24 novembre 2006

V 5 No 17: Admission de l’automne 2007 et mathématiques 416

Position du SRACQ en regard de l’admission de l’automne 2007 et le cours de mathématiques 416
Nous avions convenu de vous informer dès que le MELS aurait clarifié sa position en regard de l’admission avec les seules mathématiques 416. Or, en date du 13 novembre, un communiqué a été émis à cet effet (info-sanction numéro 509 www.sracq.qc.ca/infosraq/communique.asp ), et voici en termes pratiques notre position.
Pour les 15 programmes suivants, le cours de mathématiques 514 (ou 426 ou 436 ou 526 ou 536) est exigé :
145.A0 Techniques de santé animale
153.A0 Technologie des productions animales
153.B0 Technologie de la production horticole et de l’environnement
153.C0 Paysage et commercialisation en horticulture
153.D0 Technologie du génie agromécanique
190.A0 Technologie de la transformation des produits forestiers
233.B0 Techniques du meuble et d’ébénisterie
248.B0 Navigation
248.C0 Techniques de génie de marine
310.A0 Techniques policières
310.B0 Techniques d’intervention en délinquance
310.C0 Techniques juridiques
384.A0 Techniques de recherche sociale
411.A0 Archives médicales
414.A0 Techniques de tourisme
Pour les programmes de Sciences humaines et Histoire et civilisation, les élèves qui n’auront que les mathématiques 416 recevront une formation d’appoint en mathématiques de 15 heures au cégep.
Pour les autres programmes qui n’exigent aucun préalable de mathématiques, les élèves qui n’auront que les mathématiques 416 pourront être admis.
Note :
En conséquence, nous appliquerons les mesures décrites précédemment pour l’admission de l’automne 2007. Notez toutefois que ces mesures deviendront officielles lors de l’adoption des modifications au Règlement des études collégiales que nous devrions recevoir avant le début des cours du mois d’août 2007. Par la suite, ces mêmes mesures s’appliqueront minimalement jusqu’à l’admission de l’automne 2010.
Espérant que ces informations vous permettront de bien informer votre clientèle.
Québec le 23 novembre 2006 Bulletin spécial du SRACQ www.sracq.qc.ca/infosraq/bulletin.asp (vous pouvez lire la même position sur le site du SRAM www.sram.qc.ca/?9D8CED9A-3EC0-4083-8314-A150C429CAF7&lang=FR )

Les c.o. en plein processus d’orientation?
Qui suis-je professionnellement? Qu’est-ce qui me distingue des autres professionnels de la relation d’aide vocationnelle? Est-ce que se distinguer implique d’être supérieur à d’autres? Non. Se distinguer implique de reconnaître ce qui nous différencie des autres. Pourquoi cette question semble si taboue entre nous? C’est paradoxal de voir jusqu’à quel point la question de notre identité est taboue entre nous, alors que celle de nos clients est l’objet de notre « microscope »... Lors d’une démarche d’orientation, l’objectif est de clarifier les caractéristiques personnelles de nos clients pour les amener à conscientiser leurs aspirations, ainsi que les angles morts entravant leur parcours pour s’actualiser dans leur environnement. Georges Moyen, c.o. et psychologue, et moi, c.o., avons présenté en mai une formation réflexive au colloque de l’ACOC (Association des C.O. du Collégial) et à celui de l’OCCOPPQ en juin 2006. Intitulée « Peut-on changer la perception actuelle à l’égard des c.o. », cet atelier amenait les c.o. à réfléchir (chacun pour soi et en groupe) à la congruence entre 1) ce qu’on entend dire de nous; 2) ce qui nous distingue ou ce qu’on fait; 3) ce qu’on dit ou comment on s’explique auprès de notre entourage. Un constat unanime s’impose pour les deux groupes qui ont participé à cet atelier. L’étape 1, qui consistait à entendre les c.o. nous dire comment ils étaient perçus, provoqua des réactions assez spontanées dans les sous-groupes qui devaient s’entendre avant de partager leurs constats en grand groupe. L’étape 2 amenait les c.o. à exposer le sens de leur travail. On tentait ici de convenir de dénominateurs communs qui caractérisent nos actes professionnels, au-delà des particularités qui différencient nos mandats. Cette étape a vu naître certaines divergences dans la façon qu’on a de comprendre ce qu’on fait. Les avis étaient plus partagés que lors de l’étape 1 qui aurait aussi pu s’intituler « Nos griefs ». L’étape 3 visait à vérifier si nous étions capable de nous entendre sur notre manière de nous expliquer auprès de notre entourage. Cette étape, plus que les autres, a vraiment permis de mettre le doigt sur un malaise généralisé. Elle est venue valider une hypothèse que j’ai souvent véhiculée, notamment lorsque je parle de notre angle mort collectif sur le COinternet. Je parle ici de notre affirmation de soi individuelle (donc collective) moins fondée sur des points communs, mais de plus en plus axée sur les particularités de nos différents milieux de travail et notre manière individualisée d’y répondre. Voici une série de « questions qui tuent » découlant de cette hypothèse (suite sur le lien ci-dessous)
Érick Beaulieu c.o. www.orientaction.ca/bulletins/v3-n3/v3-n3c.html

AIDE PÉDAGOGIQUE INDIVIDUEL
CÉGEP DE LA GASPÉSIE ET DES ÎLES

Fin du concours Le lundi 4 décembre 2006 Remplaçant, temps plein
Une période de formation est à prévoir au cours du mois de décembre 2006.
Personne(s) ressource(s) Françoise Roy ress-humaines@cgaspesie.qc.ca
www.educationinfonet.com/detail_poste.asp?NoPoste=3766

Un outil de promotion dynamique
La nouvelle vidéo institutionnelle de l’Université est en ligne dans ulaval.ca mais aussi dans YouTube. Un autre outil vient de s’ajouter aux documents de promotion et de recrutement offerts par la Direction des affaires publiques (DAP): la nouvelle vidéo institutionnelle de l’Université. Intitulé «L’Université Laval voit aussi loin que vous!», le document conçu et réalisé par la DAP pour le recrutement et la représentation est disponible depuis peu en fichier vidéo en ligne dans le site Web de l’Université à l’adresse www.ulaval.ca/video . On peut également se procurer le document en format DVD à la Division de la promotion et du recrutement de la DAP au numéro 656-2764. Depuis peu, la vidéo institutionnelle est diffusée sur le site YouTube, le leader mondial dans le domaine de la diffusion et du partage de vidéos en ligne. «Chaque jour, explique Paul Shay, directeur adjoint à la DAP, des internautes de tous âges effectuent 100 millions de visionnements vidéo sur YouTube. Nous voulons profiter de la grande popularité de ce nouveau média pour augmenter notre visibilité auprès des internautes.» www.aufil.ulaval.ca/articles/outil-promotion-dynamique-159.html

