24 janvier 2018

V 16 No 3: Les inepties des modalités d'application ministérielle d'un incomplet (IN) concernant la liste établie des intervenants autorisés en 2014 par l'ARCQ et la Fédération des cégeps

Site du bulletin 16e saison
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Après l’édition par courriel, 
l'information est ajustée, s'il y a lieu,


Lever du soleil sur Québec au Mt St-Louis


Boycotter le site Avenir en santé
auprès de la clientèle
durant leur campagne de promotion
(une vidéo qui donne mal au coeur)
pour leur manque de jugement et d'éthique
C'est assez la culture du Mon oncle 
qui joue aux docteurs avec les jeunes

Aide et ressources pour les personnes victimes d'agression sexuelle 

EDUCATION Les fiches métiers « perpétuaient des clichés dégradants envers les professions », a jugé la Fage syndicat étudiant L’humour ne plaît pas à tous. 
Les fiches métiers proposées aux étudiants par l’office public dédié à l’orientation, plutôt fantaisistes, « perpétuaient des clichés dégradants envers les professions », a jugé la Fage.
Pour exemple, si l’élève se disait animé par l’envie de « réparer la machine à laver », il était renvoyé vers les fiches du juge, du pharmacien ou encore de l’orthophoniste. Passsioné de « baby-sitting » ? Il ne vous restait plus qu’à devenir sage-femme.
De l’humour « très limite »
« À l’heure où l’orientation et l’accompagnement des lycéens vers la construction d’un projet d’orientation [sont] le cœur des réponses à apporter au défi éducatif, ce n’est pas responsable de voir qu’un organisme public se paye la tête de lycéens et met en péril l’orientation de ces jeunes, a lancé Jimmy Losfeld, président de la Fage, au micro de Franceinfo. En tout cas, j’espère que c’est de l’humour, mais quand bien même, très limite, de bas niveau et qui entretient des stéréotypes inacceptables. »
Et la radio de poursuivre en soulignant que les fiches n’étaient plus en ligne mercredi. Selon Franceinfo, le ministère a lui reconnu une maladresse dans l’écriture.

Écoutez la vidéo (dommageable pour les victimes) en imaginant le scénario écrit: deux jeunes mineurs (naïfs) consultent un professionnel des sciences humaines qui proposent une intervention en leur demandant de s'installer sur son bureau pour jouer au docteur avec eux en les examinant physiquement, un membre de l'ordre serait radié pour une telle pratique. 

Vous connaissez ce guide

Les rapprochements sexuels entre un professionnel de la santé et un ou une cliente: 

VOUS CONNAISSEZ?  http://www.aqpv.ca/.../docs/guide_rapp_sexuels_fr_2018.pdf 

Savez-vous comment reconnaître une inconduite sexuelle commise par un professionnel de la santé? Page 8

> vous faire des touchers ou des examens qui n’ont pas de lien avec le motif de la consultation;

le professionnel vous présente les rapprochements sexuels comme un traitement thérapeutique;

Le professionnel agresseur présente ses gestes sexuels comme une thérapie. Il utilise le prestige accordé à ses connaissances et à son statut pour MANIPULER et CONFONDRE la cliente.

Le professionnel peut PROFITER des actes médicaux qu’il est autorisé à poser pour faire des attouchements sexuels

Page 63 Que peut faire le gouvernement ? (sûrement pas faire une publicité négligente qui banalise les procédés des agresseurs et qui sont interdits dans tous les codes de déontologie).

SENSIBILISER la population au problème Il est de la responsabilité du gouvernement de sensibiliser la population et de contrer les mythes et préjugés sexistes face aux agressions sexuelles, notamment celles commises par des professionnels de la santé ou des personnes en autorité. Plus la population sera sensibilisée, plus elle pourra contribuer à faire cesser ce type d’agression et apporter son soutien aux victimes.


Merci pour vos observations en lien avec les nouvelles publicités du MSSS.Comme vous pouvez vous en douter, nous ne sommes pas consultés pour la production des messages publicitaires du MSSS. Je veillerai à ce que vos observations soient communiquées lors de nos rencontres. Organisme d'aide aux victimes

Nous prenons note de vos commentaires et les acheminons au service concerné du Ministère. Nos salutations distinguées. 
Marie Bouliane
Direction des communications
Ministère de la Santé et des Services sociaux
                                              
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Décret concernant les Incomplets permanents (IN) (lresponsabilité de l’attribution de la mention incomplet sera transférée dans les établissements d’enseignement)
Nouveau RREC qui aurait été décrété. Il n'y a pas de spécification sur qui peut recommander l'IN. 
8. Ce règlement est modifié par l’addition, après l’article 23, du suivant :
« 23.1. Le collège peut accorder un incomplet lorsqu’un étudiant démontre qu’il est dans l’impossibilité de com­pléter un cours pour un motif grave et indépendant de sa volonté et que la date limite déterminée par le ministre en application de l’article 29 est atteinte. L’incomplet ne donne pas droit aux unités rattachées à ce cours. ».


