04 mars 2008

V 6 No 20: Admission encore possible à l’université pour l'automne 2008

Le 400e... cm à Québec ! En allant prendre l'autobus scolaire ce matin !
Section Nouvelles http://www.acoc.info/
Admission encore possible à l’université pour l’automne 2008 Après le 1er mars, il est encore possible de faire une demande d'admission à certains programmes universitaires non contingentés pour le trimestre d'automne 2008, comme par exemple aux universités québécoises suivantes: www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=942

7e Congrès ACOC 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 Dès que les places disponibles seront comblées, nous évaluerons la possibilité d’un deuxième autobus. Nous avons déposé sur cette page les modalités d’inscription pour réserver votre place dans l’autobus et pour les résidences de l’Université de Moncton www.umoncton.ca/acoc .

Info collégiale
Modification du Règlement sur le régime des études collégiales - La FAC inquiète pour la qualité de l'enseignement collégial Dans un avis qu'elle a récemment fait parvenir au Conseil supérieur de l'Education, la Fédération autonome du collégial (FAC) s'inquiète manifestement des répercussions qu'entraîneront les modifications proposées au RREC sur la qualité et les exigences de l'enseignement collégial. Selon le président de l'organisation syndicale, Jean-Claude Drapeau : "Même si nous partageons les objectifs ministériels de favoriser l'accès du plus grand nombre aux études supérieures, nous croyons qu'une telle ambition doit être dotée des moyens qui en permettront la concrétisation." Pour la FAC, les critères d'admission existent non pas pour fermer la porte aux élèves, mais bien pour s'assurer que celles et ceux qui accèdent au cégep possèdent le bagage requis pour assurer leur réussite. Passer outre à cette réalité, sans autres mesures correctives autorisant l'acquisition des savoirs et des connaissances essentiels, ne saurait qu'engendrer une dévalorisation des exigences scolaires de l'ordre collégial ou, en l'absence de nivellement, l'échec systématique d'étudiantes et étudiants insuffisamment préparés à relever de nouveaux défis. L'admission conditionnelle comme solution aux cas particuliers, notamment le décrochage scolaire, ou encore l'admission sur la base d'une formation jugée suffisante soulèvent d'autres problèmes qui doivent nécessairement être pris en considération. Pour ce qui est de la proposition de créer un "DEC général", la FAC met en garde le MELS contre le risque de dévaluer le diplôme collégial. "Un diplôme est la preuve tangible qu'une étudiante ou un étudiant a suivi et réussi un ensemble de cours formant un tout cohérent. L'appellation "diplôme" doit donc être réservée exclusivement pour sanctionner la réussite d'un programme structuré et ordonné", de poursuivre Jean-Claude Drapeau. Toutefois, dans l'esprit du changement préconisé, il serait possible de reconnaître le cheminement de ces étudiantes et étudiants par une appellation différente. Les termes "certificat général en études collégiales" ou "reconnaissance d'études collégiales" nous apparaissent plus appropriés. Enfin, la FAC est favorable à l'implantation d'un diplôme de spécialisation d'études techniques. Il constitue une "valeur ajoutée", une valorisation de l'enseignement collégial et une reconnaissance de sa capacité à former des individus dotés d'un haut niveau de qualification professionnelle. Cependant, dans le contexte des remises en question périodiques de la pertinence de l'existence des cégeps, l'identification d'un diplôme exclusif à la formation technique pourrait desservir l'institution et le réseau collégial. Aussi, suggère-t-elle l'appellation DSEC pour "diplôme de spécialisation d'études collégiales", plus emblématique de l'institution qu'est le Collège d'enseignement général et professionnel ainsi que de l'enseignement supérieur. L'avis peut être consulté au http://www.lafac.qc.ca/

Lancement du DVD sur les carrières dans l'industrie maritime (à Québec) Invitation http://www.csmoim.qc.ca/CSMOIMScriptorBD/documents/42004/Lettre%20invitation%2013%20mars%20JSB%20finale.pdf adressée aux conseillères et conseillers d'orientation et en emploi Jeudi le 13 mars 2008, à 10h Terminal de croisières / Port de Québec 84 Dalhousie, Québec salle 229 www.csmoim.qc.ca/CSMOIMScriptorAdmin/scripto.asp?resultat=33215

