28 mars 2007

V 5 No 31: Appel de candidature pour les commissions du CSÉ

Pour s’inscrire au 6e Congrès de l’ACOC en partenariat avec HEC Montréal (30 mai au 1er juin 2007), allez à la page du Congrès 2007 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 (plusieurs membres sont déjà inscrits) pour consulter le Programme (la description des ateliers et des conférences sera disponible en avril) et compléter le Formulaire d’inscription (à transmettre par la poste avec votre chèque au nom de l’ACOC). Toutes les personnes professionnelles qui reçoivent ce bulletin électronique peuvent participer au 6e Congrès de l’ACOC.

Appel de candidature pour les commissions du Conseil supérieur de l'éducation
www.acoc.info/accueil/laNouvelle.asp?IdNews=244 Le Conseil supérieur de l'éducation confie à une commission, au Comité sur l'état et les besoins de l'éducation ou encore à des comités ad hoc le mandat de proposer des orientations ou de formuler des recommandations au ministre sur des questions relatives à un ordre ou à un secteur d'enseignement ou encore à l'état et aux besoins de l'éducation. Ces différentes entités doivent préparer des projets d'avis, des rapports ou des mémoires qui seront soumis au Conseil pour adoption. Dans votre offre de candidature vous pouvez bien sûr choisir la Commission de l'enseignement collégial, mais ausi plus d'une commission. À la fin du mois de juin le CSÉ procédera à la nomination de 4 nouveaux membres. Si vous êtes intéressé(e), comme il revient à l'ACOC de soumettre les candidatures, il faut faire parvenir le CV abrégé www.acoc.info/database/Image_usager/2/Raymond%20Jean/Cv_abrege2007.doc avant le 6 avril à Philippe Brosseau, c.o. président de l'ACOC pbrossea@cstj.qc.ca

Info collégiale
Le Campus Notre-Dame-de-Foy : Une formation gagnante qui attire de plus en plus d’étudiants avec une nette progression dans les demandes d’admission de plus de 26 % par rapport à l’an passé.
www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=64782&B=1
Hausse de 13 % des demandes d’admission au Cégep Limoilou
Le développement de nouvelles formations en Éducation, en Théâtre, en Arts plastiques et en Animation 3D ainsi que le Double DEC Sciences humaines et Langues, ont un impact certain sur cette hausse.
www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=64875&B=1
Augmentation de 13 % des demandes d’admission au Collège Édouard-Montpetit. À l’ÉNA, on note une augmentation de 25 % des demandes d’admission.
www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=65105&B=1
Hausse exceptionnelle des demandes d’admission au 1er tour pour le programme Arts et Lettres au Collège de Rosemont. Notons que le Collège de Rosemont enregistre une hausse de 17 % de ses demandes d’admission au premier tour du SRAM.
www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=65145&B=1
La proportion d’adultes qui fréquentent le Collège Laflèche représentent environ 35 % de la clientèle totale. C’est sous le thème « Apprendre ça vaut le coup! » que le Collège Laflèche participe, encore cette année à la Semaine québécoise des adultes en formation qui se tient du 24 au 30 mars.
www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=65115&B=1