Le Cégep au Pérou : engagement de 4 ans dans la formation technique
Pour les 4 prochaines années, le Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue sera chargé du développement d’un programme technique en électronique et maintenance industrielle à La Quinua, dans les Andes péruviennes. Le projet de près de 616 000 $ est financé par, le Programme de partenariat des collèges canadiens géré par l’Association des collèges communautaires du Canada (ACCC) et financé par l’Agence canadienne de développement international (ACDI), le Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue et Cetemin, un Centre d’enseignement technique axé sur le domaine minier , accrédité par le ministère de l’Éducation du Pérou. www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=59713&B=1

La Cité collégiale ajoute des programmes
La Cité collégiale à Ottawa reçoit un coup de pouce pour bonifier ses programmes en français. Dans le cadre d'une entente fédérale-provinciale, la Cité collégiale touchera 7,3 millions de dollars au cours des quatre prochaines années. La présidente de la cité, Andrée Lortie, se réjouit parce qu'il s'agit d'un financement stable réparti sur plusieurs années. Ce nouveau financement va aider la Cité collégiale a lancé de nouveaux programmes. En septembre 2007, le collège veut entre autres offrir un programme en service d'incendie entièrement en français. http://www.lacitec.on.ca/

État de l'admission dans les programmes universitaires contingentés (nouveau lien pour obtenir le document) Une réalisation d'Hélène Trudeau, c.o. au Cégep St-Jean-sur-Richelieu -www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=836

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Guide d'admission universitaire pour la session d'hiver 2007 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915
Raymond Jean, c.o. Webmestre de l'ACOC raymond_jean@videotron.ca

Inscription au bulletin électronique:http://quelquechosedelacoc.blogspot.com/2006/08/v-5-no-1-modalits-dinscription-au.html

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC ACOC@videotron.ca

20 novembre 2006

V 5 No 16: Profession Sage-femme

L'accouchement avec une sage-femme aussi sécuritaire qu'avec un obstétricien
La profession sage-femme est vieille comme le monde, mais au Québec la pratique n'a été légalisée que depuis 1999. Par manque de connaissances, il n'est donc pas surprenant de constater que plusieurs couples sentent le besoin d'être rassurés avant de confirmer leur choix d'une nouvelle intervenante pour les soins entourant l'attente et la venue de leur enfant. Pourtant, le suivi effectué par une sage-femme lors d'une grossesse dite normale est aussi sécuritaire que celui du médecin. C'est le constat auquel sont arrivés Betty-Anne Daviss, sage-femme, et Kenneth C. Johnson épidémiologiste au Centre de prévention et de contrôle des maladies chroniques à l'Agence de santé publique du Canada. Leurs résultats publiés dans le British Medical Journal ont fait l'objet d'une communication en octobre dernier à Ottawa, à l'occasion du congrès annuel de l'Association canadienne des sages-femmes. «L'impact de cette étude scientifique est considérable pour la pratique sage-femme. Il s'agit de la plus importante étude réalisée à ce jour. Le nombre élevé d'accouchements à domicile étudiés permet de démontrer clairement la sécurité de ces derniers. De plus, cette étude corrobore les résultats d'autres recherches. Je pense ici à ceux obtenus lors de projets pilotes menés au Québec. On avait pu constater un taux plus élevé d'interventions obstétricales lors d'un accouchement en centre hospitalier», mentionne Caroline Paquet, sage-femme et professeure au programme de baccalauréat en pratique sage-femme à l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=5909&section_cat=1


Suis-je en sécurité avec une sage-femme ?
Notre panel de lecteurs soumet ses questions
Dans sa nouvelle approche citoyenne, l'équipe du cyberjournal entête s'est dotée d'un panel de 32 lecteurs qui se retrouvent, en majorité, quotidiennement sur le campus de l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Leur mission: participer plus activement à la réalisation de certains dossiers rédactionnels en creusant les divers sujets abordés par des questions qui les préoccupent. Voici donc un résumé de leurs interrogations et bien sûr les réponses de Caroline Paquet, sage-femme et professeure au programme de baccalauréat en pratique sage-femme http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=5910


Pour boucler la boucle… L'accompagnement des travailleurs en fin de carrière
"À 50 ans et parfois même avant, un travailleur peut être perçu - et conséquemment se voir - comme étant sur le déclin sur le plan professionnel. L'enjeu est de taille : maintenir le cap d'une vie active et productive dans son dernier tiers de vie au travail pour être capable d'intégrer l'expérience acquise et de la partager avec la relève. « Savoir rester » pour ensuite « savoir partir » Charlotte Morneau, consultante
La cinquantaine correspond, pour la plupart des travailleurs, à la troisième étape de leur vie active, ce que les spécialistes appellent le troisième tiers de carrière. C'est une période de maturité, d'expérience et de connaissances acquises, mais aussi de questionnements et de projets, car l'étape suivante qui pointe à l'horizon est celle de la retraite. À cette étape, il n'est donc pas rare de vivre dans un certain isolement et d'avoir besoin de ressourcement.
www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/pour-boucler-boucle-accompagnement-des-travailleurs-6192.html Caroline Villeneuve est conseillère d'orientation au Service d'orientation et de psychologie du Cégep Limoilou.

S’attaquer à l’identité masculine est «suspect»
Les recherches universitaires sur les hommes sont rares au Québec
«Les filles, c’est bien meilleur que les garçons.» En prononçant cette phrase anodine, Mathieu, 10 ans, ne se doutait pas qu’il allait entrainer sa mère, Martine Saulnier, dans cinq années d’études sur la masculinité au 21e siècle. «J’hésitais entre ce sujet et un autre, dit la doctorante. Mais je me suis dit que, si mon propre fils avait intégré la conviction que les filles étaient supérieures aux garçons, c’est qu’il s’était passé quelque chose dans la construction de son identité. Jamais, à son âge, je n’aurais dit une chose pareille. Dans les années 70, c’était les hommes qui étaient les meilleurs.» Anecdote révélatrice, quand Martine Saulnier a inscrit son sujet de thèse sur les formulaires de demande de subvention du CRSH et du Fonds québécois de la recherche sur la société et la culture, elle a dû cocher la discipline «études féministes».
www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20061120/R_5.html

