01 mars 2010

V 8 No 20: Katimavik ou expérimenter pour mieux s’orienter

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin

Perce-neige (février 2010)

Section Nouvelles www.acoc.info
Admission universitaire au trimestre d'automne 2010
Admission au collégial
Des admissions au cégep compromises par la réforme? www.cyberpresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201002/20/01-953612-des-admissions-au-cegep-compromises-par-la-reforme.php Article au complet avec la réponse du SRAM: Les élèves seront traités de manière équitable http://tiny.cc/QQskQ

Katimavik : expérimenter pour mieux s’orienter. Ça y est, le compte-à-rebours est commencé ! En cette période de l’année, des milliers de jeunes sont en pleine réflexion quant à leur choix de carrière. Si certains savent déjà depuis longtemps en quoi se diriger, plusieurs hésitent encore… Un moment qui peut devenir angoissant, aussi bien pour les jeunes que pour leurs parents. Rangez vos tisanes à la camomille et annulez vos sessions de méditation : il y a de la lumière au bout du tunnel ! Katimavik est une option tout indiquée pour les jeunes qui ont besoin de plus de temps, d’expériences concrètes et de réflexion active pour décider de leur avenir. Le tout dans l’environnement structuré et sécuritaire d’un programme jeunesse qui a depuis longtemps fait ses preuves. Tous les conseillers en orientation vous le diront : bien s’orienter, c’est d’abord apprendre à se connaître. Selon Isabelle Falardeau, conférencière et conseillère en orientation au Collège de Maisonneuve, «il est primordial de connaître sa personnalité, ses champs d’intérêt, ses compétences, ses valeurs et le rôle qu’on veut jouer dans la société. Il faut partir de soi pour savoir où aller». Et sortir de son cadre de vie traditionnel pour apprendre à mieux se définir, c’est exactement ce que propose Katimavik à ses jeunes participants. En quittant le confort du cocon familial et en se plongeant dans des situations nouvelles, les jeunes qui participent au programme viennent aussi à s’ouvrir à des réalités jusqu'alors insoupçonnées. Ils en gagnent alors beaucoup en maturité. « La deuxième communauté où j’ai séjourné à Katimavik était Iqaluit, dans le nord du Canada. Je n’avais jamais côtoyé de près des autochtones auparavant, encore moins des Inuits. Avoir un accès direct à leurs valeurs, à leurs traditions et à leur vision des choses m’a aussi fait réfléchir sur les miennes et sur le sens que je voulais donner à ma vie», raconte Jérôme Cayer, finissant du programme. Un autre conseil souvent prodigué par les professionnels de l’orientation : rien de mieux que l’expérience pratique pour découvrir la réalité d’un domaine d’emploi et pour savoir s’il nous convient. Les jeunes qui prennent part à Katimavik ont la chance d’effectuer deux ou trois stages de travail volontaire de trois mois chacun dans des organismes à but non lucratif reconnus, œuvrant dans des champs d’action aussi variés que la protection de l’environnement, la mise en valeur du patrimoine, la lutte contre la pauvreté, l’éducation, les médias, les services sociaux, etc. Mieux s’orienter… tout en obtenant des crédits au collégial? Vivre une expérience comme Katimavik tout en poursuivant son cheminement scolaire, est-ce possible? Reconnaissant que le programme Katimavik propose à ses volontaires une expérience unique d'éducation non formelle, le Cégep Marie-Victorin offre depuis cet automne aux participants québécois la possibilité d’effectuer, pendant leur projet, jusqu’à l’équivalent d’une session complète en sciences humaines. Ces cours sont crédités par le MELS et reconnus dans l’ensemble du réseau collégial du Québec. Pour plus d’information à ce sujet, consulter le http://www.katimavik.org/news-396/Nouveau-partenariat-avec-le-Cegep-Marie-Victorin Les inscriptions pour nos programmes offerts en 2010-2011 sont présentement en cours. Pour plus d’information sur Katimavik, visitez notre site web au www.katimavik.org ou notre blogue au http://www.gokatimavik.com/ Andréanne Sylvestre Agente des communications, bureau régional du Québec de Katimavik asylvestre@katimavik-qc.org http://www.katimavik.org/ www.soreltracyregion.net/societe/page/societe/article/i/10835

