16 septembre 2013

V 12 No 3: Santé mentale de A-Z

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
(860 membres, 12e saison du bulletin électronique)
Tourbière à St-Raymond de Portneuf (sept. 2013)

Section Nouvelles
Emplois dans le réseau collégial
Poste de c.o. au Collège d'Alma Date limite : 16 septembre

Concept clé : La cohérence centrale (L'orientation avec la clientèle émergente blogue de l'ACOC) La cohérence centrale est un autre concept clé pour comprendre ce qu'expérimente une personne Asperger ou autiste, surtout au travail ou durant les études. La cohérence centrale est la capacité du cerveau à faire des liens entre les différentes informations qui sont perçues et de les organiser en un tout cohérent. En une fraction de seconde, notre cerveau est capable de distinguer des formes, des couleurs, des sons et de les lier avec des éléments de la mémoire pour y donner une signification claire. Chez les personnes TSA, le cerveau ne fait pas automatiquement ou fait seulement en partie ce travail. Pour prendre un exemple simpliste, lorsque nous regardons un arbre, nous voyons effectivement des feuilles et des branches, mais nous retenons qu'il s'agit d'un arbre. La personne autiste va voir avec beaucoup de détails le relief de chaque feuille, leur variation, la présence de fleurs, etc... mais ne déduira pas spontanément l'ensemble qui s'en dégage. Le sens devra être travaillé « manuellement » et consciemment. C'est la raison pour laquelle la plupart des étudiants que je rencontre ont de la difficulté dans les cours de philosophie, où on leur demande de lire un ouvrage volumineux et d'en dégager une synthèse. Il leur est très difficile d'avoir une vision d'ensemble. Cliquez ici pour la suite Émilie Robert c.o.

Santé mentale de A-Z (documentation et vidéo) www.douglas.qc.ca/info_sante/troubles

« Il n'est aucunement question d'une baisse du salaire des professeurs de cégep. » - Stéphane Bédard. Le ministre responsable de l'Administration gouvernementale et président du Conseil du trésor, Stéphane Bédard, tient à rectifier une information erronée à l'effet que le Conseil du trésor aurait réévalué à la baisse le salaire des professeurs de cégep. « Comme la grande majorité des salariés du secteur public, les professeurs de cégep ont en poche une convention collective valide jusqu'au 31 mars 2015. Il n'est donc aucunement question que le gouvernement diminue leur salaire », a déclaré le ministre Bédard. Les parties ont tenu en juin dernier un premier échange à propos de la valeur de l'emploi d'enseignants des collèges. Plusieurs autres échanges sont à prévoir au cours des prochains mois. Aussi, jusqu'à présent, il n'a jamais été question de salaire ou de structure salariale des enseignants des collèges dans le cadre de ces travaux, ni de modification au plan de classification. Rappelons qu'une entente visant à mener des travaux sur les relativités salariales a été conclue entre le gouvernement et les grandes organisations syndicales lors de la dernière ronde de négociation. Des travaux sont en cours à ce sujet depuis l'automne 2012. Ils visent essentiellement à évaluer des emplois qui n'ont pas été visés par les travaux relatifs à l'équité salariale, puisqu'ils étaient sans prédominance, masculine ou féminine. Une trentaine de catégories d'emplois feront l'objet d'une telle évaluation, notamment celle des enseignants des collèges. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Septembre2013/09/c5416.html    

La réévaluation des salaires des profs de cégep surprend le milieu Le ministre de l'Enseignement supérieur, Pierre Duchesne, a affirmé sur Twitter, dimanche, que les informations véhiculées dans les médias par rapport à la baisse de salaire des professeurs de cégep «étaient incomplètes». Il n'a toutefois émis aucun commentaire lorsque contacté par Le Soleil plus tôt en journée. La réévaluation du salaire des professeurs de cégep était prévue à leur convention collective. Mais les résultats présentés par le Conseil du trésor, qui envisage une diminution salariale de 5 %, ont malgré tout pris le milieu par surprise. Tel que le rapportait Le Devoir, samedi, le Conseil du trésor a réévalué à la baisse le salaire à verser aux professeurs de cégep à travers la province. Le gouvernement a fait part de ses résultats en juin aux regroupements syndicaux. Selon Sacha Calixte, président du syndicat des professeurs au Cégep Limoilou et représentant à la Fédération nationale des enseignantes et enseignants du Québec (FNEEQ), cette réévaluation était prévue depuis 2002, mais n'a été réalisée que cette année. La réévaluation «faisait partie de la présente convention collective», a-t-il affirmé en entrevue au Soleil. Les résultats sont malgré tout tombés «comme une tonne de briques» dans le milieu collégial. L'analyse consistait à comparer les salaires octroyés aux différents corps de métier de la fonction publique pour ensuite fixer un échelon salarial. Situés au 22e échelon, les professeurs de cégep chuteraient au 21e. Ils se retrouveraient ainsi à gagner moins d'argent que leurs confrères des niveaux secondaire et primaire. Actuellement, un professeur de cégep gagne entre 38 000 $ et 74 000 $. Dans la foulée de sa décision, le Conseil du trésor ne reconnaîtrait plus la valeur ajoutée accordée aux professeurs détenteurs d'une maîtrise ou d'un doctorat, effaçant d'un seul coup trois échelons salariaux. «C'est ça qui est incompréhensible, a pesté M. Calixte. Le gouvernement a scindé le ministère de l'Éducation en deux pour faire le ministère de l'Enseignement supérieur et a reconnu l'importance du collégial. Ça n'encourage pas les jeunes qui se destineraient à une carrière en enseignement à aller plus loin [après le baccalauréat].» M. Calixte estime à 40 % la proportion de professeurs au collégial qui détiennent une maîtrise ou un doctorat. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201309/08/01-4687322-la-reevaluation-des-salaires-des-profs-de-cegep-surprend-le-milieu.php

