le modèle des agences régionales en santé. Prolongement du ministère de l'Éducation, elles ne seraient pas dirigées par des commissaires élus au suffrage universel. Leur territoire correspondrait aux régions administratives du Québec. M. Legault mettait en doute la légitimité des commissaires, compte tenu de la faible participation aux élections scolaires. www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/201104/09/01-4388238-enseignants-hausser-les-salaires-et-abolir-la-securite-demploi-dit-legault.php

Risques calculés
Les actuaires, grands spécialistes de l’évaluation des risques, sont un rouage indispensable de l’industrie de l’assurance. Pour qui aime les chiffres. http://carriere.jobboom.com/marche-travail/secteurs/assurance/2011/03/07/17524286-jm.html

Frais de scolarité: 60 000 étudiants débrayeront jeudi. Débrayage des étudiants pour contester la hausse des frais de scolarité. Deux semaines après l'annonce d'une hausse des frais de scolarité, presque 60 000 étudiants de partout au Québec feront grève, jeudi, pour lancer un avertissement au gouvernement: leur colère n'ira pas en diminuant.mLa journée de débrayage coïncide avec une manifestation à Montréal, organisée par l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ).mSelon Gabriel Nadeau-Dubois, porte-parole de l'ASSÉ, le nombre de manifestants devrait se compter en milliers.mLa journée a pour objectif de démontrer au gouvernement libéral que les étudiants sont prêts à faire la grève et qu'ils sont déterminés à aller jusqu'au bout pour contrer sa hausse des frais, a fait valoir M. Nadeau-Dubois.mSix facultés sur les sept que compte l'Université du Québec à Montréal (UQAM) seront en grève, tout comme certaines associations étudiantes de l'Université de Montréal, de l'Université de Sherbrooke, de l'Université Laval et de l'Université du Québec à Trois-Rivières. Les départements de sciences sociales sont surtout concernés. Les étudiants des cégeps de Sherbrooke, de Saint-Jérôme, Lionel-Groulx et Marie-Victorin feront aussi grève. www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201103/30/01-4384752-frais-de-scolarite-60-000-etudiants-debrayeront-jeudi.php

Infirmières praticiennes spécialisées: le taux d'échec inquiète les facultés. Depuis l'implantation du programme en 2008, il y a eu six examens, et 55 des 76 candidates ont réussi - dans certains cas après une ou deux reprises. Les candidates à la profession d'infirmière praticienne spécialisée (IPS) n'étaient pas nombreuses au dernier examen, et près de la moitié d'entre elles y ont échoué. Des 14 candidates à l'examen obligatoire de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ), seulement 8 ont obtenu la note de passage. Déjà, peu avant Noël, 40% des candidates avaient échoué à l'examen, qui comporte trois volets: oral, écrit et pratique. Ce taux d'échec est si inquiétant que les représentants des neuf facultés qui offrent le programme ont été appelés à faire le point sur son contenu afin de voir où est le problème. Au département des sciences infirmières de la Faculté de médecine de l'Université de Sherbrooke, Luc Mathieu, vice-doyen, affirme qu'aucune candidate n'était inscrite au dernier examen. Six infirmières sont admissibles au prochain, prévu en juin, mais il se peut qu'elles décident d'attendre le semestre d'automne afin de mieux se préparer. Il craint d'ailleurs que le haut taux d'échec ne dissuade les infirmières de s'inscrire au programme. «J'étais à la réunion avec les doyens des autres facultés, le 24 février dernier, dit M. Mathieu. Il est clair qu'on va interpeller l'Ordre des infirmières pour faire partie du comité d'examen. Nous avons appris des choses lors de cette rencontre. Nous ne voulons pas voir le contenu des simulations pratiques ou de l'examen, mais nous avons été estomaqués de constater à quel point la partie orale était prépondérante dans les résultats.» Fortes de la rencontre avec le comité d'examen, les facultés font maintenant pression pour qu'on mette enfin à leur disposition un guide de préparation à l'examen. Du côté de l'Université du Québec en Outaouais (UQO), quatre infirmières se sont soumises à l'examen, mais l'OIIQ refuse de dévoiler les résultats. Chantal Saint-Pierre, responsable des programmes de deuxième cycle en sciences infirmières de l'UQO, affirme que le guide est essentiel. «Ça fait au moins un an que les responsables des programmes demandent un guide de préparation à l'examen, dit-elle. C'est clair qu'on aimerait obtenir des taux de réussite à 100%. Les candidates font beaucoup de sacrifices familiaux pour obtenir leur diplôme. En même temps, il faut comprendre que cet examen vise à protéger le public. Il est question de médecine familiale, et ça implique le suivi de grossesse, de jeunes adultes, de femmes ménopausées, de personnes âgées, etc. Bref, comme on en est aux balbutiements au Québec, ça me rassure, dans un sens.» Anne-Sophie Robitaille, porte-parole de l'OIIQ, a pour sa part tenu à mettre en perspective le taux d'échec: depuis l'implantation du programme (en 2008), il y a eu six examens, et 55 des 76 candidates ont réussi - dans certains cas après une ou deux reprises, admet-on. Elles ont droit à trois tentatives. «L'Ordre encourage les candidates à persévérer. Si on regarde globalement les chiffres, ont peut parler d'un taux de réussite de 96%. On ne dit pas qu'il n'y a pas d'ajustements à faire, mais c'est un processus», a fait valoir Mme Robitaille. Le gouvernement a toujours pour objectif d'avoir 500 infirmières praticiennes en médecine familiale en 2017. Jusqu'à maintenant, on n'en compte que 55 en première ligne, 99 si on ajoute les spécialités (néonatalogie, néphrologie et cardiologie). En Ontario, il y a plus de 2000 infirmières praticiennes dans les cliniques et les hôpitaux. La Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) a déjà fait part de ses inquiétudes quant à la façon dont elle doit accueillir les infirmières praticiennes dans le réseau à la lumière du haut taux d'échecs. Lors de la première année d'examens IPS au Québec (2009), 12 des 14 candidates avaient réussi leur examen. En 2010, 33 candidates se sont présentées à l'examen, et seulement 20 ont obtenu la note de passage, un taux d'échec de 40%. Lors du dernier examen, en février, seulement 8 des 14 candidates ont réussi. www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/sante/201104/02/01-4385839-infirmieres-praticiennes-specialisees-le-taux-dechec-inquiete-les-facultes.php

