12 mars 2008

V 6 No 22: 14e Université de la Formation, de l'Éducation et de l'Orientation d'Artigues

À la corniche du Refuge à St-Adolphe avant la tempête de la St-Patrick... Bon printemps!


Veuillez trouvez ci-dessous un nouvel appel à candidatures intitulé "L'Europe de la Formation - Ambitions communautaires et réalisations concrètes" dans le cadre de la 14e Université de la Formation, de l'Éducation et de l'Orientation d'Artigues" (UFEO) qui se tiendra en septembre prochain, à Bordeaux (France). Nous vous invitons, dès réception, à diffuser cette information dans votre réseau auprès des personnes (18-35 ans) susceptibles d'être intéressées à participer à ce séminaire. Les candidats devront s'inscrire en ligne et compléter un dossier au plus tard le vendredi 6 juin 2008 à l'adresse suivante : www.ofqj.org/partir-en-france/appels/show/82 Nous vous remercions de votre collaboration et vous prions de croire en l'assurance de nos sentiments les meilleurs. Thérèse Levasseur Collaboratrice de Thierry Tulasne, chargé de programme Programme Action Développement - Action sociale et citoyenne Office franco-québécois pour la jeunesse Tél.: 514-873-4255 / sans frais au Québec: 1-800-465-4255 Téléc.: 514-873-0067 tlevasseur@ofqj.gouv.qc.ca / ttulasne@ofqj.gouv.qc.ca http://www.ofqj.org/ Abonnez-vous gratuitement à la lettre électronique de l'OFQJ:
www.ofqj.org/actualite/lettre-electronique

Sur le site du bulletin, nous pouvons maintenant afficher des mini-diaporamas www.quelquechosedelacoc.blogspot.com Celui du congrès de l’année dernière vous dirigera vers le site de toutes les photos, si vous cliquez sur l’une ou l’autre. Éventuellement, nous pourrons identifier nos partenaires. De plus, nous vous mentionnons que tous les bulletins sont archivés sur ce site. Le site du bulletin est plus que la somme des courriels…

Le projet de loi 50: Réforme des professions en santé mentale et relations humaines Au visionnement des ces enregistrements vidéos,
vous serez à même de comprendre le retour à un ordre, une profession. www.assnat.qc.ca/fra/travaux/Debats/banquevideo/ci/santementale.html

Sondage (votre participation serait très appréciée) Ressources humaines et Développement social Canada (RHDSC) effectue une étude au sujet de l’Information sur le marché du travail. Nous espérons que les professionnels de la gestion des ressources humaines et les professionnels du développement de carrière y répondront en très grand nombre afin de nous aider à mieux comprendre leur utilisation de l’Information sur le marché du travail et à étudier les possibilités d'amélioration du service de RHDSC. Pour nous faire part de votre opinion, rien de plus facile! Il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous, qui vous conduira au sondage en ligne. www.97.ca/ekos/callweb.cgi?FR:0507 Pour toute question ou préoccupation au sujet de l’étude, veuillez communiquer avec (Geri Briggs, geri.i.briggs@hrsdc-rhdsc.gc.ca 819-997-5350). Nous vous remercions à l’avance de bien vouloir prendre le temps de contribuer à l’amélioration de cet outil pour tous les professionnels de la gestion des ressources humaines et les professionnels du développement de carrière au Canada!

Moncton J’embarque!
Apparemment, les inscriptions pour le colloque de l'ACC vont très bien et ils atteindront bientôt leur capacité maximale. 7e Congrès ACOC 2008 pour information (26 membres inscrits à ce jour) :
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 Dès que les places disponibles seront comblées, nous évaluerons la possibilité d’un deuxième autobus. Nous avons déposé sur cette page les modalités d’inscription pour réserver votre place dans l’autobus et pour les résidences de l’Université de Moncton www.umoncton.ca/acoc Comme vous recevez ce bulletin électronique, vous êtes membre de l’ACOC (compléter le formulaire désigné). l’université de Moncton. Tout un programme !