Baisse salariale en vue pour les professeurs de cégep
Des 600 catégories d’emplois dans les secteurs public et parapublic, les enseignants au cégep ont été la seule catégorie à subir une dévaluation, a indiqué Micheline Thibodeau, responsable du regroupement cégep de la Fédération nationale des enseignants (FNEEQ-CSN) Les profs de cégep perdent du galon. Le Conseil du trésor a réévalué leurs tâches et leur offre désormais un salaire moindre que les enseignants au préscolaire, au primaire et au secondaire. La Fédération nationale des enseignants (FNEEQ-CSN) a déjà voté pour des moyens de pression afin de faire reculer le gouvernement. « Je peux vous dire que les enseignants sont en colère », a déclaré au Devoir, Micheline Thibodeau, responsable du regroupement cégep de la Fédération nationale des enseignants (FNEEQ-CSN), qui représente plus des trois quarts des profs de cégep. En clair : cette réévaluation, qui les a déclassés d’un rang (de la 22e à la 21e place), baisse de 5 % leur salaire (ce qui correspondrait à trois à quatre semaines de salaire). Elle ne permet plus aux enseignants des collèges de faire reconnaître une maîtrise ou un doctorat. « On ne comprend pas l’attitude du gouvernement. Il a formé un ministère de l’Enseignement supérieur, il a reconnu le collégial, mais le Conseil du trésor vient maintenant nous dire qu’on est en deçà des profs de maternelle », a lancé Mme Thibodeau. www.ledevoir.com/societe/education/386906/baisse-salariale-en-vue-pour-les-profs-de-cegep

Qui aime son emploi?
Selon une étude, les membres du clergé, les pompiers, les agents de voyages, les mécaniciens et les architectes sont parmi les plus heureux au boulot.  On aspire tous à trouver un emploi qu’on aime et qui nous rend heureux. Pourtant, peu d’entre nous y parviennent. Qui sont ces gens heureux au travail et quel métier exercent-ils? Comment peut-on s’en inspirer? On peut s’accommoder d’un travail, en être satisfait, l’aimer, et la langue de Shakespeare pourrait ajouter une autre nuance entre le «like» et le «love». Le pourcentage des gens qui «aiment» leur travail varie en partie selon les définitions, puis selon les études sur le sujet. Celles-ci s’entendent néanmoins sur un point : la grande majorité des gens n’aiment pas leur travail. Les résultats de deux sondages publiés par le Globe & Mail soutiennent encore la thèse de l’insatisfaction générale : 77 % des Britanniques considèrent avoir fait un mauvais choix de carrière, et seulement 19 % des Américains se disent satisfaits de leur travail. Qu’est-ce qui fait en sorte qu’un travailleur aime son emploi? D’abord, l’absence d’irritants, puisque ceux-ci risqueraient de lui faire détester son boulot. Le patron figure généralement en tête de liste des facteurs aggravants, suivi par le manque de reconnaissance et la politique interne, tous deux directement ou indirectement liés à la direction. Quant aux facteurs qui font en sorte qu’un travailleur aime son emploi, les tâches en elles-mêmes ont un impact important sur la satisfaction, ce qui n’a rien d’étonnant. Toutefois, selon une étude d’un sociologue de l’Université du Minnesota, c’est le degré d’autonomie au travail qui influence le plus la satisfaction. Puis, les gens avec qui on travaille, le patron, mais aussi les employés qu’on côtoie au quotidien, pèsent dans la balance. Enfin, on est un peu tous responsables de son bonheur : est-ce qu’on est quelqu’un d’optimiste qui s’accommode bien des côtés moins plaisants de tout travail? C’est le fameux test du verre à moitié vide ou à moitié plein, en somme. Les emplois qui rendent heureux. Selon des chercheurs de l’Université de Chicago, les membres du clergé, les pompiers, les agents de voyages, les mécaniciens, les architectes, les professeurs en éducation spécialisée, les acteurs, les chercheurs scientifiques, les ingénieurs industriels et les pilotes d’avion seraient les travailleurs les plus heureux au boulot. Ce sont des emplois qui demandent tous des habiletés particulières assez spécialisées, ce qui laisse supposer aussi une certaine autonomie et un plus grand contrôle dans la réalisation des tâches. Mais les chercheurs avancent que ce serait le côté humain qui apporterait le plus de satisfaction dans un emploi : les travailleurs de ces métiers interagissent directement avec les gens qu’ils «aident», de sorte qu’ils peuvent profiter immédiatement d’une retombée positive de leur emploi, d’une reconnaissance. Les aptitudes pour mieux aimer son emploi Dénicher un emploi pour lequel on est formé et qui correspond à ses critères n’est pas chose facile. Il est toutefois moins sorcier de simplement intégrer certains facteurs de satisfaction à son emploi actuel. Trois trucs. Mieux pondérer les hauts et les bas du quotidien : chaque travail aurait sa tâche ingrate. Est-ce qu’on en fait tout un plat ou la relativise-t-on en la comparant aux autres tâches reliées à notre emploi? De quelle façon peut-on s’assurer que cette tâche occupe moins de notre temps ou, à tout le moins, de nos pensées? Se rapprocher des gens avec qui on travaille ou pour qui on travaille. On ne sauve pas tous des vies dans nos emplois, mais il reste que souvent, notre travail a un impact bénéfique sur au moins une personne. En se rapprochant des collègues et des clients, on multiplie les occasions de créer des liens interpersonnels valorisants. Il n’y a pas que le patron qui a ce pouvoir! Se concentrer sur le moment présent. C’est durant l’exécution d’une tâche qui nous demande 100 % de notre attention qu’on est dans l’état d’esprit le plus positif. On a alors l’agréable sensation d’accomplir quelque chose en parfaite autonomie. Il faut donc tenter de multiplier ces occasions. http://journalmetro.com/plus/carrieres/366787/qui-aime-son-emploi/

Les études enrichissent moins qu’avant
Les études enrichissent moins qu’avant. S’instruire c’est s’enrichir disaient certains parents. À leur époque peut-être, mais aujourd’hui c’est moins vrai, tendent à démontrer de récentes études. Le Canada enregistre une offre excédentaire de diplômés postsecondaires. Les avantages qu’offrent les études universitaires en termes d’emploi ou de rémunération tendent à s’amoindrir. Voilà le constat que faisait la Banque CIBC dans une étude publiée lundi. «Avoir fait des études supérieures est peut-être un pré-requis pour obtenir un bon emploi au Canada, mais cela ne suffit plus, estime Benjamin Tal, économiste en chef à la Banque CIBC. Il faut faire plus attention en choisissant le type de filière dans lequel on veut étudier.» www.jobboom.com/carriere/les-etudes-enrichissent-moins-qu-avant/

