03 avril 2008

V 6 No 24: Le Conseil supérieur favorable: admission conditionnelle et modifications relatives à la sanction du DEC

Vous trouverez en image (jpg) un affichage pour
le cégep Montmorency.
Il s'agit du remplacement de Chantal Demers
(A.P.I. qui est également C.O.) (congé de maternité)
Date d’entrée en fonction : Le 21 avril 2008
Dates du concours : Du 1er avril au 8 avril 2008
Du 5 mai au 27 septembre 2008 avec possibilité de prolongation

Courriel : DRH@cmontmorency.qc.ca

Sur le site du bulletin, nous avons affiché un mini-diaporama http://www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/ des Partenaires du 7e Congrès 2008 de l'ACOC.

Le Conseil supérieur de l'éducation a rendu public son avis sur le projet de règlement modifiant le Règlement sur le régime des études collégiales. Avril 2008 L’admission sur une base conditionnelle permettrait à un étudiant d’être admis au collégial même s’il lui manque, au maximum, six unités pour obtenir son diplôme d’études secondaires (DES). Le projet prévoit que ces étudiants devront obligatoirement obtenir leur DES à la fin de leur première session au collégial s’ils veulent y poursuivre leur deuxième session. Au delà de ce délai, ils ne seront plus admissibles au collégial s’ils n’ont pas obtenu leur DES. L’admission sur la base d’une formation jugée suffisante : Cette modification permettrait à des adultes qui ont interrompu leurs études à temps plein pendant une période cumulative d’au moins 24 mois et qui présentent une scolarité et une expérience jugées suffisantes de s’inscrire dans un programme menant au diplôme d’études collégiales (DEC). Les modifications relatives à la sanction d’études collégiales : Le Conseil souscrit aux deux modifications proposées, à savoir le diplôme sans mention de programme d’études et le diplôme de spécialisation d’études techniques. Le diplôme sans mention de programme d’études permet de reconnaître à un certain nombre d’étudiants le cheminement accompli au collège même s’ils n’ont pas obtenu l’ensemble des unités requises pour terminer un programme donné. Ces étudiants, principalement ceux qui ont changé de programme, auront cependant l’obligation de réussir tous les cours de la formation générale et l’épreuve ministérielle en langue d’enseignement tout en ayant un nombre suffisant d’unités pour obtenir l’équivalent d’un DEC préuniversitaire. Quant à l’autre modification, le diplôme de spécialisation d’études techniques, le Conseil considère pertinent de prévoir qu’en certains domaines, notamment celui de la santé et des technologies de pointe, une formation spécialisée puisse être possible et reconnue par un diplôme particulier. De cette manière, on évite de surcharger indûment certains programmes d’études techniques, qui sont, dans certains cas, déjà très lourds. www.cse.gouv.qc.ca/FR/Publications

Inscription au 7e Congrès de l’ACOC
Présentement, nous sommes 35 membres inscrits. Sur cette page du site de l’ACOC, vous retrouvez le programme et les modalités d’inscription: le formulaire de réservation dans l’autobus et celui pour le logement au campus de Moncton
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950

Inscription au colloque de l’ACC à Moncton
À partir du 1er avril: 490$ pour les membres réciproques ou 300$ par jour
www.ccacc2008.ca/fr/download_forms.cfm?lang=fr Pour consulter le programme provisoire: www.ccacc2008.ca/fr/presentations.cfm?lang=fr

Info collégiale
Offre d’emploi Conseiller (ère) d’orientation et à la réussite Campus Notre-Dame-de-Foy Fin du concours: Le vendredi 11 avril 2008 Type de poste: Remplacement d’un congé de maternité - temps complet DATE D’ENTRÉE EN FONCTION - Le 4 août 2008 - Quelques jours de formation sont à prévoir dans la semaine du 28 avril 2008. DATE LIMITE POUR POSER SA CANDIDATURE Les personnes intéressées doivent faire parvenir leur curriculum vitae avant 16 h le 11 avril 2008, au Service des ressources humaines, par courriel à rh@cndf.qc.ca Voir la section Nouvelles http://www.acoc.info/

