28 mai 2007

V 5 No 40: La culture, un soutien à la réussite scolaire

Le temps du lilas
Bon 6e Congrès de l’ACOC aux 67 membres, en partenariat avec HEC Montréal (30 mai au 1er juin 2007) : consultez le Programme (ainsi que la description des conférences et suggestions d'hébergement). Les 9 partenaires du 6e Congrès de l'ACOC:

Publication d'un rapport d'enquête sur la pratique d'activités socioculturelles au collège : La culture, un soutien à la réussite scolaire. Voilà près de 30 ans que les animatrices et animateurs dans les collèges l'expérimentent, le constatent et l'affirment : la pratique du théâtre, de la danse, des arts visuels ou de toute autre discipline artistique au collège est bonne. Bonne pour les étudiants et leurs résultats scolaires, bonne pour les établissements, bonne pour la communauté et la société. Le Réseau intercollégial des activités socioculturelles du Québec (RIASQ) publie les résultats d'une enquête scientifique qui vient démontrer, statistiques et analyses à l'appui, qu'un jeune qui pratique une activité culturelle en parascolaire réussit mieux son parcours collégial. Un constat encourageant qui relance le débat sur le décrochage scolaire et pourrait bien changer la donne, voire les budgets, des prochaines politiques éducatives. Commandée par le RIASQ avec le soutien du ministère de la Culture et des Communications du Québec, cette enquête nationale a été menée par Jacques Roy, membre-chercheur à l'Observatoire Jeunes et Société et professeur au Cégep de Sainte- Foy, en collaboration avec Josée Bouchard et Marie-Anne Turcotte, également du Cégep de Sainte-Foy. Elle regroupe les résultats de deux études, l'une réalisée auprès de 1729 étudiants (dont 311 engagés dans une activité parascolaire) répartis dans l'ensemble du réseau collégial; l'autre menée auprès de 182 étudiants du Cégep de Sainte-Foy inscrits à au moins une activité socioculturelle. www.riasq.qc.ca/communiques/pdf/CommuniqueenqueteRIASQ.pdf et version abrégée ou complète du rapport www.riasq.qc.ca/riasq/publications.html Les résultats sont plus que positifs! En effet, ils confirment ce que le RIASQ a toujours soutenu, soit qu’un jeune qui pratique une activité socioculturelle réussit mieux son parcours collégial et est mieux préparé à exercer sa pleine citoyenneté. L’analyse des données de cette enquête démontre que la pratique d’activités socioculturelles favorise non seulement la réussite scolaire, mais également le développement personnel et identitaire des étudiantes et étudiants. Notamment, ils ont un meilleur rendement scolaire, font preuve d’une plus grande persévérance dans les études, considèrent davantage que le collège est un milieu stimulant et sont plus engagés dans du bénévolat au sein de leur communauté. www.riasq.qc.ca/quoideneuf/index.html

Info collégiale
Le Bureau de la reconnaissance des acquis et des compétences du Cégep Marie-Victorin procédait au lancement de la Politique institutionnelle de la reconnaissance des acquis et des compétences. « La reconnaissance des acquis demande aussi de la créativité et de l'ouverture d'esprit, deux autres valeurs de notre projet éducatif. Le développement des outils de la reconnaissance des acquis (RAC) et l'accompagnement des candidats exigent des intervenants des qualités d'écoute, de la rigueur intellectuelle et une approche andragogique innovante. L'adoption de cette politique suppose que la reconnaissance des acquis est bien ancrée dans notre milieu et qu'elle est reconnue par toutes les instances comme un des moyens privilégiés pour faire évoluer nos étudiants adultes dans le développement de leurs compétences et vers l'obtention d'un diplôme. » d'ajouter Mme Rouillier. Rappelons que l'expertise du Bureau de la RAC se situe d'abord dans la mise en oeuvre d'un processus complet en RAC en techniques humaines; cette expertise concerne l'information à donner aux personnes (du général au particulier), les analyses des dossiers (extrascolaire et scolaire), l'évaluation (par compétence, par regroupement de compétences ou par macrocompétence), la formation manquante offerte; elle concerne des individus regroupés en cohortes (cohortes internes ou institutionnelles) ou non. www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=68235&B=1

Info universitaire
Vous trouverez sur le site de l’ACOC
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=945 l'affichage d'une offre d'emploi pour deux (2) postes d'agents de recrutement à l'Université du Québec en Outaouais. Plus précisément, il s'agit d'un poste régulier commençant le 4 juin et d'un poste contractuel s'échellonant du 4 septembre au 3 octobre 2008.

Les dates envisagées pour la rencontre, à l’UQAC, regroupant les professionnels de l’information scolaire de la province, sont les 22 et 23 mai 2008. Plus d’informations vous parviendront cet automne.
Info_Programmes@uqac.ca Consultez le portail des professionnels de l'information scolaire www.uqac.ca/information_scolaire

Inscriptions à l'Université Laval: faire le saut à la dernière minute Plusieurs futurs étudiants attendent au dernier moment pour s’inscrire à l’Université Laval. En jonglant avec les différentes possibilités, certains hésitent longuement, alors que d’autres, séduits par la flexibilité des programmes à distance ou à temps partiel, plongent à quelques jours de la rentrée. « Nous avons plus de variantes ; on offre même des programmes d’études entièrement à distance. En diversifiant l’offre, les étudiants s’inscrivent plus tard. Ils prennent le temps de choisir, d’analyser leurs intérêts et besoins », explique Paul Shay, directeur adjoint à la promotion et au recrutement à la direction des affaires publiques de l’Université Laval. La majorité des cégépiens ont fait leur choix en début d’année. « À ce moment, on voit plus d’autres types de gens, comme ceux qui sont déjà sur le marché du travail ou qui désirent retourner aux études », spécifie M. Shay. Bien que cela rende la tâche de l’administration un peu plus ardue, M. Shay incite encore les indécis à reconsidérer leurs options : « Le plus tôt, c’est le mieux. Mais il n’est pas trop tard pour s’inscrire pour l’automne, sauf dans des programmes contingentés comme médecine, par exemple. » La multiplication des possibilités ne semble toutefois pas avoir d’impact significatif sur le nombre d’admissions. Au cours des dernières semaines, environ 17 000 offres d’admission pour tous les cycles ont été transmises par les facultés de l’Université Laval, une hausse de 2 % par rapport à l’année dernière. Puisque l’on peut tenter sa chance dans plus d’un programme, ce nombre représente quelque 12 200 personnes. Mais tout peut encore changer. Une offre d’admission doit être entérinée par l’étudiant pour que son inscription devienne effective. Après plusieurs années de croissance, l’Université Laval a enregistré une baisse de clientèle de 1,3 % en 2006-2007. Un manque à gagner de 1147 étudiants à temps plein, apprenait-on lors du dépôt du budget de fonctionnement de l’Université Laval au début du mois. Il faut attendre que les cours débutent pour comptabiliser les inscriptions, note M. Shay. Ce ne sera donc qu’à l’automne que l’on connaîtra les chiffres officiels. Lundi le 21 mai se tenait la Journée de bienvenue à l’Université Laval, une occasion d’explorer le campus, avec parents et amis. Chaque faculté accueillait ses étudiants potentiels avec un horaire sur mesure pour leur faire découvrir les aires et les services de l’établissement. Certains en ont profité pour confirmer leur inscription alors que d’autres ont pu analyser les options qui s’offrent à eux, afin de choisir entre différents programmes ou universités. Près de 2200 étudiants potentiels étaient attendus.
www.cyberpresse.ca/article/20070521/CPSOLEIL/70521193/6585 Pas trop tard pour l'automne 2007! Vous désirez venir étudier à l'Université Laval cet automne mais vos démarches ne sont pas tout à fait terminées? Pas de problème! Il n'est pas trop tard pour faire une demande d'admission à l'Université Laval pour la session d'automne 2007 si vous êtes un candidat en provenance du Québec ou un candidat en provenance des autres provinces canadiennes. www.futursetudiants.ulaval.ca/admission/pas_trop_tard_pour_faire_votre_demande Listes des programmes ouverts www.futursetudiants.ulaval.ca/admission/pas_trop_tard_pour_faire_votre_demande/programmes_de_1er_cycle