Le tiers des médecins de 65 ans ou plus travaillent encore à temps plein. Les médecins de famille âgés sont plus susceptibles de réduire leur champ de pratique que de prendre leur retraite. Selon une étude publiée par l'Institut canadien d'information sur la santé (ICIS), plus d'un médecin canadien sur dix est âgé de 65 ans ou plus, mais beaucoup demeurent actifs dans la pratique clinique après avoir atteint l'âge habituel de la retraite. En 2009, 12 % de la population active des médecins avaient au moins 65 ans, par rapport à 9 % en 2004. Toutefois, le tiers des médecins âgés travaillaient encore à temps plein. www.guidesanteenligne.com/news_mail.asp?ID=152687

L’UQAT lance une formation en santé mondiale, une première! L’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) lance un microprogramme de 2e cycle intitulé «Approche clinique en santé mondiale», et ce, à distance et en français, une première! Les médecins, pharmaciens et infirmières pourront en tirer de grands profits dans un contexte où des maladies, autrefois confinées à des régions éloignées de la planète, s’exportent de plus en plus. «Le mouvement des populations, les besoins particuliers des individus qui voyagent de plus en plus, les maladies transmissibles et généralement infectieuses spécifiques aux zones tropicales, qui atteignent de plus en plus les zones tempérées en raison de l’écologie qui se transforment, et la résistance aux antibiotiques sont autant de raisons pour offrir aux professionnels de la santé une formation spécialisée en santé mondiale», a commenté Lyne Fecteau, directrice de l’UER en sciences de la santé de l’UQAT. Pour Mme Fecteau, «élaborer ce programme était un défi de taille, puisque nous voulions respecter trois grands principes. D’abord, donner une formation de qualité, de hauts niveaux. Ensuite, s’associer à des experts qui provenaient de différentes villes, de différents pays. Enfin, nous voulions offrir toute cette formation en français tout en étant accessible aux intervenants en santé mondiale et en humanitaire, comme ces gens-là se déplacent aux quatre coins du globe toute l’année.» http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/actualites/national/archives/2011/04/20110406-154508.html

