10 juin 2008

V 6 No 31: Des outils technos pour les élèves ayant des troubles d’apprentissage

Le temps du Cerisier des sables
Des outils technos pour les élèves ayant des troubles d’apprentissage À compter de la session d’examen de juin 2008, sur demande de l’école, un élève ayant un trouble d’apprentissage pourra utiliser des outils technologiques d’aide à l’écriture, incluant des outils d’aide à la correction, pour la passation des épreuves ministérielles d’écriture. C’est ce que la Direction de la sanction des études du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) a confirmé aux commissions scolaires dans un mémo Info/Sanction en janvier dernier www.infobourg.com/data/fichiers/214/554info%20-%20aideecriture.pdf?utm_source=Bulletin_Edu_CA-FR&utm_medium=Email&utm_term=Outils_technos-LienInfoSanction&utm_campaign=Juin2008 . Cette décision fait suite à une recommandation formulée par un comité de travail, regroupant différents professionnels du MELS, dont le Service national du RÉCIT en adaptation scolaire. Pour savoir comment procéder, consultez l’article complet de l’Infobourg ici. Parmi les logiciels autorisés, certains font partie de la gamme De Marque :- Outils de planification et d’organisation des idées (comme Inspiration http://carnets.demarque.com/demarque/fr/ca/?cat=12 et Hop! Écrire http://education.demarque.com/visualiser.php?id=52&utm_source=Bulletin_Edu_CA-FR&utm_medium=Email&utm_term=Outils_technos-LienHopEcrire&utm_campaign=Juin2008%22 )- Outils d’écriture avec support visuel et sonore (comme WordQ http://education.demarque.com/visualiser.php?id=148&utm_source=Bulletin_Edu_CA-FR&utm_medium=Email&utm_term=Outils_technos-LienWordQ&utm_campaign=Juin2008 ) Demande de Démo en ligne pour l’essayer pendant 30 jours http://education.demarque.com/demo.php?idTableProduit=148

À la suite du 7e congrès à l’université de Moncton L’Université de Moncton, campus d’Edmundston accueille des conseillers en orientation du réseau collégial québécois le 16 mai 2008 Une délégation de 32 membres de l’Association des conseillers et conseillères d’orientation du collégial du Québec (ACOC) ont découvert les programmes d’études, services et nombreux attraits de l’Université de Moncton, campus d’Edmundston (UMCE), lors d’une tournée du groupe en sol néo-brunswickois, le vendredi 16 mai dernier. Sur la photo : Lise Caron, doyenne de la Faculté de foresterie de l’UMCE; Jacques Paul Couturier, doyen des Études de l’UMCE et le Conseil exécutif de l’ACOC Les déléguées et délégués, qui rentraient de leur visite du campus de Moncton, dans le cadre de la tournée « Moncton, j’embarque », ont pu faire connaissance avec les dirigeants et les membres de l’équipe des Services aux étudiantes et étudiants de l’UMCE. Des présentations variées ont été offertes aux participantes et participants qui ont également pu déguster la ploye, mets typique de la région. Les membres de l’ACOC ont également pu visiter les espaces ultramodernes de l’UMCE, tout en échangeant avec le personnel du campus d’Edmundston.
www.umce.ca/nouvelles/suite.php?id=299 et dans le journal local www.lemadawaska.ca/culture/article/316802;culture et sur AMEQ en ligne du 2 juin www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=91221&B=1


Diaporama (album) du 7e congrès à Moncton www.flickr.com/photos/10892802@N08/sets/72157605167634050/show Une partie des photos sont aussi sur le site du Bulletin http://www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/ Vous pouvez transmettre des documents reçus à la suite d’une conférence (colloque de l’ACC) ou un lien Internet à acoc@videotron.ca