1000 étudiants de plus à Bishop's
Pour amorcer une importante phase de croissance, l’Université Bishop’s vient de présenter au gouvernement du Québec et à différents partenaires un plan de redéploiement échelonné sur 10 ans, évalué à environ 100 millions $. L’institution sherbrookoise souhaite augmenter sa clientèle d’environ 50 % sur la même période. Avec de telles visées, le nombre d’étudiants pourrait passer d’environ 2000 à 3000. À l’instar de l’ensemble des universités québécoises, l’Université Bishop’s connaît une situation financière difficile. Le déficit pour le dernier exercice financier s’élève à environ deux millions de dollars, et le déficit cumulatif à environ cinq millions de dollars. L’établissement doit également jongler avec une baisse de clientèle, attribuable entre autres à la double cohorte en Ontario entre 2002 et 2007. «C’est clair que ça nous affecte, souligne-t-il. Il ne faut pas confondre un phénomène de transition avec un phénomène de fond.» À l’heure où la société a tant besoin de l’éducation supérieure pour faire face au défi de la nouvelle économie, le sous-financement des universités demeure criant, rappelle-t-il. «Pour redéployer les universités québécoises qui ont besoin de plus d’autonomie, ça va demander des fonds additionnels...». Aux yeux de M. Poupart, la principale menace à la prospérité de nos sociétés s’avère «l’étau démographique», notamment avec la vague de retraites qui surviendra dans les prochaines années. «Je ne pense pas qu’on ait pris la mesure de ce que ça veut dire la nouvelle économie», souligne-t-il. Selon M. Poupart, la baisse de clientèle enregistrée avec la double cohorte en Ontario a en quelque sorte servi de prise de conscience à la direction de Bishop’s. Il estime également que cette période de transition pourrait durer environ trois ans. Actuellement, environ 55 % des étudiants proviennent de l’extérieur de la province et 10 % de l’étranger. Pour atteindre ses objectifs, le document prévoit entre autres de doubler le nombre d’étudiants internationaux. Si on entend souvent que l’un des charmes de Bishop’s recèle dans sa petite taille, Robert Poupart estime que l’établissement n’aura pas à «vendre son âme» pour connaître une importante croissance. Il raconte d’ailleurs qu’à son arrivée, l’association étudiante avait adopté une résolution visant à limiter à 2000 le nombre d’étudiants. «On ne peut pas rester dans le même modèle», estime M. Poupart.
www.cyberpresse.ca/article/20070524/CPACTUALITES/70524002/5048

La neuro-imagerie ouvre de nouvelles perspectives en psychologie clinique Vincent Paquette explore les possibilités du neurofeedback dans le traitement de la dépression. Les techniques d’imagerie cérébrale qui sont en train de révolutionner la recherche fondamentale en neurologie pourraient aussi transformer la psychothérapie. «Il y a un manque de dialogue et une certaine ségrégation dans les diverses approches en psychologie, déplore-t-il. On nous dit qu’il faut être formé à l’approche scientifique, mais les cliniciens s’intéressent peu aux travaux de neuropsychologie qui permettent de savoir quelles sont les zones du cerveau touchées par les troubles psychologiques.» À son avis, la neuro-imagerie permet non seulement de concevoir des modèles neurocognitifs, mais de valider les modèles tant en psychologie développementale qu’en psychologie clinique et en psychiatrie. «En fournissant une comparaison de l’activité cérébrale avant et après un traitement, l’imagerie permet de mesurer les effets d’une thérapie autant que d’une médication et de formuler des hypothèses testables, affirme-t-il. Elle pourrait même servir à désigner des marqueurs grâce auxquels on pourrait élaborer des modèles prédictifs sur les chances de réussite d’une thérapie en fonction d’un profil neurologique particulier.»
www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20070522/r_8.html

Le départ des résidents inquiète la Faculté de médecine
La pénurie des médecins ne sera certainement pas atténuée avec la décision de nombreux résidents d’aller faire leur résidence à l’extérieur du Québec
www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20070522/au_2.html

L’École de psychoéducation aura son programme de doctorat
La Commission des études approuve des modifications à la Faculté des études supérieures.
Design d’intérieur et programmes de génie
Le doyen de la Faculté de l’aménagement, Giovanni De Paoli, a présenté son projet de changer la dénomination des diplômes délivrés par l’École de design industriel aux finissants en design d’intérieur. À sa création en 1998, le programme d’études en design d’intérieur a été placé sous la responsabilité de cette école et le diplôme portait la mention «orientation design d’intérieur». On pourra lire désormais sur les diplômes «baccalauréat en design industriel» ou «baccalauréat en design d’intérieur». M. De Paoli a rappelé qu’en design d’intérieur 350 demandes sont faites pour les 45 places disponibles annuellement. «Ça donne une bonne idée de la popularité de ce programme.» La Commission a donné son aval au projet.
Enfin, la FES offrira une option «gestion des catastrophes» au DESS en environnement et prévention. Expertise de plus en plus en demande depuis le 11 septembre 2001, la gestion des catastrophes inclut les épidémies, les sinistres environnementaux, les désastres technologiques, les conflits et les actes terroristes.
www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20070522/au_4.html

Formation, documentation
Plus que de la formation…une expérience en bilan de compétences Par Ginette Beaulieu et Patricia Dionne, auteures du livre Le bilan de compétences, regards croisés entre la théorie et la pratique. Pour les professionnels des domaines de l’orientation, de la carrière, de l’employabilité et des ressources humaines. Objectifs :Faciliter votre intervention auprès des personnes qui ont besoin de faire le point par rapport à leur cheminement professionnel Expérimenter la rédaction d’un portfolio compétences Répondre aux besoins d’accompagnement spécifiques des adultes vivant des transitions Doter votre organisation d’outils d’intervention en bilan de compétences qui ont fait leurs preuves Contenu de la formation : Présentation du cadre théorique; la compréhension des trois phases de la démarche bilan de compétences et du processus de conscience de soi inhérent à chacune de ces phases. Expérimentation de plusieurs activités du programme bilan de compétences, par exemple : le cahier historique, la ligne de vie, le portfolio de compétences, le jeu de valeurs, portrait synthèse etc. Durée et coût : 2 jours de formation, 350$/personne, incluant le livre Le bilan de compétences, regards croisés entre la théorie et la pratique Date : 14-15 à Québec et 21-22 juin à Montréal * Pour vous inscrire
info@orientationemploi.org Centre d'Orientation et de Recherche Emploi 65 rue Meadow Sherbrooke J1H 6N2

Entre l'école et le boulot, les ados sont surchargés
De nombreux adolescents canadiens font mentir le stéréotype voulant qu'ils soient insouciants ou nonchalants. D'après une étude de Statistique Canada, plusieurs d'entre eux sont en effet beaucoup plus surchargés qu'on ne le pense. Comparativement aux jeunes de neuf pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques, les adolescents canadiens se classent premiers pour ce qui est des heures moyennes consacrées au travail rémunéré et non rémunéré pendant la semaine d'école. Sur une semaine en moyenne, les adolescents ont effectué en moyenne 7,1 heures de travail rémunéré et non rémunéré par jour en 2005. Cela équivaut pratiquement à la semaine de 50 heures. L'étude souligne que la grande majorité des adolescents de 15 à 19 ans qui vivent avec leurs parents vont à l'école. En 2005, ces adolescents ont fait en moyenne 9,2 heures de travail à l'école, de devoirs à la maison, de travail rémunéré et de tâches ménagères durant les journées d'école et 3,5 heures au cours de la fin de semaine. Mais la charge de travail relativement élevée entraîne un certain degré de stress. Par exemple, 16 pour cent des adolescents se considéraient comme bourreaux de travail, 39 pour cent se sentaient constamment contraints d'accomplir plus qu'ils ne pouvaient, et près des deux tiers (64 pour cent) réduisaient leurs heures de sommeil pour pouvoir tout faire. Après les heures passées à l'école, les devoirs étaient l'activité non rémunérée qui prenait le plus de temps aux adolescents, 60 pour cent d'entre eux y ayant consacré 2 heures et 20 minutes chaque jour en moyenne. L'environnement familial comptait pour beaucoup dans la réalisation des devoirs. Les adolescents avaient nettement plus tendance à faire leurs devoirs et même davantage si les deux parents avaient fait des études universitaires, s'ils vivaient dans une famille biparentale intacte (où il n'y a pas eu de divorce) et si les parents étaient nés à l'étranger. Il est intéressant de noter que les garçons de parents natifs du Canada faisaient beaucoup moins de devoirs que les filles de familles similaires et moins que les filles et les garçons de parents immigrants. Autre constat important, les adolescents faisant un travail rémunéré accaparant (20 heures par semaine ou plus) faisaient beaucoup moins de devoirs que ceux qui ne travaillaient pas. Par ailleurs, près de 4 adolescents sur 10 font environ une heure de travaux ménagers en moyenne par jour. Si les différences globales entre les filles et les garçons ont diminué ces 20 dernières années, les filles de parents immigrants ont fait nettement plus de travaux ménagers en 2005 que les garçons de ces mêmes familles. Le temps consacré aux travaux ménagers était également plus élevé dans les zones rurales et dans les familles reconstituées.
www.cyberpresse.ca/article/20070523/CPACTUEL/70523042/1015

