25 septembre 2007

V 6 No 5: Guide d'admission universitaire Hiver 2008

Du haut de la Côte-des-chats à St-Pacôme


Une version simplifiée du guide d'admission universitaire Hiver 2008 par Raymond Jean, c.o.
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915

Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton! (du 12 au 16 mai 2008)
Après deux semaines, 25 membres des 18 collèges suivants ont déjà signifié leur intérêt : Jonquière, Limoilou, St-Laurent, Gaspésie, Abitibi-Témiscamingue, St-Jean-sur-Richelieu, F.-X. Garneau, Granby, Collège international Marie de France, St-Jérôme, Sherbrooke, St. Lawrence, Lanaudière, Ste-Foy, St-Hyacinthe, St-Félicien, Lévis-Lauzon et Chicoutimi. Continuer à nous manifester votre intérêt, le Comité organisera ce 7e Congrès à partir des besoins de ceux et celles qui nous auront transmis un courriel. Peu importe votre lieu de travail (cégeps, écoles secondaires, CJE, écoles privées, universités …), le Conseil exécutif de l’ACOC aimerait connaître les membres intéressés à participer à notre prochaine rencontre annuelle : le 7e Congrès 2008 en partenariat avec l’université de Moncton. Veuillez transmettre rapidement un courriel à
acoc@videotron.ca en précisant :
-votre prénom, nom et lieu de travail (établissement et ville)
-votre réservation d’une place dans l’autobus de Moncton (gracieuseté de l'université) le 12 mai (embarquement à Montréal, Lévis ou Rivière-du-Loup)
-votre choix de vous loger sur le campus (à prix modique: 35$ par nuit pour une chambre individuelle)
-et finalement, votre intention de vous inscrire (frais à venir) au colloque de l’ACC débutant le 14 mai (nous reviendrons au Québec le vendredi 16 mai).
Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Vous pouvez aussi offrir un atelier au congrès de l’ACC : Appel de proposition d’atelier pour le CONGRÈS 2008 ASSOCIATION CANADIENNE DE COUNSELING
www.ccacc2008.ca/fr/?lang=fr Vous y trouverez entre autre la date limite (30 octobre 2007) pour soumettre des conférences ainsi que la présentation des deux organismes partenaires à l’organisation. Conférenciers : www.ccacc2008.ca/fr/speakersWorkshops.cfm?lang=fr

Info collégiale
Communiqué du SRACQ et du SRAM sur les nouvelles conditions d’admission au collégial
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=896

Le Salon Éducation et le Salon Formation Carrière
10 au 13 octobre 2007 - Place Bonaventure - Montréal
Voir sur notre site le Communiqué sur le Salon Formation Carrière
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=948


13e Salon Éducation Emploi à Québec
25 au 28 octobre 2007 – Centre de foires de Québec entrée gratuite
www.SalonEducationEmploi.com

Programme de formation d'officiers de la Garde Côtière Canadienne Je travaille au collège de la Garde Côtière canadienne à Sydney en Nouvelle-Écosse. Nous avons deux programmes de formation pour devenir officier sur les navires de la Garde Côtière canadienne (un en navigation et l’autre en mécanique maritime). Pour avoir plus d’information vous pouvez consulter notre site internet au
www.cgc.gc.ca/CGC.php?l=f&m=9&s=39&p=14 . Nous aimerions améliorer notre recrutement de francophones dans ces programmes pour l’année prochaine. Normand Lavigne Instructeur en sciences nautiques Collège de la Garde Côtière canadienne lavigneno@dfo-mpo.gc.ca Voir la section Nouvelles du site de l’ACOC www.acoc.info Le recrutement pour le Programme de formation d'officiers de la Garde côtière canadienne (PFOGCC) est commencé. Le collège de la garde côtière canadienne planifie prendre 48 recrus pour sept. 2008. Une très bonne opportunité pour apprendre une nouvelle profession et pour travailler abord des navires de la Garde côtière canadienne. Pour plus d’information consulter : www.ccg-gcc.gc.ca/fleet-flotte/SPM-GPN/main_f.htm

Une carrière en justice
www.jeunepourjeunes.com/carrieres_en_justice

Info universitaire
Le corps humain commenté par un anatomiste
Une vingtaine d’étudiants en médecine visitent l’exposition Le monde du corps 2 avec leur professeur. Jean Déziel enseigne à l’Université de Montréal depuis plus de 40 ans. Certains des 21 étudiants en médecine de l’UdeM qui accompagnent l’anatomiste esquissent un sourire (grâce à leur grand zygomatique, qu’ils verront plus tard…) et se fraient un chemin vers la prochaine pièce, portant sur le système nerveux. Pour Hannah Beattie, c’est l’appareil locomoteur qui a été le plus impressionnant. «Nous avions étudié ces structures dans l’un de nos cours et le fait de voir les muscles, tendons et ligaments, c’était très pertinent», souligne-t-elle.
http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/388/221

Des choix d'études moins payants à l’université
Les filles sont plus nombreuses que les garçons à fréquenter les universités, révèle une étude... Mais elles choisissent les secteurs les moins payants. On savait que les filles étaient plus nombreuses que les gars à poursuivre des études universitaires, et Statistique Canada a scruté les données de 2003 pour tenter de comprendre pourquoi. L'enquête s'est intéressée à la transition de près de 18 000 jeunes Canadiens de 15 à 19 ans. De ce nombre, 39% étaient des femmes inscrites à l'université, 26% étaient des hommes également inscrits à l'université, alors que les autres répondants ne poursuivaient pas d'études supérieures. «Nous ne nous sommes pas fiés aux réponses qu'ils nous donnaient, mais nous avons plutôt examiné les faits», explique Marc Frenette, analyste responsable de l'étude. Dans 45 % des cas, la présence majoritaire des filles à l'université s'explique par leurs bonnes notes. La seconde raison, observée dans 11% des cas, est le fait que les filles consacrent plus de temps que les gars à leurs devoirs: 41% d'entre elles passent plus de quatre heures par jour à étudier, contre 30 % des garçons. Fait troublant, l'écart s'explique également par le fait que les parents insistent moins pour que les garçons fréquentent l'université qu'ils ne le font pour les filles. Ainsi, 70% des parents affirment vouloir que leur fille fréquente l'université, alors que 60% des parents souhaitent la même chose pour leur fils. Dans une autre récente étude de Statistique Canada, l'analyste Marc Frenette s'est interrogé sur les choix d'études des filles et des garçons ainsi que sur le salaire moyen chez les jeunes de 25 à 29 ans. Les résultats démontrent clairement que les secteurs où les filles sont majoritairement présentes à l'université sont les sciences sociales et l'éducation, alors que les secteurs les plus payants pour elles sont plutôt le génie et la santé. Les garçons font des choix d'études plus «payants» que les filles, indique l'étude, puisqu'ils se dirigent majoritairement vers les secteurs de la santé, du génie, du commerce et de l'informatique.
www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/09/20070922-110602.html

Pas facile d'être un nouveau prof
Les cinq premières années d'un nouveau professeur dans le milieu de l'enseignement au Québec n'est pas de tout repos. Ces derniers héritent la plupart du temps de queues de tâches, se font offrir les pires groupes, commencent leur métier comme remplaçants, travaillent sur appel ou encore n'enseignent même pas la matière dans laquelle ils ont été formés. La violence grandissante dans les écoles vient mettre la cerise sur le gâteau tant et si bien que des études canadiennes réalisées en 1992 ont démontré que le taux de décrochage des jeunes enseignants est le plus élevé par rapport aux autres professions, soit 15 %. "Dans certains États américains, ça peut aller jusqu'à 50 %", signale le professeur Stéphane Martineau, responsable du Laboratoire d'analyse de l'insertion professionnelle en enseignement (LADIPE) de l'UQTR. Depuis plusieurs années, toutefois, des moyens ont été mis en place afin de bien préparer les nouveaux enseignants et leur permettre de franchir ces obstacles. La formation universitaire est alors passée de trois à quatre années, ce qui permet d'y insérer 700 heures de stage dont 12 semaines au cours desquelles les aspirants professeurs peuvent prendre en charge une classe complète. "Ils sont mieux préparés à intervenir auprès des élèves en difficulté", note le professeur Martineau. Le CNIPE tente de répondre aux besoins d'accompagnement des jeunes professeurs en mettant à leur disposition, depuis 2005, un site web interactif où ils peuvent trouver une foule d'informations sur leur profession, voire faire partie de groupes de discussion et même obtenir du mentorat.
www.cyberpresse.ca/article/20070917/CPNOUVELLISTE/709170685/5409