Le Conseil supérieur de l'éducation s'est adressé à l'ACOC pour des recommandations de candidatures à ses cinq commissions www.cse.gouv.qc.ca/FR/Commissions/index.html. Si vous êtes intéressés à poser votre candidature, faites parvenir le formulaire de CV abrégé (http://tiny.cc/oTBml ) à Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC acoc@videotron.ca à l’adresse de son lieu de travail (Cégep Limoilou). Il communiquera les candidatures à la présidente du Conseil supérieur de l'éducation, avant le 2 avril. Vous pouvez choisir parmi les différentes commissions. Vous trouverez de plus amples informations sur le site suivant pour les travaux en cours (Éducation préscolaire et enseignement primaire : les devoirs et les leçons à l'école primaire; Enseignement secondaire : L'accompagnement de l'enseignant dans sa démarche de développement professionnel; Enseignement collégial l'articulation entre le secondaire et le collégial, notamment dans le cadre du renouveau pédagogique; Enseignement et recherche universitaires : la formation universitaire aux cycles supérieurs; Éducation des adultes et formation continue : La réponse du réseau de l'éducation aux besoins des entreprises et aux besoins de formation continue de leur personnel. www.cse.gouv.qc.ca/FR/TravauxEnCours/index.html
CollégialCégep de Baie-Comeau - Nomination de Roland Morin au poste de directeur adjoint des études - Organisation scolaire et Vie étudiante C’est ce lundi 22 février dernier, que Roland Morin a débuté officiellement ses fonctions de directeur adjoint des études – Organisation scolaire et Vie étudiante. Roland Morin est à l’emploi du cégep depuis plus de 18 ans. Il a occupé différentes fonctions dont celles de conseiller en orientation, aide pédagogique individuel, répondant sport-études et enseignant. À l’Organisation scolaire, il s’occupera des ressources dédiées à l’enseignement, de la tâche des enseignants, des horaires, des techniciens en travaux pratiques, du registrariat, du secrétariat à l’enseignement, du service de reprographie et de l’audiovisuel. Du côté de la Vie étudiante, il sera responsable des services de l’Aide financière aux études, de la relation d’aide, des services adaptés, de la santé, du sport, du socioculturel et du communautaire. Il importe cependant de préciser que monsieur Morin continuera d’assumer, temporairement, son rôle de conseiller d’orientation et de répondant de l’École sport-études jusqu’à ce qu’une personne remplaçante soit nommée. La meilleure des chances à Roland Morin dans ses nouvelles fonctions ! http://www.cegep-baie-comeau.qc.ca/

Une baisse de 30% en 40 ans
D'entrée de jeu, l'économiste Pierre Fortin a rappelé que le taux de décrochage atteignait plus de 40% en 1966 pour les jeunes âgés de 29 ans et moins. En 2010, ce taux ce situe à 12%. Le nombre de jeunes sans diplôme d'études secondaires a chuté de près de 30% depuis 40 ans. «Nous avons grandement réussi avec le système scolaire québécois à réduire le nombre de gens sans diplôme», a insisté l'économiste Pierre Fortin, de passage à Saint-Césaire, hier matin. D'entrée de jeu, l'économiste a rappelé que le taux de décrochage atteignait plus de 40% en 1966 pour les jeunes âgés de 29 ans et moins. En 2010, ce taux ce situe à 12%. M. Fortin a souligné que les journaux font souvent état d'un taux de décrochage d'environ 29% au Québec. «Ce qui n'est pas faux», a-t-il mentionné en précisant que cette statistique élevée concerne dans les faits les jeunes de 19 ans et moins. Or, «beaucoup de jeunes raccrochent dans la vingtaine et obtiennent leur diplôme», avance le chercheur. Rappelons que pour le gouvernement du Québec, un jeune qui n'obtient pas son diplôme d'études secondaires à l'intérieur de cinq ans est automatiquement considéré comme un décrocheur. Quoi qu'il en soit, l'économiste n'a pas caché que la situation des garçons est particulièrement inquiétante lorsqu'il est question de décrochage scolaire. «La condition masculine est un problème très profond. Ce n'est pas un cadeau d'être un homme, a-t-il dit en riant. Pour 100 filles sans diplôme, il y a 150 gars.» www.cyberpresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/201002/18/01-952839-une-baisse-de-30-en-40-ans.php

