Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin
(860 membres, 11e saison du bulletin électronique)
L'UQAT une université aux couleurs des Premiers Peuples!
www.uqat.ca/services/premierspeuples
Bon congé estival
Arc-en-ciel de soir... (hier le 18 juin 2013)
Beau temps à prévoir...
L'UQAT une université aux couleurs des Premiers Peuples!
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Notre appréciation unanime de
notre séjour à l'UQAT
(cliquer sur la flèche pour l'entendre)
**Les vidéos ne peuvent être visionnées avec
les IPad et IPodBon congé estival
Arc-en-ciel de soir... (hier le 18 juin 2013)
Beau temps à prévoir...
Section Nouvelles
Survie des cégeps en région: les profs plaident
pour des bourses améliorées www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201306/11/01-4660277-survie-des-cegeps-en-region-les-profs-plaident-pour-des-bourses-ameliorees.php
Colloque Dialogue 2013
Atelier Dialogue 2013 formule
interactive
Admission tardive université automne
2013
Un poste de c.o. Collège
Montmorency
Conseiller(ère)
orientation-SAE (fin de l'affichage 25.06.13) au cégep Montmorency. Projet
spécifique Nombre d'heures de travail : 35 heures/semaine Horaire de travail :
Du lundi au vendredi de 9h00 à 17h00 Durée du projet spécifique : Du 12 août
2013 au 30 juin 2014. Dates du concours : Du 17 au 25 juin 2013 Date limite de
remise des candidatures : Le 25 juin 2013, 16 heures www.cmontmorency.qc.ca/images/stories/fichiers_offres_d_emploi/P2013-218-324-03PS.pdf
Conseillère/conseiller en orientation Cégep de Limoilou Fin du concours: Le mercredi 26 juin 2013 avant 16:00 hrs Date d'embauche: Le lundi 12 août 2013 Type du poste: Remplacement 4 jours par semaine www.climoilou.qc.ca/medias/ressourceshumaines/aff_2013-052-p_co_remplacement_juin_2013.pdf
Conseillère/conseiller en orientation Cégep de Limoilou Fin du concours: Le mercredi 26 juin 2013 avant 16:00 hrs Date d'embauche: Le lundi 12 août 2013 Type du poste: Remplacement 4 jours par semaine www.climoilou.qc.ca/medias/ressourceshumaines/aff_2013-052-p_co_remplacement_juin_2013.pdf
Aide pédagogique individuel(le) -
Conseiller(ère) d'orientation Collège Laflèche Fin du concours: Le
mardi 25 juin 2013 avant 12:00 hrs Date d'embauche: Le lundi 5 août 2013 Type
du poste: Rempacement d'un ans - 3 jours/semaine – saisonnier www.clafleche.qc.ca/uploads/media/API_et_conseillere_dorientation_3j-sem_2013.pdf
Le programme Actif
humanitaire prépare adéquatement les futurs coopérants avant qu’ils
n’effectuent leur séjour humanitaire à l’étranger. Les participants auront des
notions essentielles sur la coopération internationale, la communication en
contexte interculturel et la connaissance des pays en développement. La
formation est offerte à distance, et le séjour humanitaire au Burkina Faso est
de 8 semaines. Il s’agit d’une expérience humaine de solidarité et de partage
dont on ressort grandi! Partagez votre expérience sur notre Blog http://actifhumanitaire.blogspot.ca
Le programme démarre le 30 septembre 2013, pour information : www.cegep-rdl.qc.ca/actifhumanitaire
Roselyne Leclerc, conseillère en
formation Cégep de Rivière-du-Loup cargen@cegep-rdl.qc.ca
À la suite du Xe
Congrès de l’ACOC. Ce fut, pour le Service des communications et du recrutement
de l’UQAT, un privilège de recevoir
l’ACOC chez nous. Votre enthousiasme et votre curiosité nous ont ravis. Merci
d’avoir embarqué à fond dans cette aventure et d’avoir profité de l’expérience
pour vous enrichir! Vous trouverez sur
le site www.uqat.ca/acoc2013 les présentations des conférenciers ainsi que
quelques photos souvenirs. Au plaisir, Anne-Marie
Nadeau Agente de recrutement Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue recrutement@uqat.ca 10e
Congrès de l'ACOC. C’est du 28 au 31 mai 2013 qu’avait lieu le 10e congrès de
l’ACOC à l’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue. Bien rempli en terme
de conférences et d’activités, ce congrès aura permis aux 45 participants de
mieux connaître les secrets bien gardés de l’Abitibi-Témiscamingue. Voici les
présentations des conférenciers ainsi que quelques photos souvenirs.
Téléchargez les présentations : Industrie minière régionale, formation et
recherche à l’UQAT (PDF) La transition au collégial: Atelier sur le
codéveloppement des pratiques professionnelles de l’orientation (PPT) et un
Modèle en sept étapes http://rire.ctreq.qc.ca/media/wordpress/2013/02/AnnexeRIRE_mars2013version_finale.pdf
Développer son efficience aux études
comme au travail, c’est oser autrement! (PPTX) Piwasea : Mythes et réalités de
la culture autochtone (PDF) Les sciences cliniques pour se perfectionner dans
le domaine de la santé (PPTX) et
La création
numérique et la création 3D : un univers audacieux. Cathy Vézina, Patrick
Gauvin et David Morin de l'UER en création et nouveaux médias nous ont fait
découvrir l'univers de la création numérique et de la création 3D http://cnm.uqat.ca/acoc Dans l’autobus entre
Val-d’Or et Rouyn-Noranda, Paul-Antoine Martel, artiste semi-professionnel Conteur,
improvisateur, animateur et scénariste, fait découvrir la région à sa façon, avec
humour, enthousiasme et optimisme http://ccat.qc.ca/pa-martel
Tourisme Abitibi-Témiscamingue et Mathieu Dupuis ont développé une carte
interactive qui permet aux plus avides de se rendre sur les lieux où certaines
photos ont été prises et de trouver ce qu’il y a à voir, à faire ou à découvrir
dans le secteur. Une nouvelle façon de parcourir le territoire. Amusez-vous
bien! Jetez aussi un oeil sur les photos inédites. Dans la section Blogue,
retrouvez les articles que Mathieu Dupuis a publiés pendant la production du
livre Abitibi-Témiscamingue sur la route avec Mathieu Dupuis. www.tourisme-abitibi-temiscamingue.org/mathieu-dupuis
Vous avez été
nombreux à me demander des suggestions de lecture afin de mieux comprendre
l'intervention auprès de personnes ayant un trouble du spectre de l'autisme
(TSA). Compte tenu que l'été approche et notre rythme de travail diminue, je
trouvais que le moment était propice à ce sujet. Pour en savoir plus, cliquer
sur ce lien http://acochandicap.blogspot.ca/2013/06/des-suggestions-de-lecture-pour-lete.html En
espérant que ces lectures puissent alimenter vos apprentissages et votre
réfléxion ! Émilie Robert, c.o.
