13 décembre 2006

V 5 No 19: Enquête auprès d'élèves du 2e cycle

Le Conseil exécutif de l’ACOC vous souhaite de passer de belles et heureuses fêtes!
Diane Fortin, trésorière c.o. au Cégep de Chicoutimi, Nathalie Houde, conseillère c.o. au Cégep de Jonquière, Philippe Brosseau, président c.o. au Cégep de St-Jérôme, Steeve Villeneuve, vice-président c.o. au Cégep de St-Félicien, Bruno Tremblay, secrétaire c.o. au Cégep Limoilou. Hélène Trudeau (au centre), c.o. au Cégep St-Jean-sur-Richelieu, assurait la présidence de l'Association depuis sa fondation, il y a 5 ans.

Vous pourriez lire dans le bulletin Academos de décembre www.academos.qc.ca/ :
Enquête du ministère de l’Éducation, du loisir et du sport, réalisée auprès de 14 000 élèves de 2e cycle du secondaire et publiée en 2005. Aspirations scolaires des élèves Les élèves ont en général des aspirations scolaires élevées. En effet, ils souhaitent majoritairement obtenir un diplôme universitaire (55%) ou un diplôme d’études collégial (DEC) technique (26%). 15% d’entre eux visent plutôt l’obtention d’un diplôme d’études professionnelles (DEP). Fait intéressant, les aspirations des jeunes sont fortement reliées à leur réussite scolaire actuelle : les élèves qui réussissent bien à l’école ont des aspirations plus élevées. Projets professionnels De façon générale, les élèves de 3e, 4e et 5e secondaire ont déjà une idée du métier qu’ils veulent exercer. 83% des élèves interrogés dans l’enquête savaient quel métier ils aimeraient exercer plus tard. Les métiers les plus populaires sont dans les domaines suivants : les sciences sociales et l’enseignement (21%), la santé (20%), les arts, culture, sports et loisirs (17%), les sciences naturelles et appliquées (16%) et les ventes et services (11%). Les autres grands domaines (gestion, affaires finances et administration; transports et machinerie; secteur primaire) intéressaient tous moins de 10% des élèves. La perception du marché du travail est relativement la même pour les garçons et les filles. La plupart considèrent que les atouts pour trouver un emploi sont, dans l’ordre : la débrouillardise, le diplôme, avoir des contacts et poursuivre ses études. En qui ont-ils confiance pour faire leur choix de carrière? Les élèves font d’abord confiance à leurs parents (mère 65% et père 51%). Ensuite, 43% des élèves disent avoir beaucoup confiance à une personne qui exerce le métier qui les intéresse pour les guider dans leur choix de carrière. C’est plus que les professionnels de l’orientation (27%) et que leurs enseignants (17%)! Que trouvent-ils important de connaître avant de faire un choix de carrière? Les choix mentionnés le plus souvent sont ceux-ci : • La description (nature) du métier (70%) • Les possibilités d’emploi (58%) • Les conditions de travail (horaire, sécurité) (49%) • La possibilité d’avoir des contacts avec des gens (42%) • La rémunération (38%) • L’endroit du travail (extérieur, intérieur, bureau, usine) (37%) Ministère de l'Éducation du Québec (2005). Regard sur la formation professionnelle. Une enquête auprès d'élèves du 2e cycle du secondaire. www.mels.gouv.qc.ca/stat/recherche/index.htm

Passage Secondaire-Collégial Entrevue avec Michèle Gingras, co-auteure de Passage secondaire-collégial: caractéristiques étudiantes et rendement scolaire, dix ans plus tard. Pour écouter (émission du 20 novembre) www.radio-canada.ca/regions/Ottawa/radio/Sitems/Index.asp?pk_region=5&id=192&IDEmissionFR=398&IDCat=6&leMois1=2006/11&sub=..%2F..%2F
Les cégépiens n’étudient pas assez, démontre une étude
Pour réussir au cégep, un étudiant devrait consacrer une vingtaine d’heures par semaine au travail à la maison. Mais en terminant le secondaire, la majorité des jeunes limitent à une petite heure par jour le temps passé le nez dans leurs bouquins. Pas surprenant que la transition vers le collégial ne soit pas toujours de tout repos. En 1992, près de 70 % des élèves déclaraient étudier huit heures ou moins par semaine. Dix ans plus tard, la proportion a grimpé jusqu’à 75 %. www.cyberpresse.ca/article/20061113/CPSOLEIL/61113275/5223/CPSOLEIL