Nous avons le plaisir de vous inviter au rendez vous des C.O. le 7 avril 2010 au Cégep de Lévis-Lauzon. Voici les activités que nous aurons au cours de la journée : Conférence sur la Génération C; Expérimentation de la classe techno-pédagogique; Démonstration de « Gonzague », mannequin en Soins infirmiers (exclusivité régionale dans le réseau collégial); Présentation d’étudiants en préparation de stages à l’international; Témoignages d’étudiants en préparation de stage à l’international; Témoignages d’étudiants portant sur une entreprise-école en bureautique; « Twitter » pendant l’événement. On vous invite aussi à joindre le groupe officiel du Cégep de Lévis-Lauzon sur Facebook. www.facebook.com/group.php?gid=2232165860 Prenez note que le stationnement est gratuit et que nous allons vous envoyer la vignette de stationnement deux semaines avant l’événement. N’hésitez pas à communiquer avec nous pour avoir de plus amples renseignements sur cet événement. Veuillez confirmer votre intérêt en répondant à ce message et en nous fournissant les informations suivantes : Prénom : Nom : Téléphone : Poste : Organisation : Équipe d'organisation
Rendez-vous des conseillers en orientation Cégep de Lévis-Lauzon RDV-CO@clevislauzon.qc.ca

La lumière du matin nécessaire au sommeil des adolescents. Une sous-exposition à la lumière naturelle du matin, nécessaire pour synchroniser l'horloge biologique entre cycles de veille et de sommeil, pourrait avoir un rôle dans les troubles du sommeil chez l'adolescent, selon une étude américaine menée sur des collégiens. L'étude publiée mardi dans la revue Neuroendocrinology letters est une première expérimentation en conditions réelles de conclusions observées dans des laboratoires du sommeil. Ces derniers ont montré que les effets de la lumière sur l'horloge biologique circadienne (basée sur un rythme de 24H) pourrait être à l'origine des troubles du sommeil chez l'adolescent également.Les spécialistes s'accordent à dire qu'aujourd'hui trop peu d'adolescents dorment neuf heures par nuit comme il est recommandé. Ils ont souvent des difficultés à s'endormir tôt le soir, et à se réveiller pour assister aux cours de début de matinée. Les cycles du sommeil commencent à changer à l'adolescence pour des raisons diverses, telles que les changements hormonaux et les sollicitations accrues dans le milieu social, scolaire et professionnel. www.cyberpresse.ca/vivre/famille/201002/17/01-952578-la-lumiere-du-matin-necessaire-au-sommeil-des-adolescents.php

Cégep Lévis-Lauzon - Cégep Limoilou : 2e édition du projet Construire ensemble pour apprendre ensemble. Le lundi, 22 février 2010, des équipes du Cégep de Lévis-Lauzon – Technologie de l’architecture, et du Cégep Limoilou – Technologie du génie civil et Technologie de la mécanique du bâtiment, se rencontreront pour mettre en branle la 2e édition d’une collaboration pédagogique originale. En effet, leurs enseignants amèneront ces étudiantes et ces étudiants à travailler conjointement à la réalisation d’un projet de construction virtuelle. Dans un contexte réaliste et en temps réel, ces futurs technologues feront équipe et expérimenteront la coordination de projet avec des intervenants externes. La première étape sera la conception du bâtiment par les étudiants en Technologie de l’architecture qui réaliseront des plans et devis d’un bâtiment dont les espaces seront conformes au programme établi par le client. En Technologie du génie civil, ils concevront les éléments structuraux de ce bâtiment tout en prévoyant l’implantation sur le terrain. Les étudiants en Technologie de la mécanique du bâtiment vont prévoir les éléments nécessaires au confort dans ce bâtiment. Ces équipes travailleront à la préparation des dessins d’exécution d’un même projet dans leur domaine respectif en privilégiant des modes d’échanges de documents électroniques. Un forum sera aussi mis en ligne pour faciliter le suivi de l’évolution du projet expérimental entre les deux institutions. On pourra visiter leur site au http://ta-tgc-tmb.com/ .

