06 octobre 2009

V 8 No 7: Le bulletin de PsychoMédia

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin

La flambée des couleurs

Section Nouvelles www.acoc.info
Programmes universitaires ouverts à l'hiver 2010
Portes ouvertes dans les universités
Portes ouvertes dans les cégeps
Un poste d'api au Cégep de St-Laurent
Semaine québécoise de l'orientation

REMPLACEMENT d’un congé de maternité Avis de concours C-501-417-10-05 Conseiller d’orientation– régulier temps complet Campus Gabrielle-Roy (et Campus Félix-Leclerc au besoin) à Gatineau. Posséder au moins deux années d’expérience en tant que conseiller d’orientation; Posséder une expérience pratique dans les fonctions de conseil, d’assistance, d’animation et d’information auprès des étudiants et des enseignantes et des enseignants; Avoir une bonne connaissance du Règlement sur le régime des études collégiales et des programmes offerts par le Cégep; Le Cégep a l’intention de faire passer des tests de connaissance en français, des tests pratiques des logiciels et une mise en situation pratique ainsi qu’une mise en situation dans le cadre d’une entrevue. La personne intéressée doit faire parvenir son curriculum vitae, accompagnée des copies des relevés de notes et des diplômes ainsi que d’une lettre d’intérêt au poste par courrier, télécopieur (819-770-1870) ou par courriel (dirrh@cegepoutaouais.qc.ca ) au plus tard le 20 octobre à 16 h 00. Fin d’affichage : 2009-10-20 www.cegepoutaouais.qc.ca/index.php/le-cegep/offres-demploi/59-offres-demploi-personnel-professionnel/230-conseillere-ou-conseiller-dorientation

Le bulletin de PsychoMédia http://www.psychomedia.qc.ca/ , reconnue dans le secteur de la santé comme source d'information de qualité, permet de suivre les actualités de la recherche en psychologie, des applications et des innovations dans le domaine. Pour recevoir ce bulletin, inscrire son courriel à l’adresse suivante www.psychomedia.qc.ca/pn/bulletin.php Tests psychologiques et outils interactifs www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=6127 DOSSIER: Relation de couple et sexualité www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=4230 DOSSIER TROUBLES DE LA PERSONNALITÉ www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=4111 DOSSIER DÉPRESSION www.psychomedia.qc.ca/pn/modules.php?name=News&file=article&sid=3996 Une suggestion de Louise Dufresne CISEP au cégep Maisonneuve ldufresne@cmaisonneuve.qc.ca

Collégial
Documents utiles (PDF) en orientation proposé par Léo Blanchet c.o. retraité du collège Maisonneuve Pour faciliter son choix d’orientation, faut-il s’interroger sur les programmes ou sur les professions? Qui suis-je? Que vais-je faire dans la vie? Admis au Collège, mais pas dans mon premier choix de programme. Que faire pour me motiver? Réussir pour qui? Pourquoi? Les sciences pures et appliquées Les sciences de la santé. J'avais une idée de mon choix d'orientation, mais je veux l'éliminer, car les possibilités d'emploi dans ce domaine ne sont pas assez bonnes. J'aimerais qu'on m'aide ou j'aimerais aider. Il ne faut surtout pas que je me trompe de choix d'orientation car je vais exercer cette profession toute ma vie! Mon choix d'orientation au cégep fut une erreur. Au cégep, je ne suis pas aussi fort que je l'aurais cru. Si je ne réussis pas, c'est que je ne suis pas motivé. Les clefs du succès. Y en aurait-il plusieurs? S'orienter à partir de soi. Dans quelle catégorie d'étudiants je me situe? Étudiants décidés, étudiants qui précisent leur choix, étudiants qui explorent ou étudiants qui subissent. Les étapes d'un choix d'orientation professionnelle. Mes notes me permettent-elles d'accéder à mon programme d'études? www.cmaisonneuve.qc.ca/?447340A7-B562-431E-A77C-79F4867A1BF2