Info collégiale

Info/Sanction 561 APPLICATION DU RÈGLEMENT SUR LE RÉGIME DES ÉTUDES COLLÉGIALES CONCERNANT LES SÉQUENCES TECHNICOSCIENCES ET SCIENCES NATURELLES
D'entrée de jeu, il importe de préciser que les séquences Technico-sciences et Sciences naturelles présentent des degrés équivalents de difficulté, mais à partir d'approches différentes. Les séquences sont en effet été conçues pour amener les élèves à un niveau élevé de compétence en mathématique, l'une utilisant davantage l'approche empirique et l'autre priorisant l'approche formelle. À la suite du questionnement soulevé depuis quelques mois, le Ministère a jugé pertinent de procéder à une analyse approfondie des programmes en sollicitant entre autres la collaboration d'experts universitaires indépendants et celle des comités-conseils des programmes préuniversitaires de sciences. Une recommandation claire et consensuelle s'est dégagée des travaux de ces équipes. Dans cette foulée, je vous confirme que les élèves issus de l'une ou l'autre des séquences Technico-sciences et Sciences naturelles auront un accès égal à tous les programmes d'études collégiales, préuniversitaires ou techniques, exigeant des conditions particulières d'admission en mathématique. De plus, des précisions et des ajustements seront apportés au programme Technico-sciences de 5e secondaire, entre autres pour confirmer un apprentissage adéquat en ce qui regarde les concepts algébriques et les raisonnements qui leur sont associés. Je vous rappelle que les séquences de mathématique ont été conçues pour permettre aux élèves d'aborder la mathématique sous des angles correspondant à leur profil d'apprentissage, et ce, tout en favorisant l'accessibilité aux études collégiales. Par ailleurs, afin de s'assurer que les élèves de l'ensemble du Québec puissent tous bénéficier d'un apprentissage qui répond à leurs besoins, les règles budgétaires 2008-2009 comprendront une mesure particulière afin d'assurer le financement qui permettra, à chaque école secondaire, d'oflrir à ses élèves le choix entre les trois séquences de mathématique. Nous comptons sur votre habituelle collaboration pour que vos écoles prennent les dispositions qui correspondent à cette orientation. Je vous prie d'agréer l'expression de mes meilleurs sentiments. Le sous-ministre adjoint à l'éducation préscolaire et à l'enseignement primaire et secondaire, Pierre Bergevin www.meq.gouv.qc.ca/ais/info-sanction/info2007-2008.pdf Site www.meq.gouv.qc.ca/ais/

Le nouveau cours de math offert partout
La confusion autour du nouveau cours de mathématique de quatrième secondaire, fruit de la réforme, semble dissipée. Le ministère de l’Éducation débloque de l’argent pour que toutes les écoles puissent offrir les trois séquences de cours, évitant aux plus petites d’avoir à en sacrifier une. Dès septembre 2008, fini les Math 416 pour les plus faibles, et les Math 436 pour les plus forts. Les étudiants de quatrième secondaire suivront une séquence de cours de mathématique et de science, choisie selon leurs intérêts. Merveilleux en théorie, disaient les écoles, sauf que dans la pratique, le nombre d’élèves ne permettait pas de composer trois groupes distincts de mathématique. Plusieurs écoles, surtout en région, avaient donc décidé de n’offrir que deux des trois séquences, Culture, société et technique, Technico-sciences ou Sciences naturelles. Dans une lettre datée du 3 mars dont Le Soleil a obtenu copie, le ministère de l’Éducation annonce que les écoles seront aidées. «Afin de s’assurer que les élèves de l’ensemble du Québec puissent tous bénéficier d’un apprentissage qui répond à leurs besoins, les règles budgétaires 2008-2009 comprendront une mesure particulière afin d’assurer le financement qui permettra, à chaque école secondaire, d’offrir à ses élèves le choix entre les trois séquences de mathématique», écrit Pierre Bergevin, le sous-ministre adjoint à l’éducation préscolaire et à l’enseignement primaire et secondaire. Dans la foulée, le ministère de l’Éducation met fin au suspense et garantit que les séquences Technico-sciences et Sciences naturelles donneront «un accès égal à tous les programmes d’études collégiales, préuniversitaires ou techniques».«C’est vraiment l’idéal d’offrir les trois séquences pour rejoindre le plus d’élèves et leur donner le goût des maths et des sciences», estime Marie Labbé, des services éducatifs.
www.cyberpresse.ca/article/20080311/CPSOLEIL/80310273/6584/CPSOLEIL Voir aussi le communiqué du SRACQ-SRAM www.sracq.qc.ca/infoSraq/communiques/sracq20080317.pdf

