27 mars 2008

V 6 No 23: De la flexibilité pour un diplôme d'études secondaires de qualité au secteur des adultes


À Pâques, au Mont du Midi (Massif du sud)

À noter à votre agenda
Carrefour de l’orientation
(thème à préciser) le mercredi 26 novembre 2008 à l’UQAR-Lévis jumelé avec une rencontre avec les représentants des deux campus et la journée des partenaires de l’université Laval, le lendemain : jeudi le 27 novembre 2008.

Inscription au colloque de l’ACC (Association Canadienne de Counseling) à Moncton
À partir du 1er avril: 490$ pour les membres réciproques ou 300$ par jour (au lieu de 425$ et 245$ par jour jusqu’au 31 mars) www.ccacc2008.ca/fr/download_forms.cfm?lang=fr Pour consulter le programme provisoire: www.ccacc2008.ca/fr/presentations.cfm?lang=fr Apparemment, les inscriptions pour le colloque de l'ACC vont très bien et ils atteindront bientôt leur capacité maximale.

Inscription au 7e Congrès de l’ACOC
Présentement, nous sommes 30 membres inscrits. Sur cette page du site de l’ACOC, vous retrouvez le programme et les modalités d’inscription: formulaire de réservation pour l’autobus et celui pour le logement au campus de Moncton www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950
Moncton J’embarque! Dès que les places disponibles seront comblées, nous évaluerons la possibilité d’un deuxième autobus. Comme vous recevez ce bulletin électronique, vous êtes membre de l’ACOC (compléter le formulaire désigné).

Info collégiale

De la flexibilité pour un diplôme d'études secondaires de qualité au secteur des adultes Dans un avis qu'il rend public aujourd'hui, le Conseil supérieur de l'éducation conclut à la nécessité de rehausser les exigences d'obtention du diplôme d'études secondaires (DES) au secteur des adultes. Ces exigences doivent cependant être souples pour tenir compte des caractéristiques des élèves et des objectifs qu'ils visent avec l'obtention du diplôme, soit la poursuite des études au collégial ou en formation professionnelle, la recherche d'un emploi ou l'insertion sur le marché du travail. Tel est le message que le Conseil supérieur de l'éducation livre dans l'avis intitulé De la flexibilité pour un diplôme d'études secondaires de qualité au secteur des adultes http://www.cse.gouv.qc.ca/ Pour élaborer cet avis, le Conseil a tenu compte de cinq considérations : le rehaussement des exigences d'obtention du diplôme d'études secondaires, auquel il souscrit; l'objectif d'une hausse de la diplomation tant au secteur des jeunes qu'au secteur des adultes, qui doit être concilié avec l'objectif de l'acquisition d'une formation générale de base solide; la souplesse du système scolaire, qui doit aussi se trouver dans les conditions d'obtention du diplôme en formation générale des adultes sans en compromettre la valeur; le respect d'une particularité de l'éducation des adultes, soit le projet de formation de l'adulte au cœur de la réponse éducative; enfin, la cohérence du système scolaire au regard de la transition interordres. Les exigences de sanction proposées par le Conseil: Au regard des exigences d'obtention du DES actuellement en vigueur en formation générale des adultes, la proposition du Conseil vise tout d'abord à hausser le niveau d'exigence en langue seconde. En outre, en plus des unités requises dans le domaine des langues, cette proposition rend obligatoire l'obtention d'unités dans le domaine de l'univers social et dans celui de la mathématique, de la science et de la technologie. Le Conseil propose aussi de rendre admissibles, mais non obligatoires, des unités dans les domaines des arts, du développement personnel et professionnel. Ces conditions permettront à un nombre important d'élèves inscrits en formation générale des adultes d'obtenir un diplôme équivalent à celui qui sanctionne la fin de la fréquentation scolaire obligatoire, tout en respectant leurs besoins et le projet qu'ils visent avec l'obtention du diplôme. La proposition du Conseil vise à concilier des exigences qui témoignent de compétences de base permettant de répondre aux défis d'un monde de plus en plus complexe, la prise en compte de la finalité individuelle de l'obtention du diplôme au secteur des adultes et, finalement, la valorisation d'un diplôme reconnu socialement, différent de celui obtenu au secteur des jeunes mais de même valeur. Pour préparer cet avis, le Conseil a examiné les données statistiques produites sur les élèves inscrits en formation générale des adultes. Il a également mené une consultation dans des centres d'éducation des adultes et auprès de diverses organisations qui s'intéressent à l'éducation des adultes et à la formation continue. En terminant, le Conseil rappelle ce qui est stipulé dans la Politique gouvernementale d'éducation des adultes et de formation continue : « La capacité des individus d'accéder au savoir et d'apprendre tout au long de leur vie est une des conditions du développement culturel, social et économique ». C'est la raison pour laquelle il invite les organisations qui s'intéressent à l'éducation des adultes et à la formation continue à promouvoir un DES aux exigences rehaussées en faisant valoir le droit des adultes de témoigner de solides compétences de base au terme de leurs études secondaires. www.cse.gouv.qc.ca/FR/Publications/index.html?lstPublication=Avis&lstCommission=ALL

Le Bulletin printemps 2008 est maintenant disponible sur le site d’OrientAction. Ce Bulletin vous présente cinq articles intéressants sur le développement de carrière et le résultat du sondage OrientAction : Pour une vision systémique en orientation scolaire par Claude Grenier Le cercle de legs, un accompagnement privilégié par Diane Doyon et Jacques Limoges Cinquantaine…transition … retraite par Simon Gagné Test en ligne : le MBTI – indicateur de types psychologiques Myers-Briggs par Wilfrid Larochelle Un « citron » qui (se) presse ! par Jacques Limoges. Accédez à ces articles et à d’autres informations en cliquant sur le lien suivant www.orientaction.ca/bulletins/v5-n1/v5-n1.html ou rendez-vous sur http://www.orientaction.ca/ à la rubrique Bulletin.

Comment devenir guide accompagnateur?
Trois diplômes d’études collégiales mènent principalement à la profession de guide accompagnateur : Techniques d’intervention en loisir; Techniques de tourisme (option Accueil et guidage touristique) et Techniques du tourisme d’aventure. Certains de ces programmes sont aussi offerts sous forme d’attestations d’études collégiales (AEC). Consultez l’Inforoute de la formation professionnelle et technique pour connaître les établissements qui offrent les formations liées au tourisme. Communiquez ensuite avec l’aide pédagogique individuel (API) responsable du programme choisi dans un collège pour en savoir plus sur la profession (le taux de placement, les employeurs, les exigences, etc.). L’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec offre également une formation de courte durée de guide accompagnateur et un cours spécial pour former des guides touristiques à Montréal. Outre la formation, certaines compétences sont incontournables pour exercer le métier. Le bilinguisme est essentiel et la connaissance d’une troisième langue, et même plus, est un atout. Il faut aussi avoir de la facilité à entrer en communication avec les gens et une capacité d’adaptation à tous les types de clientèles (personnes âgées, enfants, étudiants, etc.). Des qualités d’animateur et d’organisateur sont aussi recherchées. Suivant le genre de guidage visé, il sera bon de vous intéresser à l’histoire, à la culture ou aux activités de plein air. Notez qu’il est possible d’accéder à la profession avec un diplôme d’études secondaires (DES) et une expérience pertinente dans le domaine touristique. Il n’est pas rare de voir des entreprises former leurs guides sur le terrain. Les principaux employeurs du secteur sont les agences de voyages, les services d’autobus nolisés et les voyagistes. Vous pourriez contacter directement ces entreprises pour recueillir de l’information. Mentionnez votre intérêt à exercer la profession et explorez avec les recruteurs quels sont les diplômes privilégiés par leur compagnie; s’ils offrent des formations à l’interne; quelles sont les qualités nécessaires, leurs exigences, les condi-tions de travail chez eux, etc. Les associations qui font la promotion des métiers du tourisme sont aussi de bonnes sources d’information. Tournez-vous, par exemple, vers la Corporation des guides accompagnateurs du Québec et le Conseil québécois des ressources humaines en tourisme. http://carriere.jobboom.com/carriere/guide-survie/2008/03/16/5023041.html

Nouveau programme d’AEC en Techniques ambulancières au Cégep de Baie-Comeau en partenariat avec le Cégep de Chicoutimi www.cegep-baie-comeau.qc.ca/attestation-detudes-collegiales.html

Formation interrompue à Montmagny en Soins infirmiers Le Centre d'études collégiales de Montmagny, une composante du cégep de La Pocatière, ne formera plus d'infirmières en raison du faible taux d'inscriptions pour ce programme. Une quinzaine d'étudiantes étaient inscrites en 2006-2007 contre à peine huit ou neuf cette année. Cette décision risque d'avoir un impact important sur le Centre de santé et de services sociaux de Montmagny qui fait face à une pénurie d'infirmières. Les étudiants devront quitter la région afin de recevoir leur formation, souligne François Parent, directeur des ressources humaines à l'hôpital de Montmagny. « Ces personnes-là vont être obligées de s'expatrier un peu, soit à La Pocatière, soit à Lévis pour aller étudier et à ce moment-là, pour nous, c'est pas nécessairement une bonne nouvelle », juge M. Parent. La concurrence très forte opposée par les hôpitaux de la capitale nationale ajoute aussi à la difficulté de recruter le personnel à Montmagny. www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2008/03/25/011-infirmiere_fin_formation.shtml?ref=rss

Info universitaire
Chute du nombre d'étudiants en vue à l'Université Laval D’après les prévisions du MELS, seules les universités du Québec à Rimouski et à Chicoutimi enregistreront des baisses plus importantes que Laval, avec 19,2 % et 21,8 %. Si rien n’est fait, l’Université Laval encaissera une baisse de clientèle trois fois plus importante que la moyenne des universités québécoises d’ici 2021. Avec, bien sûr, une diminution équivalente de son financement. Les plus récentes prévisions de l’effectif étudiant rendues publiques hier par le ministère de l’Éducation (MELS) montrent que la chute de l’effectif appréhendée à l’Université Laval en 2021-2022 sera de 14,6 % par rapport à 2006-2007, alors que la moyenne provinciale est établie à 4,4 %. www.cyberpresse.ca/article/20080321/CPSOLEIL/80320280/-1/CPSOLEIL

La neurochirurgie vient au secours de la psychiatrie Quand rien ni personne ne peut venir à bout du mal de vivre, des interventions d’un nouveau type peuvent être pratiquées. Le Dr Paul Lespérance tient l’appareil qui permet de faire passer un flux magnétique très fort, lequel produit de l’électricité dans le cerveau. Des développements neuroscientifiques, inimaginables il y a à peine une décennie, redonnent aujourd’hui espoir à des patients atteints de dépression réfractaire, dont rien ni personne ne peut venir à bout. Stimulation du nerf vague, stimulation cérébrale profonde, stimulation magnétique transcrânienne, voilà autant d’interventions sur lesquelles se penchent quelques psychiatres au pays, dont Paul Lespérance, qui dirige l’unité de neuromodulation psychiatrique du CHUM. Quand on lui demande pourquoi il s’est passionné pour ce volet avant-gardiste de la psychiatrie, Paul Lespérance répond d’abord par une boutade: «J’ai toujours aimé les bébelles.» Plus sérieusement, il estime que les psychiatres ont le devoir de chercher à soulager les patients dont l’existence ne connait aucune amélioration. Et puis, «la psychiatrie a aujourd’hui la maturité pour être une véritable discipline médicale, sur le même pied que les autres.» http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1182/221/

