28 mai 2007

V 5 No 40: La culture, un soutien à la réussite scolaire

Le temps du lilas
Bon 6e Congrès de l’ACOC aux 67 membres, en partenariat avec HEC Montréal (30 mai au 1er juin 2007) : consultez le Programme (ainsi que la description des conférences et suggestions d'hébergement). Les 9 partenaires du 6e Congrès de l'ACOC:

Publication d'un rapport d'enquête sur la pratique d'activités socioculturelles au collège : La culture, un soutien à la réussite scolaire. Voilà près de 30 ans que les animatrices et animateurs dans les collèges l'expérimentent, le constatent et l'affirment : la pratique du théâtre, de la danse, des arts visuels ou de toute autre discipline artistique au collège est bonne. Bonne pour les étudiants et leurs résultats scolaires, bonne pour les établissements, bonne pour la communauté et la société. Le Réseau intercollégial des activités socioculturelles du Québec (RIASQ) publie les résultats d'une enquête scientifique qui vient démontrer, statistiques et analyses à l'appui, qu'un jeune qui pratique une activité culturelle en parascolaire réussit mieux son parcours collégial. Un constat encourageant qui relance le débat sur le décrochage scolaire et pourrait bien changer la donne, voire les budgets, des prochaines politiques éducatives. Commandée par le RIASQ avec le soutien du ministère de la Culture et des Communications du Québec, cette enquête nationale a été menée par Jacques Roy, membre-chercheur à l'Observatoire Jeunes et Société et professeur au Cégep de Sainte- Foy, en collaboration avec Josée Bouchard et Marie-Anne Turcotte, également du Cégep de Sainte-Foy. Elle regroupe les résultats de deux études, l'une réalisée auprès de 1729 étudiants (dont 311 engagés dans une activité parascolaire) répartis dans l'ensemble du réseau collégial; l'autre menée auprès de 182 étudiants du Cégep de Sainte-Foy inscrits à au moins une activité socioculturelle. www.riasq.qc.ca/communiques/pdf/CommuniqueenqueteRIASQ.pdf et version abrégée ou complète du rapport www.riasq.qc.ca/riasq/publications.html Les résultats sont plus que positifs! En effet, ils confirment ce que le RIASQ a toujours soutenu, soit qu’un jeune qui pratique une activité socioculturelle réussit mieux son parcours collégial et est mieux préparé à exercer sa pleine citoyenneté. L’analyse des données de cette enquête démontre que la pratique d’activités socioculturelles favorise non seulement la réussite scolaire, mais également le développement personnel et identitaire des étudiantes et étudiants. Notamment, ils ont un meilleur rendement scolaire, font preuve d’une plus grande persévérance dans les études, considèrent davantage que le collège est un milieu stimulant et sont plus engagés dans du bénévolat au sein de leur communauté. www.riasq.qc.ca/quoideneuf/index.html

Info collégiale
Le Bureau de la reconnaissance des acquis et des compétences du Cégep Marie-Victorin procédait au lancement de la Politique institutionnelle de la reconnaissance des acquis et des compétences. « La reconnaissance des acquis demande aussi de la créativité et de l'ouverture d'esprit, deux autres valeurs de notre projet éducatif. Le développement des outils de la reconnaissance des acquis (RAC) et l'accompagnement des candidats exigent des intervenants des qualités d'écoute, de la rigueur intellectuelle et une approche andragogique innovante. L'adoption de cette politique suppose que la reconnaissance des acquis est bien ancrée dans notre milieu et qu'elle est reconnue par toutes les instances comme un des moyens privilégiés pour faire évoluer nos étudiants adultes dans le développement de leurs compétences et vers l'obtention d'un diplôme. » d'ajouter Mme Rouillier. Rappelons que l'expertise du Bureau de la RAC se situe d'abord dans la mise en oeuvre d'un processus complet en RAC en techniques humaines; cette expertise concerne l'information à donner aux personnes (du général au particulier), les analyses des dossiers (extrascolaire et scolaire), l'évaluation (par compétence, par regroupement de compétences ou par macrocompétence), la formation manquante offerte; elle concerne des individus regroupés en cohortes (cohortes internes ou institutionnelles) ou non. www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=68235&B=1

Info universitaire
Vous trouverez sur le site de l’ACOC
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=945 l'affichage d'une offre d'emploi pour deux (2) postes d'agents de recrutement à l'Université du Québec en Outaouais. Plus précisément, il s'agit d'un poste régulier commençant le 4 juin et d'un poste contractuel s'échellonant du 4 septembre au 3 octobre 2008.

