18 mai 2009

V 7 N0 37 :Les pratiques en orientation auprès des étudiantes et étudiants indécis

Après l’édition, l'information est ajustée,
s'il y a lieu, sur le site du bulletin

Moucherolle tchébec (Domaine de Maizerets à Québec)

Section Nouvelles www.acoc.info
Congrès ACOC du 20 au 22 mai 2009 (météo à Sherbrooke: 3 jours de soleil; 20 degrés et plus)
Admission universitaire encore possible
Colloque Dialogue 2009


L'assemblée générale annuelle de l'ACOC aura lieu le vendredi 22 mai 2009 lors du VIIIe Congrès de l'ACOC. Imprimez l'ordre du jour (le procès-verbal de la 7e AGA est à l’intérieur du document ) www.acoc.info/database/Image_usager/2/Raymond%20Jean/Congrès%20ACOC/Sommaire%20_2.pdf Vous pouvez consulter nos Statuts (notamment les articles 8 à 12) à la page www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=808 . Si vous ne pouvez être présent, communiquez vos questions, suggestions (lieu des prochains congrès, thème et conférencier) et commentaires à acoc@videotron.ca (courriel du secrétaire général de l'ACOC). Pour l'élection du Conseil exécutif (année impaire: Président et Trésorière; Il est composé de cinq membres réguliers qui se répartiront, après chaque élection, les fonctions), veuillez annoncer votre intention par courriel à acoc@videotron.ca afin de faire connaître votre candidature à tous les membres avant l'assemblée générale. Diane Fortin sollicitera un autre mandat et Philippe Brosseau ne se représentera pas. Nathalie Houde ne continuera pas son mandat de deux ans (intérim d'un an à combler). www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950

Dialogue 2009 (changement de lieu). Colloque Dialogue 2009 Comment remettre l'éducation supérieure au coeur de nos priorités Ce colloque organisé par l'Association collèges/universités se déroulera les 16, 17 et 18 septembre 2009 dans la région de Trois-Rivières à l'Auberge Godefroy. Il faut s'inscrire au plus tard le vendredi 14 août 2009. Voir Nouvelles sur http://www.acoc.info/

Info collégiale
Les pratiques en orientation auprès des étudiantes et étudiants indécis inscrits à la Session d’accueil et d’intégration (081.01). Recherche collaborative, 2009-2011 . Ce projet est une recherche-action auprès et avec les conseillers-ères d’orientation du collégial, en lien sur la problématique de l’indécision vocationnelle, en ce qui concerne les étudiants à la Session d’accueil et d’intégration. Indécision et vulnérabilité scolaire. Diverses études montrent que l’indécision vocationnelle affecte le parcours des élèves au moment de la transition des études secondaires vers le collégial. Au Québec, l’indécision vocationnelle touche environ la moitié des élèves à cette étape de leur parcours. À l’arrivée au collégial, le choix scolaire et professionnel demeure imprécis pour bon nombre d’étudiantes et étudiants. Parmi eux, ceux et celles qui sont admis à la Session d’accueil et d’intégration (SAI) se retrouvent dans une situation de grande vulnérabilité sur le plan scolaire (p. ex. : indécision vocationnelle, refus essuyé à une demande d’admission dans un programme, faibles résultats scolaires au secondaire, préalables du secondaires non complétés). Or, ces étudiantes et étudiants sont de plus en plus nombreux dans les collèges. De 1997 à 2006, ce nombre a presque doublé. Ils représentent un peu plus de 6% de la population étudiante collégiale et regroupent plus d’hommes que de femmes. Objectifs de la recherche : Trois professeures et professeur de l’Université Laval, engagés dans la formation en sciences de l’orientation, se sont intéressés à cette question (France Picard, Chantal Leclerc et Bruno Bourassa). Notre projet de recherche vise deux objectifs, à savoir : 1- répertorier les mesures, les pratiques professionnelles et les savoirs d’expérience en orientation développés graduellement depuis l’implantation de la SAI dans les collèges, et qui favorisent le processus de choix vocationnel; 2- affiner les pratiques professionnelles et les savoirs d’expérience en orientation auprès de ces étudiantes et étudiants, sur la base d’échanges entre intervenantes et intervenants en orientation au collégial (co-construction de pratiques professionnelles porteuses). Quelques informations sur le déroulement de la recherche : La présente recherche collaborative débutera dès la session d’automne 2009. Les intervenantes et intervenants visés par la recherche offrent un accompagnement en orientation aux étudiants-es à la SAI dans leur collège ou coordonnent les services d’orientation qui leur sont offerts (co, cisep, api, cp). La collaboration à cette recherche se fonde 1/ sur la participation à un groupe de discussion, réunissant environ cinq intervenants-es du milieu collégial de sa région et 2/ l’administration d’un questionnaire aux étudiants-es de la SAI ainsi qu’à un groupe témoin. Les groupes de discussion auront lieu à Québec, Montréal, Drummondville et Saguenay. Il y aura deux groupes de discussion par année, au cours des deux prochaines années scolaires. Le collège doit autoriser la participation à la présente recherche. Pour de plus amples informations ou pour manifester votre intérêt à participer à cette recherche, contacter France Picard France.Picard@fse.ulaval.ca professeure Centre de recherche et d'intervention sur l'éducation et la vie au travail (CRIEVAT www.fse.ulaval.ca/crievat ) Département des Fondements et pratiques en éducation http://www1.fse.ulaval.ca/cv/france.picard