Le Cégep@distance sera relogé dans un nouvel édifice, sur les terrains du Collège de Rosemont « Le Cégep@distance met à profit les possibilités immenses qu’offrent notamment les nouvelles technologies de l’information et de la communication pour rendre l’enseignement collégial accessible partout sur le territoire québécois. Il apporte une réponse novatrice aux besoins actuels. L’investissement que j’annonce aujourd’hui permettra de répondre adéquatement aux besoins croissants du réseau collégial en matière de formation à distance », a déclaré le ministre Bachand. « Le Collège de Rosemont a toujours eu à coeur la formation à distance. Il a offert ses premiers cours par correspondance dès 1974. Ce n'est donc pas un hasard s'il a hérité, en 1991, du mandat de gérer et développer le Cégep@distance pour desservir l'ensemble du réseau collégial. Je suis donc très heureuse de cette annonce et de cette reconnaissance qui nous est accordée », mentionne madame Patricia Hanigan, directrice générale du Collège de Rosemont. Rappelons la nomination de monsieur Pierre Levasseur au poste de superviseur de chantier, le même qui a assuré la supervision des travaux d’agrandissement du Collège Jean-Eudes. Depuis 1991, le Cégep@distance a connu une forte croissance, ce qui a nécessité des espaces additionnels. La construction d’un nouvel édifice sur les terrains du Collège se révèle l’option la plus économique pour répondre à ces nouveaux besoins. Ce projet sera financé par une subvention de location au montant de 400 000 $ par année. http://www.cegepadistance.ca/

Le Cégep@distance participe au projet SAMI-Persévérance
Depuis quelques mois, le Cégep@distance s’est joint à l’équipe de recherche du projet SAMI-Persévérance. L’environnement WEB SAMI-Persévérance est un système d’aide multimédia interactif à la persévérance aux études postsecondaires qui a été mis en ligne en 2005 par une équipe de recherche sous la direction de Louise Sauvé à la TÉLUQ. www.cegepadistance.ca/apropos/sami-perseverance.asp? Nous vous invitons à visiter le site http://recherche-perseverance.savie.ca/ pour en connaître davantage.

Le Cégep Beauce-Appalaches a commencé à former les gens qui pourraient sauver des vies La formation des futurs répartiteurs et répondants en centre d’appels d’urgence a commencé, le 11 février dernier, au Cégep Beauce-Appalaches.Vingt-huit étudiants d’un peu partout au Québec suivent cette formation offerte pour la première fois dans la province.Vingt-huit étudiants qui pourraient, un jour, sauver des vies. « Les décisions que prennent les répartiteurs et répondants peuvent avoir un impact direct sur la survie des individus impliqués, explique Caroline Roy, la Coordonnatrice du Service de formation continue du Cégep Beauce-Appalaches.Depuis toujours, la formation était assurée par les centrales d’urgence.Il était temps qu’un établissementd’enseignement offre une formation complète à ces gens dont la responsabilité est énorme. » La formation, d’une durée de 720 heures, se donne à temps plein et s’adresse à une clientèle adulte.Elle a la particularité d’être offerte « en ligne » sur Internet en mode synchrone.Les formateurs interagissent en temps réel avec les apprenants dans une classe virtuelle. « Les étudiants suivent le cours via l’écran de leur ordinateur, explique l’enseignante, Julie Mathieu.À n’importe quel moment, grâce à un icône, ils peuvent manifester leur besoin de poser une question ou de faire un commentaire.Quelques minutes après le début du cours, on en vient à oublier que nous ne sommes pas dans le même lieu physique. C’est une façon de faire qui prépare bien les étudiants pourun emploi dans lequel ils devront gérer des conversations efficaces à distance.» À la fin de sa formation, le répartiteur et répondant en centre d’appel sera capable de communiquer efficacement en situation d’urgence; d’évaluer et prioriser une situation d’urgence; de faire appel aux intervenants appropriés et de coordonner leur travail. Les étudiants qui complèteront le programme avec succès obtiendront une attestation d’études collégiales.Ils auront d’excellentes possibilités d’emploi dans plus de 50 centrales d’appel d’urgence réparties dans chacune des régions du Québec. http://www.cegep-beauce-appalaches.qc.ca/ .