Québec financera le campus de Longueuil
Ce n'est qu'en 2009 - au lieu de 2008 - que la nouvelle tour de 16 étages, construite à côté de la station de métro Longueuil et qui abritera le campus de l'Université de Sherbrooke à Longueuil, sera enfin inauguré. Québec annoncera sous peu qu'il financera la construction du campus de l'Université de Sherbrooke à Longueuil. Les locaux accueilleront toutefois leurs premiers étudiants un an plus tard que prévu. La faute à l'UQAM et à ses mésaventures immobilières, dit le recteur sherbrookois Bruno-Marie Béchard www.cyberpresse.ca/article/20080326/CPACTUALITES/803260779/1019

Formation, documentation
Les filles hyperactives font face à des problèmes à l’âge adulte Une importante étude démontre que les filles du niveau primaire qui sont hyperactives ont besoin de programmes de prévention intensifs Les filles qui sont hyperactives sont plus susceptibles de devenir des fumeuses, de sous-performer à l’école ou au travail et d’être attirées par des relations mentalement abusives à l’âge adulte, selon une étude conjointe de chercheurs de l’Université de Montréal et du University College London (UCL). http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1169/1/

Le cerveau des schizophrènes diffère selon le sexe
Il semble y avoir une masculinisation du cerveau des femmes et une féminisation de celui des hommes chez les schizophrènes Même si dans certains milieux il n’est pas politiquement correct d’en faire état, il existe plusieurs différences neurologiques, légères mais significatives, entre le cerveau d’un homme et celui d’une femme. Ces différences, qui touchent à la fois à l’étendue des circuits neuronaux et aux dimensions de certaines structures cérébrales, seraient dues en partie aux hormones sexuelles de l’environnement intra-utérin. Les travaux d’Adrianna Mendrek, chercheuse au Centre de recherche Fernand-Seguin et rattachée au Département de psychiatrie de l’UdeM, montrent qu’il y aurait une inversion sexuelle de certaines de ces différences chez les schizophrènes. «En comparaison de la population en général, il semble y avoir une masculinisation du cerveau des femmes et une féminisation du cerveau des hommes», affirme-t-elle. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1188/221/

L’école des femmes
Alors que les filles récoltent les honneurs à l’école, un garçon sur quatre décroche avant le bal de fin d’études. Un déséquilibre inquiétant. Samuel Pratte est une bolle. Sa moyenne générale de 90 % fait de lui, selon ses dires, le meilleur élève de cinquième à l’École secondaire L’Escale, à Louiseville. Enfin, le meilleur parmi les gars… Car il est détrôné, et de loin, par les filles. «Certaines ont une moyenne générale de 97 %! Je n’essaie même pas de me mesurer à elles : je n’arriverai jamais à leur niveau. Pour moi, la femme est un être parfait!» proclame l’adolescent de 16 ans. Ce genre de commentaire consterne Michel Thibeault, président fondateur de la Fondation pour Hommes, dont la mission est d’améliorer la condition masculine. À titre de responsable du programme d’aide aux devoirs à l’école primaire de Louiseville, il a souvent l’occasion de constater le fatalisme des garçons. «Quand on leur demande pourquoi les filles réussissent mieux à l’école, ils répondent : “C’est normal, ce sont des filles!” De la même façon qu’on trouvait normal, il y a 40 ans, qu’une fille soit coiffeuse et un gars, médecin... Ils sont convaincus de valoir moins qu’elles.» Pourtant, les filles n’ont pas plus de matière grise que les garçons. «Lorsqu’ils y mettent autant d’heures d’études, les deux sexes ont des résultats scolaires comparables, au primaire comme à l’université», remarque Jean-Claude Saint-Amant, chercheur en éducation au Centre de recherche et d’intervention sur la réussite scolaire. L’historienne Micheline Dumont en-dosse cette approche, et déplore du même coup qu’on s’inquiète surtout des problèmes scolaires des garçons. «En réalité, les garçons réussissent bien mieux qu’il y a 50 ans, alors que le taux de décrochage était d’environ 75 %! Mais les médias s’énervent chaque fois que les hommes réussissent moins bien que les femmes. Au fond, ils endossent les valeurs de la société patriarcale.» http://carriere.jobboom.com/marche-travail/dossiers-chauds/2008/03/16/5022991.html Lire aussi Imprenables forteresses féminines et masculines http://carriere.jobboom.com/marche-travail/dossiers-chauds/2008/03/16/5023016.html et Minute, papillon ! Les filles détrônent les gars à l’école et pourraient changer à jamais le visage du marché du travail. Mais le girl power n’est pas à nos portes, tempèrent des spécialistes. http://carriere.jobboom.com/marche-travail/dossiers-chauds/2008/03/16/5022956.html

André Chartrand, lieutenant, caserne 27, Service de sécurité incendie de Montréal. Tout feu tout flamme! Je suis pompier depuis 19 ans. Il faut être fasciné par le feu et avoir le cran de s’en approcher pour exercer ce métier. Mais il faut aussi le craindre, sinon on prend des risques inutiles. Dans un incendie, la fumée est si épaisse que je ne vois pas ma main! Je me déplace souvent à quatre pattes pour voir sous la couche de fumée. L’eau qui me tombe dessus sous forme de vapeur brûlante donne l’effet écrasant d’un sauna. La chaleur peut être intenable. L’avertisseur de détresse de ma bonbonne d’air sonne quand la température ambiante atteint 260 °C et, quand ça arrive, je dois quitter les lieux immédiatement. Mais on commence à avoir trop chaud même en dessous de cette température. La visière d’un de mes hommes a déjà fondu sans qu’il s’en rende compte! J’ai déjà vu des points noirs tant il faisait chaud. C’est dangereux, car l’étape suivante est le coup de chaleur, qui peut être mortel. Pour sentir la chaleur et bien évaluer le danger, je déplace ma cagoule de façon à exposer un peu la peau de mon cou. Le pire moment de ma carrière est survenu quand deux collègues sont devenus prisonniers d’un duplex en flammes. Leurs cris étaient atroces. Je croyais qu’on arriverait trop tard, mais on les a sauvés. Ils s’en sont tirés avec des brûlures au deuxième degré au cou et aux oreilles. Je ne fais pas qu’affronter le feu. Je dois aussi composer avec des gens en état de choc sur un lieu sinistré, que ce soit un incendie, un accident d’auto, une fuite de gaz ou une inondation. L’alarme sonne entre une et quatre fois par jour. Mon horaire varie : quatre quarts de jour (de 7 h à 17 h), suivis de sept jours de congé; ensuite, trois quarts de nuit (de 17 h à 7 h) et quatre jours de congé; puis six jours consécutifs pendant lesquels j’effectue 86 heures de travail. Entre deux alertes, on met à jour nos connaissances et on forme les recrues. À la caserne, nous sommes 11 hommes par quart de travail. La camaraderie est très forte, un peu comme dans une équipe de hockey : on se serre les coudes, on se taquine, on rit beaucoup. On cuisine aussi tous nos repas et on fait le ménage de nos quartiers comme à la maison. Mais quand l’alarme retentit, on laisse tout en plan. Le poteau, on l’utilise pour vrai : c’est pour éviter de se fouler le pied dans l’escalier! Mon équipement pèse environ 27 kilos, sans compter la hache et les tuyaux. Dans une intervention, je me dépense autant qu’un hockeyeur qui se donne à fond pendant 30 minutes. Je m’entraîne donc de trois à cinq fois par semaine en cardio et en musculation. C’est bien beau monter 18 étages par les escaliers, mais rendu en haut, je dois avoir la force de défoncer la porte! C’est un métier dur, mais j’en retire une immense fierté, parce que mes décisions permettent de sauver des biens matériels, des maisons et surtout des vies. 10-10. http://carriere.jobboom.com/marche-travail/tranches-vie/2008/03/16/5022221.html


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Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Documents réalisés par Raymond Jean, c.o.

Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Pour le moment, 34 membres des 20 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (9) : les cégeps St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Trois-Rivières, Lanaudière, Outaouais, Vieux-Montréal et l’université de Sherbrooke. À l’est (11) : Alma, Jonquière, Limoilou, Gaspésie, St. Lawrence, Ste-Foy, St-Félicien, Lévis-Lauzon, Chicoutimi, Psycho-Carrière et l'Université Laval. Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

Sur le site du bulletin, nous pouvons maintenant afficher des mini-diaporamas www.quelquechosedelacoc.blogspot.com Celui du congrès de l’année dernière vous dirigera vers le site de toutes les photos, si vous cliquez sur l’une ou l’autre. Éventuellement, nous pourrons identifier nos partenaires. De plus, nous vous mentionnons que tous les bulletins sont archivés sur ce site. Le site du bulletin est plus que la somme de ses courriels…

Abonnement au bulletin électronique
Quelque Chose de l'ACOC


Votre courriel :

12 mars 2008

V 6 No 22: 14e Université de la Formation, de l'Éducation et de l'Orientation d'Artigues

À la corniche du Refuge à St-Adolphe avant la tempête de la St-Patrick... Bon printemps!


Veuillez trouvez ci-dessous un nouvel appel à candidatures intitulé "L'Europe de la Formation - Ambitions communautaires et réalisations concrètes" dans le cadre de la 14e Université de la Formation, de l'Éducation et de l'Orientation d'Artigues" (UFEO) qui se tiendra en septembre prochain, à Bordeaux (France). Nous vous invitons, dès réception, à diffuser cette information dans votre réseau auprès des personnes (18-35 ans) susceptibles d'être intéressées à participer à ce séminaire. Les candidats devront s'inscrire en ligne et compléter un dossier au plus tard le vendredi 6 juin 2008 à l'adresse suivante : www.ofqj.org/partir-en-france/appels/show/82 Nous vous remercions de votre collaboration et vous prions de croire en l'assurance de nos sentiments les meilleurs. Thérèse Levasseur Collaboratrice de Thierry Tulasne, chargé de programme Programme Action Développement - Action sociale et citoyenne Office franco-québécois pour la jeunesse Tél.: 514-873-4255 / sans frais au Québec: 1-800-465-4255 Téléc.: 514-873-0067 tlevasseur@ofqj.gouv.qc.ca / ttulasne@ofqj.gouv.qc.ca http://www.ofqj.org/ Abonnez-vous gratuitement à la lettre électronique de l'OFQJ:
www.ofqj.org/actualite/lettre-electronique

Sur le site du bulletin, nous pouvons maintenant afficher des mini-diaporamas www.quelquechosedelacoc.blogspot.com Celui du congrès de l’année dernière vous dirigera vers le site de toutes les photos, si vous cliquez sur l’une ou l’autre. Éventuellement, nous pourrons identifier nos partenaires. De plus, nous vous mentionnons que tous les bulletins sont archivés sur ce site. Le site du bulletin est plus que la somme des courriels…

Le projet de loi 50: Réforme des professions en santé mentale et relations humaines Au visionnement des ces enregistrements vidéos,
vous serez à même de comprendre le retour à un ordre, une profession. www.assnat.qc.ca/fra/travaux/Debats/banquevideo/ci/santementale.html

Sondage (votre participation serait très appréciée) Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC) effectue une étude au sujet de l’Information sur le marché du travail. Nous espérons que les professionnels de la gestion des ressources humaines et les professionnels du développement de carrière y répondront en très grand nombre afin de nous aider à mieux comprendre leur utilisation de l’Information sur le marché du travail et à étudier les possibilités d'amélioration du service de RHDSC. Pour nous faire part de votre opinion, rien de plus facile! Il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous, qui vous conduira au sondage en ligne. www.97.ca/ekos/callweb.cgi?FR:0507 Pour toute question ou préoccupation au sujet de l’étude, veuillez communiquer avec (Geri Briggs, geri.i.briggs@hrsdc-rhdsc.gc.ca 819-997-5350). Nous vous remercions à l’avance de bien vouloir prendre le temps de contribuer à l’amélioration de cet outil pour tous les professionnels de la gestion des ressources humaines et les professionnels du développement de carrière au Canada!