Les médecins font des choix pour eux-mêmes différents de leurs recommandations aux patients. Dans un éditorial accompagnant l'article, Timothy Quill de l'Université de Rochester souligne que ces résultats suggèrent que les médecins ont tendance à faire, pour autrui, des recommandations qui vont dans le sens de la survie. Alors que pour eux-même, ils sont prêts à prendre certains risques concernant la survie pour améliorer la qualité de vie. Il conseille aux médecins de mieux chercheur à connaître les valeurs et les préoccupations de leurs patients avant de recommander un traitement. www.psychomedia.qc.ca/sante/2011-04-12/choix-de-traitements-recommandations-des-medecins

Outil d'estimation des frais de scolarité
Cet outil vous permet d'évaluer les frais de scolarité que vous aurez à débourser pour un trimestre d'études à l'UQAM. Il inclut les droits de scolarité établis par le gouvernement du Québec (qui sont les mêmes pour l'ensemble des institutions universitaires québécoises) et les autres frais exigibles par l'Université. Le calcul est réalisé à partir des informations disponibles en date du 12 avril 2011, il n'inclut pas les frais pour les manuels, les notes de cours, le matériel didactique ou l'émission d'attestations officielles. IMPORTANT : L’outil proposé est un estimateur de frais de scolarité. Le montant est donné sous toutes réserves et à titre indicatif seulement. Ce montant couvre un trimestre d’études. Il n’inclut pas les manuels, les notes de cours, le matériel didactique ou l’émission d’attestations officielles. www.etudier.uqam.ca/1ercycle/cout

Devenir enseignant. Outil pour les futurs enseignants. La Faculté des sciences de l’éducation a développé un nouvel outil à l’intention des futurs enseignants qui explique chacune des étapes menant au brevet d’enseignement émis par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport. Il s’adresse à tous les candidats : étudiants du collégial, étudiants titulaires d’un baccalauréat disciplinaire (en lien avec le français, les mathématiques ou les sciences), étudiants étrangers, étudiants canadiens hors-Québec et étudiants désirant enseigner en formation professionnelle au secondaire. Au Québec, le brevet d’enseignement émis par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) est exigé pour obtenir un poste d’enseignant aux niveaux primaire et secondaire. Choisissez la base d’admissibilité qui correspond à votre situation. www.education.uqam.ca/futurs-etudiants/devenirenseignant.html

Documentation et formation
FAITES LE TEST! Êtes-vous satisfait(e) de votre vie? L'Échelle de satisfaction de vie, développée par le chercheur en psychologie Ed Diener, est un test très utilisé dans la recherche sur le bien-être et le bonheur. Les travaux de Diener ont été pionniers et demeurent influents dans le courant de la psychologie positive. Selon le modèle qu'il a développé, le niveau de bien-être subjectif (ou de bonheur) est déterminé par trois composantes: - les émotions positives - les émotions négatives - l'évaluation cognitive de sa vie La satisfaction par rapport à sa vie correspond à la troisième composante. Il s'agit d'une évaluation globale de la qualité de vie selon les propres critères de la personne. Selon ce modèle, vivre beaucoup d'affects positifs et peu d'affects négatifs et avoir un niveau élevé de satisfaction par rapport à sa vie correspond à un niveau élevé de bien-être subjectif (ou de bonheur). Ces trois composantes sont plus ou moins indépendantes. Les affects positifs ne signifient pas l'absence d'affects négatifs et vice versa. Et, la satisfaction par rapport à sa vie ne correspond pas nécessairement à la balance des émotions. FAIRE LE TEST: Êtes-vous satisfait(e) de votre vie ? www.psychomedia.qc.ca/tests/echelle-de-satisfaction-de-vie

La prise continue d'antipsychotiques pourrait favoriser la toxicomanie. Les traitements offerts aux personnes schizophrènes entrainent de nombreux effets secondaires, dont les tics faciaux. Presque un individu schizophrène sur deux consomme des stupéfiants, de la nicotine ou de l'alcool. L'origine possible de ces dépendances pourrait se trouver en partie dans les traitements mêmes offerts à ces personnes. En effet, une étude préclinique publiée dans Neuropsychopharmacology démontre que l'administration continue d'un antipsychotique, combinée avec une injection d'amphétamine, provoque chez des rats une réaction disproportionnée à des stimulus associés à une récompense. Chez l'humain, cela se traduirait par une recherche effrénée des effets que crée la consommation de drogue par exemple. Étonnamment, cette poursuite d'une récompense n'est pas altérée si l'on administre l'antipsychotique aux rats de façon intermittente. Pour un schizophrène, ce traitement correspondrait grosso modo à la prise d'un antipsychotique tous les deux ou trois jours. www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20110328-la-prise-continue-dantipsychotiques-pourrait-favoriser-la-toxicomanie.html

