25 septembre 2007

V 6 No 5: Guide d'admission universitaire Hiver 2008

Du haut de la Côte-des-chats à St-Pacôme


Une version simplifiée du guide d'admission universitaire Hiver 2008 par Raymond Jean, c.o.
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915

Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton! (du 12 au 16 mai 2008)
Après deux semaines, 25 membres des 18 collèges suivants ont déjà signifié leur intérêt : Jonquière, Limoilou, St-Laurent, Gaspésie, Abitibi-Témiscamingue, St-Jean-sur-Richelieu, F.-X. Garneau, Granby, Collège international Marie de France, St-Jérôme, Sherbrooke, St. Lawrence, Lanaudière, Ste-Foy, St-Hyacinthe, St-Félicien, Lévis-Lauzon et Chicoutimi. Continuer à nous manifester votre intérêt, le Comité organisera ce 7e Congrès à partir des besoins de ceux et celles qui nous auront transmis un courriel. Peu importe votre lieu de travail (cégeps, écoles secondaires, CJE, écoles privées, universités …), le Conseil exécutif de l’ACOC aimerait connaître les membres intéressés à participer à notre prochaine rencontre annuelle : le 7e Congrès 2008 en partenariat avec l’université de Moncton. Veuillez transmettre rapidement un courriel à
acoc@videotron.ca en précisant :
-votre prénom, nom et lieu de travail (établissement et ville)
-votre réservation d’une place dans l’autobus de Moncton (gracieuseté de l'université) le 12 mai (embarquement à Montréal, Lévis ou Rivière-du-Loup)
-votre choix de vous loger sur le campus (à prix modique: 35$ par nuit pour une chambre individuelle)
-et finalement, votre intention de vous inscrire (frais à venir) au colloque de l’ACC débutant le 14 mai (nous reviendrons au Québec le vendredi 16 mai).
Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Vous pouvez aussi offrir un atelier au congrès de l’ACC : Appel de proposition d’atelier pour le CONGRÈS 2008 ASSOCIATION CANADIENNE DE COUNSELING
www.ccacc2008.ca/fr/?lang=fr Vous y trouverez entre autre la date limite (30 octobre 2007) pour soumettre des conférences ainsi que la présentation des deux organismes partenaires à l’organisation. Conférenciers : www.ccacc2008.ca/fr/speakersWorkshops.cfm?lang=fr

Info collégiale
Communiqué du SRACQ et du SRAM sur les nouvelles conditions d’admission au collégial
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=896

Le Salon Éducation et le Salon Formation Carrière
10 au 13 octobre 2007 - Place Bonaventure - Montréal
Voir sur notre site le Communiqué sur le Salon Formation Carrière
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=948


13e Salon Éducation Emploi à Québec
25 au 28 octobre 2007 – Centre de foires de Québec entrée gratuite
www.SalonEducationEmploi.com

Programme de formation d'officiers de la Garde Côtière Canadienne Je travaille au collège de la Garde Côtière canadienne à Sydney en Nouvelle-Écosse. Nous avons deux programmes de formation pour devenir officier sur les navires de la Garde Côtière canadienne (un en navigation et l’autre en mécanique maritime). Pour avoir plus d’information vous pouvez consulter notre site internet au
www.cgc.gc.ca/CGC.php?l=f&m=9&s=39&p=14 . Nous aimerions améliorer notre recrutement de francophones dans ces programmes pour l’année prochaine. Normand Lavigne Instructeur en sciences nautiques Collège de la Garde Côtière canadienne lavigneno@dfo-mpo.gc.ca Voir la section Nouvelles du site de l’ACOC www.acoc.info Le recrutement pour le Programme de formation d'officiers de la Garde côtière canadienne (PFOGCC) est commencé. Le collège de la garde côtière canadienne planifie prendre 48 recrus pour sept. 2008. Une très bonne opportunité pour apprendre une nouvelle profession et pour travailler abord des navires de la Garde côtière canadienne. Pour plus d’information consulter : www.ccg-gcc.gc.ca/fleet-flotte/SPM-GPN/main_f.htm