Jeunes Explorateurs à Ados-Radio de Radio-Canada http://www.jeunes-explorateurs.org/ Étant donné la grande diversité des métiers et professions disponibles, il devient de plus en plus difficile d’effectuer un choix scolaire et professionnel. Bien sûr, plusieurs ressources sont mises à la disposition des jeunes; on pense notamment au Projet personnel d'orientation ainsi qu’aux recommandations de leurs conseillers d'orientation qui les aident à effectuer un choix éclairé. Néanmoins, rien ne remplacera l’expérience d'un stage d'un jour en milieu de travail et c’est là que le Programme Jeunes Explorateurs d'un Jour entre en jeu. Il s’agit d’un Programme qui permet aux jeunes de partir à la découverte d’un métier ou d'une profession qui les intéresse le temps d'une journée. Quatre jeunes participants au Programme Jeunes Explorateurs d'un Jour ont accepté l'invitation de partager en direct leur expérience de stage à Ados-Radio de Radio-Canada le 5 mai dernier. Pour écouter l'émission, visitez le lien suivant : Jeunes Explorateurs à Radio Canada www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia%3Dhttp://www.radio-canada.ca/Medianet/2009/CBF/AdosradioSpecialiste200905050000_m.asx

Populaires chez les étudiants. Les demandes d'admission en soins infirmiers ont connu une importante augmentation cette année dans les cégeps de Montréal et de sa région. Selon le Service régional d'admission du Montréal métropolitain (SRAM), l'augmentation des demandes dans ce secteur est de plus de 20 %, comparativement à l'an dernier. Selon la porte-parole du SRAM, Geneviève Lapointe, les candidats se bousculent au portillon. Elle parle même d'une augmentation spectaculaire des demandes d'admission dans ces programmes, qu'elle explique par le manque d'infirmières dans les hôpitaux. En fait, ce sont les programmes de soins infirmiers qui ont connu cette année la plus importante croissance au SRAM. Ce printemps, il y a eu 3550 demandes au premier tour d'admission, soit 1000 de plus qu'en 2005. L'engouement est tel que sur les 32 cégeps rattachés au SRAM, qui vont de l'Abitibi-Témiscamingue à Trois-Rivières, en passant par Valleyfield et Granby, un seul cégep offrait encore des places au deuxième tour d'admission en soins infirmiers. En soins infirmiers, 2400 places étaient offertes l'an dernier dans les cégeps membres du SRAM. On ignore encore si l'augmentation de la demande cette année pourrait amener les cégeps à offrir davantage de places. De façon générale, les demandes d'admission dans les cégeps du SRAM ont augmenté de 4 %. Les demandes pour les programmes collégiaux liés aux secteurs de la santé, comme l'inhalothérapie et les soins ambulanciers, ont pour leur part augmenté de 15 %. www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2009/05/07/002-infirmier-etudiant-demande_n.shtml

