30 septembre 2013

V 12 No 5: L'ordre des sexologues

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
(860 membres, 12e saison du bulletin électronique)
Vallée de la Jacques-Cartier (septembre 2013)

Cultiver son jardin… en ville!
Les Urbainculteurs http://urbainculteurs.org

L’Ordre célèbre cette année son cinquantième anniversaire. 
C’est le 11 juillet 1963, en effet que
 l’Assemblée législative québécoise créait la 
Corporation des conseillers d’orientation professionnelle du Québec par l’adoption du Bill 201.
Un an plus tard, tel que recommandé par la Commission royale d’enquête sur l’éducation (Rapport Parent), le 1er ministère de l’Éducation du Québec allait faire de l’orientation la
pierre angulaire du nouveau système d’éducation. C’était en 1965. 
C’était le début d’un temps nouveau…Depuis, l’organisme est devenu 
l’Ordre des conseillers et conseillères d’orientation du Québec 
et les services des conseillers d’orientation (c.o.)
se déploient dans plusieurs secteurs :
éducation, employabilité, communautaire, 
réadaptation, organisation
 Plusieurs conseillers d’orientation exercent en pratique privée

Section Nouvelles
Admission universitaire hiver 2014
Programmes universitaires ouverts hiver 2014
Portes ouvertes universitaires
Présentations de Dialogue 2013
Un poste de c.o. et un poste d'api
Journée de concertation CAPRES : Étudiants postsecondaires présentant un trouble de santé mentale ou un trouble neurocognitif (TA, TSA, TDAH)

D'autres outils pour aider nos clients Asperger (TSA) à s'exprimer Dans mon billet du 24 mai 2013, je suggérais des façons pour aider nos clients ayant un trouble du spectre de l'autisme (TSA, Asperger, TED...) à s'exprimer. En voici une autre. Comme je l'évoquais, les personnes TSA sont capables d’introspection. Toutefois, il leur est très difficile de nous communiquer cette introspection. Dans son ouvrage Syndrome d’Asperger : Guide Complet(1), Tony Attwood nous suggère d’utiliser des exercices projectifs composés de phrases trouées afin d’aider les personnes Asperger à exprimer ce qu’elles connaissent d’elles-mêmes. Je me suis inspirée de cette suggestion pour me fabriquer un bref questionnaire que j’utilise dans une première ou deuxième rencontre d’orientation avec un étudiant TSA qui m'apparait particulièrement non-verbal et moins mature. En 10 questions trouées, j’explore la perception qu’a l’étudiant de ses forces et ses limites en le mettant en situation concrète. Par exemple : Je me sens nerveux lorsque…; J’aime lorsque les autres font …. ; Je me sens … lorsque je dois travailler en équipe; etc. Pour consulter la a suite, allez sur le blogue  Émilie Robert c.o.

Journées de concertation sur les  Étudiants postsecondaires présentant un trouble de santé mentale ou un trouble neurocognitif (TA, TSA, TDAH)  De la transition à l’orientation scolaire 12 et 13 novembre 2013,  Québec  www.uquebec.ca/capres/Agenda/2012-2013/ESHE-Information.pdf

La pratique des sexologues est maintenant encadrée par le système professionnel québécois. Le ministre de la Justice et ministre responsable de l'application des lois professionnelles, monsieur Bertrand St-Arnaud, est heureux d'annoncer la création de l'Ordre professionnel des sexologues du Québec. « Dorénavant, seuls les membres du nouvel Ordre professionnel des sexologues du Québec pourront utiliser le titre de « sexologue », qui leur est réservé par lettres patentes délivrées par le gouvernement. Notre gouvernement a voulu que les citoyens qui consultent des sexologues puissent bénéficier des garanties de compétence, d'intégrité et de responsabilité que le système professionnel offre », a déclaré le ministre. Globalement, le champ des activités professionnelles que les sexologues peuvent exercer a trait à l'évaluation du comportement et du développement sexuels de la personne, ainsi qu'aux interventions et traitements dans le but de favoriser un meilleur équilibre sexuel chez l'être humain en interaction avec son environnement. De plus, en vue de la protection du public, certaines activités professionnelles à haut risque de préjudice pour le public et relatives au champ d'exercice professionnel ont été réservées aux membres de l'Ordre. Rappelons que l'encadrement professionnel des sexologues s'inscrit dans la foulée du rapport Trudeau et de la Loi modifiant le Code des professions et d'autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et des relations humaines. Celle-ci a notamment mis à jour les champs d'exercice professionnel et réservé des activités à haut risque de préjudice aux conseillers d'orientation, aux ergothérapeutes, aux orthophonistes et audiologistes, aux psychoéducateurs, aux psychologues ainsi qu'aux travailleurs sociaux et thérapeutes conjugaux et familiaux. Quant au président de l'Office des professions du Québec, M. Jean Paul Dutrisac, il veut souligner les gains obtenus par l'encadrement professionnel des sexologues à l'égard de la protection du public. Par la création de l'Ordre professionnel des sexologues, ses membres seront notamment soumis aux mécanismes disciplinaires, aux exigences de formation initiale et continue, à l'inspection professionnelle ainsi qu'à des règles déontologiques. www.opq.gouv.qc.ca/actualites/communiques/detail/article/la-pratique-des-sexologues-est-maintenant-encadree-par-le-systeme-professionnel-quebecois/?no_cache=1 Site de l'ordre www.opsq.org Activités réservées  www.opq.gouv.qc.ca/fileadmin/documents/Ordres_professionnels/sexologue.pdf Communiqué http://webvideosolution.com/~opsq/wp-content/uploads/2013/09/OPQSQ_communiqu%C3%A9-du-25-septembre-2013.pdf  L'Ordre professionnel des sexologues du Québec a été créé www.psychomedia.qc.ca/sexologie/2013-09-26/ordre-professionnel-des-sexologues-du-quebec

Les massothérapeutes du Québec prennent leur avenir en main. Il n'y a aucune raison valable de créer un ordre professionnel des massothérapeutes au Québec, d'intégrer les massothérapeutes à un ordre professionnel existant dans un champ d'exercices connexe ou encore d'établir par une loi habilitante un seul organisme dédié à régir sa pratique et ses conditions d'encadrement. C'est le principal message du mémoire soumis aujourd'hui à l'Office des professions du Québec par l'Association professionnelle des massothérapeutes spécialisés du Québec, Mon Réseau Plus, en collaboration avec le Centre de recherche sur les applications thérapeutiques du toucher (C.R.A.T.T.) et le réseau des écoles de l'Académie de Massage Scientifique. Intitulé « Les massothérapeutes du Québec prennent leur avenir en main », ce mémoire fait la démonstration que la situation de la massothérapie au Québec, examinée sous des énoncés du Code des professions, n'évoque aucun véritable motif qui justifierait une nécessité d'encadrement de la profession par un ordre professionnel. « Contrairement aux perceptions et constats qui sont véhiculés pour justifier l'imposition d'un ordre professionnel aux massothérapeutes, cela est même contradictoire aux désirs des professionnels du milieu selon les résultats d'une étude d'un organisme relevant d'Emploi-Québec », affirme Martin Vallée, président-directeur général de l'Association professionnelle des massothérapeutes spécialisés du Québec, Mon Réseau Plus. Lorsqu'on prend en considération la majorité des critères définis à l'article 25 du Code des professions du Québec et notamment le plus important, celui de la gravité du préjudice, on constate que ceux-ci ne s'appliquent pas puisqu'il n'y a aucune situation qui permet de déterminer que la pratique du massage représente quelque préjudice sérieux pour le public. L'Office des professions du Québec est régulièrement placé devant des situations où elle doit démêler les motifs de protection du public et les ambitions de reconnaissance professionnelle, car comme il l'a expliqué lui-même par le passé, on estime à tort que la création d'un ordre est la reconnaissance ultime d'une profession. En ce sens, le mémoire appuie l'analyse faite par une porte-parole de l'Office des professions, Carole Rocheleau : « S'il y avait un problème majeur récurrent avec la massothérapie et les autres médecines douces, et si aucun recours n'existait pour protéger les consommateurs, l'Office s'en mêlerait. Mais ce n'est pas le cas. » Depuis plusieurs années, il y a une tout autre vision qui s'articule avec la participation d'un nombre croissant des intervenants du milieu, en vue de voir comment bonifier les conditions d'encadrement, valoriser la qualité des services proposés et maintenir la confiance des utilisateurs et du public en général. À ce jour, tout est en place pour que le milieu lui-même assume ses propres responsabilités, poursuive le dialogue, bonifie les conditions de pratique et d'encadrement et, ce faisant, établisse cette reconnaissance professionnelle tant désirée auprès du public et des autres professionnels de la santé au Québec. Cet ouvrage de dialogue inclusif et de bonification des méthodes de pratique et d'encadrement est déjà bien en marche avec Massothérapie Québec. L'instauration d'un ordre professionnel ne viendrait que freiner et mettre fin à tout le travail que les acteurs du domaine de la massothérapie effectuent depuis de nombreuses années déjà. www.monreseauplus.com/blog/communique-depot-du-memoire/

Journées de concertation sur les  Étudiants postsecondaires présentant un trouble de santé mentale ou un trouble neurocognitif (TA, TSA, TDAH) De la transition à l’orientation scolaire 12 et 13 novembre 2013, Québec www.uquebec.ca/capres/Agenda/2012-2013/ESHE-Information.pdf 

Google fête ses 15 ans et s'améliore. Le géant américain de l'Internet, qui fête ses quinze ans cette année, a célébré l'événement jeudi en s'offrant un Doodle, et en annonçant des progrès du moteur de recherche à l'origine de son succès. www.lefigaro.fr/culture/2013/09/27/03004-20130927ARTFIG00277-google-fete-ses-15-ans-et-se-bonifie.php

Un foyer québécois sur trois branche son téléviseur sur Internet. Le téléviseur branché est en voie de devenir un phénomène important au Québec : le tiers des foyers québécois branche leur téléviseur sur Internet, ce qui correspond à 40% des internautes adultes. Un téléviseur branché sur Internet est encore plus susceptible d'être présent chez les foyers comptant un homme (47%), un internaute de 18 à 24 ans (67%) ou de 35 à 44 ans (50%), ainsi que ceux dont le revenu familial s'élève à 100 000 $ et plus par année (52%). La console de jeu, qui peut notamment servir à jouer en réseau (62 %), l'ordinateur (48 %) et les appareils mobiles (31 %) sont les plus fréquemment utilisés par les internautes dont le téléviseur est branché pour visualiser du contenu web à partir d'un téléviseur. Le boîtier de type Apple TV est un outil moins prisé (22 %), tout comme la télévision intelligente (16 %). Les résultats complets du volet divertissement en ligne de l'enquête NETendances 2013 et les notes méthodologiques sont disponibles gratuitement sur le site Web du CEFRIO : http://cefr.io/divertissement


Réseaux sociaux: une loi pour effacer photos et commentaires gênants. Une loi californienne va permettre aux adolescents de faire disparaître de leurs pages personnelles sur les réseaux sociaux les photos ou commentaires embarrassants téléchargés sur un coup de tête ou après une soirée trop arrosée, a-t-on appris mardi. Les défenseurs de la loi voulaient s'assurer que les erreurs de jeunesse des internautes ne les poursuivraient pas toute leur vie, notamment professionnelle, alors que les profils des réseaux sociaux sont de plus en plus observés et contrôlés lors des embauches. «Les erreurs de jeunesse suivent leurs auteurs toute leur vie et leurs empreintes numériques les suivent où qu'ils aillent», déclare James Steyer, fondateur de l'ONG Common Sense Media, favorable à la loi, dans les colonnes du San Francisco Chronicle. Le texte de la loi donne aux jeunes de moins de 18 ans le droit de «retirer, ou d'exiger le retrait d'un contenu ou d'une information téléchargés sur un site internet ou une application». Les réseaux sociaux Twitter et Facebook proposent déjà cette fonctionnalité sur leurs sites. «C'est une protection révolutionnaire pour nos enfants, qui agissent souvent de façon impétueuse en téléchargeant des photos ou des messages déplacés avant de penser aux conséquences», a déclaré le parlementaire démocrate Darrell Steinberg, auteur de la loi. Le texte ne protège cependant pas les jeunes des commentaires ou photos les concernant téléchargés par des tiers, et ne permet pas aux adultes de gommer leurs erreurs de jeunesse. Les opposants à la loi assurent qu'elle complique encore la tâche des sites internet, qui doivent déjà composer avec les multiples législations locales, dans chaque État américain. D'autres affirment que le texte pourrait avoir des effets pervers, en obligeant les sites internet à récolter encore plus d'informations personnelles auprès des jeunes internautes. «En plus de la nécessité de connaître l'âge (de l'internaute), les sites devront savoir s'il habite ou non en Californie», déclare à l'AFP Stephen Balkam, président du Family Online Safety Institute (FOSI). http://techno.lapresse.ca/nouvelles/internet/201309/24/01-4692798-reseaux-sociaux-une-loi-pour-effacer-photos-et-commentaires-genants.php