Bonjour la famille de "Moncton, j'embarque!"
Comment allez-vous? C'est fou comme le temps passe vite! Cependant, l'été est à nos portes! Par l'objet du courriel, vous croyez que je pense déjà à Noël?? C'est en plein ça, car je dois vous dire que... Je vais être papa pour une deuxième fois le 25 décembre prochain!!! Hey oui, jour de Noël!! Nous sommes vraiment heureux et la maman se porte très bien! Bruno, il m'en manque 3!! Ha! Ha! Du côté de notre GÂTEAU souvenir de "Moncton, j'embarque!", nous allons finir notre "glaçage" cette semaine. Nous prévoyons vous envoyer vers la fin de cette semaine, par la poste, nos petits morceaux de gâteau! En passant, MERCI encore une fois pour les beaux commentaires inscrits dans la carte que je regarde régulièrement!! Merci aussi à ceux qui m'écrivent depuis votre retour dans vos régions respectives! Passez une belle journée! Amicalement, Mathieu
mathieu.gingras@umoncton.ca et toute l'équipe du Bureau du recrutement étudiant à l'Université de Moncton!



Info collégiale
Articles lors du colloque de Cannexux
Des articles qui seraient intéressant à pointer aux c.o.. J'ai assisté cette année ainsi que l'année dernière à Cannexus (Toronto et Montréal), à deux ateliers portant sur une recherche en cours sur l'état de la situation de la formation des praticiens en développement de carrière. Cette recherche est subventionnée par la Fondation Canadienne de Counseling par le truchement de la Canadian Education and Research Institute for Counselling (CERIC) . Les deux articles que je vous pointe sont en anglais, mais le premier est disponible en français sur le site www.contactpoint.ca/cjcd/pages/current.html Dans le premier, on cite la situation de l'enjeux de la réglementation de l'orientation au Canada. On cite un de mes articles sur le sujet, où je soulignais la différence entre la situation au Québec comparé au reste du Canada (p.23). On propose aussi un modèle de formation qui tiendrait compte des différentes professions dans le domaine de l'orientation. Les chercheuses veulent valider cette année leur modèle avec des professeurs et des praticiens. L'autre recherche que ces chercheuses ont mené, porte sur une enquête faite auprès des praticiens. Près de 1000 répondants ont répondu au sondage dont 25% viennent du Québec, en majorité des c.o.. L'Ordre est cité comme organisation ayant collaboré. On y trouve des données démographqiues, des données portant sur la formation, l'identité, connaissances et compétences Report on the Canadian Career Counsellor Education Survey www.contactpoint.ca/cjcd/v6-n1/article1.pdf Michel Turcotte,conseiller d'orientation, psychologue Analyste michel.turcotte@hrsdc-rhdsc.gc.ca

À la section Nouvelles de http://www.acoc.info/
-Nous remercions le Service d'orientation du Cégep de Sainte-Foy de rendre disponibles leurs documents sur les rôles professionnels par domaine. Tableau sur les sciences de la nature; Tableau synthèse sur les huit rôles professionnels en sciences humaines; Tableau synthèse en administration; Tableau synthèse en langues et lettres; Tableau synthèse en génie; Tableau synthèse en arts et musique (à venir bientôt). www.cegep-ste-foy.qc.ca/freesite/index.php?id=11369
-Poste d'api au Collège de Maisonneuve
Fin du concours: jeudi 12 juin 16h
-Poste d'api/co au Collège Laflèche pour un contrat d'un an
Fin du concours : au plus tard vendredi 13 juin 16h
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=945

Nouvelle formation : Les travailleurs des parcs éoliens pourront suivre une formation sur l'entretien, la sécurité et le sauvetage. Ces formations seront offertes par l'Université du Québec à Rimouski en collaboration avec le Groupe Falardeau, une entreprise de Québec spécialisée dans le travail en hauteur, et la firme ATI Éolien. Une première session de cours sera donnée en septembre sur le site de la grande éolienne de Cap-Chat. La formation comprendra des cours théoriques, mais aussi pratiques. Il s'agit d'un travail parfois complexe et difficile, explique Steve Tremblay du groupe Falardeau. « C'est du travail qui peut être fait en quatre heures, cinq heures de temps attaché avec des cordes à plus de 300 pieds dans les airs », précise M. Tremblay. Les tours d'éoliennes sont en effet d'une hauteur qui va parfois jusqu'à 100 mètres. L'entretien de ces mastodontes est un métier à haut risque et les travailleurs québécois ont peu d'accès à une formation spécialisée. L'entreprise est responsable de la sécurité de ses travailleurs dans un parc éolien, explique Jean-Louis Chaumel du groupe éolien de l'UQAR. « Donc, il faut former votre personnel, vos ingénieurs, vos techniciens », souligne l'économiste. D'ici cinq ans, il y aura 1500 éoliennes dans l'Est du Québec, qui compte déjà 300 de ces grands moulins à vent. www.ameqenligne.com/showNewsPermit.asp?id=19707