Semaine MON CÉGEP À VÉLO : Les cégeps se mobilisent pour la promotion du vélo en ville!  Pour une 4e année consécutive, 14 cégeps* de Montréal et des environs unissent leurs efforts pour organiser une rentrée scolaire à deux roues! La semaine MON CÉGEP À VÉLO, qui se tiendra du 16 au 20 septembre prochain, marque le déploiement d'un programme d'activités des plus variées en lien avec le transport en vélo et le partage de la route. Il s'agit d'une occasion unique de sensibiliser les jeunes aux transports actifs. Cette initiative permet d'atteindre plus de 55 000 étudiants sur le territoire de Montréal et des environs. De plus, elle marque une collaboration entre différents acteurs collégiaux issus des secteurs de l'animation socioculturelle, de l'environnement et du sport étudiant. Pour plus d'information, consultez la page Facebook MON CÉGEP À VÉLO ou le site Web des différents cégeps participants. * Collège Ahuntsic, Collège André-Grasset, Cégep André-Laurendeau, Dawson College, Collège Édouard-Montpetit, Cégep Gérald-Godin, Collège Jean-de-Brébeuf, Collège Montmorency, Collège de Rosemont, Cégep Marie-Victorin, Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu, Cégep de Saint-Laurent, Vanier College et Cégep du Vieux Montréal. www.facebook.com/MonCegepavelo  et www.equiterre.org/evenement/semaine-mon-cegep-a-velo

Projet de campus à Drummondville. L’UQTR obtient l’autorisation du gouvernement québécois www.uqtr.ca/media/Comm2013/Septembre/comm8_confirmationcampusDrummondville_sept13.pdf

Campus de l'UQTR à Drummondville: «une mobilisation inspirante» L'annonce du campus de l'UQTR de Drummondville a été faite par plus d'un intervenant dont Yves-François Blanchet, ministre régional, Pauline Marois, première ministre du Québec et Pierre Duchesne, ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie. «C'est une mobilisation inspirante des acteurs régionaux.» La première ministre Pauline Marois a annoncé, vendredi, l'implantation d'un campus de l'UQTR à Drummondville au coût de 30 millions de dollars. Si la contribution de Québec se situe à 3,3 millions de dollars par année pour les frais de fonctionnement, les dons centricois s'élèvent à 8,3 millions de dollars. www.lapresse.ca/le-nouvelliste/actualites/201309/06/01-4686981-campus-de-luqtr-a-drummondville-une-mobilisation-inspirante.php  

LA FÉDÉRATION DES CÉGEPS FÉLICITE LES LAURÉATS DE FORCES AVENIR AU COLLÉGIAL La Fédération des cégeps félicite les 12 lauréates et lauréats du programme Forces AVENIR au collégial, dont les noms ont été dévoilés hier soir dans le cadre du gala Forces AVENIR, animé par M. Stéphan Bureau. Quelque 400 personnes ont assisté à l’événement, qui a eu lieu au Théâtre Capitole de Québec, pour applaudir les finalistes de la troisième édition du programme au collégial. « Chaque année, nous vivons au gala un moment privilégié. Un moment où nous prenons le temps d’honorer et de célébrer l’engagement exceptionnel de nos étudiantes et de nos étudiants qui témoignent de manière éloquente de tout le dynamisme et la créativité dont les jeunes du collégial sont capables » a déclaré Jean Beauchesne, président-directeur général de la Fédération des cégeps. 58 000 $ en bourses et un stage international décernés. www.fedecegeps.qc.ca/salle-de-presse/communiques/2013/09/la-federation-des-cegeps-felicite-les-laureats-de-forces-avenir-au-collegial-3

L’emploi recule encore au Québec
Le taux de chômage baisse à 7,9% parce que la population active diminue. «La première ministre Pauline Marois s’est dite optimiste malgré les données de l'emploi.» Le taux de chômage revient sous la barre des 8 %, mais l’économie québécoise a perdu 5000 emplois en août après l’hécatombe de 30 400 postes au mois de juillet, indiquent les données de Statistique Canada. La situation des derniers mois est telle que depuis un an, le niveau d’emploi au Québec n’a pas crû, a indiqué l’agence. Des économistes ont précisé que la moyenne des provinces a vécu une augmentation de 1,4 %, comparativement à 2,2 % pour le voisin qu’est l’Ontario. « Les données de ce matin permettent de faire deux constats : d’une part, le tableau de l’emploi se détériore moins au Québec que le mois précédent. D’autre part, la santé du marché du travail se redresse en Ontario », a opiné une économiste du Mouvement Desjardins, Joëlle Noreau, dans une note aux clients. Le taux de chômage au Québec est passé de 8,2 % à 7,9 %, ce qui, selon Statistique Canada, s’explique par le fait que des gens ont quitté le monde du travail. Dans le détail, l’économie a créé 21 200 postes à temps plein, dont l’effet a été contrecarré par la perte de 26 000 emplois à temps partiel. Au Canada, qui dans l’ensemble a observé une création nette de 59 000 emplois, le taux de chômage est passé de 7,2 à 7,1 %. « Bien que la situation demeure stable, il faut être optimiste, puisque depuis le début de l’année, l’emploi a connu une bonne progression, a dit la ministre du Travail, Agnès Maltais. Le marché du travail québécois fait preuve de solidité, puisque les emplois créés au Québec sont à temps plein. En effet, de janvier à août 2013, [le nombre d’emplois] a progressé de 62 200, dont 52 300 à temps plein, par rapport à la même période en 2012. » Le Mouvement Desjardins croit qu’il y aura d’ici la fin de l’année une « amélioration très graduelle du marché du travail ». D’une part, le secteur manufacturier « bat de l’aile » et l’optimisme des entreprises n’est pas au sommet de sa forme. D’autre part, le marché de l’emploi fait des gains aux États-Unis. Même si ces derniers ne sont pas à la hauteur des attentes, cette avancée augure positivement de ce côté-ci de la frontière, a écrit Mme Noreau. Pour l’année 2013 dans son ensemble, les prévisions de croissance économique sont plutôt modestes. À la Banque Nationale, les économistes croient que le produit intérieur brut pourrait croître de 1,2 %, à condition que le volume des exportations maintienne le rythme affiché au cours du deuxième trimestre. www.ledevoir.com/economie/emploi/386885/l-emploi-recule-encore-au-quebec?