Placement étudiant dévoile sa campagne
La division régionale de Placement étudiant du Québec a lancé aujourd’hui une campagne intensive de promotion, d’information et de sensibilisation. Le printemps est une période particulièrement chargée en matière d’offres et de demandes d’emploi. Cette année, Placement étudiant enregistre un nombre record d'offres d'emplois destinées aux jeunes de la région. «Nous notons déjà une augmentation de 189% du nombre de postes disponibles pour les étudiants par rapport à l’année dernière», souligne Yvon Fleury, directeur général d’Emploi-Québec. Plus de 400 emplois sont déjà disponibles sur le site http://www.emploietudiant.qc.ca/ L’objectif visé pour 2008 s'élève à 1200 offres. Placement étudiant fournit un travail à plus de 35 000 étudiants chaque année, en plus d’être la seule porte d’entrée pour un emploi dans la Fonction publique québécoise. www.cyberpresse.ca/article/20080401/CPQUOTIDIEN/80401161/5297

Le Collège de Rosemont organise la seconde édition de son Salon de l’emploi des technologies de l’information le 22 avril 2008, de 16 h à 20 h . Des représentants d’entreprises et de firmes de recrutement seront présents pour rencontrer les candidats intéressés aux technologies de l’information et recevoir les curriculum vitae. Nous vous invitons à diffuser l’information dans votre réseau, et même à faire imprimer la pièce jointe pour l’afficher et faire connaître l’événement. Le site Internet du Collège sera continuellement mis à jour. Il sera possible de consulter le nom des exposants présents : http://www.crosemont.qc.ca/ .

28e colloque de l'AQPC, 4 au 6 juin à Victoriaville
Le 28e colloque de l'AQPC se tiendra du 4 au 6 juin 2008 sous le thème Former des étudiants différents : un engagement collectif. www.aqpc.qc.ca/index.php?q=fr/colloque

CÉGEP Des profs épuisés
Les professeurs des cégeps sont à bout de souffle. Écrasés par des responsabilités croissantes, les enseignants sont nombreux à lancer serviette. C'est du moins la lecture que font les trois syndicats de profs d'un rapport présenté ce matin à Montréal. Le document, réalisé conjointement par le comité patronal de négociation des collèges et les enseignants, dresse le portrait des conditions de travail actuelles des professeurs au collégial. Épidémie de réunions pour l'élaboration de prog rammes, ajustement des cours aux nouvelles technologies, augmentation du nombre d'élèves par classe: la tâche des profs s'est alourdie, clament-ils. Le hic, c'est que malgré une multiplication des tâches, les enseignants affirment ne pas avoir plus de temps à investir. Le rapport conjoint met aussi en lumière le fait que les professeurs doivent participer à plusieurs activités en dehors de leurs salles de cours. Ils doivent notamment participer à la promotion de programmes lors de «journées carrières» ou des salons de l'emploi. Ils doivent aussi participer à l'organisation de différents concours, galas, colloques, et encadrer les étudiantes et les étudiants qui y participent. Avec ce rapport en main, les syndicats de professeurs de différents cégeps lanceront aujourd'hui les grandes lignes d'une campagne de sensibilisation. Leur convention collective vient à échéance dans deux ans. www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/04/20080401-100303.html

La FAC, la FEC-CSQ et la FNEEQ-CSN rendent public un document réalisé conjointement avec le MELS et la Fédération des cégeps - "Enseigner au collégial, portrait de la profession" Les trois fédérations enseignantes dans les cégeps, la FAC, la FEC-CSQ et la FNEEQ-CSN, rendent public le résultat d'un travail important entrepris, à la suite des dernières négociations, avec les représentants patronaux du ministère de l'Education et de la Fédération des cégeps, concernant la profession enseignante au collégial. Malgré la conclusion abrupte de la dernière négociation et malgré l'immense différend qu'elle laissait entier quant à l'évolution de la tâche enseignante, les représentants syndicaux et patronaux ont poursuivi un travail en comité paritaire depuis plus d'un an, tentant de décrire de manière exhaustive ce qu'est devenu l'enseignement collégial. Les travaux, menés conjointement par les trois fédérations syndicales et le Comité patronal de négociation des collèges (CPNC), incluaient une phase de validation importante menée à la fin de l'automne dernier auprès des collèges, des enseignantes et des enseignants. La première mouture du rapport a soulevé un vif intérêt dans les cégeps. Les travaux ont été conclus à la satisfaction des parties par la production d'un texte dépeignant la profession enseignante actuelle, texte qui est maintenant disponible dans tous les collèges et dans tous les syndicats. www.lafac.qc.ca/fr/comm.asp?id=77 et pour le rapport www.cpn.gouv.qc.ca/cpnc/index.php?sectionId=307