Génération
conciliation études-travail-famille. L’image traditionnelle de l’étudiant a
volé en éclats, l’État et les universités doivent s’adapter. L'étudiant nouveau
genre travaille, change les couches de bébé entre deux séminaires et opte de
plus en plus pour le temps partiel. Lors de la collation des grades de la
Faculté de médecine de l’Université de Montréal, on a vu ces jours derniers de
toutes nouvelles médecins fraîchement diplômées monter sur scène coiffées du
mortier, diplôme à la main et… bébé dans les bras. Jusque dans des facultés
aussi classiques que médecine, le modèle de l’étudiant tel qu’on le connaît -
aux études, sans enfants, sans emploi - est en train de craquer. Le jeunot de
19 ans complétant un baccalauréat en trois ans, son emploi du temps étant
exclusivement consacré aux études, n’est plus la norme. Un portrait inédit du
Conseil supérieur de l’éducation (CSE) invite les universités et l’État à
adapter leurs pratiques et politiques à l’étudiant nouveau genre : car il
travaille, change les couches de bébé entre deux séminaires et opte de plus en
plus pour le temps partiel. Et plus encore : s’il travaille autant qu’on le
dit, ce n’est pas tant parce que les études coûtent si cher, mais bien parce
qu’il chérit l’autonomie et que cette indépendance se paie. Ce serait donc un
mode de vie bien plus qu’une nécessité. L’image traditionnelle de l’étudiant
tel qu’on la connaît en prend pour son rhume dans un avis d’une centaine de pages
dévoilé mardi à l’UQAM par le président du CSE, Claude Lessard, et destiné au
ministre de l’Enseignement supérieur, Pierre Duchesne. La tête encore emplie
des souvenirs laissés par le printemps étudiant, les Québécois y apprendront
que les études universitaires ne se limitent plus au jeune âge, que plusieurs
s’y adonnent en dilettante, entièrement absents de la « vie universitaire », et
qu’en somme, plusieurs n’en font pas le coeur de leur vie. C’est ainsi. « La
ligne traditionnelle études, travail, famille, pour laquelle nombre de
politiques sociales et gouvernementales sont encore conçues, ne tient plus la
route », dit Claude Lessard, lors de la présentation de l’avis intitulé Parce
que les façons de réaliser un projet d’études universitaires ont changé…«
L’étudiant classique est devenu l’exception plus que la règle. » Quelques
données : 70 % des étudiants occupent un emploi en parallèle à leurs études. «
On voit les deux cas de figure, dit M. Lessard. L’étudiant qui travaille, et le
travailleur qui étudie. » Dans le réseau de l’Université du Québec (UQ), 25 %
des étudiants sont aussi parents, ce qui plonge nombre d’étudiantes (les femmes
sont les plus touchées) dans le tourbillon exigeant de la conciliation
études-famille. « Or, les politiques n’ont pas suivi les changements qui
s’opèrent dans la population, note Claude Lessard. Par exemple, le congé
parental n’est admissible qu’aux travailleuses, pas aux étudiantes. C’est une
aberration. » Autre fait remarquable : désormais, le quart des étudiants universitaires
optent pour le temps partiel, une tendance propre au Québec au sein de la
fédération canadienne, mais qui s’apparenterait à un courant remarqué aux
États-Unis, où la proportion d’undergraduates inscrits à temps partiel était de
46 % en 2008. Les femmes et les étudiants plus âgés optent plus souvent pour
cette manière moins intensive d’étudier. En outre, de plus en plus de
bifurcations, d’interruptions d’études et de changements de programme sont
notés. Tout cela n’est pas matière à inquiétude, mais à capacité d’adaptation,
note le Conseil dans une série de recommandations visant à mieux soutenir
financièrement cette clientèle mal desservie par les politiques actuelles
d’aide financière et de soutien parental, entre autres. « Ces nouveaux parcours
ne touchent pas tant la réussite que la durée des études », note M. Lessard. À
l’UQAM, où ce dévoilement avait lieu, le recteur Robert Proulx était tout ouïe.