Malgré l'endettement sans précédent des étudiantes et étudiants, les frais de scolarité augmentent dans la plupart des provinces. Les frais de scolarité augmentent pour la vaste majorité des étudiantes et étudiants des collèges et universités cette année, selon un rapport publié le 12 septembre par Statistique Canada. www.newswire.ca/fr/story/1223721/malgre-l-endettement-sans-precedent-des-etudiantes-et-etudiants-les-frais-de-scolarite-augmentent-dans-la-plupart-des-provinces

Le Cégep Garneau veut faire le «tour du Québec» Pédaler ou marcher l’équivalent du tour du Québec, soit 10 000 km, tel est le défi que s’est lancé le Cégep Garneau avec le projet «À pied, à vélo, on se passe le mot!». Autant les étudiants que les membres du personnel sont invités à participer au défi sportif qui se poursuit jusqu’au 4 octobre. L’initiative étudiante, pilotée par l’entreprise-école Garneau Travail, cible les kilomètres parcourus chaque jour dans le cadre des déplacements utilitaires. «On a commencé à faire de la publicité de différentes manières. On vend des blés d’inde pour attirer les gens et les inscrire ensuite à l’activité. On fait de la publicité aussi sur la page Facebook», a résumé Charlotte Douillard de Garneau Travail. Économies de temps et d’énergie. «Le transport actif et sécuritaire est une solution de rechange simple à d’autres moyens de transport comme l’auto ou l’autobus, et non seulement bénéfique pour la santé, mais peut aussi permettre d’économiser temps et argent», a indiqué le porte-parole du projet et athlète olympique Alex Harvey, lui-même diplômé du Cégep Garneau. Le fondeur de Saint-Ferréol-les-Neiges se prépare depuis mai dernier aux Jeux olympiques d’hiver de Sotchi en 2014, que ce soit l’entraînement en vélo de montagne ou en ski à roulettes, en plus des camps d’entraînement en Oregon et en Nouvelle-Zélande sur des pistes enneigées. Alex Harvey se voit à Sotchi en 2014 et aux Jeux olympiques de 2018, après il compte réfléchir sur l’avenir de sa carrière d’athlète olympique. L’objectif d’«À pied, à vélo, on se passe le mot!» est de favoriser la promotion des transports actifs et sécuritaires par le biais d’une compétition amicale. Le projet s’inscrit dans le cadre de la Semaine des transports collectifs et actifs au Québec, se déroulant du 16 au 22 septembre 2013. Information: www.garneautravail.com

Taxes: les commissions scolaires pourraient être forcées de rembourser. Le gouvernement Marois envisage de forcer les commissions scolaires à rembourser les contribuables qui ont subi une hausse de taxe salée, a appris La Presse. Selon des documents provenant du Conseil exécutif, il songe également à demander au Vérificateur général du Québec de faire enquête sur la gestion des commissions scolaires et même de limiter ou de retirer leur pouvoir de taxation. Il pourrait les contraindre à justifier leurs décisions devant une commission parlementaire ou encore à réduire leurs dépenses administratives, toujours selon les scénarios à l'étude. www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201309/12/01-4688816-taxes-les-commissions-scolaires-pourraient-etre-forcees-de-rembourser.php

Trois ans et 1,1 M $ pour des mines plus écologiques Les projets miniers pourraient éventuellement être mieux acceptés par la société grâce à un ambitieux projet de recherche pour lequel le Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue et l’UQAT bénéficieront d’une enveloppe de 1,1 M $ répartie sur trois ans. www.abitibiexpress.ca/Actualites/Economie/2013-09-09/article-3380919/Trois-ans-et-1%2C1-M-%24-pour-des-mines-plus-ecologiques/1

Les candidats plus âgés plaisent aux employeurs. Ils manquent de vitesse et de dynamisme, sont moins habiles avec la technologie… Les chômeurs âgés se sont longtemps battus contre ces stéréotypes. Mais quelques employeurs américains voient chez ces candidats plus âgés précisément ce qu’ils recherchent. http://journalmetro.com/plus/carrieres/371815/les-candidats-plus-ages-plaisent-aux-employeurs/

Collégial
Emploi à temps partiel : des étudiants se feraient « voler » leur job. Le taux de chômage chez les étudiants canadiens âgés de 15 à 18 ans à la recherche d'un poste à temps partiel atteint un sommet historique de plus de 20 %, car un nombre croissant de travailleurs plus âgés occupent ces emplois précaires, affirme jeudi la Banque CIBC dans un rapport. Ainsi, les adolescents canadiens ont de la difficulté à dénicher des emplois à temps partiel (postes traditionnellement occupés par des étudiants dans le commerce de détail, les restaurants, etc.) non parce que l’économie s’effondre, mais parce que la qualité des emplois en général se dégrade. Ce qui pousse des adultes à accepter des emplois à temps partiel, faute de mieux. « La part des effectifs employés dans le secteur manufacturier diminue de façon soutenue, et dernièrement, les gouvernements ont également effectué des compressions », a déclaré dans un communiqué Avery Shenfeld, économiste en chef de la Banque CIBC. « La pénurie d'emplois plus rémunérateurs a contraint certains parents à accepter le genre d'emplois qui étaient réservés auparavant aux étudiants adolescents. » De 2007 à 2012, les 15-18 ans ont vu leurs emplois diminuer de plus de 10 %, dans la restauration, de plus 20 % dans le commerce de détail (vendeurs, caissiers, etc.) et de plus de 30 % dans les autres secteurs. Pendant ce temps, les 18 ans et plus ont occupé davantage d’emplois dans ces secteurs, notamment dans la restauration (une hausse d’environ 30 %). http://argent.canoe.ca/nouvelles/emploi-temps-partiel-des-etudiants-se-feraient-voler-leur-job-6092013?p=546685

