09 avril 2008

V 6 No 25: Moncton j'embarque... embarque donc !

Moncton, j'embarque...embarque donc!
Voir ce vidéo de Mathieu Gingras

Cette présentation a été faite à l'hôtel Hilton de Québec le 14 mars 2008, cliquez sur la flèche pour le visionnement

Voir ce vidéo promotionnel de l’Université de Moncton sur Youtube, en cliquant sur ce lien
www.youtube.com/v/nJ-s0xAE7aA&rel=0&color1=0x2b405b&color2=0x6b8ab6&border=1&hl=en


Pour s’inscrire au 7e Congrès de l’ACOC en partenariat avec l’université de Moncton (du 12 mai au 16 mai 2008) Moncton j’embarque! les membres ne sont pas obligés de participer au Congrès de l’Association de counseling (voir ci-dessous). Pour les journées du 14 et 15 mai, Mathieu Gingras de l’université de Moncton s’engage à organiser des rencontres au besoin ou autres visites. Allez à la page du Congrès 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 pour consulter le Programme (ainsi que la description des conférences et formulaire d'hébergement) et compléter le Formulaire d’inscription. S'inscrire si possible au congrès avant le mardi 15 avril.

Nous sommes 528 membres inscrits au bulletin électronique de l’ACOC (71 de plus que l’année dernière) et le site de l’ACOC a été jusqu’à maintenant consulté 51569 fois depuis 2005. Les partenaires du 7e Congrès de l'ACOC (à jour le 9 avril) sont: l’Université de Moncton, l’OCCOPPQ, l’UQAM et les cégeps de Lévis-Lauzon et de Rivière-du-Loup (voir les logos et lien Internet sur le site du bulletin). Lien des résidences pour le séjour www.umoncton.ca/vrarh/materielles/Service__de__logement/7.028__Residence__Medard-Collette.html

L'assemblée générale annuelle de l'ACOC aura lieu le lundi 12 mai 2008 lors du 7e Congrès de l’ACOC, dans l’autobus en après-midi « à quecpart » entre le Québec et le Nouveau-Brunswick. Imprimez l'ordre du jour suivant. Le procès-verbal de la 6e assemblée générale annuelle du vendredi 1er juin 2007 sera sur le site de l’ACOC prochainement. Vous pouvez consulter nos Statuts (notamment les articles 8 à 12) à la page www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=808 . Il faudra être dans l’autobus pour y participer. Toutefois, si vous ne pouvez être présent, communiquez vos questions, suggestions (lieu des prochains congrès, thème et conférencier pour le Carrefour de l’orientation 2008) et commentaires à acoc@videotron.ca (courriel du secrétaire de l’ACOC). Pour l'élection du Conseil exécutif (année paire: Vice-président, Conseiller et Secrétaire; Il est composé de cinq membres réguliers qui se répartiront, après chaque élection, les fonctions), veuillez annoncer votre intention par courriel à acoc@videotron.ca afin de faire connaître votre candidature à tous les membres avant l'assemblée générale.

Ordre du Jour de la 7e assemblée générale de l’ACOC
dans l’autobus à « quecpart » entre le Québec et le N.B.
le lundi 12 mai en après-midi

1. Présidence de l'Assemblée : Philippe Brosseau et Secrétaire de l’Assemblée : Bruno Tremblay
2. Lecture et adoption de l'ordre du jour
3. Adoption du procès-verbal de la 6e assemblée générale du 1er juin 2007 et suivi
4. Rapport du Conseil exécutif (Philippe Brosseau, président)
5. Rapport de la trésorière (Diane Fortin)
6. Rapport des comités (et propositions s’il y a lieu)
6.1. Comité Carrefour de l’orientation (Bruno Tremblay, secrétaire)
6.2. Comité partenariat (Chantale Desjardins)
6.3. Comité de perfectionnement (Nathalie Houde, conseillère) et Congrès de l’ACOC 2009 et 2010
7. Élections au Conseil exécutif (année paire: Vice-président, Conseiller et Secrétaire; Il est composé de cinq membres réguliers qui se répartiront, après chaque élection, les fonctions)
8. Élections du Comité de perfectionnement (4 membres : minimum 3 réguliers dont un du C.E.)
9. Voeux de l’Assemblée au Conseil exécutif
10. Levée de l’assemblée