« Ces nouveaux profils, l’UQAM y est sensible depuis sa création, où ces
étudiants étaient alors appelés des “atypiques” », a-t-il expliqué, notant plus
tard le défi immense pour une université de s’adonner à une synergie
essentielle entre recherche et formation avec des étudiants aux parcours aussi
diversifiés. Le rapport du CSE tombe à point. Non seulement survient-il après
une période faste d’interrogation sur le modèle étudiant, mais il pourrait
permettre de nourrir la réflexion des chantiers lancés par le gouvernement de
Pauline Marois sur l’enseignement supérieur. L’un d’entre eux doit porter sur
la révision de la politique de financement des universités, essentiellement
basée sur le paiement d’un forfait par étudiant à temps plein. Cette forme de
financement, concède le CSE, constitue un défi particulier - voire un poids -
pour les universités qui accueillent un fort contingent d’étudiants à temps
partiel, ce qui est la réalité du réseau UQ, par exemple. « Nous ne
recommandons pas de modifier la politique de financement, explique Claude
Lessard, interrogé là-dessus. Mais force est d’admettre qu’il y a quelque chose
d’un peu inéquitable dans le fait de faire reposer toute une politique sur un
corps d’étudiants à temps plein, alors que cela ne correspond plus à la
réalité. » Il en est de même pour l’aide financière et les politiques de
conciliation études-famille, quasi inexistantes hormis quelques efforts
spontanés ici et là. « Les universités doivent faire le portrait non seulement
de leur clientèle, mais des efforts à mener pour s’y adapter », dit M. Lessard.
www.ledevoir.com/societe/education/381170/generation-conciliation-etudes-travail-famille
La formation tout
au long de la vie est une tendance lourde et irréversible - Claude Lessard,
président du CSÉ. Le Conseil supérieur de l'Éducation a rendu public le 18 juin
l'avis transmis au ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche, de la
Science et de la Technologie intitulé Parce que les façons de réaliser un
projet d'études universitaires ont changé. Il s'inscrit d'emblée dans une
perspective de formation tout au long de la vie et s'appuie sur les réalités
que le monde de l'éducation des adultes dans les universités a défendues lors
du dernier Sommet sur l'enseignement supérieur à la fin de l'hiver dernier.
L'ICÉA ne peut que saluer le portrait et les préoccupations soulevées par cet
avis, qui se démarquent d'un modèle traditionnel de la population étudiante. www.icea.qc.ca
Avis du Conseil
supérieur de l'éducation www.cse.gouv.qc.ca
sur les nouvelles façons de réaliser un projet d'études universitaires. Le
Conseil supérieur de l'éducation rend public un avis intitulé Parce que les
façons de réaliser un projet d'études universitaires ont changé..., lequel a
été préalablement transmis au ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche,
de la Science et de la Technologie. Dans cet avis, le Conseil témoigne du fait
que plusieurs étudiants des universités québécoises s'éloignent de l'image du
jeune au début de la vingtaine, engagé de façon quasi exclusive dans un projet
de formation et fréquentant à temps plein un campus universitaire. Bon nombre
entretiennent plutôt un « rapport aux études non traditionnel », de par
l'occupation d'un emploi, leurs responsabilités parentales, leur cheminement à
temps partiel ou leur parcours de formation irrégulier. Bien que ces réalités
ne soient pas récentes, elles apparaissent aujourd'hui avec intensité. Plus ou
moins 70 % des étudiants des universités occupent un emploi en parallèle à
leurs études. Selon le cas, il s'agit davantage d'un « étudiant qui travaille »
ou d'un « travailleur qui étudie ». Une proportion non négligeable d'étudiants
ont des responsabilités parentales : elle atteint 25 % dans certains lieux. De
plus en plus nombreux, les microprogrammes, les certificats et les diplômes
sont majoritairement suivis à temps partiel. Un étudiant de baccalauréat sur
cinq a plus de 25 ans, environ le tiers des étudiants de maîtrise a plus de 30
ans et le quart des doctorants a plus de 35 ans. La proportion d'étudiants qui
dépasse l'âge dit « limite » d'un parcours régulier est d'autant plus élevée
dans les programmes ne menant pas à un grade. De tels phénomènes sont
profondément ancrés dans des tendances sociales, telles la quête d'un équilibre
entre les différentes sphères de la vie et la valorisation de la formation tout
au long de la vie. Cela oblige à leur reconnaître un caractère irréversible.
C'est pourquoi le Conseil convie l'ensemble de la société québécoise à mettre à
jour sa vision des populations étudiantes des universités. Or, puisque le
système universitaire québécois a été pensé, en général, pour les étudiants «
classiques », des contraintes particulières peuvent peser sur ceux dont le
rapport aux études est non traditionnel. En cela, les femmes paraissent
particulièrement touchées. Le Conseil propose donc des actions pour que toutes
les personnes qui en ont la volonté et la capacité puissent accéder à des
études universitaires et être soutenues dans l'accomplissement de leur projet. L'enjeu
consiste à éviter que le système universitaire québécois n'évolue en des
systèmes parallèles qui confèrent des avantages distincts selon que le parcours
de formation est ou non classique. C'est donc guidé non seulement par un devoir
d'équité, mais aussi par un souci de qualité et de cohérence, que le Conseil
interpelle tous les acteurs concernés pour qu'ils prennent pleinement acte des
nouvelles façons de réaliser un projet d'études universitaires. Ainsi, pour le
Conseil, parce que les façons de réaliser un projet d'études universitaires ont
changé : le rôle des universités en matière de formation tout au long de
la vie doit être pleinement reconnu et clairement explicité; les politiques et
les programmes gouvernementaux, dont les mesures d'aide financière aux études,
doivent être pensés au-delà de la séquence temporelle « études-travail-famille
»; l'obligation de s'inscrire à temps plein doit, lorsque possible, être levée
pour une portion ou l'ensemble du programme d'études; les pratiques des
universités en matière de reconnaissance des acquis et des compétences doivent
être optimisées; des balises transparentes doivent être convenues relativement
aux autorisations d'absence, d'interruption temporaire et d'études à temps
partiel, en particulier pour les étudiants-parents. L'avis fournit dans cet