ON SE CROIRAIT DANS LES BOUGON
Zone libre lève le voile sur les pratiques dangereuses de naturopathes
Tout compte fait, l'épisode des Bougon tournant en ridicule les produits de santé naturels n'était pas si exagéré. Même qu'il était en-dessous de la réalité. Après Enjeux, qui a enquêté il y a quelques années sur les charlatans des médecines alternatives, une équipe de Zone libre enquêtes a pris au piège d'autres thérapeutes profitant de la naïveté de leurs patients pour s'enrichir. Intitulée Difficile à avaler, les ratés des médecines douces, l'enquête, troublante, sera présentée en deux parties, les vendredis 17 et 24 novembre, 21 h, à Radio-Canada.
www.cyberpresse.ca/article/20061115/CPARTS/611150704/1017/CPARTS

FUTURS POMPIERS, POLICIERS OU PROFESSEURS D'ÉDUCATION PHYSIQUE
Beaucoup d'échecs aux tests physiques
Ce déclin de la forme physique des jeunes est aussi constaté par l'Institut de protection contre les incendies du Québec (IPIC) de Laval. Le quart des hommes et 44% des femmes qui y ont passé les examens d'admission, en mars dernier, ont échoué à l'épreuve de la course. «Beaucoup de gens rêvent d'être pompiers mais ne sont pas nécessairement prêts à s'investir pour le devenir», constate Guy Dussault, directeur de l'IPIC. Les Forces armées canadiennes ont quant à elles décidé, le 1er octobre, d'éliminer le test d'aptitude physique du processus de sélection. Environ 15% des candidats ont échoué à cet examen l'an dernier (entre le 1er avril 2005 et le 31 mars 2006), précise la capitaine Holly Brown. Un nouveau programme visant à «aider les nouvelles recrues à atteindre un niveau acceptable d'aptitude physique avant le début de l'instruction de base» est désormais mis en oeuvre, selon le site Internet de l'armée. À l'École nationale de police du Québec, à Nicolet, les tests classiques de condition physique ont été abandonnés en 2003. Exiger la forme physique «d'un fondeur olympique pour être policier, ça ne tient plus la route sur le plan légal, explique Jean-René Morissette, instructeur en intervention physique à l'École. On mesure maintenant l'aptitude physique minimale pour répondre aux exigences du travail.» Malgré tout, 10% des filles et moins de 1% des garçons issus des techniques policières des cégeps échouent au test. Le comble : même les jeunes intéressés à devenir professeurs d'éducation physique ne sont pas tous en forme. Au moins 15 à 20% des candidats échouent au test d'habileté motrice exigé au baccalauréat d'intervention en activité physique de l'UQAM, selon Gilles Harvey, directeur du programme. «Ce test a été validé : si quelqu'un n'est pas capable de le réussir, c'est parce qu'il a vraiment une faiblesse», souligne-t-il.
www.cyberpresse.ca/article/20061113/CPACTUALITES/611130564/1019/CPACTUALITES

Relance 2006 auprès des diplômées et des diplômés de 2004 (1er et 2e cycles) de l’Université de Sherbrooke. Cette onzième édition de Relance présente la situation (de travail ou d’études) des diplômées et des diplômés de l’Université de Sherbrooke un an et deux ans après la fin de leurs études. Vous trouverez donc, dans Relance 2006, des données sur l’emploi (type de travail, salaires et autres conditions de travail, délai pour trouver un emploi, degré de correspondance entre le travail et les études préalables …) de même qu’une description détaillée des emplois obtenus par les diplômées et les diplômés. De plus, pour chaque programme d’études, un graphique présente l’évolution de l’emploi, du chômage et de la correspondance études-travail au cours des 12 dernières années. Relance 2006 contient donc, une mine de renseignements utiles pour les conseillers d’orientation, les conseillers en emploi et les étudiants ou toute personne en quête de données détaillées sur l’emploi des diplômés universitaires. Relance 2006 est accessible intégralement sur le site internet de l’Université de Sherbrooke à l’adresse suivante :
www.usherbrooke.ca/sve/relance .Si vous désirez obtenir une copie papier (environ 30$), contactez Michel Roy du Service de psychologie et d’orientation Michel.Roy@Usherbrooke.ca

L'École Multidisciplinaire de l'Image
L'ÉMI
vise à former des créateurs/concepteurs cultivés et critiques, habile à oeuvrer dans les domaines de la création et de l’image. Pour ce faire, elle réunit des spécialistes en art et pratiques de l’image - notamment en arts visuels, bande dessinée, cybermuséologie et design graphique - qui s’investissent dans des démarches de recherche et de création en prise avec les développements contemporains.
http://w3.uqo.ca/emi/

Nouveauté : Étudier au Centre d’études collégiales de Carleton dans un forfait tout inclus dans un décor de carte postale Le Centre d’études collégiales de Carleton innove et offre dès maintenant à ses futurs étudiants de l’extérieur, des forfaits leur permettant de répondre à l’ensemble de leurs besoins lors de leur venue à Carleton-sur-Mer. Quatre forfaits différents sont disponibles. Les étudiants pourront choisir entre la vie de chalet, la vie d’hôtel, la vie de chambreur ou celle de chambreur de luxe. Tous ces forfaits ont en commun l’hébergement à proximité du Cégep, le téléphone pour les appels locaux, le câble et l’accès Internet, le transport quotidien entre le lieu de résidence et le Cégep, le transport aller-retour en autobus jusqu’au lieu de résidence permanent au Québec, et ce, trois fois par année, les frais d’inscription au Cégep pour l’année, l’achat des livres obligatoires, quatre sorties en plein air par session et quelques billets gratuits pour des spectacles et d’autres événements. Selon le forfait choisi par l’étudiant, celui-ci peut aussi bénéficier des repas quotidiens et de l’entretien ménager fait hebdomadairement. Ces forfaits sont disponibles à des coûts variant entre 5 999 $ et 9 999 $ par année.
www.cgaspesie.qc.ca/carleton/forfaits.php

Une nouvelle école de gestion de 118,5 M$ à l'université Concordia
La nouvelle École de gestion John Molson est devenue nécessaire par suite d'une hausse substantielle de la clientèle étudiante à Concordia. La construction débutera en décembre 2006 sur le campus Sir George William au centre-ville et sera reliée au métro Guy. Le nouveau pavillon comportera 15 étages et sera prêt en été 2009. Le gouvernement du Québec participe au projet à hauteur de 60 M$ et la famille Molson, pour 10 M$
www.monemploi.com/mon_emploi/actualites/une-nouvelle-ecole-gestion-118-universite-6173.html

L'industrie du jeu vidéo a besoin de main-d'oeuvre à Québec
Au cours des trois dernières années, l'industrie du jeu vidéo s'est développée de façon importante dans la région de Québec. Il y a toujours un besoin important en main-d'œuvre compte tenu que les principales organisations de la région sont toutes en progression. En vue de favoriser le recrutement, cinq sociétés, dont quatre de Québec, viennent de lancer le site Internet
www.macarriereenjeux.com (une mise à jour de Flah Player peut être nécessaire avant d’accéder au site) . En plus de favoriser le recrutement du personnel, on espère également que cet outil permettra aux jeunes et à leurs parents d'en savoir davantage sur le type d'emplois offerts dans le domaine, sur la formation requise et sur les écoles qui offrent cette formation.