La directive ou règlement mentionne aux collèges
En cas de motif lié à la santé mentale, ce professionnel doit être membre de l'un des ordres professionnels habilités à diagnostiquer ou à évaluer les troubles mentaux, soit • le Collège des médecins du Québec  • l'Ordre des psychologues du Québec • l'Ordre des conseillers et conseillères d'orientation du Québec; cette personne doit en outre être titulaire d'une attestation de formation. • l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec; cette personne doit de plus être habilitée en la matière.

Un esprit obtus exclut les c.o. n'ayant pas cette attestation même si le problème ne concerne pas les troubles mentaux. Ce n'est pas bien comprendre la loi 21 pourtant citée. L'ordre devrait éduquer le Ministère, l'ARCQ dont son Exécutif:
Julie Allard, présidente, Cégep de Granby, jallard@CegepGranby.qc.ca
Sylvie Rancourt, Cégep Beauce-Appalaches, srancourt@cegepba.qc.ca
Maryse Lamothe, vice-présidente, Collège Ahuntsic, maryse.lamothe@collegeahuntsic.qc.ca
Thomas Ingerman, trésorier, Vanier College, ingermat@vaniercollege.qc.ca
Mélanie Martel, secrétaire, Collège Mérici, mmartel@merici.ca

et la Fédération des cégeps
DIRECTION DES AFFAIRES ÉDUCATIVES ET DE LA RECHERCHE
educ@fedecegeps.qc.ca
514 381-8631
Isabelle Laurent (2346)
isabelle.laurent@fedecegeps.qc.ca
Directrice
Hélène Jean-Venturoli (2369)
helene.jean-venturoli@fedecegeps.qc.ca
Responsable des affaires pédagogiques
Valérie Lavoie (2342)
valerie.lavoie@fedecegeps.qc.ca
Coordonnatrice de la Commission des affaires de la formation continue
Geneviève Rey-Lescure (2386)
genevieve.rey-lescure@fedecegeps.qc.ca
Conseillère en recherche et développement
Martin Strauss (2341)
martin.strauss@fedecegeps.qc.ca
Coordonnateur de la Commission des affaires étudiantes
Malgré cet article
Si un membre du personnel du collège est intervenu dans le passé auprès de l'étudiante ou de l'étudiant concernant de problème de santé mentale invoqué (ex.: plan d'intervention, invitation écrite à consulter un professionnel de la santé), cette intervention peut ëtre prise en considération pour déterminer la recevabilité de la demande. 

Un esprit obtus exclut les c.o. n'ayant pas cette attestation.

Pourtant le projet de loi 21 mentionne
Le champ d’exercice actualisé de la profession de conseiller d’orientation
« Évaluer le fonctionnement psychologique, les ressources personnelles et les conditions du milieu, intervenir sur l’identité ainsi que développer et maintenir des stratégies actives d’adaptation dans le but de permettre des choix personnels et professionnels tout au long de sa vie, de rétablir l’autonomie socioprofessionnelle et de réaliser des projets de carrière chez l’être humain en interaction avec son environnement ».
L’information, la promotion de la santé, la prévention du suicide, de la maladie, des accidents et des problèmes sociaux font aussi partie de l’exercice de la profession.
Trois activités professionnelles sont réservées à tous les conseillers d’orientation pourvu que leurs compétences soient à jour. Il s’agit des activités suivantes qui doivent nécessairement être liées au champ d’exercice.
·         Évaluer (en orientation) une personne atteinte d’un trouble mental 
ou neuropsychologique attesté par un diagnostic ou par une évaluation 
effectuée par un professionnel habilité.
·         Évaluer le retard mental.
·   Évaluer (en orientation) un élève handicapé ou en difficulté 
d’adaptation dans le cadre de la détermination d’un 
plan d’intervention en application de la Loi sur l’instruction publique (LIP)

Un esprit obtus exclut les c.o. s'il n'a pas lu la loi 21, ni consulté l'ordre

Pour tout motif grave et indépendant de la volonté de l'étudiante ou de l'étudiant n'étant pas lié à sa santé (ex.: violence conjugale, assistance à un proche malade), un intervenant psychosocial du collège ou une personne en situation d'autorité externe au collège (ex.: un inspecteur de police, un juge ou un intervenant psychosocial d'un organisme d'aide) doit appuyer la demande et démontrer qu'il est directement intervenu pour effectuer un suivi de l'étudiante ou de l'étudiant relativement au motif invoqué. S'il s'agit d'un intervenant psychosocial du collège, il doit appartenir à l'un des corps d'emploi suivants 
• travailleur social; 
• psychologue;
 • psychoéducateur; 
• technicien en éducation spécialisée; 
• technicien en travail social. 