esprit de plus amples recommandations et pistes d'action. Sommaire www.cse.gouv.qc.ca/fichiers/documents/publications/Avis/50-0480Sommaire.pdf
Les étudiants
souffrent de stress et d'anxiété. Les étudiants canadiens sont stressés, se
sentent débordés, souffrent de solitude, et ont même envisagé le suicide au
cours de la dernière année, laisse croire une nouvelle étude publiée, lundi. Plus
de 30 000 étudiants ont été interrogés dans le cadre de cette étude, qui fait
la lumière sur les questions de santé mentale auxquelles sont confrontés les
étudiants des cégeps, collèges et universités du pays. Certaines des
conclusions les plus surprenantes concernent le niveau de stress et d'anxiété
des étudiants lorsqu'il est question de leurs carrières académiques. Près de 90
pour cent d'entre eux ont dit s'être sentis débordés par l'ampleur des tâches à
accomplir au cours de la dernière année, alors que plus de 50 pour cent ont dit
se sentir désespérés, et que 63 pour cent ont plutôt révélé souffrir de
solitude. L'étude trace également un portrait en ce qui concerne le suicide,
9,5 pour cent des répondants disant avoir sérieusement envisagé de s'enlever la
vie au cours de la dernière année, tandis que 1,3 pour cent dit avoir tenté de
passer à l'acte. Au dire de la Dre Su-Ting Teo, directeur de la santé et du
bien-être étudiant à l'Université Ryerson de Toronto, certaines questions de
santé des étudiants sont souvent sous-estimées. «Ce qui est surprenant, bien
sûr, est le poids des problèmes de santé mentale, a-t-elle déclaré dans une
entrevue. Pour certains d'entre nous qui ont effectué le sondage lors des
dernières années, il y a des signes d'accroissement, ce qui est un peu
inquiétant.» La Dre Teo ajoute que les étudiants doivent gérer plusieurs
problèmes.«... Ce qui fut surprenant est le grand nombre d'étudiants (55 pour
cent) qui doivent gérer trois problèmes ou plus en même temps», a-t-elle dit. Le
sondage a été effectué par la Canadian Organization of University and College
Health, de janvier à avril 2013. Le groupe devrait annoncer mercredi un guide
national pour une approche systémique en matière de santé des étudiants. www.lapresse.ca/actualites/education/201306/17/01-4662301-les-etudiants-souffrent-de-stress-et-danxiete.php
Santé cardiaque et
environnement Planète coeur « C’est la première
fois que l’on expose de façon aussi extensive et claire que la santé
cardiovasculaire dépend de la qualité environnementale », a commenté
l’écologiste David Suzuki après avoir lu ce livre. La dimension
environnementale des maladies cardiovasculaires est largement méconnue des spécialistes
et de la population. Pourtant, près de 500 études scientifiques récentes
mettent en évidence les multiples liens entre environnement, biodiversité et
maladie cardiovasculaire. Dans ce livre accessible à tous, le cardiologue
François Reeves pose un regard novateur et intégré sur ce sujet. Il apporte un
éclairage nouveau à de nombreuses interrogations. Entre autres : Pourquoi
l’Amérique du Nord a-t-elle vécu une explosion de maladie cardiovasculaire au
milieu du XXe siècle ? Pourquoi les Russes ont-ils un taux de mortalité
cardiaque dix fois supérieur à celui des Français ? Pourquoi la Chine, dont les
habitants ont été jusqu’à maintenant protégés de la maladie vasculaire,
aborde-t-elle le XXIe siècle avec une violente montée d’infarctus ? Pourquoi y
a-t-il plus de mortalité cardiovasculaire dans les centres-villes ? Pourquoi y
a-t-il plus de crises cardiaques lors d’épisodes de smog ? Pourquoi le fait de
vivre en milieu vert réduit-il de moitié la différence de mortalité cardiaque
entre pauvres et riches ? http://multim.com/titre/?ID=338 Le rôle essentiel des oiseaux dans la
biodiversité. Les oiseaux jouent un rôle majeur au sein de la biodiversité.
Consommation d’insectes nuisibles à l’agriculture, dissémination des graines
pour la reforestation et pollinisation des plantes, voilà quelques faits
incontournables témoignant de l’utilité des oiseaux. www.nordinfo.com/Actualites/2013-06-18/article-3282989/Le-role-essentiel-des-oiseaux-dans-la-biodiversite/1
Cyberintimidation:
les dérives de Spotted au secondaire. Depuis plusieurs mois maintenant, les
écoles sont sur le qui-vive. Inquiétude grandissante dans le milieu scolaire:
les cas d'intimidation contre des élèves et des enseignants se multiplient par
l'entremise de la nouvelle application Spotted du site Facebook, qui permet
d'écrire publiquement à peu près n'importe quoi sur n'importe qui d'une manière
totalement anonyme. Souvent incapables d'identifier les coupables, organismes
et directions d'école sonnent l'alarme. Sur la page Spotted d'une école près de
Québec, un garçon est ridiculisé publiquement parce qu'il a des seins. Sur
celle d'une polyvalente de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, une
adolescente est copieusement insultée pour sa performance au spectacle de fin
d'année alors que dans l'ouest de Montréal, un prof est accusé sur la Toile
d'avoir pris des photos des fesses de ses élèves, un autre est déclaré gai, une
troisième qualifiée de «bitch». Tout ça, sans jamais savoir qui est l'auteur des
insultes et ponctué de nombreux commentaires moqueurs des autres élèves. Du
flirt à la provocation. Initialement, Spotted (pour aperçu) se voulait un outil
de drague; des pages Facebook positives associées à un lieu de travail, un
quartier ou une école, où on offre des compliments à des gens qu'on côtoie ou
qu'on croise. Le concept est simple: afin de préserver leur identité, les
auteurs écrivent leurs commentaires à un administrateur anonyme qui publie
ensuite les textes sans les noms. Du genre: «Aperçu: belle blonde à la chemise
bleue croisée ce midi dans l'escalier, qui es-tu?» Mais si c'est encore pour
flirter qu'on s'en sert dans la plupart des milieux, dans les écoles
secondaires et même dans certains cégeps, le concept est rapidement devenu un
moyen d'attaquer élèves et membres du personnel sur la place publique sans
jamais s'identifier. Protégés par cet anonymat, les provocateurs ne se gênent
pas pour écrire les noms, les initiales ou une description physique de leurs
victimes qui laissent peu de place à l'interprétation. Les autres élèves savent
très bien de qui on se moque. «Ça dérape, déplore l'animateur et fervent
promoteur de la lutte à l'intimidation, Jasmin Roy. On ne sait pas qui gère ça.
