05 février 2008

V 6 No 16: Modifications au Régime des études collégiales

Au Parc de la Mauricie

Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com Directement du secondaire à l'université. Allez sur le site du bulletin pour visionner l’invitation du président de l’ACOC Philippe Brosseau c.o. www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/2007/10/vido.html L'ACOC a établi l'horaire suivant: Départ en autobus le 12 mai; Journée du 13 et soirées du 14 et du 15 avec l'université de Moncton : Souper et spectacle Ode à l’Acadie le13 mai, Souper au Pays de la Sagouine le 14 mai; Souper / table-ronde avec des étudiants du Québec le15 mai.; Participation au colloque de l'ACC le 14 et le 15; Retour le 16 en autobus. L'ACOC remboursera aux membres qui séjourneront sur le campus de l'université de Moncton les frais de 140$ à la fin du séjour (le prix par personnes est de 35 $ par soir). Il reviendra à chaque membre de réserver sa place aux résidences Pour réservation, utilser le formulaire suivant en format jpg pour celles et ceux qui voudraient réserver maintenant. C'est un formulaire qu'il faut remplir et faxer puisque le Service du logement ont besoin d'une carte de crédit pour réserver et de la signature du demandeur. Denis Boucher denis.boucher@umoncton.ca Responsable de la promotion et du recrutement Université de Moncton. Pour réserver une place dans l'autobus, vous pourrez compléter le formulaire disponible sur Internet bientôt en février (frais de 50$ incluant les repas lors du déplacement). L'université de Moncton nous offre le transport, le dîner, le souper-spectacle du 13, et les souper du 14 et du 15 ainsi que la possibilité de se loger à coût modique aux résidences (remboursement par l'ACOC). L’Université de Moncton a réservé 60 studios (120 chambres) pour les participants. L’autobus servira aussi lors de notre séjour à Moncton (déplacement pour les activités et pour se rendre aux ateliers de l’ACC).

Projets de règlement à l’étude
Modifications au Régime des études collégiales : admission sous condition de terminer le DES durant la 1ère session et possibilité du DEC sans mention et le DEC spécialisé dans certains programmes techniques.



Règlement sur le régime des études collégiales: Faudra-t-il avoir seulement terminé son primaire pour rentrer au collégial ? « Bien que nous soyons satisfaits de constater que plusieurs propositions ont été retenues dont le DEC sans mention et le DEC spécialisé dans certains programmes techniques, nous demeurons toutefois fort inquiets de l'orientation prise quant aux conditions d'admission dans les cégeps. Il y a, pour nous, une limite à tenter de promouvoir la diplomation au secondaire en faisant miroiter la possibilité d'admission au cégep sans s'assurer que les jeunes possèdent les compétences et les acquis minimaux pour réussir des études collégiales », d'affirmer les représentantes et les représentants du secteur collégial de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). www.csq.qc.net/index.cfm/2,0,1676,9656,2323,0,html?action=display&BoxID=13503&LangID=2&KindID=2&complete=yes

Précisions importantes en lien avec l’article intitulé « Le DES ne sera plus requis pour entrer au cégep » www.cyberpresse.ca/article/20080124/CPSOLEIL/80124108/6584 L’article que vous avez rapporté http://quelquechosedelacoc.blogspot.com/2008/01/v-6-no-15-le-choc-des-gnrations.html a semé une certaine confusion chez les conseillers ainsi que parmi les jeunes qui se préparent à faire une demande d’admission au cégep, comme en témoignent les nombreux appels téléphoniques et courriels que nous recevons depuis la parution du premier article sur le sujet dans Le Devoir la semaine dernière. En premier lieu, il importe de préciser qu’il s’agit d’un Projet de règlement visant à modifier le Règlement sur le Régime des études collégiales (RREC) et que celui-ci est soumis à un délai de 45 jours afin de permettre aux personnes intéressées de transmettre des commentaires à la ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport. Cela implique que le gouvernement ne pourra édicter ce règlement avant le 1er mars 2008. Nous attirons également votre attention sur le fait que la nouvelle disposition proposée ne constitue pas une obligation (voir le mot en rouge) : « 2.3 Un collège peut admettre sous condition à un programme d’études conduisant au diplôme d’études collégiales la personne qui, n’ayant pas accumulé toutes les unités requises par le Régime pédagogique de l’éducation préscolaire, de l’enseignement primaire et de l’enseignement secondaire, ou par le Régime pédagogique de la formation générale des adultes pour l’obtention du diplôme d’études secondaires, s’engage à accumuler les unités manquantes durant sa première session. … » Cela signifie donc que chaque collège devra déterminer le quoi et le comment de l’application du nouveau RREC et modifier son propre Règlement d’admission en conséquence, ce qui nécessite une résolution du Conseil d’administration. Un tel contexte nous empêche de diffuser des informations précises quant à d’éventuelles modifications des conditions d’admission dans les collèges que le SRAM représente. Il est toutefois de notre avis qu’il faut faire preuve de prudence tant que la nouvelle version du RREC n’est pas en vigueur et que les collèges n’ont pas fait connaître leurs modalités d’application. Dans l’espérance que ces précisions pourront répondre à certaines interrogations de vos membres et des lecteurs de votre bulletin, nous vous prions d’agréer nos sentiments distingués. Geneviève Lapointe directrice des communications au SRAM glapointe@sram.qc.ca