Pourtant d'autres intervenants sont mentionnés sur le site du RIIPSO (parrainé par la Fédération des cégeps)
Le Réseau intercollégial des intervenants psychosociaux (RIIPSO) regroupe plus de 250 intervenants psychosociaux issus des 48 collèges publics du Québec. Le RIIPSO rassemble des psychologues, des travailleurs sociaux, des psychoéducateurs, des sexologues, des éducateurs spécialisés, des techniciens en travail social et des intervenants de milieu. Il peut également inclure des orthopédagogues, des infirmières, des conseillers d’orientation et d’autres intervenants dont le mandat principal est l’aide psychosociale. Ceux-ci interviennent directement auprès des étudiants aux prises avec une problématique de santé mentale ou d’ordre psychosociale ou encore, vivant une détresse psychologique.
À travers la création du RIIPSO, la Commission des affaires étudiantes de la Fédération des cégeps souhaitait maximiser l’effet des actions des intervenants psychosociaux dans leur milieu auprès des jeunes par un réseautage à l’échelle du Québec, par le partage des expertises riches et diversifiées, par la création d’une véritable communauté de pratique.

Le RIIPSO s’intéresse aux différents thèmes liés au bien-être des étudiants ainsi qu’aux problématiques liées à leur santé mentale et psychosociale. Parmi ces thèmes, on retrouve, entre autres, l’adoption de saines attitudes et habitudes de vie, l’adaptation à diverses contextes de vie (par exemple, la conciliation études-travail-famille), la gestion du stress, de l’anxiété et de la dépression ainsi que la prévention du suicide.

À la suite de l’approbation éventuelle du RREC, la Direction des affaires étudiantes et institutionnelles du Ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur nous invite à formuler toute demande d’ajout du nouveau type d’intervenant au registraire de chaque cégep (sic) afin que ce soit par la suite soumise à l’attention de l’ARCQ.

Un esprit obtus qui suit la directive ministérielle qui accompagne le nouveau RREC n'acheminera pas la demande d'ajout d'intervenant à l'ARCQ. 

La nouvelle section sur les motifs graves n’étant pas liés à la santé a été ajoutée dans la nouvelle version du Guide administratif du bulletin d’études collégiales qui n’a pas été publié pour des raisons inconnues. Cette nouvelle section inclut les types d’intervenants psychosociaux qui, dans les collèges, sont en mesure d’appuyer la demande de l’étudiant. Ces modalités ont été annoncées dans un communiqué adressé au réseau le 26 juin 2017 (sic).

**Pour votre information, présentement le c.e. de l’ACOC en collaboration étroite avec l’Ordre a fait des démarches auprès du ministère et nous poursuivons les démarches auprès des instances, dont l’ARCQ. Cela demande du temps. Nous vous tiendrons au courant dès que nous avons des développements.