Malgré sa surdité Audrey Lessard poursuit des études en podiatrie au bout de ses rêves en silence
Toute petite, Audrey Lessard rêvait déjà de pouvoir soigner les gens. Mais au fur et à mesure qu'elle entrait dans le monde des adultes, de nombreuses barrières se dressaient devant elle. Comment pourrait-elle y arriver, elle est sourde. L'étudiante au doctorat en médecine podiatrique est en train de prouver que le rêve peut devenir réalité. Elle vient d'ailleurs de commencer son internat à la Clinique podiatrique de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). La route de cette étudiante âgée de 25 ans, originaire de Thetford Mines, a été parsemée d'embûches. Elle est née sourde. Comment cette petite fille privée de l'ouïe et de la parole pourrait-elle prendre sa place hors de cette bulle de silence? Dès le primaire, on conseillait à ses parents qu'elle fréquente une école pour les personnes sourdes. Ils ont alors refusé, insistant pour qu'elle soit incluse dans une classe régulière de l'école du quartier. Plus cette élève brillante grandissait dans le monde scolaire, plus il y avait de gens lui suggérant de trouver une voie différente. «On m'a dit souvent que je n'irais jamais à l'université. Je faisais la sourde oreille», ajoute-t-elle en rigolant. Depuis la période estivale, elle travaille avec persévérance à relever un autre important défi dans son cheminement académique, soit celui de quitter la classe pour interagir avec les patients qui fréquentent la clinique podiatrique. D'abord en compagnie d'une collègue de quatrième année et seule depuis la rentrée. Elle n'est pas tout à fait seule. À la différence de ses camarades de cohorte, Audrey est accompagnée quotidiennement par Sonya Hombert, son interprète et complice depuis cinq ans. «Il y a habituellement deux types de réaction. Le fameux «Pauvre toi», qu'on entend souvent de la part des personnes âgées et le «Wow! C'est le fun, tu as beaucoup de courage». Les gens me demandent comment je ferai pour travailler plus tard. Je réponds en disant, de la même façon que je suis en train de le faire», raconte Audrey par la bouche de son interprète Sonya. Audrey raconte que le plus grand défi consiste évidemment à mettre le patient en confiance. «Mon interprète doit gérer les communications, parce qu'évidemment je ne peux pas communiquer avec le patient pendant que je fais le traitement», précise-t-elle. Cette dernière estime qu'après deux ou trois visites d'un même patient, elle serait en mesure de travailler seule. On peut en effet échanger avec elle grâce à l'interprétation labiale. La future podiatre estime qu'elle pourrait amorcer sa pratique comme adjointe à un podiatre. À la lumière de sa nouvelle expérience clinique avec son interprète, elle entrevoit la possibilité de continuer en duo. «Je pourrais aussi embaucher Sonya comme assistante, je n'aurais même pas besoin de la former. D'ailleurs, j'espère qu'elle aura une attestation à la fin de la formation», lance-t-elle. Audrey Lessard sait qu'elle a de la chance de pouvoir compter sur Mme Hombert, une interprète hors pair. Imaginez, depuis cinq ans elle suit le même parcours académique qu'Audrey. Elle pourrait passer les mêmes examens. Cette dernière a dû se familiariser avec la terminologie pharmacologique et maintenant celle de la podiatrie. «Il y a beaucoup d'interprètes qui se seraient sauvées en courant depuis longtemps», mentionne Audrey Lessard. Mme Hombert est sans doute la perle rare. Elle est probablement la seule au Québec à pouvoir traduire simultanément un entretien en anglais, pour ensuite le transmettre en français sur les lèvres et en langage signé. Cette spécialité représentera un sérieux atout pour le duo, puisque la dernière portion du programme académique en médecine podiatrique exige la tenue d'un stage pratique obligatoire à New York.
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=6626

Un homme… sage-femme
Les professeures et étudiantes du programme de baccalauréat en pratique sage-femme de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) ont eu toute une surprise lors de la rentrée universitaire. Ils ont reçu la visite d'un homme sage-femme. Thomas Deharbe, poursuit actuellement des études universitaires en formation sage-femme dans sa région natale de Reims en France. Il était en visite sur notre campus, où sa sœur poursuit actuellement des études supérieures en littérature. «Lorsque j'ai constaté qu'il y avait un programme de formation de sage-femme, j'ai voulu rencontrer les étudiantes pour connaître comment elles vivaient leurs études», a-t-il tout bonnement indiqué. «En France, il y a entre 8 % et 10 % d'hommes en pratique sage-femme» C'est que l'étudiant âgé de 22 ans ne se formalisait pas trop de susciter tant de curiosité chez ses camarades québécoises. Après tout, l'homme tout comme la profession sage-femme sont solidement implantés dans le monde médical français. «En France, il y a entre 8 % et 10 % d'hommes en pratique sage-femme», précise Thomas Deharbe. De ce côté-ci de l'Atlantique, la situation est fort différente. Ne cherchez pas d'homme sage-femme au Québec. Il n'y a pas eu, non plus, de demande masculine de formation depuis le lancement de ce programme de formation exclusif à l'UQTR en 1999. Lors de ses échanges avec les étudiantes trifluviennes, Thomas a pu apprendre qu'il existait en fait de grandes différences entre les pratiques françaises et québécoises. Alors qu'en France, la sage-femme œuvre surtout en milieu hospitalier, au Québec les accouchements avec sage-femme sont pratiqués en maison de naissance ou à la maison. Cette dernière option est quasi proscrite en France, surtout pour une question d'assurance. Cela engendre des coûts impossibles à rentabiliser pour ce type d'acte. Les honoraires de la sage-femme seraient exorbitants. De plus, de par sa formation et en pratique la sage-femme française est à égalité hiérarchique avec le médecin. «Nous ne sommes pas considérés comme des paramédicaux, ce qui facilite nos relations de travail au quotidien», souligne-t-il. Après bientôt deux ans de formation universitaire, sur quatre, Thomas Deharbe compte déjà une cinquantaine d'accouchements sous supervision d'une sage-femme. Quel accueil lui réservent ses patientes? «Je dirais qu'il est très bon. Les hommes doivent évidemment travailler tout en douceur. Je me suis aussi fixé comme mission d'intégrer au maximum le père dans l'accouchement. Je note qu'ils ont moins peur de me poser des questions, que lorsqu'ils se retrouvent en présence d'une sage-femme», explique-t-il. L'homme sage-femme au Québec.
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=6622

Quand la physique s’inspire de la biologie
Paul Charbonneau recourt aux algorithmes évolutifs pour résoudre des problèmes d’astrophysique. Il peut paraitre étonnant que des astrophysiciens prennent modèle sur des lois darwiniennes de l’évolution biologique pour résoudre des problèmes de physique. C’est ce que fait Paul Charbonneau, qui a mis au point un algorithme «génétique» maintenant utilisé partout dans le monde dans des disciplines aussi diverses que le design automobile, la sismologie, le génie mécanique ou la théorie des jeux.
http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/383/221