Le FCA-CAF et l'ACCC dévoilent les résultats d'études conjointes sur les cheminements de carrière des apprentis Le Forum canadien sur l'apprentissage - Canadian Apprenticeship Forum (FCA-CAF) a rendu publics des rapports sur deux importantes études examinant le rendement des investissements en apprentissage pour les apprentis. Réalisées en collaboration avec l'Association des collèges communautaires du Canada (ACCC), les deux études complètent l'enquête de pointe menée en 2006 par le FCA-CAF et portant sur le rendement des investissements en apprentissage pour les employeurs. Les apprentis inscrits dans les collèges et instituts subventionnés par l'Etat se penche sur le profil des apprentis suivant une formation en classe dans les collèges et instituts canadiens subventionnés par l'Etat. Les apprentis suivant une formation en classe offerte par les fournisseurs de formation privés présente les résultats comparatifs d'une étude parallèle entreprise par le FCA-CAF et portant sur les apprentis suivant une formation offerte par les fournisseurs de formation privés. www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=86550&B=1

Le devoir de maîtrise
Une gestion de classe efficace passe par l’établissement de règles claires entre le professeur et ses étudiants. Un professeur qui tente de donner son cours, mais qui est constamment dérangé par le bavardage incessant d’un groupe d’étudiants au fond de la classe; un étudiant qui n’assiste presque jamais au cours, mais qui ne se gêne pas pour aller voir le professeur à son bureau pour lui demander de l’information sur la matière déjà présentée en classe: voilà des exemples tirés de la vie quotidienne à l’université qui illustrent bien les difficultés auxquelles se heurtent certains professeurs. Pour éviter ce genre de situation déplaisante, la solution consiste à établir clairement les règles du jeu dès le début de la session avec ses étudiants, estime Hélène Servais, conseillère en pédagogie universitaire au Réseau de valorisation de l’enseignement et conférencière à l’occasion de L’Heure pédagogique, une activité organisée par le Réseau de valorisation de l’enseignement, le 14 mars. Thème de l’exposé: «Des conditions préalables à une gestion de classe efficace». Prenons le cas des étudiants qui parlent pendant que le professeur enseigne. Au lieu de s’adresser directement aux étudiants et risquer ainsi d’envenimer les choses, le professeur choisira plutôt de s’approcher lentement des jaseurs, montrant par son attitude qu’il réprouve leur comportement. Si les étudiants s’obstinent à ne pas écouter, au propre comme au figuré, l’enseignant s’entretiendra avec les étudiants concernés au moment de la pause à l’extérieur de la classe, et pourra leur faire part de son mécontentement. «On attend de celui qui se trouve en situation d’autorité qu’il fasse preuve d’une grande maîtrise de soi, a souligné Hélène Servais. Évidemment, le niveau de tolérance varie d’un professeur à l’autre. Par exemple, certains professeurs tolèrent plus ou moins les retards alors que d’autres se montrent plus pointilleux sur cet aspect. Dans tous les cas, il ne faut jamais agresser verbalement un étudiant, parler plus fort que lui ou encore l’humilier devant la classe.» Selon Hélène Servais, certains professeurs se montrent réticents à parler des problèmes d’indiscipline dans leur classe, ayant pour leur dire que les étudiants sont des adultes qui ont librement consenti à s’inscrire et à assister au cours. «À partir du moment où quelqu’un a la tâche d’enseigner, il est pourtant responsable du climat qui règne dans sa classe, insiste-t-elle. Si le professeur estime que le comportement de certains est dérangeant pour les autres, il a le devoir d’agir.» La question de la modalité des remises de travaux engendre également certaines frictions entre professeurs et étudiants, d’où la nécessité de clarifier les zones d’ombre. Par exemple, doit-on pénaliser un étudiant qui remet son travail par courriel à 23 h 59 la veille du jour J? Un étudiant ayant dû s’absenter lors d’un examen pour une raison très sérieuse peut-il manquer un examen sans avoir la note zéro? Pour s’informer sur les conditions préalables à une gestion de classe efficace, l’enseignant peut consulter de nombreux documents officiels, dont le Règlement des études, la Déclaration des droits des étudiants et des étudiantes, et le Règlement disciplinaire à l’intention des étudiantes de l’Université Laval. www.aufil.ulaval.ca/articles/devoir-maitrise-6792.html