Info universitaire
Les infirmières spécialisées se font toujours attendre
Trois ans après avoir promis d'introduire 75 superinfirmières dans le système de santé québécois, Québec n'a toujours pas atteint son objectif. À peine 17 infirmières praticiennes spécialisées ont jusqu'à maintenant obtenu leur diplôme, et les universités n'en forment qu'une dizaine par année. Selon la présidente de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ), Gyslaine Desrosiers, ce retard est déplorable. «Les superinfirmières prescrivent des médicaments et posent des diagnostics liés à leur champ d'expertise. Elles contribuent ainsi au désengorgement du système», plaide-t-elle. À l'Université de Montréal, 14 personnes étudient pour devenir superinfirmières. À l'Université Laval, elles ne sont que quatre. En tout, seulement 21 Québécoises poursuivent des études supérieures dans le domaine. Les universités affirment que, même si elles le voulaient, elles ne pourraient accueillir plus d'étudiantes, car le financement gouvernemental est insuffisant. Cela justifierait aussi qu'aucune université ne puisse offrir les quatre programmes de spécialités, soit la cardiologie, la néphrologie, la néonatalogie et les soins de première ligne. «Nous offrons la néphrologie et la cardiologie. Mais on attend toujours le financement du gouvernement pour ouvrir les autres programmes», affirme la doyenne de la faculté de sciences infirmières de l'Université de Montréal, Céline Goulet. Au Québec, la loi a longtemps interdit la présence d'infirmières praticiennes spécialisées. Mais en 2003, la loi 90 a été modifiée pour permettre l'arrivée de superinfirmières dans les domaines de la néphrologie, de la néonatalogie et de la cardiologie. La spécialité des soins de première ligne vient tout juste d'être ajoutée à cette liste. Une fois formées, les infirmières praticiennes spécialisées en soins de première ligne épauleront les médecins de famille. L'Ontario compte déjà 650 de ces infirmières praticiennes spécialisées. Le ministère de la Santé compte en former 115 au cours des prochaines années. Nombre d'infirmières praticiennes spécialisées en formation par spécialité d'études : Cardiologie Université de Montréal : 10 Université Laval : 3 Néphrologie Université de Montréal : 4 Université Laval : 1 Néonatologie Université McGill : 3
www.cyberpresse.ca/article/20070321/CPACTUALITES/703210627/1019

Plus de un million de titulaires d'un grade universitaire au Québec en 2005 www.stat.gouv.qc.ca
De 1990 à 2005, la population québécoise des titulaires d'un grade universitaire a plus que doublé, passant de 504 500 à 1 053 900 personnes, dont une majorité de femmes. Au Canada, en Ontario, en Alberta et en Colombie-Britannique, les populations titulaires d'un grade universitaire ont également doublé au cours de la période. Malgré les progrès accomplis, la part des titulaires d'un grade universitaire dans la population des 15 ans et plus demeure moindre au Québec (17,0 %) qu'en Ontario (20,2 %), en 2005 comme en 1990. Ces constats ressortent d'une étude de l'Institut de la statistique du Québec sur les titulaires d'un grade universitaire et sur les personnes qui exercent une profession scientifique et technique, soit deux populations de ressources humaines en science et technologie (RHST). L'étude, fondée sur les données de l'Enquête sur la population active, s'intéresse à l'évolution de ces populations au Québec, au Canada, en Ontario, en Alberta, en Colombie-Britannique, dans les régions métropolitaines de recensement de Montréal et de Québec ainsi que dans les régions administratives du Québec, de 1990 à 2005. Même s'il reste élevé, le taux d'emploi des titulaires d'un grade universitaire tend à la baisse. De 1990 à 2005, au Québec comme au Canada, en Ontario, en Alberta et en Colombie-Britannique, le taux d'emploi des titulaires d'un grade universitaire subit une tendance à la baisse. C'est au Québec que le taux d'emploi des titulaires d'un grade universitaire fléchit le plus, passant de 82,6 % en 1990 à 75,8 % en 2005. Quel que soit le territoire, on distingue deux phénomènes : une légère baisse du taux d'emploi en pleine carrière (chez les 25-54 ans) et une baisse plus marquée du taux d'emploi en fin de carrière (chez les 55-64 ans), essentiellement chez les hommes. Depuis la fin des années 1990, on observe une remontée du taux d'emploi chez les hommes de 55 à 64 ans titulaires d'un grade universitaire, mais elle ne permet pas de retrouver en 2005 le taux de 1990, ni au Québec ni en Ontario.
www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=64961&B=1