Moncton J’embarque!
Apparemment, les inscriptions pour le colloque de l'ACC vont très bien et ils atteindront bientôt leur capacité maximale. 7e Congrès ACOC 2008 pour information (26 membres inscrits à ce jour) :
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 Dès que les places disponibles seront comblées, nous évaluerons la possibilité d’un deuxième autobus. Nous avons déposé sur cette page les modalités d’inscription pour réserver votre place dans l’autobus et pour les résidences de l’Université de Moncton www.umoncton.ca/acoc Comme vous recevez ce bulletin électronique, vous êtes membre de l’ACOC (compléter le formulaire désigné). l’université de Moncton. Tout un programme !

Info collégiale

Info/Sanction 561 APPLICATION DU RÈGLEMENT SUR LE RÉGIME DES ÉTUDES COLLÉGIALES CONCERNANT LES SÉQUENCES TECHNICOSCIENCES ET SCIENCES NATURELLES
D'entrée de jeu, il importe de préciser que les séquences Technico-sciences et Sciences naturelles présentent des degrés équivalents de difficulté, mais à partir d'approches différentes. Les séquences sont en effet été conçues pour amener les élèves à un niveau élevé de compétence en mathématique, l'une utilisant davantage l'approche empirique et l'autre priorisant l'approche formelle. À la suite du questionnement soulevé depuis quelques mois, le Ministère a jugé pertinent de procéder à une analyse approfondie des programmes en sollicitant entre autres la collaboration d'experts universitaires indépendants et celle des comités-conseils des programmes préuniversitaires de sciences. Une recommandation claire et consensuelle s'est dégagée des travaux de ces équipes. Dans cette foulée, je vous confirme que les élèves issus de l'une ou l'autre des séquences Technico-sciences et Sciences naturelles auront un accès égal à tous les programmes d'études collégiales, préuniversitaires ou techniques, exigeant des conditions particulières d'admission en mathématique. De plus, des précisions et des ajustements seront apportés au programme Technico-sciences de 5e secondaire, entre autres pour confirmer un apprentissage adéquat en ce qui regarde les concepts algébriques et les raisonnements qui leur sont associés. Je vous rappelle que les séquences de mathématique ont été conçues pour permettre aux élèves d'aborder la mathématique sous des angles correspondant à leur profil d'apprentissage, et ce, tout en favorisant l'accessibilité aux études collégiales. Par ailleurs, afin de s'assurer que les élèves de l'ensemble du Québec puissent tous bénéficier d'un apprentissage qui répond à leurs besoins, les règles budgétaires 2008-2009 comprendront une mesure particulière afin d'assurer le financement qui permettra, à chaque école secondaire, d'oflrir à ses élèves le choix entre les trois séquences de mathématique. Nous comptons sur votre habituelle collaboration pour que vos écoles prennent les dispositions qui correspondent à cette orientation. Je vous prie d'agréer l'expression de mes meilleurs sentiments. Le sous-ministre adjoint à l'éducation préscolaire et à l'enseignement primaire et secondaire, Pierre Bergevin www.meq.gouv.qc.ca/ais/info-sanction/info2007-2008.pdf Site www.meq.gouv.qc.ca/ais/

Le nouveau cours de math offert partout
La confusion autour du nouveau cours de mathématique de quatrième secondaire, fruit de la réforme, semble dissipée. Le ministère de l’Éducation débloque de l’argent pour que toutes les écoles puissent offrir les trois séquences de cours, évitant aux plus petites d’avoir à en sacrifier une. Dès septembre 2008, fini les Math 416 pour les plus faibles, et les Math 436 pour les plus forts. Les étudiants de quatrième secondaire suivront une séquence de cours de mathématique et de science, choisie selon leurs intérêts. Merveilleux en théorie, disaient les écoles, sauf que dans la pratique, le nombre d’élèves ne permettait pas de composer trois groupes distincts de mathématique. Plusieurs écoles, surtout en région, avaient donc décidé de n’offrir que deux des trois séquences, Culture, société et technique, Technico-sciences ou Sciences naturelles. Dans une lettre datée du 3 mars dont Le Soleil a obtenu copie, le ministère de l’Éducation annonce que les écoles seront aidées. «Afin de s’assurer que les élèves de l’ensemble du Québec puissent tous bénéficier d’un apprentissage qui répond à leurs besoins, les règles budgétaires 2008-2009 comprendront une mesure particulière afin d’assurer le financement qui permettra, à chaque école secondaire, d’offrir à ses élèves le choix entre les trois séquences de mathématique», écrit Pierre Bergevin, le sous-ministre adjoint à l’éducation préscolaire et à l’enseignement primaire et secondaire. Dans la foulée, le ministère de l’Éducation met fin au suspense et garantit que les séquences Technico-sciences et Sciences naturelles donneront «un accès égal à tous les programmes d’études collégiales, préuniversitaires ou techniques».«C’est vraiment l’idéal d’offrir les trois séquences pour rejoindre le plus d’élèves et leur donner le goût des maths et des sciences», estime Marie Labbé, des services éducatifs.
www.cyberpresse.ca/article/20080311/CPSOLEIL/80310273/6584/CPSOLEIL Voir aussi le communiqué du SRACQ-SRAM www.sracq.qc.ca/infoSraq/communiques/sracq20080317.pdf

AU COLLÉGIAL – L’ENGAGEMENT DE L’ÉTUDIANT DANS SON PROJET DE FORMATION : UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE AVEC LES ACTEURS DE SON COLLÈGE Soutenir l’engagement des étudiants dans leur projet de formation au collégial, c’est aussi soutenir leur réussite éducative. Pour ce faire, il faut non seulement interpeller les premiers intéressés, soit les étudiants eux-mêmes, mais aussi les collèges, pour que ces derniers favorisent et soutiennent cet engagement. Dans son avis, le Conseil établit quatre axes de développement pour permettre de guider l’action de la ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport et des collèges à cet égard : • Mieux connaître les jeunes, leurs valeurs et leurs attitudes par rapport à leurs études. • Tenir compte, dans les mesures de soutien, de la diversité des étudiants, en plus du fait que leurs besoins évoluent au cours de leur cheminement au collégial. • Miser sur la classe comme lieu privilégié d’intervention et de soutien à l’engagement par l’utilisation d’approches pédagogiques variées. • Offrir un milieu de vie signifiant aux étudiants dans leurs collèges. Au cours de ses travaux, le Conseil a noté qu’il y avait dissonance dans la perception de l’engagement chez les différents acteurs, qu’ils soient étudiants, enseignants ou professionnels des collèges. Ainsi, les résultats d’une enquête téléphonique et des groupes de discussions indiquent que, contrairement à certaines perceptions, les étudiants sont engagés, et qu’ils accordent de l’importance aux études et à la vie au collège. De plus, la majorité d’entre eux adoptent des conduites scolaires et consacrent des efforts soutenus à leurs études. Le Conseil observe aussi qu’il est important pour eux d’établir des relations avec leurs pairs et avec leurs enseignants, et de participer aux activités du collège. Pour le Conseil, cette dissonance tient non seulement aux valeurs de chacun, mais aussi à la définition qu’on donne de l’engagement. Voilà pourquoi il a jugé opportun de mieux le définir dans son avis. Le Conseil a ciblé trois dimensions qui forment l’essence de l’engagement : une dimension affective, qui est l’importance accordée aux études et à la vie au collège; une dimension cognitive, qui se traduit tant par la quantité que par la qualité des efforts consentis pour acquérir le savoir; une dimension sociorelationnelle, qui se manifeste dans les liens que l’étudiant établit et entretient avec son environnement.
www.cse.gouv.qc.ca/FR/Publications/index.html?lstPublication=Avis&lstCommission=ALL

Les cours d'histoire du Québec boudés au cégep Le nombre de cours d'histoire du Québec et de cours sur le Québec est en chute libre dans les cégeps. C'est ce que montre une étude d'un professeur d'histoire au Cégep du Vieux-Montréal, Gilles Laporte, citée par le quotidien Le Devoir. Selon M. Laporte, le cours Histoire du Québec, qui représentait 25,4 pour cent des cours d'histoire offerts au cégep en 1990, n'en représentait plus que 13,3 pour cent en 2006. Il n'était offert que dans une dizaine d'établissements. M. Laporte a aussi évalué à moins de cinq pour cent la proportion des élèves inscrits au collégial qui ont suivi un cours d'histoire du Québec l'an dernier. Toujours selon M. Laporte, d'autres cours portant sur le Québec sont menacés d'extinction. Le professeur souligne en particulier l'absence d'une «compétence» claire prescrivant la connaissance de la société québécoise en sciences humaines au cégep. Également, les programmes sont souvent axés sur des contenus exotiques, dans la mouvance altermondialiste et coïncidant mieux avec un stage touristico-historique à l'étranger. La place du Québec dans les cours de sciences humaines fera l'objet d'une table ronde au prochain congrès de l'Association des professeurs d'histoire des collèges du Québec, à Québec en mai prochain. www.cyberpresse.ca/article/20080311/CPACTUALITES/80311021/1019

Passerelles et reconnaissance d'acquis pour DEC techniques
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=835 Vous trouverez de l'information sur les passerelles DEP-DEC et DEC-BAC en consultant les fichiers tirés de l'Actualité (11 janvier 2008) www.lactualite.com/campus/article.jsp?content=20080110_135952_4832

ENPQ: Soixante-douze étudiants de plus
L'École nationale de police du Québec (ENPQ) accueille depuis hier, et ce pour 15 semaines, 72 aspirants policiers de plus pour répondre aux besoins de recrutement du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Une cohorte supplémentaire qui, selon l'École, permettra d'éviter que les autres corps policiers aient de la difficulté à garnir leurs rangs de nouvelles recrues, d'autant plus que ces étudiants auront terminé leur formation en juin alors les services de police ont grandement besoin d'employés supplémentaires. "Si on n'avait pas augmenté le nombre d'aspirants policiers, rien n'aurait empêché le SPVM d'aller chercher le nombre de policiers qu'il veut dans les autres cohortes, ce qui aurait pu avoir un impact important auprès des 35 autres services de police. Le fait d'en former 72 de plus va diminuer la pression sur le bassin de candidats et va permettre aux autres corps de police de répondre à leur besoin de recrutement sans problématique", estime M. Pierre Saint-Antoine, directeur du Bureau des affaires institutionnelles et des communications à l'ENPQ. Ce n'est pas la première fois que l'École de police augmente ainsi les admissions. Par exemple, le nombre d'aspirants policiers qui franchissent ses portes chaque année est passé de 600 à 1997 à 648 en 2005. En 2006, elle a formé un groupe supplémentaire de 36 personnes à la suite d'une demande manifestée par le SPVM et partagée par les autres corps policiers. L'ENPQ forme habituellement 648 policiers, divisés en 9 cohortes. Il y a entre ses murs trois cohortes de 72 policiers en même temps. Il y en aura donc quatre cette fois-ci avec la cohorte du SPVM. La formation dure 15 semaines.
www.cyberpresse.ca/article/20080313/CPNOUVELLISTE/803130685/5410

Inauguration officielle de la Lunetterie F.-X.-Garneau
www.cegep-fxg.qc.ca/fr/college/actualite/communique.php?id=220&page=1

WordQ
L'outil idéal pour les enfants aux prises avec des difficultés d'écriture. La prédiction des mots et la synthèse de la parole pour surmonter les problèmes de rédaction Augmente la productivité en permettant de se concentrer sur l'aspect créatif de l'écriture Particulièrement recommandé pour les enfants souffrant de dyslexie ou de dysorthographie Le logiciel s'utilise en même temps qu'un logiciel de traitement ou d'édition de texte. Démo disponible pour utilisation de 30 jours http://mailing.demarque.com/Mail_WordQ_fev08_2/indexImage.html