Équité salariale, démarche de la FPPC-CSQ
Plaintes en lien avec l’exercice 2010 du maintien de l’équité salariale
En 2001 la Loi sur l’équité salariale est mise en application (l’objectif est de corriger les écarts salariaux dus à la discrimination systémique fondée sur le sexe à l'égard des personnes qui occupent des emplois dans des catégories d'emplois à prédominance féminine).
De 2001 à 2005, les quelques centaines de catégories d’emplois à prédominance féminine et masculine des secteurs publics (éducation, santé) sont toutes évaluées en fonction des mêmes dix-sept sous-facteurs.
En 2005-2006, le rangement attribué à chacun des corps d’emploi du secteur public est affiché.
La Loi sur l’équité salariale oblige aussi le gouvernement à assurer périodiquement, tous les cinq ans, le maintien de l'équité salariale dans le secteur public. C’est-à-dire qu’il doit s'assurer qu'il ne se recrée pas d'écarts salariaux discriminatoires envers les catégories d'emplois à prédominance féminine comparativement aux catégories d'emplois à prédominance masculine du secteur public.
Comme l’exercice initial s’est conclu en 2005, le premier exercice de maintien a eu lieu en 2010. Pour revendiquer une correction, il faut déposer une plainte qui sera traitée par la Commission de l’équité salariale, maintenant appelée Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST).
Pour les plaintes de 2010, la Commission offre de fonctionner par une procédure de conciliation. L’autre façon de procéder c’est par enquêtes, c’est ce qu’elle a choisi de faire pour les plaintes déposées dans le cadre du processus de maintien 2015.
La base d’une conciliation est que les parties acceptent d’y participer. Dans le présent contexte, les parties sont le Conseil du trésor (CT), qui agit à titre d’employeur, et les organisations syndicales qui représentent les employées et employés. Les deux parties acceptent, mais le CT met une condition : celle de conclure avec toutes les organisations en même temps et pour tous les corps d’emploi pour lesquels une plainte avait été déposée. Cela oblige donc les organisations à fonctionner en intersyndicale avant chaque rencontre avec le CT.
De 2013 à 2017, les travaux avancent. Les parties en viennent même à des ententes verbales pour certains corps d’emploi.
Lors de la réunion du 19 mai dernier, les organisations syndicales sentent qu’elles sont sur le point d’enfin en arriver à une entente globale. Le CT avait annoncé qu’il avait une proposition à déposer. Il avait aussi prévu de rester tard en soirée pour donner la chance de conclure.
Le problème rencontré est que la FSSS-CSN n’est pas au rendez-vous.
Nous rappelant sa condition initiale de régler avec tout le monde en même temps, et malgré notre insistance, le CT choisit de ne même pas dévoiler son offre.
Depuis, d’autres organisations (APTS, fédérations de la FTQ et de la CSN) se retirent graduellement du processus de conciliation en demandant à la Commission
de procéder à des enquêtes. Cependant, elles indiquent qu’elles demeurent ouvertes à assister à une rencontre avec le CT dans le cadre du processus de conciliation si ce dernier décide de présenter son offre.
Les fédérations de la CSQ, dont la FPPC, ne se sont pas encore retirées du processus de conciliation. Nous en avons discuté et avons choisi de tenter une ultime stratégie, celle de tenter de régler. Le 19 juin nous nous rencontrons pour préparer une proposition de règlement CSQ à présenter au CT, celle de régler pour tous les corps d’emploi du secteur de l’éducation.
Parenthèse : le groupe majoritaire pour certains des corps d’emploi représentés par la FPPC est le secteur de la santé (ex. : psychologues et travailleurs sociaux), mais le secteur majoritaire des corps d’emploi visés par les plaintes de maintien 2010 est celui de l’éducation. On parle ici :
Conseiller d’orientation (prédominance masculine);
Bibliothécaire (prédominance féminine);
Conseiller en adaptation scolaire (prédominance féminine);
Conseiller en formation scolaire (prédominance féminine).
En juin dernier, le secrétariat du CT nous informe qu’il n’a pas de mandat, mais il se dit prêt à rencontrer une représentante de la CSQ, et ce, de façon informelle, afin d’entendre ce que nous avons à lui dire.
La CSQ décide de saisir cette petite ouverture. et rencontre sa vis-à-vis pour discuter du dossier sans déposer de document, en espérant que cela nous mène à du concret.
En juillet, la CSQ intervient de nouveau auprès du secrétariat du CT pour tenter de régler ses plaintes en éducation.
En août, le CT se dit disposé à reprendre les échanges en conciliation afin de trouver un règlement global satisfaisant pour les parties, seulement si l’ensemble des organisations syndicales concernées accepte de se réunir à nouveau.
Durant l’automne, la CSQ sollicite le CT et expose l’état de la situation en précisant que pour le secteur de l’éducation, quatorze catégories d’emploi sont prioritaires, dont six pour lesquelles il y a une entente verbale et huit en discussion. Elles soulignent le fait que nous sommes encore en conciliation, qu’il y a donc un espace pour régler ce dossier.


Cette proposition est reçue positivement par les représentants du CT, C’est certain que cela n’est pas gage de résultats, mais c’est tout de même positif que les échanges reprennent.

FACEBOOK 
(Groupe ACOC pour c.o. au collégial)
Les membres réguliers de l'ACOC ont reçu une invitation de s'inscrire au Groupe ACOC sur Facebook réservé au c.o. travaillant ou ayant travaillé au collégial (déjà 75 membres inscrits, encore 74 invités qui n'ont pas répondu). Lieu d'échange intéressant sur le quotidien du travail en orientation dans un collège. 




En 2012-2013, nous avons franchi le cap des
100 000 visites du Bulletin
En 2015-2016, nous avons franchi le cap des
200 000 visites du Bulletin 
En 2017, nous avons franchi le cap des
300 000 visites du Bulletin 
(311 000 janvier 2018) 
Nouveau site de l'ACOC (134 000 depuis avril 2014)
L'orientation avec les clientèles émergentes (27 300 janvier 2018)

Ajout d'un nouveau nom 
de domaine pour l'ACOC
www.acoc.quebec
www.acoc.info existe toujours,
les deux noms de domaine
sont redirigés vers notre nouveau site

Bruno Tremblay, c.o.
conseiller aux communications de l'ACOC acocinfo@gmail.com

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