Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin 14e saison
Site de l'ACOC pour l'ISEP (centre virtuel)
Autre démarche auprès de la direction de son établissement d'enseignement
Exemple de lettre à adapter à son milieu (suggestion de l'équipe de c.o. du cégep Limoilou) à transmettre à sa direction. Cette lettre "locale" a amener leur "direction a réagir en écrivant au Comité patronal de négociation des cégeps (CPNC) et au président de la fédération des cégeps pour demander que l’on prenne en considération ces iniquités qui pourraient se perpétuer et s’amplifier avec la relativité salariale".
Autre démarche auprès du Conseil du trésor (plus de 50 c.o. surtout des Commissions scolaires) "Dans le cadre des négociations actuelles avec le secteur public, nous comprenons que votre gouvernement désire régler la question des relativités incluant les plaintes de maintien de l’équité pour 2010. Toutefois, à la lumière des informations portées à notre connaissance, nous avons la ferme conviction que notre expertise, en tant que conseillers d’orientation, n'a pas été estimée à sa juste valeur car votre rangement ne tient compte ni de l’évolution de notre profession ni de la complexité du contexte dans laquelle nous l'exerçons"... pour lire la suite de la Lettre
- Destination Universités
- CRC 2015 (en rouge)
- Formation sur l'ACT à MTL et Qc
- Portes ouvertes 2015-2016 dans les universités
- Sites destinés aux intervenants (portail)
- Documentation orientante en ligne des cégeps
- Emplois disponibles de professionnel dans les cégeps (C.O. Api Cisep)
- Affichage de poste sur AMEQ en ligne
Invitation à rejeter les ententes
de principes sectoriel et intersectoriel
Aux membres de l’ACOC,
À la suite des
différentes lettres envoyées par des c.o. au Conseil du trésor pour souligner
l’incohérence de l’équité salariale et des relativités salariales en ce qui
concerne la profession de c.o., nous vous invitons à indiquer votre désaccord
lors de vos prochaines assemblées générales locales aux ententes de principe (sectoriel
et intersectoriel). Prenez votre droit de parole
pour faire valoir vos préoccupations et faire connaître la situation des c.o.
(seule profession réglementée inconsidérée et dévalorisée) en expliquant vos
raisons de rejeter ces
ententes de principe et en demandant la
solidarité de vos collègues.
Rendez-vous
sur le site du bulletin pour compléter le sondage (en haut à droite sur le site
complet) www.quelquechosedelacoc.blogspot.com Vous pouvez choisir plus d’une réponse.
Pour le maintien 2015, finalement le Conseil du trésor a décidé le 21 décembre de le faire seul sans les syndicats pour une seconde fois. Les syndicats dont une conseillère de la FPPC pour notre corps d’emploi avaient pourtant espéré : Pour ma part, en ce qui concerne le maintien
2015, en ce moment, l'information que j'ai reçu (de l’ACOC et l'Ordre OCCOQ) m'a été d'une grande
aide. Nous serons en mesure de bien défendre la position pour demander une
hausse de rangement. Maintenant,
malheureusement, nous ne pouvons à ce jour connaître la suite puisque enjeux
pourraient être traités en négociations et comme vous le savez, elles ne sont
pas terminées. C'est le retour à la case de départ, sans trop d'éléments nouveaux. Nous pourrons toujours porter plainte à l'affichage.
Plaintes en maintien de
l’équité : en date du 12 janvier
2016, plusieurs catégories d’emploi font l’objet de plaintes en vertu de
l’exercice de maintien de l’équité salariale de 2010. Les taux de salaire dans
le présent document ne tiennent pas compte des nouveaux rangements pouvant
découler d’ententes concernant ces plaintes. Il n’est pas exclu que, d’ici au 2
avril 2019, certaines plaintes soient réglées et que, par conséquent, le
rangement de certains titres d’emploi soit revu à la hausse.
Maintien 2010 : Le processus de conciliation
se poursuit-il ? Les deux (2) plaintes FPPC sont celles des CO
et des bibliothécaires.
Maintien 2015: Nous n’avons perdu aucun
droit quant au maintien 2015, nous pourrons donc déposer des plaintes,
si nous ne sommes en accords avec l’affichage du gouvernement.
Site qui explique les relativités salariales. Pour les professionnels des cégeps, seulement le tiers des titres d'emplois auront une
augmentation comparativement à ce qui est annoncé: 90 % des titres d’emploi bénéficieront d’une
augmentation salariale supérieure à 2 % en 2019.
Monsieur le président du Conseil
du trésor,
L’Association des conseillères et
conseillers d’orientation du collégial, nommément l’ACOC demande à ce que le
rangement des conseillères et conseillers d’orientation (c.o.) soit réévalué en
enseignement supérieur dans le cadre des négociations actuellement en cours.
Nous comprenons que votre gouvernement désire régler
la question des relativités incluant les plaintes de maintien de l’équité pour
2010. Toutefois, à la lumière des informations portées à notre connaissance,
nous avons la ferme conviction que notre expertise, en tant que conseillères et conseillers d’orientation, n'a pas du tout été prise
en compte ni l’évolution de notre profession ni la complexité du contexte dans
laquelle nous l'exerçons en enseignement supérieur.
