27 février 2008

V 6 No 19: L'engagement de l'étudiant dans son projet de formation

Le travail rémunéré et la réussite scolaire au collégial, une question d’équilibre Hélène Trudeau, conseillère d’orientation, Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu Magasine en pratique www.orientation.qc.ca/comm/pub01.shtml Janvier 2008 www.orientation.qc.ca/comm/pdf/enpratique/08_co_janvier2008.pdf

Le lancement de l'avis "Au collégial - L'engagement de l'étudiant dans son projet de formation: une responsabilité partagée avec les acteurs de son collège" aura lieu le mercredi 12 mars 2008, à 17 heures au Campus de Québec du Cégep Limoilou (stationnement intérieur gratuit). Linda Blanchet Conseil supérieur de l'éducation linda.blanchet@cse.gouv.qc.ca

Précision pour les candidatures au Conseil supérieur de l’éducation : L’ACOC présentera les candidatures des c.o. oeuvrant au collégial pour les différentes Commissions. L’Ordre peut aussi présenter des candidatures pour les membres des autres secteurs. Votre milieu de travail peut aussi le faire. Cependant, si un membre de l’ACOC ne travaillant pas présentement au collégial aimerait que l’ACOC soumette sa candidature, pour une raison quelconque, le Conseil exécutif s’engagera à transmettre sa demande au Conseil supérieur de l’éducation.
http://quelquechosedelacoc.blogspot.com/2008/02/v-6-no-18-candidature-aux-5-commissions.html

Section Nouvelles
http://www.acoc.info/
7e Congrès ACOC 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 Pour le moment, 20 membres ont complété leur inscription. Dès que les places disponibles seront comblées, nous évaluerons la possibilité d’un deuxième autobus. Nous avons déposé sur cette page les modalités d’inscription pour réserver votre place dans l’autobus et pour les résidences de l’Université de Moncton www.umoncton.ca/acoc . De plus, vous retrouverez le lien pour vous inscrire au Congrès de l’ACC le 14 et le 15 mai www.ccacc2008.ca/fr/download_forms.cfm?lang=fr ainsi que le site de leur programme détaillé www.ccacc2008.ca/fr/presentations.cfm?lang=fr Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Directement du secondaire à l'université. Allez sur le site du bulletin pour visionner l’invitation du président de l’ACOC Philippe Brosseau c.o. www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/2007/10/vido.html

Info collégiale
Former plus de pilotes?
Le Centre québécois de formation en aéronautique (CQFA) accueille une quarantaine de candidats chaque année. Toutefois, seulement une trentaine d'étudiants obtiennent leur diplôme. Afin de mieux répondre à la demande des pilotes sur le marché, le Cégep de Chicoutimi songe à augmenter du quart le nombre d'étudiants admis annuellement dans son programme de pilotage. Selon la directrice générale du cégep, Ginette Sirois, les compagnies aériennes embaucheraient davantage de finissants, si le CQFA en formait plus. Un comité de travail a été mis sur pied par l'établissement afin d'étudier ce qu'il en coûterait pour former 10 étudiants de plus par année. Si le projet s'avère concluant, le cégep pourrait alors faire une demande de budget supplémentaire au ministère de l'Éducation. Actuellement, le CQFA a un budget de 5 millions de dollars.
www.radio-canada.ca/regions/saguenay-lac/2008/02/23/001-ecole-pilotage-etudiants_n.shtml

L'indécision, la bête noire de l'orientation
Pour bien des jeunes, l'heure de la décision quant à leur prochain programme d'études approche à grands pas. Ce moment, plusieurs d'entre eux le redoutent. Hésitant entre une option ou une autre, la tête remplie de questionnements sur leurs intérêts et leurs aptitudes, ils sont aux prises avec la bête noire de l'orientation : l'indécision! Pourtant, il n'y a rien d'alarmant à être indécis! Dans quel programme devrais-je m'inscrire? Quel parcours scolaire sera le meilleur pour atteindre mon objectif? Est-ce que ce programme correspond vraiment à mes goûts? Comment puis-je m'assurer que mon choix de profession me convienne vraiment? Voilà des questions qui franchissent couramment la porte du bureau de Mme Lucie Després, conseillère d'orientation à l'école secondaire Pointe-Lévy, à Lévis. « Même si certains disent avoir fait leur choix, il n'en demeure pas moins qu'ils vivent de l'anxiété. Pour la plupart, c'est la première décision d'importance qu'ils doivent prendre », dit-elle. Dans son livre Sortir de l'indécision, lancé l'automne dernier, Mme Isabelle Falardeau, conseillère d'orientation, explique les différentes causes liées à la difficulté de choisir à divers moments de la vie, que ce soit sur le plan professionnel, personnel, social ou autre. Concernant l'indécision vocationnelle des jeunes, les manques d'expérience, d'information, d'organisation et de vision peuvent paralyser le processus décisionnel : « Ils sont persuadés qu'ils doivent trouver la voie qui les attend dans la vie! Plusieurs croient qu'un seul métier ou une seule profession les rendra heureux, ce qui n'est pas le cas. À vrai dire, ils pourraient très bien occuper une dizaine de professions différentes et connaître une carrière épanouissante. Il faut dédramatiser l'heure de la prise de décision. Il n'y a pas qu'un seul choix gagnant! » À l'instar de leurs collègues conseillers d'orientation, Mmes Falardeau et Després établissent une distinction entre indécision chronique et indécision passagère. Le fait est que l'indécision passagère est bénéfique et porteuse de réflexion. « Il faut retenir que l'indécision passagère fait partie du processus de prise de décision, souligne-t-elle. C'est un état de non-décision que le jeune doit tolérer et profiter pour être à l'écoute de ce qui se passe autour de lui. Il doit également se questionner sur ce que sont ses valeurs, ses intérêts, ses aptitudes, sa personnalité. » Dans le domaine de l'orientation, on dit souvent « il faut savoir qui je suis pour mieux savoir où je vais! » En plus d'apprendre à se connaître, le jeune doit explorer le marché du travail actuel et approfondir sa connaissance des différents programmes de formation. Le défi peut paraître de taille : il y aurait plus de 1 500 programmes d'études postsecondaires au Québec. Des outils comme le Palmarès des carrières 2008, Cursus : L'expérience de s'orienter à partir de soi ainsi que les conseillers d'orientation sont à la disposition d'un jeune pour l'aider à organiser sa quête d'information dans un monde inondé de ressources documentaires – sites Web, livres, dépliants, dictionnaires, etc. – au sein duquel il est facile de se perdre! « Heureusement, de moins en moins de jeunes attendent à la dernière minute pour faire un choix, constate Mme Després. Le milieu scolaire organise également de plus en plus d'activités d'orientation qui les incitent à se questionner et à découvrir le marché du travail et de la formation. » Puis, un jour, arrive la dernière étape : la décision. Évidemment, passer à l'action exige de renoncer à certaines options et, par le fait même, de prendre un risque. « S'engager dans un choix, c'est se faire confiance, soutient Mme Falardeau. Il est très rare que les décisions qu'on prend soient complètement irréversibles. Un changement de programme est possible en cours d'études. La structure du système scolaire québécois le permet aisément. Un jeune sur trois change de programme au cégep, et tout autant au premier cycle universitaire. Il faut comprendre que ces étudiants n'abandonnent pas leur projet; en fait, ils le précisent. Ils réajustent leur cheminement scolaire et se rapprochent ainsi de leurs buts professionnels! »
www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/indecision-bete-noire-orientation-7596.html

Les jeunes lisent moins bien qu'avant
La littératie est une mesure des compétences en lecture. Elle sert à évaluer «la façon dont les adultes utilisent l’information écrite pour fonctionner en société». Les habiletés de lecture des jeunes Canadiens sont plus faibles que celles que leurs aînés avaient au même âge et au même niveau de scolarité, révèle une enquête rendue publique hier par Statistique Canada. Surtout chez les personnes les plus scolarisées. Dans leur étude, David Green et Craig Riddell soulignent qu'une personne qui améliore ses compétences en littératie peut s'attendre à de «meilleures possibilités d'emploi».
www.cyberpresse.ca/article/20080226/CPACTUALITES/802260842/1019

La fin des bourses du millénaire
Le gouvernement conservateur mettra fin dès l’an prochain au controversé programme des bourses du millénaire. Dans son budget déposé hier, le ministre Flaherty a annoncé qu’il les remplacera en 2009 par un nouveau programme consolidé de subventions aux étudiants. Ottawa soutient que cette nouvelle façon de faire sera moins intrusive que le programme mis de l’avant au tournant de l’an 2000 par le gouvernement libéral de Jean Chrétien. Les provinces qui n’en voudront pas auront ainsi le loisir de se retirer du programme avec plein droit de compensation.
www.cyberpresse.ca/article/20080227/CPSOLEIL/80226301/6761

Les diplômes se font rares à Rouyn-Noranda
Plus de 35 % des adultes de 20 à 40 ans qui résident dans le secteur de Rouyn-Noranda n'ont pas de diplôme d'études secondaires, selon une étude réalisée par le professeur en psychoéducation de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, André Gagnon. L'étude du professeur Gagnon avait pour but de mieux cibler les besoins en formation de la main-d'oeuvre à Rouyn-Noranda. André Gagnon soutient que les adultes qui ne détiennent pas de diplôme d'études secondaires sont davantage enclins à subir une certaine détresse psychologique.« Qu'est- ce qui ressort de ça c'est que les gens ne sont pas très satisfaits, particulièrement de leur situation financière. Et leur perspective d'avenir est plutôt assez sombre. Ils ne sont pas satisfaits, autant de leur formation que de leurs expériences de travail », affirme-t-il.
www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2008/02/20/004-peu-diplomes_n.shtml

Conciliation travail-études
Plus de 70 % des cégépiens auraient un emploi à temps partiel au Saguenay-Lac-Saint-Jean, selon une vaste étude sur la persévérance scolaire que le Groupe Écobes vient de rendre publique. De ce nombre, 10 % travaillent plus de 21 heures par semaine. L'étude arrive également à une conclusion surprenante. Les étudiants qui travaillent consacrent le même nombre d'heures à leurs devoirs que ceux qui ne travaillent pas, soit un mince 10 heures, alors que l'ensemble des programmes exigerait au moins le double. L'étude longitudinale a débuté en 2002 auprès de 615 étudiants, alors âgés de 14 ans. Ceux-ci ont ensuite été interrogés à 16 et à 18 ans.
www.radio-canada.ca/regions/saguenay-lac/2008/02/20/007-travail-collegiens_n.shtml