Inscription au colloque de l’ACC à Moncton
À partir du 1er avril: 490$ pour les membres réciproques ou 300$ par jour www.ccacc2008.ca/fr/download_forms.cfm?lang=fr Pour consulter le programme provisoire: www.ccacc2008.ca/fr/presentations.cfm?lang=fr Le vice-président au secteur orientation, Michel Turcotte, c.o., a été choisi comme récipiendaire du Stu Conger Award 2008 de la Fondation canadienne pour l'avancement de la carrière. Il s'agit d'un prestigieux prix de leadership canadien en consultation professionnelle et en développement de carrière " Sûrement que lors de la remise de ton prix, dans le cadre du prochain congrès de l'Association canadienne de counseling qui se tiendra à Moncton, les conseillers et conseillères d'orientation qui te côtoient et oeuvrent de concert avec toi pourront ressentir cette même fierté qui ne peut que rejaillir sur l'ensemble de nos professionnels ", a souligné à cette occasion le président de l'Ordre, Laurent Matte, c.o. Dans le même ordre d'idées, soulignons également que le conseiller d'orientation Simon Viviers, c.o. a remporté le Prix de l'Association canadienne de counseling 2008 pour son mémoire de maîtrise intitulé Étude de la santé psychologique des ophtalmologistes québécois et rédigé à l'Université Laval. Il l'a réalisé sous la direction de Mme Marie-France Maranda et la co-direction de Mme Lise Lachance. Il recevra son prix lors du prochain Congrès de l'Association.


Info collégiale
Conseillère en orientation - Service de l'admission, de la consultation et du registrariat - Collège de Bois-de-Boulogne Fin du concours Le mardi 15 avril 2008 Régulier à temps complet. Relevant de l’adjoint à la Direction des études et des services aux étudiants, vous jouez un rôle de premier plan dans l’encadrement et le soutien des étudiants relativement à leur choix professionnel. De plus, vous êtes appelé à assurer un leadership dans le développement des stratégies de recrutement du Collège. Direction des ressources humaines / COLLÈGE DE BOIS-DE-BOULOGNE 10555, avenue de Bois-de-Boulogne Montréal (Québec) H4N 1L4 Télécopieur : 514 332-3004 / Courriel : drh@bdeb.qc.ca Site Internet: http://www.bdeb.qc.ca/ Description à la section Nouvelles du site http://www.acoc.info/

Avis du Conseil supérieur de l'éducation concernant le collégial - Des voeux pieux pour la CSQ et ses fédérations "Nous sommes déçus de l'avis du Conseil supérieur de l'éducation (CSE) parce que ce qu'il propose n'est pas suffisant pour assurer la réussite des étudiantes et des étudiants. Nous comprenons mal que d'un côté, il rehausse les exigences de l'obtention du diplôme d'études secondaires et de l'autre, il réduit les exigences d'admission au collégial. Cela relève de la pensée magique de penser pouvoir miser seulement sur un meilleur encadrement pour aider les élèves admis de façon conditionnelle", affirment les représentantes et les représentants du secteur collégial de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ). La CSQ et ses fédérations avaient déjà émis de grandes réserves quant à l'admission sous condition d'étudiantes et d'étudiants n'ayant pas obtenu leur diplôme d'études secondaires (DES). En effet, admettre ces derniers alors qu'il leur manque six unités en français ou en mathématiques, tout en leur permettant de suivre des cours du collégial, peut constituer une voie vers l'échec qui est inacceptable. En plus de devoir se concentrer sur leurs cours réguliers, ces étudiants devront composer avec des défis importants de logistique d'horaires et de disponibilité d'offres de cours aux adultes. Concrètement, en acceptant l'admission conditionnelle, le Conseil accepte qu'un élève puisse être admis au cégep avec son cours de mathématiques de 3e secondaire ou son cours de français de 4e secondaire. Et même si le Conseil propose un meilleur encadrement, la CSQ considère qu'il faut imposer certaines balises afin de s'assurer de la réussite de ces étudiants et que ces derniers, qu'ils soient en région ou dans les centres urbains, puissent jouir des mêmes conditions. "Pourquoi ne pas traiter les cas exceptionnels comme des exceptions plutôt que de transformer l'exception en règle ? A cet effet, on pourrait établir des balises nationales pour traiter des cas d'exception en tenant compte, par exemple, de la moyenne de l'étudiant en 4e secondaire", ajoutent les représentants de la CSQ. En ce qui a trait à l'admission sur une base jugée suffisante, la CSQ considère que le CSE retient une approche volontariste en proposant la concertation entre les établissements. La Centrale propose plutôt que le contenu d'une formation jugée suffisante soit balisé sur le plan national afin d'éviter une concurrence indue entre les établissements qui pourraient être tentés, dans un contexte de baisse d'effectifs, de revoir à la baisse les critères d'une formation jugée suffisante. La CSQ et ses fédérations sont favorables à ce que le Conseil adhère aux deux modifications proposées à la sanction d'études collégiales, à savoir, le diplôme sans mention de programme d'études et le diplôme de spécialisation d'études techniques (DSET). www.newswire.ca/fr/releases/archive/April2008/03/c2282.html