Le Département de kinésiologie multiplie les partenariats. L'Université mène à tout et le Département de kinésiologie l'a bien compris, avec une brochette d'ententes qui permettent à cette discipline de déployer ses nombreuses facettes. Les échanges découlant de ces ententes sont une source d'enrichissement autant pour les étudiants et chercheurs qui se frottent à des réalités nouvelles que pour les établissements eux-mêmes, qui bénéficient de l'expertise des universitaires. Qu'on parle de la pose d'une prothèse, de performance olympique ou de prévention des blessures chez les artistes de cirque, le département contribue à l'avancement de ces champs d'études. Son directeur, François Prince, a en effet su donner à son unité une grande amplitude. L'UdeM et le Collège Montmorency à pied d'œuvre pour raffiner l'orthoprothèse. Des nageuses olympiques s'entrainent avec un simulateur de l'UdeM. La science au service des artistes de cirque. La Wii Fit et la Kinect font leur entrée à l'Université. Elle danse sur la science! Voir le clip La kinésiologie en soutien à la nage synchronisée www.nouvelles.umontreal.ca/journal-forum/dossiers-speciaux/20130923-le-departement-de-kinesiologie-multiplie-les-partenariats.html

L'UQTR et le Collège Mérici s'unissent pour offrir un DEC-BAC intégré de quatre ans en éducation spécialisée – psychoéducation. L’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et le Collège Mérici ont récemment signé une entente de formation afin d’offrir le tout premier programme de DEC-BAC intégré en éducation spécialisée – psychoéducation au Québec. Les étudiants qui ont débuté leurs études collégiales en techniques d’éducation spécialisée au Collège Mérici cet automne pourront, au terme de leurs deux premières sessions à temps complet, faire une demande d’admission au programme de DEC-BAC. Ainsi, ceux qui répondront aux critères d’admission pourront condenser leur formation afin d’obtenir à la fois un diplôme en techniques en d’éducation spécialisée et un baccalauréat en psychoéducation en quatre ans. En tout, l’UQTR pourra accueillir jusqu’à 20 étudiants de Mérici par année dans ce programme. « Fier de la renommée de son programme en techniques d’éducation spécialisée, le Collège Mérici offrira une formation continuellement mise à jour afin de répondre aux besoins des étudiants et aux exigences des milieux d’intervention. À cet effet, nous sommes heureux d’offrir ce nouveau programme à nos étudiants en éducation spécialisée, en collaboration avec l’UQTR », souligne M. Paul Roberge, coordonnateur du programme de techniques d’éducation spécialisée du Collège Mérici. Les deux premières années de formation se dérouleront principalement au Collège Mérici. Par la suite, les étudiants se rendront davantage au Centre universitaire de Québec (UQTR), situé dans les locaux du Complexe Bellevue, pour compléter leur parcours. La grille de cours a été développée de manière à faciliter le transport et assurer la réussite de chacun. « Le programme de psychoéducation de l’UQTR est fortement reconnu au Québec, tout comme celui de techniques d’éducation spécialisée du Collège Mérici. Les besoins sont grandissants dans la profession de psychoéducateur alors notre association avec le Collège Mérici était toute naturelle, surtout que notre université est bien présente à Québec depuis plus de 30 ans », souligne Caroline Couture, professeure et directrice du programme de baccalauréat en psychoéducation de l’UQTR au Centre universitaire de Québec (UQTR). http://blogue.uqtr.ca/entete/2013/09/25/luqtr-college-merici-sunissent-offrir-dec-bac-integre-quatre-ans-en-education-specialisee-psychoeducation et www.merici.ca/college/communiques/quebec_le_25_septembre_2013.html

Le droit à l’emploi n’est pas pour toutes les femmes. Au moins 15 pays exigent l’autorisation de leur époux pour travailler hors du foyer. Des employées d’une banque en Côte d’Ivoire. Ce n’est que depuis cette année que les femmes de ce pays peuvent travailler sans devoir obtenir l’autorisation de leur époux. Au moins 15 pays continuent d’interdire aux femmes de travailler sans l’accord de leur mari en dépit de certains progrès réalisés dans l’égalité des sexes, indique un rapport de la Banque mondiale paru mardi. « De nombreuses sociétés ont accompli des progrès, s’engageant petit à petit à supprimer les formes tenaces de discrimination contre les femmes, mais il reste encore beaucoup à faire », souligne le président de la Banque mondiale, Jim Yong Kim, en préambule du rapport sur les « femmes, les affaires et le droit ». www.ledevoir.com/economie/actualites-economiques/388295/le-droit-a-l-emploi-n-est-pas-pour-toutes-les-femmes?p=548761

Citations clin d’œil – Jacques Limoges  Jacques Limoges. Récemment, on m’a sollicité pour « une de mes citations célèbres » afin d’agrémenter un calendrier faisant la promotion du développement de carrière. Comme j’avais écrit il y a un certain nombre d’années, une plaquette intitulée « Maximes et proverbes inédits », j’ai demandé à quelques amies et complices de me suggérer spontanément laquelle ou lequel je devrais proposer. Les « maximes » qui sont revenues plus d’une fois sont : « Ma carrière est trop importante pour être laissée entre les mains de mon employeur .» et « Quand il n’y a qu’une seule façon de faire, elle est mauvaise. » Deux autres me furent proposées une fois : « Parle-moi de tes projets, et je te parlerai de ta santé mentale.» et « Dans la relation d’aide, la relation aide. » Pour connaître la citation qui fut retenue -si jamais il en fut une-, participez au Congrès 2013 du Groupe d’action en développement de carrière du Nouveau-Brunswick (GADCNB) en novembre prochain ou visitez le http://www.nbcdag-gadcnb.ca/. Ce billet se veut aussi être un clin d’œil à ce groupe dynamique http://click.xydo.com/toolbar_view/3407/8/839?e=W1VOSVFVRV0=

De plus en plus de baby-boomers dans la rue au Québec. L'organisme PAS de la rue a lancé une campagne de sensibilisation au phénomène grandissant de l'itinérance chez les personnes de 55 ans et plus. L'organisme a présenté, à un point de presse lundi, un rapport faisant état des résultats d'une recherche-action visant à mieux comprendre l'itinérance chez les personnes vieillissantes, réalisée avec le soutien du Secrétariat aux aînés (anciennement ministère Famille et Aînés). Participaient au point de presse le Réseau d'aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) et les chercheurs Lucie Gélineau (UQAR) et Jean Gagné (TELUQ). Depuis quelques années, les ressources telles que les refuges et autres organismes d'aide en itinérance constatent une augmentation drastique de personnes vieillissantes fréquentant leurs services. Un ensemble complexe de facteurs, en interaction, contribue à ce que certaines personnes se retrouvent dans une très grande précarité, voire à la rue : solitude, perte d'emploi, problèmes de santé… L'étude souligne notamment le creux financier entre le moment d'une perte d'emploi et l'âge d'admissibilité à la pension de vieillesse, à 65 ans (ou 67 avec la réforme). "Quand vous n'avez accès qu'à peu de mesures de soutien parce que vous êtes âgé entre 55 et 64 ans, que vous payez 450 $ pour une chambre à Montréal, il ne vous en reste pas beaucoup sur les 600 $ d'aide sociale. Là, ça dégringole rapidement", explique M. Sébastien Payeur directeur de Pas de la rue.  "Plusieurs hommes et femmes, vu l'absence de protection sociale [non-accès au chômage, non-reconnaissance des accidents de travail, forte présence de travail autonome], ont épuisé leurs économies, drainant leurs capacités physiques et mentales", indique le rapport. L'organisme propose diverses pistes de solution. www.lapresse.ca/actualites/montreal/201309/22/01-4692019-de-plus-en-plus-de-baby-boomers-a-la-rue.php

Le recul de l'économie du Québec s'accélère. La grève de l'été dernier dans l'industrie de la construction a contribué au recul de l'économie québécoise. Le Québec est à deux mois d'une récession, a soutenu hier matin le chef de l'aile parlementaire libérale, Jean-Marc Fournier. Croisant le fer avec la première ministre Pauline Marois, il a relevé qu'au cours des quatre derniers mois, le produit intérieur brut (PIB) québécois avait accusé un recul. Avec six reculs consécutifs, les économistes décrètent qu'une économie est en récession. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201309/27/01-4693813-le-recul-de-leconomie-du-quebec-saccelere.php

Collégial
Le vote de grève devra être électronique et mieux encadré, dit la Fédération des cégeps. La durée du «boycott» devra aussi être balisée, a dit le président-directeur général de la Fédération, Jean Beauchesne.  Le vote de grève étudiant devra être encadré par des règles plus claires et il devra se tenir de façon électronique, a plaidé la Fédération des cégeps devant la commission Ménard sur les événements du printemps 2012. La durée du «boycott» devra aussi être balisée, a dit le président-directeur général de la Fédération, Jean Beauchesne. www.ledevoir.com/societe/education/388340/le-vote-de-greve-devra-etre-electronique-et-mieux-encadre-dit-la-federation-des-cegeps

Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches : diplômés insuffisants pour répondre à la demande www.jobboom.com/carriere/capitale-nationalechaudiere-appalaches-diplomes-insuffisants-pour-repondre-a-la-demande/

Dès le 1er ocotbre, nouveau site Internet du collège Limoilou www.cegeplimoilou.ca En plus d’offrir une présentation et une navigation renouvelées, le site du cégep fera une grande place à l’information issue des réseaux sociaux.

Universitaire



Le recteur de l'UQAC pointé du doigt. Le recteur de l'Université Laval a déploré l'écart entre son salaire et celui de ses homologues du Réseau de l'Université du Québec (UQ). Denis Brière a indiqué, dans une entrevue accordée au Soleil, que ces recteurs étaient globalement mieux rémunérés. Et l'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) a été visée par ses propos. Dans la région, le recteur gagne environ 175 000 $. Le salaire a été vu à la baisse lorsque Michel Belley a pris sa retraite. Le recteur de l'Université Laval reçoit quant à lui près de 350 000 $. «Quand vous êtes nommés recteur, par exemple de l'UQAC, vous avez le même salaire jusqu'à la fin de votre carrière, tandis que moi, mon salaire, c'est pendant que je sers, c'est un supplément administratif ", a exprimé M. Brière en entrevue. www.lapresse.ca/le-quotidien/actualites/201309/25/01-4692936-le-recteur-de-luqac-pointe-du-doigt.php

Les médecins de l'Î.-P.-É. sont encore les mieux payés au Canada atlantique www.guidesanteenligne.com/detail_news.php?ID=452720&cat=;28

Bienvenue sur le site Ça va? Un seul site. Plein de solutions. Ce site s'adresse tant aux nouveaux étudiants et étudiantes qu'à l'ensemble de la communauté étudiante de l'UdeS. Afin que votre expérience universitaire se déroule le mieux possible, ressources, outils et autres incontournables pour bien réussir votre session se retrouvent en un seul et même endroit! Mettez tout en œuvre pour favoriser votre réussite étudiante à l'UdeS en consultant les diverses rubriques du nouveau site Ça va? Les meilleurs conseils pour bien réussir sa session www.usherbrooke.ca/ca-va/

Documentation
L'homéopathie, simplement de l'eau dans des granules, repose sur des croyances du 18ième siècle. L'homéopathie n'est rien de ce que plusieurs pourraient penser. "Elle n'a rien à voir avec les remèdes à base de plantes dont beaucoup ont des usages légitimes", explique Schwarcz. Elle a été développée en Allemagne à la fin des années 1700 (proposée par Samuel Hahnemann en 1796). "Il s'agit d'une pratique, éclose à l'âge des ténèbres de la science, qui repose sur l'idée que les substances qui provoquent des symptômes chez une personne en santé peut guérir ces mêmes symptômes chez une personne malade. (Ainsi, par exemple, les oignons qui font larmoyer peuvent être utilisés pour soulager les symptômes du rhume des foins.) Il n'y a aucune logique à cela, mais ce n'est pas où ça s'arrête. Les homéopathes, défiant tout ce que nous savons sur la toxicologie, estiment que la dilution d'une solution contenant un remède homéopathique augmente sa puissance. En fait, pour potentialiser le remède, les dilutions sont effectuées au point que le produit final, dans la plupart des cas, ne contient même pas une seule molécule du remède original." L'eau, ainsi dépourvue d'ingrédients actifs, est intégrée à des granules, petites billes de lactose, qui donnent une apparence de médicaments. D'où viendrait donc l'action des produits homéopathiques ? L'eau garderait une empreinte de la substance originale, une mémoire... "Le concept est absurde", dit Schwarcz. Il défie tout ce qui est connu de la chimie et de la physique. www.psychomedia.qc.ca/homeopathie/2013-09-28/definition-critique

Combattre le décrochage scolaire : la CSMV présente une série de vidéos pour encourager la persévérance scolaire www.ameqenligne.com/detail_news.php?ID=452722&cat=;21&niveauAQ=3 

Le Projet Récupération transforme les produits sanguins inutilisés provenant de dons canadiens en des médicaments contre l'hémophilie pour les pays en voie de développement www.guidesanteenligne.com/detail_news.php?ID=452554&cat=;28

Climat: l'influence de l'homme plus claire que jamais. Après cinq années de délibérations passées à analyser plus de 9000 recherches scientifiques, le constat ne pourrait être plus clair. « Il est extrêmement probable que l'influence humaine a été la cause dominante du réchauffement observé depuis le milieu du 20e siècle », affirme le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat.