Info collégiale
18e Semaine de prévention du suicide - Agir maintenant pour prévenir le suicide chez les jeunes
L'Association québécoise de prévention du suicide (AQPS) et la Fédération des cégeps s'associent cette année, dans le cadre de la 18e Semaine de prévention du suicide, pour lancer un véritable appel à l'ensemble de la population québécoise en vue de prévenir le suicide chez les jeunes. Selon les plus récentes données de l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ), 1 136 personnes seraient décédées par suicide en 2006, représentant un taux ajusté de 14,8 par 100 000 habitants. Chez les jeunes âgés de 15 à 24 ans, cela représentait en 2006 pas moins de 113 décès. Bien que l'on y remarque une diminution significative des taux de suicide depuis 2000, le Québec demeure tout de même la province canadienne enregistrant les plus hauts taux de mortalité par suicide, tant chez les hommes que chez les femmes, et un des plus hauts taux parmi les pays de l'OCDE. Selon Louis Lemay, directeur général de l'AQPS, "si on peut se réjouir de la diminution continue du nombre de décès par suicide, il ne faut surtout pas baisser la garde : il faut continuer le travail de prévention du suicide au Québec". On peut signer la déclaration véhiculant le message "T'es important pour nous. Le suicide n'est pas une option!" à l'adresse suivante :
www.fedecegeps.qc.ca ou encore sur le site Web de l'AQPS www.aqps.info .

