21 mai 2007

V 5 No 39: Invitation de l’Association francophone des c.o. du N.-B.

Brève floraison de l'amélanchier avant le lilas

Pour les inscriptions tardives, nous vous confirmerons par courriel les choix de votre participation aux trois journées (dîner, choix de visites, souper). Les retardataires doivent s'inscrire par courriel à acoc@videotron.ca en complétant le formulaire sur le site de l'ACOC www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 . Le paiement se fera sur place. Le membre qui s’inscrit tardivement s’engage à payer les frais exigés en cas de désistement. Pour s’inscrire au 6e Congrès de l’ACOC en partenariat avec HEC Montréal (30 mai au 1er juin 2007) : consultez le Programme (ainsi que la description des conférences et suggestions d'hébergement) et complétez le Formulaire d’inscription. S'inscrire le plus tôt possible afin de faciliter le travail du Comité de perfectionnement. Les 9 partenaires du 6e Congrès de l'ACOC:

Évaluation du site de l’ACOC www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=954 Soyez nombreux à compléter le questionnaire! Votre collaboration serait très appréciée et je vous en remercie à l'avance ! Raymond Jean, c.o.- gestionnaire du site www.acoc.info

L'assemblée générale annuelle de l'ACOC : vendredi 1er juin 2007 de 8h30 à 10h15 au Salon L’Oréal du HEC Montréal, durant le petit déjeuner offert par l’ACOC. Imprimez l'ordre du jour qui se trouve à l'intérieur du programme et le procès-verbal de la 5e assemblée générale annuelle du jeudi 1er juin 2006 à la page dédiée au 6e Congrès www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 . Nous sommes 460 membres inscrits au bulletin électronique du Quelque Chose de l’ACOC.

L’Association francophone des conseillères et conseillers en orientation du N.-B. (AFCONB) invite deux membres de l’ACOC à participer au Colloque de l’AFCONB 2007 qui se déroulera à Edmundston, ville frontalière avec le Québec www.afconb.ca. Si vous êtes intéressés, écrivez à acoc@videotron.ca pour recevoir le programme et le formulaire d’inscription (tarif préférentiel pour l’hôtel $86.74 incluant les taxes). Étant donné que l’AFCONB est impliquée dans la préparation du colloque de l’ACC de 2008 à Moncton, où votre association a planifié nous rejoindre pour leur rencontre annuelle, l’AFCONB a décidé que pour deux représentants de l’ACOC, il n’y aurait pas de frais d’inscription. Cette année le colloque se tiendra les 7 et 8 juin au Campus d’Edmundston de l’Université de Moncton (UMCE). Le thème de ce colloque est Découvrir ses compétences, surmonter les défis. Il réunira en autre, comme conférencière d’ouverture, Guylaine Michaud, professeure à l’Université de Sherbrooke et co-auteure du livre : Le Bilan des compétences et, comme conférencier de fermeture, Camilien Roy, Consultant en carrière avec les Services familiaux et communautaires à Bathurst et auteur romancier reconnu en Acadie. De plus, on va avoir des ateliers sur le TOWES (mesure des compétences essentielles); le lien entre la démographie, l’économie et le marché du travail de même que sur une technique qui aide les dyslexiques à lire. Chaque participants va recevoir le livre Le bilan des compétences et ceux qui vont participer à l’atelier du TOWES vont avoir la chance de le faire chez eux, de l’envoyer corriger et d’obtenir leur résultats par écrit. Réal Leclerc, Président de l’AFCONB 2005-2007 Directeur francophone du NB à l’ACC 2005-09.