Boucar Diouf fait partie du Cercle d’excellence de l’Université du Québec (notre conférencier au Congrès à l’UQAR) L’artiste bien connu Boucar Diouf, qui a aussi des talents en biologie et en enseignement, vient d’être accueilli dans le Cercle d’excellence de l’Université du Québec. Ce club sélect regroupe différents membres qui ont fréquenté l’un ou l’autre des établissements de l’Université du Québec, à titre d’employé, d’enseignant ou d’étudiant, et qui se démarquent par leurs réalisations. Détenteur d’un doctorat en océanographie de l’UQAR, Boucar Diouf y œuvre comme chargé de cours en biologie depuis 1996. Exemple d’intégration, M. Diouf, qui est d’origine sénégalaise et enseigne la biodiversité, se définit comme «une ceinture fléchée 6e Dan, pure laine vierge de mouton noir». Il vient de publier un livre de contes et a mis sur pied des ateliers interactifs pour faire comprendre, aux élèves du primaire et aux jeunes lecteurs, que les différences culturelles sont source de beauté et de découverte. Ces actions lui ont valu le Prix Jacques-Couture 2006, un prix québécois de la citoyenneté, remis par le Gouvernement du Québec en reconnaissance aux gens qui excellent dans la promotion du rapprochement interculturel. «Boucar Diouf effectue présentement une réorientation de carrière comme humoriste et animateur, a expliqué le recteur Michel Ringuet. Il s’est déjà mérité deux mentions au Gala des Oliviers. Heureuse de voir le démarrage rapide de cet artiste talentueux, l’UQAR souhaite plus que tout qu’il demeure disponible pour continuer à enseigner. Toutes nos félicitations!»
www.uqar.qc.ca/uqar-info/0907/BoucarDiouf_UQ.asp

Avec le temps, l’adaptation aux études universitaires est d’abord une question d’attitude Les études universitaires marquent le début d’une nouvelle vie. Pour certains étudiants, l’adaptation à leur nouveau milieu sera facile. Pour d’autres, cette transition s’avérera plus compliquée. En effet, s’adapter à l’Université représente tout un défi où se mêlent à la fois excitation et inquiétude. Afin de mettre toutes les chances de son côté et réussir son départ, la meilleure suggestion qu’on puisse faire à un étudiant est de se donner le temps d’apprivoiser son nouveau milieu. «Certains étudiants trouvent qu’il ne vaut pas la peine de s’installer pour étudier quand on n’a qu’une heure devant soi, ont souligné les conseillères. Pourtant, ils sous-estiment le fait que cette heure leur appartient et qu’il est important de bien utiliser les heures creuses dans une vie d’étudiant, surtout quand on a un emploi en plus de ses études.» L’horloge biologique variant d’une personne à l’autre, il importe aussi de bien connaître son rythme et de le respecter. En d’autres termes, rien ne sert de s’évertuer à emmagasiner des connaissances au petit matin si on se sait à son meilleur vers 10 h du soir. Comme il n’y a pas que les études dans la vie, les conseillères n’ont pas manqué d’inciter les étudiants à se créer un réseau d’appartenance, en s’intégrant à un groupe ou à une association étudiante, par exemple. Parfois, cela peut être aussi simple que de se mêler aux autres au moment de la pause, en classe, l’essentiel étant de ne pas s’isoler, ce que certains étudiants ont tendance à faire lorsqu’ils se sentent dépassés par les événements. Les études prenant le dessus, on peut également être tenté de mettre de côté l’exercice physique, à cause du manque de temps. Là encore, il s’agit de bien planifier son horaire en faisant de la pause du midi un moment où on prend soin de soi en marchant d’un bon pas sur le campus ou en allant nager au PEPS, par exemple. Tout demeure une question d’organisation et d’attitude. À ceux et celles qui ont envie de décrocher et qui ne voient pas la lumière poindre au bout du tunnel, les animatrices de ce premier atelier offert par le COCP conseillent de ne pas se laisser aller au découragement. En effet, d’autres ont vécu la même situation et sont sortis de l’impasse qui guette les nouveaux arrivés. D’où l’importance de ne pas précipiter les choses et de se donner du temps, les choses revenant généralement à la normale au bout de quelques semaines.
www.aufil.ulaval.ca/articles/avec-temps-1182.html

Anthropologue judiciaire (bio-anthropologue) et autres professions en lien avec les sciences judiciaires Qui est-il?
www.ledevoir.com/2005/01/10/72270.html Pour plus de détails sur le sujet: www.cybersciences-junior.org/junior/fr/professions/anthropologue_judiciaire/etudes_et_emplois.html Chimie judiciaire - Quand la science se fait détective - http://archives.radio-canada.ca/IDCC-0-16-1933-12580/sciences_technologies/resolution_crimes/ Les premiers médecins légistes Un chirurgien a pratiqué une autopsie sur le corps d’un marin lors d’un voyage de Jacques Cartier en Amérique. Les débuts d'un laboratoire médico-légal Le pionnier de la médecine légale Wilfrid Derome s’est aussi intéressé à la balistique. Cocktail à l'arsenic et explosion criminelle En 1937 et en 1949, les experts québécois en homicide clarifient deux crimes crapuleux. Identifier le sang séché L’analyse de la projection des gouttes de sang d’une victime révèle la façon dont un crime fut accompli. Attention, certains propos peuvent choquer. Des insectes révélateurs Les insectes qui se nourrissent d'un cadavre peuvent dévoiler aux entomologistes la date du décès. Police scientifique et attentats terroristes Des procédés techniques et scientifiques facilitent l’aboutissement d’enquêtes sur des attentats terroristes. Une rencontre avec Kathy Reichs En 1997, la célèbre romancière américaine travaille six mois par année à Montréal comme anthropologue judiciaire. Chimie judiciaire Des chimistes analysent des traces matérielles, des drogues ou du sang recueillis sur les lieux d’un crime. Lumière sur meurtres non résolus Les tests d’ADN permettent d’identifier des auteurs d’homicide qui circulaient en toute liberté. Transformer une image floue en une preuve claire Des techniciens démasquent parfois des visages captés par des caméras de surveillance. Reconstituer le visage d'un mort Avec de l’argile, un artiste peut reproduire la tête d’une personne morte depuis plusieurs années. Des traces qui parlent Des traces de chaussures ou de pneus relevées sur la scène d’un crime mènent parfois au coupable. ADN : la fin des erreurs judiciaires? En plus de résoudre des crimes violents, l’ADN permet de réparer de nombreuses erreurs judiciaires. Autres liens Sciences judiciaires et médecine légale – Sécurité publique Québec www.msp.gouv.qc.ca/labo/index.asp Autopsie d’un meurtre – Centre des sciences de Montréal www.centredessciencesdemontreal.com/autopsie/flash.htm Services de laboratoires judiciaires – GRC www.rcmp.ca/fls/intro_f.htm Société canadienne des sciences judiciaires http://ww2.csfs.ca/ Banque nationale de données génétiques – Canada www.nddb-bndg.org/francais/main_f.htm

Formation, documentation
Un idiot dans la classe

Dans le Québec des années 1930, les tests psychométriques administrés aux élèves des écoles primaires ont servi les plus forts au détriment des plus faibles. De nos jours, on parlerait d’eux comme des élèves ayant des difficultés d’apprentissage. On les laisserait probablement intégrer une classe normale en se disant qu’il n’y a rien comme de se fondre dans un groupe pour stimuler les plus lents à apprendre. Or, dans les commissions scolaires de Montréal, il fut un temps où on ne l’entendait pas de cette oreille. Parce qu’ils présentaient des quotients intellectuels inférieurs à la moyenne après avoir passé des tests psychométriques - ou tests d’intelligence - des milliers de petits Québécois, étiquetés «débiles de type inférieur», «imbéciles» ou «idiots» ont pris le chemin d’établissements d’enseignement spécialisés et même d’hôpitaux psychiatriques. Nous sommes au début des années 1930 et la mesure de l’intelligence fait loi, dans une société où on considère que les sujets moins doués ne doivent pas entraver la bonne marche de l’éducation et l’ordre général. «La doctrine de l’hygiène mentale était très populaire au sein des champs médicaux et politiques au Québec pendant l’entre-deux-guerres», dit Martin Pâquet, professeur au Département d’histoire, qui a écrit un article sur la question paru récemment dans The Canadian Historical Review, en collaboration avec Jérôme Boivin, étudiant à la maîtrise. «Contrairement à ce qu’on pourrait croire, les tenants de cette doctrine – médecins, éducateurs - étaient animés de bonnes intentions, insiste Martin Pâquet. Ils trouvaient important de dépister les sujets que le système scolaire ne pouvait pleinement intégrer afin qu’ils puissent recevoir une éducation adaptée à leurs besoins.»
www.aufil.ulaval.ca/articles/idiot-dans-classe-1352.html