Un orienteur, ça oriente et ça rassure
La Presse Carrières et emplois, samedi, 26 janvier 2008 CARRIERES PROFESSION Lambert-Chan, Marie Collaboration spéciale La recherche d'emploi, la transition de carrière, la réflexion quant à l'orientation scolaire ou la quête d'un projet pour la retraite sont des démarches solitaires, pour lesquelles la consultation d'un conseiller d'orientation peut s'avérer salutaire. On retrouve les C.O., comme on les appelle communément, dans les organismes communautaires et les établissements scolaires, mais aussi en cabinet privé, une dimension de la pratique moins connue au Québec. Parmi les 2250 conseillers d'orientation enregistrés à l'Ordre des conseillers et conseillères d'orientation et psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec (OCCOPPQ), quelque 500 travaillent au privé. C'est à l'un d'entre eux que l'étudiant Mathieu Brassard a fait appel lorsque son rêve d'enfance de devenir policier a tourné court. Le programme de techniques policières ne correspondait pas du tout à ses attentes. " En une seule rencontre, mon conseiller d'orientation m'a beaucoup plus aidé que n'importe qui, affirme le jeune homme qui étudie aujourd'hui en administration. J'en suis sorti rassuré, sachant que je pouvais, sans regret, mettre une croix sur mon rêve et miser sur mes autres intérêts. " Pourquoi ne pas avoir consulté le conseiller d'orientation de son cégep ? " Certains de mes amis l'ont fait, mais cela les a encore plus mêlés, répond Mathieu Brassard. Je crois que les conseillers d'orientation privés sont plus à l'écoute de nos besoins et de nos intérêts, alors que ceux qui travaillent dans les établissements publics adaptent leur approche en fonction des programmes d'études. Je ne pense pas qu'un choix de carrière devrait être basé uniquement là-dessus. " Mathieu Guénette, conseiller d'orientation en cabinet privé et à la Société Pierre-Boucher, remarque que bien des gens sont insatisfaits des consultations offertes dans les écoles. " Les étudiants ne peuvent pas choisir leur conseiller, le temps de consultation est souvent trop court et les services sont moins axés sur le rôle-conseil du C.O. ", dit-il tout en refusant de jeter la pierre à ses collègues. " Il faut leur rendre justice : les établissements scolaires comptent un C.O. pour 2000 étudiants. C'est pratiquement mission impossible. " Bien sûr, il faut allonger plusieurs dizaines de dollars pour faire affaire avec le privé, mais les avantages sont conséquents. " La confidentialité des échanges est assurée, aucun tiers n'est impliqué dans la relation entre le client et le conseiller - comme l'école ou Emploi-Québec dans les cas de réinsertion professionnelle - et les consultations sont beaucoup plus longues, indique Mathieu Guénette. C'est par ailleurs une orientation plus ciblée où on peut se permettre une réflexion poussée sur son cheminement scolaire ou professionnel. " Avant de jeter son dévolu sur un conseiller d'orientation, il vaut mieux mener sa petite enquête. Première étape : vérifier si le conseiller est inscrit dans le répertoire électronique de l'OCCOPPQ. " On y trouve des indications sur les clientèles desservies et sur les problématiques et spécialités des conseillers d'orientation ", explique Laurent Matte, président du secteur orientation de l'Ordre. Il importe de contacter différents C.O. par la suite et de les interroger sur leur approche, comme on le ferait si on était en quête d'un psychologue. L'orientation est une démarche fondée sur une relation d'aide qui nécessite la confiance du client. " C'est pourquoi on a avantage à bien expliquer pourquoi on souhaite consulter. On doit ensuite demander au conseiller comment ce dernier envisage de répondre à notre demande ", mentionne Érick Beaulieu, conseiller d'orientation privé. Les écoles de pensée et les méthodes d'intervention varient d'un C.O. à l'autre. Il n'y a pas une bonne réponse aux besoins d'orientation, sinon de savoir si " ça clique " entre le client et le conseiller, dit Laurent Matte. " Fiez-vous à votre intuition ", conseille-t-il, en ajoutant qu'une démarche d'orientation peut être bouclée en cinq à six rencontres. " Ce n'est pas une psychanalyse ", souligne-t-il. Le coût de chaque entretien est de 70 à 80 $ de l'heure. Attention aux C.O. qui tentent de vendre leur approche comme une panacée. " Si le conseiller met trop d'emphase sur la valeur magique de ses outils, sans bien expliquer le lien avec l'impasse exprimée par le client, il faut poursuivre les recherches, croit Érick Beaulieu. Le rôle du C.O. n'est pas de trouver la réponse à la place du client, mais plutôt de l'aider à se questionner et à se responsabiliser dans son cheminement. " Il invite donc le public à être attentif aux capacités empathiques et réflexives du conseiller, d'où l'importance d'effectuer un bon magasinage. www.occoppq.qc.ca/membres/pdf/comm/orienteur_LAPRESSE26janvier2008.pdf