Ça devient un outil supplémentaire pour intimider.» Surveillance et
sensibilisation. Depuis plusieurs mois maintenant, les écoles sont sur le
qui-vive. Il y a deux semaines, le directeur général du Pensionnat du
Saint-Nom-de-Marie, une école privée pour filles, a envoyé un message à tous
les parents afin de les sensibiliser au phénomène. L'établissement, écrit le
directeur, «n'a hélas pas échappé à cette nouvelle vague». Il poursuit: «La
surveillance que nous exerçons depuis un certain temps sur la page Spotted
Pensionnat du Saint-Nom-de-Marie nous a conduits à constater plusieurs entorses
au respect d'autrui. Tout d'abord, nous tenons à vous aviser qu'il est illégal
de publier une photo sans le consentement de la personne photographiée. Nous
tenons également à vous aviser que la liberté d'expression ne signifie pas que
l'on puisse dire n'importe quoi, à n'importe qui et encore moins de n'importe
quelle façon.» Le même message a été envoyé aux élèves. En avril, la Commission
scolaire de Montréal (CSDM) a mis en branle une campagne de sensibilisation
auprès des directions d'écoles et des élèves. On a notamment tenté de retracer
les administrateurs de ces pages afin de leur rappeler le code de vie de leur
établissement et le fait qu'ils n'avaient pas le droit d'en utiliser le nom ou
le logo. «Les écoles, c'est comme des villages alors c'est assez facile de
savoir qui fait quoi, note le porte-parole Alain Perron, qui affirme que la
campagne a donné de bons résultats et que les pages Spotted sont moins
nombreuses qu'il y a deux mois. Pour certains, ce qui se disait était anodin.
Ils ont compris que non quand on leur a expliqué. On lisait de tout là-dessus.
Il y a eu des dérapages.» Même son de cloche à la commission scolaire
Marguerite-Bourgeoys, dans l'ouest de Montréal, où les directions effectuent
une surveillance quasi quotidienne des sites en question. «Les messages sont
dans la limite de ce qui peut être toléré, mais la ligne est mince. Si on tombe
dans les propos haineux ou diffamatoires, on n'hésitera pas à contacter la
police», prévient le porte-parole Jean-Michel Nahas. Chez Facebook, on rappelle
que les utilisateurs peuvent signaler toute forme d'intimidation ou de
harcèlement. «Rien n'est plus important pour Facebook que la sécurité des gens
qui utilisent notre site. Notre Déclaration des droits et responsabilités, qui
régit notre site, interdit le partage de contenu qui a pour but l'intimidation
ou le harcèlement. Les utilisateurs peuvent signaler tout contenu contrevenant
à nos politiques en utilisant les liens qui apparaissent un peu partout sur le
site et notre équipe retirera tout contenu qui serait en violation de nos
politiques», assure un porte-parole. Qu'est-ce que Spotted? Le concept, pensé
par des étudiants britanniques, est simple: une page Facebook intitulée
«Spotted On» (aperçu à) est gérée par un administrateur anonyme à qui les
membres envoient des messages qui sont à leur tour publiés anonymement sur le
site. D'autres membres peuvent ensuite les commenter ou y apposer la mention
«j'aime». L'idée s'est répandue comme une trainée de poudre. Initialement, le
but était d'offrir des compliments à des inconnus ou à des gens à qui les
utilisateurs sont gênés de parler en face, ou de retrouver une personne à notre
goût croisé par hasard et dont on ne connaît pas le nom. En France, des médias
ont qualifié Spotted de «nouvelle messagerie amoureuse». Aujourd'hui, des
dizaines d'écoles secondaires, plusieurs cégeps et la majorité des universités
québécoises en ont une. Des centaines, parfois des milliers d'élèves en sont
membres, selon la taille de l'établissement. Toutefois, la drague a souvent
cédé la place à des plaintes, des commentaires négatifs et des attaques de plus
en plus personnelles. www.lapresse.ca/actualites/education/201306/09/01-4659470-cyberintimidation-les-derives-de-spotted-au-secondaire.php
Les universités
sous une nouvelle bannière. La Conférence des recteurs est morte, vive le
Bureau de concertation universitaire! Après avoir sabordé l'organisme qui les
représentait depuis 50 ans, les dirigeants universitaires du Québec se
réconcilient au sein d'une nouvelle instance plus «flexible». La Conférence des
recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ) s'est réunie
jeudi pour faire le point sur son avenir, après les désertions des derniers
mois. Le recteur de l'Université Laval, Denis Brière, a été le premier à
claquer la porte de l'organisation en avril, après que Le Soleil eut révélé ses
intentions. Il estimait que ses intérêts n'y étaient plus bien représentés. Le
recteur de l'Université de Montréal, Guy Breton, et le réseau de l'Université
du Québec lui avaient emboîté le pas. Les 19 chefs d'établissements
universitaires ont décidé à l'unanimité, jeudi, de procéder à une
«transformation importante» de la CREPUQ, en évacuant son rôle de lobby
politique. Sa nouvelle identité, le Bureau de concertation universitaire, se
concentrera sans surprise sur le volet concertation et sur la gestion des services
communs. Un comité de transition sera dirigé par la rectrice de l'Université de
Sherbrooke, Luce Samoisette, qui était la présidente du C.A. de la CREPUQ. Mme
Samoisette n'était pas disponible hier pour une entrevue. Impossible pour
l'instant de savoir ce qu'il adviendra de la quarantaine d'employés de la
CREPUQ ,ni des quotes-parts versées à l'organisme par les universités. Le
recteur Denis Brière a toutefois laissé entendre au Soleil qu'il était
«impossible» de sauver tous les postes de l'organisme privé tout en changeant
sa culture. S'il se dit sensible aux conséquences de la mutation, M. Brière ne
cache pas sa satisfaction de voir la CREPUQ se fondre en Bureau de concertation
universitaire, dont la structure sera «très, très, très légère et à moindre
coût». «Ce Bureau nous permet vraiment de pouvoir travailler en concertation
avec l'ensemble des universités au Québec et de pouvoir se regrouper dans des
enjeux qu'on a en commun et qui nous permettent de mieux remplir notre
mission», résume-t-il. Le recteur de l'Université Laval cite en exemple l'enjeu
des droits de scolarité, qui pourrait inciter les universités à se fractionner
au sein du Bureau de concertation universitaire pour défendre leur formule de
financement privilégiée. «Ce que je trouve excellent, c'est qu'il va y avoir
plus d'implication à l'interne dans chacune des universités, et la
communication va se faire directement et très facilement entre les chefs
d'établissements ou les directions des universités» par le biais de tables de
concertation, ajoute M. Brière. Huit tables ont été esquissées lors de la
rencontre de jeudi, alors que d'autres comités ad hoc pourraient s'ajouter.