Le travail... pour mieux étudier
Le contact d'un adolescent avec le travail peut lui donner le goût d'étudier. Parfois, parce qu'il est aliénant. Ou encore, parce qu'il est stimulant. À Montréal, c'est par cette méthode douce que des entreprises et des gens d'affaires veulent inciter les jeunes à rester sur les bancs d'école.
http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080225/LAINFORMER/802250793/5155

L’École hôtelière entre à Cataraqui
Le domaine du chemin Saint-Louis à Sillery devient un point de service de l’École hôtelière, située, elle, près du stade municipal du parc Victoria. «Encore un peu de vin, M. Sarkozy?» Les étudiants de l’École hôtellière de la capitale auront l’occasion, d’ici quelques mois, d’exercer leurs talents de cuisiniers et de serveurs lors des réceptions protocolaires au domaine Cataraqui. La Commission scolaire de la Capitale et la Commission de la Capitale nationale (CCNQ), gestionnaire du lieu officiel de fonction du gouvernement du Québec, se sont entendues hier soir sur la vocation éducative du lieu, à l’abandon depuis 2002. Grâce à une entente d’une durée minimale de 10 ans, le domaine du chemin Saint-Louis à Sillery devient un point de service de l’École hôtelière, située, elle, près du stade municipal du parc Victoria. Les groupes d’étudiants inscrits en cuisine et en service de restauration utiliseront Cataraqui comme lieu de pratique. Ils seront appelés à cuisiner et à servir, sous supervision des enseignants, lors des réceptions officielles du gouvernement du Québec. La prestation des étudiants devra être irréprochable. Selon le protocole d’entente, la commission scolaire doit s’assurer que «les services rendus sur place respectent les règles et les normes de qualité et de prestige associées à la vocation du domaine Cataraqui». En dehors des périodes scolaires, le domaine Cataraqui restera disponible pour des réceptions tenues par un traiteur privé. Avant l’ouverture du lieu de formation, la Commission de la Capitale nationale devra se charger de la restauration de la Villa Cataraqui et du garage-atelier, des travaux évalués à 5,6 millions $. Après les travaux, la CCNQ restera responsable de l’entretien des bâtiments et du site. Un million de dollars supplémentaire sera consacré à l’aménagement du grand terrain de 9,7 hectares, un parc qui devrait demeurer accessible au public. Le journal L’Appel écrivait, au début de février, que l’annonce du projet de l’École hôtelière serait faite lors d’une conférence de presse, en présence du premier ministre Jean Charest.
www.cyberpresse.ca/article/20080220/CPSOLEIL/80219247/6585/CPSOLEIL02

Info universitaire
Les femmes les plus éduquées sont plus souvent ivres
Les femmes titulaires d'un diplôme supérieur au baccalauréat sont plus fréquemment ivres que les autres, alors que l'on n'observe pas ce phénomène chez les hommes. Alcool, tabac, cannabis, médicaments psychotropes: la consommation de produits addictifs varie selon le sexe, mais aussi suivant l'âge, le niveau d'éducation et le milieu social, selon une étude française rendue publique jeudi. L'élévation dans l'échelle sociale s'accompagne notamment, chez les femmes, d'une augmentation de la consommation régulière d'alcool, au contraire des hommes, révèle l'Insee dans «Regards sur la parité». Certains produits, comme l'alcool et le cannabis, sont plus consommés par les hommes, d'autres, comme les médicaments psychotropes, par les femmes, mais les modes de consommation s'avèrent moins liés au sexe qu'aux comportements sociaux des hommes et des femmes, souligne l'Insee. Ainsi la consommation régulière d'alcool dépend du statut face à l'emploi, aussi bien pour les hommes que pour les femmes. Pour les 18-25 ans, elle est associée à l'entrée dans le monde du travail, alors que pour les plus de 25 ans, le chômage aggrave le risque de consommer plus régulièrement, éventuellement jusqu'à l'ivresse, notamment chez les hommes. Plus le niveau de diplôme et la catégorie sociale sont élevés, plus la consommation régulière d'alcool chez les hommes et les femmes se rapproche : en effet, les hommes boivent de moins en moins et les femmes augmentent leur consommation régulière. Les femmes titulaires d'un diplôme supérieur au baccalauréat sont plus fréquemment ivres que les autres, alors que l'on n'observe pas ce phénomène chez les hommes. Le tabagisme quotidien concerne, chez les adultes, surtout les milieux populaires et défavorisés, les chômeurs, et plus rarement les étudiants que les actifs du même âge. La consommation de cannabis, chez les hommes comme chez les femmes, va de pair avec l'élévation du niveau d'instruction scolaire. Mais, alors que ceci est sensible dès le bac pour les femmes, il ne l'est qu'au niveau des études supérieures pour les hommes, et reste d'ampleur un peu plus modérée. L'élévation du niveau d'éducation et surtout de la catégorie socio-professionnelle contribue à rapprocher les comportements d'usage du cannabis des hommes et des femmes. La consommation de médicaments psychotropes reste surtout féminine. Mais si le chômage augmente très nettement le risque de consommation, ce risque est plus fort chez les hommes que chez les femmes.
www.cyberpresse.ca/article/20080221/CPACTUEL/80221032/6685

Des chercheurs vont tenter d'expliquer la croyance en Dieu
Des chercheurs de l'Université d'Oxford ont obtenu une bourse de près de deux millions de livres (3,9 millions $ CAN) pour un programme de trois ans dont l'ambition est de comprendre pourquoi les hommes croient en Dieu. Ce programme du Centre Ian Ramsey pour la science et la religion rassemblera anthropologues, théologiens, philosophes et autres chercheurs, qui se demanderont si la croyance en un être divin fait partie de l'essence de l'Homme. «Il y a beaucoup de questions», a déclaré le directeur du centre Roger Trigg. «Qu'est-ce qui est inné dans la nature humaine de croire en Dieu, que cela soit des dieux ou quelque chose de surhumain ou surnaturel»? Il a expliqué que les recherches anthropologiques et philosophiques indiquent que la foi en Dieu est une pulsion humaine universelle, que l'on retrouve dans la plupart des cultures, même si celle-ci peut sembler en retrait dans certaines parties du monde occidental. «Une des implications est que la religion est la position de base, et que l'athéisme nécessite peut-être plus d'explications», a-t-il ajouté. Ce programme de trois ans est financé par une organisation américaine à but non-lucratif, la Fondation John Templeton, qui soutient la recherche sur des sujets liés aux lois de la nature et à la spiritualité.
www.cyberpresse.ca/article/20080220/CPSCIENCES/80220049/1020

PROGRAMME FRANCOPHONE POUR ÉTUDIANTS BILINGUES
Nous aimerions attirer votre attention sur le fait que le programme de baccalauréat en sciences de la nutrition se donne exclusivement en français pour les étudiants bilingues. Bien que les cours soient offerts en français, les documents de référence pourraient être en anglais. De plus, les milieux de stage auxquels vous serez affectés exigent une excellente connaissance du français et de l’anglais parlé et écrit. Afin de vous assurer que vous serez en mesure de suivre le programme, nous vous demandons de passer le test de compétences linguistiques dans les deux langues (test obligatoire). Ces deux tests évalueront votre niveau de compréhension de l’anglais et du français oral et écrit. Une note minimale de E8 pour l’anglais et de F8 pour le français devrait vous permettre de suivre ce programme francophone en sciences de la nutrition. Il est important de noter qu’un score sous le minimum requis risque de compromettre vos chances de réussite dans les cours et dans les stages cliniques. Pour faire le test : 1- Pour le test en anglais, aller au :
https://web13.uottawa.ca/ilstestinstaller/testcompetence.aspx 2- Pour le test en français, aller au : www.immersion.uottawa.ca/eng/assessment.html 3- compléter le test seul et sans aide 4- acheminer vos résultats au secrétariat scolaire de la Faculté des sciences de la santé Cependant, dans le cas où vous n’obtiendriez pas le score de E8 et de F8 dans vos tests, veuillez prendre rendez-vous avec notre conseillère aux études ((613) 562-5853) pour insérer à votre horaire un cours de langue afin d’atteindre le niveau recommandé avant le début de votre premier stage au printemps 2009. Pour toutes questions, vous pouvez nous joindre au (613) 562-5853 ou par courriel au esecr@uottawa.ca Vincent Lamontagne Agent de liaison conseiller.advisors@uOttawa.ca

Entrez voir la VIDÉO
Des patients… à la fine pointe de la technologie Cette semaine, l'équipe formée de Benoît Laforest, Yancy Quirion et Alexandre Devin, vous propose une petite visite parmi les simulateurs de patients utilisés par les futures bachelières en sciences infirmières.
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=7159&section_cat=1&section_sommaire=oui

L’Ordre des CMA est conscient que le choix de carrière est une étape importante dans la vie des étudiants. La clé du succès pour faire un choix éclairé est de bien s’informer. C’est pourquoi l’Ordre des CMA met à la disposition des étudiants le site Internet
http://www.cliccma.com/ . Celui-ci donne aux étudiants la possibilité d’en apprendre plus sur la profession, ainsi que sur les brillantes perspectives de carrière en comptabilité. C’est dans cette optique que nous vous invitons à inciter les étudiants de votre établissement, intéressés par l’administration et la comptabilité, à s’inscrire gratuitement à notre site afin d’en apprendre plus sur la profession. Janie Bélanger Coordonnatrice, Clientèle préuniversitaire Ordre des comptables en management accrédités du Québec J.Belanger@cma-quebec.org

Formation, documentation
L'ordinateur nuirait à l'éducation des enfants
L'usage de plus en plus répandu d'ordinateurs à l'école peut nuire à l'éducation des jeunes enfants, indique un rapport rédigé pour le Frontier Centre for Public Policy, un groupe à tendance de droite. Le temps passé devant l'écran d'ordinateur devrait plutôt être consacré à l'apprentissage de la lecture et de l'écriture et aux interactions avec l'enseignant, indique le mémoire de quatre pages.
www.cyberpresse.ca/article/20080226/CPACTUEL/802260857/6685

Le Cirque du Soleil adopte le recrutement en ligne
Le Cirque, qui tiendra près de 60 auditions partout sur la planète en 2008, recrute habituellement ses artistes sur le terrain grâce à son bureau de casting et à ses 20 dépisteurs. Or l'organisme utilise maintenant Internet pour trouver des candidats potentiels. Un tout nouveau site Web, traduit en sept langues, dispense une foule d'informations sur l'employeur, les emplois, les avantages sociaux, et accepte les candidatures en ligne.
www2.canoe.com/techno/nouvelles/archives/2008/02/20080214-143238.html

Le vin de chez nous
Jusqu'au début des années 1980, les vignerons québécois travaillaient de manière quasi confidentielle. Leur production a décollé en 1985 avec l'instauration du permis de vente de vin artisanal, et elle prend de plus en plus de place dans le «paysage gastronomique» de la province. L'Association des vignerons du Québec présente, dans son site Web, l'histoire du vin dans la province, les cépages cultivés, ainsi que des renseignements sur les cours et les formations dans le domaine. Un bel aperçu du métier de vigneron!
http://www.vignerons-du-quebec.com/

La foire de l'emploi Kamouraska, Rivière-du-Loup, Les Basques
Le 14 mars, à Rivière-du-Loup
http://www.foiredelemploi.org/
Le Salon emploi formation
Les 18 et 19 mars, à Montréal
http://www.emploiformation.com/
Salon emploi Laval
Le 5 avril, à Laval
http://www.salonemploilaval.com/
La foire de l'emploi - Régions de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches
Les 11 et 12 avril, à Québec
http://www.foireemploi.com/
Salon des carrières en technogénie et Salon carrières du Réseau des ingénieurs du Québec
Les 17 et 18 avril, à Montréal
http://www.ecarrieres.com/



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Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Documents réalisés par Raymond Jean, c.o.


Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Pour le moment, 47 membres des 27 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (17) : les cégeps St-Laurent, Abitibi-Témiscamingue, St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Lanaudière, St-Hyacinthe, Outaouais, Vieux-Montréal, Rosemont, Ahuntsic, Héritage, le Collège international Marie de France, le Collège St-Jean-Vianney, l’université de Sherbrooke et Trav-Action. À l’est (10) : Jonquière, Limoilou, Gaspésie, F.-X. Garneau, St. Lawrence, Ste-Foy, St-Félicien, Lévis-Lauzon, Chicoutimi et Psycho-Carrière. Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

Abonnement au bulletin électronique
Quelque Chose de l'ACOC


Votre courriel :

21 février 2008

V 6 No 18: Candidature aux 5 commissions du Conseil supérieur


Éclipse de lune le 20 février 2008 (vidéo www.tontuyau.com/v.asp?id=19727)

Le Conseil supérieur de l'éducation s'est adressé à l'ACOC pour des recommandations de candidatures à ses cinq commissions. Si vous êtes intéressés à poser votre candidature, faites parvenir le formulaire de CV abrégé (ci-dessous) à Philippe Brosseau président de l'ACOC pbrossea@cstj.qc.ca (transmettre le c.v. à son adresse du cégep de St-Jérôme). Il communiquera les candidatures à la présidente du Conseil supérieur de l'éducation, avant le 28 mars. Vous pouvez choisir parmi les différentes commissions. Présentement, Sophie Poirier c.o. spoirier@brebeuf.qc.ca siège sur celle de l'enseignement collégial www.cse.gouv.qc.ca/FR/Comcollegial/index.html. Nous avons déjà eu des membres à celle du secondaire mais aucun pour la Commission de l'enseignement universitaire. Vous trouverez de plus amples informations sur le site suivant pour les travaux en cours (Enseignement secondaire : Connaissance des besoins des jeunes du secondaire; Enseignement collégial : Le collège comme milieu signifiant et porteur d'engagement pour les étudiants; Enseignement et recherche universitaires : L'institution universitaire au Québec : son rôle dans la société, sa mission et ses mécanismes de régulation; Éducation des adultes et formation continue : Les retombées de la formation continue de la main-d'oeuvre assurée par le réseau de l'éducation) : www.cse.gouv.qc.ca/FR/TravauxEnCours/index.html

Section Nouvelles
http://www.acoc.info/
7e Congrès ACOC 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 Pour le moment, 14 membres ont complété leur inscription. Nous avons déposé sur cette page les modalités d’inscription pour réserver votre place dans l’autobus et pour les résidences de l’Université de Moncton www.umoncton.ca/acoc . De plus, vous retrouverez le lien pour vous inscrire au Congrès de l’ACC le 14 et le 15 mai www.ccacc2008.ca/fr/download_forms.cfm?lang=fr ainsi que le site de leur programme détaillé www.ccacc2008.ca/fr/presentations.cfm?lang=fr Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Directement du secondaire à l'université. Allez sur le site du bulletin pour visionner l’invitation du président de l’ACOC Philippe Brosseau c.o. www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/2007/10/vido.html

Informations sur les frais afférents universitaires: www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=879

En ce qui concerne l’assurance pour la cotisation à l’OCCOPPQ,
l’Ordre écrit : Cependant, selon votre milieu de travail, vous pouvez, si vous le désirez, demander l’exemption. Comment ? La liste des secteurs pouvant être exemptés est fournie en annexe F du Guide du membre. Vous devez obligatoirement remplir et signer cette annexe pour avoir droit à l’exemption. Pour les professionnels oeuvrant dans un établissement public comme un cégep (convention signée entre l’employeur et le syndicat), il suffit de cocher la case 4 et de signer (à joindre avec votre formulaire). Vous êtes déjà couvert par cette convention. Renseignez-vous auprès de votre employeur et votre syndicat pour connaître votre protection en cas de poursuite. Par exemple, les professionnels de la FPPC affilié à la CSQ ont cet article prévu à leur convention : Article 8-16.00 - Responsabilité civile 8-16.01 Le Collège s'engage à prendre fait et cause pour toute personne professionnelle dont la responsabilité civile est engagée par le fait de l'exercice de ses fonctions et convient de n'exercer contre elle aucune réclamation à cet égard. De plus, toute absence nécessitée par cette mise en cause n'entraîne aucune perte de traitement, ni de droit.

L'Ordre en commission parlementaire
L'Ordre sera reçu en commission parlementaire le 4 mars de 10h45 à 11h45 à la Salle Louis-Joseph-Papineau, hôtel du Parlement, dans le cadre des consultations particulières et auditions publiques à l’égard du projet de loi no 50, loi modifiant le Code des professions et d’autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et des relations humaines. Les audiences se termineront le 11 mars à midi alors que 21 organismes auront été entendus. Il est possible d'écouter les présentations en direct ou en différé en allant sur le site Web du Parlement. www.assnat.qc.ca/fra/travaux/Debats/av-an.shtml

Info collégiale

"Orientation 101" pour parents : accompagner son enfant dans son choix de carrière Les parents ont une grande influence sur les choix scolaires et professionnels de leur enfant. Ce constat est rassurant, mais en même temps inquiétant. Car, devant l'indécision de leur jeune, plusieurs parents se sentent démunis, désorientés (!). Il peut alors paraître paradoxal de vouloir aider son jeune à s'orienter… On propose ici quelques pistes d'action. www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/orientation-101-pour-parents-accompagner-son-7569.html

Info universitaire
L'enseignement des sciences en péril
En décembre dernier, une étude internationale PISA a classé les élèves canadiens au deuxième rang en sciences. Mais sans de nouveaux professeurs, leur position risque de régresser. Si la pénurie d'enseignants de mathématiques et de sciences n'est pas résorbée, le Canada pourrait dégringoler dans les classements internationaux. Déjà, cela s'est produit dans les classements des habiletés langagières, où le Canada est passé de la deuxième à la quatrième place. «Il faut que les facultés d'éducation abaissent leurs exigences pour les scientifiques qui désirent enseigner», explique Dianne Pennock, coordonnatrice de l'évaluation au Conseil canadien des ministres de l'éducation, en entrevue en marge du congrès annuel de l'Association américaine pour l'avancement des sciences. «Il y a beaucoup d'ingénieurs, de biologistes qui veulent se réorienter en éducation. Mais ils sont confinés à la précarité parce qu'ils ne peuvent pas avoir de permis d'enseigner sans faire le baccalauréat. Il faudrait les former au moyen de stages, ce qui leur permettrait de travailler directement.» Jusqu'en 1994, les diplômés universitaires pouvaient faire un certificat en enseignement d'un an et obtenir un permis d'enseigner. Depuis, il faut faire trois années d'études de plus. Le nombre d'enseignants sans permis a décuplé depuis cinq ans dans les écoles, et la hausse est particulièrement forte en mathématiques et en sciences. En décembre dernier, l'étude internationale PISA a classé les élèves canadiens au deuxième rang en sciences. Mais Mme Pennock estime que cette position est fragile. «En français et en anglais, nous avons gardé le même niveau, mais la Corée et Hong Kong ont progressé et nous ont dépassé. En sciences, sans de nouveaux professeurs, nous risquons carrément de régresser.». Mme Pennock veut aussi comprendre certaines zones de faiblesse. «Environ 10% des élèves ont très mal fait. Ils se sont classés sous le niveau un, alors qu'il y a six niveaux. Ce sont des gens qui risquent d'être très mal équipés pour fonctionner dans la société moderne. Il faut savoir s'il s'agit d'élèves de milieux pauvres, ou alors des immigrants de première génération, ou des francophones hors Québec.». Deux autres faiblesses seront examinées par le Conseil. «Nos élèves sont aussi généralement moins forts pour expliquer les phénomènes scientifiques. Le Japon, la Corée et Hong Kong nous ont dépassés à ce niveau, notamment parce qu'ils impliquent davantage les parents dans l'éducation. Et il faut comprendre pourquoi les filles sont moins fortes que les garçons.» www.cyberpresse.ca/article/20080219/CPACTUEL/802190662/5159/CPACTUEL

L'Université de Moncton, campus d'Edmundston célèbre la diversité culturelle La septième édition de la Semaine internationale à l'Université de Moncton, campus d'Edmundston (UMCE), s'est officiellement ouverte le lundi 18 février. Le coup d'envoi de la Semaine, se déroulant du 18 au 22 février, a été donné par le dévoilement des drapeaux des 25 pays représentés par les étudiants internationaux et résidents permanents actuellement inscrits au Campus et les membres du personnel. Le campus d'Edmundston regroupe 40 étudiantes et étudiants provenant de 16 pays. De plus en plus étudiants de pays étrangers et de résidents permanents choisissent le campus d'Edmundston comme destination universitaire. La photo, prise à l'issue de la cérémonie de l'ouverture officielle de la Semaine internationale à l'UMCE nous fait voir ces étudiantes et étudiants ainsi que des membres du personnel originaires des autres continents de la planète. www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=83678&B=1