Info universitaire
Une nouvelle cohorte d'étudiants en médecine?
Comme elle l'a fait à Moncton et à Saguenay grâce à une délocalisation du programme de formation médicale, l'Université de Sherbrooke pourrait faire naître une nouvelle cohorte d'étudiants en médecine et compter un autre campus conjoint, ailleurs au Québec. Selon le recteur de l'UdeS, Bruno-Marie Béchard, une université québécoise aurait approché l'UdeS sur cette question. Il n'a cependant pas voulu en dire davantage: "On est au début des pourparlers, mais ça pourrait se passer plus vite que prévu..." Rappelons qu'en septembre 2006, deux nouvelles cohortes d'étudiants, se trouvant à Moncton et à Saguenay, sont venus s'ajouter aux étudiants formés à la faculté de médecine et des sciences de la santé de l'Université de Sherbrooke (FMSS). La délocalisation du programme de formation médicale dans ces deux villes faisait partie du plan stratégique de la faculté. www.cyberpresse.ca/article/20080313/CPTRIBUNE/803130746/5206

L'École nationale en divertissement interactif débutera en septembre L’École nationale en divertissement interactif devrait accueillir sa première cohorte de 30 étudiants dès septembre et tout porte à croire que les cours se tiendront à la fois dans les locaux de l’Université Laval (La Fabrique) et de l’Université du Québec, tous deux dans le quartier Saint-Roch. «En fait, le modèle qui est privilégié actuellement ce n’est pas du mortier et du béton, c’est vraiment orienté vers des institutions qui sont en place», indique Claude Racine, vice-président du secteur des technologies appliquées chez Pôle Québec Chaudière-Appalaches. Il précise que si le scénario d’une implication conjointe des deux universités pour recevoir les étudiants n’est pas coulé dans le béton, c’est le plus plausible à l’heure actuelle. Car le temps commence à presser pour l’école, dont le but consiste à combler l’écart entre la formation reçue sur les bancs d’école et les besoins réels des employeurs. Les travailleurs sont alors efficaces beaucoup plus rapidement, dans le contexte de pénurie de main-d’œuvre qui touche l’industrie. À la fin février, trois des principaux employeurs du secteur (Beenox, Frima Studio et Ubisoft) affirmaient en effet avoir à pourvoir plus de 340 emplois d’ici deux ans. On tentera aussi d’attirer des stagiaires étrangers, dans le but de les recruter par la suite. Par ailleurs, l’École fournira aussi une formation continue pour des personnes déjà en emploi, mais qui assumeront de nouvelles fonctions. Ainsi, un testeur de jeux qui devient développeur pourrait bénéficier de ces cours, explique M. Racine. Les cours devraient durer entre trois et quatre mois, pour un total de quatre cohortes par année. Le contenu reste aussi à élaborer. Plusieurs aspects sont donc encore en chantier. Mais si les délais sont serrés, admet M. Racine, il pense tout de même qu’ils sont réalistes. Il salue d’ailleurs l’exercice de collaboration entre des partenaires parfois concurrents, qu’il juge extrêmement sain et mature. www.cyberpresse.ca/article/20080312/CPSOLEIL/80311225/6942

Du campus à Compostelle
Guy Labrecque marchera pour créer le Fonds d’aide à la réussite étudiante Guy Labrecque rêve de faire le pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle depuis des années. L’automne prochain, ce rêve deviendra réalité alors qu’avec sa compagne il foulera ce chemin mythique ayant vu défiler des milliers de personnes depuis des siècles. Tant qu’à marcher, autant le faire pour une bonne cause, s’est dit ce conseiller à la gestion des études à la Faculté de médecine dans la jeune trentaine. C’est dans cet esprit qu’il a eu l’idée de «vendre» les quelque 900 kilomètres qu’il parcourra lors de son périple, le but étant d’amasser des fonds pour créer le Fonds d’aide à la réussite étudiante (FARE). Les nouvelles bourses créées par ce fonds seront complémentaires aux bourses existantes sur le campus par une approche ciblée en fonction des besoins de chaque programme d’études qui collaborera avec le FARE. Si la Faculté de médecine appuie Guy Labrecque, initiateur de ce projet intitulé «De l’Université Laval à Compostelle», il faut noter que l’homme assume entièrement les frais de son voyage et que tous les dons serviront à financer le FARE. www.aufil.ulaval.ca/articles/campus-compostelle-6432.html

L'Université Laval s'illustre lors de la 11e édition de la Simulation Boursière Inter Universitaire de la SRA HEC Montréal Les étudiants de l'Université Laval ont remporté tous les honneurs lors de la 11e édition de la Simulation Boursière Inter Universitaire (SBIU) 2008 HEC Montréal - Caisse de dépôt et placement du Québec. Cet événement se tenait hier sur le Parquet du Centre CDP Capital. www.cnw.ca/fr/releases/archive/March2008/16/c4468.html

Laissez-vous conter des histoires La Francofête met l’accent sur le conte avec Fred Pellerin «Ça se passe dans un village, Saint-Élie-de-Caxton.» Nul besoin de présenter le conteur d’une histoire qui commence ainsi, tellement le nom de Fred Pellerin est associé à ce village. Saint-Élie-de-Caxton, également appelé Saint-Élie-de-Garnotte, existe vraiment et c’est facile à trouver; c’est là où pousse un arbre à «papparmanes» et où un panneau routier indique une traverse de lutins. On parle même de «caxtonneries» pour désigner les contes et légendes véridiques qui y prennent naissance. Marqué par son père qui était comptable agréé, Fred Pellerin a préféré devenir «conteux agréable». Diplômé en littérature (UQTR), Fred Pellerin était déjà conteur avant de savoir qu’on pouvait en faire un métier. Alors qu’il travaillait comme guide touristique pour payer ses études en racontant les anecdotes de l’histoire de son village, il a vu un jour une affiche annonçant un spectacle de Jocelyn Bérubé «conteur». Il venait de trouver sa voie. À l’université, les récits des vieux du village lui fournissaient la matière première pour ses travaux. «Même s’ils étaient sans instruction, leurs contes étaient déjà remplis de merveilleux, mentionne le conteux. Lorsqu’ils me parlent de la chasse-galerie, ils sont certains de l’avoir vue et affirment que ce n’était pas un avion! Même chose avec les lutins qui tressaient les crins des chevaux; le vieil Eugène avait des lutins dans sa grange et ne savait pas comment s’en défaire. C’est quand même magnifique, à l’ère de la science, de trouver du monde qui voit encore les choses ainsi!» Fred Pellerin a déjà à son actif trois albums-CD tirés de ses spectacles. L’un d’eux, Il faut prendre le taureau par les contes! (Planète rebelle, 2003), sera porté à l’écran par Luc Picard sous le titre de Babine, le fou du village, fils de la sorcière. Le film racontera l’histoire réelle de l’incendie criminel qui a ravagé l’église en 1920, mais tout en gardant l’aspect magique du conte avec le dompteur de mouches et la sorcière qui fait tourner le coq du clocher. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1114/221/

Contes hallucinogènes pour vous désennuyer de l’hiver Entre les cégeps et les dinosaures, Jean-Marc Massie donnera un aperçu de sa parole à géométrie variable. Bien peu de conteurs peuvent se dire titulaires d’un doctorat en science politique de la Sorbonne. C’est le cas de Jean-Marc Massie, que les habitués du café-bar Le sergent recruteur connaissent bien. C’est là que ce conteur urbain polymorphe, dont la parole hallucinogène est à géométrie variable, a fondé Les dimanches du conte, qu’il anime depuis 10 ans. Jean-Marc Massie est du genre indéfinissable. «Je déborde du simple conte par la scénographie, qui emprunte au dessin animé; je suis plus un one man show qu’un conteur et le spectacle est très physique», déclare-t-il. Dans la préface de son livre-DVD Montréal démasquée (Planète rebelle, 2007), l’écrivain et journaliste Stanley Péan dit de lui qu’il est «une sorte d’extraterrestre, un glam-rocker de l’anthropologie du réel contemporain, un magicien de la fable à moralité trouble, capable d’orchestrer une orgie de visions et de mots plus grands que nature». Mais comment passe-t-on d’une thèse en science politique au récit éclaté? «C’est l’intérêt pour la philosophie politique qui m’a amené en science politique. Même à l’université, j’avais de la graine de conteur et je préférais les examens oraux. Après un peu de recherche et d’enseignement, j’avais déjà fait le tour du jardin. Comme je m’ennuie facilement, j’ai voulu aller voir ailleurs. Après quelque temps comme auteur-interprète, je me suis de nouveau ennuyé et je suis allé chez les conteurs. C’est encore une fois pour combattre l’ennui que je sors de la forme traditionnelle du conte; je suis un “narrateur atypique”.» Outre son recueil de contes, on lui doit le Petit manifeste à l’usage du conteur contemporain (Planète rebelle, 2001). Pour cet essai, le narrateur s’est remis dans la peau du docteur en politique pour essayer de comprendre, par la réflexion philosophique, le renouveau du conte au tournant du millénaire. Lorsque nous lui avons parlé, il était en tournée dans les cégeps et venait de passer une nuit au célèbre hôtel Madrid, sur l’autoroute 20, bloqué par une tempête de neige et cerné par les dinosaures. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1117/221/

Montréal se réchauffe dangereusement!
L’équipe de François Cavayas démontre que l’urbanisation s’intensifie à Montréal. La région de Montréal manque-t-elle d’espaces verts? «Oui», répond sans hésiter François Cavayas, professeur de télédétection au Département de géographie et coauteur d’une étude sur l’évolution de l’urbanisation dans l’agglomération montréalaise rendue publique le mois dernier. Selon ses analyses, 18 % des boisés ont disparu du territoire entre 1998 et 2005. «Il est encore temps d’agir pour préserver les forêts intactes, car elles sont dans la mire des spéculateurs», estime-t-il. Selon le commanditaire de l’étude, Guy Garand, président du Conseil régional de l’environnement de Laval, moins de 4 % des espaces verts de l’ile bénéficient actuellement du statut d’aires protégées tel qu’il est défini par l’Union internationale de conservation pour la nature. Même les parcs municipaux, où les enfants jouent à la balle, ne sont pas à l’abri des constructeurs d’immeubles en copropriété. «Alors que le Québec vise la protection de 8 à 12 % de ses forêts, le fait que le Grand Montréal est si peu protégé est une honte nationale», dit-il. En milieu urbain, les espaces verts ne sont pas de simples éléments de décoration. Ce sont des poumons, des filtres hydrauliques naturels et des thermostats dont la population tire le plus grand avantage. Sans arbres et arbustes, les villes subissent des hausses de température subites lorsque le soleil tape. Le 12 juin 2005, par exemple, alors que la chaleur accablante frappe le secteur industriel de l’arrondissement de Saint-Laurent (40 ºC), les joueurs du terrain de golf (27 ºC) ont chaud également, mais pas autant que les résidants du quartier limitrophe (31 ºC). Or, ceux qui ont choisi d’aller piqueniquer dans le parc urbain, véritable oasis de verdure, profitent d’une journée d’été très agréable (23 ºC). L’écart de 17 ºC qu’on constate ce jour-là à quelques centaines de mètres d’un endroit à l’autre est un phénomène qui préoccupe de plus en plus de personnes comme Guy Garand. «Là où l’on a remplacé la végétation par du béton, de l’asphalte et des immeubles, les problèmes de santé publique sont multipliés.» http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1112/229/ Photos satellitaires montrant les changements dans l’occupation du sol d’un quartier résidentiel de l’île de Montréal entre 1998 et 2005. (Photos fourniespar François Cavayas) Avant http://nouvelles.umontreal.ca/images/stories/07-08_Forum/iForum23/20080310F23_zone-forestiere01.jpg et Après http://nouvelles.umontreal.ca/images/stories/07-08_Forum/iForum23/20080310F23_zone-forestiere02.jpg