Quand la lutherie compose la mondialisation
À 27 ans, Caroline Champagne, Philippe Lemieux et Sébastien Dupuis exercent le métier ancestral de la lutherie. Depuis deux ans qu’ils ont pignon sur rue Saint-Jean avec l’atelier Moustache, ils perfectionnent l’art de construire des instruments à cordes pincées en même temps que celui de gérer leur propre entreprise. Mais quand un gagne-pain traditionnel se frappe aux murs de la mondialisation, les choses se compliquent. Le luthier travaille de patience, de précision et de maintes retouches. Une carrière un peu à contre-courant pour une jeune génération qui carbure à l’instantanéité. Pourtant, l’École nationale de lutherie affiliée au Cégep Limoilou ne manque pas d’inscriptions et le choix semblait naturel pour les trois associés de l’atelier Moustache. Même pour Caroline Champagne, alors étudiante en arts et lettres, et pour Sébastien Dupuis, qui avait poursuivi jusque-là des études en sciences pures. «J’étais un peu blasé des sciences et je suis allé voir un orienteur, raconte-t-il. Il m’a dit : “Tu aimes la musique, tu aimes travailler de tes mains, il y a un cours qui se donne à Limoilou”.» Sur les bancs d’école, les deux copains originaires de la Mauricie ont rencontré Philippe Lemieux, qui avait opté pour la lutherie après avoir essuyé un échec en musique. «Heureusement, parce que je m’enlignais vers la guitare classique et je me suis rendu compte que je n’aimais pas vraiment ça», confie-t-il. Aujourd’hui luthiers, Caroline Champagne étudiait en arts et lettres et Sébastien Dupuis en sciences pures quand ils se sont joints à Philippe Lemieux (à l’extrême droite) pour lancer leur propre petite entreprise. À leurs débuts, les trois luthiers avaient choisi un créneau pourtant peu développé. Mais le marché les a rattrapés. À l’heure actuelle, ils indiquent qu’on peut acheter une guitare haut de gamme faite en Corée pour environ 1000 $. Le prix de base pour un instrument comparable fait par un luthier d’ici s’approchera quant à lui des 2800 $. Un instrument comparable, mais pas équivalent, précisent toutefois les trois associés. «Acheter une guitare faite à la main, c’est comme un investissement. C’est certain qu’il y a une part d’éducation qu’il faut faire», admet Caroline Champagne. Les luthiers de l’atelier Moustache disent porter une attention particulière au choix du bois et des vernis. Ils offrent également aux musiciens des guitares sur mesure. «Ce qui fait la différence, c’est l’effort qu’on met pour que tout soit parfait, assure Sébastien Dupuis. Nos guitares, on les essaie et on fait des retouches. Ça m’étonnerait qu’ils fassent ça en usine.» Lucides, Caroline Champagne, Philippe Lemieux et Sébastien Dupuis reconnaissent que le pari n’est pas encore gagné. Mais ils travaillent dur, dans leur sympathique atelier à l’ambiance feutrée, pour garder la tête hors de l’eau, le temps d’avoir un nom assez établi pour vivre de leur art.
www.lutheriemoustache.com www.cyberpresse.ca/article/20071218/CPSOLEIL/71217197/5784/CPSOLEIL

Les allophones choisissent l'anglais au collégial
Après 30 ans d'application de la loi 101, une majorité d'élèves allophones optent toujours pour l'anglais quand ils frappent à la porte du réseau collégial: ce constat embarrassant se retrouvera dans le bilan quinquennal sur la situation du français que doit publier le mois prochain l'Office de la langue française.
www.cyberpresse.ca/article/20080123/CPACTUALITES/801230823/6488

Génération Z = L’A.B.C des Événements Éco Responsables
Vos connaissez la « génération X » ? Les X, selon l’expression à la mode, ce sont les personnes nées entre 1960 et 1980, juste après les incontournables baby-boomers. Il y a aussi les Y, nés entre 1980 et 1995. Enfin, il y a les Z, la nouvelle génération. Mais Z pourquoi ? Je crois avoir trouvé… Dans mes rêves les plus fous, je les appelle ainsi non pas en raison de l’année de leur naissance, mais plutôt parce qu’ils poursuivent un même but, Zéro Déchet et Zéro carbone. Au moins, l’appellation Z voudrait dire quelque chose. La « Génération Z s’organiserait, lors de ses rassemblements, pour justement « générer » un minimum de déchets, et un minimum de CO2, un des principaux gaz à effet de serre.
www.ameqenligne.com/entrevue.asp?ID=46840