Sondage sur la tolérance des Québécois: le hijab oui, le niqab non Plus de la moitié des répondants affirment être «beaucoup dérangés» lorsqu'ils voient une femme portant le niqab dans un lieu public. Au Québec, les femmes au visage couvert choquent, alors que celles qui portent le voile islamique sont assez bien acceptées, révèle un sondage CROP sur la tolérance commandé par La Presse. www.lapresse.ca/actualites/national/201309/26/01-4693765-sondage-sur-la-tolerance-des-quebecois-le-hijab-oui-le-niqab-non.php
  

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À noter à votre agenda

C'est officiel: l'OCCOQ recevra le Congrès mondial de l'Association internationale d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec du 4 au 6 juin 2014. L'ACOC sera au rendez-vous ! Sur le site de l'Ordre  les frais d'inscription
.
Le nouveau Conseil exécutif et les Comités
Partenaires du Xe Congrès 
de l'ACOC à l'UQAT

En 2012-2013, nous avons franchi le cap des
100 000 visites du Bulletin (124 000) 
et 500 000 du site ACOC (588 000)

Bruno Tremblay, c.o. conseiller aux communications de l'ACOC acocinfo@gmail.com

Abonnement au bulletin électronique
Quelque Chose de l'ACOC

Votre courriel :

Les modalités d'inscription au bulletin sont mentionnées sur le site 

24 septembre 2013

V 12 No 4: À la suite du Colloque Dialogue cégeps-universités 2013

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
(860 membres, 12e saison du bulletin électronique)
Parc régional des Appalaches (septembre 2013)

L’Ordre célèbre cette année son cinquantième anniversaire. 
C’est le 11 juillet 1963, en effet que
 l’Assemblée législative québécoise créait la 
Corporation des conseillers d’orientation professionnelle du Québec par l’adoption du Bill 201.
Un an plus tard, tel que recommandé par la Commission royale d’enquête sur l’éducation (Rapport Parent), le 1er ministère de l’Éducation du Québec allait faire de l’orientation la
pierre angulaire du nouveau système d’éducation. C’était en 1965. 
C’était le début d’un temps nouveau…Depuis, l’organisme est devenu 
l’Ordre des conseillers et conseillères d’orientation du Québec 
et les services des conseillers d’orientation (c.o.)
se déploient dans plusieurs secteurs :
éducation, employabilité, communautaire, 
réadaptation, organisation
 Plusieurs conseillers d’orientation exercent en pratique privée

Section Nouvelles
Présentations de Dialogue 2013
Postes de c.o. et cisep au Collège Ahuntsic

Journées de concertation sur les  Étudiants postsecondaires présentant un trouble de santé mentale ou un trouble neurocognitif (TA, TSA, TDAH)  De la transition à l’orientation scolaire 12 et 13 novembre 2013,  Québec  www.uquebec.ca/capres/Agenda/2012-2013/ESHE-Information.pdf

La pratique des sexologues est maintenant encadrée par le système professionnel québécois. Le ministre de la Justice et ministre responsable de l'application des lois professionnelles, monsieur Bertrand St-Arnaud, est heureux d'annoncer la création de l'Ordre professionnel des sexologues du Québec. « Dorénavant, seuls les membres du nouvel Ordre professionnel des sexologues du Québec pourront utiliser le titre de « sexologue », qui leur est réservé par lettres patentes délivrées par le gouvernement. Notre gouvernement a voulu que les citoyens qui consultent des sexologues puissent bénéficier des garanties de compétence, d'intégrité et de responsabilité que le système professionnel offre », a déclaré le ministre. Globalement, le champ des activités professionnelles que les sexologues peuvent exercer a trait à l'évaluation du comportement et du développement sexuels de la personne, ainsi qu'aux interventions et traitements dans le but de favoriser un meilleur équilibre sexuel chez l'être humain en interaction avec son environnement. De plus, en vue de la protection du public, certaines activités professionnelles à haut risque de préjudice pour le public et relatives au champ d'exercice professionnel ont été réservées aux membres de l'Ordre. www.opq.gouv.qc.ca/actualites/communiques/detail/article/la-pratique-des-sexologues-est-maintenant-encadree-par-le-systeme-professionnel-quebecois/?no_cache=1 Site de l'ordre www.opsq.org
Activités  réservées  www.opq.gouv.qc.ca/fileadmin/documents/Ordres_professionnels/sexologue.pdf Communiqué http://webvideosolution.com/~opsq/wp-content/uploads/2013/09/OPQSQ_communiqu%C3%A9-du-25-septembre-2013.pdf

Conseiller(ère) d'orientation (services adaptés)  Direction du service des affaires étudiantes P - Régulier à temps partiel Lieu de travail :  Collège Ahuntsic Horaire de travail : 21 heures / semaine, le mercredi, jeudi et vendredi, de 8 h 30 à 16 h 30 Date et heure de fin de l'affichage externe :  2013-09-25 16:00 www.collegeahuntsic.qc.ca/college/travailler-au-college-ahuntsic/emplois-offerts  Conseiller(ère) en information scolaire et professionnelle  Direction du service des affaires étudiantes  P - Régulier à temps partiel Lieu de travail :  Collège Ahuntsic Horaire de travail : 14 heures / semaine, le lundi et mardi, de 8 h 30 à 16 h 30.  Date et heure de fin de l'affichage externe :  2013-09-25 16:00

Colloque Dialogue 2013 : les présentations (sur le site de l’ACOC). Assemblée générale du 13 septembre 2013 Persévérer aux études postsecondaires et diplôme: le défi de l'accompagnement Michel Perron Professeur à l'UQAC  Les mesures de soutien à la réussite étudiante Guy Drouin, conseiller pédagogique à l'Université de Sherbrooke  Travailler pour et avec différentes générations Josée Garceau L'émergence d'un savoir-être du collège... à l'université... au marché du travail (panel) Marie-Pierre Aubert L'importance du projet professionnel comme moteur de l'autonomie de la personne ayant un trouble mental Marie Ducharme. c.o. et conseillère à l'UQAM La diversité culturelle : bien la connaître pour mieux intervenir Guadalupe Vento La démocratisation de l'accès aux études supérieures et la diversité étudiante: un cadre de référence et un conseiller au coeur du parcours Sylvain Lemay, président de l'AQICESH La CRC: son rôle et son utilisation Réjean Drolet de la CREPUQ et France Myette. registraire de l'Université de Sherbrooke www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=984

Le Conseil supérieur de l’éducation a rendu public le 18 septembre 2013 l’avis intitulé Un engagement collectif pour maintenir et rehausser les compétences en littératie des adultes www.cse.gouv.qc.ca/fichiers/documents/publications/Avis/50-0482cp.pdf, lequel a été préalablement transmis à la ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport de même qu’au ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie. Dans cet avis, le Conseil exprime sa vive préoccupation devant le nombre considérable d’adultes québécois qui ont un niveau insuffisant de compétence en littératie. Aussi lance-t-il un appel à la mobilisation concertée des pouvoirs politiques de même que des organismes communautaires et des milieux du travail, de l’emploi, de la santé, de la culture et de l’éducation. www.cse.gouv.qc.ca/FR/Publications/index.html

Les Québécois sont heureux, conclut une enquête La difficulté de concilier travail et famille a un impact sur le bien-être des Québécois. Simon Langlois, professeur de sociologie à l'Université Laval, souligne toutefois que «le sentiment de bonheur va remonter une fois les obligations familiales réduites». En moyenne, les Québécois évaluent leur bonheur à 7,1 sur 10. Sans surprise, ceux qui ont un portefeuille bien garni, des relations sociales et amoureuses harmonieuses ainsi qu'un boulot qui les satisfait sont plus heureux. À l'inverse, les paumés et les célibataires dégringolent dans l'échelle. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/societe/201309/22/01-4691985-les-quebecois-sont-heureux-conclut-une-enquete.php

Population humaine: jusqu’où aller? Publié en mai dernier, le dernier best-seller du romancier Dan Brown a fait jaser la blogosphère. Intitulé Inferno, son roman raconte les périls de la croissance de la population humaine en passant par une intrigue se jouant principalement à Florence, en Italie. Je ne l’ai pas lu, mais il me donne une belle occasion de parler de cette question incontournable: combien devrions-nous être d’humains sur Terre? www.blogues.ulaval.ca/andre-desrochers/population-humaine-jusqu-ou-aller/ André Desrochers est professeur au Département des sciences du bois et de la forêt. Diplômé en biologie de l’Université Laval, il a également un doctorat en zoologie de l’Université de Cambridge (Royaume-Uni). Depuis son arrivée à l’Université Laval en 1994, il s’intéresse à l’écologie de la faune dans les paysages forestiers. Ses recherches sont axées principalement sur l’exploitation des forêts et ses répercussions sur les oiseaux et les mammifères qui les habitent. Il travaille aussi sur la modélisation statistique, aspect incontournable du traitement de données complexes.

Dossier spécial : enquête sur le placement des diplômés 2013. Dans son édition de septembre 2013, le Magazine Jobboom a dévoilé son enquête annuelle sur le placement des diplômés des formations universitaires, collégiales et professionnelles à travers l’ensemble des régions du Québec. Formation universitaire : Les diplômés universitaires ont la cote : Les effectifs étudiants augmentent et le taux de placement aussi, dans plusieurs secteurs. Formation professionnelle et collégiale : Abitibi-Témiscamingue : les mines, toujours un bon filon pour les diplômés : Le ralentissement minier n’affecte pas les taux de placement en Abitibi-Témiscamingue. Bas-Saint-Laurent et Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine : bon placement pour de nombreux diplômes : Infirmières, soudeurs, dessinateurs et technologues agricoles sont en demande dans l’est de la province. Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches : diplômés insuffisants pour répondre à la demande : Les secteurs de l’administration, du commerce et de l’informatique recrutent dans les régions de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches. Côte-Nord et Nord-du-Québec : un taux placement record : Les grands chantiers créent de nombreux emplois sur la Côte-Nord et dans le Nord-du-Québec. Estrie : là où les stages se transforment en emploi pour les diplômés : L’industrie agroalimentaire génère de nombreux emplois en Estrie. Laurentides et Lanaudière : la démographie profite aux diplômés : La croissance démographique et immobilière stimule l’emploi dans la couronne Nord de Montréal. Mauricie et Centre-du-Québec : le tourisme aide au placement des diplômés : Les secteurs de la restauration et du tourisme offrent des occasions d’emploi dans les régions de la Mauricie et du Centre-du-Québec. Montréal, Laval et Montérégie : placement favorable en santé : Les secteurs de la santé et de la construction ont le vent dans les voiles dans la grande région métropolitaine. Outaouais : placement des diplômés en hausse : La croissance démographique crée des besoins en main-d’œuvre variés en Outaouais. Saguenay-Lac-Saint-Jean : de tout pour les diplômés : La demande de jeunes bien formés ne se dément pas dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean. www.jobboom.com/carriere/dossier-special-enquete-sur-le-placement-des-diplomes-2013/

Les diplômés universitaires ont la cote. Avec des effectifs étudiants toujours en augmentation, la formation universitaire se porte bien au Québec. Le placement de ses diplômés aussi. Selon les données préliminaires du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie du Québec, les universités comptaient en 2012-2013 environ 6 000 étudiants de plus que l’année précédente. www.jobboom.com/carriere/les-diplomes-universitaires-ont-la-cote/

Saguenay-Lac-Saint-Jean : de tout pour les diplômés. Des métiers de la forêt aux soins infirmiers, en passant par les techniques administratives, la demande de jeunes bien formés ne se dément pas dans les entreprises du Saguenay–Lac-Saint-Jean. «Même si l’on connaissait un ralentissement économique, voire une récession comme en 2008 et 2009, les jeunes n’auraient rien à craindre. Car les entreprises et les organisations ont besoin des compétences des technologues», affirme Johanne Tremblay, conseillère pédagogique au Service de placement étudiant du Cégep de Jonquière. www.jobboom.com/carriere/saguenay-lac-saint-jean-de-tout-pour-les-diplomes/

