10 juin 2007

V 5 No 42: État de l'avancement des travaux au calcul de la cote R moyenne par programme


Vous trouverez sur le site de l’ACOC www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=921 le rapport d’activités 2006-2007 du Conseil exécutif, les photos et le programme du 6e congrès 2007 au HEC Montréal dont le thème était « Sortir du cadre »

Quel type d'acteur politique êtes-vous? http://questionnaire.hec.ca/H2007/ACOC Indiquez si vous êtes en accord ou non avec chacun des énoncés suivants. Merci de répondre à ce questionnaire électronique avant le 18 juin 2007.Après cette date, je serai heureux de vous transmettre par courriel la répartition des types d'acteur politique parmi celles et ceux qui ont assisté à ma présentation du 31 mai à HEC Montréal. Pierre Lainey

Vous trouverez ci-dessous l'état de l'avancement des travaux relativement au calcul de la cote R en ce qui concerne les cours substituts (prévus pour l’automne 2009
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=951). Il s'agit d'un extrait non approuvé du procès-verbal de la réunion du CGBEC du 5 avril. En bref, le système SOCRATE tiendra compte de tous les cours du système collégial reliés à un objectif pour le calcul de la cote R programme peu importe si les collèges ont déclaré des SU ou non. SOCRATE tiendra compte de tous les cours reliés à un programme peu importe où les cours auront été suivis. Les cours non reliés à ce programme, SU ou non, ne seront pas considérés dans le calcul de la cote R, ce qui enlèvera la pression du marchandage de la part des élèves. Les SU représentent moins de 3,7% de tous les cours. Au terme des échanges, les membres conviennent de consulter leurs instances respectives sur la proposition mise de l’avant… à l’effet que tous les cours de la formation générale et spécifique liés au programme, indépendamment du collège où ils ont été suivis, soient retenus aux fins du calcul de la CRC moyenne par programme. Avec une telle approche, il ne serait donc plus nécessaire de se référer au concept de substitution de cours. Par conséquent, en plus de permettre de prendre en compte la quasi-totalité des cours suivis par l’étudiant, cette avenue offrirait l’avantage d’être simple à gérer et à expliquer... De plus, si la solution retenue permettait d’être développée rapidement et qu’elle n’impliquait pas la déclaration par les collèges du lien entre cours substituts et cours substitués, des simulations pourraient être faites au cours de l’automne 2007 avec les données générées par le système Socrate. Cliquez sur la page pour l'agrandir.


Info collégiale
Les fautes de français continueront d'être recensées au collégial.
La ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, a passé à la déchiqueteuse hier un rapport commandé par son ministère qui propose de ne plus comptabiliser les fautes d'orthographe et de syntaxe dans la correction de l'épreuve finale de français au cégep
www.cyberpresse.ca/article/20070607/CPSOLEIL/70606278/6787 et www.cyberpresse.ca/article/20070606/CPACTUALITES/70606095/6488. «Oh mon Dieu!» a lancé la ministre, indignée, lorsqu'un journaliste lui a dit que ce rapport associe le décompte des fautes à une «approche judéo-chrétienne» trop punitive. «Ce rapport n'a aucun sens», a-t-elle soupiré. La ministre croit qu'«il y a lieu de faire évoluer la pédagogie et la façon d'enseigner sauf que ça ne doit pas se faire au détriment de notre capacité de savoir si notre enfant sait lire, écrire et compter». Faire le décompte des fautes est à son avis «indispensable» pour «mesurer le niveau de connaissances» d'un élève. Cette approche n'est pas «punitive», car elle permet plutôt à un étudiant de «s'améliorer», selon elle. «La langue française, c'est ce qui nous définit comme nation. Il faut en être très fier et la respecter, cette langue-là. Pour la respecter, il faut savoir l'écrire. Il faut qu'on soit capable de réussir des examens de français.» Rappelons que les collégiens doivent réussir l'épreuve uniforme de français pour obtenir leur diplôme. Le taux de réussite avoisine les 85%. Une maîtrise déficiente du français est responsable de la plupart des échecs. Si un élève fait plus de 30 fautes dans son texte de 900 mots, il échoue à l'examen. Michelle Courchesne entend demander des comptes à la direction de l'enseignement collégial de son ministère qui a commandé le rapport et qui défend l'approche préconisée par Richard Berger. www.cyberpresse.ca/article/20070607/CPACTUALITES/706070608/1019