Matane déjoue les prédictions
Contrairement aux prévisions du ministère de l'Éducation, la clientèle du cégep de Matane se maintient. Le ministère avait prévu que la clientèle du cégep s'abaisserait de 28 % en cinq ans pour s'établir à 470 élèves à l'automne 2007-2008. La réalité a été tout autre. L'automne dernier, le cégep comptait 660 étudiants inscrits à temps plein. Le directeur général, Émery Béland, explique que le cégep a complètement revu son offre de formation afin d'augmenter le taux de fréquentation. L'introduction de nouveaux programmes comme la production 3D ou les techniques en multimédia a su attirer une clientèle de l'extérieur de la région. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/06/09/001-cegep-matane_n.asp

Le Cégep de Sainte-Foy lance un deuxième Centre collégial de transfert de technologie en imagerie numérique et médias interactifs Le Cégep de Sainte-Foy, fort de son expertise en matière de technologies de l’information et des communications, élargit ses activités de développement et de recherche appliquée grâce au lancement d’un second centre collégial de transfert de technologie (CCTT). Ce nouveau centre de recherche, le CIMMI, permettra de contribuer à la progression technologique et à l’essor des entreprises et des organismes de la région de Québec dans deux secteurs-clés de l’économie : l’imagerie numérique (regroupant l’imagerie numérique appliquée et l’imagerie médicale) et les médias interactifs (regroupant le divertissement interactif et développement Internet). Le Cégep de Sainte-Foy possède une expertise reconnue en médias interactifs et en imagerie numérique, notamment en imagerie médicale. Outre les programmes de formation offerts en Techniques d’intégration multimédia, Technologie de radiodiagnostic, Techniques de l’informatique, profil informatique de gestion et programmation 3D et jeux vidéo, les professeurs-chercheurs du Cégep ont collaboré à de nombreux projets de formation, de transfert technologique et de recherche appliquée, dont certains ont donné lieu à l’obtention de brevets. Technologies de l'information: arrimage entre école et entreprises : Déjà florissante à Québec, l’industrie des technologies de l’information reçoit un solide coup de pouce du monde de l’éducation. Un Centre collégial de transfert de technologie en imagerie numérique et médias interactifs (CIMMI) verra le jour au Cégep de Sainte-Foy.www.cyberpresse.ca/article/20080602/CPSOLEIL/80602229/6942/CPSOLEIL03