WordQ : un répit pour l’élève dyslexique
Québec - Depuis environ 3 ans, Madeleine Fauteux, conseillère pédagogique en adaptation scolaire à la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys, utilise le logiciel WordQ auprès de différents types d’élèves en troubles d’apprentissage, principalement des jeunes dyslexiques. WordQ est un logiciel d’aide à la rédaction qui s’utilise en même temps qu’un logiciel de traitement de texte standard. www.infobourg.com/sections/actualite/actualite.php?id=12812&utm_source=Bulletin_Edu_CA-FR&utm_medium=Email&utm_term=UserStory&utm_content=WordQinfobourg&utm_campaign=Mars2008

Info universitaire
UQO Pour une formation en médecine
L'Université du Québec tentera d'établir une école de médecine en Outaouais. Après la coalition l'Outaouais à l'urgence et différents intervenants, c'est au tour de l'UQO de réclamer une formation de base en médecine dans la région, afin d'enrayer la pénurie de spécialistes en santé. La semaine dernière, sur les ondes de Radio-Canada, le ministre québécois de la Santé, Philippe Couillard, invitait l'Outaouais à se rallier et à lui proposer des solutions pour remédier à la pénurie de travailleurs en santé qui frappe l'Outaouais. « On attend qu'on nous demande dans la région qu'est-ce qu'on veut de plus. Alors nous, on est là pour répondre à la demande, mais il faut aussi que la région se mobilise », soutenait le ministre. M. Couillard se disait même prêt à appuyer une école de médecine dans la région si une des quatre facultés de médecine de la province acceptait de l'offrir ici, comme cela a été le cas à Trois-Rivières et à Chicoutimi. Le recteur de l'Université du Québec en Outaouais, Jean Vaillancourt, a saisi la balle au bond. Il a relancé l'Université McGill pour voir son intérêt à offrir une formation de base dans la région, en plus de la formation clinique qu'elle offre déjà. Si McGill hésite à s'associer à l'UQO, M. Vaillancourt dit qu'il ira cogner aux portes des trois autres facultés de médecine pour réaliser son projet. « Mon objectif, c'est que l'Outaouais bénéficie d'une formation médicale par le biais d'une faculté de médecine québécoise le plus rapidement possible, peu importe laquelle », souligne-t-il. M. Vaillancourt précise que l'UQO offre déjà le doctorat en psychologie et la maîtrise en sciences infirmières et qu'elle est prête à élargir sa gamme de cours en santé, même si elle n'a pas les moyens de ses ambitions présentement. M. Vaillancourt compte beaucoup sur l'ouverture manifestée par le ministre Couillard. www.radio-canada.ca/regions/ottawa/2008/02/28/003-uqo-formation-medecine_n.shtml

L'UQAC tente l'aventure
L'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) élabore présentement un nouveau programme de deuxième cycle : une maîtrise en intervention thérapeutique et tourisme d'aventure. Ce programme multidisciplinaire, qui n'a pas d'équivalent au Canada, sera ouvert aux détenteurs du baccalauréat en plein air et tourisme d'aventure et aux professionnels de la santé. Les premiers recevront une formation axée sur l'aspect thérapeutique de la profession. Les seconds acquerront des compétences en tourisme d'aventure. Au cours des dernières années, Mario Bilodeau, un professeur-chercheur de l'UQAC, a développé une approche thérapeutique du plein air d'aventure pour les jeunes atteints du cancer. L'université s'est inspirée de ce modèle pour développer le programme de maîtrise. L'institution a pour objectif d'accueillir la première cohorte en septembre 2009, ou, au plus tard, en 2010. www.radio-canada.ca/regions/saguenay-lac/2008/03/03/002-UQAC_tourisme_maitrise_n.shtml