Les sciences abandonnées trop tôt
Un trop grand nombre d’étudiants abandonnent les disciplines scientifiques avant d’avoir complété leur parcours, ont constaté les participants au colloque sur la relève scientifique. Avant d’attirer un plus grand nombre de jeunes vers ces disciplines, il faudrait peut-être trouver le moyen de garder ceux qui sont déjà inscrits, a expliqué Simon Larose, professeur à la faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval. « À peu près 30 % de ceux qui s’inscrivent en sciences au collégial ne termineront pas dans cette discipline. Le taux est encore plus élevé en techniques biologiques et il atteint 50 % en techniques physiques. » Ses recherches ont par ailleurs montré que la qualité de la pédagogie ne joue pas un rôle aussi important que la disponibilité de l’enseignant en dehors des heures de cours par exemple. Mais le premier facteur semble être l’indécision que l’élève entretient quant à son choix de carrière. « Il faut accentuer la présence et la qualité de l’accompagnement vocationnel et scolaire. Il faut aussi procurer des occasions de développer une culture générale des sciences, par des visites au musée ou des lectures de revues de vulgarisation scientifique. » La proportion de femmes qui choisissent les sciences et le génie continue de reculer au Québec comme dans le reste du Canada et aux États-Unis, affirme Claire Deschênes, professeure au département de génie mécanique de l’Université Laval. « On a observé la même tendance à la baisse au Québec entre 1999 et 2005, et cette baisse se poursuit. Pendant que le nombre des hommes augmentait de 7 %, on observait une diminution de 13 % des femmes en sciences et génie. En Ontario, la proportion des femmes en sciences et génie a déjà été de 22 %, mais maintenant elle est retombée à 13 % », déplore-t-elle. Ce désintérêt des femmes envers ce bastion traditionnellement masculin explique d’ailleurs son recul par rapport aux autres disciplines. Pendant la même période, les inscriptions totales aux universités ont augmenté deux fois plus que celles en sciences et génie. À l’inverse, le nombre d’inscriptions en sciences de la santé a augmenté, lui, de 45 %. www.cyberpresse.ca/article/20061020/CPSOLEIL/61020184/5223/CPSOLEIL

La dépression est un facteur de décrochage scolaire Les travaux de Cintia Quiroga ont montré une différence intersexe inattendue Aux nombreux facteurs connus susceptibles d’entrainer le décrochage scolaire, il faut maintenant en ajouter un nouveau: les sentiments dépressifs. C’est ce qu’ont permis de mesurer pour la première fois les travaux de Cintia Quiroga, doctorante au Département de psychologie. «Jusqu’ici, les recherches sur le décrochage scolaire se sont surtout penchées sur les comportements extériorisés comme l’indiscipline, la délinquance ou la consommation de drogue, explique la chercheuse. C’est peut-être parce que ces comportements sont plus dérangeants qu’on s’y est d’abord intéressé et qu’on a délaissé les troubles intériorisés comme la dépression.» Les chercheurs commencent à prendre en considération les effets de ces troubles intériorisés sur la réussite scolaire. Certaines études ont traité des liens entre la dépression, la motivation et le rendement scolaire, mais l’étude longitudinale de Cintia Quiroga est la première à avoir montré que la dépression est aussi un facteur de décrochage. Cintia Quiroga a suivi pendant 15 mois 139 adolescents âgés de 12 à 18 ans, issus de milieux défavorisés et présentant un haut risque de décrochage. Des mesures de l’état dépressif ont été prises à trois occasions. Du nombre, 39 (soit 28 %) avaient décroché au terme de la période d’observation. Près de la moitié d’entre eux sont retournés aux études à un moment ou à un autre, mais ont décroché de nouveau par la suite. On considère comme un décrocheur tout élève qui s’absente de l’école sans motif pendant trois semaines consécutives. Une fois retranché l’effet des facteurs socioéconomiques (revenus, scolarité des parents, retard scolaire, délinquance, etc.), la probabilité qu’un élève dépressif décroche est de 1,66 fois plus élevée que celle d’un élève non dépressif de même condition socioéconomique. Plus le sentiment dépressif est marqué, plus le facteur de risque de décrochage est grand: la probabilité de décrochage est de 33 % chez les garçons très dépressifs, mais seulement de 3 % chez les garçons où les sentiments dépressifs sont faibles.www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20061211/R_2.html