L'Université de Sherbrooke inaugure la première « clinique-école » de kinésiologie au Québec, alliant la formation et le service à la collectivité
La Faculté d'éducation physique et sportive de l'Université de Sherbrooke inaugure la première «clinique-école» de kinésiologie au Québec, combinant ainsi les besoins de formation des étudiants et le service à la collectivité. La Clinique de kinésiologie offre à la population des services de très haute qualité en évaluation de la condition physique, en prescription d'exercices préventifs et en exercices thérapeutiques. La clinique reçoit, cinq jours par semaine, une clientèle composée de personnes de tous les âges, bien souvent référées par leur médecin. Lors des traitements offerts aux patients, les étudiantes et étudiants du diplôme de 2e cycle d'exercices thérapeutiques mettent en pratique lathéorie apprise dans leurs cours, soit en assistant à des traitements, soiten les administrant eux-mêmes, toujours sous la supervision de thérapeutes agréés. Pour plus de renseignements, visitez le site
www.USherbrooke.ca/feps/clinique

Formation, documentation
Les jeunes d’aujourd’hui... Nos adultes de demain !
Si vous avez un intérêt pour l¹intervention auprès des jeunes, peu importe votre provenance professionnelle, vous serez intéressé à la journée de formation organisée conjointement par la Fédération des familles et amis de la personne atteinte de maladie mentale (FFAPAMM) et la Fondation canadienne de la recherche en psychiatrie. Une journée stimulante qui vous permettra d¹enrichir votre expertise sur le vécu et l¹aide que l¹on peut offrir aux jeunes
www.ffapamm.qc.ca/fr/saviezvous/nouvelles.asp?id=209 Planifiez dès maintenant cette activité à votre agenda et profitez de l¹occasion pour venir vous familiariser avec la FFAPAMM, un organisme provincial qui regroupe 42 associations à travers la province qui viennent en aide aux membres de l¹entourage d¹une personne atteinte de maladie mentale. Pour plus de détails sur la journée du 6 juin: www.ffapamm.qc.ca


Soutenir l'appropriation des compétences transversales et des domaines généraux de formation
Dans l'avis qu'il rend public, le Conseil supérieur de l'éducation conclut à la pertinence et à l'applicabilité des domaines généraux de formation et des compétences transversales malgré les difficultés qu'il constate au regard de leur prise en compte dans la pratique enseignante. Le Conseil considère comme essentiel de soutenir davantage les enseignantes et les enseignants afin qu'ils puissent véritablement intégrer, dans leur pratique, ces deux composantes du Programme de formation de l'école québécoise et que, à terme, les objectifs visés à cet égard soient atteints. Le Conseil supérieur de l'éducation conclut à la pertinence et à l'applicabilité des domaines généraux de formation et des compétences transversales malgré les difficultés qu'il constate au regard de leur prise en compte dans la pratique enseignante. Le Conseil considère comme essentiel de soutenir davantage les enseignantes et les enseignants afin qu'ils puissent véritablement intégrer, dans leur pratique, ces deux composantes du Programme de formation de l'école québécoise et que, à terme, les objectifs visés à cet égard soient atteints. À la suite de son analyse, le Conseil recommande de maintenir le cap sur le développement de toutes ces compétences chez les élèves à l'exception de : « Structurer son identité » (au primaire) et son équivalent « Actualiser son potentiel » (au secondaire). Le Conseil croit que celles-ci ne sont pas des compétences transversales comme telles mais plutôt des finalités de l'éducation.
www.cse.gouv.qc.ca/FR/Bulletin/index.html#2007-03-20CTDGF

Les compétences transversales sont pertinentes
Dans son avis diffusé hier, le CSE approuve la pertinence des compétences transversales, mais il propose d'en retrancher une des neuf, soit «Structurer son identité», au primaire, ou «Actualiser son potentiel», au secondaire. «C'est plutôt la visée d'un programme éducatif», justifie la présidente du Conseil, Nicole Boutin. Dans son avis, le CSE suggère que les huit compétences transversales soient inscrites sur le bulletin, avec les forces et difficultés de l'enfant. «Pour le Conseil, la communication aux parents doit être claire et simple.» Les cinq domaines généraux d'éducation sont également pertinents, conclut le CSE, mais les enseignants manquent de repères quand vient le temps de les intégrer dans les disciplines. Le CSE suggère la mise en place d'un guide de référence. «Le lien à faire entre les disciplines et les domaines généraux de formation n'est pas assez explicite. Il faut des repères plus précis, sur le mode suggestif», précise Mme Boutin. Par exemple, «Santé et bien-être», l'un des cinq domaines, peut s'enseigner en biologie comme en enseignement moral.
www.cyberpresse.ca/article/20070321/CPACTUALITES/703210646/1019