Outils d'aide à l'apprentissage LA BOÎTE À OUTILS du Cégep régional de Lanaudière à Joliette
1- L'attention et la concentration 2- La mémoire 3- La prise de notes 4 -La gestion du stress 5- La lecture et l'étude 6- La préparation aux examens 7- La passation des examens 8- La rédaction des travaux écrits 9- Le travail d'équipe 10- La gestion du temps 11a- Planification de session Planification de session (grille vide) Planification hebdomadaire et planification hebdomadaire (grille vide) 11b-Auto évaluation de mon usage du temps 12- Conseils pour bien réussir au cégep. Références et sites Web pertinents www.cegep-lanaudiere.qc.ca/Repertoire/000701/default.asp?SiteId=3&ResId=701

Les employeurs prévoient octroyer en 2010 des hausses de salaires moyennes de 2,5%. Les augmentations salariales accordées en 2010 devraient être inférieures à celles consenties en 2009, année où le tiers des entreprises ont choisi de geler le salaire de leurs employés. Que vont faire les employeurs après la crise ? C¹est ce qui ressort du plus récent Dossier annuel du Conseil du patronat du Québec préparé avec l¹aide de quatre grandes firmes de consultation en ressources humaines. Les employeurs sondés dans le cadre de ce dossier prévoient en 2010 octroyer des hausses de salaires moyennes de 2,5% au niveau canadien, une proportion qui variera moins qu¹au cours des dernières années entre les différentes régions du pays. Contrairement aux dernières années, le secteur public est le secteur de l¹économie où les hausses salariales devraient être les plus importantes, suivi du secteur du pétrole et du gaz. Sans surprise, le secteur financier est celui où les entreprises prévoient verser les moins fortes hausses en 2010. www.lesaffaires.com/article/0/economie/2009-10-01/498795/salaires--2010-sera-pire-que-2009.fr.html

Des hausses de salaire plus faibles l'an prochain qu'en 2009. Le Conseil du patronat du Québec s'attend à des augmentations salariales moyennes fluctuant autour de 2,5 pour cent pour le Canada l'an prochain. Dans une étude publiée jeudi, l'organisme prévoit cependant des augmentations plus modestes au Québec et en Ontario. L'Alberta et la Saskatchewan devraient mener le bal en matière d'augmentations salariales. De façon générale, le CPQ estime que les augmentations accordées l'an prochain par les employeurs seront généralement inférieures à celles de 2009. Les salaires devraient cependant varier selon les secteurs d'activité. Ainsi, les augmentations seront plus importantes dans le secteur public, les assurances, et aussi dans celui des produits pharmaceutiques. Les travailleurs qui s'en tireront le moins bien se retrouveront dans les secteurs manufacturier et du commerce de détail. Les travailleurs qualifiés qui sont en forte demande devraient toutefois obtenir de meilleures augmentations. Norma Kozhaya, directrice de la recherche au CPQ, a expliqué que malgré la récession, les entreprises ont besoin de main-d'oeuvre pour certaines catégories de travailleurs qualifiés. Ainsi, des augmentations leur seront accordées pour les fidéliser et pour les motiver, selon elle. Les données de cette étude permettront au CPQ et à ses membres d'évaluer le marché du travail en prévision de l'année qui vient. Elle pourra servir de référence selon les secteurs et les catégories d'emploi. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/200910/01/01-907395-des-hausses-de-salaire-plus-faibles-lan-prochain-quen-2009.php