Allégement des préalables pour le programme Technologie de systèmes ordinés au Cégep Limoilou. Le Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport consent à une modification des préalables pour accéder au programme Technologie de systèmes ordinés, et ce, dès maintenant. Un domaine où le nombre de diplômés du Cégep Limoilou ne suffit pas à combler les postes offerts dans la région. Nous espérons que cette révision des préalables permettra d’intéresser plus de jeunes à ce programme. Veuillez noter que les préalables pour être admis dans le programme Technologie de systèmes ordinés sont désormais : Mathématiques Technico-sciences (064406) ou Sciences naturelles (065406) de la 4e secondaire et Science et technologie de l’environnement (058404) ou Science et environnement (058402) de la 4e secondaire OU, selon l’ancien régime Mathématiques 436 et Sciences physiques 436 www.climoilou.qc.ca/news/allegement_des_prealables_tso.php

Projet-pilote pour immigrants au Cégep de Ste-Foy: plus que de la formation Imaginez que vos études et votre expérience de travail, même si elles se comptent en années, ne valent plus rien. Que vous soyez obligé de retourner sur les bancs d'école pour réapprendre ce que vous savez déjà. Décourageant, non? Pour neuf immigrants, le parcours sera un peu moins ardu grâce à un projet-pilote du Cégep de Sainte-Foy. Qu'ils viennent de la Chine, de la Russie ou du Cameroun, ces étudiants font partie d'un programme accéléré pour obtenir une attestation d'études collégiales en gestion de réseaux. Tous ont étudié et travaillé en informatique ou en électronique dans leur pays d'origine, mais sans que leurs compétences soient reconnues ici. Parfois, c'est le diplôme qui ne correspond pas aux exigences québécoises, explique Sonia Gaudreault, la responsable du projet. D'autres fois, même si la scolarité est reconnue, des employeurs hésitent à embaucher des immigrants, craignant un décalage entre les formations des deux pays. Comme ces immigrants sont déjà formés, le programme dure huit mois et demi, au lieu d'un an et demi. Les cours sont faits sur mesure, le professeur s'adaptant aux connaissances du groupe. La formation donne aux immigrants l'occasion de se rafraîchir la mémoire et, le cas échéant, d'assimiler de nouvelles notions. Les non-francophones ont aussi des cours de francisation. Mais pour Mme Gaudreault, le projet doit être plus qu'une simple formation. Le Cégep s'engage à tous leur trouver un emploi. La responsable lance d'ailleurs un appel aux entreprises qui seraient désireuses d'embaucher les finissants, qui termineront le programme le 23 juin. La Mexicaine Karla Lugo, 28 ans, est au Québec depuis 16 mois. Son diplôme n'étant pas valide ici, elle était bien heureuse d'avoir accès à un cours accéléré, axé sur le marché du travail. «C'est très complet, il nous donne les outils pour travailler», constate la jeune femme. Son conjoint, qui a aussi une formation en informatique, doit quant à lui faire le programme régulier puis qu'il n'avait pas d'expérience dans ce domaine avant d'immigrer. Le projet-pilote, unique dans la province, a été mis sur pied avec l'aide d'Emploi-Québec et du ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles. Mme Gaudreault précise que, s'il s'avère concluant, il pourrait être reconduit l'an prochain dans cette discipline ou dans une autre. www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201002/22/01-954267-projet-pilote-pour-immigrants-au-cegep-de-ste-foy-plus-que-de-la-formation.php

Une idée lumineuse. Panneaux solaires. Le cégep Limoilou a fait l'acquisition, il y a quelques jours, de panneaux solaires, non seulement afin de capter l'énergie nécessaire pour chauffer le bâtiment, mais également afin de parfaire la formation des étudiants du programme d'électronique industrielle. Les étudiants travailleront d'abord en laboratoire sur un simulateur, puis ils devront câbler, configurer, calibrer et programmer le vrai système. « C'est extrêmement motivant parce que ce n'est pas juste de faire fonctionner le petit simulateur. Il se pratique sur le petit simulateur. Quand tout est au point, il prend son produit puis il l'envoie sur le vrai panneau », explique le professeur en génie électrique, Alain Marineau. Ce dernier ajoute que c'est précisément ce genre de travail que les étudiants seront appelés à faire sur le marché de l'emploi. Les étudiants auront accès au système dans quelques semaines. L'électricité excédentaire sera revendue à Hydro-Québec. www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2010/02/23/001-solaire_limoilou.shtml et article du Soleil www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201002/26/01-4255673-le-cegep-limoilou-opte-pour-lenergie-solaire.php