Concurrence universitaire
L'Université Laval fait face à de plus en plus de concurrence. Les universités régionales imitent celles des grands centres et viennent donner des cours en région. L'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue a récemment annoncé qu'un cours de création d'images 3-D sera offert dans la Vieille Capitale cet automne. La ministre de l'Éducation du Québec, Michelle Courchesne, a mis sur pied un comité pour étudier l'expansion des universités et la cohérence de ce développement dans la province. Pour le vice-président de l'Université du Québec, Daniel Coderre, il faut se réjouir de ces expansions. « Il faut le voir plutôt comme une complémentarité, comme une expertise à une région qui est ajoutée à celle qui existe ici déjà », souligne-t-il. Toutefois, M. Coderre admet qu'il faut certaines règles, mais il croit que les initiatives, comme celle d'implanter un programme de création 3-D, ne doivent pas être rejetées. « Je pense qu'il existe une compétition entre les universités et qu'il ne faut pas faire un tout de cette délocalisation qui se fait. Parfois, elle est très valable pour le Québec », indique-t-il. Les universités sont financées selon le nombre d'étudiants et les établissements tirent profits de ces programmes dispensés hors de leur région d'appartenance. De plus, cela leur permet de recruter et d'attirer des étudiants chez elles. Le rapport du comité est attendu d'ici un an. www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2008/03/03/004-universite-expansion-etude_n.shtml

Visionnez notre vidéo sur l'infirmière practicienne spécialisée www.oiiq.org/infirmieres/profession/infirmiere_pract.asp Dans cette séquence vidéo, vous pourrez observer des infirmiers et des infirmières en action. Vous pourrez mieux comprendre le rôle global et la pratique quotidienne de l’infirmière praticienne spécialisée en néonatalogie, c’est-à-dire auprès des nouveau-nés ayant divers problèmes de santé.

Vidéo promotionnelle de la profession d'infirmière www.oiiq.org/infirmieres/profession/video.asp Cette séquence vidéo présente des témoignages de personnes œuvrant en soins infirmiers. Découvrez différents aspects de leur pratique, ce qui les a incités à devenir infirmier ou infirmière de même que ce qui les motivent à exercer cette profession.

Les 25 meilleures jobs
Qui n'a pas un jour rêvé de dénicher la job idéale? Goûteur de chocolat, essayeur de matelas ou joueur de hockey: on se fait tous une idée de la profession qu'on aurait voulu pratiquer. Le Journal s'est donc associé à Jobboom pour identifier les 25 meilleurs emplois.* Du groupe, neuf professions du classement sont en lien avec la santé, trois avec la justice, trois avec le monde des affaires et enfin, trois sont reliées aux nouvelles technologies. www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/03/20080301-065100.html À LIRE AUSSI: Dentiste, l'emploi idéal; Science et habilité manuelle; Notre dossier complet sur Canoë ARGENT http://argent.canoe.com/meilleursemploisquebec/

Le PQ examine l'option «Étudiez maintenant, payez plus tard»
Lorsque les étudiants diplômés jouiraient de revenus plus importants, ils pourraient rembourser le coût de leurs études au moment de remplir leur déclaration de revenus. Le Parti québécois n’a pas la moindre idée de ce qu’il en coûterait. Mais il examine l’idée que l’État finance les droits de scolarité des universitaires tant qu’ils sont aux études. Hier matin, à Brossard, en banlieue de Montréal, où l’aile parlementaire du PQ s’est réunie pendant deux jours, la députée Marie Malavoy a confirmé une hypothèse rendue publique par le quotidien Le Devoir. Le plan ferait en sorte que les Québécois puissent étudier maintenant et payer plus tard. Les droits pour fréquenter les universités ne seraient à rembourser qu’au moment de l’entrée sur le marché du travail. En point de presse, Mme Mala­voy a prudemment souligné que les travaux ne sont pas terminés. L’évaluation des coûts reste à faire. D’autant plus que «nous en sommes à nous demander comment ça marche», la formule du «remboursement postuniversitaire». La mesure se veut surtout un moyen de faciliter l’accès aux études supérieures. S’y ajoute le fait que c’est une façon de combattre l’endettement étudiant. Beaucoup «démarrent dans la vie avec des dettes d’études importantes» à un âge où ils veulent fonder une famille, a-t-elle indiqué. «Quand on achète une maison, on étale son paiement sur un bon nombre d’années. Est-ce qu’on peut s’inspirer de ce modèle pour étaler les dettes étudiantes?» La formule peut être étudiée avec ou sans gel des frais de scolarité. La chef du PQ est cependant partisane du dégel. Selon Le Devoir, le régime de prêts et bourses deviendrait plus généreux parce que délesté du coût des droits de scolarité. Les sommes à verser par les étudiants devraient cependant couvrir 15 % de l’ensemble du financement des universités. La Fédération étudiante universitaire du Québec a accueilli avec méfiance l’idée du PQ. Le président de la FEUQ, Jean-Patrick Brady, a signalé que ce qui est rendu public est «flou. Et quand c’est flou, ça laisse des portes de sortie» pour hausser les droits de scolarité. En outre, il est «sceptique» sur les modalités liant la formule et le pourcentage du financement assumé par les étudiants. www.cyberpresse.ca/article/20080228/CPSOLEIL/80228084/6787