Nouvelle carrière, nouvelle vie !
L’ingénieur qui se fait ébéniste, l’avocate qui devient pâtissière : qui n’a pas rêvé de changer non seulement de boulot, mais aussi de secteur d’emploi ? Un phénomène appelé à se répandre, disent les spécialistes… Mais un tel virage, ça se planifie ! Quelques semaines avant Noël, l’an dernier, Véronique Collard a tiré un trait sur sa carrière d’avocate. Et sur le salaire considérable que celle-ci lui rapportait. Aujourd’hui, bandana sur la tête et tablier sur les hanches, elle se consacre à la confection de petits gâteaux et de crème glacée. Pour l’équivalent du salaire minimum. Les deux mains dans la farine, au milieu de ses fourneaux, cette mère de trois fillettes le déclare sans détour : « C’est le bonheur ! » Véronique Collard, 33 ans, et son associée, Pascale Guindon, 40 ans, sont les propriétaires d’Itsi Bitsi, paradis des cupcakes — petits gâteaux format muffin —, de la crème glacée maison et des objets-cadeaux, dont des assiettes, des tasses, des coussins. Le matin de décembre où, fébriles, elles ont ouvert pour la première fois les portes de leur boutique du quartier Saint-Henri, à Montréal, un vent frais est venu se mêler aux effluves sucrés des gâteaux. La vie professionnelle des deux femmes venait de prendre un nouvel élan. Toutes deux réalisaient un rêve caressé depuis longtemps, celui de tenir commerce. Un projet qui ne pouvait voir le jour qu’à une seule condition : qu’elles abandonnent leurs carrières respectives d’avocate et de graphiste. Depuis, elles travaillent sans compter les heures, l’une s’occupant des achats et du service à la clientèle, l’autre imaginant de nouvelles recettes de « gâtelets ». Et c’est réussi. Devant leur étalage, les clients salivent : choco-caramel, lavande et miel, espresso, pavot-citron…Pascale Guindon et Véronique Collard font partie d’un groupe de travailleurs — appelons-les « de la seconde chance » — dont on connaît encore peu de choses. Tant à Emploi-Québec qu’à Statistique Canada et à l’Institut de la statistique du Québec, on n’a pas recensé les personnes qui ont ainsi réorienté leur carrière au cours des dernières années. Ces travailleurs ne sont pas compris dans les statistiques ! En juillet, l’envoi d’un courriel à une trentaine de connaissances — leur demandant si des gens de leur entourage avaient fait « le grand saut » — a toutefois suffi à me convaincre que l’histoire des propriétaires d’Itsi Bitsi n’était pas unique. J’ai été inondé de réponses. « Mon frère a quitté son poste d’ingénieur pour devenir ébéniste », me dit l’un. « Ma belle-sœur, avocate, est devenue massothérapeute », indique l’autre. « Une amie de ma mère était boulangère. Elle a tout quitté pour retourner aux études. Aujourd’hui, elle est plâtrière », me dit une autre encore… On verra de plus en plus de ces « seconds débuts », estime Normand Roy, directeur du Centre d’étude sur l’emploi et la technologie, à Emploi-Québec. « Plus le marché du travail offre de bonnes perspectives, plus les possibilités de changement vont se présenter. » Quant aux plus jeunes représentants de la génération des baby-boomers, à l’aube de la cinquantaine, ils estiment le moment venu de se consacrer à ce qu’ils aiment. « Ils me disent que ça fait des années qu’ils travaillent et se sacrifient pour leur famille, raconte la conseillère. Les enfants partis, ils veulent désormais faire ce qui leur tente. Penser d’abord à eux. » Et cela passe souvent par un nouveau métier, davantage collé à leurs aspirations profondes.
www.lactualite.com/economie/article.jsp?content=20070912_164249_292



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Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC ACOC@videotron.ca

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17 septembre 2007

V 6 No 4: Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton!

Du quai de Montmagny

Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton ! du 12 au 16 mai 2008

À tous les membres de l’ACOC, peu importe votre lieu de travail (cégeps, écoles secondaires, CJE, écoles privées, universités …), le Conseil exécutif de l’ACOC aimerait connaître les membres intéressés à participer à notre prochaine rencontre annuelle : le 7e Congrès 2008 en partenariat avec l’université de Moncton. Veuillez transmettre rapidement un courriel à

acoc@videotron.ca en précisant :
-votre prénom, nom et lieu de travail (établissement et ville)
-votre réservation d'une place dans l’autobus de l’université de Moncton le 12 mai (de Montréal, Québec ou Rivière-du-Loup)
-votre choix de vous loger sur le campus (à prix modique)
-et finalement, votre intention de vous inscrire (frais à venir) au colloque de l’ACC débutant le 14 mai (retour le vendredi 16 mai).
Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Résumé de l’évaluation du congrès de mai dernier : les conférences choisies, leur qualité, leur contenu et le dynamisme des conférenciers ont été appréciés. Les visites ont aussi fait l’objet de commentaires positifs ainsi que le mélange des activités (entre conférences et visites). Le thème de cette année semble avoir été apprécié. Le HEC est un excellent hôte. Suggestions de thèmes et de conférences pour l’an prochain : créativité, éthique au collégial, santé mentale, « réadaptation » et formations de types psychologiques. Suggestion d’un jumelage avec l’Association Canadienne de Counseling. Finalement, on retrouve beaucoup de commentaires positifs sur l’ensemble du congrès, tels que : beau travail, un des plus beaux congrès, bravo à tous, l’organisation est très bien réussie. Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton.

Information sur le congrès de l’ACC : Appel de proposition d’atelier pour le CONGRÈS 2008 ASSOCIATION CANADIENNE DE COUNSELING
www.ccacc2008.ca/fr/?lang=fr Vous y trouverez entre autre la date limite (30 octobre 2007) pour soumettre des conférences ainsi que la présentation des deux organismes partenaires à l’organisation. Conférenciers : www.ccacc2008.ca/fr/speakersWorkshops.cfm?lang=fr


Info collégiale
Commission de l’enseignement collégial : le 15 avril 2004, le Conseil supérieur optait pour le thème Le collège comme milieu signifiant et porteur d'engagement pour les étudiants. Sophie POIRIER Conseillère d'orientation et aide pédagogique individuelle Collège Jean-de-Brébeuf vient tout récemment d’être nommée pour un mandat de trois ans sur cette commission.
www.cse.gouv.qc.ca

Le Service régional d’admission au collégial de Québec et les cégeps ont le plaisir de vous inviter à la Journée d’information sur la formation collégiale le mardi 2 octobre prochain, de 8 h 30 à 12 h. Plus d’une trentaine de cégeps, instituts et centres spécialisés animeront des stands d’information à votre intention. À cette occasion, le SRACQ et les quinze cégeps membres vous accueilleront dès 8h30 au Grand Salon du Pavillon Alphonse-Desjardins. Par la suite, jusqu’à midi, les cégeps vous recevront à leur stand pour échanger, présenter leurs brochures d’information, vous informer de leurs nouveautés et répondre à vos questions. En parallèle, trois ateliers portant sur l’admission, la Cote R et l’organisation des Matinées collégiales seront présentés à deux reprises.
www.sracq.qc.ca/infosraq/information_scolaire.asp Profitant de votre présence sur le campus dans le cadre de la Journée d’information du SRACQ, l’Université Laval est heureuse de vous inviter à participer à un après-midi d’activités à caractère informatif sur ses divers programmes d’études. Ces activités auront lieu le mardi 2 octobre 2007 au Grand Salon du pavillon Alphonse-Desjardins, de 13h30 à 14h30, et en faculté de 14h45 à 16h. Pour s’inscrire à cet après-midi d’activités écrire à lise.brochier@dap.ulaval.ca