Le Cégep de Sherbrooke appuie Marie-Pier Landry Le Cégep de Sherbrooke promet de soutenir la Sherbrookoise Marie-Pier Landry dans ses démarches pour obtenir une dérogation au régime de prêts et bourses du gouvernement. «Le cégep l'a accompagnée jusqu'à maintenant et nous allons poursuivre nos démarches», mentionne Marie-Claude Dupoy, conseillère en communication au Cégep. «Nous sommes très sensibles au fait qu'elle est en fin de parcours dans ses études et nous voulons l'aider à les terminer.» Mais, ajoute-t-elle, les chances de réussite ne sont pas énormes. «Les chances sont quand même minces, dit la porte-parole. Il faut agir rapidement car la fin de session s'en vient. La période d'examens se déroulera du 17 au 21 mai.» Étudiante en soins infirmiers, Marie-Pier Landry a songé à abandonner car le programme de prêts et bourses arrive à sa limite dans son cas. www.cyberpresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201002/25/01-4255154-le-cegep-de-sherbrooke-appuie-marie-pier-landry.php

Une future infirmière appelle à l'aide financière Marie-Pier Landry espère que son appel à l'aide sera entendu pour lui permettre de bénéficier des prêts et bourses d'ici la fin de ses études... en mai. La persévérance scolaire, Marie-Pier Landry connaît. Son cours collégial pour devenir infirmière, elle tient à le terminer. Mais voilà, le portefeuille crie famine. À quelques mois de décrocher son diplôme, la Sherbrookoise a songé à abandonner, le programme de prêts et bourses s'interrompant dans son cas à quelques mètres du fil d'arrivée. Mme Landry, aujourd'hui âgée de 26 ans, a suspendu ses études il y a quelques années pour donner naissance à deux fillettes. Puis, elle a choisi de quitter le programme de technique d'éducation à l'enfance pour se réorienter en soins infirmiers. «Jusqu'en septembre dernier, je recevais environ 10 000 $ par année, soit 2000 $ en prêts et 8000 $ en bourses. Autrement dit, cette somme représentait environ 800 $ par mois. Le hic, c'est que cette année, j'ai atteint le nombre de mois limite à mon endettement au service des prêts et bourses», explique-t-elle. La période d'admissibilité à des prêts est effectivement de 42 mois pour une formation technique au collégial. La limite d'endettement, elle, est fixée à plus de 20 000 $. «Je n'ai pas atteint cette limite», insiste Marie-Pier Landry, qui devrait obtenir son diplôme en mai. www.cyberpresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201002/22/01-954019-une-future-infirmiere-appelle-a-laide-financiere.php

Nouveau cheminement DEC-BAC proposé aux étudiants en Animation 3D et synthèse d’images du Cégep de Matane. Le Cégep de Matane et l’UQAT ont convenu de la signature prochaine d’un tout nouveau projet d’entente DEC-BAC. Ce deuxième partenariat entre les deux institutions d’enseignement supérieur prévoit un cheminement DEC-BAC entre le programme collégial Techniques d’animation 3D et synthèse d’images et le programme universitaire de Baccalauréat avec majeure de création en 3D et mineure en design de jeux vidéo. Ce programme universitaire de l’UQAT sera offert dès l’automne 2010 au campus de l’UQAT à Longueuil. www.lescegeps.com/nouvelles/2010-02-25_nouveau_cheminement_dec-bac_propose_aux_etudiants_en_animation_3d_et_synthese_dimages_du_

Universitaire
Nouveau baccalauréat intégré en environnement à l’université Laval. Dès la session d’automne 2010, l’Université Laval offrira un tout nouveau baccalauréat intégré en environnement, unique au Québec. D’une durée de trois ans, ce baccalauréat a pour objectif de former des professionnels de l’environnement et, plus particulièrement, de la conservation et de la gestion durable des écosystèmes. Il s’adresse donc aux passionnés de l’environnement et de la nature. Les candidats que ce programme intéresse pourront déposer une demande d’admission dès que ce dernier aura été approuvé par les instances universitaires, et ce, jusqu’au 27 août 2010. Voici la procédure à suivre: 1-Les étudiants qui ont déjà fait leur demande d’admission à l’Université Laval pourront faire un 2e ou un 3e choix au baccalauréat intégré en environnement. 2-Les étudiants qui désirent absolument déposer une demande d’admission immédiatement sont invités à s’inscrire au baccalauréat en biologie ou en aménagement et environnement forestiers et ils seront plus tard informés de la procédure à suivre pour s’inscrire au baccalauréat intégré en environnement. Ils doivent cependant mentionner leur intérêt à la personne ci-dessous. Toutes les personnes que ce programme intéresse doivent transmettre leur nom et leur adresse électronique à Mme Véronique Audet afin d’être avisées des prochaines étapes: veronique.audet@ffgg.ulaval.ca www.sbf.ulaval.ca/fileadmin/sbf/lien/Bac-Environnement-Fiche-promotion.pdf