La forêt, un métier à redécouvrir L'école de foresterie et de technologie du bois de Duchesnay, le Cégep de Sainte-Foy et l'Université Laval font découvrir cette semaine aux étudiants du secondaire les métiers de l'industrie forestière. Pénurie de main-d'oeuvre dans le secteur forestier. La phrase étonne alors que les scieries et les papetières annoncent fermeture après fermeture, au point de faire 10 000 chômeurs. La pénurie de main-d'oeuvre en forêt est un argument de vente utilisé par Jean Dunnigan pour inciter les jeunes à s'inscrire au programme de technologie forestière du Cégep de Sainte-Foy. L'école de foresterie et de technologie du bois de Duchesnay, le Cégep de Sainte-Foy et l'Université Laval font découvrir cette semaine aux étudiants du secondaire les métiers de l'industrie forestière. Une industrie dont l'image est plutôt négative ces temps-ci, constate M. Dunnigan, coordonnateur au département de technologies du bois du Cégep. Les usines ferment, mais l'aménagement des forêts doit continuer, et prendra même de l'ampleur, disent unanimement les représentants des centres de formation. Notamment en raison de la création des aires protégées et la volonté du gouvernement de confier la gestion des forêts aux régions. Le boulot ne manque pas en forêt, d'illustrer Simon Talbot. Le conseiller pédagogique de l'école de foresterie de Duchesnay précise que tous les étudiants inscrits à des cours en foresterie sont assurés, ou presque, de trouver rapidement du travail. Oubliez les emplois en usine. De l'emploi pour tous parce que le nombre d'étudiants est moins élevé. À l'Université Laval, une trentaine d'étudiants veulent devenir ingénieur forestier. À une certaine époque, ils étaient une centaine. Cégep de Sainte-Foy, le cours de technologie forestière est dispensé à une centaine d'étudiants, dont 47 en première année. Ils ont déjà été 120. Le collège n'accueille plus qu'un seul étudiant au cours de technologie de la transformation des produits forestiers, un finissant. L'école de foresterie de Duchesnay offre sept formations pour obtenir un diplôme d'études professionnelles (DEP). Là aussi, plus le cours se rapporte à un travail en usine, moins il est populaire. Le cours de sciage et classement a attiré cinq étudiants, six fois moins qu'à une certaine époque. Lorsque les usines tournaient à plein régime, le cours d'affûtage comptait 40 étudiants. Il n'y en a qu'un seul présentement, sur place spécifiquement à la demande d'une entreprise. Mais une carrière en aménagement a toujours la cote. Le métier de bûcheron n'est pas mort. Cinq jeunes suivent les 900 heures du cours d'abattage manuel et débardage forestier, mieux connu sous le nom de bûcheron. www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/200909/29/01-906802-la-foret-un-metier-a-redecouvrir.php

Francisation: des cours «trop» populaires Pour réduire les listes d'attente dans les programmes de francisation, le ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles enverra bientôt 440 allophones suivre leurs cours à la Commission scolaire de Montréal. www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/education/200910/04/01-908384-francisation-des-cours-trop-populaires.php

Industrie de l'humour. L’humour à tous les degrés. L’époque où l’on pouvait compter les humoristes québécois sur les doigts d’une main est révolue. Aujourd’hui, l’industrie de l’humour fournit de l’emploi direct et indirect à des milliers de travailleurs. http://carriere.jobboom.com/marche-travail/secteurs/arts/2009/09/22/11051076-je.html

Étude sur la place de la main-d'œuvre étudiante dans l'industrie touristique. Les défis actuels et des pistes de solution pour l'avenir La question de la disponibilité de la main-d'œuvre étudiante est une problématique majeure pour l'industrie touristique. À cause de la forte saisonnalité, les employeurs recrutent souvent dans ce bassin de main-d'œuvre. Toutefois, plusieurs paramètres tels que les contraintes liées au calendrier scolaire, qui ne coïncide pas toujours avec les périodes de haute saison touristique, ainsi que les grands enjeux démographiques auxquels la société québécoise est confrontée, ont un impact grandissant sur le recrutement de cette catégorie de travailleurs. Consultez l'étude pour mieux comprendre les enjeux de maintien du niveau d'attractivité des emplois et de croissance des bassins de recrutement alternatifs, et pour explorer quatre grandes pistes de solutions. www.cqrht.qc.ca/minformer-sur-le-marche-du-travail/defis-et-enjeux