Un site pour les étudiants voit le jour
La Ville de Sherbrooke et l’Université de Sherbrooke ont lancé officiellement un site Internet destinés aux étudiants de l’UdeS, plus particulièrement pour les étudiants résidant dans le district de l’Université. Le site, une initiative de l’arrondissement du Mont-Bellevue, offre plusieurs renseignements sur le choix de logement, les services de transport, la recherche d’emploi, mais aussi sur les règlements de la Ville. Le site http://www.sherbrooke.etudiantetcitoyen.ca/ est aussi accessible à partir des sites de la Ville de Sherbrooke et de l’UdeS. «Compte tenu de la très grande place occupée par l’Université et ses étudiants dans notre arrondissement, nous jugions primordial de bien les accueillir afin qu’ils se sentent des citoyens à part entière, notamment en les informant de toutes les opportunités que recèle leur nouveau milieu de vie et également sur certains aspects de notre réglementation», explique le président de l’arrondissement du Mont-Bellevue, Serge Paquin. La Fédération étudiante de l’UdeS (FEUS) et le Regroupement des étudiants de maîtrise, de diplôme et de doctorat de l’UdeS (REMDUS) ont également collaboré à ce projet. www.cyberpresse.ca/article/20080310/CPTRIBUNE/80310194/5206

Formation, documentation
La famille emprunte divers chemins après un suicide La résilience de la famille est plus grande que la résilience de chacun de ses membres réunis. Au début de l’hiver 2003, Christine Genest est embauchée comme infirmière au service de psychiatrie des adolescents du CHU Sainte-Justine. Elle est confrontée à une vague de tentatives de suicide et constate pour la première fois l’impact de ce drame sur les familles des adolescents suicidaires. «Certaines familles se serraient les coudes comme ce n’est pas possible, alors que d’autres se chamaillaient sans cesse», relate-t-elle. Ces observations l’ont en partie poussée à entreprendre un doctorat en sciences infirmières pour étudier la résilience familiale à la suite d’un suicide d’adolescent. Il n’y a pas que les individus qui peuvent faire preuve de résilience, explique-t-elle. Ce processus, au cours duquel on développe une capacité à surmonter des épreuves difficiles et à se ressaisir, est également présent chez les familles en crise. «Chaque famille possède un certain potentiel de résilience lorsqu’elle vit un traumatisme comme le suicide d’un adolescent, souligne-t-elle. Cependant, il ne faut pas croire que ce type de résilience est le résultat de l’addition des résiliences individuelles des membres de la famille. Le tout est plus grand que la somme des parties.» Comment ces familles endeuillées arrivent-elles à pratiquer «l’art de naviguer dans les torrents», comme l’a illustré le psychiatre et éthologue Boris Cyrulnik, qui a popularisé la notion de résilience? C’est ce que Christine Genest tente d’observer, grâce à une approche qualitative en théorisation ancrée, chez sept familles dont un enfant s’est enlevé la vie il y a au moins un an. Bien sûr, il est impossible de généraliser les comportements et les réactions, mais deux tendances semblent se dessiner, mentionne la doctorante, qui est dirigée par la professeure et vice-doyenne de la Faculté des sciences infirmières, Francine Gratton. «Il y a des familles qui s’enferment dans leur cocon. Les membres gèrent la crise en commun et apprennent ensemble de cette expérience. Dans d’autres cas, chaque individu part de son côté et, à un moment donné, il se produit un évènement qui fait en sorte que la famille se réunit de nouveau. Les liens entre les membres sont beaucoup plus solides par la suite.» Christine Genest a remarqué que la nature offre un certain réconfort aux membres d’une famille endeuillée. Christine Genest a désigné quelques facteurs susceptibles de renforcer la résilience familiale. La nature, par exemple, serait un élément de réconfort. «L’environnement revient souvent dans le discours des familles comme un facteur qui les aide beaucoup, note-t-elle. Elles vont marcher dans la forêt, planter un arbre, bref, elles se retrouvent dans la nature. Pour certaines d’entre elles, le vent leur rappelle leur enfant.» Le respect du deuil de chacun contribuerait également au processus de résilience familiale, comme le rapporte la doctorante: «J’ai rencontré un couple dont la fille s’est suicidée en se jetant devant un wagon de métro. La mère connait le nom de la station, alors que le père l’ignore et ne veut pas le savoir. Chaque année, la mère va porter une fleur à l’endroit où son enfant s’est tuée. Son conjoint la laisse y aller et elle, de son côté, ne l’oblige pas à venir avec elle. Ils se respectent dans leur façon de vivre leur deuil. Cette attitude renforce les liens entre les membres de la famille, car ils n’ont pas besoin de justifier leurs actes et ne vivent pas de pression. Ils se sentent épaulés.» Souvent, les membres d’une famille arrivent à surmonter la perte d’un des leurs en puisant dans un potentiel insoupçonné de résilience. Et en s’épaulant les uns les autres. Christine Genest a remarqué que le deuil des familles semble moins pénible si l’on a diagnostiqué une maladie mentale chez l’adolescent avant son suicide. «Parmi les familles rencontrées, il y avait deux cas en particulier où les jeunes souffraient d’un trouble de santé mentale. Le premier était atteint de maniacodépression et le second d’un trouble de l’alimentation. Ces diagnostics pourraient avoir facilité le cheminement des familles, puisque la mort de l’enfant avait un sens, d’une certaine manière. Elles se sont posé moins de questions par rapport à la raison de ce suicide et ont sans doute ressenti moins de culpabilité que les familles dont l’adolescent n’était pas aux prises avec une maladie mentale.» Pour le moment, toutes ces observations se font dans le cadre d’une recherche qualitative, mais Christine Genest évoque la possibilité de poursuivre cette étude afin d’aboutir à des pistes de réflexion et peut-être même à des modèles d’intervention qui aideraient le milieu de la santé à accompagner les familles dans cette épreuve. La résilience familiale, c’est…une souplesse devant les situations rencontrées et dans les stratégies déployées pour surmonter les épreuves; un sentiment de contrôle interne sur les évènements; une ouverture sur l’avenir; des attitudes prosociales; une capacité à donner un sens à l’expérience; des interrelations entre les membres. Ces attributs permettent à la famille de rebondir, de grandir et d’apprendre dans une situation perçue comme un défi ou provoquant un stress et nécessitant qu’elle mobilise son énergie. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1149/221/

Le Salon Emploi Formation pour aller de l'avant avec sa carrière Fidèle à sa tradition, le Salon Emploi Formation réunira ses quelque 150 exposants, les 18 et 19 mars prochain, au Palais des Congrès de Montréal. Encore une fois, les représentants d'organismes d'aide à l'emploi, d'établissements d'enseignement et de nombreux employeurs ont répondu à l'appel des organisateurs pour lever le voile sur les multiples possibilités de carrière. www.emploiformation.com/

15e congrès de l'Association internationale de psychologie du travail de langue française Entre tradition et innovation, comment transformons-nous l'univers du travail? Du 19 au 22 août 2008 Université Laval Le formulaire d’inscription en ligne est maintenant accessible http://www.aiptlf2008.ca/ Événement international où une des thématiques est la mesure et l'évaluation portant sur des dimensions individuelles en milieu organisationnel. Plus de 20 symposiums, une centaine de communications libres sans compter les affiches-communications des étudiants de deuxième et de troisième cycle traitent de cette thématique. Outre le thème de la santé psychologique au travail et les transformations dans les organisations, il m'apparaît que l'évaluation relative au développement de carrière est un thème important de questionnement en recherche et aussi chez de nombreux praticiens oeuvrant en milieu organisationnel. Ce domaine se transforme et nous devons y innover pour y jouer un rôle. Liette Goyer, professeure agrégée Centre de recherche et d'intervention sur l'éducation et la vie au travail (CRIEVAT) Université Laval liette.goyer@fse.ulaval.ca

Le parascolaire: une solution limitée
Malgré l'instauration d'un cours d'éducation physique obligatoire en 1981, les enfants québécois bougent très peu à l'école. Jusqu'en 2005, les élèves du primaire bénéficiaient grosso modo d'un cours de 60 minutes par semaine. Depuis trois ans, c'est le double. Mais une école sur cinq ne respecte pas cette nouvelle norme. www.cyberpresse.ca/article/20080316/CPACTUEL/803160547/6688/CPACTUEL03

Les internautes sont des lecteurs assidus
Les gens lisent davantage les textes qu'ils trouvent sur les sites Internet des journaux que ceux qu'ils ont dans la version papier de leur quotidien, révèle une étude. http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/texte_complet.php?id=81,12399,0,032008,1421477.html&ref=cyberpresse

Téléphonie dans le 418 : la composition à 10 chiffres dès le 21 juin À partir du 21 juin, toute la population desservie par l’indicatif régional 418 devra composer 10 chiffres, incluant l’indicatif, pour chaque appel local. Les régions desservies par le 418, Québec, Rimouski, Saguenay, sont les dernières à entrer dans la vague de la composition locale à 10 chiffres. Montréal, Gatineau, Trois-Rivières et le nord-ouest du Québec y sont déjà. www.cyberpresse.ca/article/20080318/CPSOLEIL/80317181/6585/CPSOLEIL02


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Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Documents réalisés par Raymond Jean, c.o.


Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Pour le moment, 47 membres des 27 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (17) : les cégeps St-Laurent, Abitibi-Témiscamingue, St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Lanaudière, St-Hyacinthe, Outaouais, Vieux-Montréal, Rosemont, Ahuntsic, Héritage, le Collège international Marie de France, le Collège St-Jean-Vianney, l’université de Sherbrooke et Trav-Action. À l’est (10) : Jonquière, Limoilou, Gaspésie, F.-X. Garneau, St. Lawrence, Ste-Foy, St-Félicien, Lévis-Lauzon, Chicoutimi et Psycho-Carrière. Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

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11 mars 2008

V 6 No 21: Réforme des professions en santé mentale et relations humaines

En quittant la maison par la porte côté jardin,
une lueur d'un printemps imminent m'est apparue...
même constat dans la grotte au centre de ski Le Refuge à St-Adolphe...

Sur le site du bulletin électronique, nous pouvons maintenant afficher des mini diaporamas http://www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/ Celui du congrès de l’année dernière vous dirigera vers le site de toutes les photos, si vous cliquez sur l’une ou l’autre. Éventuellement, nous pourrons identifier nos partenaires. De plus, nous vous mentionnons que tous les bulletins sont archivés sur ce site. Le site du bulletin est plus que la somme des courriels…

Le projet de loi 50: Réforme des professions en santé mentale et relations humaines La semaine dernière s'est tenu un moment historique pour notre profession. Le projet de loi 50, qui porte sur la réforme des professions en santé mentale et relations humaines a été discuté en Commission parlementaire. Ce projet de loi créera des activités réservées pour notre profession et réglementera le titre et la pratique de la psychothérapie. Lorsque le projet de loi sera passé, ce sera l'aboutissement de plus de quinze ans de discussions, de négociations, de groupes d'experts (Bernier, Trudeau...), dans lesquelles les représentants de votre Ordre et des dizaines de membres auront activement collaboré et fait avancer le dossier. Notre Ordre y a présenté son mémoire. Félicitations à Laurent Matte le président et Renée Verville, notre directrice générale! Ils nous ont très très bien représenté! Je remercie également celui qui a travaillé à préparer le mémoire, Richard Locas, chargé d'affaire professionnel à L'Ordre. Au visionnement des ces enregistrements vidéos, vous serez à même de constater, comment les ordres professionnels concernées ont travaillé pour amener un consensus sur le projet de loi. Vous entendrez également le ministre Dupuis, et les députés des trois partis, parler de manière très positive des Ordres concernées, du projet de loi, de son importance pour la protection du public et pour assurer des services de qualité. Vous entendrez également des syndicats, en particulier la CSN, être contre les activités réservées. Cependant vous entendrez les employeurs être en faveur du projet de loi. Lorsque ce projet de loi sera passé, il y a lieu de croire qu'il influencera la pratique dans nos milieux et aussi l'appartenance à L'Ordre. Je vous invite à aller visionner quelques'unes des présentations qui ont duré en moyenne 60 minutes chacunes: Celle de notre Ordre http://diffusion.assnat.qc.ca/video/ci/ci200803041051.wmv celle des psychologues, travailleurs sociaux, celle de la CSN et la CSQ (la CSQ cependant est plus en faveur), la Société québoise des psychothérapeutes professionnels et l’ Association des Centres Jeunesse. www.assnat.qc.ca/fra/travaux/Debats/banquevideo/ci/santementale.html Michel Turcotte. c.o. conseiller d'orientation, psychologue Analyste principal/ Senior Analyst Division de l'information sur les compétences et le marché du travail/Skills and LMI Division Direction des compétences et de l'emploi/Skills and Employment Branch Ressources humaines et développement des compétences Canada michel.turcotte@hrsdc-rhdsc.gc.ca

Le Mémoire de l’Ordre concernant les représentations du président en commission parlementaire le 4 mars est disponible sur le site de l’Ordre à l’adresse suivante : www.occoppq.qc.ca/comm/comm.shtml Diane Tremblay Coordonnatrice aux communications dtremblay@occoppq.qc.ca

Effectivement, il s’agit d’une étape majeure dans l’évolution de notre profession Disons simplement que le projet de loi fait 3 choses à notre égard, comme en fait état le résumé fourni par Michel. 1-Il réécrit notre champ d’exercice (d’une manière beaucoup plus intéressante) 2-Il nous fait passer d’une profession à titre réservé vers une profession avec des activités réservées partagées 3-Il règlemente la pratique de la psychothérapie et le titre de psychothérapeute, en reconnaissant que les c.o. peuvent y accéder. Notez que l’activité «évaluer un enfant qui n’est pas encore admissible à l’éducation préscolaire et qui présente des indices de retard de développement dans le but de déterminer des services de réadaptation et d’adaptation répondant à ses besoins » ne se retrouvera pas dans la version finale de la loi, cette activité ne répondant pas aux critères pour nous être attribuée. Ce processus a permis de développer des liens de collégialité entre les ordres impliqués et augure favorablement aux nombreuses autres discussions que nécessitera la mise en œuvre de la loi lorsqu’elle aura été adoptée. Cette mise en œuvre impliquera tous les c.o., et c’est en collaboration que nous pourrons la réaliser. Soyez donc assurés que nous vous reviendrons à ce sujet, et n’hésitez pas à nous adresser vos questions. Laurent Matte, c.o. Président de l’OCCOPPQ lmatte@occoppq.qc.ca

Sondage (votre participation serait très appréciée) Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC) effectue une étude au sujet de l’Information sur le marché du travail. Nous espérons que les professionnels de la gestion des ressources humaines et les professionnels du développement de carrière y répondront en très grand nombre afin de nous aider à mieux comprendre leur utilisation de l’Information sur le marché du travail et à étudier les possibilités d'amélioration du service de RHDSC. Bien que vous soyez tout à fait libre de participer ou non au sondage, vos réponses revêtent beaucoup d’importance. Il vous faudra une quinzaine de minutes environ pour répondre au sondage. C’est un cabinet de recherche indépendant, Les Associés de recherche EKOS, qui se charge de la réalisation du sondage. Personne d’autre ne verra vos réponses. Le sondage est affiché sur un site sécurisé, et vos réponses seront tenues entièrement confidentielles, conformément aux dispositions de la Loi sur la protection des renseignements personnels. Tous les renseignements que vous communiquerez ne seront utilisés que sous forme globale. Pour nous faire part de votre opinion, rien de plus facile! Il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous, qui vous conduira au sondage en ligne. www.97.ca/ekos/callweb.cgi?FR:0507 Nous pourrions ensuite vous inviter à participer à un entretien qualitatif de suivi. Soyez sans crainte : toutes vos réponses demeureront strictement confidentielles. Veuillez répondre au sondage au plus tard le 25 mars 2008. En cas de problème technique ou si vous avez des questions au sujet de la façon de remplir le questionnaire, veuillez nous adresser un message électronique à l’adresse (labourmarketprofessionals@ekos.com ), ou encore communiquer avec nous au téléphone, au 1-800-388-2873. Pour toute question ou préoccupation au sujet de l’étude, veuillez communiquer avec (Geri Briggs, geri.i.briggs@hrsdc-rhdsc.gc.ca 819-997-5350). Nous vous remercions à l’avance de bien vouloir prendre le temps de contribuer à l’amélioration de cet outil pour tous les professionnels de la gestion des ressources humaines et les professionnels du développement de carrière au Canada!


Section Nouvelles http://www.acoc.info/
Moncton J’embarque!
Voici le programme des 12 et 13 mai prochain (ainsi que les trois soirées du 13, 14 et 15 mai) avec l’université de Moncton. Tout un programme ! Soyez nombreux à vous inscrire, nous avons une occasion unique d’organiser ce congrès en partenariat avec l’université de Moncton et la possibilité de se joindre à deux journées du colloque de l’ACC (les 14 et 15 mai en avant-midi et après-midi). 7e Congrès ACOC 2008 : www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 Dès que les places disponibles seront comblées, nous évaluerons la possibilité d’un deuxième autobus. Nous avons déposé sur cette page les modalités d’inscription pour réserver votre place dans l’autobus et pour les résidences de l’Université de Moncton www.umoncton.ca/acoc Comme vous recevez ce bulletin électronique, vous êtes membre de l’ACOC (compléter le formulaire désigné).

Aide pédagogique individuel - remplacement (une journée par semaine, le vendredi) Cégep Marie-Victorin Fin du concours 12 mars 2008 à 17 h, au : CÉGEP MARIE-VICTORIN DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES ET SECRÉTARIAT GÉNÉRAL Concours 07-08 : PR-13 7000, rue Marie-Victorin, Montréal, (Québec) H1G 2J6 rh@collegemv.qc.ca www.ameqenligne.com/detail_poste.asp?NoPoste=7012

Info collégiale
Colloque La pénurie de main-d’œuvre, l’urgence d’agir (20 mars au cégep Limoilou) Un sujet incontournable et des ateliers pratiques des plus pertinents pour permettre à votre entreprise d'agir dès aujourd'hui face à la pénurie de main-d'oeuvre. http://www.colloqueurgencedagir.com/

Les emplois du domaine de la santé affichés sur Internet Depuis le 12 février, les emplois disponibles dans le domaine de la santé en Mauricie et au Centre-du-Québec sont tous regroupés sur un seul site Internet http://www.travaillerensante.com/ Les huit centres de santé, le Centre hospitalier régional de Trois-Rivières (CHRTR), le Centre jeunesse, le Centre de services en déficience intellectuelle (CSDI) et Domrémy se sont mobilisés pour créer cette ressource. En plus de consulter les emplois, le candidat peut postuler en ligne ou déposer son C.V. dans une banque régionale. Les établissements, qui regroupent plus de 15 000 employés, prévoient avoir 2 000 emplois à combler au cours des trois prochaines années. En plus d'afficher les postes sur leur propre site, ils continueront d'utiliser les principaux sites d'emploi.

Examens de français: les jeunes Québécois de moins en moins bons Les élèves dont parle l’Office québécois de la langue française n’ont pas été touchés par la réforme de l’éducation. Au secondaire comme au cégep, les jeunes Québécois réussissent de moins en moins bien aux examens de français, constate l’Office québécois de la langue française (OQLF). Les résultats aux épreuves de cinquième secondaire du ministère de l’Éducation, compilés par l’Office, montrent une dégradation des taux de réussite depuis 2000. En 2004, les jeunes finissants au secondaire franchis­saient l’é­preu­ve, la rédaction d’un texte d’opinion de 500 mots, dans une proportion de 78 %. Ce taux de réussite a déjà dépassé les 90 %, mais, observe l’Office, le ministère de l’Éducation a resserré ses critères de correction. Même avec l’aide du dictionnaire et de la grammaire, les jeunes Québécois étaient seulement 58 % en 2004 à réussir le volet de la «forme». C’est principalement l’orthographe, avec un taux d’échec de près de 50 %, qui constitue leur plus gros talon d’Achille. Sur papier, les élèves semblent très forts pour argumenter en français, avec plus de 95 % des jeunes qui obtiennent la note de passage, et ce, depuis 10 ans. Ces taux de réussite avaient d’ail­leurs fait dire à la ministre de l’Éducation Michelle Courchesne cet automne que la grille d’évaluation était trop permissive. Notons que ces élèves n’ont pas été touchés par la réforme de l’éducation. En baisse aussi au cégep Le portrait n’est pas plus rose chez ceux qui terminent leurs études collégiales et doivent, pour obtenir leur diplôme, rédiger une dissertation de 900 mots, avec l’aide d’un maximum de trois ouvrages de référence sur le code linguistique. Alors que les cégépiens réussissaient dans une proportion de 88,6 % en 1998, ils ne sont plus que 81 % à subir l’épreuve avec succès en 2005. Pour réussir ce test, un élève doit commettre moins de 30 fautes dans son texte, soit une erreur tous les 30 mots. L’OQLF note que depuis 1997, le taux de réussite en orthographe chute. De même, de moins en moins de collégiens font «seulement» 15 fautes en syntaxe et en ponctuation. La syntaxe et l’orthographe seraient, aux yeux de l’Office, les faiblesses des finissants des cégeps. Par ailleurs, une autre étude de l’OQLF démontre que les futurs enseignants au secondaire utilisent une langue française «familière» une fois sur deux. Soixante-quinze futurs enseignants de trois universités québécoises étaient invités à discuter en petit groupe de leurs stages pratiques faits dans des classes. Les meneurs de l’étude leur avaient donné la consigne d’utiliser une langue des plus soignées. «On devrait amener les futurs enseignants à utiliser plus de variantes soutenues, dans la mesure où ils agiront comme modèles linguistiques auprès de leurs élèves», écrivent les auteurs de l’étude. www.cyberpresse.ca/article/20080306/CPSOLEIL/80305279/6787

Regain de popularité des agents de voyages
Dans un article publié sur le site TravelMole, Rob Torres, directeur du secteur des voyages de Google, dit ne pas être surpris que bon nombre de voyageurs se tournent à nouveau vers les agents de voyages. « Selon moi, de plus en plus de gens veulent obtenir un niveau de service élevé, particulièrement pour les réservations complexes, qui sont parfois très difficiles à faire par Internet. www.bonjourvoyage.com/zreportages2.php?sequence_no=17748

Katimavik : une alternative de choix aux bancs d'écoles Katimavik, le principal programme de volontariat pour la jeunesse au Canada, offre depuis 30 ans aux jeunes Canadiens une alternative de choix aux bancs d'école pour un avenir construit sur des fondations durables. Conjuguant les bienfaits du séjour linguistique, du stage professionnel et de l'implication communautaire dans un séjour de 9 mois à la découverte de 3 provinces canadiennes, Katimavik s'appuie sur un programme d'apprentissage structuré qui amène ses jeunes participants à développer des compétences susceptibles de mieux diriger leur scolarité et d'augmenter leur employabilité. Cette aventure unique à « l'école de la vie » permet ainsi aux jeunes de mieux se connaître, d'expérimenter différents milieux de travail, de se responsabiliser, de découvrir gratuitement leur pays et d'apprendre l'anglais. Cet inestimable bagage d'expériences concrètes se révèle donc souvent complémentaire à une éducation formelle apprise sur les bancs d'école et constitue une parenthèse profitable dans leur cheminement personnel et professionnel. Une année gagnante! Ces neuf mois « sabbatiques » se révèlent très souvent primordiaux dans la quête d'un emploi futur: un curriculum vitae bien garni, ainsi qu'une solide connaissance de soi, permettent notamment à ces jeunes de mieux orienter leur parcours académique et professionnel. D'ailleurs, une étude socio-économique réalisée par Malatest & Associates Ltd. en 2005-2006 révèle que Katimavik a eu un impact sur les choix de carrière des deux-tiers (66%) de ses participants. « J'ai pu travailler dans une maison des jeunes en Ontario lorsque j'ai fait Katimavik. Je n'avais jamais eu la chance d'évoluer dans un tel environnement, et j'ai tellement aimé ça que maintenant j'étudie à l'université pour être enseignante en adaptation scolaire pour les jeunes en difficulté! Tout ça est né dans Katimavik. De plus, je peux me trouver un emploi beaucoup plus facilement, j'ai de l'expérience et une lettre de référence de quelqu'un qui travaille dans le domaine grâce à Katimavik », souligne Julie Goulet-Kennedy, une ancienne participante de 2002-2003. À propos de Katimavik Katimavik propose aux jeunes de 17 à 21 ans une expérience unique de neuf mois à la découverte de soi-même et de trois régions du Canada. Fondé sur le concept d'apprentissage par le volontariat, Katimavik vise le développement personnel, professionnel et social des jeunes Canadiens en leur offrant l'occasion d'effectuer du travail bénévole au sein de diverses communautés, de vivre en groupe et d'acquérir des compétences dans les domaines suivants : leadership, langues officielles, environnement, découverte culturelle et mode de vie sain. À la fin du programme, chaque participant aura effectué une moyenne de 900 heures de travail bénévole – à raison de 35 heures par semaine – au profit d'organismes sans but lucratif. Depuis 1977, plus de 28 000 Canadiennes et Canadiens ont participé au programme Katimavik : ils ont développé leur sens civique et ont acquis une meilleure confiance en eux-mêmes. Katimavik vise la formation de citoyens responsables qui contribueront de manière déterminante à la société canadienne. Pour infos et inscription, visitez le http://www.katimavik.org/

Fais ton choix parmi 120 métiers d'avenir sur toutpourreussir.com Le nouveau site toutpourreussir.com t'offre une foule d'outils pratiques qui t'aideront à trouver le métier fait pour toi. Programmes, salaires, perspectives d'emploi par région, test d'orientation… c'est le meilleur endroit pour répondre à toutes tes questions sur les 120 métiers d'avenir qui demandent une formation professionnelle au secondaire ou une formation technique au collégial. Visite le site, participe au concours et cours la chance de gagner un prix de 2000 $ ! Une initiative du gouvernement du Québec. www.toutpourreussir.com/fr

Info universitaire
Le réseau Carriérologie fête ses 15 ans !
Pour cette occasion très spéciale, nous aimerions retracer et inviter les diplômés et les étudiants de l’UQAM issus des programmes suivants : Baccalauréat en information scolaire et professionnelle - Baccalauréat en développement de carrière - Maîtrise en éducation profil carriérologie Pour une soirée retrouvailles et réseautage ! Merci de transmettre cette invitation à tous vos amis et collègues! Rendez-vous le Jeudi 27 mars 2008 de 18h à 21h! Inscription obligatoire avant le 25 mars 2008. Places limitées. Date limite: Lieu : Cœur des sciences de l’UQAM 145 av. du Président-Kennedy À 2 pas du Métro Place-des-arts Billets : 15$ buffet et boissons sur place Informations : assistant_carrierologie@yahoo.ca (514) 987-3000 #7675 http://reseauxsocioprofessionnels.uqam.ca/ 15 ans d’implication des assistants, des bénévoles et des membres ! 15 ans d’activités qui favorisent le développement professionnel des membres ! Un concept si novateur que l’UQAM compte maintenant 16 réseaux socioprofessionnels dans ses différentes facultés !

Un nouveau mode de gestion des études à l’université Laval Nos objectifs pour 2008 : Un système de gestion des études plus performant sur le plan technologique et plus convivial pour ses usagers. Une approche axée sur les besoins de l’étudiant et favorisant une meilleure communication. Des pratiques de gestion des études simplifiées et harmonisées, facilitant le travail de gestionnaires d'études et d'enseignants. http://www.pmgde.ulaval.ca/ et www.aufil.ulaval.ca/articles/bientot-sur-vos-ecrans-6232.html

Nouvelle maîtrise en affaires publiques
La Faculté des sciences sociales de l’université Laval annonce la création d’une toute nouvelle maîtrise en affaires publiques à son Département de science politique. Ce programme, qui accueillera ses premiers étudiants à l'automne 2008, s’adresse aux professionnels souhaitant acquérir de nouvelles habiletés en gestion d’organisation et aux universitaires désirant tenir des rôles de responsabilité dans les secteurs public, parapublic ou privé. La maîtrise en affaires publiques est un programme multidisciplinaire qui regroupe la science économique, la science politique, les relations industrielles, le droit et le management. Elle est offerte en quatre concentrations, soit Analyse et évaluation, Gestion publique, Finances publiques ainsi que Recherche et méthodologie. La durée de cette formation est de quatre sessions à temps plein. Il est également possible de la compléter à temps partiel, pour ainsi s'adapter à la situation des professionnels retournant aux études. Un stage au sein d’organisations de renom est offert afin d’allier l'apprentissage avec le milieu professionnel. Pour les professionnels qui travaillent dans le secteur public, la rédaction d’un essai peut substituer le stage. Ce diplôme est reconnu par l’Association canadienne des programmes en administration publique et accrédité par la Commission de la fonction publique du Canada. Il répond aux conditions d’admission des concours de cadres de la fonction publique. Renseignements: www.pol.ulaval.ca/map

Dès septembre 2008, la Faculté de musique de l'Université de Montréal proposera deux nouveaux programmes de mineures à caractère pluri-disciplinaire, Musiques, arts et société ainsiq que Musiques numériques. Une nouvelle option sera également ouverte au sein du cursus de composition, Musiques d'applications audiovisuelles. Vous trouverez dans les documents ci-joints toutes les informations concernant ces nouveaux programmes, merci de la diffuser le plus largement possible. Pour toute question, n'hésitez pas à me contacter par retour de courriel. http://www.musique.umontreal.ca/ Faculté de musique de l'Université de Montréal Ida Toninato ida.toninato@umontreal.ca Alexandra Lorange alexandra.lorange@umontreal,ca Madame Ada Gioia ada.e.gioia@umontreal.ca

La page d’accueil du site Web de l’UdeM fait peau neuve Le nouveau design facilite l’accès aux services et aux activités de l’Université http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1108/221/ et http://www.umontreal.ca/

Trois programmes sont créés en sciences infirmières
La Commission des études approuve aussi deux nouveaux certificats Afin de convenir aux besoins des aspirantes infirmières cliniciennes en provenance des cégeps, l’Université de Montréal offrira sous peu trois programmes de mineures dont le cumul permettra d’obtenir un baccalauréat. Les cours de ces programmes seront donnés à temps partiel, selon des horaires de jour, de soir ou de fin de semaine, et pourront même se dérouler dans des établissements de santé capables de réunir des groupes de 35 à 40 personnes. Tel en ont décidé les membres de la Commission des études à leur réunion du 26 février dernier. Les nouveaux programmes («Profession et santé», «Pratique infirmière 1» et «Pratique infirmière 2») seront implantés à partir de l’automne prochain sur les trois années qui viennent. «Des candidates nous échappaient et allaient poursuivre leur formation dans d’autres universités, car l’UdeM ne proposait que des études à temps plein», a expliqué la vice-doyenne aux études de premier cycle et à la formation continue de la Faculté des sciences infirmières, Johanne Goudreau. Le réaménagement des programmes permettra de combler cette lacune. Les trois mineures s’inscrivent dans la foulée du baccalauréat réformé en 2004 en raison des changements survenus dans le système de santé. Selon la convention collective des infirmières, l’obtention d’un diplôme de 30 crédits permet de bénéficier d’une augmentation salariale. La professionnalisation des infirmières n’est pas propre au Québec. Dans huit provinces canadiennes, en Europe et au Brésil, notamment, on exige un diplôme universitaire pour accéder à la profession. La Commission des études en a également profité pour adopter un module en soins d’urgence. Ce projet consiste à harmoniser les contenus liés aux soins d’urgence à l’unité d’apprentissage correspondante sur les soins critiques, partie intégrante du baccalauréat. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1110/221/

Un nouvel article vient de paraître sur le magazine électronique du CAPRES : " Les étudiants de première génération universitaire: état de la situation à l'Université du Québec " par Sylvie Bonin, agente de recherche à l’Université du Québec.
www.uquebec.ca/capres/fichiers/art_UQ-mars-08.shtml

Jeux électroniques : nouvelle formation à Québec Un premier certificat de création en 3D Quatre entreprises produisent des jeux électroniques à Québec. En croissance, elles ont besoin de main-d'œuvre qualifiée. L'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) a donc décidé de lancer un premier certificat de création en 3D, dans la capitale nationale. Les cours seront dispensés dans l'édifice Fleurie, au cœur du quartier Saint-Roch. Une majeure en 3D pourrait aussi voir le jour. www.canoe.com/techno/nouvelles/archives/2008/02/20080226-190022.html

Docteure en biologie à l’UQAR Spécialiste des mitochondries, Hélène Lemieux travaille en Autriche Une diplômée au doctorat en biologie de l’UQAR, Hélène Lemieux, fait maintenant son chemin dans un domaine pointu de la science biologique: les mitochondries. Son parcours universitaire l’a conduite jusqu’en Autriche, où elle fait maintenant des études postdoctorales dans un laboratoire à la fine pointe des recherches internationales. La thèse de doctorat d’Hélène Lemieux a été dirigée par le Dr. Pierre Blier, de l’UQAR, et codirigé par le Dr. Jean-Claude Tardif (Institut de Cardiologie de Montréal), alors que la dernière partie du projet a été supervisée par le Dr. Erich Gnaiger (du Laboratoire D. Swarovski, de l’Université médicale d’Innsbruck, en Autriche). Originaire de Mont-Joli, Hélène Lemieux a fait son baccalauréat en Biologie à l’UQAR (Rimouski), puis une maîtrise en Environnement à l’UQTR (Trois-Rivières). Elle a ensuite travaillé pendant six ans, d’abord comme assistante de recherche pour le Dr. Pierre Blier, à l’UQAR, puis comme directrice scientifique pour la compagnie de biotechnologie marine Aqua-Biokem Inc. En janvier 2004, elle a entrepris son doctorat en Biologie avec le programme conjoint UQAM-UQAR. «J’ai fait les deux premières parties à l’UQAR, supervisées par Pierre Blier, et ensuite la dernière partie à Innsbruck (Autriche), supervisée par le Dr. Gnaiger. C’est ce qui m’a donné envie d’aller faire mon postdoctorat à Innsbruck, dans ce laboratoire hautement spécialisée dans les recherches sur les mitochondries.» En février 2007, immédiatement après le dépôt initial de sa thèse, Hélène Lemieux s’est donc rendue à Innsbruck pour y commencer son projet de postdoctorat. «Mon projet, affirme-t-elle, vise à mieux comprendre le fonctionnement des mitochondries dans les cellules animales et humaines. Il s’agit d’une nouvelle approche pour évaluer les fonctions mitochondriales et faire le lien avec différentes maladies. Entre autres, j’étudie présentement les fonctions des mitochondries dans le cœur des patients qui subissent une transplantation ou un pontage cardiaque, à l’Hôpital universitaire d’Innsbruck.» Le Dr. Gnaiger dispose d’un réseau international bien établi à travers le monde. De plus, les intérêts grandissants de différentes équipes de recherches pour cette nouvelle approche donnent l’occasion à Hélène Lemieux d’établir des collaborations dans plusieurs pays: la Belgique (à Louvain et à Liège), les États-Unis (Cleveland, Ohio) et l’Autriche (Innsbruck). Elle a collaboré récemment à un article publié dans la revue Nature Genetics. www.uqar.qc.ca/uqar-info/0308/MitochondriesHLemieux.asp