État de l'admission dans les programmes universitaires contingentés (nouveau lien pour obtenir le document) Une réalisation d'Hélène Trudeau, c.o. au Cégep St-Jean-sur-Richelieu -
http://www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=836

Bulletin « branché sur Academos » du mois de novembre 2006 :
www.academos.qc.ca/bulletin/bulletinAcademos11_06.pdf Portrait statistique d’Academos
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Guide d'admission universitaire pour la session d'hiver 2007
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915
Raymond Jean, c.o. Webmestre de l'ACOC
raymond_jean@videotron.ca

Inscription au bulletin électronique:
http://quelquechosedelacoc.blogspot.com/2006/08/v-5-no-1-modalits-dinscription-au.html

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca Page d'accueil du Blogue:
http://quelquechosedelacoc.blogspot.com

09 novembre 2006

V 5 No 15: État de l'admission dans les programmes universitaires contingentés

Les représentants universitaires de la tournée des cégeps

État de l'admission dans les programmes universitaires contingentés
Une réalisation d'Hélène Trudeau, c.o. au Cégep St-Jean-sur-Richelieu -
Le document traite des Cotes R des derniers admis aux programmes universitaires contingentés au trimestre d'automne 2006 et affiche les informations de l'ensemble des universités québécoises sur le sujet. Nous remercions notre collègue de partager le fruit de son travail et de nous en avoir autorisé la mise en ligne http://www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=836


Découvrir les programmes de la faculté de médecine de l’université Laval :
Liens vers les sites des programmes http://www.admissionsante.ulaval.ca/
Conférences sur l’admission en sciences de la santé :
vidéo sur médecine, ergothérapie, kinésiologie, physiothérapie et orthophonie
http://w3.fmed.ulaval.ca/promo/index.php?id=759

Les cinq cégeps de l’Est du Québec expérimentent un projet de formation dans le cadre de Cégeps en réseau : la télécollaboration dans le cadre de l’offre du programme Techniques de l’informatique. Issu d’une initiative conjointe de la Fédération des cégeps, du CEFRIO - le Centre francophone en informatisation des organisations – et du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, Cégeps en réseau constitue un modèle novateur d’utilisation optimale des technologies permettant éventuellement de consolider l’offre de formation technique dans les programmes qui accueillent un petit nombre d’étudiants.
Ce programme fut choisi en raison de son offre dans tous les cégeps de l’Est, soit les cégeps de La Pocatière, de Rivière-du-Loup, de Rimouski, de Matane et de la Gaspésie et des Îles, ainsi que des difficultés de recrutement vécues dans ce secteur de formation par l’ensemble de ces établissements. Toutefois, deux des cinq cégeps furent retenus pour servir de sites pilotes dans la région : les cégeps de Rivière-du-Loup et de Matane serviront de banc d’essai à l’expérimentation. www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=58789&B=1

Les psychologues se prononcent sur les motifs de conflits dans le couple
La communication est encore le problème numéro un
On a demandé aux répondants d'identifier parmi 19 motifs de rupture proposés les trois plus importants. On apprend que la difficulté à communiquer chez les partenaires est le facteur numéro un qui a été relevé chez 240 des 453 psychologues. L'incompatibilité des partenaires et l'effet pervers du temps sur les intérêts et valeurs des deux partenaires représentent les deux autres sources de rupture le plus souvent constatées lors de consultations.
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=5853§ion_cat=1&section_sommaire=oui
Pour en apprendre davantage sur le Laboratoire de psychologie du couple de l'UQTR: www.uqtr.ca/lab_couple