AU COLLÉGIAL – L’ENGAGEMENT DE L’ÉTUDIANT DANS SON PROJET DE FORMATION : UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE AVEC LES ACTEURS DE SON COLLÈGE Soutenir l’engagement des étudiants dans leur projet de formation au collégial, c’est aussi soutenir leur réussite éducative. Pour ce faire, il faut non seulement interpeller les premiers intéressés, soit les étudiants eux-mêmes, mais aussi les collèges, pour que ces derniers favorisent et soutiennent cet engagement. Dans son avis, le Conseil établit quatre axes de développement pour permettre de guider l’action de la ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport et des collèges à cet égard : • Mieux connaître les jeunes, leurs valeurs et leurs attitudes par rapport à leurs études. • Tenir compte, dans les mesures de soutien, de la diversité des étudiants, en plus du fait que leurs besoins évoluent au cours de leur cheminement au collégial. • Miser sur la classe comme lieu privilégié d’intervention et de soutien à l’engagement par l’utilisation d’approches pédagogiques variées. • Offrir un milieu de vie signifiant aux étudiants dans leurs collèges. Au cours de ses travaux, le Conseil a noté qu’il y avait dissonance dans la perception de l’engagement chez les différents acteurs, qu’ils soient étudiants, enseignants ou professionnels des collèges. Ainsi, les résultats d’une enquête téléphonique et des groupes de discussions indiquent que, contrairement à certaines perceptions, les étudiants sont engagés, et qu’ils accordent de l’importance aux études et à la vie au collège. De plus, la majorité d’entre eux adoptent des conduites scolaires et consacrent des efforts soutenus à leurs études. Le Conseil observe aussi qu’il est important pour eux d’établir des relations avec leurs pairs et avec leurs enseignants, et de participer aux activités du collège. Pour le Conseil, cette dissonance tient non seulement aux valeurs de chacun, mais aussi à la définition qu’on donne de l’engagement. Voilà pourquoi il a jugé opportun de mieux le définir dans son avis. Le Conseil a ciblé trois dimensions qui forment l’essence de l’engagement : une dimension affective, qui est l’importance accordée aux études et à la vie au collège; une dimension cognitive, qui se traduit tant par la quantité que par la qualité des efforts consentis pour acquérir le savoir; une dimension sociorelationnelle, qui se manifeste dans les liens que l’étudiant établit et entretient avec son environnement.
www.cse.gouv.qc.ca/FR/Publications/index.html?lstPublication=Avis&lstCommission=ALL

Les cours d'histoire du Québec boudés au cégep Le nombre de cours d'histoire du Québec et de cours sur le Québec est en chute libre dans les cégeps. C'est ce que montre une étude d'un professeur d'histoire au Cégep du Vieux-Montréal, Gilles Laporte, citée par le quotidien Le Devoir. Selon M. Laporte, le cours Histoire du Québec, qui représentait 25,4 pour cent des cours d'histoire offerts au cégep en 1990, n'en représentait plus que 13,3 pour cent en 2006. Il n'était offert que dans une dizaine d'établissements. M. Laporte a aussi évalué à moins de cinq pour cent la proportion des élèves inscrits au collégial qui ont suivi un cours d'histoire du Québec l'an dernier. Toujours selon M. Laporte, d'autres cours portant sur le Québec sont menacés d'extinction. Le professeur souligne en particulier l'absence d'une «compétence» claire prescrivant la connaissance de la société québécoise en sciences humaines au cégep. Également, les programmes sont souvent axés sur des contenus exotiques, dans la mouvance altermondialiste et coïncidant mieux avec un stage touristico-historique à l'étranger. La place du Québec dans les cours de sciences humaines fera l'objet d'une table ronde au prochain congrès de l'Association des professeurs d'histoire des collèges du Québec, à Québec en mai prochain. www.cyberpresse.ca/article/20080311/CPACTUALITES/80311021/1019

Passerelles et reconnaissance d'acquis pour DEC techniques
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=835 Vous trouverez de l'information sur les passerelles DEP-DEC et DEC-BAC en consultant les fichiers tirés de l'Actualité (11 janvier 2008) www.lactualite.com/campus/article.jsp?content=20080110_135952_4832

ENPQ: Soixante-douze étudiants de plus
L'École nationale de police du Québec (ENPQ) accueille depuis hier, et ce pour 15 semaines, 72 aspirants policiers de plus pour répondre aux besoins de recrutement du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM). Une cohorte supplémentaire qui, selon l'École, permettra d'éviter que les autres corps policiers aient de la difficulté à garnir leurs rangs de nouvelles recrues, d'autant plus que ces étudiants auront terminé leur formation en juin alors les services de police ont grandement besoin d'employés supplémentaires. "Si on n'avait pas augmenté le nombre d'aspirants policiers, rien n'aurait empêché le SPVM d'aller chercher le nombre de policiers qu'il veut dans les autres cohortes, ce qui aurait pu avoir un impact important auprès des 35 autres services de police. Le fait d'en former 72 de plus va diminuer la pression sur le bassin de candidats et va permettre aux autres corps de police de répondre à leur besoin de recrutement sans problématique", estime M. Pierre Saint-Antoine, directeur du Bureau des affaires institutionnelles et des communications à l'ENPQ. Ce n'est pas la première fois que l'École de police augmente ainsi les admissions. Par exemple, le nombre d'aspirants policiers qui franchissent ses portes chaque année est passé de 600 à 1997 à 648 en 2005. En 2006, elle a formé un groupe supplémentaire de 36 personnes à la suite d'une demande manifestée par le SPVM et partagée par les autres corps policiers. L'ENPQ forme habituellement 648 policiers, divisés en 9 cohortes. Il y a entre ses murs trois cohortes de 72 policiers en même temps. Il y en aura donc quatre cette fois-ci avec la cohorte du SPVM. La formation dure 15 semaines.
www.cyberpresse.ca/article/20080313/CPNOUVELLISTE/803130685/5410