Réaction de la FECQ - Modification au RREC - Le Conseil supérieur de l'éducation cautionne le "DEC en rien" À la suite de la publication de l'avis du Conseil supérieur de l'éducation (CSE) sur le projet de règlement modifiant le Règlement sur le régime des études collégiales, la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) craint pour la reconnaissance du DEC au collégial. En effet, l'avis du CSE appuie l'idée ministérielle d'accorder "le diplôme sans mention du nom du programme d'études" ce qui permettrait à un étudiant ayant réussi la formation générale du collégial et accumulé 28 crédits supplémentaires, soit l'équivalent de deux années d'études, d'atteindre l'université sans avoir complété un programme en entier. La présidente de la FECQ, Mme Geneviève Bond-Roussel, dénonce "ce DEC en rien qui fait miroiter aux étudiants un diplôme qui n'assure pas l'acquisition des compétences nécessaires à la réussite universitaire." En effet, le nouveau diplôme pourrait ne représenter qu'une accumulation de sessions d'introduction, sans cours d'approfondissement ou d'intégration des diverses matières d'un programme. En ce qui concerne l'admission conditionnelle des étudiants du secondaire, l'avis du CSE apporte un point intéressant. En effet, le Conseil recommande que le statut de temps plein soit accordé aux étudiants qui doivent alléger leur horaire collégial pour réussir à condenser les apprentissages d'un cours secondaire d'un an à l'intérieur d'une session. Une telle mesure assurerait à ces étudiants l'accès à l'Aide financière aux études et à la gratuité scolaire. La FECQ appuie cette idée, qui vise à assurer un accès équitable à l'admission conditionnelle. http://www.fecq.org/ . www.newswire.ca/en/releases/archive/April2008/03/c2075.html

Une nouvelle formation en transcription médicale à Shawinigan À la demande du Centre de santé et de services sociaux de l'Énergie (CSSSÉ), le Collège Shawinigan offre depuis la fin janvier une formation en transcription médicale, ce qui pourrait aussi permettre de répondre aux besoins observés dans ce domaine au Québec. Ce programme d'Attestation d'études collégiales (A.E.C.) consiste à former le personnel de façon à ce qu'il soit apte à transcrire des rapports médicaux, des résumés de dossiers et des protocoles opératoires. La formation est dispensée à temps plein, de jour, à raison de 25 heures par semaine. Elle est répartie sur 4 sessions pour une durée totale de 44 semaines. Le salaire offert aux finissants commence environ à 15$ de l'heure www.monemploi.com/ma_formation/actualites/une-nouvelle-formation-transcription-medicale-shawinigan-7804.html