Notre association a été créée durant cette période, illustration représentative
du changement de notre pratique en enseignement supérieur: priorisé l'évaluation psychologique. Un autre exemple de
changement est l’intégration en 2006 par l'Ordre du Consentement
libre et éclairé au code de déontologie. La même année, l’Ordre modifia les règles à la formation continue
et créa en 2004 la Semaine québécoise en orientation.
Sur le plan de la comparaison,
les c.o. du collégial œuvrent à l’enseignement supérieur tout comme les c.o. de
l’université Laval. Ces derniers –
appelés Consultants en counseling – sont rangés dans la classe 7 depuis 2007,
selon la méthode Hay. Les exigences pour occuper ces postes comprennent une maîtrise et deux années d’expérience
(pour les c.o.) ou un doctorat (pour le psychologue). La classe 7 est le
rangement le plus élevé et elle exige d’être membre de l’ordre des psychologues
ou des conseillères et conseillers d’orientation.
Ces deux
professions sont même réunies dans un regroupement durant cette période, années
où d’important changement de pratique au collégial s’est actualisé par un
rapprochement avec l’enseignement supérieur. L’ACOC a été fondé pour nous
regrouper et développer nos nouvelles pratiques amorcées avant 2010 et une
révolution s’est concrétisée par la suite: la Loi 21. Il est alors déconcertant de
constater que l’évaluation de notre rangement par le Conseil du Trésor, en
utilisant un procédé similaire, conclue si différemment. Il est manifeste qu’il
n’y a eu aucune évaluation des c.o. du collégial en enseignement supérieur dans
le cadre du programme d’équité salariale. Durant cette période, la prédominance
féminine de notre profession devrait être constatée. L’écart salarial peut représenter près de 10 000$
annuellement.
D’ailleurs, sur le plan de
l’évaluation des emplois selon le système à 17 sous-facteurs du Conseil du
Trésor, le recours à l’évaluation des emplois menée en 2001 apparaît incomplète
tenant des nouveaux changements dans la pratique durant cette période :
Ø puisque
menée en confondant lors de la première évaluation différentes catégories
d’emploi, notamment quant au risques qu’elles assument impliquant des
responsabilités et des nouvelles obligations quant à la manière d’intervenir en
enseignement supérieur.
Ø parce
qu’allant à l’encontre des consensus en 2006 interprofessionnels établis entre médecins, psychologues,
travailleurs sociaux et travailleuses sociales, thérapeutes conjugaux et
familiaux, thérapeutes conjugales et familiales, psychoéducateurs et
psychoéducatrices, ergothérapeutes, conseillers et conseillères d’orientation
dans le cadre des travaux menés par le Gouvernement du Québec sur la
modernisation du système professionnel (Rapport Trudeau en 2006) quant au
travail des conseillers et conseillères d’orientation dans leur changement de
pratique;
Ø parce qu’allant
aussi à l’encontre du consensus social et
politique établi à l’occasion de la modification en 2008, par l’Assemblée
nationale du Québec, du Code des professions, dans le sens des recommandations
du Rapport Trudeau, selon l’actualisation des pratiques durant cette période;
Ø parce que
les écarts les plus remarquables entre l’évaluation de 2001 et ces consensus
sur la réalité nouvelle de la profession ont trait aux dimensions
suivantes :
Parmi l’éventail des compétences offertes par les professionnels du
secteur de la santé mentale et des relations humaines, le conseiller
d’orientation se distingue par sa capacité d’évaluer le fonctionnement psychologique… Il
porte un jugement clinique
sur la situation de la personne évaluée… Dans ce contexte, le conseiller
d’orientation intervient
sur des aspects problématiques reliés à l’identité et au développement de la
personne, ainsi qu’aux processus psychologiques qui lui sont sous-jacents.
(Rapport Trudeau, p.23) Considérant le rôle du travail dans la préservation de la
santé mentale et l’impact des problèmes liés au travail dans l’équilibre de la
personne, le conseiller d’orientation est un professionnel qui pourra être mis
à contribution dans le cadre de la réalisation du Plan d’action en santé
mentale du ministère de la Santé et des Services sociaux. (Id., p.24)
Ø parce qu’on
estime retrouver de plus en plus d’élèves en situation de handicap durant cette
période, une tout nouvelle réalité qui demanda un changement incontournable de
notre pratique en enseignement supérieur. La présence de ces élèves aurait
augmenté de 330% entre 1995 et 2007 (Source : Portrait des étudiants et
étudiantes en situation de handicap et des besoins émergents à l’enseignement
post-secondaire, Gouvernent du Québec, 2010) et cette augmentation semble se
maintenir. De grands cégeps comme le Collège Dawson, le Collège Montmorency et
le Cégep du Vieux Montréal comptent entre 700 et 1000 étudiants annuellement
ayant un diagnostic de handicap de toutes sortes.