Quatrième secondaire : les nouveaux cours de math ne seront pas offerts partout Dans plusieurs écoles secondaires, surtout les plus petites, le nombre d’élèves ne permettra d’offrir, comme actuellement, que deux cours. Un nouveau cours de mathématique, fruit de la réforme, arrive en quatrième secondaire à l’automne. Pour mieux répondre aux différents profils d’élèves, le ministère de l’Éducation le décline en trois versions. Mais faute de ressource, bon nombre d’écoles ne pourront pas offrir le menu complet. Les élèves de troisième secondaire, à la grandeur du Québec, sont présentement plongés dans une profonde réflexion. Vont-ils opter pour la séquence qui porte le nom Culture, société et technique? Celle baptisée Technico-Sciences? Ou encore Sciences naturelles? Avec ce choix, les jeunes de 15 ans viennent tracer leur cheminement jusqu’au collégial, avec des cours différents en mathématiques et en sciences. Pas étonnant que les écoles multiplient les dépliants sur le sujet, les rencontres d’information avec parents et élèves et les projets d’orientation. Contrairement aux actuels cours de mathématique, où les élèves les plus forts sont orientés vers Math 436 et les plus faibles vers Math 416, les nouveaux cours veulent tenir compte des intérêts des élèves en plus de leurs aptitudes. Sur le plan du contenu, les nouveaux cours semblent plus intéressants. «Je pense qu’il fallait faire quelque chose», dit Pierre Ruest, directeur des services éducatifs à la commission scolaire Kamouraska–Rivière-du-Loup. «Avant, c’était la voie royale ou rien!» Le problème, c’est que, dans plusieurs écoles secondaires, surtout les plus petites, le nombre d’élèves ne permettra d’offrir, comme actuellement, que deux cours. Grosso modo, une classe doit compter 30 élèves pour obtenir la subvention du ministère et se payer un professeur. Dans le secteur Beauce–Etchemin, cinq écoles secondaires sur huit offriront toutes les séquences. Celles de Saint-Prosper, de Saint-Martin et de Beauceville devraient se contenter de deux. «Dans un monde idéal, on aurait les trois séquences partout, mais on n’a pas l’argent pour ça, dit Marie Labbé, de la commission scolaire. Mais on va s’arranger pour que les élèves ne soient pas pénalisés, avec des passerelles pour leur permettre de changer de séquence.» Dans le Bas-Saint-Laurent, trois écoles secondaires sur cinq offriront seulement Sciences naturelles et Culture, société et technique. Là aussi, on veut éviter que les élèves «servent de cobayes et soient brimés dans leurs choix collégiaux», dit Pierre Ruest. Des cours de rattrapage pour ceux qui changeront de profil sont déjà prévus. Même à Québec, dans la très urbaine commission scolaire de la Capitale, les écoles secondaires Jean-de-Brébeuf et Vanier optent pour deux séquences. «On pense que Technico-sciences ouvrira toutes les portes ou presque au collégial, indique Sylvie Beaudoin, des services éducatifs. Mais c’est certain que les parents nous ont demandé quelle était l’assurance qu’on ne se trompait pas.» À l’heure actuelle, le ministère de l’Éducation est incapable de confirmer si les cours Technico-sciences et Sciences naturelles, quasi semblables, serviront à accéder à tous les programmes au cégep. «Les programmes ont été conçus pour ouvrir l’ensemble des portes aux élèves», dit Stéphanie Tremblay, porte-parole du ministère de l’Éducation. La Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE) trouve anormal que le ministère n’ait pas prévu des budgets supplémentaires pour permettre aux petits milieux d’offrir les trois séquences prévues au programme. «Les parents ont l’impression qu’on ferme des portes à leurs enfants, dit Paula Duguay, vice-présidente de la FSE. Ce n’est pas ta provenance géographique qui devrait déterminer si tu as le droit d’avoir telle séquence.»
www.cyberpresse.ca/article/20080130/CPSOLEIL/80129239/6584

Examens des diplômé-e-s de Soins infirmiers de l'OIIQ - Le Cégep de Lévis-Lauzon se classe au premier rang des institutions collégiales de la région Le Cégep de Lévis-Lauzon s'est classé au premier rang des institutions collégiales des régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches et deuxième au Québec lors de la session d'examen de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) qui a eu lieu en septembre dernier. Les personnes candidates du Cégep de Lévis-Lauzon ont réussi dans un proportion de 96,1 % alors que le taux de réussite national des 2 065 candidat-e-s diplômé-e-s se présentant pour un premier examen est de 81,1 %.
www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=82425&B=1

Info universitaire
L’équipe des communications et du recrutement de l’Université du Québec en Outaouais s’agrandit !
La Direction des communications et du recrutement de l’Université du Québec en Outaouais (UQO) est fière d’annoncer la nomination d’un nouvel agent d’information. Après Gilles Mailloux, c’est au tour de Marc-André Marleau d’accepter de partager son expertise afin de faire rayonner l’UQO. Diplômé de l’UQO en Communication, en Animation et en Gestion du changement, M. Marleau fréquente l’UQO depuis 1986. Lors de ses études, il a laissé son empreinte en créant le Ciné-Campus, en plus de collaborer à la conception du magazine Savoir. Très actif dans sa communauté, il a participé au regroupement de cinq municipalités en secondant le Comité de transition lors de la fusion de la Ville de Gatineau. Plus récemment, il fut l’initiateur et le cofondateur de la Société Gatineau-Monde, un organisme voué à animer la vie culturelle et intellectuelle de l’Outaouais.
www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=82681&B=1