117 inscriptions au Centre collégial de Mont-Tremblant! Les partenaires du futur Centre d'études collégiales jubilent. L'établissement postsecondaire tremblantois pourrait accueillir 125 étudiants dès l'ouverture de la première session le 20 août prochain. Ce 17 mars, le directeur général du Cégep de Saint-Jérôme, Serge Tessier a fièrement confirmé le nombre de demandes d'admission au futur Centre d'études collégiales de Mont-Tremblant. «Nous annonçons aujourd'hui 117 demandes d'admission reçues à ce jour: 44 au programme d'accueil, 20 en Sciences de la nature et 53 en Sciences humaines. La qualité des dossiers laisse présager un taux d'admission de plus de 90%. Sur cette lancée, il ne serait pas étonnant d'avoir 125 inscrits pour l'automne puisque l'admission au SRAM se poursuit jusqu'en juin», de signaler M. Tessier. Le plus beau de l'affaire est que le nombre d'inscriptions au campus collégial de Mont-Laurier n'en est pas affecté. Il s'agissait d'une inquiétude pour les porteurs locaux du projet. http://infodunordtremblant.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=53202&catname=Faits+divers&classif=Nouvelles

Info universitaire
Évaluation du français des futurs profs : le test jeté au panier Après trois ans de travail et de négociations avec les universités et le ministère pour la création d’un examen de français plus difficile, la TÉLUQ vient de se voir montrer la porte de sortie. Les universités et le ministère de l’Éducation (MELS) doivent tout reprendre du début et en écrire un nouveau. Chaque année, les piètres résultats en français des étudiants en enseignement ne manquent pas de faire les manchettes. Entre 40 et 70 % des futurs profs du primaire et du secondaire échouent l’examen de français à leur arrivée à l’université. Un test qui mesure pourtant des connaissances de cinquième secondaire...Pour donner un coup de barre, les neuf universités francophones ont décidé d’imposer à tous un examen uniforme, à la moitié du baccalauréat. Les étudiants qui n’obtiendront pas la note de passage (75 %) à cet examen devront le reprendre et ne pourront faire leur troisième stage tant que l’épreuve ne sera pas réussie. Après trois échecs, ils seront tout simplement exclus du programme. Mais après trois ans de travail et de négociations avec les universités et le ministère, la TÉLUQ vient de se voir montrer la porte de sortie. La raison? Son test aurait coûté trop cher aux étudiants, soit environ 115 $. Toute une hausse par rapport aux 30 $ ou 75 $ que doivent actuellement débourser les étudiants québécois, selon le test subi. Une pilule difficile à avaler dans un contexte de dégel des droits de scolarité, ont convenu les doyens des neuf facultés d’éducation. Certains se demanderont si le test de la TÉLUQ a été rejeté parce qu’il était trop difficile. Une expérience-pilote menée en décembre à l’Université de Sherbrooke auprès d’une quarantaine d’étudiants a révélé des taux d’échecs «très élevés» selon nos informations. «Oui, on veut un test exigeant, mais si on fait échouer tout le monde, on se cause d’autres problèmes», note Marcel Monette. www.cyberpresse.ca/article/20080404/CPSOLEIL/80403427/1019

Test de français rejeté : la TÉLUQ déconcertée La Télé-université (TÉLUQ) s’explique mal la décision du ministère de l’Éducation et des universités, qui rejettent le test de français destiné aux futurs enseignants qu’elle avait le mandat de concocter. L’institution croit que le niveau de difficulté de l’examen pourrait expliquer la volte-face du ministère, qui affirme que le test coûte trop cher. Monique Desnoyers, directrice du service d’évaluation linguistique de la TÉLUQ, a été surprise d’apprendre dans Le Soleil que l’examen sur lequel son équipe travaillait depuis 2005 avait été mis au rancart : «On savait qu’on était dans une impasse, mais on pensait qu’on négociait encore.» Pour rehausser le niveau de maîtrise du français des futurs enseignants, le ministère et les universités ont décidé d’imposer un examen uniforme à tous les étudiants, à mi-chemin de leur baccalauréat. Experte dans le domaine, la TÉLUQ a été mandatée pour concevoir ce test. Une version préliminaire de ce nouvel examen avait été testée par des étudiants de l’Université de Montréal, au début 2007. Le taux d’échec a été de 70 %, indique Mme Desnoyers. «Les résultats n’ont pas plu, mais on a fait le test en fonction des exigences fixées par les universités», dit-elle. Une nouvelle version, plus facile, a été développée, mais la deuxième cohorte d’étudiants de l’Université de Sherbrooke qui a passé le test cet automne n’a pas mieux réussi.Au ministère de l’Éducation, la porte-parole Stéphanie Tremblay affirme que le niveau de difficulté de l’examen n’a rien à voir avec la décision du ministère. Un nouveau comité a été créé, composé d’experts du ministère et des universités, pour développer un nouveau test qui devrait être prêt tel que prévu à l’automne 2008, assure-t-elle. www.cyberpresse.ca/article/20080407/CPSOLEIL/80406098/6584