Compte tenu qu’il y a absence
complète d’évaluation des c.o. en enseignement supérieur et compte tenu du
changement dans la pratique des conseillères et conseillers d’orientation
durant cette période, en leur nom comme présidente de la seule association en
enseignement supérieur de ce corps d’emploi, je conteste donc
-ce
rangement
-cette
absence d’évaluation en enseignement supérieur et
-l’écart
de salaires avec les c.o. et psychologues en enseignement supérieur par le refus
de les catégoriser à prédominance féminine durant cette période (dépasse le
seuil de 60% depuis l’année 2000-2001)
et je demande que le classement
de la profession soit réévalué et ceci dans le contexte de l’enseignement
supérieur en vue d’obtenir la parité avec les c.o. et psychologues de l’enseignement
supérieur.
Veuillez
agréer, monsieur le président du Conseil du trésor, nos sentiments distingués,
La
présidente
de
l'Association des c.o. du collégial,
Hélène Trudeau, M.A., c.o.
Laurent Matte président de l'Ordre répond aux préoccupations des c.o. sur le processus de la Relativité: l'évaluation du travail des différentes professions selon des critères comme l'effort, la qualification, les responsabilités et les conditions de travail.
Chers
collègues,
Je
suis tout à fait sensible à la situation que vous dénoncez et je comprends très
bien votre désir d’agir, que je partage entièrement. Tous les efforts que
l’équipe de l’Ordre, ses collaborateurs et moi avons mis depuis des années dans
la reconnaissance de ce que la profession a à offrir aujourd’hui témoignent
bien, je pense, que nous n’y sommes pas indifférents et que nous n’hésitons pas
à faire tout ce qui est en notre pouvoir en ce sens.
Pour
décider de ce que l’Ordre doit faire, il faut tenir compte de la mission que
lui confie l’État comme de la marge de manœuvre offerte par les lois et
règlements, des effets prévisibles, autant souhaitables que non souhaitables,
des processus déjà en cours, des règles qui s’appliquent, des différents
acteurs impliqués, de leur pouvoir sur la situation. Il faut prendre garde à ce
que nos actions ne produisent pas l’effet inverse de celui qu’on recherche.
Dans
ce cas-ci, pour agir de manière judicieuse et efficace il faut tenir compte de
différents éléments :
- Il existe effectivement une organisation
responsable de la protection des c.o., et c’est leur syndicat, muni de ses
pouvoirs et de son poids politique. Les c.o. qui sont membres d’un syndicat
peuvent s’y faire entendre et même y prendre un rôle actif et des
responsabilités, ce que plusieurs font déjà. La mission de l’Ordre est à
l’égard de la protection du public, non de la protection des membres.
- La classification et la détermination des
échelles salariales constituent un pouvoir exclusif de l’employeur qui s’exerce
à travers un processus réglementé et très clairement balisé. La pression que
pourraient exercer les c.o. ne peut pas modifier ce processus, mais peut faire
comprendre aux instances impliquées l’intérêt et l’engagement des c.o. dans les
résultats. Ces instances sont la partie patronale et les syndicats qui
négocient avec elle. C’est auprès d’elles que les c.o. doivent s’adresser.
- L’Ordre ne peut pas s’impliquer dans
cette négociation, mais peut adresser aux différentes parties ses
préoccupations lorsqu’il apparaît que l’intérêt du public est clairement en
jeu, afin que celles-ci puissent en tenir compte dans leurs travaux et leurs
échanges. Les seuls arguments que l’Ordre peut utiliser dans ce contexte ont
trait à la protection du public.
- Même si nous devons encore régulièrement
déplorer des situations de dépréciation, l’Ordre a réalisé d’immenses avancées
dans la reconnaissance de la réalité actuelle de la profession, et amélioré
considérablement sa crédibilité et sa notoriété, notamment auprès des décideurs
et des médias. Il ne faudrait pas oublier que cela a été possible parce que
nous l’abordions toujours sous l’angle de la protection du public et que nous
avions toujours cherché à éviter toute équivoque à ce sujet. Si l’Ordre
perd sa crédibilité morale en tenant un discours syndical, tout cela sera perdu.
L’Ordre
s’intéresse au dossier de près. Voici les actions qu’il a prises :
±
Dans
le cas touchant à la classification et au classement salarial des c.o. nous
nous sommes informés de la situation actuelle et appris de la Fédération des
professionnelles et professionnels de l’éducation (FPPE) qu'est déjà intervenue
pour faire savoir aux instances patronales que l’évaluation de l’emploi de c.o.
réalisée en 2000 sur laquelle s’appuyaient les travaux passés et actuels
n’était pas valide eu égard aux modifications importantes apportées à
l’exercice de la profession de c.o. par le Projet de loi 21, notamment quant à
leur expertise et leurs responsabilités en matière de santé mentale. Il est
également inexact de prétendre que la profession est à prédominance masculine, ou
même neutre, alors que la majorité des c.o. sont des femmes, depuis plusieurs
décennies (l’Ordre a fourni les chiffres du Tableau des membres à ce propos).
Nous savons que la FPPE a déposé une plainte à cet égard auprès du Conseil du
Trésor, et que le règlement de celle-ci pourrait survenir dans le cadre de la
présente négociation.