Carrefours jeunesse-emploi : Un accompagnement sur la route de l'emploi Anoue Desjardins a frappé à la porte du CJE de Laval pour la première fois en 1997. Elle a été accueillie par un conseiller en emploi qui l'a aidée à mieux discerner ses objectifs et à rédiger un curriculum vitae qui mettait en valeur ses compétences. Il lui a également montré comment se préparer aux entrevues d'embauche. Rapidement, la jeune femme s'est trouvé un emploi comme commis de bureau. Quand, au bout de trois ans, ce poste n'a plus comblé ses aspirations, elle n'a pas hésité à retourner à son CJE. " Je voulais réorienter ma carrière vers un domaine où je pourrais continuer d'apprendre. Dans tous les emplois que j'avais occupés auparavant, mes tâches devenaient vite routinières ", explique-t-elle. Elle rencontre alors un conseiller d'orientation qui lui fait passer des tests d'aptitudes qui révèlent un intérêt marqué pour les langues. Anoue décide donc de retourner aux études et choisit la traduction. Une fois son baccalauréat en poche, elle repasse par son CJE pour sa recherche d'emploi. " Cette fois, c'était pour me rassurer et pour obtenir du soutien. Je voulais savoir si mon curriculum vitae était "vendeur" ", précise-t-elle. Il existe plus d'une centaine de CJE au Québec qui ont pour mandat d'offrir des services aux personnes de 16 à 35 ans dans leur cheminement vers la formation et l'emploi. " Notre rôle, c'est de leur donner des outils, explique Brigitte Dufour, agente de liaison au Réseau des carrefours jeunesse-emploi du Québec. Nous les soutenons dans leurs démarches, nous n'agissons pas à leur place. " La participation et l'engagement des jeunes sont en effet nécessaires à leur réussite. Les CJE accueillent les gens quelle que soit leur situation économique (sans emploi, chômeurs, prestataires de la sécurité du revenu, travailleurs). Bon an mal an, ils sont près de 55 000 à cogner aux portes des CJE. Ils sont accueillis par un conseiller en emploi qui dresse un plan d'action personnalisé en fonction de leurs besoins et de leurs attentes. " Il existe divers chemins pour accéder au marché du travail. Chaque personne choisit son propre parcours ", explique Mme Dufour.
www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/carrefours-jeunesse-emploi-accompagnement-sur-route-6950.html
Avant d'imprimer, pensez à l'environnement.
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Évaluation du site de l’ACOC www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=954
Soyez nombreux à compléter le questionnaire! Votre collaboration serait très appréciée et je vous en remercie à l'avance ! Raymond Jean, c.o.- gestionnaire du site www.acoc.info


Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca


Abonnement au bulletin électronique
Quelque Chose de l'ACOC


Votre courriel :

21 mai 2007

V 5 No 39: Invitation de l’Association francophone des c.o. du N.-B.

Brève floraison de l'amélanchier avant le lilas

Pour les inscriptions tardives, nous vous confirmerons par courriel les choix de votre participation aux trois journées (dîner, choix de visites, souper). Les retardataires doivent s'inscrire par courriel à acoc@videotron.ca en complétant le formulaire sur le site de l'ACOC www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 . Le paiement se fera sur place. Le membre qui s’inscrit tardivement s’engage à payer les frais exigés en cas de désistement. Pour s’inscrire au 6e Congrès de l’ACOC en partenariat avec HEC Montréal (30 mai au 1er juin 2007) : consultez le Programme (ainsi que la description des conférences et suggestions d'hébergement) et complétez le Formulaire d’inscription. S'inscrire le plus tôt possible afin de faciliter le travail du Comité de perfectionnement. Les 9 partenaires du 6e Congrès de l'ACOC:

Évaluation du site de l’ACOC www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=954 Soyez nombreux à compléter le questionnaire! Votre collaboration serait très appréciée et je vous en remercie à l'avance ! Raymond Jean, c.o.- gestionnaire du site www.acoc.info

L'assemblée générale annuelle de l'ACOC : vendredi 1er juin 2007 de 8h30 à 10h15 au Salon L’Oréal du HEC Montréal, durant le petit déjeuner offert par l’ACOC. Imprimez l'ordre du jour qui se trouve à l'intérieur du programme et le procès-verbal de la 5e assemblée générale annuelle du jeudi 1er juin 2006 à la page dédiée au 6e Congrès www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 . Nous sommes 460 membres inscrits au bulletin électronique du Quelque Chose de l’ACOC.

L’Association francophone des conseillères et conseillers en orientation du N.-B. (AFCONB) invite deux membres de l’ACOC à participer au Colloque de l’AFCONB 2007 qui se déroulera à Edmundston, ville frontalière avec le Québec www.afconb.ca. Si vous êtes intéressés, écrivez à acoc@videotron.ca pour recevoir le programme et le formulaire d’inscription (tarif préférentiel pour l’hôtel $86.74 incluant les taxes). Étant donné que l’AFCONB est impliquée dans la préparation du colloque de l’ACC de 2008 à Moncton, où votre association a planifié nous rejoindre pour leur rencontre annuelle, l’AFCONB a décidé que pour deux représentants de l’ACOC, il n’y aurait pas de frais d’inscription. Cette année le colloque se tiendra les 7 et 8 juin au Campus d’Edmundston de l’Université de Moncton (UMCE). Le thème de ce colloque est Découvrir ses compétences, surmonter les défis. Il réunira en autre, comme conférencière d’ouverture, Guylaine Michaud, professeure à l’Université de Sherbrooke et co-auteure du livre : Le Bilan des compétences et, comme conférencier de fermeture, Camilien Roy, Consultant en carrière avec les Services familiaux et communautaires à Bathurst et auteur romancier reconnu en Acadie. De plus, on va avoir des ateliers sur le TOWES (mesure des compétences essentielles); le lien entre la démographie, l’économie et le marché du travail de même que sur une technique qui aide les dyslexiques à lire. Chaque participants va recevoir le livre Le bilan des compétences et ceux qui vont participer à l’atelier du TOWES vont avoir la chance de le faire chez eux, de l’envoyer corriger et d’obtenir leur résultats par écrit. Réal Leclerc, Président de l’AFCONB 2005-2007 Directeur francophone du NB à l’ACC 2005-09.

Info collégiale
L'inventaire virtuel des métiers et professions de l'économie sociale et de l'action communautaire du Comité sectoriel de main-d'oeuvre - Economie sociale et action communautaire. Des métiers et professions à la sauce économie sociale et action communautaire www.csmoesac.qc.ca . Travailler autrement, c’est travailler dans des organisations qui se distinguent – de par leur mission et leur forme d’organisation – des secteurs traditionnels d’emploi. En effet, c’est œuvrer au sein d’organisations sans but lucratif ou coopératives qui ont une vocation sociale orientée vers une finalité de services aux membres et à la collectivité. C’est travailler pour des organisations qui adhèrent à des valeurs de solidarité, d’autonomie et de citoyenneté et qui, par un amalgame d’activités marchandes et non-marchandes monétaires et non monétaires, font la promotion d’un modèle de développement durable, redistributif et solidaire. Travailler autrement, c’est donc travailler à renforcer la cohésion sociale par de nouveaux rapports sociaux de solidarité. http://profession.csmoesac.qc.ca/ Répertoire des formations en économie sociale et en action communautaire http://formation.csmoesac.qc.ca:8080/csmo_formation/pages/publiques/index.jsp Documentation www.csmoesac.qc.ca/publications/documents.html


La Ballade de DL-8-153 (Lumière dans le noir fameux disque de Zachary Richard où il dit que ces chansons remplissent un carnet de voyages à travers tempêtes et rêves. Elles ont été inspirées par ouragans et disparitions: de proches, de villes, de baleines, de territoires et d'illusions. Je les offre à ceux et à celles qui sentent le désespoir rôder autour de la cabane: une amulette qui apporte amour et courage et lumière dans le noir.) Dédiée à Pierre Béland qui m’a fait découvrir les bélugas du Saint Laurent et leur situation périlleuse. Le titre fait référence au recensement des bélugas, le « DL » étant l’abréviation de leur nom en latin : Delphinapteurus Leucas. www.baleinesendirect.net/FSC.html?sct=2&pag=2-5-1-2.html
Au bas du St. Laurent,
En dessous de l’eau,
Nagent mes frères
Depuis la nuit des temps.
Ils étaient là,
Quand les glaciers sont fondus.
Ils sont encore là,
Mais ils ne sont plus beaucoup.
On entend leurs chants,
Des oiseaux sous-marins,
On entend leurs pleurs,
Mais on ne fait rien.
Qu’est ce qu’on va faire?
Qu’est ce qu’on va manger?
L’océan devient cimetière
Pour les baleines trépassées.
Au large de Trois Rivières,
Couché dans les roseaux,
Un beau béluga :
DL-8-153.
Bourré de PCB.
Bourré de DDT.
Bourré de cancer
À cause de l’homme qu’il côtoyait.
Qu’est ce qu’on va faire?
Qu’est ce qu’on va manger?
L’océan devient cimetière
Pour les baleines trépassées.


Info universitaire
Pénurie de personnel en santé et éducation au Saguenay-Lac-Saint-Jean Le président de la CSQ demande au gouvernement de prendre les grands moyens pour revaloriser les professions. "Au Saguenay-Lac-Saint-Jean comme dans l'ensemble du Québec, les travailleuses et les travailleurs du secteur public, notamment en santé et en éducation, ne pourront pas supporter indéfiniment les conditions de travail inhumaines qu'on leur impose depuis plusieurs années. Si le gouvernement Charest veut réellement mettre fin aux pénuries de personnel en éducation comme en santé, il va devoir prendre les grands moyens pour revaloriser les professions dans ces secteurs, sinon la société québécoise, et particulièrement les régions comme le Saguenay-Lac-Saint-Jean, doit se préparer dès maintenant à des lendemains très difficiles." "Aussi longtemps que le gouvernement du Québec et les administrateurs des établissements de santé et scolaires maintiendront les conditions de travail actuelles, la pénurie de personnel ne fera que s'aggraver. Qui aurait le goût d'aller travailler dans un hôpital comme le Carrefour de santé de Jonquière où faire des heures supplémentaires est devenu une obligation ? Qui voudrait travailler dans un établissement où le personnel a de la difficulté à se prévaloir de ses congés", questionne le président de la CSQ ? "On ne peut pas publiquement jouer à l'administrateur victime du manque de personnel alors que lorsqu'on se retrouve entre les murs de son établissement, on s'entête à maintenir les travailleuses et les travailleurs dans des postes précaires durant plusieurs années plutôt que de leur accorder des postes à temps complet et permanents que justifierait justement la pénurie. Il me semble que si l'on veut vraiment retenir notre personnel et attirer une relève, la première mesure qui s'impose est de cesser de créer des emplois précaires qui ne sont attrayants pour personne", explique le président de la CSQ. www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=68030&B=1