Inauguration officielle de la Lunetterie F.-X.-Garneau
www.cegep-fxg.qc.ca/fr/college/actualite/communique.php?id=220&page=1

WordQ
L'outil idéal pour les enfants aux prises avec des difficultés d'écriture. La prédiction des mots et la synthèse de la parole pour surmonter les problèmes de rédaction Augmente la productivité en permettant de se concentrer sur l'aspect créatif de l'écriture Particulièrement recommandé pour les enfants souffrant de dyslexie ou de dysorthographie Le logiciel s'utilise en même temps qu'un logiciel de traitement ou d'édition de texte. Démo disponible pour utilisation de 30 jours http://mailing.demarque.com/Mail_WordQ_fev08_2/indexImage.html

Info universitaire
Une nouvelle cohorte d'étudiants en médecine?
Comme elle l'a fait à Moncton et à Saguenay grâce à une délocalisation du programme de formation médicale, l'Université de Sherbrooke pourrait faire naître une nouvelle cohorte d'étudiants en médecine et compter un autre campus conjoint, ailleurs au Québec. Selon le recteur de l'UdeS, Bruno-Marie Béchard, une université québécoise aurait approché l'UdeS sur cette question. Il n'a cependant pas voulu en dire davantage: "On est au début des pourparlers, mais ça pourrait se passer plus vite que prévu..." Rappelons qu'en septembre 2006, deux nouvelles cohortes d'étudiants, se trouvant à Moncton et à Saguenay, sont venus s'ajouter aux étudiants formés à la faculté de médecine et des sciences de la santé de l'Université de Sherbrooke (FMSS). La délocalisation du programme de formation médicale dans ces deux villes faisait partie du plan stratégique de la faculté. www.cyberpresse.ca/article/20080313/CPTRIBUNE/803130746/5206

L'École nationale en divertissement interactif débutera en septembre L’École nationale en divertissement interactif devrait accueillir sa première cohorte de 30 étudiants dès septembre et tout porte à croire que les cours se tiendront à la fois dans les locaux de l’Université Laval (La Fabrique) et de l’Université du Québec, tous deux dans le quartier Saint-Roch. «En fait, le modèle qui est privilégié actuellement ce n’est pas du mortier et du béton, c’est vraiment orienté vers des institutions qui sont en place», indique Claude Racine, vice-président du secteur des technologies appliquées chez Pôle Québec Chaudière-Appalaches. Il précise que si le scénario d’une implication conjointe des deux universités pour recevoir les étudiants n’est pas coulé dans le béton, c’est le plus plausible à l’heure actuelle. Car le temps commence à presser pour l’école, dont le but consiste à combler l’écart entre la formation reçue sur les bancs d’école et les besoins réels des employeurs. Les travailleurs sont alors efficaces beaucoup plus rapidement, dans le contexte de pénurie de main-d’œuvre qui touche l’industrie. À la fin février, trois des principaux employeurs du secteur (Beenox, Frima Studio et Ubisoft) affirmaient en effet avoir à pourvoir plus de 340 emplois d’ici deux ans. On tentera aussi d’attirer des stagiaires étrangers, dans le but de les recruter par la suite. Par ailleurs, l’École fournira aussi une formation continue pour des personnes déjà en emploi, mais qui assumeront de nouvelles fonctions. Ainsi, un testeur de jeux qui devient développeur pourrait bénéficier de ces cours, explique M. Racine. Les cours devraient durer entre trois et quatre mois, pour un total de quatre cohortes par année. Le contenu reste aussi à élaborer. Plusieurs aspects sont donc encore en chantier. Mais si les délais sont serrés, admet M. Racine, il pense tout de même qu’ils sont réalistes. Il salue d’ailleurs l’exercice de collaboration entre des partenaires parfois concurrents, qu’il juge extrêmement sain et mature. www.cyberpresse.ca/article/20080312/CPSOLEIL/80311225/6942