S'entraîner à (re)travailler
Au Québec, les premières entreprises d'entraînement, concept créé en Allemagne dans les années 40, apparaissent en 1995. « C'est une entreprise qui simule les postes d'une entreprise réelle. Les “employés” y effectuent de vraies tâches, font des ventes; mais aucune marchandise n'est livrée et l'argent n'est pas réel », résume Marie Rübsteck, directrice générale du Réseau canadien des entreprises d'entraînement (RCEE). Les 20 entreprises d'entraînement québécoises actuellement en activité sont financées par Emploi-Québec et accueillent en moyenne 25 participants à la fois pour une durée maximale de 15 semaines. Les tâches sont variées : comptabilité, facturation, marketing, achats, ressources humaines, secrétariat, communications, informatique… Et les entreprises peuvent choisir n'importe quel secteur d'activité à condition, au bout du compte, de pouvoir vendre quelque chose. De façon fictive, évidemment! « La méthode est celle de l'apprentissage par le travail, et dans un environnement très structuré, en fait similaire à celui d'une entreprise réelle », dit Mme Rübsteck. À l'exception de celles rattachées à des établissements d'enseignement, les entreprises d'entraînement s'adressent aux prestataires de l'assurance-emploi ou de l'assistance emploi, soit des personnes qui ont parfois quitté le marché du travail depuis un certain temps. « Elles doivent mettre leurs compétences à jour, réapprendre un savoir- être. C'est ce qu'on leur permet ici », ajoute Mme Rübsteck. Environnement structuré, oui, mais aussi « très sécuritaire », l'entreprise d'entraînement donne le droit à l'erreur. « Des objectifs d'apprentissage sont fixés, les compétences et les attitudes sont évaluées, mais les lacunes de la personne ne conduisent à aucune sanction. C'est la vie de travail sans la pression qui y est souvent rattachée », souligne Marie Rübsteck. Les rares « congédiements » visent en fait des personnes orientées à tort vers ce type de ressource. Les deux tiers des participants sont des femmes, et 40 % ont un diplôme d'études secondaires, 35 % détiennent un diplôme d'études collégiales et 25 %, un diplôme universitaire. Durant leur passage dans l'entreprise, ils auront consacré 80 % de leur temps au travail et l'autre 20 % à la recherche d'emploi. Le taux de placement est de 80 %. « Les employeurs prennent les entreprises d'entraînement au sérieux », affirme Mme Rübsteck. Il faut dire que celles-ci bénéficient du parrainage d'entreprises bien réelles et reconnues. Les participants peuvent donc mentionner cette expérience dans leur curriculum vitæ : elle sera considérée. À l'échelle mondiale, on compte environ 5000 entreprises d'entraînement, qui « font des affaires » entre elles et tiennent des foires commerciales. Du commerce international fictif! Tout en prenant de l'ampleur, le concept évolue. Ainsi, en Europe, des entreprises d'entraînement s'intéressent à la clientèle particulièrement difficile des ex-détenus; et un peu partout, la réflexion s'amorce quant à ces groupes de population ayant un « indice d'employabilité » très bas. Ici, on constate que l'entreprise d'entraînement constitue la première « expérience de travail » en sol canadien de certains immigrants, et une porte d'entrée privilégiée pour l'emploi. www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/entrainer-travailler-8044.html

Football collégial AA : Dave Parent dirigera les Titans de Limoilou Dave Parent sera le premier entraîneur-chef de l’histoire du programme de football des Titans de Limoilou qui feront leurs débuts dans le circuit collégial. Parent traîne avec lui une intéressante feuille de route. L’ex-demi défensif des Gaiters de Bishop’s et des Axemen d’Acadia a remis sur pied le programme sportif des Alérions du Petit Séminaire de Québec qui battait sérieusement de l’aile lorsqu’il est entré en scène, en 2004, au terme de sa carrière de joueur. Avant d’être promu dans le réseau universitaire, Parent a disputé tout son football scolaire et collégial chez les Alérions qui ont maintenant pignon sur rue à Garneau. En plus de diriger l’équipe juvénile AAA pendant quatre ans, Parent était le responsable des sports au Petit Séminaire. Sous sa gouverne, le football et le basket-ball ont fait le saut dans le calibre AAA et les filles de rugby ont connu beaucoup de succès, tout comme le programme de natation. Au cours de la prochaine saison, Parent demeurera à la tête des Alérions, tout en recrutant et en jetant les bases du programme des Titans qui évolueront en deuxième division avec le but avoué de gravir les échelons au fil des ans. Les Titans ne voulaient pas briser les ponts avec un programme scolaire en exigeant que son entraîneur-chef soit en poste au cégep dès août, ce qui explique pourquoi Parent dirigera les Alérions une dernière année. Le comité de sélection a reçu 18 candidatures et cinq personnes ont été rencontrées en entrevue, le 30 mai. Quelques jours plus tard, les trois membres du comité de sélection en sont venus à la conclusion que Parent était leur homme. Joli hasard, Parent et son adjoint, Jean Chabot, étaient présents à Limoilou il y a quelques semaines, lorsque les dirigeants ont confirmé que l’équipe était acceptée dans les rangs du circuit collégial. Parent sera de retour à Limoilou, ce matin, lorsqu’il sera la tête d’affiche de l’événement cette fois-ci. Son embauche y sera confirmée. www.mediamatinquebec.com/?Section=Accueil&id=10222