De nouvelles possibilités à l'Université de Montréal : un cheminement intensif pour le baccalauréat; 4 baccalauréats sont offerts sur 2 ans. La Faculté des arts et des sciences de l’Université de Montréal offre aux étudiants la possibilité de compléter un baccalauréat spécialisé en deux ans seulement dans quatre disciplines : informatique, communication, science politique et mathématiques (statistique, actuariat ou sciences mathématiques). Ouvert dès maintenant pour une cohorte spéciale commençant à l’automne 2008, ce cheminement intensif prévoit six trimestres consécutifs à temps plein, incluant deux étés. Pourquoi choisir un cheminement intensif? Les raisons sont aussi variées que les étudiants, auxquels la Faculté des arts et des sciences choisit de s’adapter. « Le cheminement classique, qui dure trois ans, peut freiner les projets de formation de certains candidats qui font face à des contraintes personnelles ou économiques, comme dans le cas d’un retour aux études, explique Sylvie Normandeau, vice-doyenne aux études. Les nouveaux cheminements spécialisés en deux ans peuvent signifier, pour ces candidats, un meilleur accès aux études universitaires : c’est un investissement dans leur avenir.» www.etudes.umontreal.ca/admission

Un bac, deux diplômes… l'UQAC innove avec son programme en administration Parler plusieurs langues, s’ouvrir sur le monde, connaître d’autres cultures et apprendre à vivre à l’étranger peut faire la différence entre deux candidats, sur le marché du travail. L’Université du Québec à Chicoutimi l’a compris. C’est pourquoi elle propose un baccalauréat en administration qui joint le voyage à la formation universitaire. Ce programme conduit à une double diplomation, une première au Québec. - La première année du baccalauréat se fait à l’UQAC; - La deuxième année se passe à l’Université de San Diego, en Californie; - La troisième année est au choix (San Diego ou Chicoutimi). Ce programme vous permet en trois ans - De parler couramment l’anglais; - D’obtenir deux diplômes reconnus à travers le monde; - De développer un réseau de contacts professionnels en Amérique du Nord; - De bien connaître la Californie; - De faire des stages aux États-Unis et au Canada; - De connaître et comprendre : 1. Les organismes politiques et économiques américains et canadiens; 2. Le fonctionnement économique des deux pays; 3. Le monde des affaires aux États-Unis et au Canada. Au terme de leur formation, les étudiants obtiennent deux diplômes : un diplôme canadien et un diplôme américain. http://wprod6.uqac.ca/prog_par_module/desc_prog.html?code=7764

Université Laval - Nouveaux stages coopératifs en partenariat avec le secteur assurances et services financiers de Québec Le Centre de développement en assurances et services financiers (CDASF) et le Service de placement de l’Université Laval (SPLA) s’associent afin d’offrir des stages coopératifs aux étudiants du baccalauréat en administration des affaires de la Faculté des sciences de l’administration. Ce partenariat permettra d’offrir, chaque année, un minimum de quinze stages rémunérés dans différentes compagnies soucieuses de contribuer à la formation de la relève et à l’affut de nouvelles recrues. Le Centre de développement en assurances et services financiers réunit onze sièges sociaux du milieu des assurances et des services financiers de la grande région de Québec et Lévis. Cette mobilisation permet de regrouper forces et idées tout en accroissant la présence de l’industrie de l’assurance. « À elles seules, ces compagnies prévoient offrir quelque 3 000 postes d’ici cinq ans. Lorsque le Centre a été lancé à l’automne 2007, nous avons souligné l’importance d’être proactifs et de poursuivre notre croissance en recrutant des ressources d’ici. Il est donc tout naturel pour nous de renforcer nos liens avec les institutions d’enseignement comme l’Université Laval. », explique M. Yvon Charest, président du CDASF et président d’Industrielle Alliance. www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=83450&B=1

Baccalauréat en développement social et analyse des problèmes sociaux à l'UQAR Une vidéo qui explique tout! Les différentes formations universitaires dans le domaine de la sociologie vous semblent toutes identiques? Découvrez enfin LA formation qui se distingue, non seulement par son contenu, mais par le dynamisme et la passion habite ses étudiants. Jason Fournier, étudiant finissant au Baccalauréat en développement social et analyse des problèmes sociaux à l'UQAR, vous propose une vidéo qui représente le plaisir et la passion qu'il a eu à étudier à l'UQAR ces trois dernières années. Ce film a été réalisé par les étudiants en développement social et analyse des problèmes sociaux afin de faire connaître cette formation unique et innovante. Étant donné qu'ils ont eu un véritable coup de foudre pour ce programme, ils vous proposent de partager la passion qu'ils ont d'y étudier. Pour visionner la vidéo promotionnelle : www.uqar.qc.ca/developpement/programme/index.asp

Formation, documentation
Un nouveau système solaire découvert grâce à des astronomes amateurs Des scientifiques ont découvert, grâce à la contribution d'astronomes amateurs, un système solaire éloigné mais remarquablement similaire au nôtre, selon une étude publiée jeudi par le magazine Science. www.cyberpresse.ca/article/20080214/CPSCIENCES/80214130/1020/CPSCIENCES


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Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Documents réalisés par Raymond Jean, c.o.


Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Pour le moment, 47 membres des 27 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (17) : les cégeps St-Laurent, Abitibi-Témiscamingue, St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Lanaudière, St-Hyacinthe, Outaouais, Vieux-Montréal, Rosemont, Ahuntsic, Héritage, le Collège international Marie de France, le Collège St-Jean-Vianney, l’université de Sherbrooke et Trav-Action. À l’est (10) : Jonquière, Limoilou, Gaspésie, F.-X. Garneau, St. Lawrence, Ste-Foy, St-Félicien, Lévis-Lauzon, Chicoutimi et Psycho-Carrière. Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca


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Quelque Chose de l'ACOC


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12 février 2008

V 6 No 17: Inscription au 7e Congrès ACOC 2008


Cascades du Lac Parker

Section Nouvelles www.acoc.info
7e Congrès ACOC 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 Nous avons déposé sur cette page les modalités d’inscription pour réserver votre place dans l’autobus (transmettre le formulaire par la poste accompagné d’un chèque de 50$ et l’envoyer également par courriel en cliquant sur Soumettre votre questionnaire) et pour compléter le formulaire (à faxer) pour les résidences de l’Université de Moncton www.umoncton.ca/acoc . De plus, vous retrouverez le lien pour vous inscrire au Congrès de l’ACC le 14 et le 15 mai www.ccacc2008.ca/fr/download_forms.cfm?lang=fr ainsi que le site de leur programme détaillé www.ccacc2008.ca/fr/presentations.cfm?lang=fr
Moncton, j’embarque!
http://faislesaut.com Directement du secondaire à l'université. Allez sur le site du bulletin pour visionner l’invitation du président de l’ACOC Philippe Brosseau c.o. www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/2007/10/vido.html

Poste de c.o. régulier temps partiel au Centre d'études collégiales à Chibougamau du Cégep de St-Félicien Date limite du concours : 21 février 2008 LE CENTRE D’ÉTUDES COLLÉGIALES À CHIBOUGAMAU du Cégep de Saint-Félicien requiert les services d’un(e) conseiller(ère) d’orientation sur poste à temps partiel à raison de 2 jours/semaine jumelé avec une charge de projets de 3 jours/semaine. www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=945

Guide d'admission universitaire - Automne 2008
Version du 13 février 2008 Modification mineure relative à l'admission en ligne à l'UQAC. Documents réalisés par Raymond Jean, c.o.

Bulletin d'information du SRACQ www.sracq.qc.ca/infosraq/bulletin.asp relatif aux changements à prévoir aux conditions d'admission au collégial Volume 32, no 4, mardi 5 février 2008 www.sracq.qc.ca/infoSraq/bulletins/32/32-4.pdf

- D’autres changements à prévoir aux conditions d’admission au collégial
- Clarification concernant les conditions d’admission actuellement en vigueur
- Le maintien des 15 heures d’appoint en mathématiques pour les programmes de Sciences humaines et d’Histoire et civilisation
- Les nouvelles séquences de mathématiques et les préalables des programmes collégiaux
- Préalable de chimie pour le programme Soins infirmiers


Info collégiale
Hausse des prescriptions d'antidépresseurs parmi les cégépiens Une communauté collégiale n'est pas bien différente de la société en général. Au Québec comme dans un cégep, les cas de maladie mentale sont en croissance. Sans parler de tous ces problèmes d'ordre émotionnel qui, même temporaires, peuvent causer un très grand déséquilibre et mettre en péril la réussite académique www.cyberpresse.ca/article/20080206/CPACTUEL/802060752/6785/CPNOUVELLISTE

Pénurie de main-d'oeuvre dans le domaine de la santé sur la Côte-Nord Les travailleurs de la santé rappellent que les conditions de travail demeurent difficiles dans les établissements de la Côte-Nord, en raison de la pénurie de main-d'oeuvre. Les établissements de la Côte-Nord réussissent à pourvoir à la plupart des postes de professionnels et techniciens en santé. Toutefois, l'équilibre est précaire. La demande d'un congé, une absence pour maladie peuvent parfois entraîner un surcroît de travail pour le personnel en place et des coûts supplémentaires imprévus pour l'établissement. Ainsi, l'été dernier, l'hôpital de Sept-Îles a dû utiliser les services d'une agence privée pour maintenir les services de laboratoire et de radiologie. La présidente de l'Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS), Dominique Verreault, admet qu'il s'agit d'un recours nécessaire, mais qui est loin d'être idéal. « Ces gens viennent sur une base temporaire. Ils ne connaissent pas bien l'établissement, les pratiques médicales de l'équipe. Ils sont moins familiers avec la clientèle aussi », souligne Mme Verreault. Pour pallier le manque de personnel, les établissements de la Côte-Nord ont mis en place différentes initiatives pour attirer et retenir le personnel médical. L'hôpital de Sept-Îles offre des primes d'éloignement. Fermont pourrait augmenter le nombre de sorties payées à l'extérieur de la région. La mesure pourrait aussi être reprise à Havre-Saint-Pierre. Dominique Verreault indique que certaines dispositions en ce sens sont déjà prévues dans la convention collective. « Mais on essaie d'augmenter ce nombre de sorties à même l'argent, que nous avons négocié au niveau national pour les problèmes d'attraction et de rétention de personnel », précise la présidente de l'organisation syndicale.Par ailleurs, pour poursuivre cette lutte pour la qualité de leur environnement de travail, l'APTS, qui représente 500 professionnels, dont des physiothérapeutes, des nutritionnistes ou des techniciens en radiologie, s'associe à la campagne nationale de la FTQ et de la CSN, sur le maintien d'un service public de santé.
http://www.radio-canada.ca/ 31/01/2008