Formation, documentation
Vous êtes invités à visiter l'exposition intitulée Physique de femmes. Cette exposition, qui vise à démythifier la science et la technologie auprès des femmes, se tiendra sous l'égide du ministère des Transports (partenaire du concours Chapeau, les filles!) à Place Québec dans un local situé près de la halte-bouffe, les 12 et 13 mars entre 9 h 30 et 15 h 30. Visite libre. Cette exposition est le fruit d'un nouveau partenariat entre le concours Chapeau, les filles! et la Mission pour la place des femmes au Centre national de la recherche (France). Vingt-huit bannières présentant les cheminements de scientifiques françaises et québécoises sont exposées. Des catalogues accompagnent l'exposition. Pour plus d'information, rendez-vous dans la www.mels.gouv.qc.ca/sections/chapeau/index.asp?page=exposition

Bienvenue pour la 30e fois !
Il n'y a pas de hasard, que des rendez-vous ! C'est d'autant plus vrai dans le domaine de l'emploi et les organisateurs du Salon Emploi Formation http://www.emploiformation.com/ en savent quelque chose. Les 18 et 19 mars prochain, ils célébreront un 30e rendez-vous, celui d'entreprises qui recrutent et de personnes à la recherche d'un tremplin ou d'un second souffle à donner à leur carrière ! www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/bienvenue-pour-30e-fois-7679.html

25 super jobs Le palmarès
Voici l’intégrale de notre palmarès. Pour en savoir plus sur ce qui rend ces métiers intéressants, cliquez sur «Voir les points positifs associés à cette profession». Pour plus de renseignements sur les conditions de travail et les conditions d’accès aux diverses professions, cliquez sur «Éléments à considérer».
http://carriere.jobboom.com/formation/super-job/2008/02/29/4884558-je.html

L'Avis psychologique Le suicide et ses figures Le suicide n'a pas qu'un seul visage, mais plusieurs réalités. Au-delà des constantes, facteurs favorisants, au-delà de la fragilité psychologique des personnes à risque, nous nous trouvons d'abord et avant tout face à une souffrance intense, qui est unique et personnelle à chaque homme ou femme pour qui le suicide devient un jour la solution. Envisageons aujourd'hui les facteurs qui ont une influence sur le choix suicidaire. Les auteurs décrivent d'abord des facteurs qui prédisposent, c'est-à-dire ceux qui rendent la personne plus vulnérable, avant même qu'un événement ne vienne perturber son état d'équilibre. Il faut retenir cependant qu'ils ne conduisent pas automatiquement au suicide. Parmi eux, on retiendra l'histoire de vie, c'est-à-dire l'histoire relationnelle, et celle du développement de la personnalité: http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=7196

Entrez voir la VIDÉO Le point sur les boissons énergisantes Cette semaine, l'équipe formée de Kim Bellerive, Cinthia Paquette Grenier et Cloé Gélinas, fait le point sur la consommation des populaires boissons énergisantes. http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=7208

Ouverture d'une prison-hôpital en Gaspésie
La vieille prison de Percé sera rénovée, au coût de 11,3 millions $, en vue d'en faire un établissement unique au Québec. D'une capacité de 46 places, elle recevra des détenus qui participeront à un programme d'intervention pour délinquants sexuels. Outre la quarantaine de postes d'agents correctionnels, plus de dix postes de professionnels de la santé (criminologues, sexologues, psychologues et travailleurs sociaux) seront créés. La réouverture de la prison est prévue pour la fin de 2009. http://www.monemploi.com/mon_emploi/actualites/ouverture-une-prison-hopital-gaspesie-7667.html

École Trudel de Baie-Comeau Fini les devoirs et les leçons Tout s'effectuera durant les heures de classe. L'école a testé la méthode au cours des deux derniers mois dans trois classes. Les résultats sont concluants, explique la directrice Nathalie Lagacé. Cette dernière souligne que l'apprentissage est particulièrement efficace avec les élèves en difficultés. L'enseignant accompagne les élèves lorsqu'ils font leurs exercices ce qui prend une vingtaine de minutes par jour. Le tout se déroule durant l'horaire habituel des classes. « Au lieu de faire un test de leçons le vendredi, ce qui peut nous prendre une heure, une heure et quart, on répartit chaque jour 15, 20 minutes durant lesquelles on fait les leçons », précise Mme Lagacé. Elle estime que les parents ne sont pas exclus du processus d'apprentissage. « Le parent peut s'asseoir avec son jeune et vérifier où il est rendu en lecture, jouer avec lui et passer un temps d'éducation positif au lieu d'un temps d'éducation conflictuel. Les parents ne sont pas tous des pédagogues », souligne la directrice. La nouvelle formule est pour le moment bien accueillie par les professeurs, les parents et les élèves. www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/03/10/010-ecole-trudel_n.asp

Épargne-études Un projet qui irrite les conservateurs Le gouvernement Harper entend déployer tous les efforts nécessaires pour empêcher le passage d'un projet de loi modifiant le fonctionnement des régimes enregistrés d'épargne-études (REEE) de manière à ce que les contributions y soient déductibles d'impôt jusqu'à hauteur de 5000 $ par année. Le projet de loi privé C-253, parrainé par le député libéral Dan McTeague, a été adopté à la Chambre des communes, jeudi, lors de la troisième et ultime lecture, par un vote de 158 contre 122. Il prend maintenant le chemin du Sénat, dominé par les libéraux. S'il y est approuvé, il ne manquera plus que la sanction royale pour qu'il entre en vigueur. Actuellement, les cotisations aux REEE, un véhicule financier destiné à faciliter l'accès aux études supérieures, ne sont pas déductibles d'impôt. Les intérêts qui s'y accumulent sont toutefois à l'abri du fisc, sans compter qu'Ottawa ajoute une subvention pour chaque dollar versé par un contribuable, jusqu'à un maximum de 500 $ par année. En rendant les versements déductibles d'impôt, les REEE ressembleraient davantage à ce qui est en vigueur pour les régimes enregistrés d'épargne retraite (REER). Le ministère des Finances estime toutefois que cette mutation préconisée par le projet de loi C-253 pourrait coûter jusqu'à 900 millions au Trésor public. Or, cette perspective ne sourit guère aux conservateurs. Dans son budget fédéral déposé la semaine dernière, le ministre des Finances Jim Flaherty a prévu que le ralentissement de la croissance économique au pays limitera le surplus du gouvernement à 2,3 milliards l'an prochain et à 1,3 milliard l'année suivante, une goutte d'eau dans un budget de 240 milliards. Le secrétaire parlementaire du ministre Flaherty, Ted Menzies, soutient qu'il demandera aux sénateurs de faire preuve de « bon sens » en empêchant le passage du projet de loi. M. Menzies a déclaré au National Post que le projet était « ridicule » et « irresponsable ». Dan McTeague devrait expliquer comment le gouvernement financera ce programme, dit-il, d'autant plus que les libéraux n'ont pas hésité à critiquer un budget qui frôle le déficit. Les conservateurs soutiennent par ailleurs que le projet de loi constitue un abus de la procédure encadrant le dépôt de projets de loi privés (projets qui n'émanent pas du gouvernement), qui ne doivent pas entraîner de dépenses du gouvernement. Dans ce cas-ci, le projet de loi prive plutôt le gouvernement de revenus. www.radio-canada.ca/regions/ottawa/2008/03/07/005-projet-loi-reee_n.shtml

Enseignement du français écrit: réformer la réforme Le français écrit ne s’apprend pas tout seul, rappelle Pascale Lefrançois http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1105/221


Vous trouverez ci-dessous les grandes lignes du projet de loi 50 qui concernent les c.o.. Champs de pratique pour l’exercice de la profession de conseiller d’orientation : évaluer le fonctionnement psychologique, les ressources personnelles et les conditions du milieu, intervenir sur l’identité ainsi que développer et maintenir des stratégies actives d’adaptation dans le but de permettre des choix personnels et professionnels tout au long de la vie, de rétablir l’autonomie socioprofessionnelle et de réaliser des projets de carrière chez l’être humain en interaction avec son environnement ; Activités réservées pour l’exercice de la profession de conseiller d’orientation : évaluer une personne atteinte d’un trouble mental ou neuropsychologique attesté par un diagnostic ou par une évaluation effectuée par un professionnel habilité ; évaluer les troubles mentaux, lorsqu’une attestation de formation lui est délivrée par l’Ordre dans le cadre d’un règlement pris en application du paragraphe o de l’article 94 ; évaluer le retard mental ; évaluer un élève handicapé ou en difficulté d’adaptation dans le cadre de la détermination d’un plan d’intervention en application de la Loi sur l’instruction publique .

PERMIS DE PSYCHOTHÉRAPEUTE
À l’exception du médecin et du psychologue, nul ne peut exercer la psychothérapie, ni utiliser le titre de psychothérapeute ni un titre ou une abréviation pouvant laisser croire qu’il l’est, s’il n’est membre de l’Ordre professionnel des conseillers et conseillères d’orientation et des psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec, de l’Ordre professionnel des ergothérapeutes du Québec, de l’Ordre professionnel des infirmières et infirmiers du Québec ou de l’Ordre professionnel des travailleurs sociaux du Québec et titulaire du permis de psychothérapeute. La psychothérapie est un traitement psychologique pour un trouble mental, pour des perturbations comportementales ou pour tout autre problème entraînant une souffrance ou une détresse psychologique qui a pour but de favoriser chez le client des changements significatifs dans son fonctionnement cognitif, émotionnel ou comportemental, dans son système interpersonnel, dans sa personnalité ou dans son état de santé. Ce traitement va au-delà d’une aide visant à faire face aux difficultés courantes ou d’un rapport de conseils ou de soutien. L’Office, par règlement, établit une liste d’interventions qui ne constituent pas de la psychothérapie au sens du deuxième alinéa mais qui s’en rapprochent et définit ces interventions. Tout médecin, psychologue ou titulaire d’un permis de psychothérapeute doit exercer la psychothérapie en respectant, outre les lois et les règlements qui le régissent, les règles suivantes :
1° établir un processus interactionnel structuré avec le client ;
2° procéder à une évaluation initiale rigoureuse ;
3° appliquer des modalités thérapeutiques basées sur la communication ;
4° s’appuyer sur des modèles théoriques scientifiquement reconnus et sur des méthodes d’intervention validées qui respectent la dignité humaine.
Pour obtenir un permis de psychothérapeute, une personne en fait la demande au Bureau de l’Ordre professionnel des psychologues du Québec et acquitte les droits annuels que le Bureau fixe par résolution



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Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Documents réalisés par Raymond Jean, c.o.



Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Pour le moment, 47 membres des 27 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (17) : les cégeps St-Laurent, Abitibi-Témiscamingue, St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Lanaudière, St-Hyacinthe, Outaouais, Vieux-Montréal, Rosemont, Ahuntsic, Héritage, le Collège international Marie de France, le Collège St-Jean-Vianney, l’université de Sherbrooke et Trav-Action. À l’est (10) : Jonquière, Limoilou, Gaspésie, F.-X. Garneau, St. Lawrence, Ste-Foy, St-Félicien, Lévis-Lauzon, Chicoutimi et Psycho-Carrière. Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

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