Trop d'intégration «sauvage» dans les classes
La Fédération des syndicats d'enseignants entend exiger une limite au nombre d'élèves handicapés ou en difficulté par classe. «Il s’agit d’établir le seuil à partir duquel la classe ordinaire ne peut plus recevoir ces élèves sans compromettre la qualité de l’enseignement, autant pour eux que pour le reste de la classe», explique la présidente On intègre de plus en plus d'enfants handicapés ou en difficulté dans les classes régulières. Mais les ressources ne suivent pas. Et les profs sont à bout de souffle. Ils se plaignent de passer plus de temps à gérer leur classe qu'à enseigner. Pour arriver à transmettre toute la matière, plusieurs doivent escamoter le programme. Désemparés, d'autres finissent par quitter la profession. Pour les syndicats, ça ne peut plus durer. www.cyberpresse.ca/article/20080404/CPACTUALITES/804040692/1019

Entrez voir la VIDÉO Sur la piste des stagiaires de l'UQTR Le stage est une étape essentielle dans la formation de plusieurs diplômés de l'Université du Québec à Trois-Rivières. L'équipe de Martine Lauzière, Khaeddy Chanthavongnasaeng et Véronique Chamberland est allée à la rencontre de stagiaires et leurs superviseurs. Écoutez leurs témoignages. http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=7326

Formation, documentation
Le peuple invisible: documentaire-choc http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=7327 Le peuple invisible, de Richard Desjardins et Robert Monderie, est un documentaire-choc sur les peuples indiens. Les auteurs ont voulu démontrer la rupture brutale de l'équilibre des autochtones avec leur milieu naturel et les séquelles de tout ce ravage. Une cassure qui se révèle à la lecture de leur histoire. La nation algonquine a 5000 ans d'histoire. Il y a 200 ans, ce peuple occupait un territoire qui s'étendait de Laval à Val-d'Or, jusqu'au lac Huron. Ces gens étaient en synchronie avec la nature. Cet équilibre sera rompu à l'arrivée de Jacques Cartier, en 1534. Au départ, les deux peuples ont de bons liens de partenariat. L'Amérindien devient rapidement encombrant. Les Européens n'ont plus besoin de la personne, mais seulement des biens, dont le bois. Cette marginalisation croissante et une sédentarité forcée bouleversent leur mode de vie, leurs coutumes, mettant ainsi en péril leur existence. Écoutez les témoignages que ces deux femmes livrent à propos de la vie quotidienne de leur peuple. À la fin, vous entendrez deux questions du public: Doit-on garder ou abolir les réserves? La culture est-elle toujours présente chez les autochtones? Ceux qui ont raté ce rendez-vous ou qui souhaitent revoir Le peuple invisible, pourront le faire puisque Radio-Canada présentera le documentaire le 17 avril à 20h L'ONF et Le peuple invisible. www.onf.ca/webextension/peuple-invisible Reportage de Francis Labbé à Radio-Canada sur le documentaire Le peuple invisible www.radio-canada.ca/arts-spectacles/cinema/2006/09/05/002-desjardins-algonquins.asp et www.radio-canada.ca/arts-spectacles/cinema/2007/10/28/001-abitibi-desjardins.asp aussi www.radio-canada.ca/arts-spectacles/cinema/2007/11/23/002-peuple-invisible-critique.asp

L'avis psychologique Émerger de la crise suicidaire, guérir du mal-être qui l'a engendrée!
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=7324