L’économie sociale
Économie sociale Québec par secteurs d’activités http://economiesocialequebec.ca/  Le CSMO-ÉSAC a pour mission de favoriser et de consolider la concertation et le partenariat afin de favoriser le développement de la main-d’oeuvre et de l’emploi du secteur de l’économie sociale et de l’action communautaire http://www.csmoesac.qc.ca/  Dépliant http://profession.csmoesac.qc.ca/image/2011-01-20-phpOTyPib.pdf  (Plus de 200 carrières s’offrent à toi!) Capsules audio http://profession.csmoesac.qc.ca/?action=get-document&uid=27  Capsules vidéo http://profession.csmoesac.qc.ca/?action=get-document&uid=26  Entrevues avec des Pros http://profession.csmoesac.qc.ca/?zone=pro

Saviez-vous que le 1/3 des 5000 pièces qui constituent une automobile est aujourd'hui en matière plastique? Les produits en matière plastique sont très présents dans notre vie quotidienne: bouteille d'eau, cafetière, ventilateur, emballage, stylo, règle, couverture de livres, poubelle, chaise, etc. Vous découvrirez sur ce site web ce qu'est cette industrie, quels sont les métiers et formations qui s'y rattachent. http://www.plasturgie-education.org/  De plus on vous invite à jouer à Mission Plastechnologie : Le prisonnier de la console. Prenez note que ce site est produit en France et que des différences peuvent être présentes quant au contenu et aux définitions par rapport à ce que l'on trouve au Québec. http://www.mission-plastechnologie.com/

La science vous intéresse? Venez visionner plus d’une trentaine de capsules vidéo de femmes passionnées par ce domaine toutes plus intéressantes les unes que les autres. C'est à découvrir! Prenez note que ce site est produit en France et que des différences peuvent être présentes par rapport à ce que l'on trouve au Québec. www.terre.tv/fr/evenements/87_les-femmes-et-la-science

Dossier prostitution : Aider, pas juger. Le Projet intervention prostitution de Québec «C’est dur de se réhabiliter. Les gens devraient être plus tolérants. Ils ne sont pas obligés de comprendre, juste de respecter, de se rappeler que personne n’est à l’abri. Un jour, ça peut être leur fille qui se prostituera. Les gens disent qu’ils n’ont pas de préjugés, mais moi j’en vis tous les jours parce que je ne me cache pas. Je ne peux pas comprendre pourquoi on n’est pas traitées comme des humains à part entière. Tout le monde a droit au respect.» www.quebechebdo.com/Actualites/2011-03-31/article-2384791/Dossier-prostitution-:-Aider,-pas-juger/1 et Appât du gain ou dernier recours : comment devient-on prostituée?

La prostitution, plus vieux métier ou plus vieux mensonge du monde? La prostitution féminine : condition extrême de survie qui ne constitue ni un destin enviable ni un avenir souhaitable parce que les femmes qui la pratiquent n’ont qu’un désir, celui d’en sortir. C’est du moins l’opinion que défend Rose Dufour à travers l’organisme qu’elle a créé, la Maison de Marthe. L’anthropologue de formation spécialisée en santé publique a choisi de s’intéresser au phénomène de la prostitution au lieu de prendre sa retraite à la fin des années 90. Ses recherches l’ont finalement poussée à fonder son organisme qui se veut une porte de sortie pour les femmes prostituées. La chercheuse a également pris position publiquement contre la prostitution. Et Rose Dufour ne mâche pas ses mots quand il s’agit de son sujet de prédilection. «Comment peut-on se dire féministe et promouvoir la violence et l'exploitation sexuelle des femmes? L'exploitation sexuelle est le crime le plus odieux qui existe. La pauvreté de ces femmes [prostituées] est non seulement économique, mais aussi affective, sociale et relationnelle, des apprentissages, de l’estime de soi, etc. Entrer dans la prostitution se fait au prix de la désintégration de la personne. Dans toute femme prostituée, il y a une petite fille assassinée.» De sa rencontre avec celles qu’elle refuse d’appeler des travailleuses du sexe, l’anthropologue a dressé un constat : la prostitution est au service des hommes. Ce sont les femmes prostituées qui portent la honte de la prostitution qui se fait dans elles, sur elles, à travers elles. «Ces femmes sont démolies sur tous les plans, souillées, brisées; des survivantes qui expérimentent des dommages sévères dans tout leur être avec une désensibilisation progressive de leur corps qui va jusqu’à l’anéantissement complet de leur sensibilité. Elles seules subissent ces conséquences tragiques et durables, les clients et les proxénètes n’en gardent, eux, aucune séquelle», lance Mme Dufour. Rose Dufour a documenté l’histoire de 20 femmes qui se sont prostituées ou qui se prostituent encore pour son ouvrage Je vous salue… Le point zéro de la prostitution. Il en ressort que : - 90 % d’entre elles ont subi des abus sexuels ou ont été victimes d’inceste. - 100 % ont eu une relation mère-fille déficitaire, problématique. - 33 % ont eu une mère qui était elle-même prostituée. - 25 % ont eu un conjoint gigolo ou proxénète. - 40 % ont débuté mineures et en fugues. www.quebechebdo.com/Actualites/2011-03-18/article-2344018/La-prostitution,-plus-vieux-metier-ou-plus-vieux-mensonge-du-monde%3F/1