Info collégiale
L'inventaire virtuel des métiers et professions de l'économie sociale et de l'action communautaire du Comité sectoriel de main-d'oeuvre - Economie sociale et action communautaire. Des métiers et professions à la sauce économie sociale et action communautaire www.csmoesac.qc.ca . Travailler autrement, c’est travailler dans des organisations qui se distinguent – de par leur mission et leur forme d’organisation – des secteurs traditionnels d’emploi. En effet, c’est œuvrer au sein d’organisations sans but lucratif ou coopératives qui ont une vocation sociale orientée vers une finalité de services aux membres et à la collectivité. C’est travailler pour des organisations qui adhèrent à des valeurs de solidarité, d’autonomie et de citoyenneté et qui, par un amalgame d’activités marchandes et non-marchandes monétaires et non monétaires, font la promotion d’un modèle de développement durable, redistributif et solidaire. Travailler autrement, c’est donc travailler à renforcer la cohésion sociale par de nouveaux rapports sociaux de solidarité. http://profession.csmoesac.qc.ca/ Répertoire des formations en économie sociale et en action communautaire http://formation.csmoesac.qc.ca:8080/csmo_formation/pages/publiques/index.jsp Documentation www.csmoesac.qc.ca/publications/documents.html


La Ballade de DL-8-153 (Lumière dans le noir fameux disque de Zachary Richard où il dit que ces chansons remplissent un carnet de voyages à travers tempêtes et rêves. Elles ont été inspirées par ouragans et disparitions: de proches, de villes, de baleines, de territoires et d'illusions. Je les offre à ceux et à celles qui sentent le désespoir rôder autour de la cabane: une amulette qui apporte amour et courage et lumière dans le noir.) Dédiée à Pierre Béland qui m’a fait découvrir les bélugas du Saint Laurent et leur situation périlleuse. Le titre fait référence au recensement des bélugas, le « DL » étant l’abréviation de leur nom en latin : Delphinapteurus Leucas. www.baleinesendirect.net/FSC.html?sct=2&pag=2-5-1-2.html
Au bas du St. Laurent,
En dessous de l’eau,
Nagent mes frères
Depuis la nuit des temps.
Ils étaient là,
Quand les glaciers sont fondus.
Ils sont encore là,
Mais ils ne sont plus beaucoup.
On entend leurs chants,
Des oiseaux sous-marins,
On entend leurs pleurs,
Mais on ne fait rien.
Qu’est ce qu’on va faire?
Qu’est ce qu’on va manger?
L’océan devient cimetière
Pour les baleines trépassées.
Au large de Trois Rivières,
Couché dans les roseaux,
Un beau béluga :
DL-8-153.
Bourré de PCB.
Bourré de DDT.
Bourré de cancer
À cause de l’homme qu’il côtoyait.
Qu’est ce qu’on va faire?
Qu’est ce qu’on va manger?
L’océan devient cimetière
Pour les baleines trépassées.


Info universitaire
Pénurie de personnel en santé et éducation au Saguenay-Lac-Saint-Jean Le président de la CSQ demande au gouvernement de prendre les grands moyens pour revaloriser les professions. "Au Saguenay-Lac-Saint-Jean comme dans l'ensemble du Québec, les travailleuses et les travailleurs du secteur public, notamment en santé et en éducation, ne pourront pas supporter indéfiniment les conditions de travail inhumaines qu'on leur impose depuis plusieurs années. Si le gouvernement Charest veut réellement mettre fin aux pénuries de personnel en éducation comme en santé, il va devoir prendre les grands moyens pour revaloriser les professions dans ces secteurs, sinon la société québécoise, et particulièrement les régions comme le Saguenay-Lac-Saint-Jean, doit se préparer dès maintenant à des lendemains très difficiles." "Aussi longtemps que le gouvernement du Québec et les administrateurs des établissements de santé et scolaires maintiendront les conditions de travail actuelles, la pénurie de personnel ne fera que s'aggraver. Qui aurait le goût d'aller travailler dans un hôpital comme le Carrefour de santé de Jonquière où faire des heures supplémentaires est devenu une obligation ? Qui voudrait travailler dans un établissement où le personnel a de la difficulté à se prévaloir de ses congés", questionne le président de la CSQ ? "On ne peut pas publiquement jouer à l'administrateur victime du manque de personnel alors que lorsqu'on se retrouve entre les murs de son établissement, on s'entête à maintenir les travailleuses et les travailleurs dans des postes précaires durant plusieurs années plutôt que de leur accorder des postes à temps complet et permanents que justifierait justement la pénurie. Il me semble que si l'on veut vraiment retenir notre personnel et attirer une relève, la première mesure qui s'impose est de cesser de créer des emplois précaires qui ne sont attrayants pour personne", explique le président de la CSQ. www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=68030&B=1