Enseignement collégial : La fôte ne compte plus !
L'Association des professionnels de l'enseignement du français au collégial (APEFC) qualifie de déplorables les conclusions d'un rapport qui propose de ne plus tenir compte des fautes d'orthographe, de syntaxe et de ponctuation à l'examen obligatoire de français au terme des études collégiales. Le fonctionnaire responsable de l'enseignement collégial au sein du ministère, Christian Ragusich, lui, estime que les conclusions du rapport ne consistent aucunement en une tentative de nivellement vers le bas pour accroître le taux de réussite des élèves francophones québécois. Actuellement, les correcteurs d'épreuves du ministère comptabilisent, entre autres, le nombre de fautes de syntaxe, de ponctuation, de grammaire et d'orthographe pour établir une note sur la qualité de la langue. Au-delà de 30 fautes dans la copie de 900 mots, c'est l'échec
www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/Quebec/2007/06/06/004-faute_cegep.shtml

Le sort du français au cégep
Après six années d'école primaire et cinq années d'école secondaire en français, il ne devrait plus y avoir de problème de français écrit chez les étudiants du cégep. Si tel n'est pas le cas, il demeure nécessaire d'améliorer la connaissance du français même à ce stade avancé des études, avant l'entrée à l'université ou dans le monde du travail. Il est encore temps de corriger les faiblesses. Et cette correction n'a rien de "punitif", c'est un service que l'on rend aux étudiants en leur apprenant à écrire sans faute d'orthographe, de syntaxe ou autre. Nous vivons dans un monde où la communication a énormément d'importance. Or un texte criblé de fautes ne facilite certainement pas sa compréhension et en mine d'emblée la crédibilité.
www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=69289&B=1

Cégeps : des programmes en péril
Dans le cadre du 21e congrès de son Conseil central, à Rivière-du-Loup, la Confédération des syndicats nationaux (CSN) a manifesté son inquiétude quant à l'avenir d'une vingtaine de programmes de formation actuellement offerts dans les quatre cégeps du Bas-Saint-Laurent, dont ceux de Matane et d'Amqui. Selon la CSN, 23 des 49 programmes existants risquent de disparaître en raison du déclin de la clientèle étudiante. Le Conseil central est invité à prendre l'engagement de défendre le réseau collégial, afin de convaincre Québec qu'il doit changer les règles de financement des programmes en difficulté de recrutement. La présidente du Conseil central, Raymonde Robinson, affirme que la disparition de ces programmes aurait de graves conséquences. Mme Robinson craint que les élèves s'inscrivent dans des cégeps d'autres régions qui donnent les formations, entraînant un plus grand exode des jeunes.
www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/est-quebec/2007/06/07/003-cegeps-csn.asp

Le tiers des cégeps prennent le virage vert
En effet, 25 cégeps et collèges ont choisi depuis trois ans de poser des gestes concrets pour la protection de l'environnement, obtenant la certification de «cégep vert du Québec». Cette certification s'appuie sur des objectifs réalistes et ne signifie pas que les maisons d'enseignement se sont imposé des objectifs sur le volume de déchet récupéré ou la réduction de gaz à effet de serre. Actuellement, près de 60 000 étudiants, 35 000 employés et des centaines de collaborateurs sont impliqués dans les projets.
www.cyberpresse.ca/article/20070607/CPACTUALITES/70607099/1019

Formation de techniciens ambulanciers - Trois cégeps proposent un partenariat et demandent une autorisation de programme en soins préhospitaliers d’urgence Les cégeps de Rivière-du-Loup, de l’Abitibi-Témiscamingue et de Chicoutimi déposaient en février dernier une demande conjointe d'autorisation du nouveau programme de DEC en Soins préhospitaliers d'urgence (SPU) auprès du ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport d'alors, monsieur Jean-Marc Fournier. La réponse était attendue pour le printemps mais compte tenu de la période électorale, cette dernière se fait attendre alors que, pour pouvoir admettre des étudiants à l'automne 2008, l'autorisation doit être obtenue dans les prochaines semaines. Ce nouveau programme est actuellement offert dans deux cégeps urbains, soit Sainte-Foy et le Collège Ahuntsic. Il est prévu qu'une autre autorisation d'une soixantaine d'admissions annuellement soit accordée pour desservir les besoins régionaux. La situation de constante pénurie de personnel ambulancier dans chacune des régions, confirmée par les Agences de la santé et des services sociaux, a incité les trois cégeps à se regrouper pour déposer une demande conjointe qui divise en trois le contingent de 60 étudiants par année afin de permettre une réponse adaptée aux besoins de la région tant en qualité qu'en quantité. Les directeurs généraux des trois institutions jugent qu'il est tout à fait raisonnable de recruter, de former et de placer les 20 à 25 diplômés annuellement dans ces trois régions. Le Cégep de Rivière-du-Loup dispense actuellement le programme d'Attestation d'études collégiales d'un an en Transport ambulancier.
www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=68996&B=1