Les récentes modifications du Règlement sur le Régime des études collégiales (RREC)
Au cours de l’été 2007, le MELS a apporté quelques modifications au Règlement sur le Régime des études collégiales (RREC). L’une des modifications concerne la réussite des cinq cours qui font désormais partie de la nouvelle Sanction des études du secondaire : Langue d'enseignement de la 5e secondaire; Langue seconde de la 5e secondaire; Mathématique de la 4e secondaire; Sciences physiques de la 4e secondaire; Histoire du Québec et du Canada de la 4e secondaire. Le nouvel article 2, deuxième alinéa, précise que « Le ministre peut rendre obligatoires des activités de mise à niveau lorsque le titulaire du diplôme d'études secondaires n'a pas accumulé le nombre d'unités alloué par le Régime pédagogique de l'éducation préscolaire, de l'enseignement primaire et de l'enseignement secondaire édicté par le décret no 651-2000 du 1er juin 2000 ou par le Régime pédagogique de la formation générale des adultes édicté par le décret no 652-2000 du 1er juin 2000 pour l'apprentissage des matières » ci-haut mentionnées. Néanmoins, après vérification, nous savons que pour l’automne 2007, les candidats qui n’ont pas à leur dossier la réussite de ces cours et qui auraient obtenu leur DES avant juin 1997 demeurent admissibles au collégial et n’auront pas, malgré l’article 2, à suivre des activités de mise à niveau. Cet article ne sera applicable qu’à partir du moment où le MELS aura apporté des précisions quant à ces activités de mise à niveau.
www.sracq.qc.ca/infosraq/bulletin.asp Ne vous en faites pas, ces dernières modifications nécessitent des interprétations afin d’y voir clair. Très clair. D’ailleurs la Fédération des Cégeps va faire connaître au cours des prochains jours un avis portant sur ces modifications. Par conséquent, je vais attendre de posséder toutes ces informations avant de vous faire parvenir un guide interprétatif des nouvelles conditions d’admission. Je vais préparer ce guide avec la collaboration de mon collègue de Montréal puisque nous voulons nous assurer, tous les deux, que l’ensemble de nos partenaires respectifs reçoivent la même information et qu’ils en fassent une même interprétation. Merci de votre compréhension! Guy Dumais Directeur général du SRACQ

JOURNÉES REPÈRES 2007
Nous avons le plaisir de vous inviter aux JOURNÉES REPÈRES 2007 et vous annonçons une grande nouveauté cette année soit l'ajout aux réunions de Québec et de Montréal d'une journée à Sherbrooke. La journée à Sherbrooke se tiendra le 23 octobre 2007 au Pavillon A2 de la Faculté de l'Éducation de l'Université de Sherbrooke. La Journée REPÈRES à Québec se tiendra le 1er octobre 2007 au Pavillon Alphonse-Desjardins de l’Université Laval et celle de Montréal aura lieu le 1er novembre 2007 à l’École de technologie supérieure (ÉTS). Pour y participer, nous vous invitons à visiter notre site Internet à l’adresse suivante :
http://reperes.grics.qc.ca/Reperes2007 Nous vous soulignons l'importance de cette rencontre pour chaque utilisateur et utilisatrice de REPÈRES car plusieurs ateliers porteront sur REPÈRES et sa nouvelle interface. Cet événement est gratuit et seules les inscriptions en ligne seront acceptées. L'Équipe REPÈRES Courriel : reperes@grics.qc.ca

Le Collège Mérici implante une école de tourisme et d'hôtellerie à Kigali au Rwanda
Fort de sa réputation en tourisme et hôtellerie, le Collège Mérici exporte de plus en plus son expertise à l'étranger et travaille depuis plusieurs mois déjà à un projet de conception et d'implantation d'une école de tourisme et d'hôtellerie au Rwanda. En effet, un consortium canadien formé de représentants du Collège Mérici, de Teknika-HBA ingénieur-conseil et du consultant Jacques Roy recevait récemment du ministère de l'Education du Rwanda l'aval pour la réalisation et la mise en oeuvre d'un projet novateur : l'Ecole nationale de Tourisme et d'Hôtellerie (ENATH) du Rwanda. Le directeur du Collège Mérici, monsieur Pierre L'Heureux, s'est dit particulièrement fier de ce qu'il a qualifié de nouveau défi pour le Collège : "L'Ecole de tourisme et d'hôtellerie du Collège Mérici, dont nous avons fêté le 25e anniversaire l'an dernier et dont les finissants se méritent prix et distinctions année après année, exporte de plus en plus à l'étranger son savoir faire et son savoir être. Au moment où nous nous apprêtons à fêter le 400e anniversaire de la fondation de Québec, l'idée que nous pouvons exporter non seulement des biens durables, mais aussi de l'expertise et des savoirs, constitue pour tout le personnel de Mérici et, particulièrement, pour les enseignants, un défi emballant et hautement stimulant."
www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=73600&B=1

Les Cégeps lancent une déclaration en prévention du suicide

À l’occasion de la Journée mondiale de prévention du suicide, les 48 cégeps ont lancé une déclaration commune liée à cette problématique, une première dans le réseau collégial public. À travers cette déclaration, qui stipule que l’éducation et la sensibilisation face au suicide sont l’affaire de tous, les 48 directions générales de cégep indiquent clairement à l’ensemble des jeunes que chacun d’entre eux est important et que le suicide n’est pas une solution. Cette prise de position des cégeps vise à attirer l’attention de la population québécoise sur le fait qu’il est possible de changer les choses afin de prévenir le suicide chez les jeunes et de contrer la banalisation du phénomène. Le message principal véhiculé par les cégeps dans leur déclaration est le suivant : « T’es important pour nous… le suicide n’est pas une option! ». Il est possible de lire et de signer la déclaration en prévention du suicide sur le site Web de la Fédération des cégeps http://www.fedecegeps.qc.ca/ La Fédération des cégeps et l’Association québécoise pour la prévention du suicide rappellent que des ressources sont disponibles en tout temps pour les personnes qui vivent une situation de crise ou pour l’entourage d’une personne en détresse. Les numéros à composer sans frais sont 1-866-APPELLE, ou encore Tel-jeunes, au 1-800-263-2260.

Les enseignants canadiens se rencontrent au Collège Vanier pour examiner la formation menant aux emplois en environnement. Les pommiers fleurissaient lorsque le Collège Vanier a accueilli, à son campus verdâtre,une cinquantaine de représentants venus de collèges et d’universités partout au Canada, pour assister à la conférence annuelle organisée par le Canadian College Environmental Network (CCEN) et le Canadian University Environmental Science Network, du 30 au 31 mai, 2007. Au cours de ces deux jours, le programme de Techniques de bioécologie à Vanier a joué le rôle d’hôte à ce rassemblement où les discussions ont visé l’accréditation, les inscriptions et les emplois en environnement. En ce qui a trait à l’accréditation, les délégués ont étudié la démarche par laquelle le Conseil canadien des normes, et d’autres organismes semblables reconnaissent les compétences d’une école à former des professionnels en environnement. Une telle accréditation est très importante pour certains emplois en environnement considérés dangereux, telle que la gestion des déchets, qui produisent ou manipulent des substances toxiques. Ainsi les programmes en environnement offerts par les écoles, doivent respecter des critères reconnus mondialement et suivre des procédures qui assurent une sécurité tant aux travailleurs qu’à l’environnement. L’adhésion aux normes et l’accréditation assurent une reconnaissance internationale des compétences de technologues formés au Canada. De plus, des liens étroits entre les organismes d’accréditation et les industries assurent aux étudiants l’acquisition de techniques et de compétences qui répondent aux besoins réels de main d’œuvre des compagnies. www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=73637&B=1