±
À
travers ses contacts auprès de la Fédération des commissions scolaires (FCSQ),
l’Ordre a également avisé les responsables de la classification que, dans le
cas des c.o., le nouveau plan envisagé ne tenait pas compte des modifications
apportées par le Projet de loi 21, alors qu’il en tient compte pour d’autres
professions. On nous a dit qu’on en tiendrait compte dans la révision de ces
textes. L’Ordre n’a pas fait cette démarche dans le cadre d’une négociation,
mais dans celui de son rôle d’information. Dans ce cas-ci, nous avons prévenu
les autorités concernées que si les textes étaient adoptés tels quels, l’Ordre
pourrait avoir à engager des poursuites pour exercice illégal auprès des
non-membres exerçant la profession de conseillers en formation scolaire telle
que décrite, ainsi que de leur employeur, également passible d’amende.
±
Nous
sommes déjà intervenus auprès de la FCSQ pour clarifier la situation concernant
les activités réservées des c.o. Dans le milieu scolaire, on pensait jusque là
que les activités réservées ne s’appliquaient qu’aux élèves ayant un plan
d’intervention. Notre activité réservée d’évaluer (en orientation) une personne
atteinte s’applique au travail d’orientation auprès de tout élève diagnostiqué
d’un trouble mental ou neuropsychologique (ce qui inclut les TDA-H), qu’il ait
ou non un plan d’intervention, et que cela concerne ou non ce plan. Le syndicat
nous a appris qu’il avait aussi avisé l’employeur de cette incongruité.
±
Il y
a quelques années, l’Ordre a fourni à des de c.o. une description précise des
modifications survenues dans la profession sur le plan de l’expertise, des
responsabilités légales et sur le plan démographique. Ils s’en sont servis dans
leurs démarches avec leur syndicat. Fournir de l’information de ce genre fait
non seulement partie de ce que l’Ordre est en mesure de faire, mais de ce qu’il
fait. Nous avons aussi profité des communications que nous ont adressées
plusieurs c.o. qui souhaitaient agir concrètement pour les mettre en relation
les uns avec les autres.
C’est
à chaque c.o. selon sa compréhension des enjeux, son éthique et son désir de
s’impliquer pour faire avancer les choses, à voir où et comment il veut agir.
L’Ordre, quant à lui, agit toutes les fois qu’il peut en fonction des éléments
énumérés ci-dessus.
Nous
espérons que ceci vous permettra d’avoir une compréhension claire et précise de
notre position, de nos actions ainsi que des gestes que vous pouvez
vous-mêmes poser.
En
espérant toujours que la profession de conseiller et conseillère d’orientation
constitue une communauté professionnelle forte, pertinente et compétente pour
répondre aux besoins de tous nos concitoyens, je vous prie de recevoir, chers
collègues, mes salutations cordiales,
Laurent Matte, M.Ed., c.o.
Président
Relativité salariale : des démarches
concrètes auprès de l’Ordre Seize conseillers et conseillères
d’orientation des quatre cégeps de la grande région de Québec (Lévis-Lauzon,
Garneau, Ste-Foy et Limoilou) ont écrit au président de notre ordre
professionnel, monsieur Laurent Matte, afin de le sensibiliser aux impacts des
propositions gouvernementales actuelles
concernant la relativité salariale et de lui demander d’intervenir dans
ce dossier afin de faire reconnaître la réelle expertise et le niveau de responsabilité
professionnelle des c.o., comparable à nos collègues travailleurs sociaux et
psychologues, notamment depuis
l’adoption de la loi 21. Bien que
l’Ordre ne peut intervenir dans les négociations actuelles, les c.o.
signataires de la lettre croient qu’il est important que l’Ordre, dans son rôle
de protection du public, fasse reconnaître les compétences, l’expertise et les
spécificités de notre profession. Puisque la lettre a été envoyée ce jeudi 26
novembre à notre Président, nous attendons qu’il en ait pris connaissance et
que nous ayons eu sa réaction avant de diffuser le tout. Nous invitons cependant nos collègues c.o. du
réseau collégial à se mobiliser dès maintenant
et à entreprendre des démarches similaires auprès de l’Ordre et de nos
syndicats respectifs. Au nom des seize c.o. signataires, Julie Comtois, c.o.,
Cégep de Lévis-Lauzon Nathalie Bussières, c.o., Cégep de Sainte-Foy Jean-Pierre
Lacasse, c.o., Cégep Limoilou Une autre lettre a été aussi acheminée au Conseil du trésor.
Autre démarche auprès de la direction de son établissement d'enseignement
Exemple de lettre à adapter à son milieu (suggestion de l'équipe de c.o. du cégep Limoilou) à transmettre à sa direction. Cette lettre "locale" a amener leur "direction a réagir en écrivant au Comité patronal de négociation des cégeps (CPNC) et au président de la fédération des cégeps pour demander que l’on prenne en considération ces iniquités qui pourraient se perpétuer et s’amplifier avec la relativité salariale".