De la gestion des ressources humaines à la gestion humaine des ressources Selon Jean-Pierre Brun, titulaire de la chaire en gestion de la santé et de la sécurité du travail dans les organisations (CGSST) de l'Université Laval, le travail ne doit pas détruire la vie. C'est la conviction qui est au centre de ses recherches et de ses interventions. «C'est en échangeant avec Michel Chartrand, un homme d'une grande humanité et d'une grande culture, que j'ai compris le rôle crucial de la gestion et de l'organisation du travail pour prévenir les maux du travail», dit-il. «La santé et la sécurité sont un enjeu majeur du management. Chaque année, au Québec, entre 100 000 et 125 000 travailleurs sont victimes de lésions et les maladies professionnelles et une centaine en meurent. La CSST verse plus d'un de 1,5 milliard en prestations. Cet argent pourrait mieux profiter aux entreprises et aux travailleurs», note Jean-Pierre Brun.«Les organisations ont de moins en moins de marge de manoeuvre pour améliorer leur rentabilité. Une meilleure gestion de la santé et de la sécurité est l'un des moyens pour y parvenir», poursuit-il. Convaincu que bien-être et qualité de vie au travail sont des sources de richesse pour les entreprises, Jean-Pierre Brun martèle souvent ce message: il faut passer de la gestion des ressources humaines à la gestion humaine des ressources. http://www.lapresseaffaires.com/

Deux congélateurs, une fourgonnette, quatre enfants
Si les grosses familles ne sont plus légion au Québec, quelques couples trentenaires choisissent de mettre quatre enfants au monde. Une décision réfléchie, et ce, même si on ne leur facilite pas toujours la vie. Leur secret? Organisation, débrouillardise et amour. Des familles tissées serré. Deux congélateurs. Le lave-vaisselle et le lave-linge fonctionnent quotidiennement. Un avant-midi pour plier le linge propre. Une épicerie d'environ 200 $ par semaine (sic). Pas de vacances dans le Sud ou à l'étranger. C'est le quotidien des familles de quatre enfants. Si les parents avouent faire certains sacrifices, ils décrivent avec enthousiasme la richesse d'une telle famille. «Les gens nous trouvent courageux, mais c'est notre routine, une organisation, la vie», témoigne Marie-Josée Gagné, mère de quatre enfants âgés de 3 mois à 9 ans. Leurs enfants s'entraident, développent leur débrouillardise, l'esprit de partage. Entendre leurs rires complices comble les parents de bonheur. Car avoir quatre enfants ou plus n'arrive pas par accident. Les familles «nombreuses» ne passent pas inaperçues. Les commentaires des gens fusent. «Souvent, on nous demande si nous formons une famille recomposée», mentionne Nadine Privé. «Ils sont tous à vous? Vous êtes courageux», dit-on souvent à Geneviève Comeau. Les chiffres montrent une très légère augmentation du nombre de familles de quatre enfants et plus. Mais aucune tendance à l'horizon. «La cloche commence à sonner, mais ce n'est pas un phénomène marquant. Trop de données sont encore provisoires», souligne Chantal Girard, de l'Institut de la statistique du Québec. www.cyberpresse.ca/article/20080407/CPACTUEL/804070674/6685


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Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Documents réalisés par Raymond Jean, c.o.

Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Pour le moment, 36 membres des 21 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (9) : les cégeps St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Trois-Rivières, Lanaudière, Outaouais, Vieux-Montréal et l’université de Sherbrooke. À l’est (12) : Alma, Jonquière, Limoilou, Gaspésie, St. Lawrence, Ste-Foy, F.-X. Garneau, Lévis-Lauzon, Rivière-du-Loup, Chicoutimi, Psycho-Carrière et l'Université Laval. Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca
Sur le site du bulletin, nous pouvons maintenant afficher des mini-diaporamas www.quelquechosedelacoc.blogspot.com Celui des partenaires du 7e Congrès; celui du congrès de l’année dernière vous dirigera vers le site de toutes les photos, si vous cliquez sur l’une ou l’autre. Éventuellement, nous pourrons identifier nos partenaires. De plus, nous vous mentionnons que tous les bulletins sont archivés sur ce site. Le site du bulletin est plus que la somme de ses courriels…
À noter à votre agenda
Carrefour de l’orientation
(thème à préciser) le mercredi 26 novembre 2008 à l’UQAR-Lévis jumelé avec une rencontre avec les représentants des deux campus et la journée des partenaires de l’université Laval, le lendemain : jeudi le 27 novembre 2008

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