Qui pratique les sports extrêmes? La consommation de drogue est très présente chez les surfeurs des neiges Selon une étude de Linda Paquette, plusieurs surfeurs des neiges fumeraient leur petit joint avant de glisser sur les pentes. On les voit se lancer du haut des tours d’habitation en parachute, escalader à mains nues des parois de glace ou se jeter à corps perdu dans des rapides tumultueux. Mais qu’est-ce qui fait courir les adeptes des sports extrêmes? «Ils aiment le risque, répond Linda Paquette, qui rédige actuellement une thèse de doctorat sur ce sujet au Département de psychologie. Dans une société où le confort physique est assuré à la grande majorité de la population, se confronter avec la mort est une sensation incomparable.» Dans cette étude – la première réalisée au Canada sur les jeunes et la prise de risques dans les sports extrêmes –, la jeune femme a recueilli les témoignages de 685 jeunes de 14 à 19 ans vivant à proximité de centres de ski majeurs des Laurentides et de la région de Québec. Grâce à des questionnaires très détaillés, elle a obtenu de précieux renseignements sur leurs habitudes en matière de sports extrêmes. «Je me suis concentrée sur la pratique du surf des neiges, précise la doctorante. J’ai voulu savoir ce qui distinguait certains sportifs disposés à prendre des risques élevés de ceux qui se contentent d’une pratique traditionnelle.» Le surf des neiges connait une popularité grandissante au Québec. Mais ce nouveau sport de glisse est responsable de près de 10 % des traumatismes d’origines sportive et récréative, selon l’Institut national de santé publique du Québec. Un pourcentage en augmentation. Sur les pistes, on enjoint les surfeurs à respecter les consignes de sécurité, mais plusieurs les enfreignent. C’est même parfois un défi supplémentaire de transgresser les règles... «La plus grande surprise que nous avons eue à la lecture des réponses, c’est d’apprendre que les surfeurs consommaient de la drogue. Environ 30 % des répondants disaient s’être adonnés à leur activité sous l’effet du cannabis au moins une fois au cours des 12 derniers mois. Il ne s’agit pas d’une donnée scientifiquement représentative de l’ensemble de la population, mais c’est un résultat clair. Cela semble énorme.» Quatre profils «On peut tracer un profil type de l’athlète extrême. C’est un homme dans la force de l’âge, sûr de lui, ayant des amis qui pratiquent les sports extrêmes, stable psychologiquement, extraverti, qui recherche les sentiments d’autodétermination, de maitrise, de plénitude et d’excitation que son environnement ne lui fournit pas par des moyens socialement acceptables, écrit la doctorante dans la présentation de son projet. Loin de percevoir le risque comme un danger, il le voit comme un défi à relever, une épreuve qu’il évalue soigneusement avant de l’affronter.» Selon Linda Paquette, il y a les «prudents» (ils prennent peu de risques et font attention de ne pas se blesser), les «adeptes de l’accomplissement ou edgeworkers» (ils prennent beaucoup de risques, mais respectent les règles et les mesures de sécurité), les «adeptes de l’accomplissement qui fuient leurs problèmes par la recherche de sensations» (ils prennent beaucoup de risques et ne s’embarrassent pas de précautions) et ceux qui «utilisent la recherche de sensations comme moyen de fuite des problèmes» (ils prennent des risques de façon modérée, sont peu portés sur la sécurité et souffrent d’une grande détresse psychologique). Leur attitude à l’égard des drogues est très différente également: alors que les deux premiers types ne sont pas très intéressés par le «petit joint», les derniers aiment bien fumer avant de se lancer sur les pistes. «Je ne suis pas là pour dire si c’est bien ou mal de prendre des risques sur une pente de ski. Moi, je m’intéresse aux mécanismes de régulation émotionnelle en jeu dans la prise de risques. Je trouve que c’est un domaine fascinant.» Dans l’introduction de son texte de synthèse, la psychologue décrit l’émotion qui s’empare de celui qui s’apprête à sauter en parachute. «Votre système sympathique s’active et votre cœur bat jusqu’à trois fois plus rapidement, votre pression sanguine augmente, votre bouche s’assèche et vous ressentez le besoin d’éviter ce qui s’apprête à se produire [...] En moins de quelques millisecondes, votre hypothalamus commence à décharger de la corticolibérine qui oblige la glande pituitaire à sécréter de l’adrénocorticotrophine [...], ce qui vous donne l’impression d’avoir des papillons dans l’estomac.» www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20070319/R_6.html