La pénurie d'infirmières s'accentuera d'ici 2013 Le Syndicat des infirmières, infirmières auxiliaires et inhalothérapeutes de l'Est du Québec, qui représente 1650 membres, estime que la pénurie d'infirmières s'accentuera d'ici 2013. L'organisation explique que les départs à la retraite des infirmières contribueront à détériorer les conditions de travail dans les hôpitaux. La présidente du syndicat, Micheline Barriault, s'inquiète pour ses membres, mais également pour la sécurité des patients. De plus, Mme Barriault indique que la rétention du personnel et le recrutement sont les enjeux majeurs des négociations pour le renouvellement des prochaines conventions collectives. Le syndicat demande d'ailleurs une prime de rétention de 10 % pour l'ensemble de ses membres, en plus de la réduction de la semaine de travail. www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2009/05/07/005-penurie-infirmieres-est-quebec.shtml

Suspension de deux programmes Le cégep de Matane suspend deux de ses programmes en vue de la prochaine année scolaire. Le programme Arts et lettres profil arts visuels et la Technique d'urbanisme sont mis de côté en raison du peu d'inscriptions. Seulement quatre personnes ont fait une demande d'admission en vue de la session d'automne pour le programme d'arts visuels. La direction de l'établissement se fait toutefois rassurante. Les deux programmes devraient revenir l'an prochain. Le directeur général, Émery Béland, précise que cette pause permettra de revoir les programmes, afin notamment de les rendre plus attrayants. www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2009/05/07/007-cegep-matane-programmes_n.shtml