Info universitaire
Parlons des personnes... Serge Larivée, l’enfant résilient devenu professeur Serge Larivée est conscient d’avoir été aidé à des moments clés de sa vie. Dernier d’une famille de sept enfants, Serge Larivée n’était pas né pour devenir professeur d’université. C’est pourtant le métier qu’il exerce depuis 31 ans à l’École de psychoéducation. Après avoir gran-di dans le faubourg Saint-Jean-Baptiste, un quartier pauvre de la haute-ville de Québec, dans une maison où il n’a jamais eu son propre lit, il a été placé pendant trois ans (de l’âge de cinq ans à huit ans) à l’orphelinat d’Youville, à Giffard, en banlieue de la Vieille Capitale. «Avec un tel départ, mes chances d’étudier un jour à l’université étaient presque nulles», relate ce spécialiste des mesures d’intelligence. Presque… Bel exemple de résilience, un concept psychologique défini par l’éthologue français Boris Cyrulnik voulant que certains individus transforment en forces leurs pires épreuves, le jeune Serge n’a pas su lire avant la troisième année. Il était petit, timide, bègue, et avait toutes les difficultés du monde à satisfaire aux exigences de l’école. Sa mère savait à peine lire et son père trimait dur. «J’étais un véritable cancre et je souffrais de troubles d’apprentissage. Dans le système actuel, j’aurais eu tous les “-ogues” à mes trousses comme les orthopédagogues et les psychologues», se rappelle-t-il en riant. Un talent particulier pour le chant l’amène à la chorale de l’orphelinat. «Chanter m’aidait, dit-il. Je me suis beaucoup reconnu dans le film Les choristes. C’était mon histoire…» Il hésitera, bien plus tard, entre des études en sciences humaines et en chant classique. Pourquoi avoir choisi les sciences humaines? Manque de courage, blague-t-il. Dans les années 50, les pères dominicains offrent à ses parents de l’inscrire gratuitement au cours classique du collège jésuite (Garnier). Mais là encore, les études sont une épreuve… Échecs, mauvaises notes, il devra reprendre sa quatrième année. Un préfet lui dira sur un ton sévère, à l’issue de ses belles-lettres (l’équivalent de la cinquième secondaire): «Compte tenu de vos résultats scolaires et de vos origines sociales, il est évident que vous ne pourrez jamais aller à l’université.» Pour le jeune homme, c’est un choc. «Je me souviens de m’être dit “Ah oui? C’est ce qu’on va voir.”» Quelque temps après, en effet, le vent tourne. Élu président de sa classe, Serge Larivée milite dans le mouvement étudiant et rédige son premier rapport de recherche, un projet de «cogestion disciplinaire» qui fera couler beaucoup d’encre et ébranlera la direction du collège. Puis, il quitte Québec pour s’inscrire au certificat en éducation spécialisée de l’Université de Montréal, l’ancêtre de la psychoéducation. Cette fois, il sera parmi les meilleurs. Après le certificat suivront le baccalauréat et la maitrise. Il effectuera ses études de doctorat à Genève et Lausanne sur le fonctionnement cognitif des délinquants. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1509/221/

L'UQTR obtient le financement pour la construction d'un pavillon interdisciplinaire en santé L'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) s'est vu confirmer le vendredi 16 mai par le ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) du Québec l'obtention du financement nécessaire à la construction d'un pavillon interdisciplinaire en santé. Près de 11 millions de dollars seront investis par le MELS dans ce projet, alors que l'UQTR y injectera, pour sa part, quelque 5 M$. http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=7413