Lancement de la plateforme d'information du Cégep Garneau : FLASH CAMPUS Le Cégep Garneau a lancé le 10 septembre une nouvelle plateforme d'information essentiellement destinée aux étudiants et aux membres du personnel de l'institution mais également à tous les gens qui s'intéressent au monde collégial. Intitulé Flash Campus, ce nouvel outil de communication est unique et très avant-gardiste. Le Flash Campus, c'est la destination de l'information pour connaître ce qui se passe au Cégep, ce que nous faisons d'un bout à l'autre de ce campus : l'actualité dans les programmes, aux sports, à la culture, mais aussi à l'emploi, les technologies' et bien sûr à l'international! Le Flash Campus propose un visuel fort, une information brève, une invitation à nous connaître. Le Cégep Garneau est une grande institution, par sa notoriété, d'abord. La qualité de sa formation et des activités qui y sont offertes est exceptionnelle. C'est aussi 6 000 étudiants au régulier, 3 000 à la formation continue, et près de 1 000 personnes qui y travaillent. C'est un formidable campus, vanté pour sa beauté et apprécié par sa position au cœur de Québec. Ce campus qui s'étale sur près d'un kilomètre, où tout ce monde circule dans neuf édifices distincts. Ajoutons qu'à chaque instant, un bon nombre d'étudiants et de professeurs se retrouvent quelque part sur la planète. Le Cégep Garneau devait réussir à faire circuler l'information à travers ce monde. « Nous croyons que l'information c'est un vecteur qui permet de nous rapprocher, de nous connaître les uns les autres. Nous croyons qu'une bonne communication permet de nous développer, collectivement, en profitant des expériences qui se vivent sur notre campus et des opportunités qui s'offrent quotidiennement » indique la directrice des communications, Sylvie Fortin. Consultez le Flash Campus au http://cegepgarneau.ca/flashcampus

Une première cohorte du programme d'écogestion des risques côtiers au Campus des Îles-de-la-Madeleine. Groupe Collegia est heureux d’accueillir les 16 étudiants qui composent la toute première cohorte de l’attestation d’études collégiales d’Écogestion des risques côtiers au Campus des Îles-de-la-Madeleine. Ces étudiants et ces enseignants réunis dans les classes concrétisent un projet entrepris il y a déjà plusieurs années. Dans le premier bloc de l’automne, les étudiants suivront sept cours, dispensés par une équipe de cinq enseignants, allant de la cartographie à la biologie côtière en passant par la stabilisation, l’aménagement et la protection des zones côtières. Unique au Québec, l’AEC en Écogestion des risques côtiers, d’une durée d’un an, vise à former des personnes qui effectueront la gestion durable des milieux côtiers, de plus en plus perturbés par les impacts liés aux changements climatiques et par les nombreuses activités qui s’y déroulent. Cette réalité est bien présente partout en province et même au-delà. De par la géographie de l’archipel, il s’agit d’un milieu tout indiqué pour l’expérimentation des notions apprises lors de la formation. C’est donc l’accès à un fabuleux laboratoire qui est offert aux étudiants. « Groupe Collegia se réjouit de pouvoir compter, depuis le début de cette belle aventure, sur la collaboration de multiples intervenants des Îles-de-la-Madeleine et d’ailleurs (ministères, municipalités, organismes environnementaux, firmes privées de génie-conseil, etc.) qui seront, à partir de maintenant, autant de ressources enrichissant le cheminement des étudiants dans le programme », indique le directeur du Groupe Collegia, Sylvain Vachon. Les personnes intéressées à ce programme peuvent communiquer avec la conseillère à la formation de Groupe Collegia www.collegia.qc.ca

Programme d'arrimage universités-collèges - Le ministre Pierre Duchesne annonce 5 M$ pour la réalisation de 16 projets en 2013-2014 et un engagement de 15 M$ pour l'an prochain. De passage à l'Université du Québec, le ministre a dévoilé le projet présenté par trois établissements de ce réseau et par six collèges des régions de l'Abitibi-Témiscamingue, du Bas-Saint-Laurent et du Saguenay-Lac-Saint-Jean. Ces derniers ont mis en commun leurs connaissances et expériences pour développer des initiatives liées au cheminement scolaire des étudiants de première génération (EPG), c'est-à-dire ceux dont les parents ne sont allés ni au collège ni à l'université. À partir des résultats des travaux et des expérimentations qui seront effectués par cette communauté de pratique, un modèle d'intervention auprès des EPG sera créé afin d'intervenir dans les moments les plus sensibles de leur parcours scolaire, à partir du 2e cycle du primaire jusqu'aux cycles supérieurs de l'université. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Septembre2013/05/c4511.html

La vie à l'envers
Sébastien Leroux, directeur exécutif des services de protection au Québec chez Garda World, souhaite défaire le cliché de «l'agent à la casquette faisant une sieste les pieds sur le bureau» pendant ses quarts de nuit. «Les agents font des rondes avec poinçons. Ils ont une longue liste de tâches à accomplir», assure-t-il. Ils sont policiers, infirmiers, gardiens de sécurité, machinistes et ils vivent à l'envers du monde. Les travailleurs de nuit doivent composer avec les nombreux effets du dérèglement de leur rythme biologique. Partout, des employeurs prennent des moyens pour leur assurer plus de confort et de sécurité. Le lieu s'apparente au centre de commandement et de traitement de l'information du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), en plus petit. Devant leurs écrans, les répartiteurs du Groupe de sécurité Garda World assurent le déploiement des agents, de jour comme de nuit. «Les employés de jour ont plus d'ancienneté. Il y a tout de même des employés qui choisissent le travail de nuit parce qu'il est moins stressant. Notre principale difficulté, c'est le recrutement des jeunes», constate Sébastien Leroux, directeur exécutif des services de protection au Québec chez Garda World.  «La nuit, il y a moins de stimuli sonores, moins d'interférences, observe Denis Beauchesne, coordonnateur d'activités au CSSS du Lac-des-Deux-Montagnes. Les échanges sont plus fréquents et cordiaux. Réduit en nombre, le personnel fait preuve d'une grande solidarité pour maintenir la qualité de services», assure M. Beauchesne, qui agit comme seul gestionnaire en place la nuit à l'Hôpital de Saint-Eustache. «Évidemment, le facteur fatigue est présent. Malgré un sommeil réparateur, on ressent toujours une pesanteur lorsque la nuit se termine», ajoute-t-il. Selon Marie Dumont, codirectrice du Laboratoire de chronobiologie de l'hôpital du Sacré-Coeur, le travail de nuit est néfaste pour la santé. «Nous sommes des êtres diurnes. L'horaire de nuit cause une désynchronisation interne. L'horloge biologique tente de s'ajuster, mais elle n'y arrive pas complètement. Les premiers problèmes touchent le sommeil et la vigilance», affirme la professeure de psychiatrie à l'Université de Montréal. Seuls 10 à 12% des travailleurs de nuit arrivent à s'adapter. "À court terme, le travail de nuit cause des problèmes de digestion et de poids. À long terme, il augmente les risques de troubles cardiovasculaires et de cancer», constate Mme Dumont. En poste depuis sept ans, Denis Beauchesne convient que le travail de nuit nécessite l'adoption de saines habitudes de vie. «Il faut mettre les chances de notre côté: bien dormir, faire de l'exercice et avoir une bonne alimentation», soutient-il. Chez Garda, les quelque 4000 employés de nuit doivent se rapporter toutes les heures par mesure sécuritaire. «Les agents sont parfois seuls sur des chantiers ou des sites industriels. Si nous sommes sans nouvelles d'un employé, un patrouilleur se rendra sur place», explique M. Leroux. Quant à leur vigilance, le directeur exécutif souhaite défaire le cliché de «l'agent à la casquette faisant une sieste les pieds sur le bureau». «Les agents font des rondes avec poinçons. Ils ont une longue liste de tâches à accomplir», assure-t-il. À l'Hôpital de Saint-Eustache, le personnel de nuit bénéficie de 2 pauses, en plus de 45 minutes de repas. «Pour eux, la routine est importante. Ils sont en mode économie d'énergie et font souvent les mêmes actions aux mêmes heures. La plupart accolent leurs pauses et vont dormir. Des lits sont disponibles à cette fin», mentionne M. Leroux, qui peut joindre sa supérieure en renfort à tout moment. Des quarts de travail plus courts, des congés et une bonne prédictibilité de l'horaire, voilà l'essentiel des recommandations qu'émet Mme Dumont à l'égard des employeurs: «Leur mode de vie est difficile. Les horaires devraient être fournis à l'avance afin que le travailleur se prépare. Les affectations tardives augmentent le niveau de stress, de fatigue et d'isolement social.»  Les temps de repos sont essentiels, rappelle-t-elle: «Il n'y a pas de nombre d'heures idéal. Tout dépend du type d'emploi, qui diffère beaucoup de l'agent de sécurité à l'infirmière aux urgences. Il faut rencontrer ses employés, aborder les difficultés rencontrées et trouver des solutions.» Quant au service de garde offert aux employés, Mme Dumont est plus nuancée. «Ce service entraînera-t-il une hausse d'emplois de nuit? En raison du coût social et de santé, le travail de nuit devrait être réservé aux services essentiels», conclut Mme Dumont. http://affaires.lapresse.ca/cv/201309/09/01-4687521-la-vie-a-lenvers.php


Commission scolaire des Chênes 99 % des élèves acceptés au collégial. Les plus récentes données statistiques relatives à l’admission au niveau collégial ont de quoi réjouir la Commission scolaire des Chênes, les élèves et leurs parents. En effet, selon le Service régional d’admission du Montréal métropolitain (SRAM), pour l’automne 2013, 537 des 540 candidats ayant poursuivi un démarche complète ont été acceptés. Ce qui signifie donc que 99 % de nos finissantes et finissants qui présentent une demande sont acceptés au niveau collégial. Parmi les écoles recensées, notons les écoles La Poudrière, Jeanne-Mance, Marie-Rivier, Jean-Raimbault, ainsi que le Centre de formation générale aux adultes Sainte-Thérèse et le Centre de formation professionnelle Paul-Rousseau. Au dire de Mario Bélisle, directeur adjoint au Service des ressources éducatives aux jeunes de la commission scolaire, ces nouvelles statistiques appuient le fait que les ressources étant à la disposition de la clientèle sont efficaces et répondent aux besoins des futurs finissants. Rappelons que le SRAM est né en 1973 de la volonté de 14 cégeps de la région de Montréal de trouver une solution au problème des demandes d’admission multiples. Depuis 1973, dans un objectif d’admissibilité, les candidats doivent se limiter à une seule demande d’admission, à l’intérieur de ce groupe de cégeps avec la possibilité de participer à trois tours. Chaque candidat ne réservant qu’une seule place, les taux d’admission augmentent et les cégeps peuvent compter sur des candidats réels. Au fil des ans d’autres cégeps ont demandé leur adhésion au SRAM. Il regroupe maintenant 32 organismes et est au service des étudiants, des établissements, de l’ordre collégial et du réseau des cégeps. www.hebdosregionaux.ca/centre-du-quebec/2013/09/09/99--des-eleves-acceptes-au-collegial 

Protection de la faune (AEC)

Universitaire
Criminologie clinique à l'UQO : des stages avec les Services correctionnels canadiens Le recteur de l’Université du Québec en Outaouais, monsieur Jean Vaillancourt et les responsables du programme de deuxième cycle en criminologie clinique sont particulièrement fiers d’avoir signé un protocole d’entente avec madame Pamela Yates, Ph.D. directrice intérimaire de la Division des Programmes de réinsertion sociale aux Services correctionnels canadiens (SCC). Le but de ce protocole d'entente est de permettre d’une part, la réalisation de stages de formation de niveau des études supérieures pour les étudiants de l’UQO inscrits au DESS, spécialisation en criminologie clinique, dans des unités opérationnelles et administratives du SCC. D’autre part, ce Protocole permet au SCC de collaborer à la mise à jour des plans de formation offerts à l’UQO et ainsi contribuer à la formation d’une main-d'œuvre hautement qualifiée et rapidement fonctionnelle. Le recteur de l’UQO Jean Vaillancourt et madame Pamela Yates, Ph.D. des Services correctionnels canadiens. La professeure Marie Robert, responsable de ce nouveau programme explique l’importance de ce protocole : « Ceci constitue une première entente, entre le SCC et une université, en matière de formation de stagiaire. Les stagiaires seront encadrés par des employés du SCC, notamment des agents de programme, agents de libération conditionnelle, ou agents du SCC à l’administration centrale ». Les conditions d’admission: L’étudiant devra avoir terminé un baccalauréat en psychologie ou en psychoéducation. Le programme est contingenté à 15 étudiants et il y aura une entrevue obligatoire avant l’admission. Les candidatures d’étudiants titulaires d'un baccalauréat dans un domaine connexe (par exemple, criminologie - profil clinique, travail social, counseling) pourront également être considérées. Les cours du DESS en criminologie de l’UQO : Théories et approches en criminologie clinique Pratiques probantes d'intervention en criminologie Dynamiques et milieux d'intervention Évaluation clinique en criminologie,Pour en savoir davantage sur le nouveau diplôme d’études supérieures spécialisées en criminologie de l’UQO et présenter une demande d’admission, visitez le site Web de l’UQO www.uqo.ca ou communiquez avec la professeure Marie Robert, responsable du programme marie.robert@uqo.ca    

Carrière : pharmacienne. Le combat de Diane Lamarre. Bientôt, votre pharmacien pourra, entre autres, demander des tests de labo et prescrire certains médicaments… Et c’est beaucoup à Diane Lamarre qu’on le devra. Diane Lamarre est présidente de l’Ordre des pharmaciens du Québec et de Pharma­ciens sans frontières – Canada. Elle est propriétaire de deux pharmacies où elle pratique toujours ; elle enseigne à l’Université de Montréal et tient une chronique dans Le Journal de Montréal. Ah oui, elle est aussi mère de trois enfants. Superwoman ? « Jamais de la vie ! » Elle ne s’est pas impatientée devant la question, elle en est probablement incapable. Elle est menue, élégante, et garde un ton posé. Mais elle est aussi passionnée, ultra-compétente et extrêmement décidée. Il le fallait pour atteindre le résultat qu’elle s’était fixé, et qui se matérialise enfin. Sous peu entrera en vigueur la loi issue du projet de loi 41, qui permettra aux pharmaciens québécois de jouer un rôle plus important dans le système de santé. « Le projet de loi 41, c’est le bébé de Diane Lamarre », dit Christian Leduc, journaliste à L’actualité pharmaceutique, une publication destinée aux pharmaciens québécois. « C’est elle qui a mis ce projet sur la table et qui a donné l’impulsion nécessaire à sa mise en œuvre. » Ce qui l’a menée là, c’est une statistique. « Presque le tiers des Québécois (29 %) n’ont pas de médecin de famille, dit-elle. Mais tout le monde a un pharmacien. Et les compétences de ce professionnel de première ligne étaient sous-utilisées. » Or, elle savait que, pour élargir leur mandat, il fallait changer la loi. Grosse commande. On devait vaincre des résistances et rassurer les pharmaciens qui craignaient qu’on leur impose un surcroît de travail sans leur offrir une rémunération équitable. Sa méthode : « On répond à toutes les questions, on peaufine les arguments, on trouve des solutions, dit-elle. Et on ne recule jamais. » Les pharmaciens soutiennent qu’il est impossible de faire de la consultation sans y perdre leur chemise ? C’est pour prouver le contraire qu’elle a ouvert sa première pharmacie, il y a 22 ans, à une époque où très peu de pharmaciennes se lançaient en affaires. Le ministre doute que ces professionnels aient les compétences nécessaires au mandat qu’ils réclament ? Diane Lamarre lui fournit les plans de cours des deux programmes de pharmacie (à l’Université de Montréal et à l’Université Laval) et elle s’engage à offrir une formation supplémentaire aux 6 000 pharmaciens du Québec. Cette façon de faire, elle l’a perfectionnée en Bosnie, au Kosovo, en Ouganda, au Mali et en Haïti, où elle a participé à plus d’une trentaine de missions humanitaires avec Pharmaciens sans frontières. En Bosnie-Herzégovine, elle a travaillé à une réforme de la loi sur la pharmacie et la santé publique. « Il a fallu asseoir ensemble des Serbes orthodoxes, des Bosniaques musulmans et des Croates catholiques qui, peu de temps auparavant, étaient en guerre les uns contre les autres, explique-t-elle. Nous y sommes arrivés en nous concentrant sur leur seul point commun : le souci du patient. » Cette même préoccupation, croit-elle, pourrait amener notre système de santé à mieux servir la population. « Depuis 30 ans, le Québec a formé plein de professionnels de la santé qu’on n’utilise pas de façon optimale. » Diane Lamarre, elle, poursuivra sa douce révolution. Elle vient d’être élue pour un troisième mandat à la tête de l’Ordre des pharmaciens du Québec. http://fr.chatelaine.com/societe/entrevues/carriere-pharmacienne 