Du campus à Compostelle
Guy Labrecque marchera pour créer le Fonds d’aide à la réussite étudiante Guy Labrecque rêve de faire le pèlerinage à Saint-Jacques-de-Compostelle depuis des années. L’automne prochain, ce rêve deviendra réalité alors qu’avec sa compagne il foulera ce chemin mythique ayant vu défiler des milliers de personnes depuis des siècles. Tant qu’à marcher, autant le faire pour une bonne cause, s’est dit ce conseiller à la gestion des études à la Faculté de médecine dans la jeune trentaine. C’est dans cet esprit qu’il a eu l’idée de «vendre» les quelque 900 kilomètres qu’il parcourra lors de son périple, le but étant d’amasser des fonds pour créer le Fonds d’aide à la réussite étudiante (FARE). Les nouvelles bourses créées par ce fonds seront complémentaires aux bourses existantes sur le campus par une approche ciblée en fonction des besoins de chaque programme d’études qui collaborera avec le FARE. Si la Faculté de médecine appuie Guy Labrecque, initiateur de ce projet intitulé «De l’Université Laval à Compostelle», il faut noter que l’homme assume entièrement les frais de son voyage et que tous les dons serviront à financer le FARE. www.aufil.ulaval.ca/articles/campus-compostelle-6432.html

L'Université Laval s'illustre lors de la 11e édition de la Simulation Boursière Inter Universitaire de la SRA HEC Montréal Les étudiants de l'Université Laval ont remporté tous les honneurs lors de la 11e édition de la Simulation Boursière Inter Universitaire (SBIU) 2008 HEC Montréal - Caisse de dépôt et placement du Québec. Cet événement se tenait hier sur le Parquet du Centre CDP Capital. www.cnw.ca/fr/releases/archive/March2008/16/c4468.html

Laissez-vous conter des histoires La Francofête met l’accent sur le conte avec Fred Pellerin «Ça se passe dans un village, Saint-Élie-de-Caxton.» Nul besoin de présenter le conteur d’une histoire qui commence ainsi, tellement le nom de Fred Pellerin est associé à ce village. Saint-Élie-de-Caxton, également appelé Saint-Élie-de-Garnotte, existe vraiment et c’est facile à trouver; c’est là où pousse un arbre à «papparmanes» et où un panneau routier indique une traverse de lutins. On parle même de «caxtonneries» pour désigner les contes et légendes véridiques qui y prennent naissance. Marqué par son père qui était comptable agréé, Fred Pellerin a préféré devenir «conteux agréable». Diplômé en littérature (UQTR), Fred Pellerin était déjà conteur avant de savoir qu’on pouvait en faire un métier. Alors qu’il travaillait comme guide touristique pour payer ses études en racontant les anecdotes de l’histoire de son village, il a vu un jour une affiche annonçant un spectacle de Jocelyn Bérubé «conteur». Il venait de trouver sa voie. À l’université, les récits des vieux du village lui fournissaient la matière première pour ses travaux. «Même s’ils étaient sans instruction, leurs contes étaient déjà remplis de merveilleux, mentionne le conteux. Lorsqu’ils me parlent de la chasse-galerie, ils sont certains de l’avoir vue et affirment que ce n’était pas un avion! Même chose avec les lutins qui tressaient les crins des chevaux; le vieil Eugène avait des lutins dans sa grange et ne savait pas comment s’en défaire. C’est quand même magnifique, à l’ère de la science, de trouver du monde qui voit encore les choses ainsi!» Fred Pellerin a déjà à son actif trois albums-CD tirés de ses spectacles. L’un d’eux, Il faut prendre le taureau par les contes! (Planète rebelle, 2003), sera porté à l’écran par Luc Picard sous le titre de Babine, le fou du village, fils de la sorcière. Le film racontera l’histoire réelle de l’incendie criminel qui a ravagé l’église en 1920, mais tout en gardant l’aspect magique du conte avec le dompteur de mouches et la sorcière qui fait tourner le coq du clocher. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1114/221/