Formation, documentation
Encore utiles, les tests de QI?
Le test de QI n’en est qu’un parmi la panoplie de tests psychométriques utilisés aujourd’hui.
Il y a 30 ans, les tests de QI (quotient intellectuel) étaient très répandus et utilisés pour classer les gens selon leur intelligence. Les chanceux au QI élevé étaient admirés, les autres méprisés. Et une fois le résultat connu, l’étiquette restait collée à vie. « De 1945 à 1975, l’usage des tests QI était discutable. C’était une espèce de folie, on faisait la sélection universitaire seulement sur cette base », rappelle Michel Pépin, professeur à l’École de psychologie de l’Université Laval. Aujourd’hui, ces tests sont utilisés différemment. Les résultats ne servent plus à sortir les plus brillants de la masse, mais plutôt à guider l’intervention des professionnels auprès de ceux qui ont des problèmes avec leur intelligence, comme les déficients, les personnes atteintes d’Alzheimer, les traumatisés crâniens. Parfois, un enfant plus doué pourra sauter une année scolaire. Mais le test de QI ne suffit plus. D’autres tests pour vérifier sa maturité affective et sociale seront pris en compte. Les tests de QI mesurent-ils vraiment l’intelligence ? « Ils sont une mesure indirecte. Ce sont des outils », répond Michel Pépin. « Les tests de QI ne mesurent pas toute l’intelligence, mais ils donnent une bonne idée », ajoute Serge Larivée, professeur au département de psychoéducation à l’Université de Montréal, spécialisé dans ce type de test. Le test de QI n’en est qu’un parmi la panoplie de tests psychométriques utilisés aujourd’hui. Test de leadership, de personnalité, de satisfaction au travail, de résistance au stress, etc. sont largement utilisés par les employeurs. Ces tests psychométriques sont-ils valides scientifiquement ? Oui, répondent sans hésiter les psychologues interrogés. Mais attention ! Ceux que l’on trouve dans Internet (taper « test QI » dans un moteur de recherche) et dans les magazines ne le sont pas. « Ils ont l’air corrects, mais il faut en prendre et en laisser », dit Michel Pépin. Seuls les psychologues, les conseillers en orientation, les travailleurs sociaux peuvent acheter, utiliser et interpréter les vrais tests psychométriques. « Aujourd’hui, on ne parle plus tellement de quotient intellectuel, mais plutôt de profil cognitif de l’enfant », note Mme Gosselin. Les tests sont si précis qu’on compare le développement des enfants du même âge, à trois mois près. Aux tests chiffrés, on ajoute la perception de l’entourage, avant de poser un diagnostic. « Les chiffres ne remplacent pas les mots. Nous prenons toujours en compte nos propres observations de l’enfant, les commentaires des enseignants et des parents. » Troubles de langage ? Trouble d’apprentissage ? Déficit d’attention ? Problème de motricité ? « Un diagnostic clinique, c’est basé sur la science, ce n’est pas juste une intuition », assure Mme Gosselin. Le stress, la fatigue, la maladie influencent la performance à ce type de test. « Je recommande toujours aux parents de coucher l’enfant tôt la veille du test. Et j’explique à l’enfant le sens de l’évaluation afin qu’il collabore », dit Mme Gosselin. La majorité des enfants évalués par la psychologue scolaire proviennent de classes ordinaires. Ils sont démotivés ou inattentifs ou apprennent lentement. Les tests de QI — pardon ! le profil cognitif de l’enfant — sont indispensables pour mieux cerner ses besoins : classe spéciale, aide d’un orthopédagogue, du psychologue, ou même suivi par le neuropsychiatre. À de rares occasions, le test de QI servira à évaluer un enfant doué. Quand les parents veulent inscrire leur enfant à l’école à quatre ans plutôt qu’à cinq par exemple, on lui fera passer un test de QI. « On utilise d’autres tests pour vérifier sa maturité sociale et affective et son développement moteur ». Un QI élevé ne suffit pas pour obtenir une dérogation, ou pour permettre à un enfant de sauter une année scolaire. Les parents ont beaucoup moins de préjugés qu’autrefois envers les tests, constate la psychologue. « Ils n’ont pas connu les étiquettes accolées avec les tests QI d’autrefois. » Ces tests — l’échelle d’intelligence de Wechsler — sont sensiblement les mêmes qu’autrefois, on vérifie la mémoire, le raisonnement, les habiletés spatiales, etc. Mais ils sont rajeunis aux 15 ans, adaptés à chaque culture. L’outil qu’utilise Sylvie Gosselin a été mis à jour en 2004. « On le sait assez vite quant le test n’est plus à jour, les résultats sont trop élevés », constate Mme Gosselin. www.cyberpresse.ca/article/20070516/CPACTUEL/70516011/1015