Universitaire
Campus satellite de l'Université Laval: Un projet qui suscite de l'enthousiasme Le projet de campus satellite de l'Université Laval pour la formation de jeunes médecins généralistes à Rimouski suscite beaucoup d'enthousiasme au Bas-Saint-Laurent. Les professionnels du réseau, le milieu politique et les responsables des maisons d'enseignement souhaitent fortement participer au développement du projet dans tout l'Est du Québec. Le Dr Jacques Levasseur, de l'Agence de la santé et des services sociaux du Bas-Saint-Laurent, soutient que la décentralisation de la formation aidera grandement à attirer de jeunes médecins généralistes, ce qui permettra ainsi d'améliorer l'accessibilité et la continuité des soins. Le Dr Levasseur estime que le projet de campus satellite est aussi important que celui qui a vu naître au début des années 1990, le centre de traitement du cancer de Rimouski qui dessert tout l'Est du Québec. « C'est aussi gros, si non plus, parce que lorsqu'on parle de formation médicale, on dépasse largement le cancer. Le cancer c'est une pathologie à travers d'autres. » Un premier groupe de quatre étudiants en médecine poursuivent leur formation à Rimouski depuis septembre. La première étape du projet est d'arriver à former et à encadrer chaque année 24 externes. Le président-directeur général de l'Agence régionale de santé, Claude Lévesque, confirme l'enthousiasme qu'il y a actuellement autour de ce projet. À son avis, il s'agit d'une initiative mobilisatrice qui motive tout le monde à commencer par les médecins eux-mêmes. « Cela signifie un bris de morosité significatif de la part de la corporation médicale sur le territoire du Bas-Saint-Laurent. » Par ailleurs, la participation de l'Université du Québec à Rimouski (UQAR) et du Centre de recherche sur les biotechnologies marines, notamment, permettrait de diversifier les sources de financement pour construire de nouveaux locaux, des laboratoires et acheter de l'équipement. L'UQAR croit pouvoir jouer un rôle concret dans l'avènement d'un campus satellite de l'Université Laval pour l'enseignement de la médecine dans la région. Le programme mis en marche cet automne à l'hôpital régional de Rimouski consiste à offrir les stages aux étudiants de 3e et 4e année. « Nous leur avons offert tous les services d'encadrement para-académiques. Les gens ont besoin de prêts et bourses, de services psychologiques, du centre sportif, etc. Il y a possibilité pour nous d'interagir et les discussions sont bien enclenchées là-dessus. À long terme, je pense l'objectif de la région, c'est d'avoir toute la formation en médecine », souligne le recteur de l'Université du Québec à Rimouski Michel Ringuet. www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2009/10/05/002-campus-satellite-medecine.shtml

FONCTION PUBLIQUE Secteur public: 543 842 employés L’administration publique québécoise n’a pas été mise au régime depuis belle lurette et sa liste de paye compte les noms de 543 842 personnes, indiquent des documents du Trésor et de la Commission administrative des régimes de retraite et d’assurances. Sauf durant la période de l’atteinte du déficit zéro exigé par Lucien Bouchard, en 1996, les effectifs ont augmenté sans cesse. Dans la santé, l’éducation, on a bien sûr embauché de nouveaux profs et des infirmières, mais l’administration des « réseaux » et les entités « hors fonction publique » ont vu leurs effectifs de mieux en mieux garnis au fil des ans. Si l’on établit généralement l’effectif de la fonction publique à 55 000 personnes, il est en réalité de 71 000 puisqu’il faut ajouter le personnel des multiples organismes publics et parapublics, souvent inconnus du grand public, et identifiés comme « fiduciaires » ou « autres que budgétaires ». Mais ils sont tous liés au budget du Québec. Il y a donc aujourd’hui des dizaines de milliers de personnes de plus dans le secteur public qu’il y avait à l’époque où les libéraux prônaient la réingénierie. De 2005 à aujourd’hui, la liste de paie s’est allongée de 25 000 noms. Selon des documents officiels du Conseil du trésor, la rémunération est donc passée de 27 milliards, en 2004-2005, atteignant plus de 32,7 milliards cette année, soit 60 % des dépenses de programmes. Les salaires proprement dits comptent pour 28,4 milliards auxquels s’ajoutent les congés de maladie accumulables, les régimes de retraite, les vacances, etc. En fait, jamais le nombre d’employés de l’État n’a été réduit; au contraire, il a sans cesse augmenté, sauf en 1996, quand les retraites ont été ordonnées. Le relevé précis du nombre de personnes recevant une paye du gouvernement québécois se trouve dans le rapport annuel de la Commission administrative des régimes de retraite et d’assurances, la CARRA, une société publique à l’usage exclusif des employés de l’État. On y mentionne qu’il y a plus de 543 800 personnes participant aux régimes de retraite publics et que déjà plus de 247 000 reçoivent des allocations de retraite. Ces chiffres doivent être additionnés aux effectifs municipaux et fédéraux. Au début de 2003, soit avant l’arrivée des libéraux, l’État québécois comptait exactement 508 405 employés et assurait les vieux jours de 179 000 retraités. Six ans plus tard, malgré les « compressions », les départs à la retraite et les progrès de la technologie, le Québec compte 40 000 employés de plus et 50 000 retraités de plus. S’il y a des mises à la retraite ici et là dans les ministères, les remplacements sont nombreux et ne respecte pas toujours la règle du « un sur deux ». Ainsi, depuis cinq ans, le gouvernement mise sur ce phénomène naturel qui n’a aucun effet réel sur son budget. http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/quebec/archives/2009/09/20090930-214952.html

Le défi d'être médecin de famille
Ce n'est un secret pour personne, le Québec manque dramatiquement de médecins de famille. En avril dernier, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec, qui reconnait la médecine familiale comme une spécialité, déplorait que 72 places soient demeurées vacantes dans les programmes universitaires de médecine familiale, soit 19 % des postes en résidence, alors que les processus d'admission étaient complétés. Il y a un an, la même fédération réclamait l'adoption urgente d'une politique nationale sur la médecine familiale afin de valoriser cette pratique. «Le médecin de famille est une espèce menacée», affirme Marie-Dominique Beaulieu, professeure au Département de médecine familiale et médecine d'urgence et chercheuse au Centre de recherche du CHUM. Ce constat découle de deux enquêtes qu'elle a réalisées sur la pratique de cette profession au Canada,au Québec, en France et en Belgique. Dans chacun de ces pays, le bilan est le même: la médecine générale ou familiale est dépréciée tant dans la formation que par les médecins spécialistes. «Tous les résidents interviewés croyaient fermement que leur profession était sous-évaluée par la faculté de médecine où ils ont été formés», écrit la Dre Beaulieu dans un article signé avec sept autres collègues dans le numéro du mois d'aout du magazine Le médecin de famille canadien. «Le message perçu était que leur choix de carrière était moins prestigieux, manquait d'ambition, quand il n'était pas carrément dénigré», ajoute-t-elle en entrevue. Même les professeurs qui enseignent dans cette branche disent observer une attitude similaire de la part de leurs confrères de disciplines spécialisées. Ce phénomène n'est pas nouveau et la tendance se serait amorcée il y a déjà une trentaine d'années avec la surspécialisation. Aux États-Unis, c'est encore pire qu'ici: alors que 45 % des médecins du Québec et 35 % de ceux du Canada assument des tâches de médecine familiale, les médecins américains ne sont que 15 % à en faire autant. En France et en Belgique, la médecine générale était jusqu'à tout récemment considérée comme un «non-choix» et ce n'est que depuis peu que les facultés de médecine offrent des cours propres à la médecine familiale. Des deux côtés de l'Atlantique, on cherche toutefois à corriger la situation afin de redonner à cette pratique ses lettres de noblesse. La Faculté de médecine de l'UdeM procède d'ailleurs présentement à une révision de son programme de premier cycle avec cet objectif en tête. «Au Canada, nous sommes en avance sur la France, la Belgique et les États-Unis, mais en retard par rapport à l'Angleterre, aux Pays-Bas et aux pays scandinaves, qui ont beaucoup valorisé la médecine familiale», signale la Dre Beaulieu. www.guidesanteenligne.com/news_mail.asp?ID=119367

L'UQTR dans les médias
Revue de presse: Visite au pavillon interdisciplinaire en santé. Coup d'œil sur le pavillon interdisciplinaire en santé. Reportage diffusé à TVA CHEM. Mercredi 30 septembre 2009. http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=8547