L’Université de Montréal sur iTunes U
http://itunesu.umontreal.ca/ L'UdeM est la première université canadienne à diffuser des nouvelles par vidéo. L’Université de Montréal innove avec « Forum en clips », disponible sur YouTube, iTunes U et umontreal.ca http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1475/131 L’UdeM lance Forum en clips C’est avec beaucoup de fierté que l’Université met en ligne ses premières vidéos. La parole est ainsi donnée aux acteurs de la communauté !http://nouvelles.umontreal.ca/component/option,com_magazine/func,show_edition/id,48/Itemid,337 Exemple pour le moment: Audrey Lacroix en route pour Beijing Pour l’étudiante, la natation est devenue un mode de vie; La pomme de terre, ce légume incompris Mario Cappadocia dévoile tout le potentiel du tubercule; L’art de soigner les pianos Denis Brassard est technicien de piano. Il nous explique son métier; Le Moyen Âge, toujours d’actualité L’UdeM est la seule université québécoise qui offre un diplôme en études médiévales; Délia 2008 La 15e exposition des finissants de la Faculté de l’aménagement rend hommage à la religieuse Délia Tétreault; Architecture : Mercado de Barcel Alexandre Massé explique son projet de fin d’études; Architecture de paysage Marilyne Fleury et Mathieu Drapeau expliquent leur projet de fin d’études, Voie à suivre; Design industriel : Osmose 2018 Alain Massicotte explique son projet de fin d’études; Urbanisme : la mobilité des travailleurs du Grand Montréal Philippe Dubé explique son projet de fin d’études; Design d'intérieur : SubTERA, spa urbain Mariane Simonet présente son projet de fin d’études.

UQO Une faculté de médecine pour 2010?
www.radio-canada.ca/regions/ottawa/2008/05/15/006-uqo-faculte-medecine_n.shtml

Les profs sont déprimés
Les profs du secondaire étaient les plus malheureux de leur sort (19,4 % insatisfaits) tandis que ceux du préscolaire présentaient le plus haut indice de bonheur (94,3 % satisfaits). Les enseignants québécois ont les blues; presque trois profs sur quatre considèrent qu’ils font un métier ingrat et pas assez valorisant. Une enquête menée en 2005 par l’équipe de la professeure Joséphine Mukamurera de l’Université de Sherbrooke et présentée au dernier congrès de l’ACFAS donne une bonne idée du moral des troupes dans les écoles de l’après-réforme. Dans un volet de l’enquête faite auprès de 2000 enseignants, 14,6 % des répondants se sont dits plutôt ou tout à fait insatisfaits de leur carrière. Les profs du secondaire étaient les plus malheureux de leur sort (19,4 % insatisfaits) tandis que ceux du préscolaire présentaient le plus haut indice de bonheur (94,3 % satisfaits). Tous niveaux confondus, 71,2 % des profs étaient assez ou totalement en accord avec la prémisse voulant qu’ils font un métier ingrat et pas assez valorisant. www.cyberpresse.ca/article/20080604/CPSOLEIL/80603220/6730

Les biologistes, champions du doctorat
Les universités canadiennes ont décerné environ 4 100 doctorats entre le 1er juillet 2005 et le 30 juin 2006, révèle Statistique Canada. Les biologistes sont les plus nombreux à devenir docteurs. Ils sont suivis des diplômés en génie, en sciences humaines, en sciences sociales, en psychologie et en enseignement. La bonne nouvelle : 70 % des répondants ont déclaré avoir des projets professionnels fermes pour la première année suivant l'obtention de leur doctorat. www.statcan.ca/Daily/Francais/080521/q080521d.htm

La fête du haut savoir : L’Université de Montréal décerne cette année 10 860 diplômes! http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1515/221/ Le CHUV est ouvert! Il s’agit du plus moderne des centres hospitaliers universitaires vétérinaires du Canada http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1490/221

Formation, documentation
Pour contrer les pénuries de main-d’œuvre en science et en technologie. Des ados à motiver, pour des carrières «allumées» ! www.lbr.ca/article-21-8671.html Dossier spécial: Technosciences : des carrières allumées. Ce dossier est conçu pour rassembler les articles visant à faire la promotion des carrières scientifiques. Pour l’instant, il hébergera les 8 chroniques de la série : Une richesse sous-estimée : l’énorme potentiel des jeunes, publiées sur LBR.ca. Tel père tel fils… Et si cet adage, au pays des bleuets, ne tenait tout simplement pas la route… Ghislain Boivin : ingénieur de profession, entrepreneur par conviction La relève ne se bouscule plus au portillon des facultés de génie… Le recrutement de la main-d’œuvre qualifiée. Et vous, employeurs de la région-02, qu’en pensez-vous? Excellentes perspectives d’emploi pour les jeunes, à la condition que… Entrevue avec M. Clément Desbiens, économiste chez Emploi-Québec. Le recrutement des professionnels hautement qualifiés. Une conjoncture qui suscite le questionnement… À l’aube d’une prise de conscience collective… Les jeunes et l’apprentissage des sciences ! Une richesse sous-estimée : l’énorme potentiel des jeunes. Et si «relève en sciences », rimait avec urgence ? www.lbr.ca/dossier-10-1.html