Info universitaire
RENCONTRE D’INFORMATION à l’UQAC 22 et 23 MAI 2008 (voir le programme ci-dessous)

Le programme de médecine toujours couru
Les femmes représentent 72 % des étudiants inscrits en première année. Malgré tout ce que l’on entend sur les conditions de travail dans le système de santé, l’attrait pour la profession médicale ne se dément pas. À preuve le nombre de demandes d’admission envoyées à la Faculté de médecine a atteint 1 713 en 2007, en hausse de 2 % par rapport à 2006, et de 14 % par rapport à 2005, apprend-on dans un rapport déposé récemment par le président du comité d’admission, Evens Villeneuve. Rappelons que le gouvernement du Québec autorise la Faculté de médecine à accueillir 208 nouveaux étudiants chaque année dans son programme de doctorat en médecine. La hausse du nombre de demandes d’admission est principalement attribuable aux candidats universitaires; ils étaient 846 à acheminer une demande en 2007, soit 200 de plus qu’en 2005. Au bout du compte, 91 de ces candidats ont vu leur souhait exaucé, soit 19 de plus qu’il y a deux ans. De leur côté, les candidats provenant directement des cégeps ont perdu du terrain, leur nombre passant de 129 à 111. Les candidats universitaires représentent maintenant 44 % des nouveaux admis alors qu’ils étaient 35 % en 2005. «L’âge moyen de nos étudiants inscrits en première année est de 22,6 ans. Il est moins élevé que dans l’ensemble du Canada, où il se situe à 24 ans», apprend-on dans le rapport. Cette différence s’explique par le fait que, dans les autres provinces canadiennes, les candidats doivent détenir un baccalauréat avant d’être admis en médecine. En 2007, près de 63 % des demandes d’admission ont été faites par des femmes. Dans l’ensemble, elles présentent un dossier de candidature supérieur à celui des candidats masculins, puisque leur proportion parmi les nouveaux inscrits s’établit à 72 %. «Cette proportion est la plus élevée au Québec ainsi que dans l’ensemble du Canada, où elle se situe davantage autour de 55 % de femmes», précise le professeur Villeneuve. En 2006, ce pourcentage avait atteint un sommet historique avec 74 %. À l’Université, la sélection des étudiants en médecine repose sur la performance scolaire aux études antérieures (50 %), mais aussi sur des mises en situation en petits groupes (30 %) ainsi que sur un questionnaire autobiographique standardisé (20 %). www.aufil.ulaval.ca/articles/programme-medecine-toujours-couru-6782.html

Entrez voir la VIDÉO Donner son corps à la science
Donner son corps au Laboratoire d'anatomie de l'Université du Québec à Trois-Rivières, c'est contribuer à l'enseignement universitaire dans de multiples programmes académiques liés à la santé. Dans ce neuvième reportage, l'équipe formée de Kristina B. Noury, Anne-Laurence Jacob et François Genest vous propose de démystifier cette contribution à l'avancement des connaissances scientifiques. http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=7309

Les activités de plein air: de plus en plus populaires
Depuis quelques années, force est de constater que les activités de plein air semblent de plus en plus à la mode: abondance de magazines spécialisés, nombreuses boutiques de vêtements techniques et d'accessoires performants, variété de sites touristiques en nature et offre diversifiée de voyages d'aventure. Mais cet engouement n'est-il qu'une apparence ou traduit-il une croissance statistique réelle? Selon Environnement Canada (1997) et le ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec (2003), plusieurs millions de Québécois seraient des adeptes de plein air. Des milliers de touristes prendraient aussi avantage des ressources naturelles québécoises, pour la pratique des activités de contact avec la faune et la nature. «Le Québec possède de formidables ressources pour la pratique du plein air, rappelle M. Auger. Pour bien exploiter ce potentiel, prendre les bonnes décisions et bien gérer ces ressources, il nous faut des données recueillies sur une base régulière, sur la totalité des activités plein air. Ce faisant, nous pourrions améliorer nos façons de procéder et connaître, par le fait même, les impacts réels de la pratique du plein air sur notre environnement.» http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=7301