Contes hallucinogènes pour vous désennuyer de l’hiver Entre les cégeps et les dinosaures, Jean-Marc Massie donnera un aperçu de sa parole à géométrie variable. Bien peu de conteurs peuvent se dire titulaires d’un doctorat en science politique de la Sorbonne. C’est le cas de Jean-Marc Massie, que les habitués du café-bar Le sergent recruteur connaissent bien. C’est là que ce conteur urbain polymorphe, dont la parole hallucinogène est à géométrie variable, a fondé Les dimanches du conte, qu’il anime depuis 10 ans. Jean-Marc Massie est du genre indéfinissable. «Je déborde du simple conte par la scénographie, qui emprunte au dessin animé; je suis plus un one man show qu’un conteur et le spectacle est très physique», déclare-t-il. Dans la préface de son livre-DVD Montréal démasquée (Planète rebelle, 2007), l’écrivain et journaliste Stanley Péan dit de lui qu’il est «une sorte d’extraterrestre, un glam-rocker de l’anthropologie du réel contemporain, un magicien de la fable à moralité trouble, capable d’orchestrer une orgie de visions et de mots plus grands que nature». Mais comment passe-t-on d’une thèse en science politique au récit éclaté? «C’est l’intérêt pour la philosophie politique qui m’a amené en science politique. Même à l’université, j’avais de la graine de conteur et je préférais les examens oraux. Après un peu de recherche et d’enseignement, j’avais déjà fait le tour du jardin. Comme je m’ennuie facilement, j’ai voulu aller voir ailleurs. Après quelque temps comme auteur-interprète, je me suis de nouveau ennuyé et je suis allé chez les conteurs. C’est encore une fois pour combattre l’ennui que je sors de la forme traditionnelle du conte; je suis un “narrateur atypique”.» Outre son recueil de contes, on lui doit le Petit manifeste à l’usage du conteur contemporain (Planète rebelle, 2001). Pour cet essai, le narrateur s’est remis dans la peau du docteur en politique pour essayer de comprendre, par la réflexion philosophique, le renouveau du conte au tournant du millénaire. Lorsque nous lui avons parlé, il était en tournée dans les cégeps et venait de passer une nuit au célèbre hôtel Madrid, sur l’autoroute 20, bloqué par une tempête de neige et cerné par les dinosaures. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1117/221/

Montréal se réchauffe dangereusement!
L’équipe de François Cavayas démontre que l’urbanisation s’intensifie à Montréal. La région de Montréal manque-t-elle d’espaces verts? «Oui», répond sans hésiter François Cavayas, professeur de télédétection au Département de géographie et coauteur d’une étude sur l’évolution de l’urbanisation dans l’agglomération montréalaise rendue publique le mois dernier. Selon ses analyses, 18 % des boisés ont disparu du territoire entre 1998 et 2005. «Il est encore temps d’agir pour préserver les forêts intactes, car elles sont dans la mire des spéculateurs», estime-t-il. Selon le commanditaire de l’étude, Guy Garand, président du Conseil régional de l’environnement de Laval, moins de 4 % des espaces verts de l’ile bénéficient actuellement du statut d’aires protégées tel qu’il est défini par l’Union internationale de conservation pour la nature. Même les parcs municipaux, où les enfants jouent à la balle, ne sont pas à l’abri des constructeurs d’immeubles en copropriété. «Alors que le Québec vise la protection de 8 à 12 % de ses forêts, le fait que le Grand Montréal est si peu protégé est une honte nationale», dit-il. En milieu urbain, les espaces verts ne sont pas de simples éléments de décoration. Ce sont des poumons, des filtres hydrauliques naturels et des thermostats dont la population tire le plus grand avantage. Sans arbres et arbustes, les villes subissent des hausses de température subites lorsque le soleil tape. Le 12 juin 2005, par exemple, alors que la chaleur accablante frappe le secteur industriel de l’arrondissement de Saint-Laurent (40 ºC), les joueurs du terrain de golf (27 ºC) ont chaud également, mais pas autant que les résidants du quartier limitrophe (31 ºC). Or, ceux qui ont choisi d’aller piqueniquer dans le parc urbain, véritable oasis de verdure, profitent d’une journée d’été très agréable (23 ºC). L’écart de 17 ºC qu’on constate ce jour-là à quelques centaines de mètres d’un endroit à l’autre est un phénomène qui préoccupe de plus en plus de personnes comme Guy Garand. «Là où l’on a remplacé la végétation par du béton, de l’asphalte et des immeubles, les problèmes de santé publique sont multipliés.» http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1112/229/ Photos satellitaires montrant les changements dans l’occupation du sol d’un quartier résidentiel de l’île de Montréal entre 1998 et 2005. (Photos fourniespar François Cavayas) Avant http://nouvelles.umontreal.ca/images/stories/07-08_Forum/iForum23/20080310F23_zone-forestiere01.jpg et Après http://nouvelles.umontreal.ca/images/stories/07-08_Forum/iForum23/20080310F23_zone-forestiere02.jpg

Un site pour les étudiants voit le jour
La Ville de Sherbrooke et l’Université de Sherbrooke ont lancé officiellement un site Internet destinés aux étudiants de l’UdeS, plus particulièrement pour les étudiants résidant dans le district de l’Université. Le site, une initiative de l’arrondissement du Mont-Bellevue, offre plusieurs renseignements sur le choix de logement, les services de transport, la recherche d’emploi, mais aussi sur les règlements de la Ville. Le site http://www.sherbrooke.etudiantetcitoyen.ca/ est aussi accessible à partir des sites de la Ville de Sherbrooke et de l’UdeS. «Compte tenu de la très grande place occupée par l’Université et ses étudiants dans notre arrondissement, nous jugions primordial de bien les accueillir afin qu’ils se sentent des citoyens à part entière, notamment en les informant de toutes les opportunités que recèle leur nouveau milieu de vie et également sur certains aspects de notre réglementation», explique le président de l’arrondissement du Mont-Bellevue, Serge Paquin. La Fédération étudiante de l’UdeS (FEUS) et le Regroupement des étudiants de maîtrise, de diplôme et de doctorat de l’UdeS (REMDUS) ont également collaboré à ce projet. www.cyberpresse.ca/article/20080310/CPTRIBUNE/80310194/5206