Avez-vous le profil d'un pro... de l'assurance de dommages? Nombreux et variés sont les produits qu'il est possible d'assurer de nos jours : voitures, maisons, ordinateurs, équipements industriels, œuvres d'art, etc. C'est pourquoi le secteur de l'assurance de dommages est constamment à la recherche de candidats. Ceux-ci disposent même d'un tout nouvel outil disponible sur Internet qui leur permettra de découvrir s'ils ont le profil pour faire leur place dans cette industrie aux grandes possibilités de carrière. Élaboré par la Coalition pour la promotion des professions en assurance de dommages en collaboration avec une firme d'experts en mesure et évaluation, l'outil prend la forme d'un questionnaire interactif intitulé Avez-vous le profil d'un pro?. Accessible depuis ce mois-ci au http://www.questionnaire.chad.qc.ca/ , il est composé de 34 questions auxquelles l'internaute doit répondre par l'affirmative ou la négative. L'approche semble simple et légère, mais elle n'en demeure pas moins rigoureuse et révélatrice. Les résultats du questionnaire déterminent si la personne possède le profil d'aptitudes et d'attitudes pour devenir expert en sinistre, souscripteur, agent ou courtier en assurance de dommages. « Les aptitudes et les attitudes ciblées sont issues d'un sondage réalisé en 2005 auprès d'employeurs du secteur et de fiches développées avec Emploi-Québec. Les questions ont, par la suite, été validées par des intervenants de l'industrie pour s'assurer de leur clarté et de leur pertinence », explique M. Robert LaGarde, président de la Coalition pour la promotion des professions en assurance de dommages. La Coalition est depuis 2002 à l'origine de plusieurs projets et initiatives. La création de la trousse pédagogique L'assurance de dommages : un domaine d'avenir! qui utilise l'approche orientante, le développement du jeu Kambriolage (toujours en ligne sur le site http://www.kambriolage.com/ ) ainsi que la participation à de nombreux événements sur l'emploi font partie des actions qui ont permis, à ce jour, à des milliers de jeunes de découvrir et de s'intéresser aux carrières en assurance de dommages. « C'est un fait, le secteur est méconnu, poursuit M. LaGarde. Les gens n'ont pas systématiquement le réflexe de penser à faire carrière dans le domaine de l'assurance de dommages. Avec le questionnaire Avez-vous le profil d'un pro? nous avons voulu aller plus loin et créer un outil à travers lequel les personnes, aussi bien en recherche qu'en réorientation de carrière, ont la possibilité de se révéler à elles-mêmes si elles ont le profil pour travailler dans le domaine. » M. LaGarde ajoute également que le questionnaire peut constituer un outil pour les établissements d'enseignement, les agents d'Emploi-Québec et les conseillers d'orientation, car ils peuvent l'utiliser pour donner de l'information sur les carrières d'expert en sinistre, de souscripteur, d'agent et de courtier en assurance de dommages. L'assurance de dommages, c'est plus de 23 000 emplois et quelque 1 300 employeurs établis en région comme dans les grands centres. Les statistiques révèlent que les embauches augmentent au fil des années, que ce soit pour pallier les importants départs à la retraite ou pour appuyer la croissance d'une industrie florissante. Il y aura au moins 1 680 postes à pourvoir en assurance de dommages au Québec en 2010, soit quelque 200 de plus que 2 ans auparavant. « Notre industrie est en très bonne santé. On continue de s'assurer, du côté des individus comme des entreprises... Les 220 000 PME québécoises doivent notamment se protéger contre les risques de vol, d'incendie ou d'autres sinistres », affirme M. LaGarde. Sans compter que le secteur de l'assurance de dommages a beaucoup d'avantages à offrir à la relève : salaires intéressants, défis stimulants, chances d'avancement et possibilités de créer sa propre entreprise! Pour savoir quelle profession correspond à votre personnalité, il suffit de passer le test Avez-vous le profil d'un pro? au http://www.questionnaire.chad.qc.ca/ . www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/avez-vous-profil-pro-assurance-dommages-8424.html

L’éducation aux adultes est-elle encore adéquate? Le service de formation et d’éducation aux adultes ne répond pas nécessairement aux gens qui veulent retourner sur les bancs d’école, selon les derniers chiffres rendus publics, vendredi, dans le cadre des 24 heures de la science. « On constate qu’il y a un rajeunissement important des adultes qui fréquentent les programmes de F.E.A, » résume Maryse Potvin, politicologue et sociologue à l’Université du Québec À Montréal (UQÀM). Pour la principale intéressée, les chiffres parlent d’eux-mêmes : sur 83 579 personnes fréquentant les programmes, 39 579ont entre 17 et 18 ans. « Ces programmes n’ont pas été conçus au départ pour répondre à des adolescents, mais bien à des gens plus vieux, » explique la sociologue. Une seconde donnée intéressante se dégage de cette conférence. À Montréal, 60 % de la clientèle fréquentant les programmes de F.E.A. sont des immigrants. « Contrairement à l’idée préconçue, ces jeunes ne sont pas des décrocheurs, mais bien des gens avec un retard d’apprentissage dû notamment à la langue qu’ils ne maîtrisent pas. Ils ont donc besoin de beaucoup plus d’encadrement que le permet les programmes de F.E.A. actuels, » conclut la chercheure. Plusieurs conférenciers du domaine de l’éducation était présents au Cégep du Vieux-Montréal pour partager leurs recherches avec le public. Les chiffres dégagés de cette conférence jettent une nouvelle lumière sur les programmes d’éducation et de formation aux adultes (FEA). Ces chiffres sont relativement nouveaux puisqu’aucune étude n’a comptabilisée ces données avant leurs recherches. www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2009/05/20090508-182147.html