Capitale-Nationale et Chaudière-Appalaches : diplômés insuffisants pour répondre à la demande. Les diplômés des secteurs de l’administration, du commerce et de l’informatique sont très demandés dans la grande région de Québec, notamment grâce à la présence de nombreux sièges sociaux d’entreprises. «Les employeurs nous contactent régulièrement pour embaucher nos diplômés en secrétariat et en secrétariat juridique. On n’arrive pas à répondre à la demande», explique Dominic Lemieux, conseiller d’orientation au Centre de formation professionnelle (CFP) Marie-Rollet, à Québec. Malgré leur popularité auprès des élèves et leur taux de placement de 100 %, ces deux programmes ne satisfont pas aux besoins de main-d’œuvre. www.jobboom.com/carriere/capitale-nationalechaudiere-appalaches-diplomes-insuffisants-pour-repondre-a-la-demande/

La surpopulation dans les écoles entraîne un manque de ressources. Des enfants en difficulté en mal de spécialistes, des classes de maternelle pas de fenêtres, une bibliothèque transformée en local de musique… Les parents doivent parfois même payer la note. Avec d’autres parents bénévoles, Nadia Tabib s’est beaucoup impliquée à la bibliothèque de l’école primaire Marc-Favreau dans Notre-Dame-de-Grâce. Le budget de 16 $ par élève sert à acheter des livres, d’après les suggestions des enfants eux-mêmes. « Les enfants lisent plus, il y a un réel engouement pour la bibliothèque », se réjouit-elle. www.ledevoir.com/societe/education/387866/la-surpopulation-dans-les-ecoles-entraine-un-manque-de-ressources

Les étudiants de niveau collégial ont davantage confiance en leur avenir que ceux de niveau universitaire, selon un sondage RBC www.rbc.com/nouvelles/2013/0918-student-finances-poll.html 


L’orientation professionnelle en 2013. Laurent Matte, président de l’Ordre des conseillers et conseillères d’orientation du Québec. Près de la moitié des jeunes travailleurs de la région montréalaise sont surqualifiés pour le poste qu’ils occupent, selon une étude du CIRANO (Centre interuniversitaire de recherche en analyse des organisations). Pourtant, à l’échelle du pays, des dizaines de milliers d’emplois ne trouvent pas preneur, faute de candidats qualifiés, dit Statistique Canada. En 2012, le programme fédéral des travailleurs étrangers temporaires a permis l’embauche de 338 000 personnes, pour pallier les pénuries de main-d’œuvre. Autant de données qui mettent en évidence la difficile équation entre les besoins du marché de l’emploi et les compétences des travailleurs canadiens. Les jeunes d’aujourd’hui savent-ils faire un choix de carrière? Profitent-ils des bons outils pour trouver leur voie? À ce sujet, nous avons sondé Laurent Matte, président de l’Ordre des conseillers et conseillères d’orientation du Québec. www.jobboom.com/carriere/lorientation-professionnelle-en-2013

De plus en plus de baby-boomers à la rue. L'étude qualitative réalisée par l'organisme PAS de la rue à Montréal montre notamment du doigt le creux financier entre le moment de la perte d'emploi et l'âge d'admissibilité à la pension de vieillesse, à 65 ans (ou 67 avec la réforme du gouvernement Harper). Inquiétude dans le milieu de l'itinérance: de plus en plus de personnes âgées se retrouvent à la rue parce qu'elles sont souvent seules ou ostracisées et que leur âge leur ferme pratiquement toutes les portes du marché du travail, révèle une étude obtenue par La Presse, qui sera publiée aujourd'hui. www.lapresse.ca/actualites/montreal/201309/22/01-4692019-de-plus-en-plus-de-baby-boomers-a-la-rue.php

Collation des grades à l'Université de Sherbrooke : Une journée spéciale pour une diplômée. À l'Université de Sherbrooke, samedi, 2600 étudiants sont repartis avec leur diplôme en main après la collation des grades. Parmi eux, Karine St-Pierre, une étudiante malentendante qui a d'importants problèmes de vision. Elle n'a ménagé aucun effort pour réaliser son rêve. C'est en 2007 que Karine St-Pierre a commencé son baccaluréat en orientation. Aujourd'hui, elle dit avec fierté « mission accomplie ». Karine étant sourde et presque aveugle, son parcours universitaire est loin d'avoir été facile. C'est avec l'aide et le soutien de Johanne Deschênes, une interprète en langue des signes, qu'elle a pu terminer sa formation universitaire. www.radio-canada.ca/regions/estrie/2013/09/22/001-collation-des-grades-sherbrooke.shtml

Costco paie mieux que la concurrence
L’entreprise va à contre-courant dans l’industrie du détail. Costco fait mentir tous les clichés à propos de l’emploi chez les détaillants de grande surface. Alors que ses salariés sont mieux payés que ceux des concurrents, son pdg Craig Jelinek fait figure de sans-abri à côté de ses homologues de Walmart et de Target. Cette approche à contre-courant semble fonctionner, puisque les ventes de Costco sont en hausse de 39 % depuis 2009, alors qu’elles ne l’étaient que de 7,5 % pour Walmart et de 8 % pour Target. Sources : Glassdoor, AOL, Jobboomblog, Bloomberg Businessweek, MSN Money, Huffingtonpost, Le Journal de Montréal Note : Les données s’appliquent aux États-Unis seulement. 

4 salons de l'emploi 
sous le même toit! 9 et 10 octobre 2013 
à Montréal! L'Événement Carrières

Collégial
Avis du conseil supérieur de l'éducation sur l'ajout de ressources en littératie - Le Collège Lionel-Groulx croît qu'il faut agir collectivement et vite www.lescegeps.com/nouvelles/2013-09-23_avis_du_conseil_superieur_de_leducation_sur_lajout_de_ressources_en_litteratie_le_college_lionel_groulx_croit_quil_faut_agir_collectivement_et_vite

Parlons infirmières dans ce cas… Ok, vous tenez vraiment à parler de la santé? Voici, des résultats d’une étude de l’Association des infirmières et infirmiers du Canada, réalisée par Statistique Canada: *Le tiers des infirmières canadiennes ont été attaquées physiquement au cours de la dernière année; *La moitié n’ont pas de poste permanent, et près de 20 % doivent cumuler plus d’un emploi pour arriver; *La moitié ont déjà été contaminées par une aiguille au cours de leur carrière; *La moitié font du surtemps; le tiers de celles-ci ne sont pas payées pour ce surtemps, en moyenne 4 heures par semaine; *Note plus positive: 90 % disent avoir une bonne relation avec les médecins. L’étude de l’Association n’est pas encore en ligne, et je n’ai rien vu encore dans les médias. Elle a été dévoilée il y a une heure et quelque environ. http://jobboomblog.com/generale/parlons-infirmieres-dans-ce-cas/

Nouvelle orientation institutionnelle : le sport et le plein air - Le Cégep de Baie-Comeau invite les élèves à venir Apprendre autrement www.lescegeps.com/nouvelles/2013-09-17_nouvelle_orientation_institutionnelle_au_cegep_de_baie_comeau_le_sport_et_le_plein_air

Centre d’appels : bien s’exprimer rapporte www.jobboom.com/carriere/centre-dappels-bien-sexprimer-rapporte/

Deux professeurs de Victoriaville inventent un système de sécurité sophistiqué. Dany Paradis et Denis Brassard (de gauche à droite) estiment que leur système d’horloges contre un fou pourrait être installé non seulement dans toutes les écoles du Québec, mais aussi dans des bureaux municipaux, des garderies, etc. Préoccupés par la sécurité de leurs collègues et des étudiants, deux enseignants de Victoriaville ont doté leur école d’un système de sécurité sophistiqué en cas d’intrusion d’un tireur fou. www.hebdosregionaux.ca/centre-du-quebec/2013/09/23/deux-professeurs-de-victoriaville-inventent-un-systeme-de-securite-sophistique

Universitaire
Placement étudiant : l'UQAT en meilleure position  La plupart des étudiants en Sciences infirmières de l’UQAT travaillaient déjà durant leurs études, ce qui a facilité leur embauche à la sortie du baccalauréat. Si certains diplômés universitaires mettent du temps à trouver un emploi, la situation en est toute autre pour la majorité des étudiants de l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue. En effet, le taux de placement est excellent dans plusieurs programmes des l’UQAT, voire quasi-parfait dans certains d’entre eux. C’est le cas du baccalauréat en génie mécanique, de celui en génie électromécanique, du baccalauréat en administration et du baccalauréat en sciences comptables, dont les taux de placement frôlent les 100%. «C’est particulier en région parce qu’il y a un besoin de main-d’œuvre auquel on est confronté», a commenté Johanne Jean, rectrice de l’UQAT. En effet, la situation économique de la région entraîne une pénurie de travailleurs que l’UQAT peut aider à combler. «On pourrait former le double d’étudiants qu’on forme en ce moment, mais on n’arriverait quand même pas à fournir la main d’œuvre qualifiée demandée en région», a imagé Mme Jean. «Par exemple en sciences comptables, il y a quelques années, les firmes sont venues nous rencontrer pour nous dire qu’il y avait un grand besoin de main-d’œuvre, a-t-elle poursuivi On s’est alors mis à faire de la promotion et on a vu une hausse d’inscriptions au baccalauréat. Je ne suis pas inquiète pour eux, ils vont tous se placer.» À l’UQÀM, en comparaison, on constate un taux de placement de 90% chez les étudiants au baccalauréat en gestion, alors que selon les données du MELS de 2011, 83,2% des bacheliers en sciences de l’administration dans toute la province avaient déniché un emploi dans les 20 mois suivant l’obtention de leur diplôme. Chaque deux ans, l’UQAT emboîte le pas des autres universités et effectue l’enquête Relance auprès de ses diplômés. Si les données compilées sont pour le moment préliminaires, on peut déjà affirmer que 87% des diplômés de l’UQAT de 2011 et 2012 s’étaient trouvé un emploi à temps plein ou à temps partiel au 1er janvier 2013. «Dans les données préliminaires, 70% des répondants ont dit avoir un emploi à temps plein, mais il faut faire attention parce que 77 des 312 répondants ont dit qu’ils étaient encore aux études», a nuancé Mme Jean. Certains étudiants choisissent donc de ne pas travailler durant leur parcours scolaire. Ce n’est toutefois pas le cas de la majorité, alors que 46% des répondants ont affirmé qu’ils pratiquaient déjà leur métier actuel durant leurs études. C’est entre autres le cas de nombreux étudiants en gestion et en éducation, mais surtout en santé, où 76,3% des étudiants travaillaient durant leur baccalauréat. Cette situation s’applique notamment aux étudiants en sciences infirmières. «Souvent, elles sortent du cégep et sont déjà infirmières, a confirmé la rectrice. Nos programmes sont alors offerts à distance, ou on essaie d’accommoder les horaires des cours à ceux des infirmières en les concentrant sur deux ou trois jours.» Une communauté tissée serrée, les réseaux de contacts des enseignants, les stages en emploi, les facteurs facilitant l’entrée des étudiants de l’UQAT sur le marché du travail sont nombreux. Il faut dire que plusieurs étudiants de l’UQAT étaient déjà travailleurs avant de débuter leurs études et que la clientèle adulte y est nombreuse.  «Notre effectif étudiant n’est pas classique, c’est-à-dire qu’il n’a pas nécessairement terminé son secondaire et fait son cégep avant d’arriver à l’université, a indiqué Mme Jean. Environ 25% de nos étudiants ont ce parcours classique, donc ça se traduit dans les opérations Relance.» Bref, tout est en place pour que les diplômés se trouvent rapidement un emploi en région. www.hebdosregionaux.ca/abitibi-temiscamingue/2013/09/20/placement-etudiant--luqat-en-meilleure-position

Des étudiants proposent de ne plus financer les universités selon le nombre d'inscriptions. Les universités québécoises ne devraient plus être financées par «tête de pipe», soit en fonction du nombre d'étudiants que compte leur établissement, mais plutôt pour leurs activités d'enseignement. Cette nouvelle formule de financement mettrait fin à la «logique d'économie et de clientélisme», selon ses proposeurs, l'Association des étudiantes et étudiants de Laval inscrits aux études supérieures (AELIÉS) et le Regroupement des étudiantes et des étudiants de maîtrise, de diplôme et de doctorat de l'Université de Sherbrooke (REMDUS). www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201309/23/01-4692285-des-etudiants-proposent-de-ne-plus-financer-les-universites-selon-le-nombre-dinscriptions.php

Actuaires, une profession en développement «Depuis plusieurs années, il y a une rareté de main-d'oeuvre chez les actuaires, mais en ce moment, la demande est en croissance», affirme Patricia Taillon, chef d'équipe chez Randstad finance et comptabilité. Outre les employeurs traditionnels des actuaires comme les compagnies d'assurance, les organismes gouvernementaux et paragouvernementaux ainsi que les entreprises d'actuaires-conseils, de plus en plus de types d'entreprises constatent que les actuaires peuvent leur être très utiles. «Depuis plusieurs années, il y a une rareté de main-d'oeuvre chez les actuaires, mais en ce moment, la demande est en croissance, particulièrement dans le domaine de la gestion des risques dans les institutions financières», affirme Patricia Taillon, chef d'équipe, services financiers, chez Randstad finance et comptabilité, une entreprise de solutions d'embauche. L'actuariat se sépare en deux grands domaines: les risques sur la vie et les risques de dommage. http://affaires.lapresse.ca/cv/emplois/201309/16/01-4689863-actuaires-une-profession-en-developpement.php