Rio Tinto Alcan pourrait agrandir son usine de Saguenay Rio Tinto Alcan étudie la possibilité d'agrandir son usine d'aluminium de Saguenay, au Québec, un projet qui pourrait coûter jusqu'à 2,5 milliards $ US, selon le géant de l'aluminium. La société montréalaise a annoncé le 29 mai qu'elle accélérerait une étude de préfaisabilité pour agrandir son usine pilote AP50 et y ajouter une capacité de 140 000 tonnes - ce qui pourrait coûter entre 2 et 2,5 milliards $ US. L'étude de Rio Tinto évaluerait également une expansion additionnelle subséquente de 400 000 tonnes. Le travail préparatoire de l'usine pilote AP50 a déjà commencé. Le chef de la direction de Rio Tinto, Tom Albanese, avait déjà annoncé à la mi-avril que sa compagnie étudiait la possibilité d'agrandir ses opérations à Alma. L'étude d'agrandissement de l'usine pilote vient donc s'ajouter à ce projet. La première phase de l'usine pilote AP50 comptera 44 cuves et une production initiale de 60 000 tonnes d'aluminium par an, en utilisant une technologie de nouvelle génération et en fonctionnant grâce à l'hydroélectricité renouvelable. L'aluminium léger est notamment utilisé dans les industries automobile, aérospatiale et d'emballage. Le Québec se classe parmi les régions du monde les moins coûteuses pour la production d'aluminium, en raison de ses importantes provisions d'énergie hydroélectrique à faible coût. www.lesaffaires.com/article/0/mines-et-metaux/2008-05-30/478649/rio-tinto-alcan-pourrait-agrandir-son-usine-de-saguenay-.fr.html

Bourse du carbone à Montréal: c'est parti!
En partenariat avec la Bourse des valeurs mobilières de Chicago, la Bourse de Montréal ouvre officiellement le 30 mai le Marché climatique de Montréal. Le premier ministre Jean Charest, la ministre de l'Environnement Line Beauchamp et le ministre fédéral de l'Environnement John Baird participent à l'événement. La Bourse du carbone de Montréal, en partenariat avec celle de Chicago, permettra aux entreprises d'échanger des droits d'émission de gaz carboniques. La Banque mondiale estime que la valeur des transactions à l'échelle de la planète atteindra 92 milliards de dollars cette année. www.radio-canada.ca/nouvelles/environnement/2008/05/30/001-bourse-carbone-mtl.shtml

Bombardier cherche 750 nouveaux travailleurs
Le carnet de commandes de Bombardier Aéronautique est bien garni, si bien que l'entreprise montréalaise s'est placée en mode embauche. La filiale de Bombardier est à la recherche de 750 travailleurs dont 500 ingénieurs à Montréal au cours des deux prochaines années. Ces ingénieurs vont travailler sur différents prototypes d'avions dont le tout nouveau appareil Learjet 85, le CRJ1000 et les appareils qui formeront la Série C. Pour les autres postes, Bombardier est à la recherche de main-d'œuvre qualifiée dont des monteurs et des peintres d'avion. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080528/LAINFORMER/80528203/5891/LAINFORMER01