Formation, documentation
La famille emprunte divers chemins après un suicide La résilience de la famille est plus grande que la résilience de chacun de ses membres réunis. Au début de l’hiver 2003, Christine Genest est embauchée comme infirmière au service de psychiatrie des adolescents du CHU Sainte-Justine. Elle est confrontée à une vague de tentatives de suicide et constate pour la première fois l’impact de ce drame sur les familles des adolescents suicidaires. «Certaines familles se serraient les coudes comme ce n’est pas possible, alors que d’autres se chamaillaient sans cesse», relate-t-elle. Ces observations l’ont en partie poussée à entreprendre un doctorat en sciences infirmières pour étudier la résilience familiale à la suite d’un suicide d’adolescent. Il n’y a pas que les individus qui peuvent faire preuve de résilience, explique-t-elle. Ce processus, au cours duquel on développe une capacité à surmonter des épreuves difficiles et à se ressaisir, est également présent chez les familles en crise. «Chaque famille possède un certain potentiel de résilience lorsqu’elle vit un traumatisme comme le suicide d’un adolescent, souligne-t-elle. Cependant, il ne faut pas croire que ce type de résilience est le résultat de l’addition des résiliences individuelles des membres de la famille. Le tout est plus grand que la somme des parties.» Comment ces familles endeuillées arrivent-elles à pratiquer «l’art de naviguer dans les torrents», comme l’a illustré le psychiatre et éthologue Boris Cyrulnik, qui a popularisé la notion de résilience? C’est ce que Christine Genest tente d’observer, grâce à une approche qualitative en théorisation ancrée, chez sept familles dont un enfant s’est enlevé la vie il y a au moins un an. Bien sûr, il est impossible de généraliser les comportements et les réactions, mais deux tendances semblent se dessiner, mentionne la doctorante, qui est dirigée par la professeure et vice-doyenne de la Faculté des sciences infirmières, Francine Gratton. «Il y a des familles qui s’enferment dans leur cocon. Les membres gèrent la crise en commun et apprennent ensemble de cette expérience. Dans d’autres cas, chaque individu part de son côté et, à un moment donné, il se produit un évènement qui fait en sorte que la famille se réunit de nouveau. Les liens entre les membres sont beaucoup plus solides par la suite.» Christine Genest a remarqué que la nature offre un certain réconfort aux membres d’une famille endeuillée. Christine Genest a désigné quelques facteurs susceptibles de renforcer la résilience familiale. La nature, par exemple, serait un élément de réconfort. «L’environnement revient souvent dans le discours des familles comme un facteur qui les aide beaucoup, note-t-elle. Elles vont marcher dans la forêt, planter un arbre, bref, elles se retrouvent dans la nature. Pour certaines d’entre elles, le vent leur rappelle leur enfant.» Le respect du deuil de chacun contribuerait également au processus de résilience familiale, comme le rapporte la doctorante: «J’ai rencontré un couple dont la fille s’est suicidée en se jetant devant un wagon de métro. La mère connait le nom de la station, alors que le père l’ignore et ne veut pas le savoir. Chaque année, la mère va porter une fleur à l’endroit où son enfant s’est tuée. Son conjoint la laisse y aller et elle, de son côté, ne l’oblige pas à venir avec elle. Ils se respectent dans leur façon de vivre leur deuil. Cette attitude renforce les liens entre les membres de la famille, car ils n’ont pas besoin de justifier leurs actes et ne vivent pas de pression. Ils se sentent épaulés.» Souvent, les membres d’une famille arrivent à surmonter la perte d’un des leurs en puisant dans un potentiel insoupçonné de résilience. Et en s’épaulant les uns les autres. Christine Genest a remarqué que le deuil des familles semble moins pénible si l’on a diagnostiqué une maladie mentale chez l’adolescent avant son suicide. «Parmi les familles rencontrées, il y avait deux cas en particulier où les jeunes souffraient d’un trouble de santé mentale. Le premier était atteint de maniacodépression et le second d’un trouble de l’alimentation. Ces diagnostics pourraient avoir facilité le cheminement des familles, puisque la mort de l’enfant avait un sens, d’une certaine manière. Elles se sont posé moins de questions par rapport à la raison de ce suicide et ont sans doute ressenti moins de culpabilité que les familles dont l’adolescent n’était pas aux prises avec une maladie mentale.» Pour le moment, toutes ces observations se font dans le cadre d’une recherche qualitative, mais Christine Genest évoque la possibilité de poursuivre cette étude afin d’aboutir à des pistes de réflexion et peut-être même à des modèles d’intervention qui aideraient le milieu de la santé à accompagner les familles dans cette épreuve. La résilience familiale, c’est…une souplesse devant les situations rencontrées et dans les stratégies déployées pour surmonter les épreuves; un sentiment de contrôle interne sur les évènements; une ouverture sur l’avenir; des attitudes prosociales; une capacité à donner un sens à l’expérience; des interrelations entre les membres. Ces attributs permettent à la famille de rebondir, de grandir et d’apprendre dans une situation perçue comme un défi ou provoquant un stress et nécessitant qu’elle mobilise son énergie. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1149/221/