Un stage formateur et dépaysant à Harrington Harbour - Les infirmières du Nord jouent un rôle de premier plan. La vie professionnelle de l'infirmière oeuvrant en région éloignée est caractérisée par une plus grande part de responsabilités. C'est du moins le premier constat qu'ont tiré de leur expérience à Harrington Harbour six étudiantes du baccalauréat en sciences infirmières.
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=7066 Site des stagiaires
https://oraprdnt.uqtr.uquebec.ca/pls/public/gscw031?owa_no_site=970&owa_no_fiche=-1&owa_apercu=N&owa_bottin=&owa_no_fiche_dev_ajout=-1&owa_no_fiche_dev_suppr=-1 Photo du village www.uqtr.ca/basse-cote

LE SUPER PEPS EN 3D
Le Super PEPS, annoncé le printemps dernier, vous intéresse? Il est possible de connaître ce projet d’agrandissement sous tous ses angles sur le site Web de la jeune firme Axis 3D de Sainte-Marie-de-Beauce, mandatée par l’équipe des communications du PEPS pour présenter les grandes lignes de ce projet évalué à 75 M$, comprenant notamment un bassin de natation aux dimensions olympiques, un amphithéâtre gymnase de 3 500 sièges, un centre intérieur de soccer-football et de nouvelles salles d‘entraînement. Un des objectifs poursuivis est de doter l’Université, la ville et la région de Québec d’une infrastructure sportive multisport de calibre international, largement ouverte sur la communauté régionale, où cohabiteraient en harmonie le sport de participation et le sport de haut niveau. Le gouvernement du Québec et la Ville de Québec ont déjà confirmé leur participation financière au projet du Super PEPS. L’engagement ferme du gouvernement fédéral est attendu dans les prochaines semaines.
www.axis-3d.com/realisations/realisation_laval.html

Le goût de la lecture se transmet de père en fils
Le goût de la lecture se transmet dès le plus jeune âge. S’asseoir sur les genoux de papa pour écouter une histoire donnerait aux garçons non seulement le goût de la lecture, mais aussi le goût de l’école! Une expérience québécoise de valorisation de la lecture et de l’écriture démontre que, contrairement à ce que l’on pense, les garçons ne seraient allergiques ni l’une ni à l’autre. «Les garçons ont peu de modèles masculins de lecteurs. Plus ils se sentent compétents, plus ils vont lire», soutient Natalie Lavoie, professeure en sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR). Avec son collègue, Jean-Yves Lévesque, elle a mené une expérience auprès d'une trentaine de jeunes garçons de 9 à 13 ans à risque de décrochage scolaire afin de stimuler leur intérêt pour la lecture et l'écriture. Cette recherche-action menée pendant cinq ans au sein de trois écoles du Bas-Saint-Laurent s’est avérée très positive. Et même si le nombre d’élèves reste modeste, mettre l’accent sur la lecture et l’écriture permet de freiner le redoublement (29,7 % contre 56,3 % dans le groupe témoin) et l’orientation en cheminement particulier (15 % contre 48 %). Accroître l’intérêt des garçons pour les livres et modifier leurs habitudes de lecture augmentent leur participation aux activités et leur sentiment de compétence. «Cela exerce une influence certaine sur leur activité scolaire et leurs résultats», résume la chercheuse. Antoine, en sixième année de primaire, ne lisait pas et ne participait pas aux activités de lecture. Un an plus tard, il affirme lire tous les jours « pour apprendre de nouveaux mots » même s’il préfère toujours les livres d’action aux romans. «Nous avions la préoccupation de partir de l’univers des garçons en leur offrant des livres proches de leur vécu et des modèles masculins, mais aussi, d’élargir l’univers culturel des garçons», explique Jean-Yves Lévesque. Car ceux qui démontrent le plus de difficultés proviennent souvent de milieux où l’on ne lit pas. «Certains n’avaient même jamais ouvert un journal», rapporte le chercheur.
www.cyberpresse.ca/article/20080123/CPACTUEL/80123032/6685

Formation, documentation
« Troisième édition de la Semaine du développement international » Du 31 janvier au 8 février
Organisée par le POMD, Partenariat pour l'atteinte des Objectifs du Millénaire en Développement
Calendrier en ligne :
www.pomd.org