Info universitaire
Du nouveau à l'UQAC : l'admission en ligne
L’admission du 1er mars 2008 ne passera pas inaperçue. En effet, l’Université du Québec à Chicoutimi vous offre une section de son site Internet où vous pourrez faire votre admission en ligne! Inscription en ligne :
www.uqac.ca/admissionenligne

Le programme Éducateur sans frontières - Enseignants, conseillers pédagogiques et directeurs d'école recherchés Travailler outre-mer représente une occasion exceptionnelle de bâtir un pont avec d'autres cultures tout en se découvrant soi-même.Le programme Éducateurs sans frontières permet à des enseignants, des conseillers pédagogiques et des directeurs d'école canadiens d'appuyer leurs homologues en Haïti, au Burkina Faso et au Bénin. Professionnels de l'éducation au Canada, en exercice ou à la retraite, ces derniers apportent un accompagnement au quotidien en gestion scolaire, en amélioration de la qualité de l'enseignement et en mobilisation communautaire, et ce, pour une période de trois mois. Vous voulez en savoir plus? Venez assister à une rencontre d’informations à Montréal ou à Québec! Prochains départs outre-mer : Haïti et le Burkina Faso : septembre 2008 Bénin : janvier 2009 Date limite pour le dépôt des candidatures pour les départs de septembre 2008 : 16 mai 2008. Voir les dates des rencontres d’information sur le lien suivant
www.fondationpgl.ca/fr/outremer/actualite.php?nouvelle=74

Québec voudrait former 20 bibliothécaires par année
Les bibliothécaires seraient de retour dans les bonnes grâces au ministère de l'Éducation du Québec. Le Devoir rapporte lundi que pour faire face à la pénurie et à d'éventuelles embauches, le ministère a demandé aux universités offrant des formations dans ce domaine de rouvrir des cours sur la bibliothéconomie en milieu scolaire.
www.cyberpresse.ca/article/20080128/CPACTUALITES/80128032/1019

Le retour des bibliothécaires dans les écoles ? Le ministère semble vouloir endiguer une carence devenue sidérante Alors que le gouvernement du Québec a investi 75 millions de dollars au cours des quatre dernières années pour l'achat de livres consacrés aux bibliothèques scolaires, pas un nouveau sou n'a encore été versé pour l'embauche de bibliothécaires qualifiés pour acheter ces livres, pour animer les collections et pour conseiller les élèves et les professeurs dans leur fréquentation de la bibliothèque. Pourtant, une bibliothèque bien gérée constitue un véritable poumon pour l'école, offrant du coup une bouffée d'air frais à des élèves parfois au bord de l'asphyxie. Et, contrairement à la croyance populaire, la révolution technologique n'a fait qu'accroître les besoins des élèves dans ce domaine.
www.ledevoir.com/2008/01/28/173660.html

Entrez voir la VIDÉO
Mission: assurer la sécurité sur le campus de l'UQTR. Cette semaine, l'équipe formée de Martine Lauzière, Véronique Chamberland et Khaeddy Chanthavongnasaeng, vous propose de découvrir la mission de l'équipe du Service de la protection publique de l'Université.
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=7116

L'Université de Moncton, campus d'Edmundston, inaugure son nouvel environnement d'apprentissage.
www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=83070&B=1


Formation, documentation
Boucar Diouf, porte-parole de la 3e édition du 24 heures de science Sur le thème de Regardez-bien, une autre façon de voir la science. C’est officiel, les 9 et 10 mai prochain, de midi à midi, des milliers de Québécois tourneront leur regard vers l’une ou l’autre des 125 activités proposées pour une troisième année consécutive par le 24 heures de science, l’événement québécois de science et de technologie par excellence. http://www.science24heures.com/

Salon des technologies environnementales du Québec 2008 1 et 2 avril 2008 - Centre des congrès de Québec http://steq.reseau-environnement.com/tiki-index.php

« Le renouveau pédagogique au secondaire : impacts sur les collèges et les universités » organisée par le CAPRES et le CRIRES est maintenant disponible sur le magazine électronique du Consortium. Cette activité s’est tenue le 31 janvier 2008 à l’Université du Québec. À noter : En raison de l’intérêt marqué entourant la réforme de l’éducation et des préoccupations exprimées par le milieu postsecondaire, le CAPRES vous propose une mise à jour régulière de ce dossier en y insérant de nouveaux documents ou toutes informations jugées pertinentes. Le compte rendu est disponible à l’adresse suivante : www.uquebec.ca/capres/fichiers/Session-travail_2008.shtml

Journée de sensibilisation de l'AQPPEP du 26 octobre 2007 Le site web de l'AQPPEP http://www.aqppep.com/ contient maintenant toutes les présentations PowerPoint de la journée sous l'onglet "événement". Nous vous souhaitons un bon début d'année! Cordialement, Sophie L'Heureux Psychiatre CNDV et HEJ, Québec Secrétaire pour l'AQPPEP lpichett@ssss.gouv.qc.ca

« L’insertion professionnelle des diplômés et le développement régional» Organisée par le Consortium d’animation sur la persévérance et la réussite en enseignement supérieur (CAPRES) www.uquebec.ca/capres Quand : Jeudi 13 mars 2008 Où : Université du Québec à Rimouski aucun frais d’inscription ! Les demandes de participation devront être acheminées par courriel et parvenir au plus tard le : Vendredi 7 mars 2008 à l'adresse suivante: sonia.potvin@uquebec.ca www.uquebec.ca/~uss1109/dossiers/2007-2008/Atelier-2008/Atelier-Programme.pdf

Jeux vidéo: les hommes naturellement accros
Si vous en avez ras le bol de voir votre copain passer des heures devant son ordinateur, son Nintendo ou son PlayStation, sachez qu'il n'y peut rien. Des chercheurs de l'Université Stanford, en Californie, viennent de démontrer que les hommes sont prédisposés sur le plan neurologique à devenir des accros du jeu vidéo. Au même moment, les appareils ont détecté chez les joueurs une intense activité du système mésocorticolimbique, la partie du cerveau liée aux sentiments de récompense. «Nous avons découvert que ces régions s'activent beaucoup plus, et de façon beaucoup plus systématique chez les hommes que chez les femmes, lorsqu'ils jouent à ces jeux vidéo", a indiqué la Dre Hoeft, lors d'un entretien téléphonique. Mais d'autres recherches ont démontré que cette région du cerveau est aussi liée à la dépendance. Voilà qui pourrait expliquer les résultats d'un sondage Harris, mené l'an dernier, qui montrait que les jeunes hommes étaient deux à trois fois plus susceptibles de devenir accros aux jeux vidéo que les jeunes filles. http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/texte_complet.php?id=81,12399,0,022008,1414770.html

Le Conseil supérieur de l'éducation a rendu public son avis sur le projet de règlement visant à modifier le Régime pédagogique de l'éducation préscolaire, de l'enseignement primaire et de l'enseignement secondaire : implantation du programme « Éthique et culture religieuse ». Cet avis ainsi que le communiqué de presse sont publiés sur le site du Conseil. Nous vous invitons à prendre connaissance de ces documents à : http://www.cse.gouv.qc.ca/

Des cybermentors pour inspirer la relève –
Desjardins s'associe à Academos dans la promotion du cybermentorat auprès des jeunes www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=82794&B=1



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Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Documents réalisés par Raymond Jean, c.o.

Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Pour le moment, 47 membres des 27 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (17) : les cégeps St-Laurent, Abitibi-Témiscamingue, St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Lanaudière, St-Hyacinthe, Outaouais, Vieux-Montréal, Rosemont, Ahuntsic, Héritage, le Collège international Marie de France, le Collège St-Jean-Vianney, l’université de Sherbrooke et Trav-Action. À l’est (10) : Jonquière, Limoilou, Gaspésie, F.-X. Garneau, St. Lawrence, Ste-Foy, St-Félicien, Lévis-Lauzon, Chicoutimi et Psycho-Carrière. Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

Abonnement au bulletin électronique
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05 février 2008

V 6 No 16: Modifications au Régime des études collégiales

Au Parc de la Mauricie

Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com Directement du secondaire à l'université. Allez sur le site du bulletin pour visionner l’invitation du président de l’ACOC Philippe Brosseau c.o. www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/2007/10/vido.html L'ACOC a établi l'horaire suivant: Départ en autobus le 12 mai; Journée du 13 et soirées du 14 et du 15 avec l'université de Moncton : Souper et spectacle Ode à l’Acadie le13 mai, Souper au Pays de la Sagouine le 14 mai; Souper / table-ronde avec des étudiants du Québec le15 mai.; Participation au colloque de l'ACC le 14 et le 15; Retour le 16 en autobus. L'ACOC remboursera aux membres qui séjourneront sur le campus de l'université de Moncton les frais de 140$ à la fin du séjour (le prix par personnes est de 35 $ par soir). Il reviendra à chaque membre de réserver sa place aux résidences Pour réservation, utilser le formulaire suivant en format jpg pour celles et ceux qui voudraient réserver maintenant. C'est un formulaire qu'il faut remplir et faxer puisque le Service du logement ont besoin d'une carte de crédit pour réserver et de la signature du demandeur. Denis Boucher denis.boucher@umoncton.ca Responsable de la promotion et du recrutement Université de Moncton. Pour réserver une place dans l'autobus, vous pourrez compléter le formulaire disponible sur Internet bientôt en février (frais de 50$ incluant les repas lors du déplacement). L'université de Moncton nous offre le transport, le dîner, le souper-spectacle du 13, et les souper du 14 et du 15 ainsi que la possibilité de se loger à coût modique aux résidences (remboursement par l'ACOC). L’Université de Moncton a réservé 60 studios (120 chambres) pour les participants. L’autobus servira aussi lors de notre séjour à Moncton (déplacement pour les activités et pour se rendre aux ateliers de l’ACC).

Projets de règlement à l’étude
Modifications au Régime des études collégiales : admission sous condition de terminer le DES durant la 1ère session et possibilité du DEC sans mention et le DEC spécialisé dans certains programmes techniques.