L'université fait ses classes en cyberpsychologie!
Comment traiter la peur des araignées, sinon en s'entourant de ces petites bêtes qui semblent si redoutables? Et encore, comment surpasser sa peur des avions si on refuse obstinément de faire le grand saut? C'est alors qu'entre en jeu la réalité virtuelle, utilisée à bon escient pour aider ceux et celles qui souffrent de telles phobies de surmonter leurs peurs. Bientôt, les troubles plus complexes pourront aussi être traités de cette façon. Pour en arriver là, il aura fallu faire beaucoup de recherches, et ces dernières se font ici même, à Gatineau, à l'Université du Québec en Outaouais (UQO). C'est le Dr Stéphane Bouchard qui est à la tête de cette Chaire de recherche du Canada en cyberpsychologie clinique. «La peur de l'avion, des araignées, des hauteurs et celle de parler en public sont les phobies les plus fréquentes, énumère le Dr. Bouchard, et ce sont aussi les plus faciles à traiter. Les troubles d'anxiété, ou post-traumatiques par exemple, sont plus difficiles à traiter parce que ça prend des traitements plus nuancés, moins purs.» Certaines phobies ont donc été ciblées dès les premiers balbutiements de cette chaire de recherche, il y a de cela cinq ans. Une nouvelle subvention vient tout juste d'être approuvée, ce qui permettra au Dr Bouchard, à sa quinzaine d'étudiants et les quelques professeurs associés de se pencher vers des troubles plus complexes. L'Afghanistan et d'autres pays en guerre pourront, par exemple, être recréés par réalité virtuelle pour traiter des symptômes post-traumatiques. «Il ne faut pas voir ça comme un nouveau service de traitements de santé mentale», nuance toutefois Dr Bouchard. www.info07.com/article-196434-Luniversite-fait-ses-classes-en-cyberpsychologie.html

Pénurie de professeurs d'anglais en Abitibi
La demande pour des professeurs d'anglais demeure criante en Abitibi-Témiscamingue. Il manque présentement une trentaine de professeurs d'anglais dans la région. À l'UQAT, par exemple, certains enseignants donnent des cours d'anglais sans avoir toutes les qualifications requises. « On a des chiffres à l'appui, entre autres du ministère de l'Éducation, qui nous informent qu'on a permis à 24 personnes d'enseigner l'anglais langue seconde sans aucune qualification et pas nécessairement dans le champ anglais langue seconde, mais également en pédagogie », indique le responsable du programme d'enseignement de l'anglais langue seconde à l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, Stéphane Lacroix. M. Lacroix ajoute toutefois que la pénurie pourrait se résorber prochainement, avec la graduation au cours des prochaines années de plusieurs étudiants au baccalauréat en enseignement de l'anglais. La pénurie de professeurs d'anglais ne s'observe cependant pas dans les écoles anglophones de la région. La directrice de l'école Golden Valley High School de Val-d'Or, Jane Lavery, laisse néanmoins entendre que l'école doit entreprendre des campagnes de recrutement agressives afin de s'assurer d'avoir un nombre suffisant de professeurs anglophones qualifiés. « C'est un défi, mais toujours on trouve les enseignants qualifiés. Mon problème c'est qu'ils restent ici pour deux, trois années, et après ils descendent au sud », dit-elle. http://www.radio-canada.ca/ , 27/03/2008

Une carrière pour les visionnaires dans le monde des affaires
Quand elles pensent à la carrière de comptable, certaines personnes se heurtent encore à de fausses perceptions : un personnage sérieux, monotone et sans artifice, occupé à aligner des chiffres! M. François Renauld, FCMA, président-directeur général de l'Ordre des comptables en management accrédité (CMA), confirme que la réalité est tout autre et que la profession est destinée à une relève visionnaire, audacieuse, passionnée et créative. www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/une-carriere-pour-les-visionnaires-dans-7767.html