Emplois étudiants : total revirement de la part du gouvernement
Tous les organismes ayant bénéficié l'an dernier du programme d'emploi-étudiant du ministère des Ressources humaines du Canada obtiendront cette année le même montant que l'année dernière en subventions, pour financer l'embauche de leur main-d'oeuvre. Ottawa fait donc volte-face, en accordant un montant d'environ 2000 $ par étudiants embauchés. Une multitude d'organismes touristiques de la province avaient essuyé un refus lors de leur demande plus tôt ce printemps, en raison de changements dans les critères d'admissibilité. Les intervenants de l'industrie touristiques exigent qu'Ottawa change ses critères, afin d'éviter que la situation se reproduise l'an prochain.
www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/est-quebec/2007/06/04/006-emploi-etudiant.asp

Les entreprises qui recrutent des étudiants
Des milliers d'entreprises à travers le Québec ont été consultées afin de savoir quels seront leurs besoins de main-d'oeuvre au cours des 18 prochains mois. Trouvez ci-dessous celles qui ont affirmé qu'elles allaient embaucher des étudiants.
www.monemploi.com/mon_emploi/chercher/entreprise_etudiant/default.html

Les semaines de 50 heures des adolescents
Paresseux, les ados? Que non. Une récente étude de Statistique Canada indique que leurs horaires peuvent être très chargés. En 2005, ils ont effectué en moyenne 7,1 heures de travail rémunéré et non rémunéré par jour. Cette situation a des inconvénients : 16 % des adolescents interrogés se considéraient comme des bourreaux de travail et 64 % réduisaient leurs heures de sommeil pour pouvoir tout accomplir.
www.statcan.ca/Daily/Francais/070523/q070523b.htm

Info universitaire
Les dates des conférences sur l’admission en sciences de la santé édition 2007-2008 de l’université Laval sont déjà disponibles. Surveillez notre passage près de chez vous www.admissionsante.ulaval.ca Québec - 24 octobre Ville Saint-Georges - 6 novembre Saguenay (Jonquière) - 14 novembre Trois-Rivières - 20 novembre Shawinigan - 20 novembre Rivière du Loup - 28 novembre Rimouski - 29 novembre Matane - 30 novembre Montréal - 29 janvier Sherbrooke - 30 janvier En attendant, vous pouvez visionner la conférence qui a eu lieu l’année dernière à l’Université Laval www.admissionsante.ulaval.ca/ergotherapie

Pas trop tard pour l’automne ! Vous désirez venir étudier à l'Université Laval cet automne mais vos démarches ne sont pas tout à fait terminées? Pas de problème! Il n'est pas trop tard pour faire une demande d'admission à l'Université Laval pour la session d'automne 2007 si vous êtes un candidat en provenance du Québec ou un candidat en provenance des autres provinces canadiennes.
www.futursetudiants.ulaval.ca/admission/pas_trop_tard_pour_faire_votre_demande





L'Assemblée nationale dépose une motion de félicitations pour souligner le 100e anniversaire www.hec100.ca de HEC Montréal www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=69107&B=1


Formation, documentation
Formation initiale à la psychothérapie cognitive pour octobre 2007 La formation aborde les aspects théoriques et pratiques de la psychothérapie cognitive dans le cadre de quatre journées d’une durée de six heures chacune. Les approches pédagogiques sont variées : présentations, illustrations cliniques, exercices, jeux de rôle. Les exemples sont tirés de clients en psychothérapie. Le petit nombre de participants est limité à 10, favorisant ainsi l’apprentissage. La psychothérapie cognitive (ou à la psychothérapie cognitivo-comportementale) suggère d’abord l’hypothèse que la plupart de nos émotions et les comportements qui en découlent sont créées par la cognition, par la pensée et non par les événements extérieurs. Elle suggère également que les souffrances et les problèmes prennent leur origine principalement dans certaines distorsions de la réalité basées sur des prémisses, sur des croyances erronées ou sur de fausses significations accordées aux événements, bref, sur des dysfonctionnements cognitifs. Ces dysfonctionnements cognitifs sont souvent empreints de jugements sur soi et sur les autres. Pour toute information supplémentaire, veuillez utiliser l’adresse de courriel michel.bleau@sympatico.ca Michel Bleau, c.o. psychothérapeute




---------------------------------------------------------------------
Évaluation du site de l’ACOC
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=954 Soyez nombreux à compléter le questionnaire! Votre collaboration serait très appréciée et je vous en remercie à l'avance ! Présentement, 43 personnes ont complété le questionnaire d’évaluation du site de l’ACOC. Celui-ci demeurera en ligne encore quelque temps pour les personnes qui ne l’ont pas complété et qui désirent maintenant le faire. Je remercie toutes les personnes qui ont collaboré à cette opération. Raymond Jean, c.o.- gestionnaire du site www.acoc.info


Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC ACOC@videotron.ca


Abonnement au bulletin électronique
Quelque Chose de l'ACOC


Votre courriel :


Aucun commentaire: