09 novembre 2006

V 5 No 15: État de l'admission dans les programmes universitaires contingentés

Les représentants universitaires de la tournée des cégeps

État de l'admission dans les programmes universitaires contingentés
Une réalisation d'Hélène Trudeau, c.o. au Cégep St-Jean-sur-Richelieu -
Le document traite des Cotes R des derniers admis aux programmes universitaires contingentés au trimestre d'automne 2006 et affiche les informations de l'ensemble des universités québécoises sur le sujet. Nous remercions notre collègue de partager le fruit de son travail et de nous en avoir autorisé la mise en ligne http://www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=836


Découvrir les programmes de la faculté de médecine de l’université Laval :
Liens vers les sites des programmes http://www.admissionsante.ulaval.ca/
Conférences sur l’admission en sciences de la santé :
vidéo sur médecine, ergothérapie, kinésiologie, physiothérapie et orthophonie
http://w3.fmed.ulaval.ca/promo/index.php?id=759

Les cinq cégeps de l’Est du Québec expérimentent un projet de formation dans le cadre de Cégeps en réseau : la télécollaboration dans le cadre de l’offre du programme Techniques de l’informatique. Issu d’une initiative conjointe de la Fédération des cégeps, du CEFRIO - le Centre francophone en informatisation des organisations – et du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, Cégeps en réseau constitue un modèle novateur d’utilisation optimale des technologies permettant éventuellement de consolider l’offre de formation technique dans les programmes qui accueillent un petit nombre d’étudiants.
Ce programme fut choisi en raison de son offre dans tous les cégeps de l’Est, soit les cégeps de La Pocatière, de Rivière-du-Loup, de Rimouski, de Matane et de la Gaspésie et des Îles, ainsi que des difficultés de recrutement vécues dans ce secteur de formation par l’ensemble de ces établissements. Toutefois, deux des cinq cégeps furent retenus pour servir de sites pilotes dans la région : les cégeps de Rivière-du-Loup et de Matane serviront de banc d’essai à l’expérimentation. www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=58789&B=1

Les psychologues se prononcent sur les motifs de conflits dans le couple
La communication est encore le problème numéro un
On a demandé aux répondants d'identifier parmi 19 motifs de rupture proposés les trois plus importants. On apprend que la difficulté à communiquer chez les partenaires est le facteur numéro un qui a été relevé chez 240 des 453 psychologues. L'incompatibilité des partenaires et l'effet pervers du temps sur les intérêts et valeurs des deux partenaires représentent les deux autres sources de rupture le plus souvent constatées lors de consultations.
http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=5853§ion_cat=1&section_sommaire=oui
Pour en apprendre davantage sur le Laboratoire de psychologie du couple de l'UQTR: www.uqtr.ca/lab_couple