Un outil pour trouver sa voie Faire un choix de carrière: pas évident pour un adolescent. Certains angoissent tellement ils craignent de ne pas trouver. Le programme personnel d'orientation, un cours offert depuis deux ans dans les écoles, leur donne espoir d'y voir plus clair. Le programme personnel d'orientation (PPO) a remplacé le cours d'éducation au choix de carrière. La différence est qu'il n'est pas obligatoire pour tous. Seuls les élèves inscrits au parcours de formation générale appliquée y sont obligés. Ayant moins de laboratoires de sciences, ces jeunes ont plus de temps dans leur grille horaire pour que le cours y soit inséré. Les autres, ceux en formation générale, peuvent choisir le PPO comme cours à option. À l'école secondaire Wilfrid-Léger de Waterloo, l'enseignante Kim Martel a 28 élèves de troisième secondaire dans sa classe de PPO. Mme Martel est aussi leur professeur de français. «Je les vois dix fois en neuf jours, lance-t-elle. Je suis leur prof de français, ce qui aide beaucoup pour le cours de PPO. Je connais leur personnalité, leur dossier académique.» En début d'année, les jeunes ont fait plusieurs activités pour découvrir leurs intérêts et leur personnalité. «Veulent-ils voyager? Souhaitent-ils travailler de nuit? Ils font des activités pour qu'ils apprennent à se connaître, souligne Mme Martel. On veut qu'ils aillent dans une direction plausible pour eux.» À l'issue de cette introspection, les élèves dressent une liste de dix métiers qui les intéressent. Commence alors la phase d'exploration. Une armoire derrière la classe est pleine de cartables contenant de l'information sur différents domaines professionnels. Les jeunes choisissent celui qui leur plaît. Lorsqu'ils terminent la lecture, les recherches internet et les activités suggérées dans un cartable, les jeunes recommencent avec un autre. Avant d'entreprendre le cours, Marc-Antoine songeait à devenir médecin. Maintenant, il en est sûr. Le jeune homme sait même qu'il veut être neurologue. En septembre, Xavier voulait quitter le secondaire et se diriger immédiatement en formation professionnelle. «En fin de compte, je vais finir mon secondaire», confie le garçon qui souhaite devenir cuisinier. De son côté, Catherine a confirmé son intérêt pour la coiffure et l'esthétique. Ce qui ne l'empêche pas de continuer à explorer d'autres champs professionnels au cas où autre chose l'emballerait davantage. Pour Sabrina, l'avenir n'est pas aussi clair. «Je change d'idée depuis que je suis en sixième année, dit avec déception la jeune fille. J'essaie de trouver ce que je veux. Pas savoir, ça me stresse beaucoup. Je reprends le cours l'an prochain parce que je ne sais vraiment pas ce que je veux.» Anne n'a pas non plus idée de ce que sera sa profession. Jusqu'à présent, l'étudiante a exploré la photographie et l'aménagement intérieur d'une chambre. «Je n'ai pas de réponse encore. Mais les projets que j'ai faits jusqu'à présent m'intéressent», dit-elle. Felicia compte aussi beaucoup sur le PPO pour l'aider à choisir sa voie. Lors du passage de La Voix de l'Est, elle s'intéressait au journalisme. «Je choisis les cartables selon mes intérêts, explique-t-elle. J'ai pris le PPO parce que je n'ai aucune idée de ce que je veux faire.» L'étudiante a découvert qu'être orthopédagogue pourrait l'intéresser. Quant au métier d'avocat, elle l'a rayé de sa liste. Hugo cherche pour sa part de l'information sur tous les emplois qui impliquent l'écriture. Chez lui, l'adolescent rédige des scénarios pour des téléromans. «Je suis présentement sur un projet de téléroman. Ça m'a pris six heures écrire un épisode, relate-t-il. J'ai pris le cartable sur les métiers liés aux relations d'aide. Ça m'a aidé à comprendre la mentalité des personnages.» Le conseiller pédagogique à la commission scolaire du Val-des-Cerfs, Dominic Gagné, ne cache pas que le gouvernement du Québec a dépensé des millions pour l'élaboration de ces cartables. «Mais il fait le pari que ça va lui coûter moins cher à long terme, mentionne-t-il. À l'heure actuelle, beaucoup d'étudiants font plusieurs parcours au cégep et à l'université avant de faire un choix.» www.cyberpresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/200905/12/01-855686-un-outil-pour-trouver-sa-voie.php