Formation, documentation
Colloque organisé par le CAPRES dans le cadre du 76e congrès de l’ACFAS jeudi 8 mai 2008 Le 76e Congrès de l'Acfas a pour thème « La rencontre du savoir avec 400 ans d’histoire » et se tiendra à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS), dans la ville de Québec, du 5 au 9 mai 2008. Ce congrès annuel est le plus important événement scientifique multidisciplinaire de la francophonie et regroupe des milliers de chercheurs de tous les continents. Plusieurs colloques et activités spéciales y sont organisés. Pour une 6e année, le Consortium d’animation sur la persévérance et la réussite en enseignement supérieur (CAPRES) y tiendra un colloque intitulé : «Les étudiants en mouvance : quels défis pour les collèges et les universités? » le jeudi 8 mai 2008. Les chercheurs invités au colloque renouvelleront la compréhension que nous avons actuellement des parcours étudiants du point de vue de l’accessibilité et la persévérance aux études collégiales et universitaires. La présence d’intervenants collégiaux et universitaires permettra de comprendre les réalités de terrain, de confronter les résultats des recherches à ces réalités, d’identifier des objets d’analyse. Chaque thème présenté sera approfondi au cours d’ateliers permettant d’identifier diverses opportunités d’action pour les collèges et les universités, les gouvernements et les autres organismes concernés. Pour en savoir davantage : Programme du colloque www.uquebec.ca/~uss1109/dossiers/2007-2008/ACFAS-2008/depliant.pdf Vous devez obligatoirement être inscrits au congrès de l’ACFAS pour participer au colloque du CAPRES. Voici comment :1- Inscrivez-vous à l’ACFAS avant le 31 mars 2007 (prix réduit) : Inscriptions www.acfas.ca/congres/2008/pages/inscription.html 2- Puis, faites-nous part de votre intention d’assister au colloque du CAPRES en cliquant sur ce lien : formulaire www.uquebec.ca/cc/colloque/inscriptions-acfas-08.cfm


Atelier organisé par le CAPRES Jeudi 13 mars à l’UQAR
L'insertion professionnelle des diplômés et le développement régional www.uquebec.ca/capres Programme www.uquebec.ca/~uss1109/dossiers/2007-2008/Atelier-2008/Atelier-Programme.pdf Les demandes de participation devront être acheminées par courriel d’ici le VENDREDI 7 MARS 2008 à l’adresse suivante : sonia.potvin@uquebec.ca (activité gratuite)