Les dates envisagées pour la rencontre, à l’UQAC, regroupant les professionnels de l’information scolaire de la province, sont les 22 et 23 mai 2008. Plus d’informations vous parviendront cet automne.
Info_Programmes@uqac.ca Consultez le portail des professionnels de l'information scolaire www.uqac.ca/information_scolaire

Inscriptions à l'Université Laval: faire le saut à la dernière minute Plusieurs futurs étudiants attendent au dernier moment pour s’inscrire à l’Université Laval. En jonglant avec les différentes possibilités, certains hésitent longuement, alors que d’autres, séduits par la flexibilité des programmes à distance ou à temps partiel, plongent à quelques jours de la rentrée. « Nous avons plus de variantes ; on offre même des programmes d’études entièrement à distance. En diversifiant l’offre, les étudiants s’inscrivent plus tard. Ils prennent le temps de choisir, d’analyser leurs intérêts et besoins », explique Paul Shay, directeur adjoint à la promotion et au recrutement à la direction des affaires publiques de l’Université Laval. La majorité des cégépiens ont fait leur choix en début d’année. « À ce moment, on voit plus d’autres types de gens, comme ceux qui sont déjà sur le marché du travail ou qui désirent retourner aux études », spécifie M. Shay. Bien que cela rende la tâche de l’administration un peu plus ardue, M. Shay incite encore les indécis à reconsidérer leurs options : « Le plus tôt, c’est le mieux. Mais il n’est pas trop tard pour s’inscrire pour l’automne, sauf dans des programmes contingentés comme médecine, par exemple. » La multiplication des possibilités ne semble toutefois pas avoir d’impact significatif sur le nombre d’admissions. Au cours des dernières semaines, environ 17 000 offres d’admission pour tous les cycles ont été transmises par les facultés de l’Université Laval, une hausse de 2 % par rapport à l’année dernière. Puisque l’on peut tenter sa chance dans plus d’un programme, ce nombre représente quelque 12 200 personnes. Mais tout peut encore changer. Une offre d’admission doit être entérinée par l’étudiant pour que son inscription devienne effective. Après plusieurs années de croissance, l’Université Laval a enregistré une baisse de clientèle de 1,3 % en 2006-2007. Un manque à gagner de 1147 étudiants à temps plein, apprenait-on lors du dépôt du budget de fonctionnement de l’Université Laval au début du mois. Il faut attendre que les cours débutent pour comptabiliser les inscriptions, note M. Shay. Ce ne sera donc qu’à l’automne que l’on connaîtra les chiffres officiels. Lundi le 21 mai se tenait la Journée de bienvenue à l’Université Laval, une occasion d’explorer le campus, avec parents et amis. Chaque faculté accueillait ses étudiants potentiels avec un horaire sur mesure pour leur faire découvrir les aires et les services de l’établissement. Certains en ont profité pour confirmer leur inscription alors que d’autres ont pu analyser les options qui s’offrent à eux, afin de choisir entre différents programmes ou universités. Près de 2200 étudiants potentiels étaient attendus.
www.cyberpresse.ca/article/20070521/CPSOLEIL/70521193/6585 Pas trop tard pour l'automne 2007! Vous désirez venir étudier à l'Université Laval cet automne mais vos démarches ne sont pas tout à fait terminées? Pas de problème! Il n'est pas trop tard pour faire une demande d'admission à l'Université Laval pour la session d'automne 2007 si vous êtes un candidat en provenance du Québec ou un candidat en provenance des autres provinces canadiennes. www.futursetudiants.ulaval.ca/admission/pas_trop_tard_pour_faire_votre_demande Listes des programmes ouverts www.futursetudiants.ulaval.ca/admission/pas_trop_tard_pour_faire_votre_demande/programmes_de_1er_cycle