Les maths s'apprennent dès l'âge de 1 an
Les enfants commencent à apprendre les mathématiques dès l'âge de 1 ou 2 ans, selon des études présentées au congrès de la Société de recherche sur le développement de l'enfant. Les enfants commencent à apprendre les mathématiques dès l'âge de 1 ou 2 ans, selon des études présentées au congrès de la Société de recherche sur le développement de l'enfant. Et les enfants qui sont les plus avancés à la maternelle le restent généralement pour le reste de leur scolarité. www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201104/06/01-4386944-les-maths-sapprennent-des-lage-de-1-an.php

Les pratiques enseignantes, le climat de classe et l’utilité des cours, tels qu’ils sont perçus par les élèves. Données comparatives entre les parents d’élèves de 4e secondaire exposés au renouveau pédagogique et les parents d’élèves qui n’y ont pas été exposés www.eres.fse.ulaval.ca/fichiers/site_eres/documents/Bulletins_de_transfert/BLT-LSL-transfert_v3n1-FR-vf_WEB.pdf

Les parents s’expriment sur l’école et les apprentissages de leur enfant. www.eres.fse.ulaval.ca/fichiers/site_eres/documents/Bulletins_de_transfert/BLT-LSL-transfert_v3n3-FR-vf_WEB.pdf

Quelques indicateurs du profil sociomotivationnel des élèves. Données comparatives entre les jeunes de 4e secondaire exposés au renouveau pédagogique et ceux qui n’y ont pas été exposés www.eres.fse.ulaval.ca/fichiers/site_eres/documents/Bulletins_de_transfert/BLT-LSL-transfert_v3n2-FR-vf_WEB.pdf

Le mal de vivre dû aux maux du travail. Entretien avec Vincent de Gaulejac, auteur de Travail, les raisons de la colère www.ledevoir.com/economie/emploi/320238/le-mal-de-vivre-du-aux-maux-du-travail

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Moteur de recherche pour retrouver un article dans les archives du bulletin Remarquez le moteur de recherche du bulletin sur le site à droite. Il suffit d'entrer un mot significatif et vous obtenez les numéros archivés (168 numéros) sur le sujet recherché ainsi que les liens Internet consultés. Fameux ! L'essayer, c'est l'adopter. http://quelquechosedelacoc.blogspot.com/

À noter à votre agenda
En 2011, le IXe congrès de l’ACOC aura lieu en partenariat avec l’UQTR les 1er, 2 et 3 juin. www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=971 L'ACOC soulignera ses 10 ans d'existence. L’Ordre, partenaire de notre IXe Congrès, offrira le 31 mai à l’UQTR la formation sur l’Évaluation en orientation aux inscrits du congrès sans frais supplémentaires. Alain Dubois donnera un atelier portant sur l'évaluation d'un adulte diagnostiqué d'un trouble mental. Une autre personne ressource, à déterminer, donnera un atelier portant sur l'évaluation d'un adolescent. Le choix de participer à cette journée se fera à partir du formulaire d’inscription au IXe Congrès.

Dialogue. L’étudiant singulier dans un milieu pluriel 14, 15 et 16 septembre 2011 Invitation, Programmation, Formulaire d'inscription au Colloque, Forfaits-Hébergement, Forfaits-réunions, Accès routier à l'Auberge Godefroy à Bécancour  www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=972 

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC ACOC@videotron.ca
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