«Tout bouge tellement vite, alors il faut avoir une analyse qui est très
flexible et qui ne prend pas un ou deux mois de réunions et de conférences
téléphoniques pour prendre une décision parce que les intérêts sont tellement
diversifiés», illustre Denis Brière. Selon lui, cette souplesse sera aussi la
bienvenue lorsque le gouvernement Marois dévoilera ses intentions sur le futur
Conseil national des universités. «Notre objectif, à travers ce Bureau, c'est
de faire en sorte que c'est assez flexible pour s'adapter à ce que le
gouvernement va vouloir prendre ou reprendre en termes de services, comme la
qualité et l'évaluation des programmes», glisse-t-il. Le président du chantier
sur le conseil des universités, Claude Corbo, doit rendre son rapport au plus
tard le 28 juin www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201306/07/01-4659086-les-universites-sous-une-nouvelle-banniere.php
La fin de la
CREPUQ, «un désastre» Si l’organisme disparaît, il faudra le reconstruire,
estime l’ancien recteur de l’Université Laval, Michel Gervais www.ledevoir.com/societe/education/379749/la-fin-de-la-crepuq-un-desastre
Évolution du
suicide au Québec : une triste histoire. Environs 10% des personnes à qui on a
diagnostiqué une dépression grave se suicident. Plus de 600 médecins,
psychiatres, sociologues et universitaires sont réunis cette semaine à Montréal
pour le premier congrès mondial sur le suicide. Sujet tabou dans plusieurs
sociétés, le Québec tente plus que tout de comprendre ce fléau. Le Bureau du
coroner a même ouvert ses archives pour que des chercheurs relisent les lettres
qu'ont laissées les suicidés depuis 1763. Un exercice pénible, mais révélateur.
Depuis quelques années, Patrice Corriveau et son équipe de chercheurs de
l'Université d'Ottawa lisent les lettres qu'ont écrites et laissées des
milliers de Québécois avant de mettre fin à leurs jours. Au total, plus de 5000
écrits ont été répertoriés, qui nous en apprennent sur l'évolution du suicide
dans la province depuis aussi loin que 1763. «Le suicide a longtemps été
considéré comme un crime grave. On est passés progressivement d'un comportement
punissable à un problème de santé mentale. En 1925, en Outaouais, un médecin a
écrit, dans un dossier du coroner: «On m'a dit qu'un homme a tenté de se
suicider. Je n'ai pas monté immédiatement, je me suis dit que je vais appeler
le chef de police. Je lui ai téléphoné, on s'est rendus sur les lieux et j'ai
monté dans la chambre. Là, j'ai pu intervenir» «, raconte, médusé, M.
Corriveau. Au début du XIXe siècle, alors que plusieurs Européens font la
grande traversée pour venir s'établir en Amérique du Nord, certains désespérés
viennent choir sur les côtes québécoises pour mettre fin à leurs jours. C'est
un geste altruiste, analyse le professeur, pour épargner leur famille des
conséquences sociales qu'aurait leur acte sur eux. Trois évènements éprouvants.
Le XXe siècle apporte son lot de défis sociaux et économiques. La Première
Guerre mondiale, la grande dépression économique, l'émigration canadienne vers
les États de la Nouvelle-Angleterre. Trois événements qui ont poussé les
Québécois à se suicider, constatent les chercheurs en lisant les lettres qu'ils
ont laissées. «Les gens écrivaient principalement à Dieu. Puis, vers les années
50, les personnes commencent à adresser leurs derniers écrits à leur famille ou
au coroner. J'ai devant moi des histoires touchantes, comme cette jeune fille
qui raconte pourquoi elle met fin à ses jours, après être tombée enceinte, hors
mariage, lorsqu'elle a déménagé en ville. Son retour dans sa communauté lui
était alors impensable», raconte le professeur Corriveau. Dans les années 50,
rien ne va plus. Si le Québec était autrefois une des sociétés où l'on se
suicidait le moins, il y a un revirement de situation. De 1950 à 2000, le
nombre annuel de suicides se multiplie par 9, passant de 145 à plus de 1300 cas
par année. Parmi les pays membres de l'OCDE, le Québec est chef de file.
Monique Séguin est professeure en psychologie à l'Université du Québec en
Outaouais (UQO). Elle a étudié le parcours des personnes qui se sont enlevé la
vie pour définir les premiers jalons qui mènent aux pensées suicidaires. «On a
identifié deux trajectoires. Il y a d'abord ceux pour qui la vie commence mal.
Ils sont victimes d'abus tôt dans l'enfance et développent des problèmes de
santé mentale. Ils décèdent pour la plupart en bas de 25 ans», explique la
professeure Séguin. «La deuxième trajectoire est un groupe pour qui la vie
commence bien, mais où les difficultés apparaissent à l'adolescence. C'est
comme si la vie s'effrite lentement. Souvent, une rupture ou un choc émotionnel
les mène au suicide, plus tard dans la vie, lorsque sans ressources», dit-elle.