Inauguration du Campus de l’Université de Montréal en Mauricie. La Mauricie devient le 4e pôle de formation médicale au Québec en inaugurant le nouveau Pavillon d’enseignement du CHRTR. Le Campus de l’Université de Montréal en Mauricie, logé dans le tout nouveau Pavillon d’enseignement du Centre hospitalier régional de Trois-Rivières (CHRTR) a été inauguré par le ministre de la Santé et des Services sociaux, le Dr Yves Bolduc. La Mauricie devient le 4e pôle au Québec à dispenser le doctorat en médecine en s’ajoutant à Montréal, Québec et Sherbrooke. Déjà, près de 215 étudiants et médecins résidents poursuivent leur formation au Centre hospitalier régional de Trois-Rivières, à l’Université du Québec à Trois-Rivières et au Centre de Santé et de Services sociaux de l’Énergie. http://www.nouvelles.umontreal.ca/campus/campus-regionaux/inauguration-du-campus-de-luniversite-de-montreal-en-mauricie.html

Formation, documentation
Guy Laliberté arrive à bord de la Station spatiale. M. Laliberté a lancé: «Je m'adapte très bien» avant de s'adresser brièvement en français à ses cinq enfants et sa conjointe. Guy Laliberté, qui célèbre ses 50 ans cette année, a payé 35 millions $ US pour participer à la mission. Le Québécois séjournera pendant neuf jours à bord de la Station spatiale internationale. Guy Laliberté, qui a créé la Fondation One Drop, entend utiliser son périple pour sensibiliser la population aux enjeux de l'eau sur la Terre. Dans cette optique, un spectacle planétaire se déroulera le 9 octobre. www.cyberpresse.ca/sciences/astronomie-et-espace/200910/02/01-907674-guy-lalibertearrive-a-bord-dela-station-spatiale.php (vidéo sur ce lien)

Conductrice de pelle mécanique à 25 ans Âgée de 25 ans, la Sherbrookoise Marie-Claude Dionne est unique au Québec: c'est qu'en plus d'être conductrice de pelle mécanique, elle gagne sa vie depuis un peu plus d'un an comme entrepreneure en excavation! «Nous sommes 12 conductrices de pelle mécanique au Québec. Pour ce qui est des femmes entrepreneures en excavation, je n'en connais pas d'autre», observe-t-elle, consciente de travailler dans un milieu traditionnellement occupé par les hommes. «Je suis le cerveau d'une machine. Ce n'est pas un travail physique directement», fait-elle remarquer à cet égard. Diplômée depuis sept ans en machinerie lourde, Marie-Claude Dionne a aussi suivi une formation en écologie au cégep, puis son goût de lancer sa propre entreprise l'a amenée en 2007 à recourir aux services de formation entrepreneuriale de Pro-Gestion Estrie. Elle avait déjà l'assurance d'avoir un service particulier à donner, soit l'excavation des berges, avec comme spécialité la préparation des terrains de lacs artificiels. Autre particularité: pas question que sa pelle mécanique fonctionne avec de l'huile autre que biodégradable. L'huile biodégradable est évidemment saine pour l'environnement en cas de bris mécanique; elle est cependant plus coûteuse à l'achat. «C'est un peu plus cher l'heure, mais sur un ouvrage complet, c'est négligeable, compte tenu des risques», explique-t-elle. «Et les riverains tiennent à garder leur environnement et leur lac propres, sans casser les arbres». C'est là qu'entre en ligne de compte la valeur de ses connaissances sur les types d'enracinement des arbres. «Ce n'est pas juste du maniement de pelle», fait-elle valoir. Au-delà de ses connaissances et de son souci du détail, il lui fallait davantage afin de jeter les bases de sa propre entreprise. C'est précisément à ce moment qu'elle s'est adressée à Pro-Gestion Estrie, un organisme qui fournit son expertise pour aider les entrepreneurs à bâtir leur plan d'affaires. «Je suis une femme de défis, dit-elle. Je suis arrivée chez Pro-Gestion avec mon idée d'entreprise en novembre 2007. On a synthétisé mes idées et on les a mises sur papier. On m'a expliqué comment bien me structurer». Pro-Gestion l'a accompagnée pendant deux mois avec une formation de 80 heures et l'a aidée à dresser son plan d'affaires pour lancer BioExcavation. Avec 10 000 $ en liquide et 25 000 $ d'équipement qu'elle a fournis, elle a obtenu une subvention de 10 000 $ de la Fondation canadienne des jeunes entrepreneurs, puis 4 500 $ par le biais de Jeunes promoteurs (un programme maintenant lié à Innovation et développement économique Sherbrooke), et elle a reçu le soutien aux travailleurs autonomes d'Emploi-Québec pour environ trois mois d'assurance-emploi. Et elle a loué de l'équipement pour 150 000 $. Pro-Gestion continue aujourd'hui son accompagnement, explique le conseiller en gestion d'entreprise Rémy Bélanger. «Une fois par mois, dit-il, je fais du suivi à l'entreprise, sur la comptabilité, sur l'implication des états financiers. On donne des conseils, sur comment aller chercher les ventes, la clientèle et tout». En 25 ans, de 1983 à 2008, en plus de ses multiples services d'accompagnement spécialisés, Pro-Gestion Estrie a épaulé le lancement de 1 181 entreprises qui ont créé au début 2 641 emplois. Cet appui soutenu est tel que 65 % de ces entreprises ont franchi le cap des cinq ans d'activité, comparativement à un taux de survie de 34,2 % pour l'ensemble du Québec. «Le plus difficile est de se bâtir une clientèle», raconte la jeune entrepreneure, qui fait des journées de 16 heures. Repérage, soumissions, travaux d'excavation, facturation, comptabilité, le travail ne manque pas. Son conjoint l'épaule dans son projet. «Nous sommes en train de bâtir des locaux pour le printemps», souligne-t-elle fièrement en constatant la progression de son entreprise installée en location dans un parc industriel de Sherbrooke, rue Garlock. www.cyberpresse.ca/la-tribune/economie/200910/02/01-907801-conductrice-de-pelle-mecanique-a-25-ans.php