Universitaire
Les étudiants boudent les programmes
L'intérêt des étudiants pour le secteur de la foresterie est en baisse. L'Université Laval rapporte une diminution de 30 % des inscriptions dans ses programmes de foresterie cette année. L'établissement a déjà connu une baisse équivalente l'an dernier avec l'admission d'une trentaine d'étudiants, dont deux seulement en opération forestière et quatre en génie du bois. Selon le doyen de la Faculté de foresterie, Robert Beauregard, les jeunes ne perçoivent plus la foresterie comme un secteur d'avenir notamment en raison de la crise forestière. Gaston Déry, vice-président au développement durable chez Roche, croit de plus qu'au-delà de la crise forestière, le secteur souffre aussi d'un problème d'image, entre autres à la suite du film L'erreur boréale. « Malheureusement, chaque fois qu'on a parlé de foresterie, on a tout le temps parlé de coupe à blanc, on a parlé de destruction et chaque fois qu'on coupe un arbre, on a l'impression, si on n'a pas d'indulgence, qu'on va aller en enfer », dit-il. Cette tendance à délaisser le secteur de la foresterie inquiète l'industrie. Cette dernière craint une sérieuse pénurie de professionnels. Robert Beauregard soutient que les besoins sont nombreux. « Il va y avoir plusieurs départs à la retraite dans le secteur forestier, autant en aménagement forestier qu'en opération forestière, transformation du bois, génie du bois, la construction en bois, donc il y a des besoins pour les professionnels. » Pour attirer les étudiants, la Faculté devra convaincre les jeunes qu'il y a de l'avenir en foresterie au Québec, entre autres dans une perspective de développement durable. www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2009/05/07/005-foresterie_inscription_n.shtml Les étudiants en médecine peu aiguillés vers la prévention www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/sante/200905/12/01-855907-les-etudiants-en-medecine-peu-aiguilles-vers-la-prevention.php

Nouvelle thèse de doctorat en psychologie Profil neuropsychologique et métabolique associé au trouble obsessionnel-compulsif. Le cyberjournal entête présente le résumé de la thèse de doctorat en psychologie de Mme Marie-Josée Bédard, intitulée: «Profil neuropsychologique et métabolique associé au trouble obsessionnel-compulsif: impact des symptômes comorbides d'anxiété et de dépression». http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=8310&section_cat=1&section_sommaire=oui