Règlement sur le régime des études collégiales: Faudra-t-il avoir seulement terminé son primaire pour rentrer au collégial ? « Bien que nous soyons satisfaits de constater que plusieurs propositions ont été retenues dont le DEC sans mention et le DEC spécialisé dans certains programmes techniques, nous demeurons toutefois fort inquiets de l'orientation prise quant aux conditions d'admission dans les cégeps. Il y a, pour nous, une limite à tenter de promouvoir la diplomation au secondaire en faisant miroiter la possibilité d'admission au cégep sans s'assurer que les jeunes possèdent les compétences et les acquis minimaux pour réussir des études collégiales », d'affirmer les représentantes et les représentants du secteur collégial de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). www.csq.qc.net/index.cfm/2,0,1676,9656,2323,0,html?action=display&BoxID=13503&LangID=2&KindID=2&complete=yes

Précisions importantes en lien avec l’article intitulé « Le DES ne sera plus requis pour entrer au cégep » www.cyberpresse.ca/article/20080124/CPSOLEIL/80124108/6584 L’article que vous avez rapporté http://quelquechosedelacoc.blogspot.com/2008/01/v-6-no-15-le-choc-des-gnrations.html a semé une certaine confusion chez les conseillers ainsi que parmi les jeunes qui se préparent à faire une demande d’admission au cégep, comme en témoignent les nombreux appels téléphoniques et courriels que nous recevons depuis la parution du premier article sur le sujet dans Le Devoir la semaine dernière. En premier lieu, il importe de préciser qu’il s’agit d’un Projet de règlement visant à modifier le Règlement sur le Régime des études collégiales (RREC) et que celui-ci est soumis à un délai de 45 jours afin de permettre aux personnes intéressées de transmettre des commentaires à la ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport. Cela implique que le gouvernement ne pourra édicter ce règlement avant le 1er mars 2008. Nous attirons également votre attention sur le fait que la nouvelle disposition proposée ne constitue pas une obligation (voir le mot en rouge) : « 2.3 Un collège peut admettre sous condition à un programme d’études conduisant au diplôme d’études collégiales la personne qui, n’ayant pas accumulé toutes les unités requises par le Régime pédagogique de l’éducation préscolaire, de l’enseignement primaire et de l’enseignement secondaire, ou par le Régime pédagogique de la formation générale des adultes pour l’obtention du diplôme d’études secondaires, s’engage à accumuler les unités manquantes durant sa première session. … » Cela signifie donc que chaque collège devra déterminer le quoi et le comment de l’application du nouveau RREC et modifier son propre Règlement d’admission en conséquence, ce qui nécessite une résolution du Conseil d’administration. Un tel contexte nous empêche de diffuser des informations précises quant à d’éventuelles modifications des conditions d’admission dans les collèges que le SRAM représente. Il est toutefois de notre avis qu’il faut faire preuve de prudence tant que la nouvelle version du RREC n’est pas en vigueur et que les collèges n’ont pas fait connaître leurs modalités d’application. Dans l’espérance que ces précisions pourront répondre à certaines interrogations de vos membres et des lecteurs de votre bulletin, nous vous prions d’agréer nos sentiments distingués. Geneviève Lapointe directrice des communications au SRAM glapointe@sram.qc.ca

Info collégiale
18e Semaine de prévention du suicide - Agir maintenant pour prévenir le suicide chez les jeunes
L'Association québécoise de prévention du suicide (AQPS) et la Fédération des cégeps s'associent cette année, dans le cadre de la 18e Semaine de prévention du suicide, pour lancer un véritable appel à l'ensemble de la population québécoise en vue de prévenir le suicide chez les jeunes. Selon les plus récentes données de l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), 1 136 personnes seraient décédées par suicide en 2006, représentant un taux ajusté de 14,8 par 100 000 habitants. Chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans, cela représentait en 2006 pas moins de 113 décès. Bien que l'on y remarque une diminution significative des taux de suicide depuis 2000, le Québec demeure tout de même la province canadienne enregistrant les plus hauts taux de mortalité par suicide, tant chez les hommes que chez les femmes, et un des plus hauts taux parmi les pays de l'OCDE. Selon Louis Lemay, directeur général de l'AQPS, "si on peut se réjouir de la diminution continue du nombre de décès par suicide, il ne faut surtout pas baisser la garde : il faut continuer le travail de prévention du suicide au Québec". On peut signer la déclaration véhiculant le message "T'es important pour nous. Le suicide n'est pas une option!" à l'adresse suivante :
www.fedecegeps.qc.ca ou encore sur le site Web de l'AQPS www.aqps.info .

Un orienteur, ça oriente et ça rassure
La Presse Carrières et emplois, samedi, 26 janvier 2008 CARRIERES PROFESSION Lambert-Chan, Marie Collaboration spéciale La recherche d'emploi, la transition de carrière, la réflexion quant à l'orientation scolaire ou la quête d'un projet pour la retraite sont des démarches solitaires, pour lesquelles la consultation d'un conseiller d'orientation peut s'avérer salutaire. On retrouve les C.O., comme on les appelle communément, dans les organismes communautaires et les établissements scolaires, mais aussi en cabinet privé, une dimension de la pratique moins connue au Québec. Parmi les 2250 conseillers d'orientation enregistrés à l'Ordre des conseillers et conseillères d'orientation et psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec (OCCOPPQ), quelque 500 travaillent au privé. C'est à l'un d'entre eux que l'étudiant Mathieu Brassard a fait appel lorsque son rêve d'enfance de devenir policier a tourné court. Le programme de techniques policières ne correspondait pas du tout à ses attentes. " En une seule rencontre, mon conseiller d'orientation m'a beaucoup plus aidé que n'importe qui, affirme le jeune homme qui étudie aujourd'hui en administration. J'en suis sorti rassuré, sachant que je pouvais, sans regret, mettre une croix sur mon rêve et miser sur mes autres intérêts. " Pourquoi ne pas avoir consulté le conseiller d'orientation de son cégep ? " Certains de mes amis l'ont fait, mais cela les a encore plus mêlés, répond Mathieu Brassard. Je crois que les conseillers d'orientation privés sont plus à l'écoute de nos besoins et de nos intérêts, alors que ceux qui travaillent dans les établissements publics adaptent leur approche en fonction des programmes d'études. Je ne pense pas qu'un choix de carrière devrait être basé uniquement là-dessus. " Mathieu Guénette, conseiller d'orientation en cabinet privé et à la Société Pierre-Boucher, remarque que bien des gens sont insatisfaits des consultations offertes dans les écoles. " Les étudiants ne peuvent pas choisir leur conseiller, le temps de consultation est souvent trop court et les services sont moins axés sur le rôle-conseil du C.O. ", dit-il tout en refusant de jeter la pierre à ses collègues. " Il faut leur rendre justice : les établissements scolaires comptent un C.O. pour 2000 étudiants. C'est pratiquement mission impossible. " Bien sûr, il faut allonger plusieurs dizaines de dollars pour faire affaire avec le privé, mais les avantages sont conséquents. " La confidentialité des échanges est assurée, aucun tiers n'est impliqué dans la relation entre le client et le conseiller - comme l'école ou Emploi-Québec dans les cas de réinsertion professionnelle - et les consultations sont beaucoup plus longues, indique Mathieu Guénette. C'est par ailleurs une orientation plus ciblée où on peut se permettre une réflexion poussée sur son cheminement scolaire ou professionnel. " Avant de jeter son dévolu sur un conseiller d'orientation, il vaut mieux mener sa petite enquête. Première étape : vérifier si le conseiller est inscrit dans le répertoire électronique de l'OCCOPPQ. " On y trouve des indications sur les clientèles desservies et sur les problématiques et spécialités des conseillers d'orientation ", explique Laurent Matte, président du secteur orientation de l'Ordre. Il importe de contacter différents C.O. par la suite et de les interroger sur leur approche, comme on le ferait si on était en quête d'un psychologue. L'orientation est une démarche fondée sur une relation d'aide qui nécessite la confiance du client. " C'est pourquoi on a avantage à bien expliquer pourquoi on souhaite consulter. On doit ensuite demander au conseiller comment ce dernier envisage de répondre à notre demande ", mentionne Érick Beaulieu, conseiller d'orientation privé. Les écoles de pensée et les méthodes d'intervention varient d'un C.O. à l'autre. Il n'y a pas une bonne réponse aux besoins d'orientation, sinon de savoir si " ça clique " entre le client et le conseiller, dit Laurent Matte. " Fiez-vous à votre intuition ", conseille-t-il, en ajoutant qu'une démarche d'orientation peut être bouclée en cinq à six rencontres. " Ce n'est pas une psychanalyse ", souligne-t-il. Le coût de chaque entretien est de 70 à 80 $ de l'heure. Attention aux C.O. qui tentent de vendre leur approche comme une panacée. " Si le conseiller met trop d'emphase sur la valeur magique de ses outils, sans bien expliquer le lien avec l'impasse exprimée par le client, il faut poursuivre les recherches, croit Érick Beaulieu. Le rôle du C.O. n'est pas de trouver la réponse à la place du client, mais plutôt de l'aider à se questionner et à se responsabiliser dans son cheminement. " Il invite donc le public à être attentif aux capacités empathiques et réflexives du conseiller, d'où l'importance d'effectuer un bon magasinage. www.occoppq.qc.ca/membres/pdf/comm/orienteur_LAPRESSE26janvier2008.pdf

Quand la lutherie compose la mondialisation
À 27 ans, Caroline Champagne, Philippe Lemieux et Sébastien Dupuis exercent le métier ancestral de la lutherie. Depuis deux ans qu’ils ont pignon sur rue Saint-Jean avec l’atelier Moustache, ils perfectionnent l’art de construire des instruments à cordes pincées en même temps que celui de gérer leur propre entreprise. Mais quand un gagne-pain traditionnel se frappe aux murs de la mondialisation, les choses se compliquent. Le luthier travaille de patience, de précision et de maintes retouches. Une carrière un peu à contre-courant pour une jeune génération qui carbure à l’instantanéité. Pourtant, l’École nationale de lutherie affiliée au Cégep Limoilou ne manque pas d’inscriptions et le choix semblait naturel pour les trois associés de l’atelier Moustache. Même pour Caroline Champagne, alors étudiante en arts et lettres, et pour Sébastien Dupuis, qui avait poursuivi jusque-là des études en sciences pures. «J’étais un peu blasé des sciences et je suis allé voir un orienteur, raconte-t-il. Il m’a dit : “Tu aimes la musique, tu aimes travailler de tes mains, il y a un cours qui se donne à Limoilou”.» Sur les bancs d’école, les deux copains originaires de la Mauricie ont rencontré Philippe Lemieux, qui avait opté pour la lutherie après avoir essuyé un échec en musique. «Heureusement, parce que je m’enlignais vers la guitare classique et je me suis rendu compte que je n’aimais pas vraiment ça», confie-t-il. Aujourd’hui luthiers, Caroline Champagne étudiait en arts et lettres et Sébastien Dupuis en sciences pures quand ils se sont joints à Philippe Lemieux (à l’extrême droite) pour lancer leur propre petite entreprise. À leurs débuts, les trois luthiers avaient choisi un créneau pourtant peu développé. Mais le marché les a rattrapés. À l’heure actuelle, ils indiquent qu’on peut acheter une guitare haut de gamme faite en Corée pour environ 1000 $. Le prix de base pour un instrument comparable fait par un luthier d’ici s’approchera quant à lui des 2800 $. Un instrument comparable, mais pas équivalent, précisent toutefois les trois associés. «Acheter une guitare faite à la main, c’est comme un investissement. C’est certain qu’il y a une part d’éducation qu’il faut faire», admet Caroline Champagne. Les luthiers de l’atelier Moustache disent porter une attention particulière au choix du bois et des vernis. Ils offrent également aux musiciens des guitares sur mesure. «Ce qui fait la différence, c’est l’effort qu’on met pour que tout soit parfait, assure Sébastien Dupuis. Nos guitares, on les essaie et on fait des retouches. Ça m’étonnerait qu’ils fassent ça en usine.» Lucides, Caroline Champagne, Philippe Lemieux et Sébastien Dupuis reconnaissent que le pari n’est pas encore gagné. Mais ils travaillent dur, dans leur sympathique atelier à l’ambiance feutrée, pour garder la tête hors de l’eau, le temps d’avoir un nom assez établi pour vivre de leur art.
www.lutheriemoustache.com www.cyberpresse.ca/article/20071218/CPSOLEIL/71217197/5784/CPSOLEIL