Le marché du travail : attentes des nouvelles générations À la fin de leur aventure scolaire, les jeunes espèrent un travail à la hauteur de leurs attentes. La pénurie de main-d'œuvre qui sévit dans plusieurs secteurs d'activités pourrait laisser croire à un accueil à bras ouverts des finissants sur le marché du travail. Quatre jeunes de l'organisme Option-travail de Sainte-Foy, qui vise à favoriser l'insertion en emploi des 16-35 ans, s'expriment sur le sujet. Isabelle Blanchette a obtenu son bac en administration des affaires en mai 2007. Elle constate que sa recherche d'emploi est plus aride que ce qu'elle avait envisagé : " Nous avons étudié plus longtemps que les générations précédentes, il est normal que nos aspirations soient plus élevées parce que justement on espère que nos études soient reconnues dans nos démarches d'emploi. On dirait que les employeurs oublient que l'on a passé plusieurs années à étudier notre future profession. Ils exigent de l'expérience, mais à la sortie de nos études, on ne peut en avoir! Il faut commencer quelque part! " Le choc des diplômés, pratiquement tous les étudiants le vivent à la sortie de leurs études. " Il y a bien souvent un décalage entre les espoirs entretenus lors du parcours scolaire et ce que les jeunes vivent quand ils essaient de faire leur place sur le marché du travail. Face à cette situation, plusieurs décident de continuer leur emploi étudiant un certain temps ou de poursuivre leurs études à un niveau supérieur ", affirme Mme Karine Lemay, conseillère en emploi à Option-travail. " C'est vrai que notre génération est un peu plus difficile, renchérit Xavier Huard, diplômé universitaire en commerce international. On ne veut pas être embauché par n'importe quelle entreprise. Nous sommes conscients de nos compétences et de nos connaissances. Notre emploi doit correspondre, du moins en partie, à notre vision professionnelle. Sommes-nous des bébés gâtés? Veut-on une trop grande pointe de gâteau dès nos premiers pas sur le marché du travail? " Un véritable brassage de valeurs s'est opéré depuis les vingt dernières années. Le déploiement des technologies et le niveau de scolarité plus élevé des nouvelles générations des travailleurs ont notamment joué un rôle important sur le désir de réussite - tant sur le plan social que professionnel -, d'affirmation et de liberté qui animent la relève. " Pour mes parents, le simple fait de travailler était une source de valorisation, souligne Marianne Beaudin, future finissante en sciences de l'orientation. Le travail était une source de bonheur parce qu'il leur procurait la sécurité qu'ils recherchaient. Mes objectifs sont différents. J'accepterai, par exemple, de travailler à un salaire légèrement moindre pour avoir une meilleure qualité de vie. Généralement après deux ans, les jeunes espèrent, en vertu de leurs efforts et de leur patience, une reconnaissance qui se mesure en nouveaux défis et en nouvelles responsabilités. Les possibilités d'avancement inciteraient d'ailleurs ces jeunes à vouloir rester au sein d'une entreprise, et même pendant plusieurs années. " Je ne tiens pas nécessairement à changer plusieurs fois d'emplois au cours de ma carrière. Cependant, si j'ai opté pour le commerce international, c'est notamment parce que je veux être amené à voyager. Peut-être pas nécessairement au début, mais l'entreprise doit envisager des occasions qui me permettront de travailler à l'international ", affirme Xavier. Les jeunes recherchent en fait, comme leurs prédécesseurs, de la stabilité dans leur vie professionnelle. Sauf que pour eux, l'ambiance de travail prime ", remarque Mme Lemay. www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/marche-travail-attentes-des-nouvelles-generations-7620.html

L'aérospatiale a le vent dans les ailes
Fatigués d'entendre parler d'usines qui ferment et de travailleurs à la rue? Regardez du côté de l'aéronautique. Le secteur prévoit créer 30 emplois au Québec cette année... chaque semaine. Et pas besoin d'avoir un doctorat en mécanique des fluides pour en décrocher un. Des mécaniciens aux ingénieurs, en passant par les monteurs et les machinistes, l'industrie aérospatiale devrait créer 1600 emplois en 2008, si on en croit les intentions d'embauche des 221 entreprises sondées par le Comité sectoriel de main-d'oeuvre en aérospatiale du Québec (CAMAQ). En comptant les départs à la retraite et les départs volontaires, c'est 5300 postes qu'il faudra pourvoir cette année. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080227/LAINFORMER/802271047/5891/LAINFORMER01

1400 emplois étudiants offerts à la Ville de Québec
Les élèves du secondaire et les étudiants des niveaux collégial et universitaire sont invités à s'inscrire dès aujourd'hui sur le site Web de la Ville de Québec afin d'obtenir l'un des 1400 emplois étudiants disponibles cet été, dont 1100 dans le milieu des loisirs et 300 qui sont liés à des champs d'études spécifiques. « Pour ceux qui souhaitent occuper une emploi lié à leur domaine d'études, c'est l'occasion d'acquérir de l'expérience dans un champ d'activité qui les intéresse auprès d'un employeur crédible et important. Et une fois qu'ils ont un pied dans la porte, ils pourront le cas échéant occuper un poste à la Ville », affirme Benoît Jobidon, agent de communication de la Ville. Les étudiants pourront trouver un emploi dans des domaines tels que les communications, l'aménagement du territoire, le droit, la biochimie, l'administration, l'architecture, l'informatique et bien d'autres secteurs. Date limite pour s'inscrire : 31 mars 2008. http://ville.quebec.qc.ca/fr/affaires/emplois_ete.shtml