Des diplômes recherchés... mais en péril!
La plus récente enquête des Éditions Jobboom sur le placement des diplômés, menée en juin dernier, montre une fois de plus que plusieurs programmes de formation professionnelle et technique peinent à attirer des élèves malgré des perspectives d'emploi favorables. Certains programmes sont même suspendus faute d'inscriptions. «Il s'établit un cercle vicieux dans des secteurs où la main-d'oeuvre est très recherchée, comme la plasturgie et la restauration : les employeurs qui ne trouvent pas assez de travailleurs qualifiés se contentent de candidats non diplômés. Par ricochet, les salles de cours se vident, et il y a de moins en moins de diplômés disponibles», dit Patricia Richard, directrice des contenus Jobboom. Les établissements d'enseignement tendent à annuler un programme qui ne reçoit pas assez d'élèves pour former une classe. C'est ce qui est arrivé, entre autres, au Centre de formation professionnelle Le Chantier, à Laval, où le diplôme d'études professionnelles (DEP) Découpe et transformation du verre a été retiré de la grille horaire à l'automne 2006 et à l'hiver 2007. Quant à l'École professionnelle de métiers de Saint-Jean-sur-Richelieu, elle n'a pas reçu suffisamment d'inscriptions pour offrir le programme de plasturgie Conduite et réglage de machines à mouler en 2007.
http://info.jobboom.com/actualites/2007/08/29/4455882.html Placement des diplômés en 2007 La plus récente enquête des Éditions Jobboom sur le placement des diplômés, menée en juin dernier, montre une fois de plus que plusieurs programmes de formation professionnelle et technique peinent à attirer des élèves malgré des perspectives d'emploi favorables. Certains programmes sont même suspendus faute d'inscriptions. L'enquête complète est publiée dans les trois plus récents guides des Éditions Jobboom.

Les Vieux Métiers, les métiers vivants
Savez-vous ce qu'est un tonnelier? Un bardeleur? Un luthier? À Longueuil, l'organisme Les Vieux Métiers, les métiers vivants rassemble plus de 200 de ces artisans adeptes des métiers traditionnels. Son site présente notamment une liste de spécialités oubliées, avec définitions à l'appui.
www.vieuxmetiers.ca

Assurance de dommages : des employés chouchoutés
Les compagnies d'assurances font bonne figure dans les palmarès du type " Les meilleurs employeurs de l'année ". Leur secret? Elles ne manquent ni d'imagination ni de moyens lorsqu'il s'agit d'attirer et de fidéliser des professionnels. Coup d'œil sur le secteur de l'assurance de dommages et sur ses principaux employeurs au Québec. Le secret des gens heureux : Pour attirer des travailleurs, les compagnies d’assurance rivalisent de coquetterie et certaines arrivent à figurer aux palmarès des meilleurs employeurs canadiens. Experts en sinistres, agents et courtiers d’assurance sont peut-être parmi les plus heureux.
http://carriere.jobboom.com/marche-travail/secteurs/assurance/2007/08/08/4403041.html

Info universitaire
Nouvel avis du Comité consultatif sur l'accessibilité financière aux études (CCAFE) a été déposé sur le site Internet du Conseil supérieur de l'éducation. Il s'agit de l'avis Hausses des droits de scolarité des résidents du Québec, des étudiants canadiens et des étudiants étrangers : modifications au Règlement sur l'aide financière aux études.
www.cse.gouv.qc.ca Hausses des droits de scolarité des résidents du Québec, des étudiants canadiens et des étudiants étrangers : modifications au Règlement sur l'aide financière aux études. En réponse à une demande de la ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, le Comité consultatif sur l'accessibilité financière aux études (CCAFE) lui a transmis un avis sur des modifications apportées aux règles budgétaires de l'enseignement supérieur (hausses des droits de scolarité) et sur un projet de règlement visant à modifier le Règlement sur l'aide financière aux études (améliorations au régime d'aide financière aux études). Dans cet avis, le Comité souligne que la meilleure façon de protéger l'accessibilité financière aux études en cas de hausses de droits de scolarité est d'apporter simultanément des améliorations à l'aide financière, comme le prévoit le projet de règlement. Le Comité formule trois recommandations sur les modifications qui s'appliquent aux résidents du Québec. En premier lieu, il recommande l'introduction d'une indexation annuelle automatique des paramètres du Programme de prêts et bourses relatifs aux frais de subsistance et au matériel scolaire. En deuxième lieu, il recommande de mettre en œuvre un plan de communication pour rappeler l'importance de l'éducation et faire connaître les mesures d'amélioration de l'aide financière aux études qui entreront en vigueur en 2007-2008. Enfin, il recommande d'explorer diverses possibilités de transformation de l'allocation spéciale en aide financière non remboursable. Il suggère également aux établissements universitaires de réserver une partie du produit des hausses des droits de scolarité des prochaines années pour l'aide financière aux étudiants qui sont aux prises avec des difficultés financières. www.cse.gouv.qc.ca/FR/Cafe_Publications/index.html

Feu vert à la construction d’un pavillon de médecine à Trois-Rivières Le nouveau bâtiment sera prêt pour la rentrée de septembre 2008. L’implantation, à Trois-Rivières, d’une antenne de la Faculté de médecine de l’Université de Mon-tréal a franchi une nouvelle étape le 4 septembre, alors que le gouvernement du Québec donnait son autorisation à la réalisation des plans et devis d’un pavillon de formation médicale au Centre hospitalier régional de Trois-Rivières (CHRTR).
http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/347/221

L’UQTR déménage son centre universitaire hors campus de Québec au Complexe Bellevue
En raison du succès obtenu par son offre de cours dans la Vieille Capitale, l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) a annoncé le déménagement de son centre universitaire hors campus de Québec au Complexe Bellevue (1605, Chemin Sainte-Foy), à proximité du Collège François-Xavier-Garneau, afin de pouvoir accueillir une clientèle étudiante en croissance. Autrefois situé dans les locaux du Cégep Sainte-Foy, le centre universitaire hors campus de Québec bénéficie maintenant d’un nouvel espace d’opération plus vaste pouvant accueillir jusqu’à 180 étudiants à la fois. Cette hausse est attribuable principalement à la popularité de notre programme de baccalauréat en psychoéducation, nouvellement offert dans la ville de Québec depuis septembre 2006. Ce programme a enregistré jusqu’à présent plus de 140 inscriptions, d’où la nécessité de locaux plus spacieux pour mieux accommoder nos étudiants », a déclaré M. André Paradis, vice-recteur aux études de premier cycle et au soutien académique de l’UQTR. En plus d’annoncer le déménagement de son centre universitaire hors campus, l’UQTR a également procédé aujourd’hui à la signature d’une entente de collaboration avec le Collège François-Xavier-Garneau, afin de faciliter le passage des étudiants du programme de Techniques d’intervention en délinquance du Collège vers le baccalauréat en psychoéducation, par la reconnaissance académique de certains acquis collégiaux.
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=6577

Le site Web des conférences sur l'admission en sciences de la santé de l’université Laval a été mis à jour avec toutes les dates pour 2007-2008 :
www.admissionsante.ulaval.ca

Formation, documentation
Une vérité dérangeante : l’Orientation Verte
Avec le réchauffement climatique et les désordres environnementaux, de nouveaux concepts pour l’orientation sont nécessaires. L’orientation verte donne une perspective large aux choix d’orientation : quel est l’impact environnemental dans un parcours individuel d’orientation ? Il faudrait définir l’orientation et particulièrement le choix de carrière en termes écologiques plutôt que seulement en termes économiques. Une nouvelle approche est nécessaire, basée sur un certain nombre de principes appelés Orientation Verte.
-L’orientation devrait prendre en compte et créer une conscience de l’impact environnemental des choix d’orientation
-L’orientation devrait jouer un rôle actif dans les processus éducatifs avec une contribution positive sur les aspects environnementaux
-L’information scolaire et professionnelle devrait comprendre des éléments sur l’environnement
-L’orientation devrait être mesurée, non en fonction d’un impact économique mais en tenant compte d’objectifs environnementaux
-Sur une plus petite échelle, les conseillers d’orientation eux-mêmes, devraient inspecter leurs propres pratiques de recyclage ou dépenses d’énergie
Certains conseillers d’orientation vont trouver que cette approche est dangereusement directive et qu’elle met en question des pratiques courantes et peut-être même l’approche centrée sur le client. A son meilleur niveau, l’Orientation Verte pourrait être à l’initiative, en questionnement, en recherche constante, réfléchie, et centrée sur le client dans le bon sens : en laissant la décision au client mais peut-être tout en se sentant responsable. De plus, spécialement en relation avec la mondialisation, cela met l’orientation dans une place centrale : les enjeux environnementaux ne connaissent pas de frontières (Monbiot, 2006). C’est pourquoi il est si urgent que les conseillers d’orientation apportent leur contribution au changement.
http://www.iaevg.org/iaevg/nav.cfm?lang=1&menu=5&submenu=2 voir Nouvelles mai 2007 http://www.crccanada.org/crc/files/newsletters/Nouvelles58.pdf