Formation, documentation
Encore utiles, les tests de QI?
Le test de QI n’en est qu’un parmi la panoplie de tests psychométriques utilisés aujourd’hui.
Il y a 30 ans, les tests de QI (quotient intellectuel) étaient très répandus et utilisés pour classer les gens selon leur intelligence. Les chanceux au QI élevé étaient admirés, les autres méprisés. Et une fois le résultat connu, l’étiquette restait collée à vie. « De 1945 à 1975, l’usage des tests QI était discutable. C’était une espèce de folie, on faisait la sélection universitaire seulement sur cette base », rappelle Michel Pépin, professeur à l’École de psychologie de l’Université Laval. Aujourd’hui, ces tests sont utilisés différemment. Les résultats ne servent plus à sortir les plus brillants de la masse, mais plutôt à guider l’intervention des professionnels auprès de ceux qui ont des problèmes avec leur intelligence, comme les déficients, les personnes atteintes d’Alzheimer, les traumatisés crâniens. Parfois, un enfant plus doué pourra sauter une année scolaire. Mais le test de QI ne suffit plus. D’autres tests pour vérifier sa maturité affective et sociale seront pris en compte. Les tests de QI mesurent-ils vraiment l’intelligence ? « Ils sont une mesure indirecte. Ce sont des outils », répond Michel Pépin. « Les tests de QI ne mesurent pas toute l’intelligence, mais ils donnent une bonne idée », ajoute Serge Larivée, professeur au département de psychoéducation à l’Université de Montréal, spécialisé dans ce type de test. Le test de QI n’en est qu’un parmi la panoplie de tests psychométriques utilisés aujourd’hui. Test de leadership, de personnalité, de satisfaction au travail, de résistance au stress, etc. sont largement utilisés par les employeurs. Ces tests psychométriques sont-ils valides scientifiquement ? Oui, répondent sans hésiter les psychologues interrogés. Mais attention ! Ceux que l’on trouve dans Internet (taper « test QI » dans un moteur de recherche) et dans les magazines ne le sont pas. « Ils ont l’air corrects, mais il faut en prendre et en laisser », dit Michel Pépin. Seuls les psychologues, les conseillers en orientation, les travailleurs sociaux peuvent acheter, utiliser et interpréter les vrais tests psychométriques. « Aujourd’hui, on ne parle plus tellement de quotient intellectuel, mais plutôt de profil cognitif de l’enfant », note Mme Gosselin. Les tests sont si précis qu’on compare le développement des enfants du même âge, à trois mois près. Aux tests chiffrés, on ajoute la perception de l’entourage, avant de poser un diagnostic. « Les chiffres ne remplacent pas les mots. Nous prenons toujours en compte nos propres observations de l’enfant, les commentaires des enseignants et des parents. » Troubles de langage ? Trouble d’apprentissage ? Déficit d’attention ? Problème de motricité ? « Un diagnostic clinique, c’est basé sur la science, ce n’est pas juste une intuition », assure Mme Gosselin. Le stress, la fatigue, la maladie influencent la performance à ce type de test. « Je recommande toujours aux parents de coucher l’enfant tôt la veille du test. Et j’explique à l’enfant le sens de l’évaluation afin qu’il collabore », dit Mme Gosselin. La majorité des enfants évalués par la psychologue scolaire proviennent de classes ordinaires. Ils sont démotivés ou inattentifs ou apprennent lentement. Les tests de QI — pardon ! le profil cognitif de l’enfant — sont indispensables pour mieux cerner ses besoins : classe spéciale, aide d’un orthopédagogue, du psychologue, ou même suivi par le neuropsychiatre. À de rares occasions, le test de QI servira à évaluer un enfant doué. Quand les parents veulent inscrire leur enfant à l’école à quatre ans plutôt qu’à cinq par exemple, on lui fera passer un test de QI. « On utilise d’autres tests pour vérifier sa maturité sociale et affective et son développement moteur ». Un QI élevé ne suffit pas pour obtenir une dérogation, ou pour permettre à un enfant de sauter une année scolaire. Les parents ont beaucoup moins de préjugés qu’autrefois envers les tests, constate la psychologue. « Ils n’ont pas connu les étiquettes accolées avec les tests QI d’autrefois. » Ces tests — l’échelle d’intelligence de Wechsler — sont sensiblement les mêmes qu’autrefois, on vérifie la mémoire, le raisonnement, les habiletés spatiales, etc. Mais ils sont rajeunis aux 15 ans, adaptés à chaque culture. L’outil qu’utilise Sylvie Gosselin a été mis à jour en 2004. « On le sait assez vite quant le test n’est plus à jour, les résultats sont trop élevés », constate Mme Gosselin. www.cyberpresse.ca/article/20070516/CPACTUEL/70516011/1015

Un Canadien sur trois déclare être un bourreau de travail.
C’est ce que révèle une étude de Statistique Canada. Selon l'analyse, ces Canadiens sont bien plus susceptibles d'être insatisfaits de l'équilibre entre le travail et la famille que les autres travailleurs. L'étude, publiée mardi, est fondée sur les données de l'Enquête sociale générale (ESG) de 2005 afin d'examiner si la qualité de vie diffère selon qu'on se dise bourreau de travail ou non. L'étude montre que près du tiers des Canadiens actifs, âgés de 19 à 64 ans, soit 31%, disent être des bourreaux de travail. Cette proportion n'a pas changé depuis qu'on a commencé à recueillir de telles données dans le cadre d'une autre enquête en 1992. Environ 39% des bourreaux de travail autodéclarés ont dit oeuvrer habituellement 50 heures ou plus par semaine, comparativement à seulement 20% chez les autres travailleurs. Par ailleurs, 65% des bourreaux de travail s'inquiétaient de ne pas passer suffisamment de temps avec leur famille et leurs amis, soit une proportion beaucoup plus forte que celle de 45% observée chez les autres travailleurs. Ils étaient aussi plus susceptibles d'affirmer avoir une santé passable ou mauvaise et avoir de la difficulté à dormir. www.lapresseaffaires.com/article/20070515/LAINFORMER/70515089

L'industrie de la radio continue de grossir
Au moment où les médias hier les plus rentables voient leurs marges fondre et subissent de plein fouet l’exode des revenus publicitaires vers Internet, la radio a continué de croître et a amélioré sa rentabilité entre 2005 et 2006. Selon des données publiées mercredi par le CRTC, les revenus totaux des stations de radio AM et FM canadiennes ont augmenté de 5,7% entre 2005 et 2006, et sont passés de 1,3 G$ à 1,4 G$. www.lapresseaffaires.com/article/20070516/LAINFORMER/70516061/5891

Lancement d'un nouveau site Web consacré uniquement à la formation en ligne
Edu-Performance, entreprise québécoise spécialisée dans le développement et l'implantation de solutions d'apprentissage sur Internet (eLearning ou eFormation), met en ligne son nouveau site Internet http://www.eduenligne.com/ entièrement consacré à son activité de formation. Le site répertorie l'ensemble des modules disponibles (bureautique, informatique, langues, comptabilité, etc.) pour suivre à distance une formation reconnue et approuvée. Plus de 1300 modules de formation sont disponibles en version Internet ou en version Cd-rom.


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14 mai 2007

V 5 No 38: Des vies complexes: La culture éducationnelle des élèves sous-performants



Oies des neiges au Cap Tourmente

Pour s’inscrire au 6e Congrès de l’ACOC en partenariat avec HEC Montréal (30 mai au 1er juin 2007) : Consultez le Programme (ainsi que la description des conférences et suggestions d'hébergement) et complétez le Formulaire d’inscription. S'inscrire avant le vendredi 18 mai afin de faciliter le travail du Comité de perfectionnement. www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 Les 9 partenaires du 6e Congrès de l'ACOC:

Évaluation du site de l’ACOC www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=954 Soyez nombreux à compléter le questionnaire! Votre collaboration serait très appréciée et je vous en remercie à l'avance ! Raymond Jean, c.o.- gestionnaire du site www.acoc.info


L'assemblée générale annuelle de l'ACOC : vendredi 1er juin 2007 de 8h30 à 10h15 au Salon L’Oréal du HEC Montréal. www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 .