«Ces distinctions tombent à point», confie Josée-Anne Riverin, à propos du titre de Personnalité par excellence 2006, qui lui a été décerné le 28 septembre dernier au Gala Forces AVENIR, quelques jours avant que La Presse et Radio-Canada ne la désigne à leur tour «Personnalité de la semaine». «J’étais un peu découragée, parce que j’ai fait des demandes d’emploi auprès de certaines organisations… qui n’ont pas cru en mon expérience.» S’en mordent- elles les doigts aujourd’hui? La jeune femme de 23 ans, au regard pétillant, dégage une énergie contagieuse. Passionnée par l’entraide humanitaire locale et internationale, elle vient de compléter son baccalauréat en relations internationales et droit international. Voici le parcours inspirant de cette diplômée, sous forme de récit de voyages en trois temps. L’Afrique du Sud Après avoir complété son Secondaire 5, volet éducation internationale, Josée-Anne projette d’aller apprendre l’anglais «à la dure». Parmi les destinations offertes par AFS Interculture Canada, elle choisit l’Afrique du Sud. On lui offre d’habiter dans une famille noire de Soweto. Ses parents, au fait du passé violent de cette banlieue de Johannesburg, symbole de la résistance noire à l’apartheid, lui recommandent de revoir son choix, mais elle s’entête. Avec le recul, ce séjour lui apparaît comme le déclencheur de sa passion pour les droits humains. Son intervention à l’école publique multiethnique qu’elle fréquente mène à un échange interculturel entre des Noirs d’une école de Soweto et des Blancs de Johannesburg. La Mauritanie À son retour, elle amorce ses études collégiales à Jonquière en sciences humaines, profil ouverture sur le monde. Elle collabore à des salons jeunesse pour AFS et accompagne parfois les étudiants étrangers qui séjournent dans sa région. En 2003, elle participe avec un groupe d’étudiants à un stage de coopération internationale de deux mois en Mauritanie. Modeste, elle tient à remettre les pendules à l’heure, car les journaux qui ont parlé d’elle récemment lui ont donné le beau rôle. «Il s’agissait d’un stage d’observation au secrétariat d’État à la condition féminine, explique-t-elle. J’ai vu comment les coopératives locales fonctionnaient et j’ai donné un coup de main à l’organisation de la Journée internationale de la femme, rien de plus.» À son retour au Québec, elle tente de mettre en contact les organismes de femmes de la Mauritanie avec ceux du Saguenay. Le Cambodge Son cégep complété, elle s’inscrit au baccalauréat en relations internationales et droit international à l’UQAM. Son horaire est chargé : elle prend part à l’organisation du Festival du savoir dans le quartier St-Michel/Parc- Extension, en plus d’être agente promotionnelle, puis coordonnatrice provinciale du Programme d’économie d’eau potable du RÉSEAU Environnement. Elle trouve également le temps de participer à des ateliers de sensibilisation pour l’UNICEF dans des écoles primaires. Elle rencontre Marjolaine Breton, une camarade de classe avec laquelle elle se découvre un rêve commun: réaliser un documentaire. «Je voulais aller en Asie du Sud-Est, dans un endroit où les droits humains étaient problématiques, raconte-t-elle. Le Cambodge s’est imposé de lui-même, mais nous avions besoin d’établir des contacts avec un organisme local.». Une fois leur projet sur les rails, la Faculté de science politique et de droit s’y intéresse et le soumet à l’ACDI, obtenant une subvention de 50 000 $. Ce montant sert à Josée-Anne et à sa collègue, mais permet également de développer d’autres liens avec le Cambodge, qui déboucheront sur un projet encore plus ambitieux et une subvention de 600 000 $. Le documentaire qu’elles réalisent là-bas, dont le montage a été effectué par deux finissants en communication, Charles Trinque et Julie Marcotte, s’intitule 0,14 $ l’hectare. Il traite de la concession des terres au Cambodge. «Des paysans sont expropriés ou même tués par les milices afin que le gouvernement «prête» leurs lopins de terre à des entreprises, sous couvert d’incitatifs à la croissance économique du pays», explique Josée-Anne. À son retour du Cambodge, elle s’est impliquée dans les travaux de la Clinique internationale pour la défense des droits humains de l’UQAM, une organisation qui lui tient toujours à coeur, même si son baccalauréat est terminé et qu’elle étudie présentement en relations publiques à l’Université de Montréal. Elle songe entreprendre une maîtrise en droit international et ne sait pas encore, pour l’instant, ce qu’elle va faire de la bourse de 15 000 $ de Forces AVENIR. Son engagement lui procure stimulation et enrichissement avant tout. «Je ne veux pas être moralisatrice et dire qu’il faut absolument aller à l’autre bout du monde pour s’impliquer. Il suffit simplement de chercher à s’informer, une responsabilité collective, selon moi. Mais si l’on veut en faire plus, je suis la preuve qu’on n’a pas besoin d’être une grande intellectuelle ou une hippie à poncho », conclut-elle en riant. www.journal.uqam.ca Vol. XXXIII, no 4 (16 octobre 2006)

Les lacunes du palmarès des écoles secondaires La critique que monsieur Jean-Guy Blais de l'Université de Montréal formulait l'an dernier au sujet de ce palmarès controversé, est encore vraie cette année: malgré d'importantes lacunes méthodologiques et plusieurs ellipses intellectuelles commises dans ce bulletin, les commanditaires récidivent de la même manière cette année, comme si de rien n'était. Les auteurs du palmarès prétendent mesurer et évaluer la performance des écoles et les comparer, sans prendre la précaution de préciser de quoi est faite la performance d'une école, ce qu'on entend par la performance d'une école. Ils utilisent les résultats des élèves à des examens du MEQ, d'une durée de trois heures chacun, à un moment donné, manipulent des indicateurs et présentent les résultats comme étant l'évaluation de la performance de chaque école. Il s'agit non seulement d'une prétention simpliste mais d'un manque de rigueur scientifique patent. Le titre de l'étude devrait préciser explicitement de quoi il s'agit réellement. D'autre part, puisque les écoles privées choisissent les élèves qui ont le plus de scolaptitude, il va de soi que leurs élèves performent mieux aux examens du MEQ. Attribuer leur réussite à la seule performance de leur école constitue une conclusion hâtive de nature à berner les lecteurs. Une illusion de différence Au début du classement figurent, en première position ex aequo, dix écoles à qui on a attribué une note arbitraire de 10 points. Suivent deux autres écoles qui, avec une note de 9,9 points, seraient les deuxièmes meilleures. Mais elles sont classées au dixième rang. Ainsi de suite. Cette méthode de distribution des rangs amplifie une illusion de différence qui n'existe pas dans la réslité. Pis encore, on établit des différences entre les écoles à partir de dixièmes de point. D'un point de vue docimologique, il n'y a pas de différence significative, c'est-à-dire réelle, entre les écoles pour une différence apparente d'un dixième de point. Car il s'agit, ici, de mesures indirectes, donc forcément imprécises qui comportent nécessairement une marge d'erreur. Ainsi, les auteurs d'un sondage, par exemple, fournissent toujours une estimation de la marge d'erreur probable pour permettre aux gens d'interpréter judicieusement leurs résultats. Les auteurs du palmarès des écoles secondaires refusent de le faire, et pour cause. Supposons, sans exagérer, que l'erreur de mesure probable des résultats de cette étude s'estime à sept dixièmes de point. On pourrait conclure que, dans la réalité, il n'y a pas de différence significative entre les écoles classées au premier rang et celles classées au vingt-neuvième rang, entre celles classées au cent vingt-huitième rang et celles classées au cent quatre-vingt-quinzième rang, etc. www.cyberpresse.ca/article/20061101/CPSOLEIL/61101058/5034/CPOPINIONS