Le Salon Emploi Formation pour aller de l'avant avec sa carrière Fidèle à sa tradition, le Salon Emploi Formation réunira ses quelque 150 exposants, les 18 et 19 mars prochain, au Palais des Congrès de Montréal. Encore une fois, les représentants d'organismes d'aide à l'emploi, d'établissements d'enseignement et de nombreux employeurs ont répondu à l'appel des organisateurs pour lever le voile sur les multiples possibilités de carrière. www.emploiformation.com/

15e congrès de l'Association internationale de psychologie du travail de langue française Entre tradition et innovation, comment transformons-nous l'univers du travail? Du 19 au 22 août 2008 Université Laval Le formulaire d’inscription en ligne est maintenant accessible http://www.aiptlf2008.ca/ Événement international où une des thématiques est la mesure et l'évaluation portant sur des dimensions individuelles en milieu organisationnel. Plus de 20 symposiums, une centaine de communications libres sans compter les affiches-communications des étudiants de deuxième et de troisième cycle traitent de cette thématique. Outre le thème de la santé psychologique au travail et les transformations dans les organisations, il m'apparaît que l'évaluation relative au développement de carrière est un thème important de questionnement en recherche et aussi chez de nombreux praticiens oeuvrant en milieu organisationnel. Ce domaine se transforme et nous devons y innover pour y jouer un rôle. Liette Goyer, professeure agrégée Centre de recherche et d'intervention sur l'éducation et la vie au travail (CRIEVAT) Université Laval liette.goyer@fse.ulaval.ca

Le parascolaire: une solution limitée
Malgré l'instauration d'un cours d'éducation physique obligatoire en 1981, les enfants québécois bougent très peu à l'école. Jusqu'en 2005, les élèves du primaire bénéficiaient grosso modo d'un cours de 60 minutes par semaine. Depuis trois ans, c'est le double. Mais une école sur cinq ne respecte pas cette nouvelle norme. www.cyberpresse.ca/article/20080316/CPACTUEL/803160547/6688/CPACTUEL03

Les internautes sont des lecteurs assidus
Les gens lisent davantage les textes qu'ils trouvent sur les sites Internet des journaux que ceux qu'ils ont dans la version papier de leur quotidien, révèle une étude. http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/texte_complet.php?id=81,12399,0,032008,1421477.html&ref=cyberpresse

Téléphonie dans le 418 : la composition à 10 chiffres dès le 21 juin À partir du 21 juin, toute la population desservie par l’indicatif régional 418 devra composer 10 chiffres, incluant l’indicatif, pour chaque appel local. Les régions desservies par le 418, Québec, Rimouski, Saguenay, sont les dernières à entrer dans la vague de la composition locale à 10 chiffres. Montréal, Gatineau, Trois-Rivières et le nord-ouest du Québec y sont déjà. www.cyberpresse.ca/article/20080318/CPSOLEIL/80317181/6585/CPSOLEIL02


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Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Documents réalisés par Raymond Jean, c.o.


Moncton, j’embarque! http://faislesaut.com/ Pour le moment, 47 membres des 27 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (17) : les cégeps St-Laurent, Abitibi-Témiscamingue, St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Lanaudière, St-Hyacinthe, Outaouais, Vieux-Montréal, Rosemont, Ahuntsic, Héritage, le Collège international Marie de France, le Collège St-Jean-Vianney, l’université de Sherbrooke et Trav-Action. À l’est (10) : Jonquière, Limoilou, Gaspésie, F.-X. Garneau, St. Lawrence, Ste-Foy, St-Félicien, Lévis-Lauzon, Chicoutimi et Psycho-Carrière. Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

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