Une carrière en justice
www.jeunepourjeunes.com/carrieres_en_justice

Info universitaire
Le corps humain commenté par un anatomiste
Une vingtaine d’étudiants en médecine visitent l’exposition Le monde du corps 2 avec leur professeur. Jean Déziel enseigne à l’Université de Montréal depuis plus de 40 ans. Certains des 21 étudiants en médecine de l’UdeM qui accompagnent l’anatomiste esquissent un sourire (grâce à leur grand zygomatique, qu’ils verront plus tard…) et se fraient un chemin vers la prochaine pièce, portant sur le système nerveux. Pour Hannah Beattie, c’est l’appareil locomoteur qui a été le plus impressionnant. «Nous avions étudié ces structures dans l’un de nos cours et le fait de voir les muscles, tendons et ligaments, c’était très pertinent», souligne-t-elle.
http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/388/221

Des choix d'études moins payants à l’université
Les filles sont plus nombreuses que les garçons à fréquenter les universités, révèle une étude... Mais elles choisissent les secteurs les moins payants. On savait que les filles étaient plus nombreuses que les gars à poursuivre des études universitaires, et Statistique Canada a scruté les données de 2003 pour tenter de comprendre pourquoi. L'enquête s'est intéressée à la transition de près de 18 000 jeunes Canadiens de 15 à 19 ans. De ce nombre, 39% étaient des femmes inscrites à l'université, 26% étaient des hommes également inscrits à l'université, alors que les autres répondants ne poursuivaient pas d'études supérieures. «Nous ne nous sommes pas fiés aux réponses qu'ils nous donnaient, mais nous avons plutôt examiné les faits», explique Marc Frenette, analyste responsable de l'étude. Dans 45 % des cas, la présence majoritaire des filles à l'université s'explique par leurs bonnes notes. La seconde raison, observée dans 11% des cas, est le fait que les filles consacrent plus de temps que les gars à leurs devoirs: 41% d'entre elles passent plus de quatre heures par jour à étudier, contre 30 % des garçons. Fait troublant, l'écart s'explique également par le fait que les parents insistent moins pour que les garçons fréquentent l'université qu'ils ne le font pour les filles. Ainsi, 70% des parents affirment vouloir que leur fille fréquente l'université, alors que 60% des parents souhaitent la même chose pour leur fils. Dans une autre récente étude de Statistique Canada, l'analyste Marc Frenette s'est interrogé sur les choix d'études des filles et des garçons ainsi que sur le salaire moyen chez les jeunes de 25 à 29 ans. Les résultats démontrent clairement que les secteurs où les filles sont majoritairement présentes à l'université sont les sciences sociales et l'éducation, alors que les secteurs les plus payants pour elles sont plutôt le génie et la santé. Les garçons font des choix d'études plus «payants» que les filles, indique l'étude, puisqu'ils se dirigent majoritairement vers les secteurs de la santé, du génie, du commerce et de l'informatique.
www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2007/09/20070922-110602.html

Pas facile d'être un nouveau prof
Les cinq premières années d'un nouveau professeur dans le milieu de l'enseignement au Québec n'est pas de tout repos. Ces derniers héritent la plupart du temps de queues de tâches, se font offrir les pires groupes, commencent leur métier comme remplaçants, travaillent sur appel ou encore n'enseignent même pas la matière dans laquelle ils ont été formés. La violence grandissante dans les écoles vient mettre la cerise sur le gâteau tant et si bien que des études canadiennes réalisées en 1992 ont démontré que le taux de décrochage des jeunes enseignants est le plus élevé par rapport aux autres professions, soit 15 %. "Dans certains États américains, ça peut aller jusqu'à 50 %", signale le professeur Stéphane Martineau, responsable du Laboratoire d'analyse de l'insertion professionnelle en enseignement (LADIPE) de l'UQTR. Depuis plusieurs années, toutefois, des moyens ont été mis en place afin de bien préparer les nouveaux enseignants et leur permettre de franchir ces obstacles. La formation universitaire est alors passée de trois à quatre années, ce qui permet d'y insérer 700 heures de stage dont 12 semaines au cours desquelles les aspirants professeurs peuvent prendre en charge une classe complète. "Ils sont mieux préparés à intervenir auprès des élèves en difficulté", note le professeur Martineau. Le CNIPE tente de répondre aux besoins d'accompagnement des jeunes professeurs en mettant à leur disposition, depuis 2005, un site web interactif où ils peuvent trouver une foule d'informations sur leur profession, voire faire partie de groupes de discussion et même obtenir du mentorat.
www.cyberpresse.ca/article/20070917/CPNOUVELLISTE/709170685/5409

Malgré sa surdité Audrey Lessard poursuit des études en podiatrie au bout de ses rêves en silence
Toute petite, Audrey Lessard rêvait déjà de pouvoir soigner les gens. Mais au fur et à mesure qu'elle entrait dans le monde des adultes, de nombreuses barrières se dressaient devant elle. Comment pourrait-elle y arriver, elle est sourde. L'étudiante au doctorat en médecine podiatrique est en train de prouver que le rêve peut devenir réalité. Elle vient d'ailleurs de commencer son internat à la Clinique podiatrique de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). La route de cette étudiante âgée de 25 ans, originaire de Thetford Mines, a été parsemée d'embûches. Elle est née sourde. Comment cette petite fille privée de l'ouïe et de la parole pourrait-elle prendre sa place hors de cette bulle de silence? Dès le primaire, on conseillait à ses parents qu'elle fréquente une école pour les personnes sourdes. Ils ont alors refusé, insistant pour qu'elle soit incluse dans une classe régulière de l'école du quartier. Plus cette élève brillante grandissait dans le monde scolaire, plus il y avait de gens lui suggérant de trouver une voie différente. «On m'a dit souvent que je n'irais jamais à l'université. Je faisais la sourde oreille», ajoute-t-elle en rigolant. Depuis la période estivale, elle travaille avec persévérance à relever un autre important défi dans son cheminement académique, soit celui de quitter la classe pour interagir avec les patients qui fréquentent la clinique podiatrique. D'abord en compagnie d'une collègue de quatrième année et seule depuis la rentrée. Elle n'est pas tout à fait seule. À la différence de ses camarades de cohorte, Audrey est accompagnée quotidiennement par Sonya Hombert, son interprète et complice depuis cinq ans. «Il y a habituellement deux types de réaction. Le fameux «Pauvre toi», qu'on entend souvent de la part des personnes âgées et le «Wow! C'est le fun, tu as beaucoup de courage». Les gens me demandent comment je ferai pour travailler plus tard. Je réponds en disant, de la même façon que je suis en train de le faire», raconte Audrey par la bouche de son interprète Sonya. Audrey raconte que le plus grand défi consiste évidemment à mettre le patient en confiance. «Mon interprète doit gérer les communications, parce qu'évidemment je ne peux pas communiquer avec le patient pendant que je fais le traitement», précise-t-elle. Cette dernière estime qu'après deux ou trois visites d'un même patient, elle serait en mesure de travailler seule. On peut en effet échanger avec elle grâce à l'interprétation labiale. La future podiatre estime qu'elle pourrait amorcer sa pratique comme adjointe à un podiatre. À la lumière de sa nouvelle expérience clinique avec son interprète, elle entrevoit la possibilité de continuer en duo. «Je pourrais aussi embaucher Sonya comme assistante, je n'aurais même pas besoin de la former. D'ailleurs, j'espère qu'elle aura une attestation à la fin de la formation», lance-t-elle. Audrey Lessard sait qu'elle a de la chance de pouvoir compter sur Mme Hombert, une interprète hors pair. Imaginez, depuis cinq ans elle suit le même parcours académique qu'Audrey. Elle pourrait passer les mêmes examens. Cette dernière a dû se familiariser avec la terminologie pharmacologique et maintenant celle de la podiatrie. «Il y a beaucoup d'interprètes qui se seraient sauvées en courant depuis longtemps», mentionne Audrey Lessard. Mme Hombert est sans doute la perle rare. Elle est probablement la seule au Québec à pouvoir traduire simultanément un entretien en anglais, pour ensuite le transmettre en français sur les lèvres et en langage signé. Cette spécialité représentera un sérieux atout pour le duo, puisque la dernière portion du programme académique en médecine podiatrique exige la tenue d'un stage pratique obligatoire à New York.
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=6626

Un homme… sage-femme
Les professeures et étudiantes du programme de baccalauréat en pratique sage-femme de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) ont eu toute une surprise lors de la rentrée universitaire. Ils ont reçu la visite d'un homme sage-femme. Thomas Deharbe, poursuit actuellement des études universitaires en formation sage-femme dans sa région natale de Reims en France. Il était en visite sur notre campus, où sa sœur poursuit actuellement des études supérieures en littérature. «Lorsque j'ai constaté qu'il y avait un programme de formation de sage-femme, j'ai voulu rencontrer les étudiantes pour connaître comment elles vivaient leurs études», a-t-il tout bonnement indiqué. «En France, il y a entre 8 % et 10 % d'hommes en pratique sage-femme» C'est que l'étudiant âgé de 22 ans ne se formalisait pas trop de susciter tant de curiosité chez ses camarades québécoises. Après tout, l'homme tout comme la profession sage-femme sont solidement implantés dans le monde médical français. «En France, il y a entre 8 % et 10 % d'hommes en pratique sage-femme», précise Thomas Deharbe. De ce côté-ci de l'Atlantique, la situation est fort différente. Ne cherchez pas d'homme sage-femme au Québec. Il n'y a pas eu, non plus, de demande masculine de formation depuis le lancement de ce programme de formation exclusif à l'UQTR en 1999. Lors de ses échanges avec les étudiantes trifluviennes, Thomas a pu apprendre qu'il existait en fait de grandes différences entre les pratiques françaises et québécoises. Alors qu'en France, la sage-femme œuvre surtout en milieu hospitalier, au Québec les accouchements avec sage-femme sont pratiqués en maison de naissance ou à la maison. Cette dernière option est quasi proscrite en France, surtout pour une question d'assurance. Cela engendre des coûts impossibles à rentabiliser pour ce type d'acte. Les honoraires de la sage-femme seraient exorbitants. De plus, de par sa formation et en pratique la sage-femme française est à égalité hiérarchique avec le médecin. «Nous ne sommes pas considérés comme des paramédicaux, ce qui facilite nos relations de travail au quotidien», souligne-t-il. Après bientôt deux ans de formation universitaire, sur quatre, Thomas Deharbe compte déjà une cinquantaine d'accouchements sous supervision d'une sage-femme. Quel accueil lui réservent ses patientes? «Je dirais qu'il est très bon. Les hommes doivent évidemment travailler tout en douceur. Je me suis aussi fixé comme mission d'intégrer au maximum le père dans l'accouchement. Je note qu'ils ont moins peur de me poser des questions, que lorsqu'ils se retrouvent en présence d'une sage-femme», explique-t-il. L'homme sage-femme au Québec.
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=6622

Quand la physique s’inspire de la biologie
Paul Charbonneau recourt aux algorithmes évolutifs pour résoudre des problèmes d’astrophysique. Il peut paraitre étonnant que des astrophysiciens prennent modèle sur des lois darwiniennes de l’évolution biologique pour résoudre des problèmes de physique. C’est ce que fait Paul Charbonneau, qui a mis au point un algorithme «génétique» maintenant utilisé partout dans le monde dans des disciplines aussi diverses que le design automobile, la sismologie, le génie mécanique ou la théorie des jeux.
http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/383/221

Boucar Diouf fait partie du Cercle d’excellence de l’Université du Québec (notre conférencier au Congrès à l’UQAR) L’artiste bien connu Boucar Diouf, qui a aussi des talents en biologie et en enseignement, vient d’être accueilli dans le Cercle d’excellence de l’Université du Québec. Ce club sélect regroupe différents membres qui ont fréquenté l’un ou l’autre des établissements de l’Université du Québec, à titre d’employé, d’enseignant ou d’étudiant, et qui se démarquent par leurs réalisations. Détenteur d’un doctorat en océanographie de l’UQAR, Boucar Diouf y œuvre comme chargé de cours en biologie depuis 1996. Exemple d’intégration, M. Diouf, qui est d’origine sénégalaise et enseigne la biodiversité, se définit comme «une ceinture fléchée 6e Dan, pure laine vierge de mouton noir». Il vient de publier un livre de contes et a mis sur pied des ateliers interactifs pour faire comprendre, aux élèves du primaire et aux jeunes lecteurs, que les différences culturelles sont source de beauté et de découverte. Ces actions lui ont valu le Prix Jacques-Couture 2006, un prix québécois de la citoyenneté, remis par le Gouvernement du Québec en reconnaissance aux gens qui excellent dans la promotion du rapprochement interculturel. «Boucar Diouf effectue présentement une réorientation de carrière comme humoriste et animateur, a expliqué le recteur Michel Ringuet. Il s’est déjà mérité deux mentions au Gala des Oliviers. Heureuse de voir le démarrage rapide de cet artiste talentueux, l’UQAR souhaite plus que tout qu’il demeure disponible pour continuer à enseigner. Toutes nos félicitations!»
www.uqar.qc.ca/uqar-info/0907/BoucarDiouf_UQ.asp

Avec le temps, l’adaptation aux études universitaires est d’abord une question d’attitude Les études universitaires marquent le début d’une nouvelle vie. Pour certains étudiants, l’adaptation à leur nouveau milieu sera facile. Pour d’autres, cette transition s’avérera plus compliquée. En effet, s’adapter à l’Université représente tout un défi où se mêlent à la fois excitation et inquiétude. Afin de mettre toutes les chances de son côté et réussir son départ, la meilleure suggestion qu’on puisse faire à un étudiant est de se donner le temps d’apprivoiser son nouveau milieu. «Certains étudiants trouvent qu’il ne vaut pas la peine de s’installer pour étudier quand on n’a qu’une heure devant soi, ont souligné les conseillères. Pourtant, ils sous-estiment le fait que cette heure leur appartient et qu’il est important de bien utiliser les heures creuses dans une vie d’étudiant, surtout quand on a un emploi en plus de ses études.» L’horloge biologique variant d’une personne à l’autre, il importe aussi de bien connaître son rythme et de le respecter. En d’autres termes, rien ne sert de s’évertuer à emmagasiner des connaissances au petit matin si on se sait à son meilleur vers 10 h du soir. Comme il n’y a pas que les études dans la vie, les conseillères n’ont pas manqué d’inciter les étudiants à se créer un réseau d’appartenance, en s’intégrant à un groupe ou à une association étudiante, par exemple. Parfois, cela peut être aussi simple que de se mêler aux autres au moment de la pause, en classe, l’essentiel étant de ne pas s’isoler, ce que certains étudiants ont tendance à faire lorsqu’ils se sentent dépassés par les événements. Les études prenant le dessus, on peut également être tenté de mettre de côté l’exercice physique, à cause du manque de temps. Là encore, il s’agit de bien planifier son horaire en faisant de la pause du midi un moment où on prend soin de soi en marchant d’un bon pas sur le campus ou en allant nager au PEPS, par exemple. Tout demeure une question d’organisation et d’attitude. À ceux et celles qui ont envie de décrocher et qui ne voient pas la lumière poindre au bout du tunnel, les animatrices de ce premier atelier offert par le COCP conseillent de ne pas se laisser aller au découragement. En effet, d’autres ont vécu la même situation et sont sortis de l’impasse qui guette les nouveaux arrivés. D’où l’importance de ne pas précipiter les choses et de se donner du temps, les choses revenant généralement à la normale au bout de quelques semaines.
www.aufil.ulaval.ca/articles/avec-temps-1182.html