Une pénurie de main-d'oeuvre menace toujours l'aérospatiale Malgré une légère reprise des inscriptions dans les maisons d'enseignement, une pénurie de main-d'oeuvre continue de guetter l'industrie aérospatiale québécoise, au moment où de nombreuses entreprises roulent à plein régime. "Nous devons encore convaincre les jeunes, et leurs parents en particulier, que cette industrie va bien et qu'elle recrute en dépit de l'impression que peuvent laisser les médias", affirme Carmy Hayes, directeur de projets au CAMAQ, le Comité sectoriel de main-d'oeuvre en aérospatiale. L'École des métiers de l'aérospatiale de Montréal (EMAM) compte aujourd'hui deux fois plus d'étudiants qu'il y a deux ans. Mais sa directrice, Josée Péloquin, croit qu'elle pourrait aisément augmenter de 50 % le nombre d'étudiants, actuellement de 400, sans compromettre le taux de placement des finissants, qui frôle les 100 %. De son côté, l'École nationale d'aérotechnique (ENA), affiliée au Collège Édouard-Montpetit, aura noté tout au plus une quarantaine d'inscriptions de plus que l'année précédente. Au 21 septembre dernier, la plus grande école des métiers d'aéronautique au pays comptait 622 étudiants pour les trois années de son programme. C'est moins de la moitié que les 1 550 étudiants qui la fréquentaient en 2001, avant que ne se fassent sentir les contrecoups des difficultés financières de l'industrie aérienne. Selon Carmy Hayes, les niveaux d'inscription dans les écoles québécoises ne s'établissent encore qu'à environ 60 % de ce qu'ils étaient à la fin des années 1990 et au début des années 2000. Trois offres par étudiant "La demande est tellement grande que les employeurs viennent maintenant chercher directement les étudiants à l'école, explique Josée Péloquin. Nos finissants n'ont même à pas à envoyer leur curriculum vitae. Ils ont souvent le choix entre trois offres d'emplois différentes et c'est l'employeur qui rappelle le plus vite qui le gagne." Tous les métiers d'usineurs et de machinistes sont particulièrement en demande. Il faut dire qu'au cours des derniers mois, les difficultés de certains acteurs de l'industrie ont souvent défrayé les manchettes. C'est le cas de Bombardier Aéronautique : la mise au rancart du projet de Série C, un carnet de commandes qui s'est aminci, l'arrêt de production des CRJ 200 et le transfert d'activités au Mexique, ne sont évidemment pas de nature à encourager les parents à diriger leurs jeunes vers ce secteur. Des emplois à revendre Mais certaines entreprises profitent à plein régime de cette période où l'exploration pétrolière, la préoccupation pour la sécurité et les budgets de défense continuent de croître, aux États-Unis comme au Canada. C'est le cas entre autres de CMC Électronique, Pratt & Whitney, Héroux Devtek et Bell HelicopterTextron, pour n'en nommer que quelques-unes, qui ne cessent d'embaucher. Pendant 18 mois, jusqu'à l'été dernier, Bell Helicopter a recruté pas moins de 900 travailleurs à Mirabel, souligne Normand Legault, directeur du développement des affaires de l'entreprise. "Le recrutement a diminué depuis, mais nous continuons d'embaucher quatre ou cinq personnes par semaine. Parfois même jusqu'à 20, dit-il. Et je peux vous dire que la majorité de nos fournisseurs sont dans la même position : tout le monde a besoin de nouveau personnel actuellement." http://www.lesaffaires.com/
Au Québec, pas que du noir pour l'industrie aérospatiale
http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2006/10/20061026-054822.html

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Guide d'admission universitaire pour la session d'hiver 2007 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915
Cotes R des derniers admis à l'automne 2006 http://www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=836
Raymond Jean, c.o. Webmestre de l'ACOC raymond_jean@videotron.ca

Inscription au bulletin électronique:
http://quelquechosedelacoc.blogspot.com/2006/08/v-5-no-1-modalits-dinscription-au.html

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca Page d'accueil du Blogue:
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06 novembre 2006

V 5 No 14: Les carrières dans le jeux vidéo au Québec

Que la neige a neigé!

Les représentants universitaires de la tournée des cégeps

Site des formations et des carrières dans le jeux vidéo au Québec
Un regroupement d'entreprises québécoises dans l'industrie du jeu vidéo a lancé un site Internet pour informer les gens qui désirent faire carrière dans ce domaine. En plus d'offrir des renseignements utiles aux personnes qui veulent faire carrière dans le jeu vidéo, le site Internet
www.macarriereenjeux.com brossera également un portrait de cette industrie au Québec. Le lancement officiel a été fait à la Plate-forme Création Multimédia située sur le boulevard Charest dans la Ville de Québec. Les dirigeants d'Ubisoft Québec, Beenox, Frima Studio, A2M, Humagade et TechnoCompétences étaient présents lors du lancement pour parler des perspectives d'avenir de l'industrie du jeu vidéo au Québec et au Canada. http://techno.branchez-vous.com/actu/06-11/10-331901.html

S'orienter…un défi tout au long de la vie! Du 29 octobre au 4 novembre 2006 se déroulait la deuxième édition de la Semaine québécoise de l'orientation. Sous le thème Développer sa vision de l'avenir, cette semaine se voulait un moment de mobilisation de la population du Québec autour d'un enjeu majeur de notre vie : l'orientation. Une centaine d'activités spéciales ont été organisées à travers le Québec, dont deux conférences grand public gratuites à Montréal et à Québec, une belle initiative de l'Ordre des conseillers et conseillères d'orientation et des psychoéducateurs et psychoéducatrices du Québec. Selon monsieur Michel Turcotte, président de l'Ordre, s'orienter, c'est choisir une direction aux différentes étapes de notre vie. Au cours de celle-ci, nous sommes appelés à faire des choix qui auront un impact sur notre cheminement tant personnel que professionnel. Bien souvent mise en veilleuse, l'orientation occupe pourtant une place centrale dans notre vie. Elle rejoint la question du sens de ce que nous faisons, de ce qui nous anime, de ce qui nous motive, de ce qui nous sort du lit le matin avec ou sans le sourire! Si nous acceptons facilement que les études et le travail prennent une large part de notre temps et de notre énergie, nous devons en conclure que l'orientation est une dimension à ne pas négliger pour être bien dans notre peau. L'orientation de notre existence n'est certes pas l'affaire d'une semaine. C'est un véritable défi qui dure toute la vie! Pensons-y!Pour plus d'information sur la thématique de la semaine et pour en savoir plus sur la démarche d'orientation, consulter le site
www.occoppq.qc.ca Bonne fin de la… Semaine québécoise de l'orientation! Caroline Villeneuve c.o. www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/orienter-defi-tout-long-vie-6124.html

15 % plus de médecins s’installent en Mauricie. Le Centre de formation médicale décentralisée exerce un indéniable attrait sur les médecins dans cette région. Les régions ont souvent de la difficulté à attirer des médecins. En Mauricie, l’affiliation universitaire a eu des effets positifs et le nombre de médecins est en hausse. Depuis que la Faculté de médecine de l’Université de Montréal a ouvert son centre de formation médicale décentralisée en Mauricie, en collaboration avec l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), le nombre de médecins a connu une hausse de 15 % dans les deux principaux hôpitaux engagés dans le projet, soit le Centre hospitalier régional de Trois-Rivières (CHRTR) et le Centre de santé et de services sociaux de l’énergie (CSSSE), à Shawinigan. Au total, les médecins sont passés de quelque 400 en 2003 à environ 460 en 2006. Selon le responsable du Centre de formation médicale décentralisée en Mauricie, les 32 nouveaux étudiants qui entrent dans le programme chaque année (dont le quart viennent de cette région) auront de meilleures chances de faire carrière en région s’ils y ont reçu leur formation. D’autant plus que le programme a subi avec succès, le printemps dernier, l’évaluation du Liaison Committee on Medical Education, un comité canado-américain qui voit à la qualité des programmes médicaux du continent. «Le rapport souligne l’excellence de notre programme et la collaboration exceptionnelle entre les deux universités», commente le vice-doyen adjoint.
www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20061106/AU_1.html