Conférence des recteurs: l'Université de Montréal veut une cotisation égale www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201309/19/01-4691227-conference-des-recteurs-luniversite-de-montreal-veut-une-cotisation-egale.php 

Documentation
Bienvenue à l’Association des Centres de recherche d’emploi du Québec (ACREQ) ! www.cre.qc.ca/index.html

Jasmin Roy présente Intimidés: des élèves de Val-Bélair émus et touchés. Jasmin Roy était de passage à Québec, lundi, pour une projection de la série documentaire Intimidés. Canal Vie diffusera, à compter du 23 septembre, la série Intimidés qui porte sur l’intimidation. Jasmin Roy, derrière cette série, était de passage dans une école de Québec lundi, pour une projection en présence de jeunes et d’intervenants jeunesse. www.journaldequebec.com/2013/09/16/jasmin-roy-presente-intimides-des-eleves-de-val-belair-emus-et-touches

Scaphandrier de terrains de golf
Je récupère les balles de golf au fond des étangs depuis 30 ans. J’ai des contrats avec une trentaine de terrains dans les Laurentides, à Terrebonne, près de Québec, etc. Je récolte environ 2 000 balles par jour. Avant de plonger, j’observe le terrain pour déterminer où les balles risquent de se retrouver. Je passe environ une heure par étang et je les revisite à peu près aux trois semaines. www.jobboom.com/carriere/scaphandrier-de-terrains-de-golf/

Internet relance les mariages La chercheuse émet l’hypothèse que la compatibilité des caractères serait mieux définie quand on communique par courriel plutôt que par les moyens traditionnels. Joanie n'y croyait pas trop, mais elle s'est rendue au rendez-vous fixé par Mathieu après avoir consulté son profil sur Réseau Contact. «Quand on s'est vus... Wow! Quelle surprise! On ne se lâche plus depuis ce jour!» écrit-elle sur la page d'accueil du «plus grand site de célibataires au Québec». www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-sociales-psychologie/20130916-internet-relance-les-mariages.html
  

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À noter à votre agenda

C'est officiel: l'OCCOQ recevra le Congrès mondial de l'Association internationale d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec du 4 au 6 juin 2014. L'ACOC sera au rendez-vous ! Sur le site de l'Ordre  les frais d'inscription
.
Le nouveau Conseil exécutif et les Comités
Partenaires du Xe Congrès 
de l'ACOC à l'UQAT

En 2012-2013, nous avons franchi le cap des
100 000 visites du Bulletin (122 000) 
et 500 000 du site ACOC (585 000)

Bruno Tremblay, c.o. conseiller aux communications de l'ACOC acocinfo@gmail.com

Abonnement au bulletin électronique
Quelque Chose de l'ACOC

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Les modalités d'inscription au bulletin sont mentionnées sur le site 

16 septembre 2013

V 12 No 3: Santé mentale de A-Z

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
(860 membres, 12e saison du bulletin électronique)
Tourbière à St-Raymond de Portneuf (sept. 2013)

Section Nouvelles
Emplois dans le réseau collégial
Poste de c.o. au Collège d'Alma Date limite : 16 septembre

Concept clé : La cohérence centrale (L'orientation avec la clientèle émergente blogue de l'ACOC) La cohérence centrale est un autre concept clé pour comprendre ce qu'expérimente une personne Asperger ou autiste, surtout au travail ou durant les études. La cohérence centrale est la capacité du cerveau à faire des liens entre les différentes informations qui sont perçues et de les organiser en un tout cohérent. En une fraction de seconde, notre cerveau est capable de distinguer des formes, des couleurs, des sons et de les lier avec des éléments de la mémoire pour y donner une signification claire. Chez les personnes TSA, le cerveau ne fait pas automatiquement ou fait seulement en partie ce travail. Pour prendre un exemple simpliste, lorsque nous regardons un arbre, nous voyons effectivement des feuilles et des branches, mais nous retenons qu'il s'agit d'un arbre. La personne autiste va voir avec beaucoup de détails le relief de chaque feuille, leur variation, la présence de fleurs, etc... mais ne déduira pas spontanément l'ensemble qui s'en dégage. Le sens devra être travaillé « manuellement » et consciemment. C'est la raison pour laquelle la plupart des étudiants que je rencontre ont de la difficulté dans les cours de philosophie, où on leur demande de lire un ouvrage volumineux et d'en dégager une synthèse. Il leur est très difficile d'avoir une vision d'ensemble. Cliquez ici pour la suite Émilie Robert c.o.

Santé mentale de A-Z (documentation et vidéo) www.douglas.qc.ca/info_sante/troubles

« Il n'est aucunement question d'une baisse du salaire des professeurs de cégep. » - Stéphane Bédard. Le ministre responsable de l'Administration gouvernementale et président du Conseil du trésor, Stéphane Bédard, tient à rectifier une information erronée à l'effet que le Conseil du trésor aurait réévalué à la baisse le salaire des professeurs de cégep. « Comme la grande majorité des salariés du secteur public, les professeurs de cégep ont en poche une convention collective valide jusqu'au 31 mars 2015. Il n'est donc aucunement question que le gouvernement diminue leur salaire », a déclaré le ministre Bédard. Les parties ont tenu en juin dernier un premier échange à propos de la valeur de l'emploi d'enseignants des collèges. Plusieurs autres échanges sont à prévoir au cours des prochains mois. Aussi, jusqu'à présent, il n'a jamais été question de salaire ou de structure salariale des enseignants des collèges dans le cadre de ces travaux, ni de modification au plan de classification. Rappelons qu'une entente visant à mener des travaux sur les relativités salariales a été conclue entre le gouvernement et les grandes organisations syndicales lors de la dernière ronde de négociation. Des travaux sont en cours à ce sujet depuis l'automne 2012. Ils visent essentiellement à évaluer des emplois qui n'ont pas été visés par les travaux relatifs à l'équité salariale, puisqu'ils étaient sans prédominance, masculine ou féminine. Une trentaine de catégories d'emplois feront l'objet d'une telle évaluation, notamment celle des enseignants des collèges. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Septembre2013/09/c5416.html    

La réévaluation des salaires des profs de cégep surprend le milieu Le ministre de l'Enseignement supérieur, Pierre Duchesne, a affirmé sur Twitter, dimanche, que les informations véhiculées dans les médias par rapport à la baisse de salaire des professeurs de cégep «étaient incomplètes». Il n'a toutefois émis aucun commentaire lorsque contacté par Le Soleil plus tôt en journée. La réévaluation du salaire des professeurs de cégep était prévue à leur convention collective. Mais les résultats présentés par le Conseil du trésor, qui envisage une diminution salariale de 5 %, ont malgré tout pris le milieu par surprise. Tel que le rapportait Le Devoir, samedi, le Conseil du trésor a réévalué à la baisse le salaire à verser aux professeurs de cégep à travers la province. Le gouvernement a fait part de ses résultats en juin aux regroupements syndicaux. Selon Sacha Calixte, président du syndicat des professeurs au Cégep Limoilou et représentant à la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ), cette réévaluation était prévue depuis 2002, mais n'a été réalisée que cette année. La réévaluation «faisait partie de la présente convention collective», a-t-il affirmé en entrevue au Soleil. Les résultats sont malgré tout tombés «comme une tonne de briques» dans le milieu collégial. L'analyse consistait à comparer les salaires octroyés aux différents corps de métier de la fonction publique pour ensuite fixer un échelon salarial. Situés au 22e échelon, les professeurs de cégep chuteraient au 21e. Ils se retrouveraient ainsi à gagner moins d'argent que leurs confrères des niveaux secondaire et primaire. Actuellement, un professeur de cégep gagne entre 38 000 $ et 74 000 $. Dans la foulée de sa décision, le Conseil du trésor ne reconnaîtrait plus la valeur ajoutée accordée aux professeurs détenteurs d'une maîtrise ou d'un doctorat, effaçant d'un seul coup trois échelons salariaux. «C'est ça qui est incompréhensible, a pesté M. Calixte. Le gouvernement a scindé le ministère de l'Éducation en deux pour faire le ministère de l'Enseignement supérieur et a reconnu l'importance du collégial. Ça n'encourage pas les jeunes qui se destineraient à une carrière en enseignement à aller plus loin [après le baccalauréat].» M. Calixte estime à 40 % la proportion de professeurs au collégial qui détiennent une maîtrise ou un doctorat. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201309/08/01-4687322-la-reevaluation-des-salaires-des-profs-de-cegep-surprend-le-milieu.php

Baisse salariale en vue pour les professeurs de cégep
Des 600 catégories d’emplois dans les secteurs public et parapublic, les enseignants au cégep ont été la seule catégorie à subir une dévaluation, a indiqué Micheline Thibodeau, responsable du regroupement cégep de la Fédération nationale des enseignants (FNEEQ-CSN) Les profs de cégep perdent du galon. Le Conseil du trésor a réévalué leurs tâches et leur offre désormais un salaire moindre que les enseignants au préscolaire, au primaire et au secondaire. La Fédération nationale des enseignants (FNEEQ-CSN) a déjà voté pour des moyens de pression afin de faire reculer le gouvernement. « Je peux vous dire que les enseignants sont en colère », a déclaré au Devoir, Micheline Thibodeau, responsable du regroupement cégep de la Fédération nationale des enseignants (FNEEQ-CSN), qui représente plus des trois quarts des profs de cégep. En clair : cette réévaluation, qui les a déclassés d’un rang (de la 22e à la 21e place), baisse de 5 % leur salaire (ce qui correspondrait à trois à quatre semaines de salaire). Elle ne permet plus aux enseignants des collèges de faire reconnaître une maîtrise ou un doctorat. « On ne comprend pas l’attitude du gouvernement. Il a formé un ministère de l’Enseignement supérieur, il a reconnu le collégial, mais le Conseil du trésor vient maintenant nous dire qu’on est en deçà des profs de maternelle », a lancé Mme Thibodeau. www.ledevoir.com/societe/education/386906/baisse-salariale-en-vue-pour-les-profs-de-cegep

Qui aime son emploi?
Selon une étude, les membres du clergé, les pompiers, les agents de voyages, les mécaniciens et les architectes sont parmi les plus heureux au boulot.  On aspire tous à trouver un emploi qu’on aime et qui nous rend heureux. Pourtant, peu d’entre nous y parviennent. Qui sont ces gens heureux au travail et quel métier exercent-ils? Comment peut-on s’en inspirer? On peut s’accommoder d’un travail, en être satisfait, l’aimer, et la langue de Shakespeare pourrait ajouter une autre nuance entre le «like» et le «love». Le pourcentage des gens qui «aiment» leur travail varie en partie selon les définitions, puis selon les études sur le sujet. Celles-ci s’entendent néanmoins sur un point : la grande majorité des gens n’aiment pas leur travail. Les résultats de deux sondages publiés par le Globe & Mail soutiennent encore la thèse de l’insatisfaction générale : 77 % des Britanniques considèrent avoir fait un mauvais choix de carrière, et seulement 19 % des Américains se disent satisfaits de leur travail. Qu’est-ce qui fait en sorte qu’un travailleur aime son emploi? D’abord, l’absence d’irritants, puisque ceux-ci risqueraient de lui faire détester son boulot. Le patron figure généralement en tête de liste des facteurs aggravants, suivi par le manque de reconnaissance et la politique interne, tous deux directement ou indirectement liés à la direction. Quant aux facteurs qui font en sorte qu’un travailleur aime son emploi, les tâches en elles-mêmes ont un impact important sur la satisfaction, ce qui n’a rien d’étonnant. Toutefois, selon une étude d’un sociologue de l’Université du Minnesota, c’est le degré d’autonomie au travail qui influence le plus la satisfaction. Puis, les gens avec qui on travaille, le patron, mais aussi les employés qu’on côtoie au quotidien, pèsent dans la balance. Enfin, on est un peu tous responsables de son bonheur : est-ce qu’on est quelqu’un d’optimiste qui s’accommode bien des côtés moins plaisants de tout travail? C’est le fameux test du verre à moitié vide ou à moitié plein, en somme. Les emplois qui rendent heureux. Selon des chercheurs de l’Université de Chicago, les membres du clergé, les pompiers, les agents de voyages, les mécaniciens, les architectes, les professeurs en éducation spécialisée, les acteurs, les chercheurs scientifiques, les ingénieurs industriels et les pilotes d’avion seraient les travailleurs les plus heureux au boulot. Ce sont des emplois qui demandent tous des habiletés particulières assez spécialisées, ce qui laisse supposer aussi une certaine autonomie et un plus grand contrôle dans la réalisation des tâches. Mais les chercheurs avancent que ce serait le côté humain qui apporterait le plus de satisfaction dans un emploi : les travailleurs de ces métiers interagissent directement avec les gens qu’ils «aident», de sorte qu’ils peuvent profiter immédiatement d’une retombée positive de leur emploi, d’une reconnaissance. Les aptitudes pour mieux aimer son emploi Dénicher un emploi pour lequel on est formé et qui correspond à ses critères n’est pas chose facile. Il est toutefois moins sorcier de simplement intégrer certains facteurs de satisfaction à son emploi actuel. Trois trucs. Mieux pondérer les hauts et les bas du quotidien : chaque travail aurait sa tâche ingrate. Est-ce qu’on en fait tout un plat ou la relativise-t-on en la comparant aux autres tâches reliées à notre emploi? De quelle façon peut-on s’assurer que cette tâche occupe moins de notre temps ou, à tout le moins, de nos pensées? Se rapprocher des gens avec qui on travaille ou pour qui on travaille. On ne sauve pas tous des vies dans nos emplois, mais il reste que souvent, notre travail a un impact bénéfique sur au moins une personne. En se rapprochant des collègues et des clients, on multiplie les occasions de créer des liens interpersonnels valorisants. Il n’y a pas que le patron qui a ce pouvoir! Se concentrer sur le moment présent. C’est durant l’exécution d’une tâche qui nous demande 100 % de notre attention qu’on est dans l’état d’esprit le plus positif. On a alors l’agréable sensation d’accomplir quelque chose en parfaite autonomie. Il faut donc tenter de multiplier ces occasions. http://journalmetro.com/plus/carrieres/366787/qui-aime-son-emploi/