Encore aujourd'hui, les hommes sont plus susceptibles que les femmes de se
suicider. La dépression demeure un signal d'alarme, disent les chercheurs
rassemblés au premier congrès mondial sur le suicide, qui se tient cette
semaine à Montréal. Dix pourcent des personnes à qui on a diagnostiqué une
dépression grave se suicident, explique le psychiatre et professeur à
l'Université McGill Fabrice Jollant. Souvent, dit-il, les ressources ne sont
pas à la disposition de ceux qui en ont besoin. «Il faut faciliter l'accès aux
services psychologiques. Les gens qui souffrent de dépression ne sont pas les
meilleurs pour aller chercher de l'aide. C'est à nous de les identifier. Quand
le système est ardu pour avoir accès à de l'aide psychologique gratuite, il y a
peu de chances que ceux qui en ont besoin aillent la chercher», conclut-il. *
Si vous pensez au suicide ou si vous connaissez une personne qui serait sujette
à des pensées suicidaires, appelez ce numéro: 1-866-APPELLE www.lapresse.ca/actualites/sante/201306/11/01-4660006-evolution-du-suicide-au-quebec-une-triste-histoire.php
En 2012, près d'un
millier de jeunes ont profité des cours d'été virtuels. ÉtudeSecours offre des
cours d'été virtuels rigoureux conçus spécialement pour les jeunes du
secondaire. Le matériel pédagogique proposé est stimulant et procure aux jeunes
une grande flexibilité d'horaire. Les cours disponibles sont exhaustifs et
d'une durée d'environ 60 heures. Cours offerts pour l'été 2013; Mathématique
(1re à 5e secondaire - CST/ TS / SN) Français (1re à 5e secondaire) Anglais
(1re à 5e secondaire) Histoire et éducation à la citoyenneté (4e secondaire)
Science (4e secondaire - ST / STE / ATS / SE ) Chimie (5e secondaire) Physique
(5e secondaire). Déroulement des cours pour les jeunes. Les élèves étudient à
leur rythme le matériel pédagogique qui se trouve dans leur portail Web. Les
notes de cours regorgent d'exemples et de rappels importants. À chaque chapitre
sont rattachés une série d'exercices et des tests autocorrectifs pour lesquels
un corrigé exhaustif a été rédigé. Lorsque tous les chapitres sont achevés,
l'élève fait un examen récapitulatif dont le niveau de difficulté est similaire
à l'examen final. Si l'élève a des questions, il a la chance de communiquer à
tout moment avec son enseignant grâce à la messagerie ou à la classe virtuelle.
Pour passer son examen final, l'élève doit se déplacer dans une de nos écoles
associées (toutes les écoles sont identifiées sur notre site Web). Une carte
d'identité est obligatoire. Le contenu des cours de même que les examens sont
conformes au nouveau programme de formation des écoles québécoises et visent à
évaluer les compétences disciplinaires et leurs composantes. Les notes de
cours, les exercices, les tests et les examens finaux ont été créés par des
enseignants brevetés et expérimentés.Déroulement des cours pour les parents et
la direction. ÉtudeSecours offre un suivi auprès des parents qui met en lumière
la progression des apprentissages de leur enfant, les notes obtenues dans les
différents exercices et tests et le temps précis de navigation de l'enfant sur
son portail. ÉtudeSecours a aussi la possibilité de vérifier si le jeune a
consulté des sites autres que son portail d'apprentissage. Cet outil permet à
l'enseignant de faire un suivi pédagogique rigoureux et de faire des rappels,
au besoin, pour motiver et aider ses élèves dans leurs apprentissages. De plus,
les parents ont la chance de participer activement aux apprentissages de leur
enfant en ayant accès à son portail (notes de cours, exercices, etc.) et au
système de messagerie avec l'enseignant. À la fin des cours d'été, la direction
reçoit un relevé des apprentissages relatifs aux cours suivis par ses élèves.
Une recommandation de réussite ou d'échec est émise par nos enseignants
légalement qualifiés. En cas d'échec, une justification détaillée peut être
fournie. L'entrée des notes pour les épreuves locales en 4e et 5e secondaire
est effectuée par le Collège de Champigny à partir de Charlemagne. Début des
cours. Les épreuves locales (non celles du MELS) sont conçues par ÉtudeSecours,
et les élèves doivent effectuer l'examen final selon l'horaire fourni. Les élèves
inscrits peuvent suivre un maximum de deux cours d'été. Ceux ayant un seul
examen à reprendre devront être présents de 9 h à 12 h; ceux ayant deux examens
à reprendre devront être présents de 9 h à 12 h et de 13 h à 16 h. L'ensemble
des cours d'été débute le 10 juillet et se termine au début du mois d'août,
tout dépendamment du lieu de passation de l'examen final, de la matière et du
type d'épreuve (examen local ou épreuve unique du MELS). Notez que les épreuves
uniques du MELS sont toujours la responsabilité de l'école. Cette dernière doit
donc planifier avec ses élèves la passation de ces épreuves en fonction des
prescriptions du MELS. Enfin, le paiement s'effectue en ligne de façon
sécurisée ou par chèque. Une solution pour tous. Rappelons qu'ÉtudeSecours est
une plateforme pédagogique virtuelle conçue par des enseignants et des
programmeurs pour répondre aux besoins des jeunes, des parents et des
directions d'établissement. Pour les jeunes, il n'est pas toujours facile de se
déplacer pour suivre des cours pendant l'été, ni de concilier le travail et la
reprise de cours. De plus, ils ont la chance de suivre deux cours à la fois. De
leur côté, les parents peuvent mieux organiser leurs vacances estivales et ont
la chance de sélectionner la ville où sera passé l'examen. Les directions,
quant à elles, sont libérées de toute l'organisation scolaire que nécessitent
les cours d'été. Pour plus de détails, nous vous invitons à consulter notre
site Web. www.etudesecours.com
Collégial
Les professeurs sciences humaines
proposent au ministre Duchesne l'implantation d'un cours obligatoire sur le
Québec au collégial http://rshcq.blogspot.ca/2013/06/commubique-de-presse-de-laphcq.html
Stéphanie Roux, audioprothésiste
au Groupe Forget, à Montréal-Nord. Pourquoi avez-vous choisi cette profession? http://affaires.lapresse.ca/cv/audiologie/201306/10/01-4659541-stephanie-roux-audioprothesiste.php
Cassiopée Paradis-Gagnon,
inhalothérapeute. Respirer, c'est essentiel! Les inhalothérapeutes sont les
premiers à le savoir. Diplômée du cégep de Sainte-Foy, Cassiopée Paradis-Gagnon
fait partie de ceux qui permettent aux gens de reprendre leur souffle. http://affaires.lapresse.ca/cv/201110/31/01-4462948-cassiopee-paradis-gagnon-inhalotherapeute.php
Marie-Andrée Normandin,
technologue en médecine nucléaire. Depuis cinq ans, Marie-Andrée Normandin
travaille comme technologue en médecine nucléaire à l'Hôtel-Dieu du CHUM. Un
emploi qu'elle n'a pas eu trop de difficulté à trouver: «J'ai fait mon stage
ici et après ils m'ont engagée!», raconte-t-elle http://affaires.lapresse.ca/cv/201110/31/01-4462959-marie-andree-normandin-technologue-en-medecine-nucleaire.php
Le bacc des infirmières est
«incontournable», selon la présidente de l'Ordre. Malgré des réticences très
marquées, notamment des syndicats et des collèges, la présidente de l'Ordre des
infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ), Lucie Tremblay, a « bon espoir d'un
revirement » en faveur du rehaussement de la formation de ces futures
professionnelles de la santé, avec l'obligation du baccalauréat pour pratiquer.