Sage-femme, une profession d’avenir bloquée Malgré la demande, on traîne à créer des débouchés pour les sages-femmes au sein du système de santé. Les débouchés pour les sages-femmes sont insuffisants, malgré que la demande pour leurs services soit importante. Comment expliquer cette contradiction Un grand nombre des jeunes femmes plus éduquées d’aujourd’hui semblent préférer les services des maisons de naissance et des sages-femmes. D’après un sondage Grop dont les résultats ont paru en 2010, 17 % des femmes en âge d’avoir des enfants et possédant un diplôme universitaire désirent l’intervention de la sage-femme plutôt que celle d’un médecin à leur accouchement. De plus, environ 25 % d’entre elles préfèreraient accoucher dans une maison de naissance plutôt qu’à l’hôpital. C’est environ dans la même proportion qu’elles préfèrent l’accompagnement d’une sage-femme durant la période postnatale. Ces chiffres indiquent une augmentation pour la demande des services des sages-femmes depuis 2005. Pourtant, selon la présidente du Regroupement des sages-femmes du Québec, Claudia Faille, seulement 2 ou 3 % des femmes ont accès à une maison de naissance où les sages-femmes peuvent pratiquer un accouchement. C’est qu’il n’y a que 11 maisons de naissance au Québec à l’heure actuelle, incluant le nouvel établissement qui ouvrira bientôt dans le centre-sud de Montréal. Bien que des points de service existent aussi dans Lanaudière et au Saguenay, leur nombre est donc nettement insuffisant. Des recherches récentes montrent cependant que les femmes enceintes qui sont suivies par une sage-femme pendant toutes les étapes de la grossesse (prénatal, accouchement, post-natal) sont bien moins susceptibles d’accoucher prématurément ou de perdre leur bébé. Elles nécessitent moins d’interventions médicales lors de l’accouchement, telles que les épidurales ou les épisiotomies. De plus, les services des sages-femmes sont moins dispendieux que ceux des médecins, ce qui devrait encourager l’État à utiliser leurs services. Le salaire moyen d’une sage-femme est  de 50 000 $ par année, quatre fois moins que celui de la plupart des généralistes. Seule l’Université du Québec à Trois-Rivières offre un baccalauréat préparant les sages-femmes à leur pratique. Il s’agit d’un baccalauréat de quatre ans et demi, un peu plus long qu’un bac en génie, par exemple. Cette longue formation est nécessaire afin d’inclure les stages pratiques et pour rendre les sages-femmes aptes à faire face aux difficultés qui surviennent parfois durant la grossesse et l’accouchement. Seulement de 10 à 15 jeunes femmes sont diplômées chaque année. Pourquoi diplôme-t-on ainsi, au compte-gouttes, alors que la demande pour les services des sages-femmes est importante, qu’elles ont fait leurs preuves et qu’elles coûtent moins qu’un médecin? On ne pourrait guère offrir plus de diplômes, car on traîne à créer des débouchés pour les sages-femmes au sein du système de santé. Une première entente de services a été conclue en 2005 et est échue en 2010. Les négociations pour une nouvelle entente sont bloquées depuis 2011. Elles achoppent, entre autres, sur le dédommagement ridicule pour les heures de garde (1 $ l’heure). Cette lenteur reflète-t-elle un effort d’interférer sur le marché de l’emploi de ces professionnelles? Le cas échéant, il faut espérer que le temps viendra à bout des résistances. http://journalmetro.com/opinions/de-bon-conseil/366708/sage-femme-une-profession-davenir-bloquee/

Sur la route de Richard Lépine à Raleigh, en Caroline du Nord. Richard Lépine (baccalauréat en sciences du bois 2000, maîtrise en génie chimique 2005, maitrise en administration 2009) travaille dans le domaine des matériaux composites en bois. Il dirige le département technique (qualité, procédé et amélioration continue) de 3 usines en Caroline du Nord. Ces usines appartiennent à la compagnie Arauco, une entreprise chilienne en expansion aux États-Unis. Ces usines conçoivent des panneaux de fibres à densité moyenne qui sont en fait des panneaux polyvalents que l'on retrouve surtout dans l'aménagement et la décoration intérieure (ex. : armoires de cuisine). www.adul.ulaval.ca/sgc/adul/cybercontact/cache/bypass/pid/21406?print=1

Des raëliens poursuivent l'UQTR pour 80 000 $ Des membres du Mouvement raëliens manifestent devant l'UQTR (décembre 2006) Le procès intenté par des membres du Mouvement raëlien contre l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) s'est ouvert mardi au palais de justice de Trois-Rivières. Les plaignants réclament 80 000 $ en dommages-intérêts parce qu'ils estiment avoir été victimes de discrimination religieuse. Les plaidoiries auront lieu jeudi. Les membres du Mouvement raëlien ont retenu les services de l'avocat bien connu Julius Grey. www.radio-canada.ca/regions/mauricie/2013/09/04/001-proces-mouvement-raelien-uqtr.shtml

44 % plus d'étudiants à l'UQTR depuis 2002 On savait que le nombre d'inscriptions à l'Université du Québec à Trois-Rivières augmentait un peu chaque année. Hier, toutefois, la rectrice Nadia Ghazzali a profité des festivités de la rentrée automnale pour annoncer que depuis 2002, le nombre d'étudiants a augmenté de 44 %. www.lapresse.ca/le-nouvelliste/actualites/201309/04/01-4685830-44-plus-detudiants-a-luqtr-depuis-2002.php


L'U. de l'Alberta suspend 17 programmes Des étudiants se sont réunis à l'Université de l'Alberta pour discuter des compressions en éducation. La Faculté des arts de l'Université de l'Alberta a confirmé jeudi la suspension des inscriptions dans 17 programmes menant à des majeures, plutôt que 20 tel qu'initialement annoncé.  Les étudiants déjà inscrits poursuivront leur formation, mais plus personne ne pourra s'inscrire dans les programmes suspendus. Les responsables affirment que les compressions budgétaires imposées par la province ne sont pas la seule raison pour cette suspension. Certains programmes ont tout simplement perdu leur popularité. « Certains ont eu dix étudiants ou moins depuis huit ans », a affirmé la doyenne Lesley Cormack. Les programmes d'impression, de musique, d'art dramatique et de langues russe, italienne, ukrainienne et grecque font partie des programmes appelés à disparaître. Mme Cormack assure qu'elle est prête à rouvrir les programmes pour lesquels les professeurs réussiront à retravailler leurs cours pour attirer davantage d'étudiants. Quant aux économies de 7 à 8 % à faire pour s'ajuster aux compressions budgétaires, la doyenne compte sur le départ volontaire à la retraite de 25 à 35 membres de son personnel. www.radio-canada.ca/regions/alberta/2013/09/12/010-faculte-arts-universite-alberta-annulation-programmes.shtml

Documentation
MÉTIERS DE DEMAIN « 65 % des écoliers d’aujourd’hui pratiqueront, une fois diplômés, des métiers qui n’ont même pas encore été inventés », estime le Département d’État américain du travail. http://fr.slideshare.net/Propulseurs/mtiers-de-demain

  

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À noter à votre agenda

C'est officiel: l'OCCOQ recevra le Congrès mondial de l'Association internationale d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec du 4 au 6 juin 2014. L'ACOC sera au rendez-vous ! Sur le site de l'Ordre  les frais d'inscription
.
Le nouveau Conseil exécutif et les Comités
Partenaires du Xe Congrès 
de l'ACOC à l'UQAT

En 2012-2013, nous avons franchi le cap des
100 000 visites du Bulletin (120 000) 
et 500 000 du site ACOC (580 000)

Bruno Tremblay, c.o. conseiller aux communications de l'ACOC acocinfo@gmail.com

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