Un examen de français qui fait suer les futurs profshttp://%0dwww.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201002/21/01-953908-un-examen-de-francais-qui-fait-suer-les-futurs-profs.php

Examen de français aux futurs profs: exigences plus souples? www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201002/21/01-953910-examen-de-francais-aux-futurs-profs-exigences-plus-souples.php

Courchesne refuse de réduire les exigences en français pour les futurs profs www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201002/22/01-954291-courchesne-refuse-de-reduire-les-exigences-en-francais-pour-les-futurs-profs.php

Examen de français: résultats peu reluisants dans d'autres universités. À l'UQAM, où on offre huit baccalauréats en enseignement, le taux de réussite est de 52 % après deux tentatives. «Ç'a été un choc, c'est assez alarmant comme résultat», affirme Marie Nadeau, professeur à la Faculté des sciences de l'éducation chargée de mettre sur pied des mesures d'aide pour les étudiants. Il n'y a pas qu'à l'Université Laval que le nouvel examen de français fait suer les futurs profs. À l'UQAM, par exemple, à peine un étudiant sur deux l'a réussi. Le Soleil rapportait lundi que le taux de réussite au Test de certification en français écrit pour l'enseignement (TECFEE) variait entre 25 % et 70 % à l'Université de Montréal, à l'Université Laval et à l'Université du Québec à Rimouski (UQAR). Selon de nouveaux résultats transmis au Soleil au cours des derniers jours, le portrait n'est pas plus reluisant dans d'autres établissements. À l'UQAM, où on offre huit baccalauréats en enseignement, le taux de réussite est de 52 % après deux tentatives. «Ç'a été un choc, c'est assez alarmant comme résultat», affirme Marie Nadeau, professeur à la faculté des sciences de l'éducation chargée de mettre sur pied des mesures d'aide pour les étudiants. Afin d'améliorer leur maîtrise du français, tous les futurs enseignants doivent désormais se plier au même examen, qu'ils passent généralement après avoir complété un an d'étude. Le seuil de réussite est fixé à 70 %, et les étudiants ont droit à deux reprises. En cas d'échec, l'étudiant est suspendu du programme pour une durée d'un an. Au terme de cette année, il a droit à une ultime reprise. Un autre échec entraîne son exclusion du programme. L'UQAM n'a toutefois pas pu nous transmettre les résultats des étudiants après seulement une tentative, comme ce fut le cas dans les autres universités. À l'Université du Québec à Rimouski par exemple, 25 % des étudiants en enseignement préscolaire et primaire avaient réussi l'examen la première fois, alors que ce chiffre grimpait à 47 % après deux essais. «Il y a un décalage assez grand entre la difficulté de ce test et ce qu'on exige à la sortie du cégep», affirme Mme Nadeau pour expliquer ces résultats peu reluisants. Les prochaines cohortes seront mieux préparées, espère-t-elle. On va agir pour mettre en place des mesures qui les aideront à réussir l'examen.» Mais Mme Nadeau s'interroge aussi sur la sévérité des sanctions qui accompagnent le test. «Est-ce qu'on a besoin d'être aussi drastique avec un nouveau test qui n'a pas encore été validé à grande échelle? On met la barre haut aux étudiants, mais en même temps, ils sont un peu victimes de ce qu'on a mal fait dans le passé», dit-elle. Du côté de l'Université du Québec en Outaouais, qui offre aussi des programmes en enseignement, le taux de réussite est de 59 %, après une première passation. La première reprise aura lieu en avril. «On offre désormais trois cours de rattrapage en français pour aider les étudiants à réussir l'examen», explique Gilles Mailloux, porte-parole de l'UQO. À l'Université de Sherbrooke, il a été impossible d'obtenir d'information sur les taux de réussite des étudiants au TECFEE, malgré les demandes répétées du Soleil depuis une semaine. Les résultats ne sont pas encore compilés, nous a-t-on affirmé. Pourtant, l'Université de Sherbrooke a été la première université québécoise à tester l'examen l'an dernier dans le cadre d'un projet-pilote. En septembre, La Presse rapportait même que 14 étudiants avaient été suspendus après avoir échoué à l'examen à trois reprises.