Les études enrichissent moins qu’avant
Les études enrichissent moins qu’avant. S’instruire c’est s’enrichir disaient certains parents. À leur époque peut-être, mais aujourd’hui c’est moins vrai, tendent à démontrer de récentes études. Le Canada enregistre une offre excédentaire de diplômés postsecondaires. Les avantages qu’offrent les études universitaires en termes d’emploi ou de rémunération tendent à s’amoindrir. Voilà le constat que faisait la Banque CIBC dans une étude publiée lundi. «Avoir fait des études supérieures est peut-être un pré-requis pour obtenir un bon emploi au Canada, mais cela ne suffit plus, estime Benjamin Tal, économiste en chef à la Banque CIBC. Il faut faire plus attention en choisissant le type de filière dans lequel on veut étudier.» www.jobboom.com/carriere/les-etudes-enrichissent-moins-qu-avant/

Semaine MON CÉGEP À VÉLO : Les cégeps se mobilisent pour la promotion du vélo en ville!  Pour une 4e année consécutive, 14 cégeps* de Montréal et des environs unissent leurs efforts pour organiser une rentrée scolaire à deux roues! La semaine MON CÉGEP À VÉLO, qui se tiendra du 16 au 20 septembre prochain, marque le déploiement d'un programme d'activités des plus variées en lien avec le transport en vélo et le partage de la route. Il s'agit d'une occasion unique de sensibiliser les jeunes aux transports actifs. Cette initiative permet d'atteindre plus de 55 000 étudiants sur le territoire de Montréal et des environs. De plus, elle marque une collaboration entre différents acteurs collégiaux issus des secteurs de l'animation socioculturelle, de l'environnement et du sport étudiant. Pour plus d'information, consultez la page Facebook MON CÉGEP À VÉLO ou le site Web des différents cégeps participants. * Collège Ahuntsic, Collège André-Grasset, Cégep André-Laurendeau, Dawson College, Collège Édouard-Montpetit, Cégep Gérald-Godin, Collège Jean-de-Brébeuf, Collège Montmorency, Collège de Rosemont, Cégep Marie-Victorin, Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu, Cégep de Saint-Laurent, Vanier College et Cégep du Vieux Montréal. www.facebook.com/MonCegepavelo  et www.equiterre.org/evenement/semaine-mon-cegep-a-velo

Projet de campus à Drummondville. L’UQTR obtient l’autorisation du gouvernement québécois www.uqtr.ca/media/Comm2013/Septembre/comm8_confirmationcampusDrummondville_sept13.pdf

Campus de l'UQTR à Drummondville: «une mobilisation inspirante» L'annonce du campus de l'UQTR de Drummondville a été faite par plus d'un intervenant dont Yves-François Blanchet, ministre régional, Pauline Marois, première ministre du Québec et Pierre Duchesne, ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie. «C'est une mobilisation inspirante des acteurs régionaux.» La première ministre Pauline Marois a annoncé, vendredi, l'implantation d'un campus de l'UQTR à Drummondville au coût de 30 millions de dollars. Si la contribution de Québec se situe à 3,3 millions de dollars par année pour les frais de fonctionnement, les dons centricois s'élèvent à 8,3 millions de dollars. www.lapresse.ca/le-nouvelliste/actualites/201309/06/01-4686981-campus-de-luqtr-a-drummondville-une-mobilisation-inspirante.php  

LA FÉDÉRATION DES CÉGEPS FÉLICITE LES LAURÉATS DE FORCES AVENIR AU COLLÉGIAL La Fédération des cégeps félicite les 12 lauréates et lauréats du programme Forces AVENIR au collégial, dont les noms ont été dévoilés hier soir dans le cadre du gala Forces AVENIR, animé par M. Stéphan Bureau. Quelque 400 personnes ont assisté à l’événement, qui a eu lieu au Théâtre Capitole de Québec, pour applaudir les finalistes de la troisième édition du programme au collégial. « Chaque année, nous vivons au gala un moment privilégié. Un moment où nous prenons le temps d’honorer et de célébrer l’engagement exceptionnel de nos étudiantes et de nos étudiants qui témoignent de manière éloquente de tout le dynamisme et la créativité dont les jeunes du collégial sont capables » a déclaré Jean Beauchesne, président-directeur général de la Fédération des cégeps. 58 000 $ en bourses et un stage international décernés. www.fedecegeps.qc.ca/salle-de-presse/communiques/2013/09/la-federation-des-cegeps-felicite-les-laureats-de-forces-avenir-au-collegial-3

L’emploi recule encore au Québec
Le taux de chômage baisse à 7,9% parce que la population active diminue. «La première ministre Pauline Marois s’est dite optimiste malgré les données de l'emploi.» Le taux de chômage revient sous la barre des 8 %, mais l’économie québécoise a perdu 5000 emplois en août après l’hécatombe de 30 400 postes au mois de juillet, indiquent les données de Statistique Canada. La situation des derniers mois est telle que depuis un an, le niveau d’emploi au Québec n’a pas crû, a indiqué l’agence. Des économistes ont précisé que la moyenne des provinces a vécu une augmentation de 1,4 %, comparativement à 2,2 % pour le voisin qu’est l’Ontario. « Les données de ce matin permettent de faire deux constats : d’une part, le tableau de l’emploi se détériore moins au Québec que le mois précédent. D’autre part, la santé du marché du travail se redresse en Ontario », a opiné une économiste du Mouvement Desjardins, Joëlle Noreau, dans une note aux clients. Le taux de chômage au Québec est passé de 8,2 % à 7,9 %, ce qui, selon Statistique Canada, s’explique par le fait que des gens ont quitté le monde du travail. Dans le détail, l’économie a créé 21 200 postes à temps plein, dont l’effet a été contrecarré par la perte de 26 000 emplois à temps partiel. Au Canada, qui dans l’ensemble a observé une création nette de 59 000 emplois, le taux de chômage est passé de 7,2 à 7,1 %. « Bien que la situation demeure stable, il faut être optimiste, puisque depuis le début de l’année, l’emploi a connu une bonne progression, a dit la ministre du Travail, Agnès Maltais. Le marché du travail québécois fait preuve de solidité, puisque les emplois créés au Québec sont à temps plein. En effet, de janvier à août 2013, [le nombre d’emplois] a progressé de 62 200, dont 52 300 à temps plein, par rapport à la même période en 2012. » Le Mouvement Desjardins croit qu’il y aura d’ici la fin de l’année une « amélioration très graduelle du marché du travail ». D’une part, le secteur manufacturier « bat de l’aile » et l’optimisme des entreprises n’est pas au sommet de sa forme. D’autre part, le marché de l’emploi fait des gains aux États-Unis. Même si ces derniers ne sont pas à la hauteur des attentes, cette avancée augure positivement de ce côté-ci de la frontière, a écrit Mme Noreau. Pour l’année 2013 dans son ensemble, les prévisions de croissance économique sont plutôt modestes. À la Banque Nationale, les économistes croient que le produit intérieur brut pourrait croître de 1,2 %, à condition que le volume des exportations maintienne le rythme affiché au cours du deuxième trimestre. www.ledevoir.com/economie/emploi/386885/l-emploi-recule-encore-au-quebec?

Malgré l'endettement sans précédent des étudiantes et étudiants, les frais de scolarité augmentent dans la plupart des provinces. Les frais de scolarité augmentent pour la vaste majorité des étudiantes et étudiants des collèges et universités cette année, selon un rapport publié le 12 septembre par Statistique Canada. www.newswire.ca/fr/story/1223721/malgre-l-endettement-sans-precedent-des-etudiantes-et-etudiants-les-frais-de-scolarite-augmentent-dans-la-plupart-des-provinces

Le Cégep Garneau veut faire le «tour du Québec» Pédaler ou marcher l’équivalent du tour du Québec, soit 10 000 km, tel est le défi que s’est lancé le Cégep Garneau avec le projet «À pied, à vélo, on se passe le mot!». Autant les étudiants que les membres du personnel sont invités à participer au défi sportif qui se poursuit jusqu’au 4 octobre. L’initiative étudiante, pilotée par l’entreprise-école Garneau Travail, cible les kilomètres parcourus chaque jour dans le cadre des déplacements utilitaires. «On a commencé à faire de la publicité de différentes manières. On vend des blés d’inde pour attirer les gens et les inscrire ensuite à l’activité. On fait de la publicité aussi sur la page Facebook», a résumé Charlotte Douillard de Garneau Travail. Économies de temps et d’énergie. «Le transport actif et sécuritaire est une solution de rechange simple à d’autres moyens de transport comme l’auto ou l’autobus, et non seulement bénéfique pour la santé, mais peut aussi permettre d’économiser temps et argent», a indiqué le porte-parole du projet et athlète olympique Alex Harvey, lui-même diplômé du Cégep Garneau. Le fondeur de Saint-Ferréol-les-Neiges se prépare depuis mai dernier aux Jeux olympiques d’hiver de Sotchi en 2014, que ce soit l’entraînement en vélo de montagne ou en ski à roulettes, en plus des camps d’entraînement en Oregon et en Nouvelle-Zélande sur des pistes enneigées. Alex Harvey se voit à Sotchi en 2014 et aux Jeux olympiques de 2018, après il compte réfléchir sur l’avenir de sa carrière d’athlète olympique. L’objectif d’«À pied, à vélo, on se passe le mot!» est de favoriser la promotion des transports actifs et sécuritaires par le biais d’une compétition amicale. Le projet s’inscrit dans le cadre de la Semaine des transports collectifs et actifs au Québec, se déroulant du 16 au 22 septembre 2013. Information: www.garneautravail.com

Taxes: les commissions scolaires pourraient être forcées de rembourser. Le gouvernement Marois envisage de forcer les commissions scolaires à rembourser les contribuables qui ont subi une hausse de taxe salée, a appris La Presse. Selon des documents provenant du Conseil exécutif, il songe également à demander au Vérificateur général du Québec de faire enquête sur la gestion des commissions scolaires et même de limiter ou de retirer leur pouvoir de taxation. Il pourrait les contraindre à justifier leurs décisions devant une commission parlementaire ou encore à réduire leurs dépenses administratives, toujours selon les scénarios à l'étude. www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201309/12/01-4688816-taxes-les-commissions-scolaires-pourraient-etre-forcees-de-rembourser.php

Trois ans et 1,1 M $ pour des mines plus écologiques Les projets miniers pourraient éventuellement être mieux acceptés par la société grâce à un ambitieux projet de recherche pour lequel le Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue et l’UQAT bénéficieront d’une enveloppe de 1,1 M $ répartie sur trois ans. www.abitibiexpress.ca/Actualites/Economie/2013-09-09/article-3380919/Trois-ans-et-1%2C1-M-%24-pour-des-mines-plus-ecologiques/1

Les candidats plus âgés plaisent aux employeurs. Ils manquent de vitesse et de dynamisme, sont moins habiles avec la technologie… Les chômeurs âgés se sont longtemps battus contre ces stéréotypes. Mais quelques employeurs américains voient chez ces candidats plus âgés précisément ce qu’ils recherchent. http://journalmetro.com/plus/carrieres/371815/les-candidats-plus-ages-plaisent-aux-employeurs/