Facebook: la grande famille retrouvée
La popularité de Facebook va de pair avec le besoin d’appartenir à un réseau social, même sur Internet. Avec près de 65 millions d’utilisateurs dans le monde et une moyenne de 250 000 nouveaux inscrits par jour, Facebook s’avère le phénomène de l’heure dans le monde des échanges virtuels. Créée en 2004 par un étudiant de l’Université Harvard, et réservée jusqu’en septembre 2006 aux étudiants de cette université, cette nouvelle façon de nouer des liens est en passe de conquérir toute la planète, supplantant tout ce qui existait avant, comme les réseaux de rencontres amoureuses si populaires au début des années 2000. Combien de temps durera l’engouement pour Facebook avant qu’il ne soit remplacé par un mode de socialisation encore plus branché sur les préoccupations de ses adeptes? C’est la question qu’a posée Madeleine Pastinelli, professeure au Département de sociologie, lors d’une conférence prononcée le 22 février intitulée «MySpace, Facebook: comment évoluent nos liens sociaux?» Pensez à une carte d’identité très détaillée sur laquelle figurent votre photo, vos noms et numéros de téléphone, le nom de votre employeur, les noms de vos amis ainsi que des commentaires vous concernant, et vous aurez une idée de ce à quoi ressemble Facebook. Facebook permet aussi toutes sortes d’interactions entre ses utilisateurs: par exemple, on peut jouer à différents jeux vidéo, tester ses connaissances en groupe ou se mesurer avec des amis à toutes sortes de quiz. En somme, les possibilités d’interaction sont multiples. «La différence entre Facebook et les réseaux de rencontres tient dans l’importance du réseau social, souligne l’ethnologue. «Facebook met l’accent sur le réseau social et c’est cette communauté d’ententes qui fait sa force, de la même façon que les premières discussions relayées par Internet (IRC) mettaient l’accent sur le potinage dans les années 1990, dit Madeleine Pastinelli. En fait, l’impossibilité de potiner, pourrait-on dire, a beaucoup nui aux réseaux de rencontres. La présence d’une communauté en ligne comme Facebook s’apparente à la famille retrouvée.» Plus ancien que Facebook, MySpace a été conçu pour permettre aux internautes de s’afficher par l’entremise d’un profil et de développer des liens entre eux. Moins convivial que Facebook, le site a surtout connu du succès auprès des artistes en arts visuels et en musique. Il demeure aujourd’hui un espace important de promotion et de découverte musicale pour de jeunes artistes. www.aufil.ulaval.ca/articles/des-liens-famille-5792.html

Le développement scolaire d'un enfant sur trois est compromis
Un enfant montréalais sur trois fait son entrée à la maternelle dans un état de vulnérabilité qui pourrait compromettre son développement scolaire, mais aussi sa santé et son bien-être futurs. Tirée d'une grande enquête menée par la Direction de la santé publique de Montréal, cette statistique en forme d'électrochoc ne doit pas être prise à la légère, a insisté hier le président-directeur général de l'Agence de la santé et des services sociaux de Montréal, David Levine, qui appelle à une mobilisation sans précédent. www.ledevoir.com/2008/02/29/178278.html

Un enfant sur trois n'est pas prêt pour l'école
Pour que les enfants réussissent en classe, il faut qu'ils se développent dès leurs premières années de vie. Mais ce n'est pas toujours le cas: une méga-étude indique que 35% des jeunes Montréalais entrent à l'école primaire sans la maturité affective, le développement des connaissances ou de la langue suffisants. Parce que les ressources pour intervenir manquent, quand ce ne sont pas les places en garderie. www.cyberpresse.ca/article/20080229/CPACTUALITES/802290985/1028

4 façons de contrer les troubles d'apprentissage
Qui dit école dit évidemment apprendre, mais qu'en est-il lorsqu'on apprend différemment? Regard sur les défis que doivent relever les enfants avec un TA. http://mieuxvivre.sympatico.msn.ca/4+facons+de+contrer+les+troubles+dapprentissage+/Famille/ContentPosting_transcon.aspx?isfa=1&newsitemid=237762&feedname=TRANS-COUPDEPOUCE&show=True&number=3&showbyline=True&subtitle=&detect=&abc=abc&date=False