Formation en agriculture: un intérêt qui s'étiole Alors que l'agriculture traverse une période mouvementée, le nombre de jeunes intéressés à y faire carrière diminue sans cesse, mettant en péril le maintien d'une expertise québécoise. La faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation (FSAA) de l'Université Laval lance un appel à l'aide. Au collégial, la diminution de clientèle est comparable. L'Institut de technologie agroalimentaire (ITA), qui rassemble environ 70 % des étudiants, accuse une baisse d'environ 20 % sur une période de huit ans. L'institution relevant directement du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec, son statut particulier a été considéré et le financement n'a pas diminué. À long terme, Jean-Paul Laforest croit que l'intérêt grandissant pour tout ce qui se retrouve dans notre assiette finira par intéresser de nouveaux étudiants à l'agriculture. «Mais en attendant, on a encore quelques années de vache maigre à vivre», dit-il. www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/agro-alimentaire/201002/21/01-953899-formation-en-agriculture-un-interet-qui-setiole.php

Expert en scène de crime
Il y a beaucoup à dire en réponse à ta question. En fait, le programme de cours qui correspond le mieux à ce que tu cherches est un baccalauréat en criminalistique, mais il n’est pas encore offert. L’ Université du Québec à Trois Rivières vient d’en annoncer la création il y a une semaine à peine. Tu peux en apprendre davantage en consultant l’article suivant.
www.radio-canada.ca/regions/mauricie/2010/01/12/002-uqtr-criminalistique.shtml Pour le moment, la collecte d’informations sur les lieux d’un crime est assurée par un policier d’expérience, qui a reçu une formation particulière, offerte par le Collège de police du Canada. (L’École nationale de police à Nicolet peut aussi offrir quelques chose de semblable, mais encore une fois aux policiers seulement.) L’information est ensuite envoyée à un laboratoire de sciences juridiques, où des physiciens, des chimistes et d’autres spécialistes conduisent les tests requis. Il ne faut pas se diriger vers la criminologie pour poursuivre cet objectif. La criminologie est une science sociale qui étudie le phénomène de la délinquance sociale et le comportement criminel. Les criminologues qui travaillent dans leur domaine deviennent plutôt agent de probation ou agent de libération conditionnelle. Ils ne peuvent pas devenir criminalistes. Donc, pour le moment, le DEC en techniques policières est un bon départ. http://ch.monemploi.com/coll_tech/T/275Techniquespolicieres.html Il faut prendre garde à deux faits importants lorsqu’on discute de ce sujet. D’abord, l’image de ces spécialistes (criminalistes, policier CSI – « crime scene investigator ») est totalement faussée par la télé, qui nous les présente comme des hybrides de détectives et de scientifiques. Dans la réalité, les criminalistes restent dans leur laboratoire et n’utilisent pas de pistolets. Ils laissent cela aux policiers investigateurs. De plus, dans tout le Canada, il n’y a que 6 ou 7 laboratoires de sciences juridiques, où on monte un dossier de preuves, grâce à la chimie, la physique et la biologie, afin de démontrer la présence de l’acte criminel. Au Québec, il n’y en a qu’un seul, qui embauche peut-être une cinquantaine de spécialistes. Il est alors permis de se demander quels seront les débouchés sur le marché du travail du prochain baccalauréat en criminalistique. Mario Charrette c.o. http://toutpourreussir.com/fr/forum/viewtopic.php?f=5&t=398&p=1031&hilit=crime&sid=fb0c1405ee3fbbd875801124442bc019#p1031

Des étudiants s'attaquent aux problèmes d'eau potable en Haïti www.cyberpresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201002/19/01-953276-des-etudiants-sattaquent-aux-problemes-deau-potable-en-haiti.php

Ingénieurs forestiers: plus de retraités que de diplômés. En 2015, il y aura deux fois plus d'ingénieurs forestiers qui partiront à la retraite que de diplômés pour les remplacer. www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201002/23/01-954632-ingenieurs-forestiers-plus-de-retraites-que-de-diplomes.php

Ingénieur forestier, une espèce rare www.cyberpresse.ca/le-quotidien/progres-dimanche/201002/26/01-4255780-ingenieur-forestier-une-espece-rare.php
Formation, documentationL'Institut de réadaptation en déficience physique de Québec présente la formation L'adaptation à différentes situations de crise ou transition de vie par la gestion des buts personnels les 25 et 26 mars prochain. Cette formation s'adresse particulièrement aux travailleurs sociaux, psychologues, conseillers en orientation, éducateurs spécialisés et psychoéducateurs. Consulter le répertoire complet des formations 2010-2011. http://www.irdpq.qc.ca/enseignement/formation/pdf/repertoire2010-11%20copie.pdf