Info collégiale
Les étudiants sous-performants sont au coeur d’une étude au Collège Vanier Une étude qui se penche sur les étudiants qui risquent de faillir et sur leur vécu éducatif lorsqu’ils entrent au cégep, suggère des moyens de combler le gouffre entre la culture du collège et celle des étudiants sous-performants. L’étude intitulée, Des vies complexes: La culture éducationnelle des élèves sous-performants, a été réalisée un groupe de chercheurs du Collège Vanier : Jock MacKay, professeur de sociologie et de philosophie, Doug Miller, aide pédagogue avec The Learning Centre et Guy Quinn, professeur d’éducation physique et fondateur du programme Explorations. Dans l’étude qui est basée sur des interviews menées auprès de cégépiens, et d’élèves et d’enseignants du secondaire, les auteurs ont constaté que le problème commence déjà au secondaire où les élèves ne sont pas bien préparés à réussir au cégep. « Ces élèves arrivent au cégep en grande partie ignorants des attentes institutionnelles. Ils pataugent souvent dans un monde scolaire qui leur semble mystérieux, qui ne leur est pas familier, et qui est apparemment indifférent aux difficultés de jeunes adultes qui veulent avancer dans la vie tout en subissant des pressions multiples. » Pour obtenir leurs données, les auteurs ont interviewé des étudiants de Vanier qui avaient terminé le secondaire avec une moyenne de moins de 70%. Le portrait qui en ressort en est un d’élèves qui mènent de vies complexes. Pour presque tous ces élèves sous-performants, l’école est avant tout un lieu de socialisation. Ils vont à l’école pour être avec leurs amis. Ils ont des liens de famille solides et affirment aller au cégep pour plaire à leurs parents. La plupart de ces élèves ont étudié dans plus d’une langue et plusieurs sont issus de familles immigrantes. Quelques uns ont eu à faire face à l’exclusion, la marginalisation ou le racisme et plusieurs ont vécu la plupart de leur vie dans une grande pauvreté. En plus, plusieurs de ces jeunes ont d’autres responsabilités outre les études et sont actifs sur le marché du travail rémunéré. Malheureusement, les élèves qui profiteraient d’étudier à un rythme approprié à leur réalité contextuelle, sont pénalisés financièrement parce qu’ils n’étudient pas à temps plein. Que peut-on faire pour encourager le succès des élèves sous-performants? En tout premier, « Le ministère de l’Éducation doit abandonner les pratiques qui pénalisent financièrement les élèves qui n’ont pas les moyens financiers, ou pour qui les études ne font pas partie de peurs priorités, d’étudier à temps plein,” au dire des auteurs. www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=67365&B=1

Les cégépiens ne sont pas pressés
Seuls 42,1 % des jeunes qui entreprennent des études au secteur préuniversitaire des cégeps décrochent leur diplôme après la durée prévue de deux ans. Il s'agit d'un léger recul par rapport aux deux années précédentes. Au secteur technique, le taux de succès de 37,8 % en trois ans est plus faible encore. Mais il s'agit du meilleur résultat jamais vu, selon les dernières données du ministère de l'Éducation. «Chez nous, un étudiant sur trois change de programme, a commenté hier Caroline Tessier, porte-parole de la Fédération des cégeps. Compte tenu du mandat d'orientation du collégial, la durée prévue nous apparaît relative.» La Fédération ajoute un délai de grâce de deux ans dans son calcul des taux d'obtention des diplômes, a-t-elle précisé. Il est vrai que les cégépiens sont plus nombreux à se voir décerner leur DEC avec un peu de retard. En leur donnant un an de plus que prévu, 63,2 % obtiennent leur diplôme au secteur préuniversitaire et 53,8 % au secteur technique. Il reste que le Québec n'a pas de quoi pavaner. À peine 39,4 % d'une génération obtient un DEC (données de 2003-2004). C'est bien en deçà de l'objectif du Ministère, fixé à 60 % pour 2010. Avec un taux de décrochage élevé au secondaire, plusieurs jeunes voient tout bonnement les portes des cégeps rester fermées devant eux. Règle générale, les femmes s'en tirent mieux, avec un taux d'obtention du DEC de 50 % contre 29,3 % chez les hommes. Le collégial privé obtient de brillants résultats, avec un taux de succès de 67,7 % en deux ans au secteur préuniversitaire, contre 39,5 % pour le public. Mais cet écart est réduit au secteur technique (39,8 % de diplômés en trois ans au privé et 37,5 % au public). On pouvait s'attendre à une amélioration, avec les 40 millions investis depuis 2001 dans l'aide à la réussite, mais ce n'est malheureusement pas le cas.» Solution : engager davantage de psychologues, de professeurs et d'orienteurs pouvant soutenir les élèves, selon Mme Bond-Roussel. Pour améliorer le taux de succès, l'ex-ministre de l'Éducation, Jean-Marc Fournier, songeait l'hiver dernier à assouplir les exigences d'entrée au collégial et à créer un DEC sans spécialité. www.cyberpresse.ca/article/20070509/CPACTUALITES/705090666/1019

Regard sur... les jeunes et le travail
Cet ouvrage propose une lecture de la question du travail des jeunes en la cadrant dans la perspective des transformations qu’ont connues les sociétés occidentales au cours des deux dernières décennies. Fruit d’un projet collectif de l’Observatoire jeunes et société, il réunit des textes originaux issus de travaux récents qui abordent, tour à tour, les multiples facettes de cet objet si particulier qu’est le travail des jeunes dans les sociétés occidentales contemporaines. Les contributions sont regroupées en trois axes principaux : a) les parcours professionnels et le rapport au travail, b) l’insertion professionnelle et les liens études-travail et c) les ­milieux de travail et les conditions d’emploi. L’ensemble offre une analyse approfondie des relations complexes entre les jeunes et le monde contemporain du travail caractérisé par la flexibilité structurelle, les reconversions professionnelles et de nouvelles formes de revalorisation de l’activité productive. Outil de référence pour les chercheurs et les étudiants qui ­s’intéressent à la question des jeunes et du travail, aide à la réflexion pour les responsables d’élaboration des politiques, ce livre s’adresse à tous ceux qui sont à la recherche d’une meilleure compréhension de la dynamique des transformations qui ont lieu au Québec et dans l’ensemble du monde occidental. Avec la collaboration de Madeleine Gauthier, Liette Goyer, Jacques Roy. Vingt ans après, les nouveaux visages du travail des jeunes; De « jeunes chômeurs » à « jeunes travailleurs » :évolution de la recherche sur les jeunes et le travail au Québec depuis les années 1980; L’influence du contexte sociétal sur les trajectoires scolaires et professionnelles des jeunes adultes; Le rapport au travail et la « génération numérique »; Les formes de soutien parental à l’insertion professionnelle. Le cas des jeunes ayant abandonné leurs études secondaires ou collégiales; L’orientation professionnelle auprès des jeunes : une mise à jour permanente? La structuration de l’insertion professionnelle des jeunes par les modes de recrutement des entreprises; Les jeunes et le travail en milieux communautaires : choix, contrainte et ajustement; Le cheminement scolaire et l’insertion professionnelle des jeunes qui ont interrompu leurs études secondaires; Quitter sa région pour étudier, y revenir pour travailler : question de pouvoir du diplôme? Les logiques sociales de la dualité travail-études : le cas des jeunes de l’enseignement collégial; Les mutations dans les formes d’emploi et leurs conséquences sur les jeunes; Les jeunes des années 1980 : une génération sacrifiée ? www.pulaval.com/catalogue/regard-sur-les-jeunes-travail-9017.html

Le Salon Éducation et le Salon Formation Carrière (voir la section Nouvelles www.acoc.info) 10 au 13 octobre 2007 – Place Bonaventure – Montréal www.saloneducation.com et www.salonformationcarriere.com
Un incontournable pour les étudiants du collégial ! La 12e édition du Salon Éducation et du Salon Formation Carrière de Montréal aura lieu du 10 au 13 octobre 2007 à la Place Bonaventure. Cet événement, devenu un véritable incontournable au fil des ans, est entièrement consacré à l’éducation, à l’emploi et à la carrière. Encouragez vos étudiants à venir y recueillir de nombreuses informations !Lors du Salon Formation Carrière, soit les 12 et 13 octobre, suggérez à vos finissants d’apporter leur CV, d’aller le remettre en main propre aux grandes et petites entreprises qui seront sur place afin de recruter du personnel et invitez-les à passer au Centre d’évaluation professionnelle du CV ! Encore cette année, ils retrouveront également le Salon Éducation, du 10 au 13 octobre, présentant des aires d’animation, des démonstrations de métiers ainsi qu’une panoplie de renseignements sur les besoins du marché du travail et sur les programmes d’études disponibles au Québec et à l’étranger aux trois niveaux d’enseignement. Nous vous encourageons fortement à diffuser toute l’information nécessaire du plus grand rassemblement consacré à l’éducation, à l’emploi et à la carrière au pays, parmi tous les étudiants de votre établissement ! Pour les étudiants du collégial et les adultes, nous avons maintenant un tarif spécial de 3 $ par personne pour les groupes de 10 personnes et plus, ce qui représente un rabais de 25 % par rapport au prix d’entrée régulier. Notre période d’inscription est maintenant ouverte. Ne tardez pas à inscrire votre école afin de réserver votre temps de visite, les places étant limitées. Formulaire d'inscription électronique : www.saloneducation.com/saloneducation2007/fr/visites_scolaires/inscrire.php Louise Pauzé Coordonnatrice des visites scolaires visitescolaire@ineo.ca