L'Ecole de technologie supérieure et l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal font équipe dans la recherche musculo-squelettique L'Ecole de technologie supérieure (ETS) accentue sa présence en recherche dans le domaine des technologies de la santé avec l'inauguration d'un tout nouveau laboratoire de recherche en imagerie et orthopédie de l'Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal, le LIO-HSCM. Dans les domaines des soins de santé, de plus en plus de solutions technologiques sont utilisées pour résoudre des problèmes d'ordre clinique. La mission du LIO-HSCM sera d'améliorer la compréhension qu'ont les chirurgiens et ingénieurs du comportement des articulations du corps humain et les stratégies mises en place afin de prévenir et traiter les troubles qui affectent le squelette, les articulations, les muscles et les tendons. Plusieurs projets de recherche ont déjà été lancés, notamment pour trouver des façons d'améliorer les chirurgies au genou et de diminuer les séquelles permanentes, problème qui touche de nombreux sportifs professionnels. "Malgré la qualité des chirurgies sur les ligaments croisés, près de 70 % des gens opérés ne retrouveront jamais le niveau de pratique sportive qu'ils avaient avant la blessure, explique Nicola Hagemeister, chercheure au LIO-HSCM et professeure en génie de la production automatisée à l'ETS. Un des premiers projets sera d'évaluer des patients avant et après l'opération. Nous évaluerons leur capacité à faire des mouvements exigeants, et avec l'analyse de l'imagerie 3D de leur genou en mouvement, nous pourrons trouver des indices qui expliqueraient pourquoi les patients ne retrouvent pas toujours une fonction normale de leur genou. Nous pourrons alors proposer des traitements mieux adaptés."
www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=58506&B=1

Les enseignants proposent une brochure politique aux cégépiens
Les trois fédérations de syndicats d'enseignants des cégeps ont lancé une brochure à l'intention des 100000 cégépiens de la province. Cette campagne d'information se veut une «sensibilisation politique» à différentes réalités que vivent les élèves. Précédée d'une certaine controverse, cette brochure, qui sera distribuée à compter d'aujourd'hui, n'est pas, selon ses auteurs, un outil de propagande pour inclure les élèves dans les démarches syndicales des enseignants. «Ce sont des textes d'opinion qui s'inscrivent en faux face à un discours dominant dans la société qui est souvent reproduit à grande échelle, dit Guy Desmarais, vice-président de la Fédération autonome du collégial (FAC). Il est important de comprendre que ces textes apportent des idées qui ne sont pas présentées comme des vérités incarnées.» En plus de la FAC, la Fédération nationale des enseignants du Québec (FNEQQ-CSN) et la Fédération des enseignants de cégep (FEC-CSQ) ont collaboré à ce document, dont les textes sont tous signés par des membres des syndicats. Cette brochure, qui sera diffusée grâce à la collaboration des associations étudiantes, traite de plusieurs thèmes, notamment celui de la liberté syndicale comme moteur de la démocratie. On en profite pour revenir sur quelques moments historiques qui ont marqué des négociations difficiles entre le gouvernement du Québec et ses employés.
www.cyberpresse.ca/article/20061030/CPACTUALITES/610300793/1028

Êtes-vous politiquement habile?
Dans nos organisations, travailler fort et obtenir de bons résultats n’est plus suffisant pour réussir. La capacité à utiliser habilement les stratégies et les tactiques politiques est devenue une exigence incontournable pour être un acteur valable et ce, quelles que soient ses fonctions : par exemple, un agent de changement dépourvu d’habiletés politiques éprouvera beaucoup de difficultés à faire avancer ses dossiers et à réaliser le changement. En effet, les changements génèrent presque toujours de l’incertitude et une concurrence accrue pour des ressources humaines, financières et matérielles qui se raréfient. Cette concurrence émerge non seulement face à des ressources tangibles comme de nouvelles recrues ou des crédits budgétaires additionnels, mais aussi face à des ressources intangibles comme la reconnaissance des supérieurs ou la notoriété parmi les pairs. Nos organisations évoluent dans des environnements turbulents et incertains; il est donc devenu essentiel que les acteurs maîtrisent un grand répertoire d’habiletés politiques. Le véritable défi réside dans la capacité à interpréter la dynamique politique de l’organisation et à s’y positionner. L’acteur organisationnel doit acquérir une intelligence politique qui fera de lui un joueur de tout premier ordre, reconnu non seulement pour son flair politique mais aussi pour ses actions dont la mise en œuvre ne sera que bénéfique pour tous. Car il ne faut pas s’y méprendre : le jeu politique gagnant-gagnant apporte des avantages, autant pour celui qui le maîtrise bien que pour l’organisation qui en recueille les effets positifs. Certains diront qu’être politique est une façon de dissimuler des compétences insuffisantes ou déficientes, et se refuseront de voir les habiletés politiques pour ce qu’elles sont réellement : des compétences pour gagner dans nos organisations politisées. Formation des cadres et des dirigeants Pierre Lainey MBA, Adm.A., CMC, CRHA HECMontréal
http://neumann.hec.ca/cadresetdirigeants/programmes/hp.htm et http://neumann.hec.ca/cadresetdirigeants/programmes/pp.htm

PARE-CHOCS Un nouvel outil pour prévenir la dépression chez les adolescents Pare-Chocs, un tout nouveau programme d’aide pour prévenir la dépression auprès des adolescentes et adolescents est maintenant offert aux milieux scolaire et clinique. L’auteure principale, Diane Marcotte, docteure en psychologie, professeure à l’Université du Québec à Montréal et membre du Centre de recherche et d’intervention sur la réussite scolaire (CRIRES), s’est adjoint la collaboration de Diane Mathurin, psychologue, pour développer ce nouvel outil d’intervention. Pare-Chocs sera présenté le vendredi 27 octobre 2006, à 12 h, lors du 18e colloque de l’Association québécoise des psychologues scolaires (AQPS), à l’Hôtel Delta de Trois-Rivières. Issu de recherches scientifiques, le programme Pare-Chocs est destiné à tout professionnel détenant une formation en santé mentale et en animation de groupe ou spécialisé en intervention auprès des jeunes qui souffrent de dépression. Il contribue à développer des habiletés de protection et des stratégies qui favorisent la bonne santé mentale des jeunes de 14 à 17 ans. C’est un outil unique et actuel qui renforce le « pare-chocs » des élèves. Un groupe à haut risque d’abandon scolaire Les études ont démontré que la dépression touche près de 16 % des jeunes du secondaire, dont une majorité de filles, et qu’elle constitue la première variable « prédictrice » du risque d’abandon scolaire. La présence des symptômes de dépression est dramatiquement élevée et représente un problème social majeur au Québec.
www.ctreq.qc.ca/depression