Semaine des enseignantes et des enseignants - Le président de la FCSQ salue le travail qu'accomplissent les quelque 80 000 enseignantes et enseignants des écoles publiques québécoises. Le président de la Fédération des commissions scolaires du Québec (FCSQ), M. André Caron, invite les parents et les élèves à profiter de la Semaine des enseignantes et des enseignants, qui se déroule du 3 au 9 février 2008, pour saluer le travail qu'accomplissent les quelque 80 000 enseignantes et enseignants des écoles publiques québécoises. "Il est important de témoigner notre satisfaction et d'exprimer nos remerciements au personnel enseignant particulièrement à l'occasion de la semaine qui lui est consacrée.
www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=82715&B=1

Le Centre d’apprentissage intensif offre gratuitement une courte formation ayant pour sujet les Forces Canadiennes. Cette formation sera offerte le vendredi 22 février prochain à 13h30, dans nos locaux. Un sergent recruteur sera sur place pour nous parler des Forces Canadiennes, des modalités du recrutement, des types d’engagement et des carrières offertes. Par la suite, il y aura une période de questions. Pour assister à cette rencontre, veuillez contacter Carolyne Bourassa au 418.522.6445 ou par courriel :
carolyne.bourassa@megaquebec.net Nous avons 15 places disponibles. Carolyne Bourassa c.o. Centre d’apprentissage intensif

Accommodement raisonnable à l’école: à dissocier de l’immigration Près de 80 % des demandes d’accommodement sont d’ordre religieux. «La pratique de l’accommodement raisonnable à l’école n’est pas en lien avec l’intégration des immigrants et il est fortement déplorable que le ministère de l’Éducation ait associé les deux dans le mandat accordé à son comité consultatif.» C’est la principale critique qu’a formulée Rachida Azdouz, vice-doyenne à la Faculté de l’éducation permanente et spécialiste des relations interculturelles, invitée à commenter le rapport du Comité consultatif sur l’intégration et l’accommodement raisonnable en milieu scolaire.
http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/874/221/

L’Université de Sherbrooke lance le magazine UdeS - Audace, leadership, innovation L’Université de Sherbrooke lance un magazine novateur qui veut éclairer les grandes questions d’actualité. Tous les contenus du magazine sont disponibles sur Internet, et ce, dès la sortie de chaque numéro. Les cyberlecteurs auront le choix entre trois formats de lecture, soit html, pdf et papier virtuel. Le site du nouveau magazine fournira également des contenus inédits, non publiés dans la version papier, telles des versions intégrales de certaines entrevues audio ou vidéo. Voilà d’excellentes raisons de visiter le site
www.USherbrooke.ca/UdeS/magazine

Éducation en français. L'école virtuelle est un succès
Les élèves du secondaire de la Colombie-Britannique sont de plus en plus nombreux à suivre des cours en ligne dans la langue de Molière grâce à l'école virtuelle. Cette institution, créée par le Conseil scolaire francophone de la province, est basée sur l'expérience acquise depuis des années par la formation à distance. Le directeur de l'école, Christian Côté, précise d'ailleurs que les élèves qui assistent aux cours proviennent aussi de conseils scolaires anglophones. L'établissement d'éducation en ligne offre la possibilité aux jeunes de se familiariser en français avec des matières qui ne sont pas offertes dans leur école, comme la biologie, la chimie ou encore le leadership. Le nombre de cours devrait d'ailleurs continuer d'augmenter d'année en année, souligne M. Côté. L'école offre présentement des cours pour les élèves du secondaire, mais pourrait bientôt accueillir également des écoliers. L'école virtuelle est fréquentée par une centaine d'élèves et ce nombre devrait bondir au cours des prochaines années, d'après la direction.
www.radio-canada.ca/regions/colombie-britannique/2008/01/27/001-ecole-virtuelle_n.shtml

L’éprouvette Terre
La capacité d’adaptation des espèces peut-elle suivre la vitesse à laquelle surviennent les changements environnementaux provoqués par l’activité humaine?
www.aufil.ulaval.ca/articles/eprouvette-terre-4852.html