Anthropologue judiciaire (bio-anthropologue) et autres professions en lien avec les sciences judiciaires Qui est-il?
www.ledevoir.com/2005/01/10/72270.html Pour plus de détails sur le sujet: www.cybersciences-junior.org/junior/fr/professions/anthropologue_judiciaire/etudes_et_emplois.html Chimie judiciaire - Quand la science se fait détective - http://archives.radio-canada.ca/IDCC-0-16-1933-12580/sciences_technologies/resolution_crimes/ Les premiers médecins légistes Un chirurgien a pratiqué une autopsie sur le corps d’un marin lors d’un voyage de Jacques Cartier en Amérique. Les débuts d'un laboratoire médico-légal Le pionnier de la médecine légale Wilfrid Derome s’est aussi intéressé à la balistique. Cocktail à l'arsenic et explosion criminelle En 1937 et en 1949, les experts québécois en homicide clarifient deux crimes crapuleux. Identifier le sang séché L’analyse de la projection des gouttes de sang d’une victime révèle la façon dont un crime fut accompli. Attention, certains propos peuvent choquer. Des insectes révélateurs Les insectes qui se nourrissent d'un cadavre peuvent dévoiler aux entomologistes la date du décès. Police scientifique et attentats terroristes Des procédés techniques et scientifiques facilitent l’aboutissement d’enquêtes sur des attentats terroristes. Une rencontre avec Kathy Reichs En 1997, la célèbre romancière américaine travaille six mois par année à Montréal comme anthropologue judiciaire. Chimie judiciaire Des chimistes analysent des traces matérielles, des drogues ou du sang recueillis sur les lieux d’un crime. Lumière sur meurtres non résolus Les tests d’ADN permettent d’identifier des auteurs d’homicide qui circulaient en toute liberté. Transformer une image floue en une preuve claire Des techniciens démasquent parfois des visages captés par des caméras de surveillance. Reconstituer le visage d'un mort Avec de l’argile, un artiste peut reproduire la tête d’une personne morte depuis plusieurs années. Des traces qui parlent Des traces de chaussures ou de pneus relevées sur la scène d’un crime mènent parfois au coupable. ADN : la fin des erreurs judiciaires? En plus de résoudre des crimes violents, l’ADN permet de réparer de nombreuses erreurs judiciaires. Autres liens Sciences judiciaires et médecine légale – Sécurité publique Québec www.msp.gouv.qc.ca/labo/index.asp Autopsie d’un meurtre – Centre des sciences de Montréal www.centredessciencesdemontreal.com/autopsie/flash.htm Services de laboratoires judiciaires – GRC www.rcmp.ca/fls/intro_f.htm Société canadienne des sciences judiciaires http://ww2.csfs.ca/ Banque nationale de données génétiques – Canada www.nddb-bndg.org/francais/main_f.htm

Formation, documentation
Un idiot dans la classe

Dans le Québec des années 1930, les tests psychométriques administrés aux élèves des écoles primaires ont servi les plus forts au détriment des plus faibles. De nos jours, on parlerait d’eux comme des élèves ayant des difficultés d’apprentissage. On les laisserait probablement intégrer une classe normale en se disant qu’il n’y a rien comme de se fondre dans un groupe pour stimuler les plus lents à apprendre. Or, dans les commissions scolaires de Montréal, il fut un temps où on ne l’entendait pas de cette oreille. Parce qu’ils présentaient des quotients intellectuels inférieurs à la moyenne après avoir passé des tests psychométriques - ou tests d’intelligence - des milliers de petits Québécois, étiquetés «débiles de type inférieur», «imbéciles» ou «idiots» ont pris le chemin d’établissements d’enseignement spécialisés et même d’hôpitaux psychiatriques. Nous sommes au début des années 1930 et la mesure de l’intelligence fait loi, dans une société où on considère que les sujets moins doués ne doivent pas entraver la bonne marche de l’éducation et l’ordre général. «La doctrine de l’hygiène mentale était très populaire au sein des champs médicaux et politiques au Québec pendant l’entre-deux-guerres», dit Martin Pâquet, professeur au Département d’histoire, qui a écrit un article sur la question paru récemment dans The Canadian Historical Review, en collaboration avec Jérôme Boivin, étudiant à la maîtrise. «Contrairement à ce qu’on pourrait croire, les tenants de cette doctrine – médecins, éducateurs - étaient animés de bonnes intentions, insiste Martin Pâquet. Ils trouvaient important de dépister les sujets que le système scolaire ne pouvait pleinement intégrer afin qu’ils puissent recevoir une éducation adaptée à leurs besoins.»
www.aufil.ulaval.ca/articles/idiot-dans-classe-1352.html