Les mobiles du crime
À travers leurs récits de vie, des adolescents tenus responsables d’agressions sexuelles expriment leur mal-être existentiel
www.aufil.ulaval.ca/articles/les-mobiles-crime-1032.html

Un cours pour tous
Le cours Principes de logique a aidé des milliers d’étudiants obtenir de meilleurs résultats dans leur discipline et même à faire des choix de vie plus éclairés
www.aufil.ulaval.ca/articles/cours-pour-tous-1072.html

Nous avons lancé au printemps 2007 le site Handicapemploi pour les employeurs, avec une ambition qui s'inscrit dans une volonté de renforcer le principe d'Equité dans l'emploi, notamment en faveur des personnes handicapées. Handicapemploi.com est le 1er site de recrutement pour travailleurs handicapés, par lequel l'on peut effectuer des recherches en fonction des différents types de handicap. Radio Canada parle de nous :
www.handicapemploi.com/index.php?video=rcanada . Le site Handicapemploi offre aux employeurs la gratuité de l'affichage de leurs offres d'emploi car nous espérons que les personnes handicapées trouvent leur place dans une société juste et solidaire. Franck Goldberg Président, directeur général 514-993-0714 www.handicapemploi.com Exemples de liens vers handicapemploi : Branchez-vous http://techno.branchez-vous.com/actualite/2007/08/emploi_quebec_le_site_demploi.htm Emploi Québec http://emploiquebec.net/francais/individus/recherche.htm Ville de Montréal http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=65,2633160&_dad=portal&_schema=PORTAL Conseil permanent de la jeunesse www.cpj.gouv.qc.ca/fr/liens_nouveau.html Mon Emploi www.monemploi.com/mon_emploi/actualites/naissance-handicapemploi-com-6703.html
Collège Rosemont
http://crosemont.luka.ca/?6CFC2EEF-74CC-4F0E-B347-8509ABFE64F6 Université de Moncton www.umoncton.ca/FEECUM/finissant-emploi.html Conseil Permanent de la Jeunesse – Québec www.cpj.gouv.qc.ca/fr/liens_nouveau.html

École de la GRC Travaux de rénovation
L'école de formation de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) à Regina est en pleine extension. Un nouvel édifice des services d'alimentation, d'une valeur de 17 millions de dollars, sera construit pour remplacer l'ancienne bâtisse vieille de 52 ans. L'ouverture est prévue pour septembre 2008. De plus, les cadets vont profiter d'un nouveau champ de tir intérieur de 25 mètres. Le sergent Steve Smedley soutient que la GRC avait grand besoin de remplacer ses vieilles infrastructures et de mettre à jour sa technologie. Le nouveau commissaire de la GRC, William Elliot, était à Regina lundi matin pour inaugurer les nouveaux projets. Le commissaire, qui en est à sa deuxième visite officielle dans la capitale provinciale, a indiqué que ces changements sont nécessaires pour accueillir de plus en plus de recrues. Les travaux du nouveau champ de tir, qui ont coûté un peu plus de 5 millions de dollars, ont été complétés en septembre.
www.radio-canada.ca/regions/saskatchewan/2007/09/10/003-ecole-grc-renovation-regina_n.shtml

Le colloque annuel de Place aux jeunes du Québec (PAJQ) aura lieu du 16 au 18 octobre dans la région des Laurentides et pour la première fois cette année, nous accueillerons nos partenaires et les intervenants intéressés au phénomène de l'exode régional des jeunes. Vous trouverez ci-joint, la programmation et le formulaire d'inscription. Vous avez jusqu'au 19 septembre pour vous inscrire. L'accueil des partenaires et intervenants aura lieu le 16 octobre entre 15h30 et 18h00 et sera suivi d'un cocktail dînatoire. Au menu : des ateliers de formation portant sur la régionalisation de l'immigration, l'entrepreneuriat en région, les défis du marché du travail, etc. Vous êtes les bienvenues !
www.placeauxjeunes.qc.ca

Offre de formation de l'IRFCPO (approche psychogénétique de l’identité, épreuve groupement) pour l'automne 2007. Prenez note que des formations initiales sont offertes à Montréal et à Québec et qu'une journée d'étude de cas est offerte à Montréal. Des groupes peuvent aussi être organisés ailleurs si le nombre de participants le justifie. La 1ère formation est prévue les 4-5 octobre et les 18-19 octobre. Merci de diffuser le document auprès des personnes susceptibles d'être intéressées. Pour toute question, n'hésitez pas à me contacter à
irfcpo.formation@sympatico.ca Louise Landry, c.o.

Étude de l'OCDE sur l'orientation professionnelle et politique publique. Voir la section Nouvelles et aussi à la page des Ressources aux membres :
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=933

Site sur lequel vous allez trouver la liste de métiers semi-spécialisés:
http://documents.educationquebec.qc.ca/das/ . Le nom d'Utilisateur et le Mot de passe sont: validation et avenir41

Perfectionniste… moi?
Vous aimez que toute chose soit réalisée parfaitement? Vous devez réussir à tout prix tout ce que vous entreprenez? Vous vous fixez des objectifs extrêmement élevés, voire inatteignables? Vos critères personnels de réussite dépassent de loin ce qu'on attend de vous? Ces attitudes peuvent traduire une propension au perfectionnisme… Mais pas de panique, il est possible de bien vivre avec cette tendance, pourvu qu'elle ne nuise pas à votre santé psychologique. Mais pour une petite partie de la population, le perfectionnisme peut devenir malsain et gâcher réellement la vie des personnes et de leur entourage. Le perfectionnisme devient malsain quand…on s'impose un stress supplémentaire pour atteindre la perfection; on n'éprouve aucun plaisir en raison de notre constante insatisfaction; on devient trop dur envers soi-même; on conclut que tout est mal dès que ce n'est pas parfait; on prend du retard à vouloir trop bien faire; on évite de faire les choses ou on les remet à plus tard, de peur d'échouer; on doute toujours de ses performances; on suscite des réactions autour de soi, à cause du perfectionnisme.
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=6599


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Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC ACOC@videotron.ca



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Quelque Chose de l'ACOC


Votre courriel :

05 septembre 2007

V 6 No 3: Le traitement précoce des premières psychoses

Lever de soleil aux dunes de Tadoussac

7e congrès de l’ACOC en 2008
Nous vous ferons bientôt parvenir un courriel afin de connaître votre intention de participer à notre rencontre annuelle en partenariat avec l’Université de Moncton. Le 7e Congrès de l’ACOC aura lieu du lundi 12 mai au vendredi 16 mai 2008 (départ le 12 en autobus pour Moncton ; partenariat avec l’université de Moncton durant 2 journées ; inscription au CONGRÈS 2008 de l’ASSOCIATION CANADIENNE DE COUNSELING
www.ccacc2008.ca/fr/?lang=fr (14 et 15 mai). Thème - "Exploration de soi : La découverte de l'identité" www.ccacc2008.ca/fr/speakersWorkshops.cfm?lang=fr . Le retour en autobus aura lieu le vendredi 16 mai. Nous logerons sur le campus de l’université.