Les allophones choisissent l'anglais au collégial
Après 30 ans d'application de la loi 101, une majorité d'élèves allophones optent toujours pour l'anglais quand ils frappent à la porte du réseau collégial: ce constat embarrassant se retrouvera dans le bilan quinquennal sur la situation du français que doit publier le mois prochain l'Office de la langue française.
www.cyberpresse.ca/article/20080123/CPACTUALITES/801230823/6488

Génération Z = L’A.B.C des Événements Éco Responsables
Vos connaissez la « génération X » ? Les X, selon l’expression à la mode, ce sont les personnes nées entre 1960 et 1980, juste après les incontournables baby-boomers. Il y a aussi les Y, nés entre 1980 et 1995. Enfin, il y a les Z, la nouvelle génération. Mais Z pourquoi ? Je crois avoir trouvé… Dans mes rêves les plus fous, je les appelle ainsi non pas en raison de l’année de leur naissance, mais plutôt parce qu’ils poursuivent un même but, Zéro Déchet et Zéro carbone. Au moins, l’appellation Z voudrait dire quelque chose. La « Génération Z s’organiserait, lors de ses rassemblements, pour justement « générer » un minimum de déchets, et un minimum de CO2, un des principaux gaz à effet de serre.
www.ameqenligne.com/entrevue.asp?ID=46840

Quatrième secondaire : les nouveaux cours de math ne seront pas offerts partout Dans plusieurs écoles secondaires, surtout les plus petites, le nombre d’élèves ne permettra d’offrir, comme actuellement, que deux cours. Un nouveau cours de mathématique, fruit de la réforme, arrive en quatrième secondaire à l’automne. Pour mieux répondre aux différents profils d’élèves, le ministère de l’Éducation le décline en trois versions. Mais faute de ressource, bon nombre d’écoles ne pourront pas offrir le menu complet. Les élèves de troisième secondaire, à la grandeur du Québec, sont présentement plongés dans une profonde réflexion. Vont-ils opter pour la séquence qui porte le nom Culture, société et technique? Celle baptisée Technico-Sciences? Ou encore Sciences naturelles? Avec ce choix, les jeunes de 15 ans viennent tracer leur cheminement jusqu’au collégial, avec des cours différents en mathématiques et en sciences. Pas étonnant que les écoles multiplient les dépliants sur le sujet, les rencontres d’information avec parents et élèves et les projets d’orientation. Contrairement aux actuels cours de mathématique, où les élèves les plus forts sont orientés vers Math 436 et les plus faibles vers Math 416, les nouveaux cours veulent tenir compte des intérêts des élèves en plus de leurs aptitudes. Sur le plan du contenu, les nouveaux cours semblent plus intéressants. «Je pense qu’il fallait faire quelque chose», dit Pierre Ruest, directeur des services éducatifs à la commission scolaire Kamouraska–Rivière-du-Loup. «Avant, c’était la voie royale ou rien!» Le problème, c’est que, dans plusieurs écoles secondaires, surtout les plus petites, le nombre d’élèves ne permettra d’offrir, comme actuellement, que deux cours. Grosso modo, une classe doit compter 30 élèves pour obtenir la subvention du ministère et se payer un professeur. Dans le secteur Beauce–Etchemin, cinq écoles secondaires sur huit offriront toutes les séquences. Celles de Saint-Prosper, de Saint-Martin et de Beauceville devraient se contenter de deux. «Dans un monde idéal, on aurait les trois séquences partout, mais on n’a pas l’argent pour ça, dit Marie Labbé, de la commission scolaire. Mais on va s’arranger pour que les élèves ne soient pas pénalisés, avec des passerelles pour leur permettre de changer de séquence.» Dans le Bas-Saint-Laurent, trois écoles secondaires sur cinq offriront seulement Sciences naturelles et Culture, société et technique. Là aussi, on veut éviter que les élèves «servent de cobayes et soient brimés dans leurs choix collégiaux», dit Pierre Ruest. Des cours de rattrapage pour ceux qui changeront de profil sont déjà prévus. Même à Québec, dans la très urbaine commission scolaire de la Capitale, les écoles secondaires Jean-de-Brébeuf et Vanier optent pour deux séquences. «On pense que Technico-sciences ouvrira toutes les portes ou presque au collégial, indique Sylvie Beaudoin, des services éducatifs. Mais c’est certain que les parents nous ont demandé quelle était l’assurance qu’on ne se trompait pas.» À l’heure actuelle, le ministère de l’Éducation est incapable de confirmer si les cours Technico-sciences et Sciences naturelles, quasi semblables, serviront à accéder à tous les programmes au cégep. «Les programmes ont été conçus pour ouvrir l’ensemble des portes aux élèves», dit Stéphanie Tremblay, porte-parole du ministère de l’Éducation. La Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE) trouve anormal que le ministère n’ait pas prévu des budgets supplémentaires pour permettre aux petits milieux d’offrir les trois séquences prévues au programme. «Les parents ont l’impression qu’on ferme des portes à leurs enfants, dit Paula Duguay, vice-présidente de la FSE. Ce n’est pas ta provenance géographique qui devrait déterminer si tu as le droit d’avoir telle séquence.»
www.cyberpresse.ca/article/20080130/CPSOLEIL/80129239/6584

Examens des diplômé-e-s de Soins infirmiers de l'OIIQ - Le Cégep de Lévis-Lauzon se classe au premier rang des institutions collégiales de la région Le Cégep de Lévis-Lauzon s'est classé au premier rang des institutions collégiales des régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches et deuxième au Québec lors de la session d'examen de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) qui a eu lieu en septembre dernier. Les personnes candidates du Cégep de Lévis-Lauzon ont réussi dans un proportion de 96,1 % alors que le taux de réussite national des 2 065 candidat-e-s diplômé-e-s se présentant pour un premier examen est de 81,1 %.
www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=82425&B=1

Info universitaire
L’équipe des communications et du recrutement de l’Université du Québec en Outaouais s’agrandit !
La Direction des communications et du recrutement de l’Université du Québec en Outaouais (UQO) est fière d’annoncer la nomination d’un nouvel agent d’information. Après Gilles Mailloux, c’est au tour de Marc-André Marleau d’accepter de partager son expertise afin de faire rayonner l’UQO. Diplômé de l’UQO en Communication, en Animation et en Gestion du changement, M. Marleau fréquente l’UQO depuis 1986. Lors de ses études, il a laissé son empreinte en créant le Ciné-Campus, en plus de collaborer à la conception du magazine Savoir. Très actif dans sa communauté, il a participé au regroupement de cinq municipalités en secondant le Comité de transition lors de la fusion de la Ville de Gatineau. Plus récemment, il fut l’initiateur et le cofondateur de la Société Gatineau-Monde, un organisme voué à animer la vie culturelle et intellectuelle de l’Outaouais.
www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=82681&B=1

Un stage formateur et dépaysant à Harrington Harbour - Les infirmières du Nord jouent un rôle de premier plan. La vie professionnelle de l'infirmière oeuvrant en région éloignée est caractérisée par une plus grande part de responsabilités. C'est du moins le premier constat qu'ont tiré de leur expérience à Harrington Harbour six étudiantes du baccalauréat en sciences infirmières.
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=7066 Site des stagiaires
https://oraprdnt.uqtr.uquebec.ca/pls/public/gscw031?owa_no_site=970&owa_no_fiche=-1&owa_apercu=N&owa_bottin=&owa_no_fiche_dev_ajout=-1&owa_no_fiche_dev_suppr=-1 Photo du village www.uqtr.ca/basse-cote

LE SUPER PEPS EN 3D
Le Super PEPS, annoncé le printemps dernier, vous intéresse? Il est possible de connaître ce projet d’agrandissement sous tous ses angles sur le site Web de la jeune firme Axis 3D de Sainte-Marie-de-Beauce, mandatée par l’équipe des communications du PEPS pour présenter les grandes lignes de ce projet évalué à 75 M$, comprenant notamment un bassin de natation aux dimensions olympiques, un amphithéâtre gymnase de 3 500 sièges, un centre intérieur de soccer-football et de nouvelles salles d‘entraînement. Un des objectifs poursuivis est de doter l’Université, la ville et la région de Québec d’une infrastructure sportive multisport de calibre international, largement ouverte sur la communauté régionale, où cohabiteraient en harmonie le sport de participation et le sport de haut niveau. Le gouvernement du Québec et la Ville de Québec ont déjà confirmé leur participation financière au projet du Super PEPS. L’engagement ferme du gouvernement fédéral est attendu dans les prochaines semaines.
www.axis-3d.com/realisations/realisation_laval.html