Une nouvelle infirmière sur sept ne se trouvera pas un emploi
Une étude démontre qu'une nouvelle infirmière sur sept n'arrivera pas à se trouver un emploi, au Canada. L'étude de l'Association des infirmières et infirmiers du Canada, rendue publique mercredi, soutient que, malgré une pénurie de personnel médical qui s'aggravera probablement avec le temps, 15 pour cent des 8000 infirmières qui termineront leurs études cette année ne se trouveront pas un poste. Cette situation, selon l'Association, ne fera qu'accroître le temps d'attente pour les patients de même que le stress des infirmières aux prises avec une charge de travail trop importante. L'Association précise que la formation d'une infirmière coûte environ 60 000 $ aux différents gouvernements. Elle note que si 1200 diplômées ne trouvent pas de boulot, les contribuables auront jeté 72 millions $ par la fenêtre. L'Association des infirmières et infirmiers du Canada dit ne pas savoir quelle est la cause exacte du problème, mais la présidente de l'Association canadienne des soins de santé, Sharon Sholzberg-Gray, avance que celui-ci pourrait résulter du fait que les infirmières disponibles ne résident peut-être pas là où il y a des postes disponibles. www.cyberpresse.ca/article/20070509/CPACTUALITES/70509018/1019


Info universitaire
Les jeunes délinquants souffrent-ils de troubles cognitifs?
Selon les vues traditionnelles de la psychiatrie, de la psychologie et de la criminologie, le jeune qui volerait une automobile est le même genre de personne qui en attaquerait une autre sur la rue. Cependant, des chercheurs du Groupe de recherche sur l’inadaptation psychosociale chez l’enfant de l’Université de Montréal (GRIP), de l’Université Rutgers aux États-Unis et de l’Institut de psychiatrie de Londres ont publié hier une étude longitudinale dans Archives of General Psychiatry démontrant le contraire. L’équipe internationale a récemment examiné le développement de la violence physique et du vol dans un échantillon de 698 hommes suivis entre l’âge de 12 et 31 ans. Cette équipe de chercheurs, dont l’auteur principal est le Dr Edward D. Barker, ont également examiné comment la violence et le vol étaient reliés au fonctionnement intellectuel. Les chercheurs ont découvert que les comportements physiquement violents augmentaient chez un homme sur dix (13%) au cours de l’adolescence, alors qu’un homme sur deux (55 %) s’impliquait davantage dans le vol. Ces chercheurs ont également trouvé que les voleurs étaient plus brillants que ceux qui étaient violents, c’est-à-dire qu’ils ont obtenu de meilleurs scores à des tests évaluant leurs fonctions neurocognitives. Pourtant, l’approche clinique habituelle classifie ces comportements antisociaux violents et non violents dans la même catégorie : le trouble des conduites. Le trouble des conduites recoupe essentiellement quatre types de comportements antisociaux : la violence physique envers les personnes et les animaux, la fraude et le vol, la destruction de biens matériels, et les violations graves des règles établies. « En supposant qu’un enfant qui est violent envers les autres est le même genre de personne que celle qui ment ou qui vole, les pratiques conventionnelles proposent le même type d’intervention – qui fonctionne plus ou moins bien, explique le Dr Jean Séguin, chercheur au GRIP et professeur au Département de psychiatrie. Ces nouveaux résultats de recherche remettent en question cette notion en suggérant tant aux chercheurs qu’aux cliniciens, qui doivent souvent traiter en groupe, qu’il faut éviter de mélanger des pommes et des oranges en offrant les mêmes diagnostiques et interventions à des enfants qui sont différents du point de vue intellectuel et au niveau de leur développement. Cette recherche augmente les chances de développer des interventions plus efficaces pour chaque type d’enfant, souligne-t-il. » www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=67533&B=1

Génie : salaires à la hausse
Au 1er février 2007, le salaire moyen des ingénieurs variait entre 46 200 $ pour un jeune diplômé et 112 000 $ pour un pro cumulant 35 ans d'expérience, selon une enquête du Réseau des ingénieurs du Québec. La hausse moyenne de la rémunération entre 2006 et 2007 est de 5,1 %. Et en avril dernier, le taux de chômage était de seulement 3,4 % dans la profession. www.cnw.ca/fr/releases/archive/May2007/04/c5024.html

Formation, documentation
Bulletin « branché sur Academos » du mois de mai 2007 : http://www.academos.qc.ca/ Un nouveau site Web dès septembre 2007 et Academos s'agrandit!

Le colloque Dialogue 2007 se déroulera les 12, 13 et 14 septembre 2007 au Campus du Fort Saint-Jean. La formule est simple, peu coûteuse et conviviale. Vous trouverez le programme officiel ainsi que le formulaire d’inscription au colloque (www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=948), que vous devrez remplir et nous faire parvenir avant le 10 août 2007. Vous recevrez également le programme par la poste d'ici la fin mai. Bernard Pomerleau, président et son équipe

La démographie mènera le Québec vers un gouffre
Le Québec se dirige tout droit vers une crise des finances publiques en raison de sa situation démographique, crise qui ne pourra être évitée que si des correctifs sont apportés dès maintenant en augmentant les impôts, les taxes et les tarifs. www.cyberpresse.ca/article/20070510/CPACTUALITES/70510081/1019

Avis aux profs ennuyeux !
Les professeurs soucieux de l’état d’esprit de leurs étudiants pendant leurs cours pourraient bientôt posséder un outil informatique révélateur ! En effet, un système qui mesure le degré d’attention des étudiants est présentement à l’essai en Chine et au Royaume-Uni. Il permet à l’enseignant d’adapter son cours en fonction de la réponse des étudiants. www.cyberpresse.ca/article/20070510/CPSCIENCES/70510009/1020/CPSCIENCES

Le marché des déchets
Au Québec, des dirigeants d'entreprise se définissent désormais comme des " entrepreneurs environnementalistes ". Rien de moins! Le vocable est utilisé notamment par les membres du Conseil des entreprises de services environnementaux (CESE) qui sont engagés principalement dans la gestion des matières résiduelles, un des quatre sous-secteurs de l'environnement (les autres étant l'eau, les sols et les eaux souterraines ainsi que l'air et les changements climatiques). " Selon les chiffres du Comité sectoriel de main-d'œuvre en environnement (CSMOE), l'environnement représente actuellement 32 000 emplois directs, dont près de la moitié dans le seul domaine de la gestion des matières résiduelles (GMR). " Et on y prévoit des investissements de l'ordre de 600 millions de dollars pour la période allant de 2005 à 2008 ", dit Robert Lemieux, p.-d.g. de Recyc-Québec, un organisme relevant du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP). La croissance est en grande partie attribuable aux responsabilités environnementales des municipalités, qui doivent concrétiser le principe des " 3 R " : réduire, recycler et réutiliser. Les plans de gestion des matières résiduelles des municipalités, largement imposés par le MDDEP, couvrent également les matières dangereuses et les débris de construction, et concernent autant les entreprises que les individus. Le grand objectif, à atteindre en 2008 : récupérer 60 % de la demi-tonne de déchets produite en moyenne par un individu en une année. On en récupère aujourd'hui à peine 25 % : du papier essentiellement, tandis que le verre, le plastique, les pots de peinture, les vêtements prennent encore le chemin du sac poubelle. Pour les entreprises, la rentabilité est déjà au rendez-vous. " Un marché très important se dessine pour les matières recyclées, et en particulier pour l'aluminium et les autres métaux ", affirme M. Lemieux. Pour faire une tonne d'aluminium qui se vendra 1 800 $, il faut par exemple 60 000 canettes de boissons gazeuses ou de bière. Or les Québécois en consomment environ un milliard par an! " Un excellent rapport qualité-prix ", estime M. Lemieux. Il se crée de plus en plus d'emplois dans le domaine de la collecte et du tri des matières, mais ce sont des emplois, il faut le dire, traditionnellement peu spécialisés et associés à la réinsertion dans le marché du travail. Mais le contexte change. " Il y a des usines de tri très sophistiquées, mécanisées, où les interventions manuelles sont réduites au minimum ", dit M. Lachance. Le traitement de certaines matières exige en outre des procédés particuliers. De plus, la plupart des biens de consommation consistent en un assemblage de plusieurs matières. L'emploi de valoriste, qui requiert une formation de niveau collégial, a donc été créé. Et si les entreprises du domaine ont toujours d'importants besoins en mécaniciens et en camionneurs - les " convoyeurs " -, on y retrouve également des technologues spécialisés et des ingénieurs chimistes. Les entreprises qui recrutent Biogénie (décontamination sol et eau) www.biogenie-env.com
SNF (recyclage de métaux) www.snf.ca www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/marche-des-dechets-6889.html

Les vacances de la construction seront décalées d'une semaine
En 2008, les travailleurs de la construction du Québec auront congé du 18 juillet au 2 août, plutôt que du 13 au 27 juillet comme c'est le cas cette année. Ainsi en a décidé l'Association de la construction du Québec (ACQ). C'est qu'il faut maintenant composer avec les canicules désormais plus fréquentes à la fin juillet, et mieux vaut les subir au bord d'un lac que sur un chantier! http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national/archives/2007/05/20070502-113928.html

Jeu électronique : 200 nouveaux emplois à Québec
Le développeur de jeux électroniques Beenox a récemment annoncé la création de plus de 200 nouveaux postes à Québec d'ici 2009, ce qui triplera le nombre de ses employés dans la capitale. L'entreprise recrute déjà à partir de son site Internet. http://benefice-net.branchez-vous.com/nouvelles/07-05/11-211703.html

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07 mai 2007

V 5 No 37: Les rôles professionnels en Sciences de la nature et humaines


Bruant chanteur à l'Ancienne-Lorette

L'assemblée générale annuelle de l'ACOC aura lieu le vendredi 1er juin 2007 lors du 6e Congrès annuel, de 8h30 à 10h15 au HEC Montréal, durant le petit déjeuner offert par l’ACOC au Salon L’Oréal. Imprimez l'ordre du jour qui se trouve à l'intérieur du programme et le procès-verbal de la 5e assemblée générale annuelle du jeudi 1er juin 2006 à la page dédiée au 6e Congrès
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 .