Collégial
Emploi à temps partiel : des étudiants se feraient « voler » leur job. Le taux de chômage chez les étudiants canadiens âgés de 15 à 18 ans à la recherche d'un poste à temps partiel atteint un sommet historique de plus de 20 %, car un nombre croissant de travailleurs plus âgés occupent ces emplois précaires, affirme jeudi la Banque CIBC dans un rapport. Ainsi, les adolescents canadiens ont de la difficulté à dénicher des emplois à temps partiel (postes traditionnellement occupés par des étudiants dans le commerce de détail, les restaurants, etc.) non parce que l’économie s’effondre, mais parce que la qualité des emplois en général se dégrade. Ce qui pousse des adultes à accepter des emplois à temps partiel, faute de mieux. « La part des effectifs employés dans le secteur manufacturier diminue de façon soutenue, et dernièrement, les gouvernements ont également effectué des compressions », a déclaré dans un communiqué Avery Shenfeld, économiste en chef de la Banque CIBC. « La pénurie d'emplois plus rémunérateurs a contraint certains parents à accepter le genre d'emplois qui étaient réservés auparavant aux étudiants adolescents. » De 2007 à 2012, les 15-18 ans ont vu leurs emplois diminuer de plus de 10 %, dans la restauration, de plus 20 % dans le commerce de détail (vendeurs, caissiers, etc.) et de plus de 30 % dans les autres secteurs. Pendant ce temps, les 18 ans et plus ont occupé davantage d’emplois dans ces secteurs, notamment dans la restauration (une hausse d’environ 30 %). http://argent.canoe.ca/nouvelles/emploi-temps-partiel-des-etudiants-se-feraient-voler-leur-job-6092013?p=546685

Lancement de la plateforme d'information du Cégep Garneau : FLASH CAMPUS Le Cégep Garneau a lancé le 10 septembre une nouvelle plateforme d'information essentiellement destinée aux étudiants et aux membres du personnel de l'institution mais également à tous les gens qui s'intéressent au monde collégial. Intitulé Flash Campus, ce nouvel outil de communication est unique et très avant-gardiste. Le Flash Campus, c'est la destination de l'information pour connaître ce qui se passe au Cégep, ce que nous faisons d'un bout à l'autre de ce campus : l'actualité dans les programmes, aux sports, à la culture, mais aussi à l'emploi, les technologies' et bien sûr à l'international! Le Flash Campus propose un visuel fort, une information brève, une invitation à nous connaître. Le Cégep Garneau est une grande institution, par sa notoriété, d'abord. La qualité de sa formation et des activités qui y sont offertes est exceptionnelle. C'est aussi 6 000 étudiants au régulier, 3 000 à la formation continue, et près de 1 000 personnes qui y travaillent. C'est un formidable campus, vanté pour sa beauté et apprécié par sa position au cœur de Québec. Ce campus qui s'étale sur près d'un kilomètre, où tout ce monde circule dans neuf édifices distincts. Ajoutons qu'à chaque instant, un bon nombre d'étudiants et de professeurs se retrouvent quelque part sur la planète. Le Cégep Garneau devait réussir à faire circuler l'information à travers ce monde. « Nous croyons que l'information c'est un vecteur qui permet de nous rapprocher, de nous connaître les uns les autres. Nous croyons qu'une bonne communication permet de nous développer, collectivement, en profitant des expériences qui se vivent sur notre campus et des opportunités qui s'offrent quotidiennement » indique la directrice des communications, Sylvie Fortin. Consultez le Flash Campus au http://cegepgarneau.ca/flashcampus

Une première cohorte du programme d'écogestion des risques côtiers au Campus des Îles-de-la-Madeleine. Groupe Collegia est heureux d’accueillir les 16 étudiants qui composent la toute première cohorte de l’attestation d’études collégiales d’Écogestion des risques côtiers au Campus des Îles-de-la-Madeleine. Ces étudiants et ces enseignants réunis dans les classes concrétisent un projet entrepris il y a déjà plusieurs années. Dans le premier bloc de l’automne, les étudiants suivront sept cours, dispensés par une équipe de cinq enseignants, allant de la cartographie à la biologie côtière en passant par la stabilisation, l’aménagement et la protection des zones côtières. Unique au Québec, l’AEC en Écogestion des risques côtiers, d’une durée d’un an, vise à former des personnes qui effectueront la gestion durable des milieux côtiers, de plus en plus perturbés par les impacts liés aux changements climatiques et par les nombreuses activités qui s’y déroulent. Cette réalité est bien présente partout en province et même au-delà. De par la géographie de l’archipel, il s’agit d’un milieu tout indiqué pour l’expérimentation des notions apprises lors de la formation. C’est donc l’accès à un fabuleux laboratoire qui est offert aux étudiants. « Groupe Collegia se réjouit de pouvoir compter, depuis le début de cette belle aventure, sur la collaboration de multiples intervenants des Îles-de-la-Madeleine et d’ailleurs (ministères, municipalités, organismes environnementaux, firmes privées de génie-conseil, etc.) qui seront, à partir de maintenant, autant de ressources enrichissant le cheminement des étudiants dans le programme », indique le directeur du Groupe Collegia, Sylvain Vachon. Les personnes intéressées à ce programme peuvent communiquer avec la conseillère à la formation de Groupe Collegia www.collegia.qc.ca

Programme d'arrimage universités-collèges - Le ministre Pierre Duchesne annonce 5 M$ pour la réalisation de 16 projets en 2013-2014 et un engagement de 15 M$ pour l'an prochain. De passage à l'Université du Québec, le ministre a dévoilé le projet présenté par trois établissements de ce réseau et par six collèges des régions de l'Abitibi-Témiscamingue, du Bas-Saint-Laurent et du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Ces derniers ont mis en commun leurs connaissances et expériences pour développer des initiatives liées au cheminement scolaire des étudiants de première génération (EPG), c'est-à-dire ceux dont les parents ne sont allés ni au collège ni à l'université. À partir des résultats des travaux et des expérimentations qui seront effectués par cette communauté de pratique, un modèle d'intervention auprès des EPG sera créé afin d'intervenir dans les moments les plus sensibles de leur parcours scolaire, à partir du 2e cycle du primaire jusqu'aux cycles supérieurs de l'université. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Septembre2013/05/c4511.html

La vie à l'envers
Sébastien Leroux, directeur exécutif des services de protection au Québec chez Garda World, souhaite défaire le cliché de «l'agent à la casquette faisant une sieste les pieds sur le bureau» pendant ses quarts de nuit. «Les agents font des rondes avec poinçons. Ils ont une longue liste de tâches à accomplir», assure-t-il. Ils sont policiers, infirmiers, gardiens de sécurité, machinistes et ils vivent à l'envers du monde. Les travailleurs de nuit doivent composer avec les nombreux effets du dérèglement de leur rythme biologique. Partout, des employeurs prennent des moyens pour leur assurer plus de confort et de sécurité. Le lieu s'apparente au centre de commandement et de traitement de l'information du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), en plus petit. Devant leurs écrans, les répartiteurs du Groupe de sécurité Garda World assurent le déploiement des agents, de jour comme de nuit. «Les employés de jour ont plus d'ancienneté. Il y a tout de même des employés qui choisissent le travail de nuit parce qu'il est moins stressant. Notre principale difficulté, c'est le recrutement des jeunes», constate Sébastien Leroux, directeur exécutif des services de protection au Québec chez Garda World.  «La nuit, il y a moins de stimuli sonores, moins d'interférences, observe Denis Beauchesne, coordonnateur d'activités au CSSS du Lac-des-Deux-Montagnes. Les échanges sont plus fréquents et cordiaux. Réduit en nombre, le personnel fait preuve d'une grande solidarité pour maintenir la qualité de services», assure M. Beauchesne, qui agit comme seul gestionnaire en place la nuit à l'Hôpital de Saint-Eustache. «Évidemment, le facteur fatigue est présent. Malgré un sommeil réparateur, on ressent toujours une pesanteur lorsque la nuit se termine», ajoute-t-il. Selon Marie Dumont, codirectrice du Laboratoire de chronobiologie de l'hôpital du Sacré-Coeur, le travail de nuit est néfaste pour la santé. «Nous sommes des êtres diurnes. L'horaire de nuit cause une désynchronisation interne. L'horloge biologique tente de s'ajuster, mais elle n'y arrive pas complètement. Les premiers problèmes touchent le sommeil et la vigilance», affirme la professeure de psychiatrie à l'Université de Montréal. Seuls 10 à 12% des travailleurs de nuit arrivent à s'adapter. "À court terme, le travail de nuit cause des problèmes de digestion et de poids. À long terme, il augmente les risques de troubles cardiovasculaires et de cancer», constate Mme Dumont. En poste depuis sept ans, Denis Beauchesne convient que le travail de nuit nécessite l'adoption de saines habitudes de vie. «Il faut mettre les chances de notre côté: bien dormir, faire de l'exercice et avoir une bonne alimentation», soutient-il. Chez Garda, les quelque 4000 employés de nuit doivent se rapporter toutes les heures par mesure sécuritaire. «Les agents sont parfois seuls sur des chantiers ou des sites industriels. Si nous sommes sans nouvelles d'un employé, un patrouilleur se rendra sur place», explique M. Leroux. Quant à leur vigilance, le directeur exécutif souhaite défaire le cliché de «l'agent à la casquette faisant une sieste les pieds sur le bureau». «Les agents font des rondes avec poinçons. Ils ont une longue liste de tâches à accomplir», assure-t-il. À l'Hôpital de Saint-Eustache, le personnel de nuit bénéficie de 2 pauses, en plus de 45 minutes de repas. «Pour eux, la routine est importante. Ils sont en mode économie d'énergie et font souvent les mêmes actions aux mêmes heures. La plupart accolent leurs pauses et vont dormir. Des lits sont disponibles à cette fin», mentionne M. Leroux, qui peut joindre sa supérieure en renfort à tout moment. Des quarts de travail plus courts, des congés et une bonne prédictibilité de l'horaire, voilà l'essentiel des recommandations qu'émet Mme Dumont à l'égard des employeurs: «Leur mode de vie est difficile. Les horaires devraient être fournis à l'avance afin que le travailleur se prépare. Les affectations tardives augmentent le niveau de stress, de fatigue et d'isolement social.»  Les temps de repos sont essentiels, rappelle-t-elle: «Il n'y a pas de nombre d'heures idéal. Tout dépend du type d'emploi, qui diffère beaucoup de l'agent de sécurité à l'infirmière aux urgences. Il faut rencontrer ses employés, aborder les difficultés rencontrées et trouver des solutions.» Quant au service de garde offert aux employés, Mme Dumont est plus nuancée. «Ce service entraînera-t-il une hausse d'emplois de nuit? En raison du coût social et de santé, le travail de nuit devrait être réservé aux services essentiels», conclut Mme Dumont. http://affaires.lapresse.ca/cv/201309/09/01-4687521-la-vie-a-lenvers.php


Commission scolaire des Chênes 99 % des élèves acceptés au collégial. Les plus récentes données statistiques relatives à l’admission au niveau collégial ont de quoi réjouir la Commission scolaire des Chênes, les élèves et leurs parents. En effet, selon le Service régional d’admission du Montréal métropolitain (SRAM), pour l’automne 2013, 537 des 540 candidats ayant poursuivi un démarche complète ont été acceptés. Ce qui signifie donc que 99 % de nos finissantes et finissants qui présentent une demande sont acceptés au niveau collégial. Parmi les écoles recensées, notons les écoles La Poudrière, Jeanne-Mance, Marie-Rivier, Jean-Raimbault, ainsi que le Centre de formation générale aux adultes Sainte-Thérèse et le Centre de formation professionnelle Paul-Rousseau. Au dire de Mario Bélisle, directeur adjoint au Service des ressources éducatives aux jeunes de la commission scolaire, ces nouvelles statistiques appuient le fait que les ressources étant à la disposition de la clientèle sont efficaces et répondent aux besoins des futurs finissants. Rappelons que le SRAM est né en 1973 de la volonté de 14 cégeps de la région de Montréal de trouver une solution au problème des demandes d’admission multiples. Depuis 1973, dans un objectif d’admissibilité, les candidats doivent se limiter à une seule demande d’admission, à l’intérieur de ce groupe de cégeps avec la possibilité de participer à trois tours. Chaque candidat ne réservant qu’une seule place, les taux d’admission augmentent et les cégeps peuvent compter sur des candidats réels. Au fil des ans d’autres cégeps ont demandé leur adhésion au SRAM. Il regroupe maintenant 32 organismes et est au service des étudiants, des établissements, de l’ordre collégial et du réseau des cégeps. www.hebdosregionaux.ca/centre-du-quebec/2013/09/09/99--des-eleves-acceptes-au-collegial 

Protection de la faune (AEC)

