29 avril 2013

V 11 No 18: La surqualification

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
(860 membres, 11e saison du bulletin électronique)

Nous avons franchi le cap des
100 000 visites du Bulletin (102 941) et 500 000 du site ACOC (545 512)

Partenaires du Xe Congrès de l'ACOC à l'UQAT
La date limite d’inscription du 26 avril 2013 est dépassée.
Pour vérifier la possibilité de s'inscrire, envoyer un message à acocinfo@gmail.com 


Convocation à l'Assemblée générale annuelle de l'ACOC
Veuillez noter que l'Assemblée générale annuelle de l'ACOC se déroulera dans le cadre du Xe congrès, le jeudi 30 mai 2013 8h00, à  l’UQAT. Il n'est pas nécessaire d'être inscrit au Congrès pour participer à l'Assemblée générale. L’ordre du jour est le suivant :

Section Nouvelles
Information Colloque Dialogue 2013
Admission tardive université automne 2013
Admission universitaire
Postes d'api au Cégep St-Laurent 
            et au Collège Ste-Anne
Rencontre annuelle des psy et c.o. 
            des cégeps et universités

Ajuster à chaque client notre façon d'intervenir. Dans mon précédent billet, je vous parlais du jeune Jean-François et de « l'équation mathématique » que j'avais utilisée pour faciliter sa compréhension de son choix de programme et d'éventuel métier. Bien qu'efficace auprès de cet individu, cette métaphore ne conviendrait pas à tous. Et comme tout le monde, les personnes Asperger sont toutes très différentes. J'oserais même dire que les outils d'orientation que j'utilise avec la clientèle neurotypique sont plus facilement généralisables que ceux que j'ai élaborés pour les personnes Asperger. S'il y a une chose essentielle que j'ai retenue de ma pratique jusqu'à maintenant, c'est que les personnes Asperger ont en commun leur diagnostic, mais sont toutes uniques et différentes, les unes des autres et des neurotypiques. À chaque nouveau client, je dois m'ajuster et remodeler mes outils. Ainsi, je rencontre des étudiants au profil différent de Jean-François, particulièrement les filles Asperger, qui sont anxieuses et pour lesquelles le contrôle est un besoin qui prend beaucoup de leur attention. Avec ces personnes, j'utilise une méthode que j'appelle « l'opérationnalisation » de leur projet d'études et de carrière. L'objectif est de nommer les différentes dimensions du choix de carrière à partir de choses que l'on peut compter, vérifier, toucher, voir, sentir... Cela permet à la fois de répondre au besoin de contrôle et de le déjouer pour démêler le besoin de se rassurer du besoin que comblera leur choix professionnel. Comme exemple… (la suite sur le blogue animé par  Émilie Robert, c.o.) http://acochandicap.blogspot.ca

Le drame de la surqualification. À quoi bon avoir un bac si c'est pour travailler comme caissier? C'est la question que beaucoup de gens se posent ces temps-ci, alors que plusieurs diplômés universitaires peinent à trouver un emploi dans leur domaine. Les plus touchés ne sont cependant pas ceux qu'on croit. Quelque 284 000 diplômés universitaires travaillaient au salaire minimum aux États-Unis l'an dernier, signalait récemment le Wall Street Journal. Une situation loin d'être idéale, surtout pour ceux qui ont des dettes d'étude à rembourser. Mais il y a pire. «Les travailleurs hautement qualifiés repoussent les peu qualifiés encore plus au bas de l'échelle et, jusqu'à un certain point, hors du marché du travail», souligne une étude publiée le mois dernier par le National Bureau of Economic Research américain www.lapresse.ca/debats/editoriaux/ariane-krol/201304/22/01-4643151-le-drame-de-la-surqualification.php

Serveuse surqualifiée cherche job en histoire. Vous en connaissez parmi vos proches. Des gens brillants ou doués, mais dont l'emploi ne correspond pas du tout au domaine de formation. Des gens tantôt frustrés, tantôt aigris, tantôt résignés. Ce phénomène s'appelle la surqualification et il est plus répandu qu'on pense. Lundi, une étude réalisée par les économistes Brahim Boudarbat et Claude Montmarquette est venue quantifier le phénomène. Les deux chercheurs du CIRANO se sont concentrés sur la région de Montréal. Selon leurs conclusions, 31,5% des travailleurs de la région de Montréal sont surqualifiés pour le poste qu'ils occupent. Autrement dit, presque un employé sur trois a reçu une formation qui lui est peu ou pas utile, que ce soit au cégep, à l'université, au secondaire ou dans une école de métier. Cette proportion est légèrement plus élevée qu'à Toronto (29,2%) ou Vancouver (29,3%). http://affaires.lapresse.ca/opinions/chroniques/francis-vailles/201304/11/01-4639733-serveuse-surqualifiee-cherche-job-en-histoire.php#

L’inflation des diplômes Par Mario Charette Obtenir un bon diplôme pour décrocher un emploi en demande demeure donc toujours la stratégie la plus sûre.   De plus en plus d’employeurs embauchent des diplômés des collèges et des universités pour des emplois qui pourraient être occupés par des diplômés du secondaire. C’est du moins ce qui ressort d’un sondage effectué par Career Builder en novembre 2012 auprès de 400 employeurs du Canada. Environ 36 % des employeurs interrogés ont signalé qu’ils avaient augmenté leurs exigences pour des postes qu’ils comblaient auparavant grâce à des diplômés du secondaire. Ils embauchent donc de plus en plus souvent des diplômés de l’enseignement supérieur pour ces postes. Les employeurs ont également noté les effets positifs de cette nouvelle pratique sur leur entreprise. Ainsi, 76 % d’entre eux pensent que les diplômés de l’enseignement supérieur fournissent un travail de meilleure qualité, et 45 % d’entre eux ont noté une augmentation de la productivité. Ce n’est pas la première fois qu’on observe ce phénomène, qu’on appelle l’inflation des diplômes. Lorsque les employeurs ont beaucoup de candidats parmi lesquels choisir, ils augmentent les exigences scolaires liées à leurs postes. Les candidats qui ne possèdent pas les diplômes requis décident alors de retourner sur les bancs de l’école pour les obtenir. Il s’ensuit une spirale inflationniste : le nombre grandissant des diplômés incite de plus en plus d’employeurs à augmenter leurs exigences, ce qui pousse ensuite plus de candidats potentiels à retourner aux études dans l’espoir de se démarquer. L’inflation des diplômes est un phénomène qu’on s’attend à observer lorsque les emplois sont rares et la main-d’œuvre abondante. Dans cette situation, les employeurs ont en effet beau jeu d’augmenter leurs exigences, car la compétition pour les postes devient féroce. Il est surprenant d’en parler de nos jours, alors que les employeurs se plaignent de la pénurie de main-d’œuvre et que tant d’analystes prévoient des difficultés grandissantes de recrutement au cours des prochaines années. On s’attendrait à l’inverse, c’est-à-dire à ce que les employeurs réduisent leurs exigences, non? Il est néanmoins possible que l’inflation des diplômes coexiste avec une pénurie de main-d’œuvre. Le nombre de candidats formés a augmenté de façon constante au cours des années. Ainsi, en 1976, 22 % des Québécois détenaient un diplôme collégial et 14 % un diplôme universitaire. En 2009, ces chiffres étaient respectivement de 48 % et de 32 %. Les employeurs peuvent donc augmenter leurs exigences sans crainte. De plus, les diplômés formés pour les postes les plus en demande sont rares. C’est cette réalité qui fait dire aux employeurs qu’ils font face à une pénurie de main-d’œuvre pour leurs postes-clés. Les diplômés qui ne peuvent y accéder présenteront donc leur candidature pour d’autres postes qu’ils croient pouvoir combler. Comme ils sont alors très nombreux, les employeurs pourront augmenter leurs exigences pour ces postes. Obtenir un bon diplôme pour décrocher un emploi en demande demeure donc toujours la stratégie la plus sûre! http://journalmetro.com/opinions/de-bon-conseil/289372/linflation-des-diplomes/

Rencontres annuelles des professionnels en orientation et en psychologie des cégeps et universités ». Après 3 ans de pause, les rencontres annuelles des professionnels en orientation et en psychologie des cégeps et universités sont de retour !  Anciennement organisées par M. Michel Roy, Mme Hélène Trifiro, M. Henry Hamel et M. Yvon Trottier, une nouvelle équipe prend la relève : Katia Doyon (UQAM), Stéphanie Métivier (Université de Sherbrooke - campus Longueuil) et Véronique Mimeault (Université Laval).   Nous vous convions donc à ce rendez-vous incontournable du printemps ! N.B. Veuillez noter que cette invitation s’adresse aux psychologues et conseillers d’orientation œuvrant dans les services aux étudiants.  Merci de transmettre l’invitation aux professionnels concernés dans votre établissement qui ne sont pas dans notre liste d’envoi. Il reste encore des places disponibles.  N’oubliez pas de vous inscrire avant le 30 avril pour un tarif préférentiel ! Le comité RAPOP