Pour s’inscrire au 6e Congrès de l’ACOC en partenariat avec HEC Montréal (30 mai au 1er juin 2007), allez à la page du Congrès 2007
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 pour consulter le Programme (ainsi que la description des conférences et suggestions d'hébergement) et compléter le Formulaire d’inscription. La date limite pour s'inscrire au congrès est le vendredi 18 mai. Nous sommes 459 membres inscrits au bulletin électronique de l’ACOC. Les 9 partenaires du 6e Congrès de l'ACOC (à jour le 25 avril):


Évaluation du site de l’ACOC www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=954 Soyez nombreux à compléter le questionnaire. Votre collaboration serait très appréciée et je vous en remercie à l'avance ! Raymond Jean, c.o.- gestionnaire du site www.acoc.info

Info collégiale
Découvrez des outils que veulent bien nous partager Louise Bernier et Nathalie Bussières, c.o. du Cégep de Sainte-Foy www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=933 (6e ressources ou voir aussi la section Nouvelles du site www.acoc.info) Tableau sur les sciences de la nature, Tableau synthèse sur les huit rôles professionnels en sciences humaines et le lien vers le service d'orientation du Cégep de Sainte Foy www.cegep-ste-foy.qc.ca/freesite/index.php?id=11369

Journées REPÈRES pour l'automne 2007
Les rencontres se tiendront aux lieux et dates suivants : À Québec, à l'Université Laval le 1er octobre. À Sherbrooke, à l'Université de Sherbrooke le 23 octobre. (Nouveauté). À Montréal, à l'École de technologie supérieure le 1er novembre. Nous profitons de cette occasion pour solliciter des utilisateurs de Repères ou des activités orientantes de REPÈRES (ex.: PIF, SOS) de ces régions qui seraient intéressés à présenter un atelier sur leur façon de se servir de REPÈRES et/ou des activités orientantes dans leur milieu. Les personnes intéressées peuvent communiquer avec moi afin de discuter de l'organisation de l'atelier.Léon Barrière Analyste fonctionnel et conseiller en ISEP
leon.barriere@grics.qc.ca

Une première canadienne à La Cité collégiale
La Cité collégiale se lance dans la formation d'agents de sécurité spécialisés dans la protection des aéroports, en offrant le programme "Protection et sécurité aéroportuaire" dès septembre prochain. La présidente de la Cité Collégiale, Andrée Lortie, a annoncé, hier, la création de ce programme monté sur mesure pour combler les besoins des aéroports en matière de sécurité. À l'automne, une trentaine d'étudiants suivront ce programme spécialisé de 30 semaines, le seul à être offert au Canada La Cité collégiale a aménagé, dans une classe, un laboratoire qui reproduit l'environnement et qui comprend l'équipement de sécurité d'un aéroport, incluant les détecteurs de métaux et d'articles dangereux.
www.cyberpresse.ca/article/20070502/CPACTUALITES/705020380/5173

Le programme Techniques de l’informatique du Collège François-Xavier-Garneau devient PORTABLE ! Le programme Techniques de l’informatique du Collège François-Xavier-Garneau fait peau neuve pour l’automne prochain. En plus d’offrir une nouvelle grille de cours axée sur le Web et les appareils mobiles, les étudiants qui fréquenteront le programme devront utiliser, un ordinateur portable. Plusieurs avantages liés à l’utilisation des ordinateurs portables ont été identifiés. Notamment, apprentissage plus actif en classe; logiciels et documents disponibles partout et en tout temps; accès au réseau sans fil du Collège dans les lieux communs et les salles de classe; possibilité d’utiliser son portable lors d’un stage ou d’un emploi d’été. L’équipe départementale est présentement à évaluer et à adapter ses stratégies pédagogiques afin de tirer avantage de la mobilité qu’amène l’ordinateur portable. C’est donc avec fébrilité et enthousiasme que l’ensemble du département d’informatique et le Collège François-Xavier-Garneau attend le début de l’année scolaire 2007-2008 pour accueillir ses premiers étudiants dans la Zone-IP. Pour en savoir plus sur la Zone-IP, consultez le site à l’adresse suivante :
www.cegep-fxg.qc.ca/zoneip

Événement cinéma au Cégep de Sainte-Foy Présenté par le profil Cinéma et création. Entrée gratuite. Le Cégep de Sainte-Foy présente cette année la 1ère édition du Festival de films qui aura lieu le 10 mai à 18h30, à La Margelle du Cégep de Sainte-Foy. Pour l’occasion, les finissants du programme Littérature et arts et Cinéma et création du Cégep de Sainte-Foy présenteront leur production de fin d’année. À cet effet, des prix Lumière seront décernés aux meilleurs films dans plusieurs catégories. Le public sera également invité à voter pour leur court métrage préféré, ce qui permettra à une équipe de remporter le prix Coup de cœur. Le «pop corn» sera au rendez-vous. Pour consulter la programmation
www.jaguarpublications.com/industryupdates/pdf/2_mai_2007_AQ09_58_30.doc

Les employés d'Urgences-santé en détresse
La détresse psychologique est si élevée au sein d'Urgences-santé qu'un employé sur quatre a sérieusement songé au suicide. Un taux trois fois plus élevé que dans la population en général, révèle une étude alarmante que La Presse a obtenue. Le travail, jumelé à des problèmes conjugaux et des soucis financiers, arrive en tête de liste pour expliquer les idées suicidaires. «C'est un taux énorme. Je n'ai jamais vu un taux de suicide aussi élevé pour un autre métier au Québec, surtout au sein d'une si petite population», affirme le chercheur principal de l'étude, Brian L. Mishara, professeur et directeur du Centre de recherche et d'information sur le suicide et l'euthanasie (CRISE) de l'Université du Québec à Montréal. La famille d'Urgences-santé est petite : environ 1300 employés, dont 850 paramédicaux. Ils sont les plus à risque. Le climat est lourd et ce, depuis plusieurs années. Les conditions de travail sont difficiles. Les paramédicaux sont soumis à un stress constant. Leur charge de responsabilité est lourde, mais la reconnaissance n'est pas souvent au rendez-vous. Le constat est accablant. L'étude révèle que plus de deux employés sur trois (70 %) connaissent un collègue qui s'était suicidé. Une personne sur 13 a fait une tentative de suicide. Plus de 60 % des paramédicaux interrogés par les chercheurs dans le cadre de leur étude montrent un taux de détresse psychologique élevé. Dans la population en général, ce taux varie de 15 à 20 %. À la direction d'Urgences-santé, on reconnaît la situation. «Les paramédicaux vivent du stress physique, psychologique et émotif constant. C'est très difficile et il devient facile de voir du noir», souligne le directeur des communications, André Champagne. Les causes de détresse sont multifactorielles. «Mais il est vrai que le travail des paramédicaux n'est pas toujours reconnu à sa juste valeur, surtout si on compare avec les pompiers ou les policiers», ajoute-t-il.
www.cyberpresse.ca/article/20070502/CPACTUALITES/705020616/6488


Info universitaire

Conseiller aux futurs étudiants École Polytechnique Montréal
Fin du concours : Le jeudi 10 mai 2007 Poste temporaire à temps plein
www.educationinfonet.com/detail_poste.asp?NoPoste=4871

Les télévoteurs accroissent la motivation des étudiants. Gadget ou avancée? Michèle Doucet a été la première à recourir au télévoteur avec les étudiants en médecine vétérinaire. Sur notre photo, on voit le tableau affichant instantanément le résultat d’un vote. La première fois que Michèle Doucet a introduit les télévoteurs à la Faculté de médecine vétérinaire, certains collègues se sont montrés sceptiques. Mais ils ne le sont pas restés longtemps, de sorte qu’aujourd’hui, trois ans plus tard, ils sont une dizaine à recourir à cette technologie pour accroitre la motivation des étudiants.De quoi s’agit-il au juste? Cet outil, popularisé aux États-Unis, permet à chaque étudiant de répondre à des questions à l’aide d’une manette. Les réponses sont instantanément affichées sur un écran. www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20070507/congres_9.html

Internationalisation, le mot à la mode
Internationalisation. Ce mot est sur toutes les lèvres. Mais qu’est-ce qui se cache derrière cette belle intention? La mobilité des étudiants vient à l’esprit: permettre à un grand nombre d’entre eux d’effectuer des stages ou une partie de leurs études à l’étranger. Mais soyons réalistes. À peine 10 % des étudiants iront parfaire leurs connaissances à l’extérieur du pays. www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20070507/congres_7.html

Frais de scolarité: l'ASSE déclenchera une grève générale illimitée L'Association pour une Solidarité Syndicale Étudiante (ASSE) déclenchera une grève générale illimitée l'automne prochain. www.cyberpresse.ca/article/20070507/CPACTUALITES/70507047/1019