Un Canadien sur trois déclare être un bourreau de travail.
C’est ce que révèle une étude de Statistique Canada. Selon l'analyse, ces Canadiens sont bien plus susceptibles d'être insatisfaits de l'équilibre entre le travail et la famille que les autres travailleurs. L'étude, publiée mardi, est fondée sur les données de l'Enquête sociale générale (ESG) de 2005 afin d'examiner si la qualité de vie diffère selon qu'on se dise bourreau de travail ou non. L'étude montre que près du tiers des Canadiens actifs, âgés de 19 à 64 ans, soit 31%, disent être des bourreaux de travail. Cette proportion n'a pas changé depuis qu'on a commencé à recueillir de telles données dans le cadre d'une autre enquête en 1992. Environ 39% des bourreaux de travail autodéclarés ont dit oeuvrer habituellement 50 heures ou plus par semaine, comparativement à seulement 20% chez les autres travailleurs. Par ailleurs, 65% des bourreaux de travail s'inquiétaient de ne pas passer suffisamment de temps avec leur famille et leurs amis, soit une proportion beaucoup plus forte que celle de 45% observée chez les autres travailleurs. Ils étaient aussi plus susceptibles d'affirmer avoir une santé passable ou mauvaise et avoir de la difficulté à dormir. www.lapresseaffaires.com/article/20070515/LAINFORMER/70515089

L'industrie de la radio continue de grossir
Au moment où les médias hier les plus rentables voient leurs marges fondre et subissent de plein fouet l’exode des revenus publicitaires vers Internet, la radio a continué de croître et a amélioré sa rentabilité entre 2005 et 2006. Selon des données publiées mercredi par le CRTC, les revenus totaux des stations de radio AM et FM canadiennes ont augmenté de 5,7% entre 2005 et 2006, et sont passés de 1,3 G$ à 1,4 G$. www.lapresseaffaires.com/article/20070516/LAINFORMER/70516061/5891

Lancement d'un nouveau site Web consacré uniquement à la formation en ligne
Edu-Performance, entreprise québécoise spécialisée dans le développement et l'implantation de solutions d'apprentissage sur Internet (eLearning ou eFormation), met en ligne son nouveau site Internet http://www.eduenligne.com/ entièrement consacré à son activité de formation. Le site répertorie l'ensemble des modules disponibles (bureautique, informatique, langues, comptabilité, etc.) pour suivre à distance une formation reconnue et approuvée. Plus de 1300 modules de formation sont disponibles en version Internet ou en version Cd-rom.


Avant d'imprimer, pensez à l'environnement.
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Guide sur l’admission universitaire Automne 2007 :
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915
Raymond Jean, c.o. gestionnaire du site
www.acoc.info

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca



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