Mois de l’autisme - Tirer avantage des aptitudes au travail des personnes autistes. C’est après avoir constaté les aptitudes de son fils autiste, en matière de prévision mathématique et en ce qui a trait à la mémoire photographique, que Thorkil Sonne a fondé au Danemark la compagnieSpecialisterne, en 2003. Specialisterne, qui a depuis fait des petits un peu partout dans le monde, vise précisément à exploiter les forces des personnes autistes pour les insérer au monde de l’emploi, entre autres dans le domaine de l’informatique.  Très bientôt, une entreprise canadienne, à Calgary celle-là, suivra l’exemple deSpecialisterne. Sous le nom de With Precision, cette entreprise sociale vise l’employabilité des personnes autistiques au-delà du monde de l’informatique. « L’une des forces de personnes autistes, même si ce n’est pas le cas de toutes, c’est qu’elles ont de grandes habiletés à traiter les détails avec beaucoup de précision », dit Russ Peardon, qui travaille à la mise sur pied de With Precision. Ces qualités peuvent être d’une grande utilité dans le domaine de la santé ou dans l’industrie du pétrole, dit-il, où les employés peuvent être tenus de transcrire une masse de renseignements. www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/375635/tirer-avantage-des-aptitudes-au-travail-des-personnes-autistes


Valorisons l’Abitibi-Témiscamingue www.valorisation-abitibi-temiscamingue.org 

Des étudiants de l’UQAT remportent le concours Academia d’Ubisoft. Formée de cinq étudiants de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), de deux étudiants de l’École de technologie supérieure (ÉTS) et d’un étudiant de l’Institut supérieur des techniques de design sonore, l’équipe Gama s’est classée en première position lors de la 3e édition du Concours Universitaire Academia Ubisoft, dont la remise des prix avait lieu le 11 avril dernier. Leur prototype de jeu vidéo en 3D, Shine, a également permis à l’équipe de remporter les prix pour la meilleure direction artistique et le meilleur design. L’équipe Flexibag, composée d’étudiants de l’UQAT, s’est quant à elle illustrée parmi les nominés pour le premier prix. www.uqat.ca/universite/medias/communiques/index.asp?RefCom=916  (Vidéo sur le site)

Santé : Un cégépien de Québec fait une découverte prometteuse. David Drouin fait une découverte prometteuse. Un cégépien de 19 ans de Québec fait une découverte prometteuse dans la recherche de traitements contre les infections bactériennes. Dans un laboratoire de l'Université Laval, David Drouin a réussi à démontrer qu'une faible concentration d'huile de cannelle combinée avec des probiotiques affaiblit la bactérie E. coli. www.radio-canada.ca/regions/quebec/2013/04/24/012-cegepien-decouverte-infections-bacteriennes.shtml

Les nouveaux visages du Lac-Saint-Jean Portraits d’immigrants récemment établis au Lac-Saint-Jean, grâce, entre autres, à l’organisme Portes ouvertes sur le Lac.Assistante de direction dans une entreprise ferroviaire en Côte-d’Ivoire, Marie-Gabrielle Tacka a quitté son pays pour offrir la paix et la sécurité à ses enfants. Pour préparer le terrain et trouver un emploi, elle a dû laisser ses trois plus jeunes en Côte d’Ivoire pendant un certain temps. «C’est pour eux que je fais ça», a-t-elle témoigné au début de novembre, deux semaines avant que la famille ne soit réunie. À l’arrière-plan, on aperçoit Cathy Lupien, agente d’intégration de Portes ouvertes sur le Lac. www.jobboom.com/carriere/les-nouveaux-visages-du-lac-saint-jean 


Les femmes dans le secteur de la construction Entrevue avec Julie Miville-Dechêne www.youtube.com/watch?v=x4GfIYLBAkA « Pas de femmes sur les chantiers de construction, pas de contrats publics »  www.csf.gouv.qc.ca

La construction au féminin
Harcèlement, discrimination, blagues sexistes : le quotidien des travailleuses de la construction n’est pas rose. Certaines arrivent pourtant à s’y tailler une place. www.jobboom.com/carriere/la-construction-au-feminin

Les pages «Spotted» sous surveillance à la CS des Navigateurs Les pages Spotted ont été créées pour déclarer anonymement et humoristiquement sa flamme à un ou une inconnue de son école, mais les pratiques dérivent parfois vers l'insulte, voire l'intimidation. Le personnel des écoles est aussi touché. La commission scolaire des Navigateurs se fait shérif du Web avec l'arrivée à Québec des pages Facebook «Spotted», sur lesquelles les étudiants déclarent de façon anonyme leur béguin pour les garçons et les filles de leur école. C'est que les conversations publiées tournent parfois à la cyberintimidation. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201304/09/01-4639269-les-pages-spotted-sous-surveillance-a-la-cs-des-navigateurs.php

Collaboration entre le CAMO pour personnes handicapées et L’Événement Carrières. Un succès pour le 1er grand salon de l’emploi INCLUSIF! La première collaboration entre le Comité d’adaptation de la main-d’œuvre (CAMO) pour personnes handicapées et L’Événement Carrières a connu un vif succès : plus de 500 personnes handicapées ont participé à ce premier grand salon de l’emploi inclusif qui se tenait les 10 et 11 avril derniers au Palais des congrès de Montréal.  Un des objectifs de cette première collaboration était de permettre aux étudiants, aux finissants, aux diplômés et aux personnes actives sur le marché du travail, qui ont une limitation fonctionnelle, d’avoir accès à un plus grand nombre d’employeurs, à une plus grande diversité de secteurs d’emploi et à davantage de postes. Le tout, en leur assurant un salon inclusif offrant les mesures d’accommodement pouvant leur être nécessaires (interprètes, accompagnateurs, documentation en Braille, etc.), afin de signaler leurs compétences aux 160 exposants présents. Un autre objectif était de permettre à un plus grand nombre d’employeurs de rencontrer et de tirer profit d’une main-d’œuvre qualifiée et diversifiée. Avant cette première collaboration, le CAMO pour personnes handicapées avait réalisé 4 éditions de sa Journée Contact employeurs/personnes handicapées, un salon de l’emploi dédié spécifiquement aux personnes handicapées. Souhaitant intégrer la formule de sa Journée Contact à un salon de l’emploi grand public, le CAMO a approché L’Événement Carrières, leader dans l’organisation de salons carrières à Montréal depuis 10 ans, qui est vite devenu un partenaire incontournable dans la réalisation de ce premier grand salon de l’emploi inclusif. Partenaire du CAMO pour les services d’interprétariat lors de L’Événement Carrières : La Fondation des Sourds du Québec Éric Daigle, conseiller information & communications Comité d’adaptation de la main-d’œuvre (CAMO) pour personnes handicapées e.daigle@camo.qc.ca www.camo.qc.ca

Industrie minière
L'avenir est dans les mines Et ça presse! Avec 30% des travailleurs qui partiront à la retraite d'ici 5 ans, les compagnies minières... » http://affaires.lapresse.ca/cv/industrie-miniere/

Accorder le droit de prescrire aux infirmières - Pour une reconnaissance de l'expertise et une meilleure accessibilité aux soins  www.guidesanteenligne.com/detail_news.php?ID=428253&cat=;28

Formation des infirmières: le temps d'avancer Les craintes syndicales que soulève le rehaussement de la formation initiale des futures infirmières sont légitimes mais elles ne doivent pas devenir un frein à la réalisation de cet objectif. Le Québec a déjà trop tardé et des considérations qui n'ont rien à voir avec la sécurité du public ou la qualité des soins ne doivent pas repousser indûment les changements nécessaires www.lapresse.ca/le-soleil/opinions/editoriaux/201304/08/01-4638832-formation-des-infirmieres-le-temps-davancer.php