Les emplois de professeurs d'université de plus en plus accessibles
Longtemps réservés à l'élite académique, les emplois de professeurs d'université sont maintenant de plus en plus accessibles, partout au pays. Selon une nouvelle étude de Statistique Canada, les universités du pays ont engagé 30 % plus de professeurs au cours des cinq dernières années. En comparaison, les postes d'enseignants au primaire et au secondaire n'ont augmenté que de 9 % durant la même période. Cette hausse considérable du nombre d'embauches dans les universités est en grande partie attribuable au fait que les jeunes sont de plus en plus nombreux à poursuivre de longues études. Depuis 2005, la population postsecondaire a grimpé de 9 %. Pendant ce temps, dans les écoles primaires, la situation est bien différente, puisque la clientèle diminue lentement. Depuis 1999, la population d'élèves d'âge scolaire a diminué de 1 %. «Les enfants des baby-boomers laissent derrière eux des sièges vides dans les écoles primaires», explique Statistique Canada. Dans son enquête, l'organisme a déterminé que le nombre total d'enseignants au pays est passé de 457 000 en 1999 à 502 000 en 2005. Près des trois quarts d'entre eux travaillent dans des écoles primaires et secondaires, alors que 15 % le font dans des établissements collégiaux et 12 % à l'université. www.cyberpresse.ca/article/20061204/CPACTUALITES/612040715/5358/CPPRESSE

Agir pour renforcer la démocratie scolaire (2005-2006) www.cse.gouv.qc.ca/.
Néanmoins, le Conseil est aussi d’avis que si, en dépit des efforts déployés, le faible taux de participation électorale devait se maintenir, le débat méritera d’être rouvert, cette fois pour trouver, ni plus ni moins, une solution de rechange viable au gouvernement scolaire. page 70

Accommodements raisonnables: il y a rupture du lien de confiance
Les demandeurs d’accommodements religieux risquent d’utiliser les tribunaux jusqu’à l’extrême limite, craint Rachida Azdouz. Après le hidjab (foulard couvrant les cheveux, les oreilles et le cou), c’est au tour du tchador iranien (ou niqab égyptien) de faire son apparition dans les rues montréalaises. Dans l’arrondissement de Saint-Laurent, des femmes portent même la burqa afghane, qui cache les yeux derrière un grillage. Tout n’a pas été dit sur les accommodements raisonnables, notamment par ceux-là mêmes qui travaillent sur le concept. Selon Rachida Azdouz, spécialiste des relations interculturelles et vice-doyenne aux études et au développement à la Faculté de l’éducation permanente, les évènements qui ont marqué l’actualité récemment montrent la nécessité d’un débat de fond qui doit être pris en charge par la société civile et non être laissé aux seuls juristes. Psychologue de formation, Mme Azdouz participait il y a deux semaines à un «débat croisé» sur l’intégration des immigrants en France et au Québec organisé par la Délégation du Québec à Paris. À son avis, la notion d’accommodement doit être révisée et bonifiée à partir d’une réaffirmation des acquis de la modernité et d’un nouveau consensus à établir à l’égard du pluralisme. Le problème: les accommodements religieux «Mettons tout de suite au clair que la controverse ne porte que sur les accommodements pour raisons religieuses, précise-t-elle d’emblée. Ce qui doit être remis en question, ce n’est pas le principe d’accommodement comme tel, mais la définition du raisonnable en contexte religieux.» «Ces causes nous ont fait prendre conscience que, si aucune limite n’est imposée aux groupes religieux orthodoxes, ils utiliseront les tribunaux jusqu’à l’extrême, mentionne-t-elle. La population réalise que ce sont les tribunaux qui gèrent la vie sociale et qu’il y a là un risque grave de dérive.» Les contacts qu’elle maintient avec certaines communautés lui permettent de confirmer ce que bien des gens pensent: certains demandeurs visent principalement à occuper l’espace politique. www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20061204/AU_4.html