Autre démarche auprès du Conseil du trésor (plus de 50 c.o. surtout des Commissions scolaires) "Dans le cadre des négociations actuelles avec le secteur public, nous comprenons que votre gouvernement désire régler la question des relativités incluant les plaintes de maintien de l’équité pour 2010. Toutefois, à la lumière des informations portées à notre connaissance, nous avons la ferme conviction que notre expertise, en tant que conseillers d’orientation, n'a pas été estimée à sa juste valeur car votre rangement ne tient compte ni de l’évolution de notre profession ni de la complexité du contexte dans laquelle nous l'exerçons"... pour lire la suite de la Lettre
De la déontologie à l'équité (résumés
de messages de c.o. reçus à l’ACOC) Qu'en est-il de l'évaluation des
emplois ? Depuis 2011, peu de données nouvelles. Par contre, le gouvernement a
sorti les chiffres à nouveau dans le cadre de la négociation et veut clore ce
dossier au niveau des salaires par l'entremise des relativités salariales (un
autre processus). Tant que les plaintes sur le maintien ne sont pas réglées, il
ne pourrait conclure. Il propose d’ailleurs de faire cette fois le maintien
2015 avec les syndicats. Les syndicats
font partie des discussions sur les relativités, par contre le maintien 2010 sur
l'équité s'est fait sans eux. D'où une multitude de plaintes qui embourbent les
procédures. Les syndicats protègent les
droits acquis, aucune baisse de salaire n'est envisagée. Les c.o. sont
déclassés et de toute façon ne pourraient avoir une augmentation puisqu'il
s'agit (à tort) d'une catégorie masculine (reçoivent durant cette période un salaire de cette catégorie).
Pour certains, mieux vaut ne pas
être évalué lorsque l'on observe le rangement des CISEP et des Conseillers en
formation. Pour d'autres (d'où les plaintes), les responsabilités sont
équivalentes à d'autres intervenants. D'ailleurs, l'université Laval a fait son
propre programme d'évaluation de ces professionnels avec des critères
similaires et ont rangé les c.o. et les psychologues en haut des échelles. À
croire que notre profession a été négligée dans tout ce processus où il est
impossible malgré plusieurs demandes venant de l'ordre, de l'ACOC et des
syndicats d'avoir accès aux questionnaires complétés. Mais justement, tout porte à croire qu'il n'y a pas eu de questionnaire pour le niveau collégial de complété, possiblement un seul. Devrions-nous être évalués à ce moment là dans l'enseignement supérieur ? Il est fort possible que des c.o. aient des
fonctions multiples de d’autres corps d'emplois (ce n'est pas la majorité) exigées
par leur employeur, à défaut d'avoir le personnel nécessaire. Lors de la
création de l’ACOC en 2000, un conférencier nous avait suggéré de se regrouper
pour faire valoir notre expertise parce qu’il y aurait péril dans la demeure,
un peu devin ce cadre maintenant directeur général d’un collège.
Malgré les
représentions de l'ordre depuis plusieurs années, rien n'est accepté, rien n'a
changé. Depuis, l'ordre a plutôt mis l'emphase sur la déontologie, ce
qui à long terme peut amener les membres à pouvoir exercer leur fonction
désignée de manière prioritaire: passer de l'information scolaire à l'évaluation psychologique. Ce qui est problématique dans tous ces rangements,
c'est que le c.o. est le seul intervenant membre d'un ordre et possédant une
maîtrise qui subit ce déclassement, autant en éducation qu'en santé et les services sociaux Dans les collèges, les c.o. sont très
impliqués dans les nouveaux besoins des clientèles, on les retrouve à la tête
de services adaptés, pourtant rangés plus haut, de service psychosocial, encore
rangé plus haut, souvent le seul intervenant pour du counseling psychologique,
encore là rangé plus haut. Déconcertant! Certain aimerait bien que l'ordre
continue de faire des représentations et, pourquoi pas, transmette une mise en
demeure. Quel message est transmis au public ?
Un groupe de c.o. (une centaine)
projette même de ne plus se soumettre aux exigences d'être membre d'un ordre
puisque leur rangement les considère ainsi comme des conseillers en adaptation scolaire (non
membre de l’ordre des psychologues). Le counseling psychologique et éducatif, pourtant
efficace pour les problèmes personnels, n’est pas reconnu. Moins d'obligation à
la formation continue, moins de déontologie mais que de l'iniquité dans
l'équité...