Internet créé un fossé entre les générations
Un fossé est en train de se créer entre le monde des adultes et celui des adolescents en ce qui a trait à l'utilisation d'Internet. Les perceptions des parents par rapport aux fréquentations des jeunes sur la toile sont loin de la réalité. On aurait pourtant avantage à savoir où nos jeunes mettent leur souris quand ils naviguent, le soir, seuls dans leur chambre. Les professeurs Jacques Piette et Christian-Marie Pons, de la Faculté des lettres et sciences humaines de l'Université de Sherbrooke, ainsi que Luc Giroux de l'Université de Montréal, ont dévoilé, hier, les résultats d'une recherche internationale sur les jeunes et Internet. Cette étude, par questionnaires fournis à 1300 adolescents et par interviews, s'appuie sur la participation d'une dizaine de pays européens et du Québec. Site roi: MSN Les jeunes ont tendance à se créer des univers bien personnels qui se limitent souvent à des collègues de classe. Le site roi se nomme MSN, un logiciel de messagerie instantanée de la compagnie Microsoft. «Les parents contrôlent relativement peu ce que leurs jeunes font sur Internet, mentionne M. Piette. Mais les jeunes sont conscients que les parents sont inquiets et pensent qu'ils ont raison de s'inquiéter. Ils savent qu'il y a des choses comme la pornographie, la violence et la pédophilie.» «Mais les jeunes n'ont pas peur de cela, ajoute M. Piette. Ce dont ils ont le plus peur, ce sont les virus (informatiques). Ils ne veulent pas que leur ordinateur soit infecté tout simplement parce qu'ils craignent que leurs parents ne veulent pas payer pour remplacer le disque dur, par exemple.» Plusieurs jeunes se croient protégés, car il y a moyen de limiter le nombre d'internautes qui peuvent graviter autour de leurs entrées via le logiciel en ligne MSN. «Les parents sont portés à croire que les jeunes naviguent dans un univers très vaste. Ce n'est pas toujours le cas.» La cassure entre les adultes et les adolescents provient aussi de l'école, ajoutent les chercheurs. Les retards technologiques y contribuent beaucoup. Certains ne veulent pas se planter devant les ados. Ce qu'on montre à l'école, c'est davantage technique, des choses comme fabriquer une page Web ou un blogue.» Recherche depuis 1997 Il s'agit de la troisième étape d'une démarche que les trois chercheurs ont inaugurée à Sherbrooke en 1997. Par l'entremise d'un questionnaire et de longs entretiens, l'étude visait à connaître la manière dont les jeunes âgés de 12 à 18 ans utilisent Internet. Car ils naviguent beaucoup. Quelque 93 pour cent d'entre eux ont un ordinateur à la maison. Un seul ado sur les 1300 sondés n'utilisait pas Internet, signalent les chercheurs.
http://technaute.lapresseaffaires.com/nouvelles/texte_complet.php?id=81,12399,0,032007,1340817.html&ref=top_short

37 % des membres des minorités visibles se disent victimes de discrimination
Les programmes d’éducation à l’interculturalisme n’auraient que très peu d’effet
www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20070326/r_4.html

La maladie de Lyme est à nos portes
Le réchauffement climatique pourrait porter la limite nord de la maladie à la hauteur de Québec dès 2020
www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20070326/r_1.html
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Guide sur l’admission universitaire Automne 2007 :
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915
Raymond Jean, c.o. Webmestre


Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l’ACOC ACOC@videotron.ca


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