Pour un meilleur accès aux soins de santé Les infirmières sont prêtes à prescrire. En conférence de presse aujourd'hui, l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) a fait état de sa demande d’obtenir le droit, pour les infirmières et infirmiers du Québec, de prescrire des analyses de laboratoire et certains médicaments de façon autonome. Cette demande touche des situations précises pour lesquelles les infirmières et infirmiers possèdent l'expertise requise. « Les infirmières sont prêtes à jouer pleinement leur rôle auprès des patients et 96 % d'entre elles affirment que le droit de prescrire améliorerait l'accès aux soins pour la clientèle », a déclaré Lucie Tremblay, présidente-directrice générale de l’OIIQ. Et la population abonde dans le même sens puisqu'un sondage CROP a révélé que plus de 90 % des Québécois croient que le droit de prescrire pour les infirmières dans des situations déterminées permettrait d'améliorer l'accès aux soins de santé et diminuerait les temps d'attente dans les urgences et les cliniques médicales. Quand on pense qu'un Québécois sur quatre n'a pas de médecin de famille et que la population québécoise est vieillissante, il n'est pas étonnant que les délais d'attente à l'urgence comme dans les cliniques s'allongent. Selon l'OIIQ, il est primordial de placer le patient au cœur des décisions et des actions qui doivent être prises afin d’améliorer le système de santé québécois. Le renforcement de la première ligne et des soins dans la communauté requiert que les infirmières puissent offrir des soins complets à leurs patients. LES DEMANDES Concrètement, les infirmières souhaitent prescrire : Certaines analyses de laboratoire, des radiographies et des tests pour compléter l’analyse de la condition de santé des personnes (par ex., analyse et culture d'urine, radiographie de la cheville et du genou, etc.) ; Des analyses de laboratoire, des radiographies, des produits et des pansements pour le traitement des plaies ; Des médicaments à caractère préventif (par ex., contraception orale d'urgence, cessation tabagique, etc.) Des médicaments et effectuer certains traitements pour des troubles mineurs (par ex., traitement de certaines ITSS, traitement de la constipation, traitement de l'infection urinaire, etc.). CAMPAGNE : LES SOLUTIONS INFIRMIÈRES L'annonce de cette proposition marque le début d'une campagne de l'OIIQ, qui interpelle cette année le public en posant la question : « Pour faciliter l’accès aux soins à l’ensemble de la population, pourquoi au Québec ne mise-t-on pas davantage sur l’expertise des infirmières et infirmiers ? ». Cette campagne se déploiera du 14 avril au 18 mai. Elle propose des messages publicitaires télévisés et un microsite : www.solutionsinfirmieres.ca « Donner aux infirmières le droit de prescrire dans certaines situations est une solution porteuse, applicable à court terme, et réalisable sans investissement gouvernemental et sans apport supplémentaire de deniers publics. C'est une situation dont nous sortirons tous gagnants, en premier lieu les patients du Québec », a conclu Lucie Tremblay. MÉMOIRE À L'OFFICE DES PROFESSIONS DU QUÉBEC Afin de concrétiser sa proposition, l’OIIQ prévoit déposer un mémoire auprès de l’Office des professions du Québec et du gouvernement du Québec d’ici l’automne 2013. Ce mémoire précisera les modalités qui permettront aux infirmières et infirmiers de poser ces gestes. À propos de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec L'OIIQ est un ordre professionnel régi par la Loi sur les infirmières et les infirmiers et par le Code des professions. Au 31 mars 2012, il comptait 72 169 membres et quelque 15 000 étudiants immatriculés. Sa principale mission est d'assurer la protection du public par la surveillance de l'exercice de la profession infirmière. L'OIIQ a également pour mandats de promouvoir une pratique infirmière de qualité et de contribuer au maintien des compétences des infirmières. www.oiiq.org/salle-de-presse/communiques/les-infirmieres-sont-pretes-a-prescrire

Les infirmières veulent un droit limité de prescription de médicaments Selon la présidente de l'Ordre des infirmières, Lucie Tremblay, ces nouvelles mesures permettraient d'améliorer l'accès aux soins de santé et de diminuer les temps d'attente dans les urgences et les cliniques médicales. À compter de dimanche prochain, l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec lancera une offensive publicitaire afin d'obtenir pour ses membres plus de pouvoirs pour prescrire des médicaments, demander des radiographies et des analyses de laboratoire et traiter des plaies qui sont actuellement réservés aux médecins et en partie aux pharmaciens. L'annonce en a été faite, jeudi, au cours d'une conférence de presse. Pendant un mois, des messages publicitaires expliquant la position de l'Ordre seront diffusés sur huit chaînes de télé et sur le Web. Un total de 11 000 affiches seront distribuées dans les établissements de santé en vue de forcer la main aux médecins et au gouvernement. Selon la présidente de l'Ordre des infirmières, Lucie Tremblay, ces nouvelles mesures permettraient d'améliorer l'accès aux soins de santé et de diminuer les temps d'attente dans les urgences et les cliniques médicales. À la fin de 2011, l'organisme professionnel avait réclamé sans succès des pouvoirs similaires lors des échanges sur le projet de loi 41 pour permettre aux pharmaciens de prescrire certains médicaments et d'empiéter sur les pouvoirs des médecins. C'est en juin prochain que les pharmaciens pourront commencer à faire certaines prescriptions dans un cadre limité. Médecins ouverts. Le président de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec, le Dr Louis Godin, ne s'oppose pas à ce que de nouveaux pouvoirs soient confiés aux infirmières. Au lieu de la façon proposée par l'Ordre des infirmières, il préconise plutôt la délégation d'actes ou l'emploi d'ordonnances collectives qui sont permises depuis une dizaine d'années avec l'accord des médecins. «Ce serait une façon plus rapide d'y arriver», a-t-il dit. Toutefois, le Dr Godin a reconnu que les ordonnances collectives avaient été très peu utilisées pour permettre aux infirmières de faire des prescriptions en raison du blocus des pharmaciens. «Ça n'a pas marché parce que les pharmaciens refusaient d'accepter les prescriptions venant d'une infirmière, même s'il y avait une ordonnance collective acceptée par un médecin. Ils estimaient qu'elles n'avaient pas le pouvoir et la compétence de faire ça», a-t-il soutenu. Par ailleurs, il ne s'est pas dit surpris de la demande de l'Ordre des infirmières, qui revient à la charge pour avoir plus de pouvoirs. «C'était quelque chose qui était prévisible avec l'adoption de la loi 41, qui a accordée aux pharmaciens le pouvoir de renouveler et de faire certaines prescriptions. D'autres professionnels de la santé vont probablement faire des demandes similaires», a-t-il commenté. En plus de pouvoir prescrire certaines ordonnances, les infirmières demandent le pouvoir de prescrire des médicaments pour la contraception orale d'urgence et la cessation tabagique, le traitement d'infection transmissibles sexuellement et par le sang, la constipation, l'infection urinaire. L'Ordre des infirmières déposera un mémoire à l'Office des professions et au gouvernement du Québec d'ici l'automne. Un sondage CROP réalisé en janvier dernier pour le compte de l'Ordre montre une grande réceptivité dans la population aux changements proposés. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/sante/201304/11/01-4640052-les-infirmieres-veulent-un-droit-limite-de-prescription-de-medicaments.php

Bac en soins infirmiers obligatoire: une menace pour les cégeps régionaux. Selon un sondage effectué par la Fédération des cégeps du Québec auprès de plus de 3000 étudiants, 84 % des répondants avaient l'intention de poursuivre des études universitaires, mais 42 % d'entre eux n'auraient pas choisi la profession d'infirmière si le baccalauréat avait été obligatoire. La formation universitaire obligatoire des étudiants en soins infirmiers fragiliserait les cégeps en régions aux prises avec une baisse démographique et des compressions budgétaires répétitives dans le réseau collégial de l'éducation www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/sante/201304/13/01-4640716-bac-en-soins-infirmiers-obligatoire-une-menace-pour-les-cegeps-regionaux.php

Vers la retraite à 67 ans Les jeunes d’aujourd’hui devront travailler plus longtemps que leurs aînés avant d’avoir droit aux prestations de retraite des régimes publics. Mais en seront-ils capables? Regard sur le report de l’âge de la retraite, une tendance mondiale qui n’est pas sans ambiguïté. Entre 2023 et 2029, l’âge auquel les Canadiens pourront toucher la pension de la Sécurité de la vieillesse sera progressivement haussé de 65 à 67 ans. Et depuis 2013, le Régime de rentes du Québec récompense de façon importante les individus qui terminent leur vie active à 70 plutôt qu’à 65 ou 60 ans (voir encadré).  Augmenter l’âge de la retraite pour tous sans distinction suscite toutefois des questionnements, dit Patrik Marier, professeur agrégé et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les politiques publiques comparées au Département de science politique de l’Université Concordia.  En effet, on ne vieillit pas tous avec le même portefeuille ni le même état de santé! www.jobboom.com/carriere/vers-la-retraite-a-67-ans/

La preuve d'une pénurie de main-d'oeuvre est mince Les principales données sur l'emploi - selon l'enquête sur la main-d'oeuvre de Statistiques Canada - indique que le taux de chômage atteint 7,2 %, soit plus d'un point de pourcentage de plus qu'en 2008. Y a-t-il une pénurie de main-d'oeuvre au Canada? Plusieurs employeurs affirment que oui, mais des sondages menés dans le milieu des affaires et des recherches gouvernementales indiquent que la preuve est, au mieux, mince et épisodique. http://affaires.lapresse.ca/economie/canada/201304/11/01-4640041-la-preuve-dune-penurie-de-main-doeuvre-est-mince.php

Les recteurs dans le collimateur de Québec Québec serre la vis aux universités. Désormais, tout changement aux salaires et aux conditions de travail de leurs dirigeants devra être approuvé par le gouvernement www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201304/09/01-4639282-les-recteurs-dans-le-collimateur-de-quebec.php