Les femmes doutent facilement de leurs habiletés mathématiques Il suffit d'expliquer à des femmes qu'il est dans leur nature d'être moins douées en mathématiques pour influencer négativement leur performance dans ce domaine, ont découvert des chercheurs de l'université de la Colombie-Britannique. Les scientifiques voulaient vérifier si la nature de l'explication fournie aux femmes concernant leur inhabileté «stéréotypique» en mathématiques allait avoir un impact sur leur performance réelle. Il s'agit de la «menace du stéréotype», un concept selon lequel le rappel de croyances associées depuis longtemps à un groupe incite les membres de ce groupe à se conformer au stéréotype. Sur une période de trois ans, les chercheurs de l'université de la Colombie-Britannique ont demandé à 135 femmes de se soumettre à des tests similaires à ceux utilisés pour l'admission aux études supérieures. Chaque femme devait notamment compléter une section mathématique complexe, mais seulement après avoir pris connaissance d'un article concernant les différences entre les sexes en mathématiques. Des quatre articles fictifs, le premier faisait valoir qu'il n'existe aucune différence, le second que la différence est d'origine génétique, et le troisième que la différence découle de la manière dont les mathématiques sont enseignées aux femmes à l'école primaire. Le dernier traitait de la place des femmes dans le monde des arts, puisque les scientifiques croient depuis un moment que le simple fait de rappeler à une femme qu'elle est une femme aura un impact négatif sur sa performance. Les femmes à qui il avait été expliqué que leurs expériences antérieures étaient responsables de leurs habiletés mathématiques ont obtenu deux fois plus de réponses exactes que les femmes à qui il avait été expliqué que leur code génétique était à blâmer. Les femmes à qui on avait rappelé qu'elles étaient des femmes ont aussi moins bien réussi que celles à qui on avait expliqué qu'il n'y avait aucune différence. «J'ai été surpris de l'importance de la réduction de la menace (du stéréotype) chez les femmes à qui on avait souligné l'importance des expériences antérieures», a expliqué l'auteur de l'étude, l'étudiant au doctorat Ilan Dar-Nimrod. La simple mention qu'il puisse exister une différence entre les hommes et les femmes en mathématiques peut se révéler explosive. L'été dernier, le président de l'université Harvard, Lawrence Summers, avait été contraint de démissionner après avoir déclaré que les femmes sont sous-représentées dans le domaine des sciences parce qu'elles n'ont pas les capacités innées pour y exceller. D'autres chercheurs croient que les résultats de cette étude illustrent bien la complexité de l'association entre les gènes et un comportement donné.
www.cyberpresse.ca/article/20061020/CPACTUEL/61020031/1015/CPACTUEL

L'effectif infirmier atteint son plus haut niveau
L'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec enregistre pour l'année 2005-2006 le plus haut nombre d'infirmières jamais atteint dans l'histoire.
En tout, 68 754 infirmières sont inscrites, soit 962 membres de plus que l'année précédente, une hausse de 1,4 pour cent. Parmi celles qui ont joint les rangs de la profession cette année, on retrouve 2827 nouvelles titulaires de permis et 694 infirmières qui effectuent un retour. L'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec dévoile ces chiffres à l'occasion de son congrès annuel qui se tient au Palais des congrès de Montréal. La présidente de l'Ordre, Gyslaine Desrosiers, juge important que les employeurs ouvrent le nombre de postes nécessaires pour faire face à la demande et fassent en sorte de retenir les jeunes jeunes dans la profession. Le Réseau public de la santé et des services sociaux demeure toujours le principal employeur des infirmières. En effet, 55 383 infirmières, ce qui représente 85,1 pour cent de celles qui exercent la profession, y occupent leur emploi principal. Ce portrait est sensiblement le même que l'année dernière. Le secteur privé embauche 5312 infirmières, dont 1326 qui travaillent pour des agences de placement de personnel infirmier et qui sont affectées dans des établissements du réseau public. Pour la première fois depuis 1998-1999, l'âge moyen des infirmières qui exercent la profession a diminué cette année et s'établit à 43,2 ans, en baisse de 0,1 an depuis la dernière année.
www2.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2006/10/20061030-102308.html

Résumé d'une conférence lors du congrès de l'ACA: THÉORIE DE LA CONSTRUCTION D’UNE CARRIÈRE par Mark L. Savickas (la traduction complète du texte sera déposée sur notre site éventuellement). La théorie de la construction d’une carrière fournit à l’individu la façon de penser pour choisir une profession à sa mesure, et comment y réussir. La théorie présente un modèle pour la compréhension du comportement vocationnel tout au long de la vie professionnelle, et, aussi, les méthodes et le matériel dont ont besoin les conseillers d’orientation professionnelle pour aider leurs clients à faire des choix professionnels judicieux, à maintenir une vie de travail satisfaisante et en faire une réussite. Elle cherche à être complète dans son domaine en étudiant le comportement vocationnel sous trois angles différents: différentiel, développemental, et dynamique. Dans la perspective psychologie des différences individuelles, elle examine la teneur des types de personnalités vocationnelles et ce que les différentes personnes préfèrent faire. Dans la perspective psychologie développementale, elle examine le processus d’adaptation psychosociale et comment les individus font face aux développements vocationnels des tâches, aux transitions techniques et aux traumatismes du travail. Dans la perspective psychologie narrative, elle examine la dynamique par laquelle les thèmes de la vie imposent une signification au comportement professionnel et pourquoi chaque individu adapte, à sa façon, son travail à sa vie. En coordination, ces trois perspectives permettent aux conseillers et aux chercheurs d’examiner comment les individus construisent leurs carrières en utilisant les thèmes de la vie pour intégrer l’auto-organisation de leur personnalité et l’autoextension de l’adaptabilité de leur carrière en une entité auto-définie qui anime le travail, dirige les choix professionnels, et façonne les ajustements vocationnels.

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Guide d'admission universitaire pour la session d'hiver 2007
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915
Raymond Jean, c.o. Webmestre de l'ACOC
raymond_jean@videotron.ca

Inscription au bulletin électronique:
http://quelquechosedelacoc.blogspot.com/2006/08/v-5-no-1-modalits-dinscription-au.html

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca Page d'accueil du Blogue:
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