Titre
d’emploi
|
Numéro
du titre d’emploi
|
Rangement
|
Agent
de service social
|
C233
|
22
|
Aide
pédagogique individuel
|
C204
|
21
|
Conseiller
d’orientation
|
C220
|
21
|
Conseiller
en adaptation scolaire
|
C223
|
21
|
Conseiller
en formation scolaire
|
C221
|
20
|
Conseiller
en information scolaire et professionnelle
|
C214
|
20
|
Conseiller
en services adaptés
|
C216
|
22
|
Psychologue
|
C222
|
24
|
Travail
social
|
C231
|
22
|
« Le gouvernement est également prêt à payer la note
pour faire disparaître les irritants d'une nouvelle grille salariale pour tenir
compte de la relativité salariale. Les syndicats ont beaucoup collaboré à ces
calculs; ce volet est un incitatif puissant en faveur d'une entente,
l'équivalent d'une augmentation de 2,3% par année. Cette réévaluation suppose
une injection de 550 millions de la part de Québec, mais, si la grande majorité
des syndiqués gagnerait au change, environ 18 000 personnes verraient leurs salaires
réduits. Québec a déjà dit qu'il était d'accord pour «améliorer le modèle» pour
que tous conservent leurs acquis, ce qui se traduit par une facture
supplémentaire d'une vingtaine de millions. » www.lapresse.ca/actualites/201511/27/01-4925296-negociations-avec-le-secteur-public-vers-une-entente-la-semaine-prochaine.php
Équité salariale : L'équité salariale est une loi propre au
Québec. Elle vise à corriger, au sein d’une même entreprise, les écarts
salariaux dus à la discrimination systémique basée sur le sexe à l’égard des
personnes qui occupent des emplois dans des catégories d’emplois à prédominance féminine (aussi appelé
emploi féminin ou emploi traditionnellement occupé par des femmes). Pour se
faire, au sein d’une même entreprise, les catégories dites féminines sont
comparées aux catégories à prédominance masculine. Les catégories d’emplois à
prédominance féminine reçoivent une rémunération égale à celle des catégories
d’emplois à prédominance masculine de même valeur ou de valeur comparable. Pour
les catégories d’emplois du secteur de l’éducation et de la santé, le Programme
d’équité salariale s’est conclu en 2006, selon le portrait des emplois de 2001.
Dans un exercice d’équité salarial, seules
les catégories à prédominance féminine peuvent recevoir un ajustement salarial.
Il n’y a aucune baisse de salaire.
Relativités salariales : À la différence d'une opération
d'équité salariale qui vise à donner le même salaire aux catégories d'emplois à
prédominances féminine et masculine jugées équivalentes, une opération de
relativités vise à attribuer le même salaire à tous les emplois jugés
équivalents, peu importe la prédominance
sexuelle. C’est dans les travaux de relativité que l’on doit également
ranger les emplois dits mixtes ou sans prédominance. Récemment les enseignants des collèges ont été réévalués au rang 23 (à partir de leur échelon 10) lors de ce processus. Dans les travaux en
relativité, toutes les catégories d’emplois peuvent être reclassées, à la
hausse ou à la baisse, qu’il s’agisse de catégories à prédominance féminine ou
masculine : les travaux impliquent
donc une négociation afin d’éviter des réductions salariales. Si elles se
distinguent par leur objectif, les deux opérations peuvent, en revanche,
s'appuyer sur les mêmes méthodologies. Lorsqu’un exercice de relativités
salariales est réalisé les parties doivent toujours s’assurer du respect de la
loi sur l’équité salariale.
Maintien de l’équité : Opération prévue à la loi sur
l’équité salariale qui s’effectue périodiquement à tous les cinq ans à compter
de 2010 et visant à s’assurer que les catégories d’emplois à prédominance
féminine reçoivent toujours une rémunération égale ou supérieur à celle des
catégories d’emplois à prédominance masculine de valeur équivalente. En fait,
il s’agit de s’assurer que les changements survenus dans l’entreprise n’ont pas
d’effets discriminatoires envers les catégories d’emplois à prédominance
féminine.
Message de l’ordre en 2011 sur le dossier de l’équité
Chers collègues,
depuis plusieurs jours, nous sommes
interpellés par les c.o. du secteur scolaire pour qui un exercice de
classification est en cours, dans le cadre de la Loi sur l’équité salariale.
Plus précisément, ces c.o. ont reçu le 14 février de leur syndicat un message
concernant les ajustements que le Conseil du Trésor entend apporter aux
échelles salariales, qui place notamment la profession à un rangement inférieur
à celui, par exemple, des psychoéducateurs et des travailleurs sociaux.
Certains d’entre eux nous ont sensibilisé au fait que notre profession y est
exclue des professions à prédominance féminine et qu’ils souhaitaient que le
plus de collègues possible contestent cette classification avant la date limite
du 18 février. Comme nous le mentionnions dans le Correspondant du 9 février,
le mandat de l’Ordre ne lui permet pas d’intervenir dans les relations
patronales-syndicales à moins que la protection du public ne soit mise en
cause. Le cas échéant, nous intervenons directement auprès des têtes de réseau
(FPPE, FCSQ, Gouvernement). Je suis extrêmement préoccupé de la signification
de cette situation en termes de positionnement de l’orientation en milieu
scolaire, alors que nous faisons par ailleurs, auprès du public, des employeurs
et des médias, tant d’efforts pour faire valoir son importance en matière de
persévérance et de réussite, de santé psychologique et d’intégration des EHDAA.