L'Université Laval confirme qu'elle quitte la CREPUQ Selon e recteur de l'UL, Denis Brière, l'autonomie des universités est régulièrement attaquée depuis les dernières années. L'Université Laval (UL) confirme qu'elle se retire de la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ), soulignant que celle-ci ne répond plus aux besoins de l'institution «en matière de défense et de promotion des intérêts de son identité». Dans un communiqué de presse transmis en milieu d'après-midi, le recteur de l'Université Laval, Denis Brière, détaille les raisons qui le poussent à faire cavalier seul et à quitter la CREPUQ, qui compte 19 établissements universitaires dans la province, dont 10 qui font partie du réseau de l'Université du Québec. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201304/15/01-4641126-luniversite-laval-confirme-quelle-quitte-la-crepuq.php

La CREPUQ se fissure L’Université de Montréal pourrait imiter celle de Laval, qui a quitté l’organisation pour mieux se défendre. La Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ) est dans la tourmente. Après le départ du recteur de l’Université Laval, Denis Brière, celui de l’Université de Montréal, Guy Breton, aurait lui aussi signifié au conseil d’administration qu’il partirait dans les prochains mois, a appris Le Devoir. « Il y a une réflexion à ce propos. Oui, il y a des insatisfactions, mais aucune décision n’a encore été prise », a déclaré Mathieu Filion, porte-parole de l’UdeM…. Selon Éric Bauce, l’Université Laval défendra désormais ses propres positions, mais demeurera en interaction avec les autres universités. « On peut facilement travailler avec nos collègues des autres universités sans être sur la même plateforme, a-t-il dit. On n’est jamais aussi bien servi que par soi-même. » www.ledevoir.com/societe/education/375813/la-crepuq-se-fissure

Le budget de la CREPUQ amputé de 15 % avec le départ de l'Université Laval. En quittant la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ), l'Université Laval la prive de 15 % de son budget de fonctionnement. Un autre départ pourrait faire très mal à l'organisation, qui assure ne pas être en crise. Le budget total de l'organisation est évalué à 5 millions $, dont 4 millions proviennent des cotisations des établissements universitaires établies en fonction du nombre d'étudiants. Le reste est versé par le ministère de l'Enseignement supérieur. Pour l'année 2013-2014, l'Université Laval devait acquitter une facture de 629 492 $. Afin d'éviter de couper le cordon ombilical trop drastiquement, le vice-recteur, Éric Bauce, explique que l'établissement s'acquittera de la moitié de cette somme d'ici les six prochains mois. Une grogne partagée. De son côté, l'Université de Montréal, contribue pour près de 18 % de l'ensemble des cotisations des membres de la CREPUQ en allongeant un montant de 759 819 $. Or, cette dernière jongle également avec l'idée de quitter le groupe d'universités.«On ne cache pas qu'il y a des insatisfactions à l'égard de la CREPUQ», a admis le porte-parole de l'établissement montréalais, Mathieu Filion. Il souligne par ailleurs qu'aucune décision n'a encore été prise et que les doléances du recteur Guy Breton à l'égard de l'organisation ne sont pas nécessairement les mêmes que celles évoquées par son collègue de l'Université Laval, Denis Brière. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201304/16/01-4641269-le-budget-de-la-crepuq-ampute-de-15-avec-le-depart-de-luniversite-laval.php

L'Université de Montréal menace aussi de quitter la CREPUQ. CREPUQ: le recteur Guy Breton lance un ultimatum. http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201304/17/01-4641650-crepuq-le-recteur-guy-breton-lance-un-ultimatum.php 

Les recteurs s'entredéchirent
Le front commun des universités se fissure. Le recteur de l'Université de Montréal, Guy Breton, a informé ses homologues jeudi qu'il envisageait de quitter la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ), a appris La Presse de sources sûres. Après avoir brandi la même menace, le recteur de l'Université Laval, Denis Brière, a officiellement claqué la porte lundi. Les universités sont profondément divisées sur la révision de leur formule de financement et sur la stratégie à adopter face au gouvernement Marois. Deux clans s'opposent: les universités à charte - Montréal et Laval, entre autres - et les neuf établissements du réseau de l'Université du Québec. Une réunion houleuse. La réunion du conseil d'administration de la CREPUQ a été passablement houleuse jeudi dernier. Guy Breton a donné à ses collègues un «préavis» quant à son départ de la CREPUQ, selon une source qui a requis l'anonymat. L'Université de Montréal quittera le navire d'ici six mois, aurait-il dit. M. Breton aurait confié qu'à l'Université de Montréal, on le presse de se retirer de l'organisme. Le recteur aurait donné une «dernière chance» à la CREPUQ, qui organisera bientôt une «journée de réflexion stratégique». www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/education/201304/16/01-4641328-les-recteurs-sentredechirent.php

Cégeps : le défi du recrutement en région. La baisse démographique inquiète les cégeps situés en région. Leurs représentants ont tenté de trouver des solutions lors du Colloque sur le développement des cégeps en région, qui s'est déroulé vendredi à Saguenay. Le ministère de l'Enseignement supérieur prévoit que les cégeps auront 26 500 étudiants en moins d'ici 2020. « Pour les 10 prochaines années, l'enjeu prioritaire, c'est la baisse démographique. » — Jean Beauchesne, président-directeur général de la Fédération des cégeps www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2013/04/19/001-colloque-cegeps-region.shtml

L'entreprise idéale : les multiples contradictions des étudiants. Les Y ont à nouveau droit à une étude. Cette fois, il n'est pas question de déterminer s'ils sont égoïstes et opposés à la hiérarchie mais de s'interroger sur leur vision de l'entreprise parfaite. Pour autant, leurs réponses éclairent encore un peu mieux cette génération aux attentes parfois contradictoires. Le travail doit ainsi être réalisé en équipe (88%) mais le bureau semi-fermé est plébiscité par la majorité d'entre eux, détaille l'étude menée par le cabinet Deloitte en partenariat avec JobTeaser.  Les étudiants veulent également se sentir intégrés à un groupe tout en réclamant une forte autonomie au quotidien. Leur vision du manager idéal est-elle aussi multiple. Pour 67% d'entre eux, ses principales qualités sont relationnelles plutôt qu'organisationnelles avec un management participatif plutôt que directif. Mais le manager devra également être organisé et structuré (29%) ainsi qu'enthousiaste et communicatif (21%). "Ce sont les traits caractéristiques de la Génération Y (...), elle ne considère pas que l'autorité vienne uniquement de la compétence ou de l'expertise, mais elle attend de leurs managers qu'ils leur fassent confiance, et soient à l'écoute. Les entreprises devront modifier leur mode de management pour arriver à conserver les talents", explique Nicolas Lombard, cofondateur de JobTeaser. Même l'argent ne suffira pas, semble-t-il, à fidéliser les meilleurs : la majorité des étudiants cite l'intérêt du travail et le développement des carrières comme les deux premiers facteurs d'attractivité en entreprise. Plus d'équité dans les rémunérations. Question paie justement, deux tiers des futurs salariés souhaitent être associés aux bénéfices de l'entreprise et ils estiment que l'écart maximum entre les mieux et les moins bien payés ne doit pas dépasser un rapport de 1 à 10. Une équité qui ne masque pas l'envie d'être reconnu selon leurs compétences par le salaire. Pour Gabriel Bardinet, Manager Capital Humain chez Deloitte, "le salaire idéal devra reconnaître la performance de chacun avec une rémunération variable de l'ordre de 25 à 30% du salaire de base ce qui est nettement supérieur à ce qui se pratique en début de carrière où le bonus est de l'ordre de 5 à 8% maximum du salaire de base". Comment organiser le travail pour les Y ? La taille de l'entreprise compte également pour les étudiants. Ni trop petite, ni trop grande, 41% d'entre eux aspirent travailler dans une entreprise de taille moyenne. Mais qui leur offre un environnement international : 27% des étudiants envisagent leur avenir professionnel à l'étranger. "On voit ici tout le paradoxe et les contradictions de cette génération qui souhaite évoluer dans une entreprise de taille moyenne mais à dimension et vocation internationales", analyse Gabriel Bardinet. Ici et ailleurs, les étudiants envisagent également de travailler en entreprise tout en bénéficiant d'une forte flexibilité entreprise/domicile. "Le poste idéal est un poste polyvalent nomade mais intégré au sein d'une équipe, si possible internationale, et avec des horaires flexibles permettant de s'adapter aux contraintes personnelles", perçoit Nicolas Lombard. Pas sûr que le monde du travail sache trouver la réponse à ces multiples attentes. Pour autant, l'entreprise peut déjà mieux appréhender leurs souhaits en comprenant leur recherche d'individualisation en proposant davantage de parcours adaptés aux attentes de chacun, estiment les auteurs de l'étude. Il faudra aussi que les organisations jouent encore plus avec les outils et espaces collaboratifs et apprennent à développer un management plus participatif. www.blog-emploi.com/index.php/post/entreprise-ideale-selon-les-jeunes-etudiants