Les municipalité du Québec se mobilisent pour attirer la relève Les villes et municipalités du Québec n'échappent pas au problème de relève et la situation risque de se complexifier au cours des prochaines années. À Lévis, par exemple, la moitié du personnel-cadre va prendre sa retraite d'ici 10 ans. Au Québec, au moins 16 000 fonctionnaires municipaux partiront à la retraite d'ici 5 ans. L'Union des municipalités du Québec (UMQ) compte multiplier les efforts pour trouver la relève nécessaire, en intéressant les jeunes. Selon le président de l'UMQ, Robert Coulombe, il faut démystifier la fonction publique municipale auprès des étudiants en droit et en administration. Il est possible selon lui de mener une carrière intéressante dans l'une ou l'autre des 1100 municipalités de la province. « Souvent, les jeunes pensent que le milieu municipal, c'est uniquement faire du déneigement, de la voirie », soulève-t-il. L'UMQ s'associe à des universités et à des associations professionnelles pour redorer l'image des municipalités. Quatre bourses d'études et des stages rémunérés seront offerts dans cinq villes. Des foires de l'emploi seront aussi organisées. Ces mesures visent à pallier une erreur du passé, précise le directeur général de l'Association des directeurs généraux des municipalités du Québec, Claude Delisle : « Quand le directeur général partait, plus souvent qu'autrement, on allait chez le bras droit du directeur général et on lui donnait une promotion. Ce qu'on pouvait offrir aux jeunes n'était pas très reluisant. On a été probablement victime de ce conservatisme-là », explique-t-il. Les jeunes auraient ainsi davantage choisi jusqu'à maintenant de faire carrière au sein des gouvernements provincial ou fédéral plutôt qu'au municipal. www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/05/28/012-fonctionnaires-releves_n.asp

C'est l'heure des retraites à l'UQAR
L'Université du Québec à Rimouski met en place une stratégie pour planifier les départs à la retraite. D'ici 2014, 75 des 174 professeurs de l'UQAR seront partis à la retraite. Déjà cette année, 20 enseignants partiront. Ces départs s'ajoutent à tous ceux des employés de soutien et du personnel administratif. Ainsi au cours des six prochaines années, près de deux cadres sur trois devront être remplacés. Le vice-recteur Daniel Bénéteau estime qu'il s'agit d'un véritable défi pour l'université. « Il va y avoir un renouvellement extrêmement important de notre personnel au cours des cinq prochaines années », constate-t-il. Pour assurer un changement de garde tout en douceur, l'université a fait preuve de créativité en déployant d'ores et déjà une série de mesures. Parmi les moyens mis en place, l'institution embauche du nouveau personnel avant le départ de l'ancien pour assurer la transmission des connaissances. L'UQAR demande aussi à ses employés de consigner par écrit toutes les informations pertinentes à l'occupation de leur poste. C'est comme un répertoire, un genre de guide pour les personnes qui auront à prendre la relève éventuellement », explique M. Bénéteau. Ces mesures s'appliquent à tous les corps d'emploi. Étonnamment, selon la direction, c'est le personnel de bureau qui risque d'être le plus difficile à remplacer. www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/05/29/008-uqar-retraites_n.asp

Adieu, retraite?
La retraite obligatoire à l'âge de 65 ans a été instaurée à l'époque où l'espérance de vie des travailleurs n'atteignait pas 70 ans. De nos jours, elle dépasse les 80 ans, et les travailleurs de 65 ans sont souvent au sommet de leur forme intellectuelle. Le cerveau est d'ailleurs un organe qui se bonifie avec l'âge, comme le bon vin. La notion de retraite disparaîtra-t-elle pour autant? http://carriere.jobboom.com/marche-travail/tendances/2008/05/14/5561791.html

Canaliser les démonstrations émotives au travail
Les employeurs misent généralement sur la rationalité, l'efficacité, la technique, la rigueur, la performance et le profit. Dans cet univers, les émotions ont-elles leur place? Certains travailleurs veulent les anesthésier, alors que d'autres cherchent une manière de les exprimer. Il s'en trouve même pour dire qu'une bonne gestion des émotions peut nous aider à mieux travailler et, par ricochet, à mieux vivre. www.journaldunet.com/management/vie-personnelle/dossier/gerer-emotions-au-travail


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Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Programmes universitaires encore ouverts à l'admission www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=942 Raymond Jean, c.o.

À noter à votre agenda
Carrefour de l’orientation
(thème possible: L'orientation et la clientèle des services adaptés) le mercredi 26 novembre 2008 à l’UQAR-Lévis jumelé avec une rencontre avec les représentants des deux campus et la journée des partenaires de l’université Laval, le lendemain : jeudi le 27 novembre 2008

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

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