Mauvaises nouvelles pour les océans : plus de poissons dans les océans signifie plus d’azote dans l’eau Étude canado-américaine : Des chercheures de l’Université de Montréal et du Cary Institute publient les résultats de leur recherche dans Nature Geoscience. Une équipe de recherche canado-américaine a constaté que la pêche commerciale jouait un rôle insoupçonné dans la diminution de la qualité des eaux côtières des océans. Dans le dernier numéro de Nature Geoscience, les chercheuses Roxane Maranger et Nina Caraco expliquent que l’arrêt de la surpêche commerciale, dont le but était de préserver les stocks de poissons sans cesse diminuant, a joué un rôle significatif en perturbant l’équilibre entre l’azote s’écoulant dans les eaux côtières et l’azote retiré de l’eau grâce à la pêche commerciale. En attendant de trouver une manière de préserver de façon durable l’écosystèmedes eaux côtières des océans et de comprendre complètement l’impact que l’activité humaine a sur le cycle de l’azote, les chercheuses recommandent de réexaminer le rôle de la pêche commerciale. Cette étude a bénéficié d’une subvention du Fond québécois de la recherche sur la nature et les technologies.
http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/924/221/

Le temps presse
Les priorités des employeurs semblent de plus en plus en contradiction avec celles des couples et des familles. Avant le travail et la vie professionnelle, ce sont la vie de couple et la famille qui revêtent le plus d’importance chez les travailleurs au Québec. C’est ce que révèle une enquête téléphonique dirigée par Daniel Mercure, professeur au Département de sociologie, auprès de 1 000 Québécois en décembre 2006. Ainsi, 76,8 % des participants à ce sondage portant sur les valeurs associées au travail ont placé ces aspects au premier rang de leurs préoccupations, par rapport à 12, 5 % pour le travail et la vie professionnelle, 8,8 % pour les loisirs et 2 % pour les engagements politiques et communautaires. Chez les couples ayant au moins un enfant de 16 ans ou moins, le pourcentage grimpait à 91,7. Daniel Mercure a divulgué ces résultats lors d’une conférence organisée par le Centre interuniversitaire d’études québécoises (CIEQ), le 16 janvier, au pavillon Charles-De Koninck. Son exposé s’intitulait «Travail et famille au Québec: deux sphères de vie de plus en plus difficiles à concilier».
www.aufil.ulaval.ca/articles/temps-presse-4882.html

La recherche universitaire contribue au réchauffement climatique! Pour le professeur Hervé Philippe, la décroissance économique est la seule solution à l’impasse environnementale. Hervé Philippe estime que ses travaux de recherche engendrent 44 tonnes de CO2 par année. À toutes les activités humaines qui menacent la planète, il faut en ajouter une autre: la recherche universitaire. Écologiste convaincu et conséquent, Hervé Philippe, professeur au Département de biochimie, a évalué que ses travaux de recherche engendrent 44 tonnes de CO2 par année, alors que la production moyenne annuelle est de 20 tonnes par habitant aux États-Unis.
http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/933/221/

Organisation 101 Réussir ses études quand on est parent constitue une mission difficile mais réalisable. Une enquête ayant démontré que la diminution de la vie sociale représente le plus grand facteur de stress chez les parents aux études, il faut éviter le piège de l’isolement. Depuis 2005, l’Association des parents étudiant ou travaillant à l’Université Laval (www.apetul.asso.ulaval.ca) permet de créer des liens avec les autres parents de l’Université par la tenue de midis-rencontres et de diverses activités, comme des matinées de cinéma, des bazars de vêtements ou de jouets usagés, etc. «Les efforts et les sacrifices qu’on fait en tant que parent en valent toujours la peine, conclut Marie-Hélène Simard. En plus de devenir une source d’inspiration pour vos enfants, votre formation universitaire vous permettra d’améliorer vos conditions de vie, ce qui profitera en fin de compte à toute la famille.»
www.aufil.ulaval.ca/articles/organisation-101-4822.html


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Guide sur l'admission universitaire - Automne 2008 Version du 31 janvier 2008 Dans cette version, on a ajouté un tableau des pièces requises pour la demande d'admission en ligne. Un gros merci à Luc Thifault du Cégep de Valleyfield pour sa précieuse collaboration dans la mise à jour des tableaux. Raymond Jean, c.o.
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915


Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Pour le moment, 47 membres des 27 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (17) : les cégeps St-Laurent, Abitibi-Témiscamingue, St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Lanaudière, St-Hyacinthe, Outaouais, Vieux-Montréal, Rosemont, Ahuntsic, Héritage, le Collège international Marie de France, le Collège St-Jean-Vianney, l’université de Sherbrooke et Trav-Action. À l’est (10) : Jonquière, Limoilou, Gaspésie, F.-X. Garneau, St. Lawrence, Ste-Foy, St-Félicien, Lévis-Lauzon, Chicoutimi et Psycho-Carrière. Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca


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