Un nouvel outil pour aider les ados à surmonter les conséquences de la cyberintimidation. Le site AidezMoiSVP.ca offre de précieux conseils aux jeunes éprouvés par la diffusion d'images à caractère sexuel sur Internet. http://aidezmoisvp.ca/app/fr 


Taux d'admission stable au Cégep de Sherbrooke . C'est à partir du 9 avril que les 3 468 personnes ayant fait une demande d'admission au Cégep de Sherbrooke reçoivent la confirmation de l'acceptation ou du refus de leur demande. Le taux d'admission au premier tour s'est maintenu au même niveau que l'an dernier à pareille date soit 69 %. Le facteur de contingentement de certains programmes justifie qu'un peu plus des deux tiers soient admis. Les 1 090 lettres de refus postées précisent qu'il est toujours possible de déposer une demande d'admission au Cégep de Sherbrooke pour la session d'automne 2013 par l'entremise du SRAM (service régional d'admission du Montréal métropolitain) avant le 22 avril pour le deuxième tour. Pierre Lefaivre, directeur du Service de l'organisation scolaire invite les personnes non admises au 1er tour d'admission, mais désireuses d'entreprendre des études collégiales dans un programme autre que leur premier choix à considérer « qu'il y a de la place au deuxième tour dans tous les programmes préuniversitaires, notamment en Arts et lettres profil communication ainsi qu'en Histoire et civilisation. Les Sciences humaines aussi peuvent accueillir de nouvelles demandes. » Ceux et celles dont les intérêts s'orientent plutôt vers les programmes techniques ont beaucoup d'avantages à sélectionner un programme à forte demande de recrutement de personnel. « Les perspectives sont excellentes dans l'une ou l'autre des techniques administratives, les techniques informatiques et la famille des techniques physiques, particulièrement Technologie du génie civil et les Technologies du génie électrique » poursuit M. Lefaivre.Les descriptions des programmes offerts au Cégep de Sherbrooke, ainsi que leurs préalables, peuvent être consultées sur le site Web : http://cegepsherbrooke.qc.ca/programmes . Afin d'aider à la réflexion, un service de renseignement est assuré par l'équipe de conseillers et conseillères d'orientation du 8 au 15 avril inclusivement. Il suffit de transmettre un message à l'adresse de courriel : renseignements.programmes@cegepsherbrooke.qc.ca .

Réparateur contrôle électrotechnique, Sorel-Tracy - Rio Tinto (vidéo) www.youtube.com/watch?v=Zd2ZWrkcjEI


Le film accompagnant le référentiel des Métiers du Jeu Vidéo 2012. Excellent reportage sur ce secteur trop peu méconnu. Merci ! En tant que conseillère d'orientation, je vais exploiter cette vidéo pour montrer aux parents les plus réticents que le secteur du jeu vidéo est un véritable secteur d'avenir et performant, loin de tous les clichés habituels. www.youtube.com/watch?v=3_HVvBQqwhw

Nous sommes le Service correctionnel du Canada. Notre mission :en tant que composante du système de justice pénale et dans la reconnaissance de la primauté du droit, nous contribuons à la sécurité publique en incitant activement et en aidant les délinquants à devenir des citoyens respectueux des lois, tout en exerçant sur eux un contrôle raisonnable, sûr, sécuritaire et humain. Nous le faisons avec fierté et passion … pour les Canadiens et les Canadiennes. Vidéo www.csc-scc.gc.ca/text/emplo/emplo-fra.shtml

Quatre professions qui ont du mordant La diversification des services offerts participe notamment à la croissance de ce domaine d’emploi.  C’est bien connu, les dentistes font partie des professionnels les plus mal-aimés. Pourtant, le domaine de la santé buccodentaire est en pleine croissance depuis quelques années, offrant même des perspectives d’emploi intéressantes. «Dans les années 70, les gens ont pris conscience de leur santé dentaire, explique le docteur Guy Lafrance, dentiste à Gatineau. Le Québec avait alors le record mondial de caries et d’extractions dentaires.» Depuis, une vague de prévention et de sensibilisation a déferlé sur la province, poussant les Québécois à être plus attentifs à leur santé dentaire. Mais, même si le nombre d’actes a diminué, le vieillissement de la population, la diversification des services offerts par les professionnels et les départs à la retraite participent à la croissance de ce secteur. Aussi, les assurances dentaires dont disposent de plus en plus d’employés contribuent également au changement du paysage de la dentisterie. Voici un portrait des quatre principales professions du domaine. http://journalmetro.com/plus/carrieres/289250/quatre-professions-qui-ont-du-mordant/

Le pouvoir des secrétaires Humble, le métier de secrétaire? Détrompez-vous. Ces professionnelles remplissent des tâches de plus en plus stratégiques et agissent souvent au nom du patron. Bref, on ne confie plus ce rôle à n’importe qui. C’était du sérieux, l’Opération Écrevisse : trois ans d’enquête, 81 arrestations et des saisies comprenant six kilos de cocaïne, une centaine d’armes à feu, près de un million de dollars en argent liquide ainsi qu’un avion et un hélicoptère. Le démantèlement de ce réseau de trafic de drogue en Abitibi-Témiscamingue en 2010 n’aurait jamais été possible sans Josée Villeneuve… une secrétaire à la Sûreté du Québec. La femme de 51 ans est modeste – «J’ai juste l’impression d’avoir fait mon boulot» –, mais son supérieur, le sergent Stéphane Mailloux, ne tarit pas d’éloges. «Sa charge de travail a explosé pendant l’opération. Du jour au lendemain, elle s’est retrouvée avec un bureau temporaire installé dans un sous-sol, avec 16 enquêteurs au lieu de 5. En trois ans, elle a lu, résumé et trié plus de 15 000 rapports.» Sa contribution à l’opération est telle que la Sûreté du Québec lui a remis un prix en 2011. Rares sont les secrétaires qui voient la qualité de leur travail ainsi récompensée. Ces Wonder Women du bureau – en 2011, 97 % des 97 000 secrétaires du Québec étaient des femmes, selon Emploi-Québec – sont pourtant dignes d’admiration. Car contrairement à ce que trop de gens pensent encore, elles font mille fois plus que taper des lettres, répondre au téléphone et préparer des présentations PowerPoint. Et sans elles, nos bureaux seraient en proie au chaos. www.jobboom.com/carriere/le-pouvoir-des-secretaires/

Universitaire
Sur la route de Johannie Arsenault
À titre de planificatrice média, Johannie Arsenault (Baccalauréat en consommation, 2010) œuvre dans le domaine des communications et des médias pour l’agence PHD Germany à Francfort, en Allemagne. Son travail consiste à coordonner les activités médiatiques d’un client dans le domaine de la mode en menant une campagne internationale en Europe et en Asie. La planification média consiste à analyser les besoins du client, à identifier les médias dans lesquelles seront placées les publicités du client, et ce, en fonction de la stratégie choisie et à participer au développement des programmes de communications traditionnels et numériques Hésitante quant aux différents choix de programmes universitaires, elle a finalement découvert un programme qui regroupait la plupart des disciplines qui l’intéressaient.  « Sciences de la consommation fût la meilleure solution pour moi qui avait mille et un intérêts en tête et pour qui l’inscription à une université allait être la décision ultime qui me préparerait pour le futur », témoigne la diplômée. Même si elle avait été acceptée dans plusieurs universités à travers le Québec, elle a finalement opté pour l’Université Laval.  « Plutôt par hasard, j’ai trouvé le « bac » parfait pour moi. Je suis vendue à mon programme, je dois le dire honnêtement », raconte-t-elle. « Ayant bénéficié d’un programme multidisciplinaire, mes connaissances entourant le monde de la consommation et ses différentes sciences me permettent de voir la situation d’une marque ou d’un produit dans son ensemble avant de pouvoir en étudier chaque facette », décrit la diplômée pour résumer l’apport de sa formation à l’Université Laval. L’ensemble d’activités et d’aventures que lui a offert l’Université a joué un rôle décisif sur la personne qu’elle est devenue. Elle a apprécié la qualité d’enseignement des différentes facultés et le sérieux des cours. « J’ai eu d’excellents chargés de cours, tout comme d’excellents professeurs », précise Johannie Arsenault. Au cours de ces 3 années, elle a aussi eu la chance de faire la rencontre d’étudiants provenant de chaque coin du Québec et aussi beaucoup d’étudiants étrangers. « Cela apporte une riche diversité aux perspectives amenées sur les sujets abordés en classe et aussi des amitiés sans frontières », relate-t-elle. « Ayant participé à la vie étudiante du programme en sciences de la consommation, j’ai aussi pu m’investir dans les tâches entourant la direction de l’association étudiante, comme le recrutement et l’accueil des nouveaux étudiants, l’organisation d’événements entourant le baccalauréat et les journées carrières », ajoute-t-elle. Pendant ses études, elle a fait une session d’études en France grâce au profil international de son programme. Comme elle n’avait pas encore terminé ses études, elle a fait des démarches auprès des professeurs de l’Université Laval afin de compléter ses derniers cours de la session d’automne à distance. Dans le cadre de cette aventure, elle a aussi fait la demande pour l’obtention d’un visa jeunesse d’une année en Allemagne pour la suite de son séjour en France. « J’avais envie d’aller m’accomplir davantage en Allemagne et de percer sur le marché du travail dans ce pays », partage la diplômée. « Vivre en Allemagne c’est bien. Dans mon cas, je me surprends à dire que c’était sans doute plus facile de m’adapter étant donné que c’était ma première adresse et non plus celle de mes parents », ajoute la diplômée. Heureusement, elle avait suivi un cours de langue allemande à l’Université Laval avant son départ.  À son arrivée en Allemagne, Johannie Arsenault a été notamment impressionnée par le système de transports en commun et les nombreuses coutumes. Les gens fêtent sans limite de temps, dans les boites et les clubs, rien ne se passe avant minuit et rien ne se finit avant 6 h. En contrepartie, les dimanches sont parfois longs, car tous les commerces et les épiceries sont fermés. En matière culinaire, la nourriture typique allemande est très simple mais diversifiée, grâce aux autres différentes cultures présentes à Francfort. À long terme, elle désire continuer de gagner de l’expérience professionnelle en Allemagne. Toutefois, elle désire éventuellement accepter un poste au Québec, ce qui lui permettrait de se rapprocher de sa famille. www.adul.ulaval.ca/sgc/adul/cybercontact/site/adul/op/edit/pid/21127