1000 étudiants de plus à Bishop's
Pour amorcer une importante phase de croissance, l’Université Bishop’s vient de présenter au gouvernement du Québec et à différents partenaires un plan de redéploiement échelonné sur 10 ans, évalué à environ 100 millions $. L’institution sherbrookoise souhaite augmenter sa clientèle d’environ 50 % sur la même période. Avec de telles visées, le nombre d’étudiants pourrait passer d’environ 2000 à 3000. À l’instar de l’ensemble des universités québécoises, l’Université Bishop’s connaît une situation financière difficile. Le déficit pour le dernier exercice financier s’élève à environ deux millions de dollars, et le déficit cumulatif à environ cinq millions de dollars. L’établissement doit également jongler avec une baisse de clientèle, attribuable entre autres à la double cohorte en Ontario entre 2002 et 2007. «C’est clair que ça nous affecte, souligne-t-il. Il ne faut pas confondre un phénomène de transition avec un phénomène de fond.» À l’heure où la société a tant besoin de l’éducation supérieure pour faire face au défi de la nouvelle économie, le sous-financement des universités demeure criant, rappelle-t-il. «Pour redéployer les universités québécoises qui ont besoin de plus d’autonomie, ça va demander des fonds additionnels...». Aux yeux de M. Poupart, la principale menace à la prospérité de nos sociétés s’avère «l’étau démographique», notamment avec la vague de retraites qui surviendra dans les prochaines années. «Je ne pense pas qu’on ait pris la mesure de ce que ça veut dire la nouvelle économie», souligne-t-il. Selon M. Poupart, la baisse de clientèle enregistrée avec la double cohorte en Ontario a en quelque sorte servi de prise de conscience à la direction de Bishop’s. Il estime également que cette période de transition pourrait durer environ trois ans. Actuellement, environ 55 % des étudiants proviennent de l’extérieur de la province et 10 % de l’étranger. Pour atteindre ses objectifs, le document prévoit entre autres de doubler le nombre d’étudiants internationaux. Si on entend souvent que l’un des charmes de Bishop’s recèle dans sa petite taille, Robert Poupart estime que l’établissement n’aura pas à «vendre son âme» pour connaître une importante croissance. Il raconte d’ailleurs qu’à son arrivée, l’association étudiante avait adopté une résolution visant à limiter à 2000 le nombre d’étudiants. «On ne peut pas rester dans le même modèle», estime M. Poupart.
www.cyberpresse.ca/article/20070524/CPACTUALITES/70524002/5048

La neuro-imagerie ouvre de nouvelles perspectives en psychologie clinique Vincent Paquette explore les possibilités du neurofeedback dans le traitement de la dépression. Les techniques d’imagerie cérébrale qui sont en train de révolutionner la recherche fondamentale en neurologie pourraient aussi transformer la psychothérapie. «Il y a un manque de dialogue et une certaine ségrégation dans les diverses approches en psychologie, déplore-t-il. On nous dit qu’il faut être formé à l’approche scientifique, mais les cliniciens s’intéressent peu aux travaux de neuropsychologie qui permettent de savoir quelles sont les zones du cerveau touchées par les troubles psychologiques.» À son avis, la neuro-imagerie permet non seulement de concevoir des modèles neurocognitifs, mais de valider les modèles tant en psychologie développementale qu’en psychologie clinique et en psychiatrie. «En fournissant une comparaison de l’activité cérébrale avant et après un traitement, l’imagerie permet de mesurer les effets d’une thérapie autant que d’une médication et de formuler des hypothèses testables, affirme-t-il. Elle pourrait même servir à désigner des marqueurs grâce auxquels on pourrait élaborer des modèles prédictifs sur les chances de réussite d’une thérapie en fonction d’un profil neurologique particulier.»
www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20070522/r_8.html

Le départ des résidents inquiète la Faculté de médecine
La pénurie des médecins ne sera certainement pas atténuée avec la décision de nombreux résidents d’aller faire leur résidence à l’extérieur du Québec
www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20070522/au_2.html