Fébrilité étudiante : Du charme et de la détermination
Simon Ducharme, étudiant en médecine, pourrait choisir la psychiatrie, la médecine interne ou la neurologie. À la Clinique Mayo, la cravate est de mise. Au moment de l’entrevue avec Forum, Simon Ducharme était dans un état de rare fébrilité: il entamait un stage à l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal et il venait de recevoir l’évaluation de son travail à la suite d’un séjour d’études effectué, plus tôt au cours du trimestre, à la Clinique Mayo de Rochester, berceau de la médecine vasculaire en Amérique. Considéré par des médecins de cet établissement privé américain de soins médicaux et de recherche comme un des plus brillants étudiants depuis les 10 dernières années, le jeune homme de 24 ans qui termine sa quatrième année de médecine a même été décrit par plusieurs professeurs de la Faculté comme un étudiant «hors du commun». Pas étonnant qu’il ait reçu pendant trois années consécutives une bourse d’excellence au mérite. Simon Ducharme n’a que 19 ans lorsqu’il entre à l’Université de Montréal, où il s’inscrit d’abord à la Faculté de droit et y poursuit des études pendant un an. Au cours de cette période, il décroche trois prix pour l’excellence de son dossier scolaire, dont le prix Lord Reading. Finalement, il orientera ses études vers la médecine. «Je m’intéresse à plein de domaines, mais j’aime surtout ce qui est appliqué. C’est un peu ce qui m’a amené à entreprendre des études de médecine», révèle le jeune homme. www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20061120/AU_5.html

À défaut d'avoir sufisamment d'économies à la retraite
Sept boomers sur dix estiment qu'ils ne prévoient pas avoir suffisamment d'économies pour leur retraite. Toutefois, une majorité, soit huit sur dix, se disent prêts à continuer à travailler afin de pallier au manque à gagner. C'est ce qu'indique un sondage d'Ipsos Reid réalisé pour BMO Groupe financier. "Cette propension à différer le départ à la retraite est conforme aux résultats de la précédente étude que nous avions faite. La majorité des baby-boomers voit la retraite comme un passage progressif du travail à temps plein à une retraite à temps plein, plutôt qu'un point tournant de l'existence. C'est pourquoi ils ne voient pas toujours la nécessité de planifier rigoureusement quelque chose dont l'avènement leur paraît très lointain", signale BMO. De façon plus précise, 46% des baby-boomers ne pensent pas être en bonne voie d'avoir suffisamment d'économies pour leur retraite, alors que 24% ignorent s'ils sont en bonne voie d'avoir suffisamment d'économies pour leur retraite. Parmi ceux qui disent ne pas avoir suffisamment épargné pour leur retraite, 58% affirment qu'ils renonceraient à avoir une résidence secondaire, 51% qu'ils renonceraient à faire des voyages, 46% qu'ils refinanceraient leur maison ou qu'ils en changeraient pour prendre une maison moins grande, et 25%, qu'ils se passeraient d'automobile. Le sondage a rejoint 1 066 individus de 45 à 60 ans. www.finance-investissement.com/client/fr/News/DetailNews.asp?Id=10329&IdSection=2&cat=2

Les gens progressent peu ou pas... pourquoi?
Avez-vous déjà remarqué qu'au fil des ans, la très grande majorité des gens changent très peu, que ce soit dans leur carrière, dans leur échelon salarial ou dans leurs habitudes de vie? Par contre, il y a des gens, beaucoup moins nombreux, qui ont une ascension incroyable dans leur carrière, leurs revenus et leur qualité de vie. Revenons à cette minorité qui évolue de façon remarquable. Qu’est-ce que ces gens font de différent de ceux qui stagnent pour obtenir des résultats exceptionnels, pour se développer rapidement et pour finalement grimper les échelons de la prospérité à la vitesse de l’éclair? La réponse à cette question, c’est que ces élites de la société accomplissent des tâches qui leur font peur, qui les sortent de leur zone de confort et qui les obligent à se surpasser. Ils font des choses que la majorité des gens n’osent pas faire, c'est-à-dire qu’ils exécutent les choses différemment. Cette façon d’agir leur impose d’être courageux. Comme tout le monde, ils ont peur de tomber, d’avoir l’air ridicule ou de se faire mal, mais ils foncent quand même sans savoir à quel point ils s’en sortiront amochés. Ils estiment que la probabilité qu’ils s’écrasent est forte et que la possibilité de subir un échec est bien présente, mais ils ne se laissent pas intimider ou arrêter lorsqu’ils prennent une nouvelle initiative. S’ils croulent, ils savent qu’ils devront se relever et conséquemment, leur apprentissage n’en sera que plus grand. Pour évoluer, vous devez avoir le cran d’exécuter les actions que vous redoutez et d’utiliser toutes vos forces pour vous redresser lorsque vous trébucherez. www.lesaffaires.com/fr/PME/detail.asp?id=247164&id_section=476