Philippe Charland, ingénieur en géomatique, diplômé du baccalauréat en génie géomatique de l'Université Laval parle de sa passion, de sa profession et de son travail à la Ville de Québec (Vidéo) www.youtube.com/watch?v=c2IINSl8gjE

Caroline Huard, arpenteure-géomètre, diplômée du baccalauréat en sciences géomatiques de l'Université Laval parle de sa passion, de sa profession et de son travail chez Ecce Terra, une firme d'arpenteurs-géomètres. www.youtube.com/watch?v=AhGI_UHn4U4

La forêt québécoise en manque d'ingénieurs Francine Bernier est ingénieur forestier à Lac-Mégantic. Elle remarque qu'en plus d'être peu nombreux, les nouveaux ingénieurs ne sont pas portés à travailler dans les régions éloignées. La PresseLes ingénieurs forestiers sont de plus en plus difficiles à recruter au Québec, et la pénurie empirera d'ici cinq ans. Si bien que l'Ordre des ingénieurs forestiers du Québec prépare présentement une campagne publicitaire télévisée qui sera diffusée cet automne pour encourager les jeunes à choisir ce métier. En 2011, on dénombrait 1800 ingénieurs forestiers actifs au Québec. Ce nombre représente 5% de moins qu'en 2002, année qui a marqué le début de la décroissance des membres de l'Ordre. Alors que le nouveau régime forestier du Québec entrait en vigueur la semaine dernière, la profession compte présentement deux fois plus de départs à la retraite que de diplômés. Si la tendance n'est pas renversée, on comptera trois fois plus de départs que d'entrées dans la profession en 2020, selon François-Hugues Bernier, directeur des communications et de la foresterie de l'Ordre. Francine Bernier, ingénieur forestier depuis dix ans et fondatrice de la firme ProForêt Consultants, située à Lac-Mégantic, éprouve énormément de difficulté à recruter des ingénieurs. «C'est encore plus difficile de les amener ici, en région, dit-elle. Les diplômés se placent pratiquement tous dans leur région d'origine ou à Québec. Maintenant, il y a des ingénieurs forestiers dans toutes les MRC. Même si des emplois se sont perdus dans les pâtes et papiers, d'autres sont apparus. Quand on veut embaucher un ingénieur, il faut planifier pratiquement six mois à l'avance, et même plus.» Salaire moyen: 78 000$ Les conditions de travail ne sont certes pas en cause: un ingénieur forestier gagne en moyenne 78 000$ par an. Malgré cette rémunération alléchante, trop peu d'étudiants fréquentent les trois programmes en foresterie du Québec donnés à l'Université Laval. Présentement, une trentaine d'étudiants sont inscrits en aménagement et environnement forestier, une dizaine en opérations forestières et une quinzaine en génie du bois, indique Robert Beauregard, doyen de la faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l'Université Laval. En quinze ans, les inscriptions ont baissé de 60%. Selon M. Beauregard, l'apparition d'une foule de nouveaux programmes universitaires dans le domaine de l'environnement pourrait expliquer cette désaffection. Sans compter que l'industrie forestière a eu mauvaise presse auprès des candidats potentiels ces dernières années. «La crise forestière que l'on vit depuis cinq à sept ans qui tarde à se terminer a causé des fermetures d'usines de pâtes et papiers ou de sciage, ce qui donne à croire aux jeunes qu'il n'y a pas de débouchés dans ce domaine. D'autre part, divers événements ont causé du tort à la réputation environnementale de l'industrie, comme le film L'Erreur boréale, en 1999. Les jeunes sont davantage attirés par la protection de l'environnement que par sa gestion», dit Denis Villeneuve, président de l'Ordre. Or, malgré la crise forestière, le taux de chômage des ingénieurs forestiers est passé de 4% en 2002 à 1,4% en 2012. «Même s'il y a eu plusieurs fermetures d'usines, il en reste beaucoup en opération, et il y a une diversification d'employeurs. Il y a un peu moins d'ingénieurs forestiers qui travaillent dans l'industrie, mais on voit d'autres acteurs qui les embauchent maintenant, comme les Conseils régionaux des élus, les organismes de gestion de la faune, les ZEC et les pourvoiries, les associations de chasseurs et les organisations environnementales», dit Robert Beauregard. D'autre part, le travail d'ingénieur forestier a beaucoup évolué au cours des dernières années. «Ils continuent de faire une partie de leurs tâches traditionnelles, comme la planification des opérations forestières, la délimitation des aires de coupe, le calcul de la possibilité annuelle de volume de bois à récolter, dit M. Beauregard. Mais de nouvelles fonctions se sont ajoutées à cela, comme la gestion des bassins hydrographiques, la gestion du carbone, l'aménagement d'habitats fauniques. Le métier s'est beaucoup diversifié.» Pour mieux montrer cette nouvelle diversité du métier d'ingénieur forestier en 2013, l'Ordre lançait l'automne dernier des capsules vidéo. On peut les visionner au www.oifq.com      http://affaires.lapresse.ca/cv/201304/10/01-4639447-la-foret-quebecoise-en-manque-dingenieurs.php 

Sherbrooke, le programme de baccalauréat en pharmacologie allie une formation scientifique rigoureuse et une formation axée sur la pratique, répondant aux standards élevés de l'industrie pharmaceutique et biomédicale. Le programme se distingue notamment par l'option avantageuse du régime coopératif, par la qualité de l'encadrement fourni aux étudiants, par son programme d'appui à la réussite, et par l'étendue de l'expertise interdisciplinaire offerte, de la pharmacologie moléculaire à la pharmacologie clinique, en passant par les communications, la gestion et le marketing. L'Université vient de produire une vidéo dans laquelle des professeurs, la coordonnatrice du programme et des étudiants présentent leur formation et ses nombreux avantages. www.usherbrooke.ca/pharmacologie 

Des étudiantes et étudiants finissants au baccalauréat en kinésiologie innovent en développant une application web gratuite d’entraînement physique qui s’adresse à tous. KinApp, lancée officiellement le 9 avril, contient un programme d’entraînement musculaire et des capsules d’information sur des sujets comme l’alimentation et la prévention de blessures à l’effort. C’est dans un cours de gestion de projet que les 28 étudiants impliqués ont conçu le programme. www.usherbrooke.ca/orientation/vos-infolettres/nouvelles/nouvelles-details/article/21646


Nouveau laboratoire en 3D à l’UdeS : révolutionner l’enseignement et la recherche universitaires. La Faculté des sciences de l’Université de Sherbrooke lance son laboratoire de visualisation immersive (3D), un environnement virtuel en temps réel aux multiples possibilités innovatrices en recherche et développement multidisciplinaires. En plus d’offrir la visualisation immersive de scènes dynamiques, il permet une représentation spatiale de phénomènes en médecine, en ingénierie, en histoire, en psychologie, en éducation et en marketing, entre autres. www.usherbrooke.ca/sciences/accueil/nouvelles/nouvelles-details/article/21709