L’École de psychoéducation aura son programme de doctorat
La Commission des études approuve des modifications à la Faculté des études supérieures.
Design d’intérieur et programmes de génie
Le doyen de la Faculté de l’aménagement, Giovanni De Paoli, a présenté son projet de changer la dénomination des diplômes délivrés par l’École de design industriel aux finissants en design d’intérieur. À sa création en 1998, le programme d’études en design d’intérieur a été placé sous la responsabilité de cette école et le diplôme portait la mention «orientation design d’intérieur». On pourra lire désormais sur les diplômes «baccalauréat en design industriel» ou «baccalauréat en design d’intérieur». M. De Paoli a rappelé qu’en design d’intérieur 350 demandes sont faites pour les 45 places disponibles annuellement. «Ça donne une bonne idée de la popularité de ce programme.» La Commission a donné son aval au projet.
Enfin, la FES offrira une option «gestion des catastrophes» au DESS en environnement et prévention. Expertise de plus en plus en demande depuis le 11 septembre 2001, la gestion des catastrophes inclut les épidémies, les sinistres environnementaux, les désastres technologiques, les conflits et les actes terroristes.
www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20070522/au_4.html

Formation, documentation
Plus que de la formation…une expérience en bilan de compétences Par Ginette Beaulieu et Patricia Dionne, auteures du livre Le bilan de compétences, regards croisés entre la théorie et la pratique. Pour les professionnels des domaines de l’orientation, de la carrière, de l’employabilité et des ressources humaines. Objectifs :Faciliter votre intervention auprès des personnes qui ont besoin de faire le point par rapport à leur cheminement professionnel Expérimenter la rédaction d’un portfolio compétences Répondre aux besoins d’accompagnement spécifiques des adultes vivant des transitions Doter votre organisation d’outils d’intervention en bilan de compétences qui ont fait leurs preuves Contenu de la formation : Présentation du cadre théorique; la compréhension des trois phases de la démarche bilan de compétences et du processus de conscience de soi inhérent à chacune de ces phases. Expérimentation de plusieurs activités du programme bilan de compétences, par exemple : le cahier historique, la ligne de vie, le portfolio de compétences, le jeu de valeurs, portrait synthèse etc. Durée et coût : 2 jours de formation, 350$/personne, incluant le livre Le bilan de compétences, regards croisés entre la théorie et la pratique Date : 14-15 à Québec et 21-22 juin à Montréal * Pour vous inscrire
info@orientationemploi.org Centre d'Orientation et de Recherche Emploi 65 rue Meadow Sherbrooke J1H 6N2

Entre l'école et le boulot, les ados sont surchargés
De nombreux adolescents canadiens font mentir le stéréotype voulant qu'ils soient insouciants ou nonchalants. D'après une étude de Statistique Canada, plusieurs d'entre eux sont en effet beaucoup plus surchargés qu'on ne le pense. Comparativement aux jeunes de neuf pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques, les adolescents canadiens se classent premiers pour ce qui est des heures moyennes consacrées au travail rémunéré et non rémunéré pendant la semaine d'école. Sur une semaine en moyenne, les adolescents ont effectué en moyenne 7,1 heures de travail rémunéré et non rémunéré par jour en 2005. Cela équivaut pratiquement à la semaine de 50 heures. L'étude souligne que la grande majorité des adolescents de 15 à 19 ans qui vivent avec leurs parents vont à l'école. En 2005, ces adolescents ont fait en moyenne 9,2 heures de travail à l'école, de devoirs à la maison, de travail rémunéré et de tâches ménagères durant les journées d'école et 3,5 heures au cours de la fin de semaine. Mais la charge de travail relativement élevée entraîne un certain degré de stress. Par exemple, 16 pour cent des adolescents se considéraient comme bourreaux de travail, 39 pour cent se sentaient constamment contraints d'accomplir plus qu'ils ne pouvaient, et près des deux tiers (64 pour cent) réduisaient leurs heures de sommeil pour pouvoir tout faire. Après les heures passées à l'école, les devoirs étaient l'activité non rémunérée qui prenait le plus de temps aux adolescents, 60 pour cent d'entre eux y ayant consacré 2 heures et 20 minutes chaque jour en moyenne. L'environnement familial comptait pour beaucoup dans la réalisation des devoirs. Les adolescents avaient nettement plus tendance à faire leurs devoirs et même davantage si les deux parents avaient fait des études universitaires, s'ils vivaient dans une famille biparentale intacte (où il n'y a pas eu de divorce) et si les parents étaient nés à l'étranger. Il est intéressant de noter que les garçons de parents natifs du Canada faisaient beaucoup moins de devoirs que les filles de familles similaires et moins que les filles et les garçons de parents immigrants. Autre constat important, les adolescents faisant un travail rémunéré accaparant (20 heures par semaine ou plus) faisaient beaucoup moins de devoirs que ceux qui ne travaillaient pas. Par ailleurs, près de 4 adolescents sur 10 font environ une heure de travaux ménagers en moyenne par jour. Si les différences globales entre les filles et les garçons ont diminué ces 20 dernières années, les filles de parents immigrants ont fait nettement plus de travaux ménagers en 2005 que les garçons de ces mêmes familles. Le temps consacré aux travaux ménagers était également plus élevé dans les zones rurales et dans les familles reconstituées.
www.cyberpresse.ca/article/20070523/CPACTUEL/70523042/1015