Implants miniaturisés ou puces «espions»: les nanos qui font peur http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/201002/22/01-954033-implants-miniaturises-ou-puces-espions-les-nanos-qui-font-peur.php

La lecture, porte d'entrée de l'apprentissage Le projet de recherche-action sur la compréhension de lecture au secondaire réunit un quatuor formé de Luc Prud'homme, professeur et chercheur à l'UQTR, Catherine Gignac, orthopédagogue au SSM, Sandra Williams, enseignante au SSM, et Ghislain Samson, professeur et chercheur à l'UQTR. Ce n'est pas tout de savoir maîtriser le b-a-ba de la lecture, encore faut-il comprendre ce qu'on lit. Partant du constat que plusieurs élèves du secondaire, malgré leurs habiletés à lire un texte, n'arrivent pas à en saisir le sens, des chercheurs de l'Université du Québec à Trois-Rivières, en partenariat avec le Séminaire Sainte-Marie, expérimentent actuellement des nouvelles stratégies de lecture, question de rendre l'exercice encore plus efficace et intéressant. Intitulé Apprendre à différencier au secondaire autour d'un objet transversal: la lecture, ce projet de recherche-action réunit Ghislain Samson et Luc Prud'homme, professeurs et chercheurs au département des sciences de l'éducation à l'UQTR, de même que Sandra McWilliams et Catherine Gignac, respectivement enseignante et orthopédagogue au SSM. «Lire, ce n'est pas uniquement décoder un texte et répondre à des questions. Pour comprendre ce qu'on lit, il y a un questionnement qu'on doit faire», rappelle Mme Gignac qui, à son arrivée au niveau secondaire il y a quatre ans, a réalisé que plusieurs jeunes ne savaient pas quelles questions se poser pour aller plus loin dans la compréhension d'un texte. www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/actualites/201002/17/01-950481-la-lecture-porte-dentree-de-lapprentissage.php

Produits nettoyants : Verts et dangereux www.radio-canada.ca/nouvelles/environnement/2010/02/25/003-verts-nettoyants-dangereux.shtml

Bougez plus, culpabilisez moins
Parler du plaisir de faire du sport, de jouer dehors, est une voie beaucoup plus prometteuse que celle des publicités ayant tendance à créer un sentiment de culpabilité chez ceux qui ne font pas suffisamment d'exercice. Les messages relatifs à l'activité physique peuvent décourager et rendre anxieux www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/bougez-plus-culpabilisez-moins.html

Vous souffrez de déficits visuels et d'hallucinations? Vous n'êtes pas fou! Marie-Chantal Wanet-Defalque et Olga Overbury étudient le syndrome de Charles Bonnet www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/vous-souffrez-de-deficits-visuels-et-dhallucinations-vous-n-tes-pas-fou.html



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Tableaux des cotes R - Automne 2009. Voici les tableaux des cotes R (CRC) qui ont servi pour l'admission dans les programmes universitaires contingentés au trimestre d'automne 2009. Ce document d'Hélène Trudeau, c.o. au Cégep Saint-Jean-sur-Richelieu, a été mis à jour par sa remplaçante, Véronique Fillion, c.o. que nous remercions pour son apport dans ce dossier. http://www.acoc.info/database/Image_usager/2/Raymond%20Jean/Universit%C3%A9s/Cotes%20R%20_%20HT_VeroFillion.pdf Vous trouverez ce document en permanence à notre page sur le Contingentement universitaire. www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=836

Admission universitaire www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915

À noter à votre agenda
En 2010
, nous planifions participer au colloque de l’Ordre qui aura lieu les 2, 3 et 4 juin 2010 au Centre des congrès de Québec sous le thème Évaluer et intervenir : des indissociables de notre pratique. http://www.occoppq.qc.ca/ L'ACOC organisera une journée précolloque pour ses membres le 1er juin.

En 2011, le 9e congrès de l’ACOC aura lieu en partenariat avec l’UQTR les 1er, 2 et 3 juin.

Lien du diaporama du VIIIe Congrès 2009 http://picasaweb.google.com/ACOCinfo/ACOC2009VIIIeCongres#slideshow
Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC ACOC@videotron.ca

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