«Ces distinctions tombent à point», confie Josée-Anne Riverin, à propos du titre de Personnalité par excellence 2006, qui lui a été décerné le 28 septembre dernier au Gala Forces AVENIR, quelques jours avant que La Presse et Radio-Canada ne la désigne à leur tour «Personnalité de la semaine». «J’étais un peu découragée, parce que j’ai fait des demandes d’emploi auprès de certaines organisations… qui n’ont pas cru en mon expérience.» S’en mordent- elles les doigts aujourd’hui? La jeune femme de 23 ans, au regard pétillant, dégage une énergie contagieuse. Passionnée par l’entraide humanitaire locale et internationale, elle vient de compléter son baccalauréat en relations internationales et droit international. Voici le parcours inspirant de cette diplômée, sous forme de récit de voyages en trois temps. L’Afrique du Sud Après avoir complété son Secondaire 5, volet éducation internationale, Josée-Anne projette d’aller apprendre l’anglais «à la dure». Parmi les destinations offertes par AFS Interculture Canada, elle choisit l’Afrique du Sud. On lui offre d’habiter dans une famille noire de Soweto. Ses parents, au fait du passé violent de cette banlieue de Johannesburg, symbole de la résistance noire à l’apartheid, lui recommandent de revoir son choix, mais elle s’entête. Avec le recul, ce séjour lui apparaît comme le déclencheur de sa passion pour les droits humains. Son intervention à l’école publique multiethnique qu’elle fréquente mène à un échange interculturel entre des Noirs d’une école de Soweto et des Blancs de Johannesburg. La Mauritanie À son retour, elle amorce ses études collégiales à Jonquière en sciences humaines, profil ouverture sur le monde. Elle collabore à des salons jeunesse pour AFS et accompagne parfois les étudiants étrangers qui séjournent dans sa région. En 2003, elle participe avec un groupe d’étudiants à un stage de coopération internationale de deux mois en Mauritanie. Modeste, elle tient à remettre les pendules à l’heure, car les journaux qui ont parlé d’elle récemment lui ont donné le beau rôle. «Il s’agissait d’un stage d’observation au secrétariat d’État à la condition féminine, explique-t-elle. J’ai vu comment les coopératives locales fonctionnaient et j’ai donné un coup de main à l’organisation de la Journée internationale de la femme, rien de plus.» À son retour au Québec, elle tente de mettre en contact les organismes de femmes de la Mauritanie avec ceux du Saguenay. Le Cambodge Son cégep complété, elle s’inscrit au baccalauréat en relations internationales et droit international à l’UQAM. Son horaire est chargé : elle prend part à l’organisation du Festival du savoir dans le quartier St-Michel/Parc- Extension, en plus d’être agente promotionnelle, puis coordonnatrice provinciale du Programme d’économie d’eau potable du RÉSEAU Environnement. Elle trouve également le temps de participer à des ateliers de sensibilisation pour l’UNICEF dans des écoles primaires. Elle rencontre Marjolaine Breton, une camarade de classe avec laquelle elle se découvre un rêve commun: réaliser un documentaire. «Je voulais aller en Asie du Sud-Est, dans un endroit où les droits humains étaient problématiques, raconte-t-elle. Le Cambodge s’est imposé de lui-même, mais nous avions besoin d’établir des contacts avec un organisme local.». Une fois leur projet sur les rails, la Faculté de science politique et de droit s’y intéresse et le soumet à l’ACDI, obtenant une subvention de 50 000 $. Ce montant sert à Josée-Anne et à sa collègue, mais permet également de développer d’autres liens avec le Cambodge, qui déboucheront sur un projet encore plus ambitieux et une subvention de 600 000 $. Le documentaire qu’elles réalisent là-bas, dont le montage a été effectué par deux finissants en communication, Charles Trinque et Julie Marcotte, s’intitule 0,14 $ l’hectare. Il traite de la concession des terres au Cambodge. «Des paysans sont expropriés ou même tués par les milices afin que le gouvernement «prête» leurs lopins de terre à des entreprises, sous couvert d’incitatifs à la croissance économique du pays», explique Josée-Anne. À son retour du Cambodge, elle s’est impliquée dans les travaux de la Clinique internationale pour la défense des droits humains de l’UQAM, une organisation qui lui tient toujours à coeur, même si son baccalauréat est terminé et qu’elle étudie présentement en relations publiques à l’Université de Montréal. Elle songe entreprendre une maîtrise en droit international et ne sait pas encore, pour l’instant, ce qu’elle va faire de la bourse de 15 000 $ de Forces AVENIR. Son engagement lui procure stimulation et enrichissement avant tout. «Je ne veux pas être moralisatrice et dire qu’il faut absolument aller à l’autre bout du monde pour s’impliquer. Il suffit simplement de chercher à s’informer, une responsabilité collective, selon moi. Mais si l’on veut en faire plus, je suis la preuve qu’on n’a pas besoin d’être une grande intellectuelle ou une hippie à poncho », conclut-elle en riant. www.journal.uqam.ca Vol. XXXIII, no 4 (16 octobre 2006)

Les lacunes du palmarès des écoles secondaires La critique que monsieur Jean-Guy Blais de l'Université de Montréal formulait l'an dernier au sujet de ce palmarès controversé, est encore vraie cette année: malgré d'importantes lacunes méthodologiques et plusieurs ellipses intellectuelles commises dans ce bulletin, les commanditaires récidivent de la même manière cette année, comme si de rien n'était. Les auteurs du palmarès prétendent mesurer et évaluer la performance des écoles et les comparer, sans prendre la précaution de préciser de quoi est faite la performance d'une école, ce qu'on entend par la performance d'une école. Ils utilisent les résultats des élèves à des examens du MEQ, d'une durée de trois heures chacun, à un moment donné, manipulent des indicateurs et présentent les résultats comme étant l'évaluation de la performance de chaque école. Il s'agit non seulement d'une prétention simpliste mais d'un manque de rigueur scientifique patent. Le titre de l'étude devrait préciser explicitement de quoi il s'agit réellement. D'autre part, puisque les écoles privées choisissent les élèves qui ont le plus de scolaptitude, il va de soi que leurs élèves performent mieux aux examens du MEQ. Attribuer leur réussite à la seule performance de leur école constitue une conclusion hâtive de nature à berner les lecteurs. Une illusion de différence Au début du classement figurent, en première position ex aequo, dix écoles à qui on a attribué une note arbitraire de 10 points. Suivent deux autres écoles qui, avec une note de 9,9 points, seraient les deuxièmes meilleures. Mais elles sont classées au dixième rang. Ainsi de suite. Cette méthode de distribution des rangs amplifie une illusion de différence qui n'existe pas dans la réslité. Pis encore, on établit des différences entre les écoles à partir de dixièmes de point. D'un point de vue docimologique, il n'y a pas de différence significative, c'est-à-dire réelle, entre les écoles pour une différence apparente d'un dixième de point. Car il s'agit, ici, de mesures indirectes, donc forcément imprécises qui comportent nécessairement une marge d'erreur. Ainsi, les auteurs d'un sondage, par exemple, fournissent toujours une estimation de la marge d'erreur probable pour permettre aux gens d'interpréter judicieusement leurs résultats. Les auteurs du palmarès des écoles secondaires refusent de le faire, et pour cause. Supposons, sans exagérer, que l'erreur de mesure probable des résultats de cette étude s'estime à sept dixièmes de point. On pourrait conclure que, dans la réalité, il n'y a pas de différence significative entre les écoles classées au premier rang et celles classées au vingt-neuvième rang, entre celles classées au cent vingt-huitième rang et celles classées au cent quatre-vingt-quinzième rang, etc. www.cyberpresse.ca/article/20061101/CPSOLEIL/61101058/5034/CPOPINIONS