UQTR: la baisse démographique maintiendra les inscriptions à leur taux actuel Bien qu'une étude que vient de publier l'Association des universités et collèges du Canada prévoit une hausse des taux d'inscription des étudiants à plein temps au cours de la prochaine décennie, tel ne devrait pas être le cas à l'UQTR, prévoir le registraire, Claude Arbour. "Selon les prévisions du ministère de l'Éducation, on devrait connaître une diminution de la clientèle", dit-il. Mais l'UQTR s'attend plutôt à ce que les inscriptions, qui devraient être de 11 000 l'automne prochain, se maintiennent à ce chiffre pour les six ou sept prochaines années. Les employeurs recherchent en effet de plus en plus des gens scolarisés, fait valoir le registraire. Le pourcentage des gens qui vont à l'université après le cégep "augmente parce que les employeurs demandent de plus en plus un niveau de scolarisation plus grand. Ça vient donc augmenter le taux de fréquentation à l'université", explique le registraire. Le nouveau dec-bac en marketing, par exemple, a permis de gonfler les rangs de 30 nouveaux étudiants en janvier. Il faut trouver des stratégies comme ça pour amener des étudiants, estime-t-il. Chaque année, l'UQTR déploie un plan de recrutement, explique M. Arbour. "En ce moment, on essaie de cibler beaucoup les cycles supérieurs", dit-il. Le phénomène de la baisse démographique pousse l'UQTR à recruter à l'extérieur de la région, notamment dans la couronne de Montréal et dans la région de Joliette où elle connaît un bon succès. www.cyberpresse.ca/article/20070503/CPNOUVELLISTE/705030844/5409

La clientèle en baisse à l’Université Laval
Les adversaires de Michel Pigeon avaient vu juste pendant la course au rectorat : les inscriptions accusent une baisse à l’Université Laval et les professeurs ont perdu l’avantage de l’embauche ces dernières années. Le dépôt du budget de fonctionnement de l’Université Laval, hier, au conseil universitaire, a confirmé les prétentions du recteur sortant. L’équilibre budgétaire est atteint pour une deuxième année consécutive grâce au réinvestissement annoncé en décembre par Québec. Les revenus et les dépenses se contre-balancent à 428 millions $. La dette accumulée, elle, s’est stabilisée autour de 120 millions $. Laval sort donc la tête de l’eau pendant que les universités montréalaises, l’UQAM d’abord, l’Université de Montréal ensuite, creusent leur déficit à un rythme effréné. Tout n’est cependant pas rose dans la capitale. L’Université Laval a enregistré une baisse de clientèle de 1,3 % en 2006-2007, alors qu’elle anticipait une hausse de 0,5 %. Cela, après plusieurs années de croissance. Cela représente donc un manque à gagner de 1,8 % ou 1147 étudiants équivalents à temps plein. Pour 2007-2008, l’établissement anticipe le statu quo. Selon le directeur des communications de l’Université Laval, il est trop tôt pour expliquer cette baisse. Au mieux peut-il observer que les sciences appliquées, comme le génie et la foresterie par exemple, ont moins d’attrait auprès des jeunes. Richard Fournier fait remarquer que les grandes universités montréalaises, à l’exception de McGill et de Concordia, éprouvent aussi des difficultés à recruter de nouveaux étudiants. www.cyberpresse.ca/article/20070501/CPSOLEIL/70501238/6585

Stages vacants: des médecins étrangers disponibles
Pendant que des médecins étrangers sont incapables de compléter leur formation pour pratiquer au Québec, faute de place, des stages de résidence en médecine restent vacants. Selon les plus récentes données publiées hier par la Conférence des doyens des facultés de médecine, il reste 87 stages de résidence qui ne sont pas comblés dans les hôpitaux cette année. Une aberration pour Khalid Falili, Algérien d’origine. Établi au Québec depuis cinq ans, il tente sans succès d’obtenir son permis pour pratiquer la médecine familiale. Il a réussi tous les examens reconnaissant ses compétences, affirme-t-il. Il ne lui reste qu’à compléter un stage de résidence de deux ans dans un hôpital québécois. Il n’essuie que des refus. « Des postes de résidence sont non remplis alors que plusieurs dizaines de médecins étrangers seraient très heureux de les occuper et on en a besoin également », a fait valoir le ministre hier. Environ 630 résidents entreprennent cette année leur formation postdoctorale dans les hôpitaux de la province. De ce nombre, 23 sont des médecins diplômés hors du Québec et 54 des médecins diplômés à l’étranger. C’est une augmentation de 12,5 % comparativement à l’année dernière. Au cours de la dernière année, 69 médecins étrangers ont obtenu leur permis de pratique. Au total, ils sont un peu plus de 1700 à pratiquer dans la province. « Il faut qu’ils soient aussi compétents que ce qu’on demande à nos enfants qui sont dans nos facultés de médecine », a indiqué le Dr Lamontagne. Pour obtenir un permis de pratique, les candidats doivent d’abord réussir les examens. Le taux de réussite est passé de 20 % à 55 % ces dernières années. Les candidats font ensuite un stage. Ceux qui ont besoin d’une mise à niveau retournent sur les bancs d’école tandis que d’autres doivent compléter leur stage de résidence, comme M. Falili. www.cyberpresse.ca/article/20070502/CPACTUALITES/70502012/1019

L’augmentation des taux d’inscription dans les universités canadiennes se poursuivra www.aucc.ca Un rapport de l’AUCC prévoit une croissance continue à l’échelle nationale www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=67020&B=1


Formation, documentation
500 emplois de machinistes à pourvoir
L'industrie aérospatiale du Québec aurait besoin de 500 nouveaux machinistes pour réussir à maintenir une cadence de production optimale. C'est le constat que fait le Comité sectoriel de main-d'œuvre en aérospatiale (CAMAQ), qui mise sur la formation professionnelle et le recrutement d'immigrants pour éviter une pénurie de main-d'œuvre généralisée. En 2006, il y avait 2 448 machinistes répartis dans 60 entreprises de l'industrie aérospatiale. www.lesaffaires.com/article/0/pme/2007-04-26/438992/penurie-demplois-en-usinage.fr.html

Le réseau de l'insertion professionnelle
Nombre de Québécois éprouvent des difficultés à faire leur place dans le marché du travail. Parmi les candidats les moins prisés des employeurs : les immigrants mal outillés, les jeunes qui manquent d'expérience et les personnes qui ont un casier judiciaire. Ces chercheurs d'emploi trouveront diverses ressources dans le site du Réseau des services spécialisés de main-d'œuvre, qui regroupe 50 organismes à but non lucratif. www.rssmo.org

INDICE RELATIF DE BONHEUR Les patrons plus heureux que leurs employés Les boss, les retraités et les enseignantes sont, dans l'ordre, les gens les plus heureux selon un sondage mené par l'institut l'Indice relatif de bonheur (IRB). Aux derniers rangs du palmarès figurent les cuisiniers, les publicitaires, les camionneurs, le personnel de soutien, les caissières et les sans emploi. Pour en savoir plus davantage les résultats du sondage, il suffit d'aller visiter le site Internet de l'IRB à l'adresse http://www.indicedebonheur.com/ www.cyberpresse.ca/article/20070430/CPSOLEIL/70430135/5019

Éducations Les enseignants absents
La Côte-Nord commence à manquer d'enseignants. La preuve en est que l'école secondaire Jean-du-Nord/Manikoutai, à Sept-Îles, a dû faire appel à une agente de sécurité et à une secrétaire pour faire de la suppléance. La première remplace l'enseignant de musique alors que la seconde supplée temporairement un professeur de français. www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/est-quebec/2007/04/30/004-penurie_profs.asp

Un nouveau logiciel de dépistage pour prévenir le décrochage scolaire Les écoles secondaires pourront s’adresser à la Société GRICS (http://www.grics.qc.ca/ ) qui est responsable de la distribution du logiciel dans le réseau scolaire, du support technique aux utilisateurs et de la formation à l’utilisation du logiciel. La Société GRICS a réalisé la production informatique du logiciel. www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=66941&B=1

Réforme scolaire
Les enseignants veulent le retour des notes www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/Quebec/2007/05/04/001-reforme_manifestation.shtml

Le stress professionnel est en partie lié à l’espace de travail
Un meilleur aménagement des bureaux améliore la productivité. Jacqueline Vischer estime que l’environnement de travail peut stimuler les bonnes relations entre collègues ou, au contraire, contribuer de manière significative à faire monter le stress. C’est bien connu, le travail est une source importante de stress chez plusieurs employés. Au cours des dernières décennies, plusieurs études scientifiques ont analysé les facteurs qui contribuent à l’anxiété professionnelle, s’attardant sur la nature des tâches, l’organisation du travail ou les relations interpersonnelles. Peu se sont par contre penchées sur les effets d’une chaise mal ajustée, d’un néon défectueux ou d’un voisin de bureau bruyant. Depuis quelques années, Jacqueline Vischer, professeure à l’École de design industriel et spécialisée en psychologie de l’environnement, élabore un modèle théorique du stress lié à l’espace de travail. «Plus une personne est à l’aise physiquement dans son environnement, plus elle disposera d’énergie pour accomplir ses tâches, explique-t-elle. Dans le cas contraire, la personne devra consacrer son énergie à corriger les éléments qui nuisent à son travail. Si c’est le cas, on peut en déduire que son environnement est stressant.» www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20070507/r_1.html

Avant d'imprimer, pensez à l'environnement.
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Raymond Jean, c.o. gestionnaire du site
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Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
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