Formation, documentation
Au nom de Science pour tous et à titre de porte-parole du 24 heures de science 2008, je vous invite à faire circuler l'information sur cet important événement national de culture scientifique qui aura lieu les 9 et 10 mai prochain. Vous contribuerez ainsi à faire découvrir toute la richesse scientifique du Québec, et favoriserez l'évolution de la science comme vecteur de développement des collectivités, des régions et surtout, des personnes. Au cours des prochaines semaines, ce bulletin permettra aux membres de votre réseau et à leur famille de réserver quelques heures de leur temps pour participer à l'une ou l'autre des 125 activités offertes dans toutes les régions du Québec. À bientôt, Boucar Diouf, porte-parole de l'événement 24 heures, océanographe, humoriste et animateur de l'émission Des kiwis et des hommes www.sciencepourtous.qc.ca/24heures et programme en format pdf www.sciencepourtous.qc.ca/doc/docu_information_24h_2008.pdf à jour à partir du 11 avril sur le site suivant http://www.science24heures.com/

Le Pacte pour l'emploi ne fait pas l'unanimité
Avec son Pacte pour l'emploi, le gouvernement du Québec veut aider les assistés sociaux à trouver du travail. Cette mesure sera insuffisante pour y arriver, affirment plusieurs organismes d'aide aux démunis. Ces experts soulignent, par ailleurs, que relativement peu de prestataires de l'aide sociale sont aptes au travail. Il n'y en aurait que 12 500 au Québec, alors que le gouvernement veut réintégrer 50 000 personnes au marché du travail. www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/03/20080323-113300.html

Les employeurs de Québec recrutent en France
Bien des employeurs de la région de Québec manquent de main-d'œuvre. À l'initiative de l'organisme de développement économique Pôle Québec Chaudière-Appalaches, 14 entreprises ont envoyé des gestionnaires en France pour procéder à des entrevues d'embauche. Au total, 600 entrevues ont eu lieu à Paris, Lyon et Toulouse. Environ 200 Français pourraient ainsi obtenir un poste dans la région de Québec, notamment dans le secteur des technologies de l'information. www.cyberpresse.ca/article/20080320/CPSOLEIL/80319205/5019/CPSOLEIL

Le compte rendu de l’atelier : « L’insertion professionnelle des diplômés et le développement régional » organisé par le CAPRES le 13 mars 2008 à l’Université du Québec à Rimouski est maintenant disponible sur le magazine électronique du CAPRES à l’adresse suivante : www.uquebec.ca/capres/fichiers/Atelier-13-mars-2008.shtml Par ailleurs, le CAPRES tiendra deux activités dans le cadre du colloque sur la réussite éducative - Ensemble, nous innovons! http://www.innovons.qc.ca/ organisé par le CTREQ les 16, 17 et 18 avril prochain au Centre des congrès de Québec :Un panel : « Les passages et les rythmes de passage secondaire-collégial-universitaire » Jeudi 17 avril de 10h30 à 12h00 Un atelier : « Les transfert de connaissances en éducation postsecondaire : écueils et opportunités » Jeudi 17 avril de 15h30 à 17h00 Maryse Côté Coordonnatrice CAPRES maryse.cote@uquebec.ca

Dernières formations de perfectionnement sur le test GROP 2e version Drummondville Vendredi 9 mai, 9h00 à 16h 95$ + tx; Québec, Vendredi 16 mai, 900 à 16h30 80$ + tx Personne responsable: Caroline Roy, psychologue, Psymétrik Informations et inscriptions : (418) 832-0417

Devoirs inc.
Lynda Howson a décidé de recourir aux services de la société Kumon pour aider sa fille Sandrine à améliorer ses résultats en mathématiques. Sandrine rencontre chaque semaine un tuteur dans les bureaux de l'entreprise et complète ses apprentissages en faisant chaque jour, me^me les samedis et les dimanches, des exercices à la maison. Mère et fille sont emballées des résultats. Un Canadien sur trois a eu recours l'an dernier aux services d'un tuteur privé pour aider son enfant au moment des leçons et des devoirs. C'est deux fois plus qu'il y a 10 ans. Certains sont prêts à payer jusqu'à 70$ l'heure. D'autres y ont recours à longueur d'année. Les entreprises se multiplient et les tuteurs manquent. Vieux comme l'école, les devoirs sont aujourd'hui derrière une industrie en pleine mutation. www.cyberpresse.ca/article/20080402/CPACTUALITES/804020827/6737