Des femmes de génie Les femmes se font rares en génie. Sur le marché du travail comme dans les universités, elles sont peu nombreuses. Encore aujourd’hui, elles semblent croire que le génie est une profession de gars.  À l’Ordre des ingénieurs du Québec, les femmes ne représentent que 13 % des membres. En 2002, cette proportion était de 10 % et en 1992, de 5 %. Les femmes progressent donc dans cette profession, mais à très petits pas. Dans l’ensemble des universités québécoises, leur présence est aussi timide. En 2010, les femmes représentaient seulement 16 % des étudiants inscrits dans tous les programmes de baccalauréat en génie. En 2012, 22 % des étudiants de premier cycle à l’École Polytechnique Montréal étaient des femmes, 19 % à l’Université Laval et 9 % à l’École de technologie supérieure.  Profession de gars?  «Les filles optent d’emblée pour un métier où elles vont aider et être utiles à la société. Elles ne perçoivent pas le génie comme faisant partie de cette liste», constate Nadia Ghazzali, titulaire de la Chaire CRSNG-Industrielle Alliance pour les femmes en sciences et génie au Québec. Le rôle social de la profession gagnerait à être davantage connu pour attirer plus de femmes.  Historiquement, le génie a toujours intéressé davantage les garçons que les filles, confirme Daniel Lebel, président de l’Ordre des ingénieurs du Québec. Celles qui penchent pour les sciences sont plus attirées par les sciences de la santé et les sciences humaines que par les sciences physiques et les mathématiques. «Elles ont des préoccupations plus humaines, sociales et environnementales.»  Ces préférences se reflètent dans les champs de pratique que les ingénieures en exercice choisissent d’investir. Actuellement, à l’Ordre, les femmes représentent 31 % des membres œuvrant en environnement, 27 % de ceux qui travaillent en santé et sécurité, 24 % des ingénieurs chimistes et 23 % des membres travaillant en génie biomédical. À l’Université Laval, les branches les plus populaires auprès des filles sont le génie alimentaire, des eaux, industriel, géologique, chimique et agroenvironnemental.  À l’École Polytechnique Montréal, en 2012, la moitié des étudiants inscrits en génie chimique étaient des filles. Elles représentaient aussi 48 % des étudiants en génie géologique et 47 % de ceux inscrits en génie biomédical. www.jobboom.com/carriere/des-femmes-de-genie

Inauguration de l'agrandissement du campus de Rouyn-Noranda de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue  www.uqat.ca/universite/medias/communiques/index.asp?RefCom=914

Devenir médecin... ou escalader l'Everest La Faculté de médecine de l'Université Laval forme différents experts de la santé: du médecin à l'orthophoniste, en passant par le kinésiologue ou le physiothérapeute. Le Soleil vous propose une incursion dans la réalité des médecins résidents et vous donne un aperçu des divers cursus offerts par la plus vieille faculté d'Amérique du Nord à donner une formation médicale en français. Être admis en médecine n'est pas simple. Chaque année, seuls 230 candidats sur les 2500 qui déposent une demande sont admis. «Et quand on commence la formation, on a l'impression d'être face à l'Everest», dit Marie-Hélène Cormier, médecin-résidente en médecine familiale (résidence d'une durée de deux ans). «Mais l'accompagnement et la formation sont très adéquats», pondère-t-elle. Rénald Bergeron, doyen de la Faculté de médecine de l'Université Laval, le confirme. «On est très fier de les accueillir et on a à coeur de leur donner le maximum pour qu'ils deviennent les professionnels dont la société a besoin. On les aide donc à absorber les connaissances, mais aussi les enjeux desquels ils seront responsables.» www.lapresse.ca/le-soleil/dossiers/la-sante-tout-un-monde/201304/04/01-4637756-devenir-medecin-ou-escalader-leverest.php

La méditation et le TDAH touchent des régions du cerveau qui se chevauchent. Les personnes qui pratiquent la méditation sont plus habiles à se concentrer sur une source d’information précise. Les adeptes de la méditation de pleine conscience possèderaient une plus grande épaisseur corticale dans des régions du cerveau responsables de la régulation de l'attention. Une partie de ces mêmes zones serait plus mince chez les individus souffrant d'un trouble déficitaire de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Des chercheurs de l'Université de Montréal et de l'Université McGill ont établi ce rapprochement qui fait l'objet d'un article publié dans la revue Biological Psychology.  «Cette recherche donne à penser qu'on aurait peut-être intérêt à procéder à des études cliniques bien contrôlées pour vérifier si des personnes aux prises avec un TDAH pourraient bénéficier des effets de la méditation. D'autant plus que des travaux à l'aide de l'imagerie fonctionnelle ont déjà montré que la méditation pourrait améliorer les capacités d'attention de gens qui ne présentent pas un tel déficit», estime Pierre Rainville, professeur au Département de stomatologie de l'UdeM et directeur du Laboratoire de recherche en neuropsychologie de la douleur. www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-sociales-psychologie/20130408-la-meditation-et-le-tdah-touchent-des-regions-du-cerveau-qui-se-chevauchent.html

Un boulot social
Il y a de l’avenir pour la relève dans le secteur de l’économie sociale. Déjà, plus de 42 % des employeurs interrogés en 2012 par le Comité sectoriel de main-d’œuvre de l’économie sociale et de l’action communautaire (CSMO-ÉSAC) ont indiqué avoir eu du mal à pourvoir des postes au cours des trois dernières années. De plus, la majorité d’entre eux prévoit une vague de départs à la retraite vers 2016. Signe de l’essor du secteur, le site spécialisé Engagés.ca a vu le jour il y a bientôt un an pour diffuser les offres d’emploi en économie sociale et en développement durable. www.jobboom.com/carriere/un-boulot-social/

Lancement du nouveau site Étudier à l’UQAM et d’une page d’accueil révisée. L'UQAM dévoile le nouveau site internet etudier.uqam.ca qui s'adresse aux étudiants et aux futurs étudiants de l'UQAM. La refonte du site Web, qui permet une navigation plus rapide et plus intuitive, vise à mieux répondre aux besoins des usagers en leur offrant dans un seul site intégré de l'information sur les 315 programmes offerts à l'UQAM aux trois cycles universitaires, tout en leur présentant un portrait global de l'Université et de ses particularités. www.uqam.ca

Admission à l'université : le passé criminel n'est pas pris en compte www.lapresse.ca/la-tribune/actualites/201304/19/01-4642802-admission-a-luniversite-le-passe-criminel-nest-pas-pris-en-compte.php   

Documentation
Chômage record en Espagne à plus de 27% La France elle aussi, en panne de croissance, pourrait atteindre son record en matière de chômage: les chiffres attendus dans la journée devraient battre le record de 1997, établi à 3,195 millions de sans-emploi. Face à l'urgence de la situation, le président François Hollande a appelé au «rassemblement du pays» autour de ce dossier «essentiel». Rapporté à la population active, le taux de chômage en France tourne en effet autour de 10,2% en métropole et 10,6% avec les Dom, mais les perspectives sont très pessimistes: le Fonds monétaire international (FMI) table sur une poursuite de la flambée, pour atteindre 11,6% (avec les Dom) en 2014. Le moteur de la croissance devrait y rester à l'arrêt au moins pour l'année en cours, le FMI prévoyant une contraction du produit intérieur brut de 0,1% cette année. En Espagne, quatrième économie de la zone euro, le chômage a bondi à la fin mars de plus d'un point, après 26,02% au dernier trimestre 2012: ce chiffre dément les propos optimistes tenus mercredi par Mariano Rajoy, qui avait prédit la hausse «la plus faible de ces dernières années». Le chiffre est «dramatique», a d'ailleurs reconnu la secrétaire d'État à l'Emploi, Engracia Hidalgo. Le pays de 47 millions d'habitants compte désormais 6 202 700 chômeurs, soit 237 400 personnes de plus qu'au trimestre précédent. L'Institut national de la statistique souligne que cette nouvelle flambée du chômage touche «presque toutes les tranches d'âge, particulièrement les 25-29 ans» qui perdent 69 900 emplois, et «presque toutes les régions», avec un record à 36,87% pour l'Andalousie. Très significatif d'une «fracture sociale» grandissante qui inquiète toutes les organisations humanitaires, le nombre de foyers dont tous les membres sont au chômage augmente lui aussi, à 1 906 100, sur un total de 17 millions de foyers http://affaires.lapresse.ca/economie/international/201304/25/01-4644402-chomage-record-en-espagne-a-plus-de-27.php .

Nouvelle date de formation CURSUS – En plus des dates déjà annoncées (voir calendrier ci-dessous), nous vous donnons un nouveau rendez-vous : le 5 juin 2013 à Longueuil!  Objectifs : s’approprier la démarche  (exploration par domaines et par famille), maîtriser les outils qui l’accompagnent (questionnaires et exercices proposés dans le guide) et expérimenter les stratégies existantes (scénarios, jeu de cartes et guide L’école et le monde du travail). Dates et lieux : 1er mai 2013 de 9h à 16h, Québec (Collègue Jésus-Marie de Sillery) 16 mai 2013 de 13 h à 15 h, en ligne (Thème : La démarche CURSUS) 22 mai 2013 de 13 h à 15 h, en ligne (Thème : Le jeu de cartes CURSUS) 28 mai 2013 de 13 h à 15 h, en ligne (Thème : L’école et le monde du travail) 5 juin 2013 de 9h à 16h, Longueuil (Université de Sherbrooke, campus de Longueuil) Tous les détails figurent dans l’offre de formation complète : www.septembre.com , section « Offre de formation ».