Répertoire d'activités d'intervention Créé en 2005, ce répertoire d'activités recense un ensemble d'interventions visant à favoriser la réussite étudiante en enseignement supérieur. Il a vu le jour grâce à la collaboration de plusieurs cégeps et universités. En 2008, le Consortium a procédé à une mise à jour afin de mieux répondre aux besoins des milieux utilisateurs. L’objectif général de cet outil collectif est de favoriser l’alliance de la pratique et de la recherche et plus précisément de Diffuser et promouvoir les connaissances issues de la pratique et de la recherche. Contribuer au développement et à l’enrichissement des connaissances. Viser l’intégration des connaissances par le développement d’outils et d’activités d’appropriation. Faciliter le travail des utilisateurs pour accéder à la pratique et à la recherche. Nous vous invitons à contribuer au répertoire ou nous informer de votre intérêt à cette adresse : capres@uquebec.ca www.uquebec.ca/capres/act_int.cfm

À partir de Repères (nouveauté)
Accès au répertoire des entreprises d'Emploi-Québec via la liste des employeurs d'une profession



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Documents sur l'admission universitaire
Le Guide d'admission universitaire au trimestre d'hiver 2010 sera mis en ligne très bientôt. www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915
Raymond Jean, c.o.

Nouveau moteur de recherche pour retrouver un article dans les archives du bulletin Remarquez le moteur de recherche du bulletin sur le site à droite. Il suffit d'entrer un mot significatif et vous obtenez les numéros archivés (des 4 années et 119 numéros) sur le sujet recherché ainsi que les liens Internet consultés. Fameux ! L'essayer, c'est l'adopter. http://quelquechosedelacoc.blogspot.com/

À noter à votre agenda
En 2010, au lieu d’organiser un congrès, nous planifions participer au colloque de l’Ordre qui aura lieu les 2, 3 et 4 juin 2010 au Centre des congrès de Québec. http://www.occoppq.qc.ca/ L'ACOC organisera une journée précolloque pour ses membres.

En 2011, le 9e congrès de l’ACOC aura lieu en partenariat avec l’UQTR
les 1er, 2 et 3 juin. Lien du
diaporama du VIIIe Congrès 2009 http://picasaweb.google.com/ACOCinfo/ACOC2009VIIIeCongres#slideshow

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC ACOC@videotron.ca


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