Hyperactivité à la maternelle, risque de problèmes à l’âge adulte Une étude auprès de 881 jeunes filles le confirme: l’hyperactivité et l’agressivité mènent à des problèmes d’adaptation. Les fillettes agressives et hyperactives à la maternelle courent deux fois plus de risques que les autres enfants de devenir dépendantes de la nicotine et de l’aide sociale et d’être dans une relation de couple abusive une fois qu’elles ont atteint la majorité. La bonne nouvelle, c’est que toutes les filles hyperactives et physiquement agressives ne souffrent pas de problèmes d’adaptation graves en vieillissant. Environ 25 % des filles dont les comportements étaient perturbateurs dans l’enfance n’ont pas eu de problèmes d’adaptation à l’âge adulte. Nathalie Fontaine émet une hypothèse: «Comme vous le savez, le contexte familial aggrave la situation chez les enfants qui ont un profil prédisposant, mais une famille “à risque”, c’est-à-dire à revenu modeste et à faible scolarité, n’est pas condamnée à voir son enfant aux prises avec des difficultés d’adaptation et quitter l’école avant l’obtention de son diplôme. Par exemple, si les parents sont présents dans la vie de leur enfant, qu’ils imposent une certaine discipline et qu’ils valorisent les études, le risque que le jeune décroche ou éprouve des problèmes d’adaptation peut considérablement être réduit», affirme-t-elle. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1222/221

Le sommeil des adolescents: pas de tout repos!
Les enfants qui dorment bien réussissent mieux en classe, selon Roger Godbout. Une enquête menée récemment auprès de jeunes et de professionnels qui travaillent dans le milieu scolaire québécois indique que les adolescents qui dorment le moins ont des notes plus basses. Cette observation est appuyée par de nombreuses recherches scientifiques qui confirment que les troubles du sommeil constituent un facteur déterminant dans la performance scolaire des enfants et des adolescents. Les gens prennent trop à la légère les bienfaits du sommeil, estime Roger Godbout. Les adolescents ont besoin en moyenne d’au moins neuf heures de sommeil, signale le psychologue, mais la plupart en dorment moins de sept à cause des horaires de classe. «Ils se couchent tard, et, dans la semaine, l’heure du lever interrompt trop tôt leur nuit puisqu’ils vont à l’école», affirme M. Godbout, qui rappelle que le temps total de sommeil diminue de 40 à 50 minutes entre 13 et 19 ans. Mais, dans l’esprit de l’adolescent, se coucher tard est synonyme de «devenir grand». Et dormir devient secondaire. «Ils ont un agenda tellement chargé, constate Roger Godbout. École, travail, devoirs, activités parascolaires, responsabilités familiales, amis et j’en passe. Pour arriver à tout faire, ils sont portés à réduire leurs heures de sommeil.» http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1237/221


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Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Documents réalisés par Raymond Jean, c.o.

Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Pour le moment, 34 membres des 20 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (9) : les cégeps St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Trois-Rivières, Lanaudière, Outaouais, Vieux-Montréal et l’université de Sherbrooke. À l’est (11) : Alma, Jonquière, Limoilou, Gaspésie, St. Lawrence, Ste-Foy, St-Félicien, Lévis-Lauzon, Chicoutimi, Psycho-Carrière et l'Université Laval. Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca
Sur le site du bulletin, nous pouvons maintenant afficher des mini-diaporamas www.quelquechosedelacoc.blogspot.com Celui des partenaires du 7e Congrès; celui du congrès de l’année dernière vous dirigera vers le site de toutes les photos, si vous cliquez sur l’une ou l’autre. Éventuellement, nous pourrons identifier nos partenaires. De plus, nous vous mentionnons que tous les bulletins sont archivés sur ce site. Le site du bulletin est plus que la somme de ses courriels…
À noter à votre agenda
Carrefour de l’orientation
(thème à préciser) le mercredi 26 novembre 2008 à l’UQAR-Lévis jumelé avec une rencontre avec les représentants des deux campus et la journée des partenaires de l’université Laval, le lendemain : jeudi le 27 novembre 2008

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Quelque Chose de l'ACOC

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