Formation, documentation
Votre poignée de main peut vous trahir Il y aurait réellement une relation entre une bonne poignée de main et une première ­impression favorable. Une poignée de main contient plus d'information que vous ne le pensez. Elle peut faire la différence entre une bonne et une mauvaise impression. Une étude a permis d'évaluer les poignées de main de 112 étudiants. Les quatre expérimentateurs ont reçu une formation d'un mois afin de bien identifier les types de salutations. Parmi les critères retenus figuraient la force, la vigueur et la durée de la poignée de main, l'aspect plus ou moins complet de la prise, ainsi que la qualité du contact visuel. Les étudiants, qui ne savaient pas qu'on les évaluait sur ce point, ont serré deux fois la main de chaque évaluateur. Ils ont aussi rempli quatre questionnaires sur leur personnalité. Les résultats de l'étude indiquent que les poignées de main se ressemblent d'une fois à l'autre chez un même individu. Elles trahissent aussi certains aspects de la personnalité. Ainsi, ceux dont la prise est ferme sont plus extravertis et ouverts aux expériences nouvelles que les autres. Selon les chercheurs, cette relation est si marquée que les expérimentateurs auraient pu identifier les traits dominants révélés dans le questionnaire ­rempli par les étudiants. Par exemple, le fait de présenter votre main la paume vers le bas voudrait dire que vous avez un tempérament dominant. Si vous présentez la main au bout d'un bras raide, cela signifie que vous tenez à garder l'autre en dehors de votre cercle intime ou de votre « bulle ». Le fait de présenter la main le bras tendu et la paume vers le bas oblige en quelque sorte celui qui la reçoit à se mettre en position subordonnée. Le contraire est également vrai. Une main molle qui effleure à peine le bout des doigts de l'interlocuteur est généralement perçue comme désagréable. Une main flasque peut donner l'impression d'un caractère mou. Le bout des doigts qui se défilent pourrait indiquer une forme de timidité. La plupart des gens apprécient une poignée de main vigoureuse, solide et franche. Attention à la durée de la poignée de main! Ne retirez pas trop rapidement votre main, car on pourrait en déduire que vous êtes craintif. Ne gardez pas non plus trop longtemps la main de l'autre prisonnière : cela indiquerait que vous avez un tempérament dominant et possessif. Il existe toutefois des différences entre les sexes. Les poignées de main des hommes sont en général plus fermes que celles des femmes. Les femmes qui sont plus libérales, intellectuelles et ouvertes aux nouvelles expériences ont ordinairement une poignée de main plus ferme que les autres. Chez les hommes, c'est souvent l'inverse : ceux qui sont plus ouverts offrent une prise un peu moins forte. Si vous n'avez aucune idée de l'effet que produit votre poignée de main, demandez à vos amis d'en faire l'expérience avec vous. Pratiquez votre poignée de main : pas trop forte, mais jamais mollasse. Un dernier conseil tout aussi important : n'oubliez jamais de regarder votre interlocuteur dans les yeux lorsque vous lui serrez la main. www.monemploi.com/mon_emploi/entrevue-emploi/votre-poignee-main-peut-vous-trahir-8425.html


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Documents sur l'admission universitaire
Guide d'admission universitaire - Automne 2009 - Version du 20 janvier 2009 en collaboration avec Luc Thifault du Collège de Valleyfield
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Raymond Jean, c.o.

À noter à votre agenda
Mario Charette, c.o. marioco@videotron.ca offre des formations en psychométrie. 5 juin 2009 (9h00-16h00) Québec Matrices de Raven I www.orientaction.ca/pd/dbase.php?type=user_query&fetchid=582 Pour plus de détails, contactez Marylène Desbiens c.o info@carriera.ca

Comité organisateur du VIIIe Congrès 2009 de l'ACOC : 20-21-22 mai à l'université de Sherbrooke www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810 Partenaires du VIIIe Congrès 2009 de l’ACOC : Université de Sherbrooke, Cégep de Sherbrooke, Cégep de Granby-Yamaska, Cégep de Drummondville, Collège de l'Estrie, Séminaire de Sherbrooke, OCCOPPQ, CSMO-ÉSAC, CSMO de l'industrie des Mines et Cégep à distance. Programme Un voyage au cœur de notre nature www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950


À l’automne 2009, au lieu d’organiser un Carrefour de l’orientation, nous participerons à Dialogue 2009 qui se déroulera les 16, 17 et 18 septembre 2009 dans la région de Trois-Rivières à l'Auberge Godefroy (changement de lieu).

En 2010, au lieu d’organiser un congrès, nous planifions participer au colloque de l’Ordre qui aura lieu les 2, 3 et 4 juin 2010 au Centre des congrès de Québec. http://www.occoppq.qc.ca/ L'ACOC organisera une journée précolloque pour ses membres.

En 2011, le 9e congrès de l’ACOC aurait lieu en partenariat avec l’UQTR


Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC
ACOC@videotron.ca


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Quelque Chose de l'ACOC


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