Journée de sensibilisation à la détection et au traitement précoce des premières psychoses Mission : Rémission ! Le 26 octobre prochain, au Cégep Limoilou (Québec), se tiendra une journée de sensibilisation de l’Association Québécoise des Programmes pour Premiers Épisodes Psychotiques (AQPPEP). Étant donné la nature de notre travail, nous sommes parfois appelés à intervenir auprès d’étudiants souffrant d’un premier épisode psychotique. C’est pourquoi cette journée s’avère tout à fait pertinente dans l’exercice de nos fonctions. Vous pouvez consulter le Dépliant de la journée, le Formulaire d’inscription ainsi que la Lettre d’invitation du Dr Marc-André Roy, président de l’AQPPEP, en consultant le site :
www.aqppep.com/evenements.htm Pour votre inscription (des frais de $10 comprenant la participation à la journée et un dîner servi sur place, seront payables en argent comptant lors de l’accueil de la journée de sensibilisation. Des reçus seront émis), veuillez faire parvenir avant le 12 octobre 2007 le formulaire dûment complété par télécopieur au (418) 691-0750. Lucie McCarthy, psychologue Cégep Limoilou Lucie.McCarthy@climoilou.qc.ca

La Chaire de recherche Normand Maurice vous rappelle qu'elle tiendra son 2e Congrès de la réussite les 1er et 2 novembre 2007. Nous vous invitons donc à prendre connaissance du programme à l'adresse suivante et de le diffuser dans votre milieu et aux conseillers pédagogiques
www.uqtr.ca/chaire_normandmaurice . Vous devez cliquer sur Congrès Réussite et ensuite sur « 2e Congrès Réussite» pour avoir accès à l’Affiche du congrès, au Programme et à la fiche d’Inscription. Veuillez noter que vous ne pouvez vous inscrire en ligne. Seules les inscriptions reçues par la poste seront acceptées. Le nombre de places est limité. Inscription non valide sans chèque. Date limite d'inscription : 30 septembre 2007. Aucun remboursement après le 1er octobre 2007. Congrès de la réussite 2007 1er et 2 novembre 2007 Hôtel Delta Trois-Rivières congres-reussite@uqtr.ca Téléphone : 819-376-5011 poste 3649

Info collégiale
Le collège d’Alma accueille en grand ses élèves nouveaux résidents Les élèves du Collège d’Alma nouvellement résidents étaient accueillis chaleureusement par les autorités du Collège et de la Ville. Parmi les élèves du Collège nouvellement résidents d’Alma, une cinquantaine participaient à une soirée d’accueil toute particulière. Ces élèves sont inscrits dans différents programmes de formation au secteur régulier et à la formation continue et proviennent d’autres villes de la région, du Québec et même de l’étranger. Après que le directeur général du Collège, Jean Paradis, et le maire d’Alma, Gérald Scullion, leur eurent adressé quelques mots, ces élèves étaient conviés à un copieux souper mettant en vedette nos mets régionaux. Lors de son allocution, le directeur général les a remerciés d’avoir choisi le Collège d’Alma comme destination de formation tandis que le maire d’Alma a tenu à exprimer sa fierté de voir arriver ces nouveaux citoyens et à leur souhaiter la plus cordiale bienvenue. Par la suite, une activité surprise les attendaient : une belle croisière sur la rivière Grande Décharge et sur le lac Saint-Jean, à bord du bateau La Tournée, par un très beau temps où une magnifique pleine lune succéda à un flamboyant coucher de soleil. À bord du bateau, en plus d’admirer le paysage, nos nouveaux venus ont pu participer à un jeu leur permettant de se présenter, de se connaître et d’échanger avec leurs collègues. Une très belle soirée, qui reflétait la volonté du Collège de faire du séjour de ses élèves une réussite, une préoccupation constante dès leur recrutement jusqu’à leur diplomation, en passant par leur accueil durant leurs premiers pas au cégep.
www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=72938&B=1

Un métier, une profession, une carrière en tourisme
L’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec (ITHQ) offrira le programme Guide touristique de Montréal. Du 5 novembre 2007 au 14 mai 2008, l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec (ITHQ) offrira le programme Guide touristique de Montréal, une formation essentielle à l’obtention du permis municipal obligatoire pour pratiquer la profession de guide touristique à Montréal. Que ce soit à pied ou en véhicule motorisé, le guide touristique de Montréal commente les visites de sites, de bâtiments, de monuments historiques et de lieux pittoresques ou à caractère culturel qui donnent son caractère unique à la métropole du Québec. Ce programme, d’une durée de 240 heures, vise à fournir les connaissances et le savoir-faire nécessaires à l’exercice du métier. Offerts en anglais, les cours permettent d’acquérir des connaissances sur l’histoire, les composantes physiques et humaines du paysage montréalais, les activités socioéconomiques de la ville, les arts, l’architecture, l’urbanisme et les techniques de guidage. Au terme de leur formation, les élèves sont en mesure d’animer et d'informer adéquatement les visiteurs afin de rendre plus dynamique la découverte des sites touristiques montréalais ; ils peuvent également gérer un programme d’activités et de visites touristiques. Les cours auront lieu dans les locaux de l’Institut, de 18 h 30 à 21 h 30, les lundi, mardi et mercredi ainsi que quelques samedis. Les frais de scolarité s’élèvent à 1800 $. Toute demande d’admission doit parvenir à l’ITHQ au plus tard le 14 septembre 2007. Une séance d’information obligatoire aura lieu le mercredi 12 septembre à 18 h pour les personnes intéressées à s’inscrire. Ces dernières doivent se présenter à l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec, au 3535 rue Saint-Denis, Montréal, juste au-dessus de la station de métro Sherbrooke. Lors de cette séance d’information, une évaluation des connaissances linguistiques des candidats sera également effectuée.
www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=72961&B=1

À Québec, Guide Touristique Local au Cégep St. Lawrence
Un programme de 150 heures qui assure aux gradués d’obtenir le permis de guide touristique émis par la Ville
de Québec. http://www.slc.qc.ca/index.php?module=pagesetter&func=viewpub&tid=12&pid=90&mm=175i175

Carrières en sciences judiciaires et médecine légale
Voir la description des professions reliées à ces domaines ainsi que leurs conditions d'admission.
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=881

Info universitaire
Le nouveau campus de l’UQAR à Lévis
www.uqar.qc.ca/uqar-info/0907/Ouverture_campus_Levis.asp

Construction du pavillon interdisciplinaire en santé
L'UQTR attend la confirmation du démarrage de son programme en ergothérapie avant de poursuivre. L'Université du Québec à Trois-Rivières a annoncé le 29 août qu'elle prévoit amorcer les travaux de construction de son nouveau pavillon interdisciplinaire en santé lorsqu'elle aura obtenu confirmation du démarrage de son programme en ergothérapie, de même que les autorisations subséquentes requises. «Avant d'entreprendre les travaux de construction du pavillon interdisciplinaire en santé, notre institution doit obtenir l'aval du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport du Québec pour l'ouverture d'un programme en ergothérapie, ainsi que la confirmation des budgets qui y seront rattachés, puisque l'arrivée de ce nouveau programme aura des impacts majeurs sur l'aménagement du futur bâtiment», d'expliquer M. René Garneau, vice-recteur à l'administration, aux finances et à la vie étudiante de l'UQTR.
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=6563

Formation, documentation
Éducation et municipalités : le cas de la Finlande
www.educationinfonet.com/entrevue.asp?ID=46795 Dans une entrevue exclusive , M. François Desrochers, député de Mirabel et porte-parole de l’opposition officielle en matière d’éducation, nous a aussi parlé du modèle finlandais où non seulement le système d’éducation est très décentralisé, les écoles possèdent une réelle autonomie, mais où également ce sont les municipalités qui en ont la responsabilité. Des villes comme Seattle, Houston, San Francisco et Chicago ont aussi opté pour une décentralisation de la gestion des écoles.

« Une seule taxe, une ville, des écoles et pas de commission scolaire »
www.rimq.qc.ca/entrevue.asp?ID=46784


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Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC ACOC@videotron.ca



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