Universitaire
Criminologie clinique à l'UQO : des stages avec les Services correctionnels canadiens Le recteur de l’Université du Québec en Outaouais, monsieur Jean Vaillancourt et les responsables du programme de deuxième cycle en criminologie clinique sont particulièrement fiers d’avoir signé un protocole d’entente avec madame Pamela Yates, Ph.D. directrice intérimaire de la Division des Programmes de réinsertion sociale aux Services correctionnels canadiens (SCC). Le but de ce protocole d'entente est de permettre d’une part, la réalisation de stages de formation de niveau des études supérieures pour les étudiants de l’UQO inscrits au DESS, spécialisation en criminologie clinique, dans des unités opérationnelles et administratives du SCC. D’autre part, ce Protocole permet au SCC de collaborer à la mise à jour des plans de formation offerts à l’UQO et ainsi contribuer à la formation d’une main-d'œuvre hautement qualifiée et rapidement fonctionnelle. Le recteur de l’UQO Jean Vaillancourt et madame Pamela Yates, Ph.D. des Services correctionnels canadiens. La professeure Marie Robert, responsable de ce nouveau programme explique l’importance de ce protocole : « Ceci constitue une première entente, entre le SCC et une université, en matière de formation de stagiaire. Les stagiaires seront encadrés par des employés du SCC, notamment des agents de programme, agents de libération conditionnelle, ou agents du SCC à l’administration centrale ». Les conditions d’admission: L’étudiant devra avoir terminé un baccalauréat en psychologie ou en psychoéducation. Le programme est contingenté à 15 étudiants et il y aura une entrevue obligatoire avant l’admission. Les candidatures d’étudiants titulaires d'un baccalauréat dans un domaine connexe (par exemple, criminologie - profil clinique, travail social, counseling) pourront également être considérées. Les cours du DESS en criminologie de l’UQO : Théories et approches en criminologie clinique Pratiques probantes d'intervention en criminologie Dynamiques et milieux d'intervention Évaluation clinique en criminologie,Pour en savoir davantage sur le nouveau diplôme d’études supérieures spécialisées en criminologie de l’UQO et présenter une demande d’admission, visitez le site Web de l’UQO www.uqo.ca ou communiquez avec la professeure Marie Robert, responsable du programme marie.robert@uqo.ca    

Carrière : pharmacienne. Le combat de Diane Lamarre. Bientôt, votre pharmacien pourra, entre autres, demander des tests de labo et prescrire certains médicaments… Et c’est beaucoup à Diane Lamarre qu’on le devra. Diane Lamarre est présidente de l’Ordre des pharmaciens du Québec et de Pharma­ciens sans frontières – Canada. Elle est propriétaire de deux pharmacies où elle pratique toujours ; elle enseigne à l’Université de Montréal et tient une chronique dans Le Journal de Montréal. Ah oui, elle est aussi mère de trois enfants. Superwoman ? « Jamais de la vie ! » Elle ne s’est pas impatientée devant la question, elle en est probablement incapable. Elle est menue, élégante, et garde un ton posé. Mais elle est aussi passionnée, ultra-compétente et extrêmement décidée. Il le fallait pour atteindre le résultat qu’elle s’était fixé, et qui se matérialise enfin. Sous peu entrera en vigueur la loi issue du projet de loi 41, qui permettra aux pharmaciens québécois de jouer un rôle plus important dans le système de santé. « Le projet de loi 41, c’est le bébé de Diane Lamarre », dit Christian Leduc, journaliste à L’actualité pharmaceutique, une publication destinée aux pharmaciens québécois. « C’est elle qui a mis ce projet sur la table et qui a donné l’impulsion nécessaire à sa mise en œuvre. » Ce qui l’a menée là, c’est une statistique. « Presque le tiers des Québécois (29 %) n’ont pas de médecin de famille, dit-elle. Mais tout le monde a un pharmacien. Et les compétences de ce professionnel de première ligne étaient sous-utilisées. » Or, elle savait que, pour élargir leur mandat, il fallait changer la loi. Grosse commande. On devait vaincre des résistances et rassurer les pharmaciens qui craignaient qu’on leur impose un surcroît de travail sans leur offrir une rémunération équitable. Sa méthode : « On répond à toutes les questions, on peaufine les arguments, on trouve des solutions, dit-elle. Et on ne recule jamais. » Les pharmaciens soutiennent qu’il est impossible de faire de la consultation sans y perdre leur chemise ? C’est pour prouver le contraire qu’elle a ouvert sa première pharmacie, il y a 22 ans, à une époque où très peu de pharmaciennes se lançaient en affaires. Le ministre doute que ces professionnels aient les compétences nécessaires au mandat qu’ils réclament ? Diane Lamarre lui fournit les plans de cours des deux programmes de pharmacie (à l’Université de Montréal et à l’Université Laval) et elle s’engage à offrir une formation supplémentaire aux 6 000 pharmaciens du Québec. Cette façon de faire, elle l’a perfectionnée en Bosnie, au Kosovo, en Ouganda, au Mali et en Haïti, où elle a participé à plus d’une trentaine de missions humanitaires avec Pharmaciens sans frontières. En Bosnie-Herzégovine, elle a travaillé à une réforme de la loi sur la pharmacie et la santé publique. « Il a fallu asseoir ensemble des Serbes orthodoxes, des Bosniaques musulmans et des Croates catholiques qui, peu de temps auparavant, étaient en guerre les uns contre les autres, explique-t-elle. Nous y sommes arrivés en nous concentrant sur leur seul point commun : le souci du patient. » Cette même préoccupation, croit-elle, pourrait amener notre système de santé à mieux servir la population. « Depuis 30 ans, le Québec a formé plein de professionnels de la santé qu’on n’utilise pas de façon optimale. » Diane Lamarre, elle, poursuivra sa douce révolution. Elle vient d’être élue pour un troisième mandat à la tête de l’Ordre des pharmaciens du Québec. http://fr.chatelaine.com/societe/entrevues/carriere-pharmacienne 

Sage-femme, une profession d’avenir bloquée Malgré la demande, on traîne à créer des débouchés pour les sages-femmes au sein du système de santé. Les débouchés pour les sages-femmes sont insuffisants, malgré que la demande pour leurs services soit importante. Comment expliquer cette contradiction Un grand nombre des jeunes femmes plus éduquées d’aujourd’hui semblent préférer les services des maisons de naissance et des sages-femmes. D’après un sondage Grop dont les résultats ont paru en 2010, 17 % des femmes en âge d’avoir des enfants et possédant un diplôme universitaire désirent l’intervention de la sage-femme plutôt que celle d’un médecin à leur accouchement. De plus, environ 25 % d’entre elles préfèreraient accoucher dans une maison de naissance plutôt qu’à l’hôpital. C’est environ dans la même proportion qu’elles préfèrent l’accompagnement d’une sage-femme durant la période postnatale. Ces chiffres indiquent une augmentation pour la demande des services des sages-femmes depuis 2005. Pourtant, selon la présidente du Regroupement des sages-femmes du Québec, Claudia Faille, seulement 2 ou 3 % des femmes ont accès à une maison de naissance où les sages-femmes peuvent pratiquer un accouchement. C’est qu’il n’y a que 11 maisons de naissance au Québec à l’heure actuelle, incluant le nouvel établissement qui ouvrira bientôt dans le centre-sud de Montréal. Bien que des points de service existent aussi dans Lanaudière et au Saguenay, leur nombre est donc nettement insuffisant. Des recherches récentes montrent cependant que les femmes enceintes qui sont suivies par une sage-femme pendant toutes les étapes de la grossesse (prénatal, accouchement, post-natal) sont bien moins susceptibles d’accoucher prématurément ou de perdre leur bébé. Elles nécessitent moins d’interventions médicales lors de l’accouchement, telles que les épidurales ou les épisiotomies. De plus, les services des sages-femmes sont moins dispendieux que ceux des médecins, ce qui devrait encourager l’État à utiliser leurs services. Le salaire moyen d’une sage-femme est  de 50 000 $ par année, quatre fois moins que celui de la plupart des généralistes. Seule l’Université du Québec à Trois-Rivières offre un baccalauréat préparant les sages-femmes à leur pratique. Il s’agit d’un baccalauréat de quatre ans et demi, un peu plus long qu’un bac en génie, par exemple. Cette longue formation est nécessaire afin d’inclure les stages pratiques et pour rendre les sages-femmes aptes à faire face aux difficultés qui surviennent parfois durant la grossesse et l’accouchement. Seulement de 10 à 15 jeunes femmes sont diplômées chaque année. Pourquoi diplôme-t-on ainsi, au compte-gouttes, alors que la demande pour les services des sages-femmes est importante, qu’elles ont fait leurs preuves et qu’elles coûtent moins qu’un médecin? On ne pourrait guère offrir plus de diplômes, car on traîne à créer des débouchés pour les sages-femmes au sein du système de santé. Une première entente de services a été conclue en 2005 et est échue en 2010. Les négociations pour une nouvelle entente sont bloquées depuis 2011. Elles achoppent, entre autres, sur le dédommagement ridicule pour les heures de garde (1 $ l’heure). Cette lenteur reflète-t-elle un effort d’interférer sur le marché de l’emploi de ces professionnelles? Le cas échéant, il faut espérer que le temps viendra à bout des résistances. http://journalmetro.com/opinions/de-bon-conseil/366708/sage-femme-une-profession-davenir-bloquee/

Sur la route de Richard Lépine à Raleigh, en Caroline du Nord. Richard Lépine (baccalauréat en sciences du bois 2000, maîtrise en génie chimique 2005, maitrise en administration 2009) travaille dans le domaine des matériaux composites en bois. Il dirige le département technique (qualité, procédé et amélioration continue) de 3 usines en Caroline du Nord. Ces usines appartiennent à la compagnie Arauco, une entreprise chilienne en expansion aux États-Unis. Ces usines conçoivent des panneaux de fibres à densité moyenne qui sont en fait des panneaux polyvalents que l'on retrouve surtout dans l'aménagement et la décoration intérieure (ex. : armoires de cuisine). www.adul.ulaval.ca/sgc/adul/cybercontact/cache/bypass/pid/21406?print=1

Des raëliens poursuivent l'UQTR pour 80 000 $ Des membres du Mouvement raëliens manifestent devant l'UQTR (décembre 2006) Le procès intenté par des membres du Mouvement raëlien contre l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) s'est ouvert mardi au palais de justice de Trois-Rivières. Les plaignants réclament 80 000 $ en dommages-intérêts parce qu'ils estiment avoir été victimes de discrimination religieuse. Les plaidoiries auront lieu jeudi. Les membres du Mouvement raëlien ont retenu les services de l'avocat bien connu Julius Grey. www.radio-canada.ca/regions/mauricie/2013/09/04/001-proces-mouvement-raelien-uqtr.shtml

44 % plus d'étudiants à l'UQTR depuis 2002 On savait que le nombre d'inscriptions à l'Université du Québec à Trois-Rivières augmentait un peu chaque année. Hier, toutefois, la rectrice Nadia Ghazzali a profité des festivités de la rentrée automnale pour annoncer que depuis 2002, le nombre d'étudiants a augmenté de 44 %. www.lapresse.ca/le-nouvelliste/actualites/201309/04/01-4685830-44-plus-detudiants-a-luqtr-depuis-2002.php


L'U. de l'Alberta suspend 17 programmes Des étudiants se sont réunis à l'Université de l'Alberta pour discuter des compressions en éducation. La Faculté des arts de l'Université de l'Alberta a confirmé jeudi la suspension des inscriptions dans 17 programmes menant à des majeures, plutôt que 20 tel qu'initialement annoncé.  Les étudiants déjà inscrits poursuivront leur formation, mais plus personne ne pourra s'inscrire dans les programmes suspendus. Les responsables affirment que les compressions budgétaires imposées par la province ne sont pas la seule raison pour cette suspension. Certains programmes ont tout simplement perdu leur popularité. « Certains ont eu dix étudiants ou moins depuis huit ans », a affirmé la doyenne Lesley Cormack. Les programmes d'impression, de musique, d'art dramatique et de langues russe, italienne, ukrainienne et grecque font partie des programmes appelés à disparaître. Mme Cormack assure qu'elle est prête à rouvrir les programmes pour lesquels les professeurs réussiront à retravailler leurs cours pour attirer davantage d'étudiants. Quant aux économies de 7 à 8 % à faire pour s'ajuster aux compressions budgétaires, la doyenne compte sur le départ volontaire à la retraite de 25 à 35 membres de son personnel. www.radio-canada.ca/regions/alberta/2013/09/12/010-faculte-arts-universite-alberta-annulation-programmes.shtml

Documentation
MÉTIERS DE DEMAIN « 65 % des écoliers d’aujourd’hui pratiqueront, une fois diplômés, des métiers qui n’ont même pas encore été inventés », estime le Département d’État américain du travail. http://fr.slideshare.net/Propulseurs/mtiers-de-demain

  

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À noter à votre agenda

C'est officiel: l'OCCOQ recevra le Congrès mondial de l'Association internationale d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec du 4 au 6 juin 2014. L'ACOC sera au rendez-vous ! Sur le site de l'Ordre  les frais d'inscription
.
Le nouveau Conseil exécutif et les Comités
Partenaires du Xe Congrès 
de l'ACOC à l'UQAT

En 2012-2013, nous avons franchi le cap des
100 000 visites du Bulletin (120 000) 
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Bruno Tremblay, c.o. conseiller aux communications de l'ACOC acocinfo@gmail.com

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