Une pénurie de main-d'oeuvre menace toujours l'aérospatiale Malgré une légère reprise des inscriptions dans les maisons d'enseignement, une pénurie de main-d'oeuvre continue de guetter l'industrie aérospatiale québécoise, au moment où de nombreuses entreprises roulent à plein régime. "Nous devons encore convaincre les jeunes, et leurs parents en particulier, que cette industrie va bien et qu'elle recrute en dépit de l'impression que peuvent laisser les médias", affirme Carmy Hayes, directeur de projets au CAMAQ, le Comité sectoriel de main-d'oeuvre en aérospatiale. L'École des métiers de l'aérospatiale de Montréal (EMAM) compte aujourd'hui deux fois plus d'étudiants qu'il y a deux ans. Mais sa directrice, Josée Péloquin, croit qu'elle pourrait aisément augmenter de 50 % le nombre d'étudiants, actuellement de 400, sans compromettre le taux de placement des finissants, qui frôle les 100 %. De son côté, l'École nationale d'aérotechnique (ENA), affiliée au Collège Édouard-Montpetit, aura noté tout au plus une quarantaine d'inscriptions de plus que l'année précédente. Au 21 septembre dernier, la plus grande école des métiers d'aéronautique au pays comptait 622 étudiants pour les trois années de son programme. C'est moins de la moitié que les 1 550 étudiants qui la fréquentaient en 2001, avant que ne se fassent sentir les contrecoups des difficultés financières de l'industrie aérienne. Selon Carmy Hayes, les niveaux d'inscription dans les écoles québécoises ne s'établissent encore qu'à environ 60 % de ce qu'ils étaient à la fin des années 1990 et au début des années 2000. Trois offres par étudiant "La demande est tellement grande que les employeurs viennent maintenant chercher directement les étudiants à l'école, explique Josée Péloquin. Nos finissants n'ont même à pas à envoyer leur curriculum vitae. Ils ont souvent le choix entre trois offres d'emplois différentes et c'est l'employeur qui rappelle le plus vite qui le gagne." Tous les métiers d'usineurs et de machinistes sont particulièrement en demande. Il faut dire qu'au cours des derniers mois, les difficultés de certains acteurs de l'industrie ont souvent défrayé les manchettes. C'est le cas de Bombardier Aéronautique : la mise au rancart du projet de Série C, un carnet de commandes qui s'est aminci, l'arrêt de production des CRJ 200 et le transfert d'activités au Mexique, ne sont évidemment pas de nature à encourager les parents à diriger leurs jeunes vers ce secteur. Des emplois à revendre Mais certaines entreprises profitent à plein régime de cette période où l'exploration pétrolière, la préoccupation pour la sécurité et les budgets de défense continuent de croître, aux États-Unis comme au Canada. C'est le cas entre autres de CMC Électronique, Pratt & Whitney, Héroux Devtek et Bell HelicopterTextron, pour n'en nommer que quelques-unes, qui ne cessent d'embaucher. Pendant 18 mois, jusqu'à l'été dernier, Bell Helicopter a recruté pas moins de 900 travailleurs à Mirabel, souligne Normand Legault, directeur du développement des affaires de l'entreprise. "Le recrutement a diminué depuis, mais nous continuons d'embaucher quatre ou cinq personnes par semaine. Parfois même jusqu'à 20, dit-il. Et je peux vous dire que la majorité de nos fournisseurs sont dans la même position : tout le monde a besoin de nouveau personnel actuellement." http://www.lesaffaires.com/
Au Québec, pas que du noir pour l'industrie aérospatiale
http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2006/10/20061026-054822.html

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Guide d'admission universitaire pour la session d'hiver 2007 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915
Cotes R des derniers admis à l'automne 2006 http://www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=836
Raymond Jean, c.o. Webmestre de l'ACOC raymond_jean@videotron.ca

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Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
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