Le goût de la lecture se transmet de père en fils
Le goût de la lecture se transmet dès le plus jeune âge. S’asseoir sur les genoux de papa pour écouter une histoire donnerait aux garçons non seulement le goût de la lecture, mais aussi le goût de l’école! Une expérience québécoise de valorisation de la lecture et de l’écriture démontre que, contrairement à ce que l’on pense, les garçons ne seraient allergiques ni l’une ni à l’autre. «Les garçons ont peu de modèles masculins de lecteurs. Plus ils se sentent compétents, plus ils vont lire», soutient Natalie Lavoie, professeure en sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR). Avec son collègue, Jean-Yves Lévesque, elle a mené une expérience auprès d'une trentaine de jeunes garçons de 9 à 13 ans à risque de décrochage scolaire afin de stimuler leur intérêt pour la lecture et l'écriture. Cette recherche-action menée pendant cinq ans au sein de trois écoles du Bas-Saint-Laurent s’est avérée très positive. Et même si le nombre d’élèves reste modeste, mettre l’accent sur la lecture et l’écriture permet de freiner le redoublement (29,7 % contre 56,3 % dans le groupe témoin) et l’orientation en cheminement particulier (15 % contre 48 %). Accroître l’intérêt des garçons pour les livres et modifier leurs habitudes de lecture augmentent leur participation aux activités et leur sentiment de compétence. «Cela exerce une influence certaine sur leur activité scolaire et leurs résultats», résume la chercheuse. Antoine, en sixième année de primaire, ne lisait pas et ne participait pas aux activités de lecture. Un an plus tard, il affirme lire tous les jours « pour apprendre de nouveaux mots » même s’il préfère toujours les livres d’action aux romans. «Nous avions la préoccupation de partir de l’univers des garçons en leur offrant des livres proches de leur vécu et des modèles masculins, mais aussi, d’élargir l’univers culturel des garçons», explique Jean-Yves Lévesque. Car ceux qui démontrent le plus de difficultés proviennent souvent de milieux où l’on ne lit pas. «Certains n’avaient même jamais ouvert un journal», rapporte le chercheur.
www.cyberpresse.ca/article/20080123/CPACTUEL/80123032/6685

Formation, documentation
« Troisième édition de la Semaine du développement international » Du 31 janvier au 8 février
Organisée par le POMD, Partenariat pour l'atteinte des Objectifs du Millénaire en Développement
Calendrier en ligne :
www.pomd.org

Semaine des enseignantes et des enseignants - Le président de la FCSQ salue le travail qu'accomplissent les quelque 80 000 enseignantes et enseignants des écoles publiques québécoises. Le président de la Fédération des commissions scolaires du Québec (FCSQ), M. André Caron, invite les parents et les élèves à profiter de la Semaine des enseignantes et des enseignants, qui se déroule du 3 au 9 février 2008, pour saluer le travail qu'accomplissent les quelque 80 000 enseignantes et enseignants des écoles publiques québécoises. "Il est important de témoigner notre satisfaction et d'exprimer nos remerciements au personnel enseignant particulièrement à l'occasion de la semaine qui lui est consacrée.
www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=82715&B=1

Le Centre d’apprentissage intensif offre gratuitement une courte formation ayant pour sujet les Forces Canadiennes. Cette formation sera offerte le vendredi 22 février prochain à 13h30, dans nos locaux. Un sergent recruteur sera sur place pour nous parler des Forces Canadiennes, des modalités du recrutement, des types d’engagement et des carrières offertes. Par la suite, il y aura une période de questions. Pour assister à cette rencontre, veuillez contacter Carolyne Bourassa au 418.522.6445 ou par courriel :
carolyne.bourassa@megaquebec.net Nous avons 15 places disponibles. Carolyne Bourassa c.o. Centre d’apprentissage intensif

Accommodement raisonnable à l’école: à dissocier de l’immigration Près de 80 % des demandes d’accommodement sont d’ordre religieux. «La pratique de l’accommodement raisonnable à l’école n’est pas en lien avec l’intégration des immigrants et il est fortement déplorable que le ministère de l’Éducation ait associé les deux dans le mandat accordé à son comité consultatif.» C’est la principale critique qu’a formulée Rachida Azdouz, vice-doyenne à la Faculté de l’éducation permanente et spécialiste des relations interculturelles, invitée à commenter le rapport du Comité consultatif sur l’intégration et l’accommodement raisonnable en milieu scolaire.
http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/874/221/

L’Université de Sherbrooke lance le magazine UdeS - Audace, leadership, innovation L’Université de Sherbrooke lance un magazine novateur qui veut éclairer les grandes questions d’actualité. Tous les contenus du magazine sont disponibles sur Internet, et ce, dès la sortie de chaque numéro. Les cyberlecteurs auront le choix entre trois formats de lecture, soit html, pdf et papier virtuel. Le site du nouveau magazine fournira également des contenus inédits, non publiés dans la version papier, telles des versions intégrales de certaines entrevues audio ou vidéo. Voilà d’excellentes raisons de visiter le site
www.USherbrooke.ca/UdeS/magazine

Éducation en français. L'école virtuelle est un succès
Les élèves du secondaire de la Colombie-Britannique sont de plus en plus nombreux à suivre des cours en ligne dans la langue de Molière grâce à l'école virtuelle. Cette institution, créée par le Conseil scolaire francophone de la province, est basée sur l'expérience acquise depuis des années par la formation à distance. Le directeur de l'école, Christian Côté, précise d'ailleurs que les élèves qui assistent aux cours proviennent aussi de conseils scolaires anglophones. L'établissement d'éducation en ligne offre la possibilité aux jeunes de se familiariser en français avec des matières qui ne sont pas offertes dans leur école, comme la biologie, la chimie ou encore le leadership. Le nombre de cours devrait d'ailleurs continuer d'augmenter d'année en année, souligne M. Côté. L'école offre présentement des cours pour les élèves du secondaire, mais pourrait bientôt accueillir également des écoliers. L'école virtuelle est fréquentée par une centaine d'élèves et ce nombre devrait bondir au cours des prochaines années, d'après la direction.
www.radio-canada.ca/regions/colombie-britannique/2008/01/27/001-ecole-virtuelle_n.shtml

L’éprouvette Terre
La capacité d’adaptation des espèces peut-elle suivre la vitesse à laquelle surviennent les changements environnementaux provoqués par l’activité humaine?
www.aufil.ulaval.ca/articles/eprouvette-terre-4852.html

Mauvaises nouvelles pour les océans : plus de poissons dans les océans signifie plus d’azote dans l’eau Étude canado-américaine : Des chercheures de l’Université de Montréal et du Cary Institute publient les résultats de leur recherche dans Nature Geoscience. Une équipe de recherche canado-américaine a constaté que la pêche commerciale jouait un rôle insoupçonné dans la diminution de la qualité des eaux côtières des océans. Dans le dernier numéro de Nature Geoscience, les chercheuses Roxane Maranger et Nina Caraco expliquent que l’arrêt de la surpêche commerciale, dont le but était de préserver les stocks de poissons sans cesse diminuant, a joué un rôle significatif en perturbant l’équilibre entre l’azote s’écoulant dans les eaux côtières et l’azote retiré de l’eau grâce à la pêche commerciale. En attendant de trouver une manière de préserver de façon durable l’écosystèmedes eaux côtières des océans et de comprendre complètement l’impact que l’activité humaine a sur le cycle de l’azote, les chercheuses recommandent de réexaminer le rôle de la pêche commerciale. Cette étude a bénéficié d’une subvention du Fond québécois de la recherche sur la nature et les technologies.
http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/924/221/

Le temps presse
Les priorités des employeurs semblent de plus en plus en contradiction avec celles des couples et des familles. Avant le travail et la vie professionnelle, ce sont la vie de couple et la famille qui revêtent le plus d’importance chez les travailleurs au Québec. C’est ce que révèle une enquête téléphonique dirigée par Daniel Mercure, professeur au Département de sociologie, auprès de 1 000 Québécois en décembre 2006. Ainsi, 76,8 % des participants à ce sondage portant sur les valeurs associées au travail ont placé ces aspects au premier rang de leurs préoccupations, par rapport à 12, 5 % pour le travail et la vie professionnelle, 8,8 % pour les loisirs et 2 % pour les engagements politiques et communautaires. Chez les couples ayant au moins un enfant de 16 ans ou moins, le pourcentage grimpait à 91,7. Daniel Mercure a divulgué ces résultats lors d’une conférence organisée par le Centre interuniversitaire d’études québécoises (CIEQ), le 16 janvier, au pavillon Charles-De Koninck. Son exposé s’intitulait «Travail et famille au Québec: deux sphères de vie de plus en plus difficiles à concilier».
www.aufil.ulaval.ca/articles/temps-presse-4882.html

La recherche universitaire contribue au réchauffement climatique! Pour le professeur Hervé Philippe, la décroissance économique est la seule solution à l’impasse environnementale. Hervé Philippe estime que ses travaux de recherche engendrent 44 tonnes de CO2 par année. À toutes les activités humaines qui menacent la planète, il faut en ajouter une autre: la recherche universitaire. Écologiste convaincu et conséquent, Hervé Philippe, professeur au Département de biochimie, a évalué que ses travaux de recherche engendrent 44 tonnes de CO2 par année, alors que la production moyenne annuelle est de 20 tonnes par habitant aux États-Unis.
http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/933/221/

Organisation 101 Réussir ses études quand on est parent constitue une mission difficile mais réalisable. Une enquête ayant démontré que la diminution de la vie sociale représente le plus grand facteur de stress chez les parents aux études, il faut éviter le piège de l’isolement. Depuis 2005, l’Association des parents étudiant ou travaillant à l’Université Laval (www.apetul.asso.ulaval.ca) permet de créer des liens avec les autres parents de l’Université par la tenue de midis-rencontres et de diverses activités, comme des matinées de cinéma, des bazars de vêtements ou de jouets usagés, etc. «Les efforts et les sacrifices qu’on fait en tant que parent en valent toujours la peine, conclut Marie-Hélène Simard. En plus de devenir une source d’inspiration pour vos enfants, votre formation universitaire vous permettra d’améliorer vos conditions de vie, ce qui profitera en fin de compte à toute la famille.»
www.aufil.ulaval.ca/articles/organisation-101-4822.html


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Guide sur l'admission universitaire - Automne 2008 Version du 31 janvier 2008 Dans cette version, on a ajouté un tableau des pièces requises pour la demande d'admission en ligne. Un gros merci à Luc Thifault du Cégep de Valleyfield pour sa précieuse collaboration dans la mise à jour des tableaux. Raymond Jean, c.o.
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915


Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Pour le moment, 47 membres des 27 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (17) : les cégeps St-Laurent, Abitibi-Témiscamingue, St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Lanaudière, St-Hyacinthe, Outaouais, Vieux-Montréal, Rosemont, Ahuntsic, Héritage, le Collège international Marie de France, le Collège St-Jean-Vianney, l’université de Sherbrooke et Trav-Action. À l’est (10) : Jonquière, Limoilou, Gaspésie, F.-X. Garneau, St. Lawrence, Ste-Foy, St-Félicien, Lévis-Lauzon, Chicoutimi et Psycho-Carrière. Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
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