Chassez le naturel! Le rayon des produits naturels subira sous peu un grand ménage et les étudiants en pharmacie seront mieux formés pour nous conseiller. Perplexes, confus et désemparés, voilà comment la plupart des consommateurs se sentent devant le rayon des produits naturels des pharmacies. La glucosamine avec ou sans chondroïtine? En crème ou en comprimés? Des oméga-3 avec ou sans oméga-6 et oméga-9? Griffe de chat ou bois de velours? Pas facile de s’y retrouver parmi les quelque 40 000 à 60 000 produits naturels en vente au Canada, même pour des spécialistes. «Il m’a fallu quatre mois de travail pour préparer le cours de trois heures que je donnais aux étudiants de la Faculté de médecine», signalait le professeur François Doré lors d’une conférence présentée récemment devant l’Association des retraités de l’Université Laval. Mais la récréation tire à sa fin pour les fabricants qui nous promettent des résultats miracles sans avoir à prouver leurs allégations. À compter de 2009, ceux-ci devront avoir fait la preuve de l’innocuité et de l’efficacité de leurs produits pour que Santé Canada en autorise la vente au pays. «Il ne faut pas être naïf, dit le professeur Doré. Certains produits naturels n’ont pas plus d’efficacité qu’un placebo. Dans certains cas, c’est vraiment de l’arnaque.» Mais, ajoute-t-il aussitôt, il ne faut pas être obtus non plus. La pharmacopée moderne repose ou s’inspire en bonne partie de molécules produites naturellement par des organismes vivants. Qu’on pense seulement à l’aspirine dont l’ingrédient actif est une molécule dérivée d’un composé contenu dans l’écorce de saule, à la pénicilline découverte chez des champignons, aux taxanes provenant de l’if du Canada qui servent à traiter les cancers du sein et de l'ovaire, ou aux comprimés de Gravol sans somnolence fabriqués à partir du gingembre. Si le simple citoyen n’a pas les connaissances requises pour choisir le produit naturel convenant à son cas, à qui peut-il faire confiance? Aux naturopathes? La naturopathie, qui ne fait pas l’objet d’une formation universitaire reconnue au Québec, est pratiquée par des gens dont les connaissances et les compétences sont très variables. Aux médecins? Même si les facultés de médecine ont fait montre d’ouverture à l’endroit des médecines alternatives et complémentaires au cours des dernières années, ce n’est pas demain la veille que le médecin de famille moyen prescrira des produits naturels à ses patients. À l’Université Laval, le cours à option Pharmacognosie, qui porte sur les produits naturels biologiquement actifs, attire une soixantaine d’étudiants des sciences de la santé chaque année. Au cours des trois dernières années, seulement trois étudiants en médecine l’ont suivi, constate la responsable du cours, Julianna Juhasz, de la Faculté de pharmacie. Le spécialiste le mieux placé pour informer les consommateurs sur les produits naturels est le pharmacien, estime la professeure Juhasz, qui a donné des cours de formation continue sur le sujet à des centaines de pharmaciens en pratique. D’ici quelques années, ils seront encore mieux préparés à répondre aux questions de leur clientèle parce que le cours Pharmacognosie sera obligatoire dans le nouveau programme de pharmacie qui sera offert à partir de 2009 à l’Université Laval. De plus en plus d’études scientifiques démontrent que les produits naturels peuvent être efficaces pour soigner des pathologies bénignes et c’est important que les patients aient le choix du traitement qu’ils préfèrent lorsque c’est possible.» www.aufil.ulaval.ca/articles/chassez-naturel-5802.html


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Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Documents réalisés par Raymond Jean, c.o.

Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Pour le moment, 47 membres des 27 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (17) : les cégeps St-Laurent, Abitibi-Témiscamingue, St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Lanaudière, St-Hyacinthe, Outaouais, Vieux-Montréal, Rosemont, Ahuntsic, Héritage, le Collège international Marie de France, le Collège St-Jean-Vianney, l’université de Sherbrooke et Trav-Action. À l’est (10) : Jonquière, Limoilou, Gaspésie, F.-X. Garneau, St. Lawrence, Ste-Foy, St-Félicien, Lévis-Lauzon, Chicoutimi et Psycho-Carrière. Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

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