Dans l’intérêt du public. Préoccupé parce qu’il est évident que notre
profession EST à prédominance (60%) féminine (dans l’Ordre en général, c’est le
cas depuis 1997, dans certains milieux, ça remonte tout de même à plus de dix
ans). Préoccupé aussi parce qu’apparemment l’évaluation des emplois invoquée,
qui date de plus d’une décennie et se basait un échantillonnage indistinct de
c.o. et de c.f.s., laisse entrevoir une profession peu impliquée dans la santé
des personnes, comportant des risques de préjudice minimes ainsi que des
niveaux de relations interpersonnelles assez superficielles! Je déplore ce
portrait peu flatteur et j’espère vivement que nos collègues de ce secteur
trouveront l’opportunité de rendre l’évaluation de leur profession plus
conforme à la réalité actuelle, ou à tout le moins, plus conforme à ce que les
besoins des élèves demandent comme niveau d’intervenants. Les c.o. concernés
peuvent y voir, même si je sais que la période s’y prête très mal. Certains
d’entre eux se sont organisés et nous ont demandé de leur fournir des données
et des éléments du Rapport Trudeau et de la Loi 21 susceptibles d’étayer leurs
arguments. Ils entendent ensuite les diffuser auprès de l’ensemble de leurs
collègues scolaires. J’espère qu’ils pourront sentir la solidarité la
communauté professionnelle des c.o. dans leur situation et leurs efforts.
Laurent Matte, c.o.
MARCHÉ DU TRAVAIL 6 fausses croyances
sur le choix de carrière www.teluq.ca/site/infolettre/articles/6-fausses-croyances-sur-le-choix-de-carriere.php
Taux de placement de 97% pour les
diplômés du bac en génie industriel http://journalmetro.com/plus/carrieres/753707/taux-de-placement-de-97-pour-les-diplomes-du-bac-en-genie-industriel/
La trousse de renseignements sur
l’extrémisme violent (TREV) a pour but d’outiller la communauté à comprendre
l’extrémisme violent, le prévenir et aider les gens à en sortir. Destinée au
grand public, la TREV tire les leçons de 50 ans de recherche sur l’extrémisme
violent. http://trev.uqam.ca
Des pharmacies ferment faute d'argent www.lapresse.ca/actualites/sante/201511/26/01-4924946-des-pharmacies-ferment-faute-dargent.php
Bonjour Madame Trudeau,
L'association québécoise des étudiants
ayant des incapacités au post secondaire (AQEIPS) a pour mission la défense des
droits des étudiants en situation de handicap. En 2013, elle a créée une table
de concertation sur l'employabilité afin de pallier les problèmes d'emploi rencontrés
par ces étudiants pendant et après leurs études postsecondaire. Plusieurs
acteurs du milieu scolaire, du handicap et des étudiants furent réunis afin de
réfléchir sur la problématique de l'emploi pour les ÉSH. En 2014, trois comités
ont été mis sur pied. Le premier se consacrant aux besoins direct des
étudiants, le deuxième se consacrant à l'orientation et le troisième agissant
directement sur le monde de l'emploi. Nous croyons que l'expertise de l'ACOC
serait nécéssaire pour la continuation des travaux et voulons vous inviter à
siéger non seulement à la table de concertation mais aussi dans le comité
orientation que je dirige. La prochaine réunion de la table de concertation
aura lieu soit le 24, le 25 ou le 26 novembre. Le comité orientation est formé
de Martine Lacharité directrice de l'OCCOQ, Monique Dufour conseillère
d'orientation répondante à la CSDM, Julie Cleary directrice en services adaptés
au cégep de Trois-Rivières et Catherine Loiselle directrice du centre de
recherche en inclusion scolaire et professionnelle des étudiants en situation
de handicap (CRISPESH) et de moi-même. Seriez-vous intéressée à vous joindre à
nous ou à envoyer quelqu’un de votre équipe ? Je vous une bonne journée
Laurence Perreault-Rousseau Directrice générale Association québécoise des
étudiants ayant des incapacités au post secondaire (AQEIPS) laurence.perreault-rousseau@aqeips.qc.ca www.aqeips.qc.ca www.facebook.com/aqeips
Réponse d'Hélène Trudeau présidente de l'ACOC
Bonjour
Madame Perreault-Rousseau!
Je suis très
heureuse que vous ayez pensé à l’ACOC pour participer aux travaux à la table de
concertation sur le développement de l’employabilité des ÉSH et à siéger au
comité orientation.
C’est avec
plaisir et beaucoup d’enthousiasme que Madame Michèle Roberge se joindra à
votre équipe en tant que représentante de l’ACOC. Madame Roberge est
conseillère d’orientation et conseillère en Aide pédagogique individuelle au
Cegep Saint-Jean-sur Richelieu. Depuis quelques années elle s’occupe, entre
autres, de la clientèle ayant des besoins particuliers (ÉSH-SAIDE) au Service
de consultation et du cheminement scolaire (SCCS).
Son
expérience et son expertise en font certainement une candidate de choix. Je
suis persuadée que sa contribution à l’équipe sera très appréciée.
Les «styles» d'apprentissage, un mythe.