Qui dort apprend
Mozart aimait épater la galerie en faisant toutes sortes d'acrobaties au piano. Il parvenait à jouer parfaitement même s'il avait les yeux bandés ou si le clavier était recouvert de tissu. Il était aussi reconnu pour ses performances à l'envers, c'est-à-dire en faisant dos au piano. Comment arrivait-il à retrouver son doigté? Grâce à son génie, certes, mais aussi à l'aide de deux mécanismes propres à l'apprentissage des enchainements de mouvements, appelés séquences motrices: la représentation spatiale et la représentation motrice. «C'est la connaissance abstraite et physique des mouvements. Pour jouer à l'envers, avec un doigté différent, Mozart faisait donc appel à la représentation spatiale de ses pièces», explique Geneviève Albouy. Cette stagiaire postdoctorale fait partie d'un groupe de chercheurs de l'Université de Montréal qui ont découvert que le sommeil influence la consolidation de ce type de représentation. En effet, une sieste de 90 minutes améliorerait les performances motrices de sujets qui ont appris au moyen de la représentation spatiale. www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-sociales-psychologie/20130422-qui-dort-apprend.html

Métier : promeneur de chiens
Kyle Bartlett, promeneur de chiens, Le chien urbain. Je promène entre 15 et 20 chiens par jour, principalement dans le Plateau-Mont-Royal, Hochelaga-Maisonneuve, le Vieux-Port et près du marché Jean-Talon. J’ai fondé mon entreprise il y a quatre ans, après avoir terminé des études en urbanisme.  Une promenade coûte de 15 à 20 $. J’en offre trois types : les pauses pipi, les marches de 30 à 45 minutes et les sorties «aventure» de 60 minutes et plus, sur le mont Royal ou près du canal Lachine.  Pour minimiser les risques d’accrochage avec d’autres bêtes, je ne fréquente pas les parcs à chiens. Mes chiens sont toujours attachés et je n’en promène jamais plus que six à la fois. Sinon, j’aurais du mal à les contrôler et ça pourrait devenir dangereux. D’ailleurs, à Toronto, une loi interdit de promener plus de six chiens en même temps.  J’ai toujours avec moi : ma laisse maîtresse – que je porte en bandoulière et à laquelle tous les chiens sont attachés, afin d’avoir les mains libres –, des friandises, de l’eau, des souliers imperméables et beaucoup, beaucoup de sacs pour ramasser les crottes. J’ai déjà ramassé plus d’excréments que je pensais le faire dans toute ma vie.  Les gens me confient leur animal et les clés de leur maison. Ce n’est pas rien! J’ai une police d’assurance spécialement conçue pour les promeneurs de chiens – qui couvre les frais de vétérinaire en cas d’accident, par exemple – et une preuve que je n’ai pas d’antécédents judiciaires. Ça aide à gagner la confiance.  J’envoie un rapport écrit à mes clients après chaque promenade. Je leur dis si le chien a fait ses besoins, comment il s’est comporté et les variations dans son état de santé quand j’en remarque.  Au fil des ans, j’ai travaillé avec une centaine d’animaux, du chihuahua au grand danois. Je ne discrimine ni sur la taille ni sur la race : les seuls que je refuse, ce sont les chiens agressifs.  Je ne suis pas un dresseur, mais je suis devenu très habile. Certains maîtres sont jaloux de voir que leur chien m’obéit mieux qu’à eux!  Pendant la journée, les chiens sont mes seuls compagnons. Je m’attache beaucoup à eux. J’essaie de ne pas faire de favoritisme, mais certains me plaisent plus que d’autres – en général, ceux qui sont les mieux élevés! Le plus difficile, c’est quand ils déménagent ou doivent être euthanasiés. Heureusement, ça n’arrive pas souvent. www.jobboom.com/carriere/metier-promeneur-de-chiens

De la lecture à la pratique ... INTERVENIR EN SANTÉ MENTALE Compte-rendu de l'ouvrage L’intervention en santé mentale, Québec : Fides Fortin, B., (2006) Amélie Lesage-Avon Finissante à la maîtrise en carriérologie, UQÀM http://orientationpourtous.blogspot.ca/2013/04/de-la-lecture-la-pratique-intervenir-en.html

Sexologue belge Dr Iv Psalti, docteur en sciences biomédicales, qui sera à Montréal du 23 au 26 mai pour une formation (accréditée par l'OPQ) sur la sexualité féminine et masculine et dont vous trouverez tous les détails à http://optionsante.com/FPSA_2012.pdf Yvon Dallaire, psychologue et auteur yvondallaire@optionsante.com  www.yvondallaire.com  www.coupleheureux.com

Négocier son salaire comme un pro Vous faites de l’urticaire juste à y penser. Mais si vous changez d’emploi, de grâce, négociez votre salaire! Les travailleurs qui négocient ajoutent en moyenne 5 000 $ à leur rémunération annuelle, selon une étude réalisée par des chercheurs américains il y a quelques années. L’embauche est le meilleur moment pour le faire : une fois en poste, vos augmentations seront limitées par les politiques de rémunération de l’entreprise. Avant de négocier, tentez d’en apprendre le plus possible sur les conditions salariales dans l’industrie, dans la région et pour le poste en question. Consultez les enquêtes de rémunération et l’association ou l’ordre professionnel approprié, par exemple. Présentez votre demande comme un investissement. Questionnez l’employeur potentiel sur les défis liés au poste. Montrez que vous serez en mesure de les relever grâce à votre expérience. L’argent demandé sera alors perçu par l’employeur comme un investissement. Mais attention, plus vous promettez, plus les attentes seront élevées!
Évitez de parler le premier. Le patron vous demandera certainement d’annoncer vos couleurs. Résistez! Sinon, vous pourriez viser trop bas. Et – surprise! – votre demande correspondra à son offre. Expliquez plutôt que vous désirez une rémunération équitable par rapport à vos collègues, à vos subordonnés et à l’échelle salariale, et qu’il est mieux placé que vous pour faire une proposition juste. Donnez une fourchette large. S’il insiste pour que vous dévoiliez vos attentes, évitez à tout prix de donner un seul chiffre. Dites plutôt qu’elles varient selon un ensemble de facteurs (bonification, avantages sociaux, etc.) et fixez une fourchette très large. www.jobboom.com/carriere/negocier-son-salaire-comme-un-pro/



Dopage à l’Everest Dans l’univers de la montagne, c’était un secret de Polichinelle. Mais il aura fallu que le légendaire alpiniste Reinhold Messner ne le dise tout haut pour que le dopage sur les plus hauts sommets du monde ne soit finalement dénoncé. http://blogues.lapresse.ca/massicotte/2013/04/24/dopage-a-leverest/

Les sectes très actives auprès des personnes âgées et dans les formations de développement personnel www.psychomedia.qc.ca/sectes/2013-04-25/miviludes-personnes-agees-developpement-personnel

Un excès d'optimisme impliqué dans le jeu pathologique. Les joueurs pathologiques souffrent d'un biais d'optimisme qui modifie leur représentation des probabilités et qui influence leurs décisions, selon une étude française publiée dans la revue Psychological Medicine. Cette caractéristique aide à expliquer et à anticiper la vulnérabilité de certaines personnes face aux jeux d'argent. www.psychomedia.qc.ca/jeu-pathologique/2013-04-25/exces-d-optimisme
  

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À noter à votre agenda
 
La direction de l’UQAT est heureuse de vous accueillir pour le Xe congrès de l’ACOC en 2013 (28 au 31 mai, à la même semaine que le Festival des Guitares du Monde en Abitibi-Témiscamingue) ANNE-MARIE NADEAU Agente de recrutement Service des communications et du recrutement Campus de Rouyn-Noranda Anne-Marie.Nadeau@uqat.ca   Osez l’Abitibi-Témiscamingue lors du Xe Congrès de l’ACOC.  C’est avec plaisir et fébrilité que l’équipe du Service des communications et du recrutement vous attend pour vous faire connaître notre université, mais surtout, pour vous faire vivre l’expérience UQAT! Le nord-ouest du Québec regorge de beautés et de trésors peu connus.  Profitez du congrès de l’ACOC pour découvrir ce qui se cache de l’autre côté du Parc De La Vérendrye. Avant-goût de la programmation : expérimentation du studio MoCap; La culture autochtone; L’art-thérapie; Visite minière; Festival des guitares du monde en Abitibi-Témiscamingue; Les défis d'orientation durant la transition au collégialet plus encore! www.uqat.ca/acoc2013   

C'est officiel: l'OCCOQ recevra le Congrès mondial de l'Association internationale d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec du 3 au 5 juin 2014.


Bruno Tremblay, c.o. conseiller aux communications de l'ACOC acocinfo@gmail.com

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