Carrefours jeunesse-emploi : Un accompagnement sur la route de l'emploi Anoue Desjardins a frappé à la porte du CJE de Laval pour la première fois en 1997. Elle a été accueillie par un conseiller en emploi qui l'a aidée à mieux discerner ses objectifs et à rédiger un curriculum vitae qui mettait en valeur ses compétences. Il lui a également montré comment se préparer aux entrevues d'embauche. Rapidement, la jeune femme s'est trouvé un emploi comme commis de bureau. Quand, au bout de trois ans, ce poste n'a plus comblé ses aspirations, elle n'a pas hésité à retourner à son CJE. " Je voulais réorienter ma carrière vers un domaine où je pourrais continuer d'apprendre. Dans tous les emplois que j'avais occupés auparavant, mes tâches devenaient vite routinières ", explique-t-elle. Elle rencontre alors un conseiller d'orientation qui lui fait passer des tests d'aptitudes qui révèlent un intérêt marqué pour les langues. Anoue décide donc de retourner aux études et choisit la traduction. Une fois son baccalauréat en poche, elle repasse par son CJE pour sa recherche d'emploi. " Cette fois, c'était pour me rassurer et pour obtenir du soutien. Je voulais savoir si mon curriculum vitae était "vendeur" ", précise-t-elle. Il existe plus d'une centaine de CJE au Québec qui ont pour mandat d'offrir des services aux personnes de 16 à 35 ans dans leur cheminement vers la formation et l'emploi. " Notre rôle, c'est de leur donner des outils, explique Brigitte Dufour, agente de liaison au Réseau des carrefours jeunesse-emploi du Québec. Nous les soutenons dans leurs démarches, nous n'agissons pas à leur place. " La participation et l'engagement des jeunes sont en effet nécessaires à leur réussite. Les CJE accueillent les gens quelle que soit leur situation économique (sans emploi, chômeurs, prestataires de la sécurité du revenu, travailleurs). Bon an mal an, ils sont près de 55 000 à cogner aux portes des CJE. Ils sont accueillis par un conseiller en emploi qui dresse un plan d'action personnalisé en fonction de leurs besoins et de leurs attentes. " Il existe divers chemins pour accéder au marché du travail. Chaque personne choisit son propre parcours ", explique Mme Dufour.
www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/carrefours-jeunesse-emploi-accompagnement-sur-route-6950.html
Avant d'imprimer, pensez à l'environnement.
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Évaluation du site de l’ACOC www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=954
Soyez nombreux à compléter le questionnaire! Votre collaboration serait très appréciée et je vous en remercie à l'avance ! Raymond Jean, c.o.- gestionnaire du site www.acoc.info


Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
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