Même si on peut avoir une préférence à apprendre de façon visuelle, auditive ou
en manipulant des objets (kinesthésique), on n'apprend pas mieux d'une façon ou
l'autre. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201511/05/01-4917939-les-styles-dapprentissage-un-mythe.php
Quoi de neuf sur les étudiants de
première génération? Le numéro de décembre 2015 du magazine
Affaires universitaires propose un article sur les étudiants de première
génération (EPG), c’est-à-dire les étudiants dont les parents n’ont pas
fréquenté d’établissement postsecondaire. www.capres.ca/2015/11/quoi-de-neuf-sur-les-etudiants-de-premiere-generation
Tutorat par les pairs et étudiants en
situation de handicap : la perception des tuteurs. Cet article décrit un
programme de tutorat mis en place à l’UQAM et les perceptions des tuteurs qui y
oeuvrent. www.capres.ca/2015/11/tutorat-par-les-pairs-et-etudiants-en-situation-de-handicap-la-perception-des-tuteurs
Dépistage du décrochage scolaire: deux
sources d’informations à privilégier. Une étude menée au niveau secondaire a
comparé l’efficience de deux modes de dépistage des élèves à risque. www.capres.ca/2015/11/depistage-du-decrochage-scolaire-deux-sources-dinformations-a-privilegier
Entreprendre c'est apprendre - Une
boîte à outils destinée aux enseignants et aux intervenants scolaires pour
favoriser l'apprentissage par l'entrepreneuriat http://entreprendrecestapprendre.com
Soigner des patients «sans médecin»,
c'est possible... et efficace! www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20151007-soigner-des-patients-sans-medecin-cest-possible-.-et-efficace.html
Pourquoi les femmes sont-elles toujours
sous-représentées dans les médias écrits ? www.psychomedia.qc.ca/psychologie/2015-10-22/inegalites-hommes-femmes-medias-ecrits
Collégial
Ce
produit a été créé afin de mettre des images sur des notions encore abstraites
au début de l'apprentissage des soins infirmiers. Ce site Internet vient
compléter un DVD de 40 minutes intitulé Une journée de Maxime, où l'on trouve
des séquences complémentaires, inédites, et surtout des renseignements qui
permettront aux enseignants et aux élèves de mieux saisir ce qu'est la fonction
de travail en soins infirmiers. http://maxime.ccdmd.qc.ca
CANDIDATURES
BLOC 3 : PERSONNES SANS FORMATION EN TECHNIQUES POLICIÈRES DU QUÉBEC
(candidatures conventionnelles) http://recrutement-suretequebec.gouv.qc.ca/conventionnels-sans-formation-recrutement-sq.jsp
Police
militaire www.forces.ca/fr/job/policemilitaire-75?olvPlayer=0s&module=cue_75_1
Le cégep
Gérald-Godin lance son nouveau site web www.newswire.ca/fr/news-releases/le-cegep-gerald-godin-lance-son-nouveau-site-web-553071821.html
Le Cégep de Matane vous invite à découvrir son nouveau site Web www.cegep-matane.qc.ca/nouvelles/2015/le-cegep-de-matane-vous-invite-a-decouvrir-son-nouveau-site-web/
Universitaire
Entrepreneuriat Laval. Premier accélérateur
d'entreprises universitaires en Amérique du Nord www.el.ulaval.ca/nouvelle.aspx?id=477&KeepThis=true&modal=false&TB_iframe=true&width=550&height=500
L’Université Concordia s’associe au Musée des
beaux-arts de Montréal pour l’éducation et l’art-thérapie. Des chercheurs de
l’Université collaboreront avec le Musée afin de réaliser plusieurs projets
visant le mieux-être de la société www.concordia.ca/content/shared/fr/actualites/central/communiques-de-presse/2015/11/09/MMFA-Partenariat-2015.html
Utiliser les consoles de jeux pour améliorer la
rééducation physique www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20151020-utiliser-les-consoles-de-jeux-pour-ameliorer-la-reeducation-physique.html
Université d'Ottawa La vie en résidence réinventée www.uottawa.ca/medias/communique-3282.html
La synergologie, qui interprète le langage du
corps, est-elle une discipline scientifique ? www.psychomedia.qc.ca/psychologie/2015-11-10/synergologie-pseudoscience
Un pas de l’avant pour la création d’une nouvelle université
franco-ontarienne https://fesfo.ca/wp-content/uploads/2015/11/CMNQ_20nov_ACUFO.pdf
Baccalauréat en administration Une nouvelle
concentration en gestion des technologies des affaires est lancée www.uqar.ca/uqar-info/une-nouvelle-concentration-en-gestion-des-technologies-daffaires-est-lancee/
Documentation
Formation Psymétrik www.psymetrik.com/fr/formations-et-services
ÉtudeSecours Nouveauté! Un soutien
pédagogique virtuel sur mesure pour la reprise des épreuves du ministère www.etudesecours.com
Institut Fraser Bulletin des écoles
secondaires du Québec 2015 www.fraserinstitute.org/fr/%C3%A9tudes/bulletin-des-ecoles-secondaires-du-quebec-2015
80% des emplois vacants au Québec ne
sont pas affichés, un mythe? Cette statistique sur le marché caché de l’emploi
nous est balancée de partout et j’ai voulu savoir ce qui en était vraiment. http://oeildurecruteur.ca/marche-cache-de-lemploi/
Les emplois affichés. 80% des emplois
ne sont pas affichés. http://reseaustage.blogspot.ca/2011/10/statistiques-sur-les-medias-sociaux.html
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