Elle voudrait que le système soit mis en place dès septembre 2014. www.lapresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201306/13/01-4660817-le-bacc-des-infirmieres-est-incontournable-selon-la-presidente-de-lordre.php
Pier-Ann Vachon, technologue en
radio-oncologie. Pier-Ann Vachon a d'abord découvert la profession de
technologue en radio-oncologie lorsque sa grand-mère a été traitée pour un
cancer du sein. http://affaires.lapresse.ca/cv/201110/31/01-4462963-pier-ann-vachon-technologue-en-radio-oncologie.php
Plus de 870 000 $ de déficit pour
le collège d’Alma
La baisse du nombre des
inscriptions fait vivre des temps difficiles au collège d'Alma, qui fait face à
un déficit important qui atteint les 872 000 $. www.radio-canada.ca/regions/saguenay-lac/2013/06/13/003-college-alma-deficit-cegep.shtml
Universitaire
L'Ordre des ingénieurs perd 2000
membres. Plusieurs des ingénieurs qui quittent l'Ordre pratiquent dans des
domaines où l'appartenance à l'ordre professionnel n'est pas requise comme
l'informatique, l'environnement et les sciences de la vie. 2000 ingénieurs
préfèrent quitter leur ordre professionnel plutôt que de se conformer à
l'exigence de formation continue instaurée en 2011, a appris La Presse
Affaires. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201306/12/01-4660301-lordre-des-ingenieurs-perd-2000-membres.php
Universités des Maritimes: moins
de diplômés. Les universités des provinces maritimes décernent davantage de
maîtrises, mais moins de diplômes de premier cycle depuis cinq ans, d'après un
rapport dévoilé mardi par la Commission de l'enseignement supérieur des
Provinces maritimes www.lapresse.ca/vivre/societe/201306/11/01-4660128-universites-des-maritimes-moins-de-diplomes.php
Documentation
Satisfaction
et ruptures comparées chez les couples s'étant rencontrés en ligne et en
face-à-face www.psychomedia.qc.ca/couples/2013-06-03/comparaison-satisfaction-ruptures-rencontre-en-ligne-et-face-a-face
Frais
accessoires abusifs en santé : un outil d'information pour les patients
(Québec) www.psychomedia.qc.ca/systeme-de-sante-quebec/2013-06-09/frais-accessoires-abusifs
Dépression
: un scan du cerveau prédit si une psychothérapie ou un antidépresseur est le
meilleur traitement www.psychomedia.qc.ca/depression/2013-06-16/activite-cerebrale-pour-guider-le-choix-du-traitement
Traumatisme
crânien. Chez l’adolescent http://pnce.baseball.ca/pdfs/adult_guide_download_version_french%20-%20July%202012.pdf Repères sur les traumatismes
crâniens www.association-aris.org/HANDICAP/trauma_cranien.pdf Le traumatisme cranio-cérébral www.saaq.gouv.qc.ca/publications/victime/Trauma_Cranio-Cerebral_2011.pdf POUR MIEUX COMPRENDRE L’ÉTUDIANT
QUI A SUBI UN TRAUMATISME CRANIO-CÉRÉBRAL (TCC) www.cegep-ste-foy.qc.ca/freesite/fileadmin/users/184/guides/guide_francais/brochure_TCC_2_juin_08.pdf
Évolution des pratiques parentales en
matière de punition corporelle au Québec : des signes encourageants www.stat.gouv.qc.ca/salle-presse/communiq/2013/juin/juin1318.htm
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À noter à votre agenda
C'est officiel: l'OCCOQ recevra le Congrès mondial de l'Association internationale d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec du 3 au 5 juin 2014. L'ACOC sera au rendez-vous !
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Le nouveau Conseil exécutif et les Comités
Partenaires du Xe Congrès
de l'ACOC à l'UQAT
En 2012-2013, nous avons franchi le cap des
100 000 visites du Bulletin (110 000)
et 500 000 du site ACOC (560 000)
Bruno Tremblay, c.o. conseiller aux communications de l'ACOC acocinfo@gmail.comde l'ACOC à l'UQAT
En 2012-2013, nous avons franchi le cap des
100 000 visites du Bulletin (110 000)
et 500 000 du site ACOC (560 000)
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