Formation théâtrale Cette page regroupe des ressources Internet qui permettent d'accéder aux programmes des écoles de théâtre au Québec, au Canada et à travers le monde, ainsi que de consulter de l'information sur la formation théâtrale ou l'enseignement du théâtre. www.bibliotheques.uqam.ca/recherche/thematiques/theatre/ecoles.html

Profession : bibliothécaire
Futurs bibliothécaires, ne ratez pas le site de la Corporation des bibliothécaires professionnels du Québec. On y découvre notamment les fonctions associées à cette profession et les divers milieux de travail possibles (il n'y a pas que les bibliothèques traditionnelles!). Le site Web de la Corporation présente aussi les programmes de perfectionnement pertinents et la rémunération offerte aux professionnels du domaine. www.cbpq.qc.ca/actualites/actualites.html

Une première dans le réseau des cégeps québécois : Deux collèges partagent une autorisation de programme de DEC en Techniques d'éducation à l'enfance
Dans le cadre d'une entente historique, le Cégep de Saint-Jérôme et le Cégep@distance offriront conjointement un programme de diplôme d'études collégiales (DEC) en Techniques d'éducation à l'enfance dispensé entièrement à distance. Ce nouveau DEC, développé à l'intention des travailleuses et des travailleurs en milieu de garde, leur permettra de répondre aux nouvelles règles sur la qualification du personnel de garde, édictées par le ministère de la Famille, des Aînés et de la Condition féminine le 31 août 2006. Il leur sera désormais possible d'entreprendre ou de compléter leur formation de technicienne ou technicien en éducation à l'enfance à leur propre rythme et sans sacrifier leur emploi. www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=60493&B=1

L'Ouest canadien en français Pas besoin d'être parfaitement bilingue pour faire un voyage dans l'Ouest canadien. De nombreux Québécois sont établis près ou au-delà des Rocheuses. Ils s'ajoutent aux descendants, toujours francophones, des colons venus du Québec. Jusqu'à l'extrémité ouest de la Transcanadienne, ici et là, des entreprises et attraits touristiques offrent des services en français. Certains Québécois migrent vers le Sud en hiver, d'autres empruntent la Transcanadienne pour aller travailler, mais surtout skier dans l'Ouest. Plusieurs viennent pour quelques semaines ou quelques mois et restent plus longtemps que prévu. Pour Sylvie Grégoire, copropriétaire du restaurant Chez François avec son conjoint et chef Jean-François Gouin, novembre à Canmore coïncide avec l'arrivée de nombreux Québécois, qui chercheront du travail. «L'été, aussi, il y en a beaucoup, mais en novembre, ce sont des adeptes de ski qui arrivent», dit Mme Grégoire. www.cyberpresse.ca/article/20061208/CPVOYAGES/612020974/0

Les technologues forestiers : un savoir-faire recherché
" Je suis désolée, mais n'avons plus de technologues forestiers… Tous nos jeunes diplômés ont déjà un emploi. " C'est ce que doit généralement répondre Madame Yvette Jean Bernier, enseignante en Technologie forestière au Cégep de Baie-Comeau et coordonnatrice du département, aux employeurs qui frappent à sa porte. Selon une enquête réalisée en mai dernier par le Cégep de Baie-Comeau auprès des employeurs de la Côte-Nord, près de 150 emplois dans le domaine des technologies forestières seraient encore vacants. D'autres régions, comme l'Abitibi-Témiscamingue et le Nord-du-Québec, sont également sérieusement touchées par la vague des départs à la retraite. www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/les-technologues-forestiers-savoir-faire-recherche-6281.html

Statistiques d’admission aux programmes de ler cycle – Baccalauréat et M.D. à temps complet pour l’automne 2006. Vous pouvez avoir accès à ces données en visitant le site web de l’Université de Sherbrooke à : www.usherbrooke.ca/admission/statistiques.html

L'essayer, c'est l'adopter ... www.etsmtl.ca/info À mettre dans vos favoris! Ce lien est hébergé par l’ETS.
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Du nouveau sur notre site, l’admission universitaire www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915
Raymond Jean, c.o. Webmestre

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Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC ACOC@videotron.ca

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