Nouvelle carrière, nouvelle vie !
L’ingénieur qui se fait ébéniste, l’avocate qui devient pâtissière : qui n’a pas rêvé de changer non seulement de boulot, mais aussi de secteur d’emploi ? Un phénomène appelé à se répandre, disent les spécialistes… Mais un tel virage, ça se planifie ! Quelques semaines avant Noël, l’an dernier, Véronique Collard a tiré un trait sur sa carrière d’avocate. Et sur le salaire considérable que celle-ci lui rapportait. Aujourd’hui, bandana sur la tête et tablier sur les hanches, elle se consacre à la confection de petits gâteaux et de crème glacée. Pour l’équivalent du salaire minimum. Les deux mains dans la farine, au milieu de ses fourneaux, cette mère de trois fillettes le déclare sans détour : « C’est le bonheur ! » Véronique Collard, 33 ans, et son associée, Pascale Guindon, 40 ans, sont les propriétaires d’Itsi Bitsi, paradis des cupcakes — petits gâteaux format muffin —, de la crème glacée maison et des objets-cadeaux, dont des assiettes, des tasses, des coussins. Le matin de décembre où, fébriles, elles ont ouvert pour la première fois les portes de leur boutique du quartier Saint-Henri, à Montréal, un vent frais est venu se mêler aux effluves sucrés des gâteaux. La vie professionnelle des deux femmes venait de prendre un nouvel élan. Toutes deux réalisaient un rêve caressé depuis longtemps, celui de tenir commerce. Un projet qui ne pouvait voir le jour qu’à une seule condition : qu’elles abandonnent leurs carrières respectives d’avocate et de graphiste. Depuis, elles travaillent sans compter les heures, l’une s’occupant des achats et du service à la clientèle, l’autre imaginant de nouvelles recettes de « gâtelets ». Et c’est réussi. Devant leur étalage, les clients salivent : choco-caramel, lavande et miel, espresso, pavot-citron…Pascale Guindon et Véronique Collard font partie d’un groupe de travailleurs — appelons-les « de la seconde chance » — dont on connaît encore peu de choses. Tant à Emploi-Québec qu’à Statistique Canada et à l’Institut de la statistique du Québec, on n’a pas recensé les personnes qui ont ainsi réorienté leur carrière au cours des dernières années. Ces travailleurs ne sont pas compris dans les statistiques ! En juillet, l’envoi d’un courriel à une trentaine de connaissances — leur demandant si des gens de leur entourage avaient fait « le grand saut » — a toutefois suffi à me convaincre que l’histoire des propriétaires d’Itsi Bitsi n’était pas unique. J’ai été inondé de réponses. « Mon frère a quitté son poste d’ingénieur pour devenir ébéniste », me dit l’un. « Ma belle-sœur, avocate, est devenue massothérapeute », indique l’autre. « Une amie de ma mère était boulangère. Elle a tout quitté pour retourner aux études. Aujourd’hui, elle est plâtrière », me dit une autre encore… On verra de plus en plus de ces « seconds débuts », estime Normand Roy, directeur du Centre d’étude sur l’emploi et la technologie, à Emploi-Québec. « Plus le marché du travail offre de bonnes perspectives, plus les possibilités de changement vont se présenter. » Quant aux plus jeunes représentants de la génération des baby-boomers, à l’aube de la cinquantaine, ils estiment le moment venu de se consacrer à ce qu’ils aiment. « Ils me disent que ça fait des années qu’ils travaillent et se sacrifient pour leur famille, raconte la conseillère. Les enfants partis, ils veulent désormais faire ce qui leur tente. Penser d’abord à eux. » Et cela passe souvent par un nouveau métier, davantage collé à leurs aspirations profondes.
www.lactualite.com/economie/article.jsp?content=20070912_164249_292



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Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC ACOC@videotron.ca

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