02 mars 2007

V 5 No 28: Inscription au 6e Congrès de l'ACOC- HEC Montréal


Inscription au 6e Congrès de l’ACOC, 30 mai au 1er juin 2007 en partenariat avec HEC Montréal
Allez sur le site de l’ACOC www.acoc.info section Membres puis Congrès, vous y trouverez le Programme ainsi que le Formulaire d’inscription (à transmettre par la poste avec votre chèque au nom de l’ACOC). Les premières personnes inscrites auront l’assurance d’avoir leur choix de visite du jeudi matin. Pour faciliter la mise en forme des reçus personnalisés, remis au début du congrès, nous vous demandons d’envoyer aussi par courriel une copie de votre formulaire à ACOC@videotron.ca Toutes les personnes professionnelles qui reçoivent ce bulletin électronique sont invitées à participer au 6e Congrès de l’ACOC.

Conférence de Pierre Lainey, prévue à notre 6e Congrès: nous avons besoin de votre vécu. En vue d'alimenter la réflexion de notre conférencier-invité sur les habiletés stratégiques, nous aimerions connaître des situations réelles, vécues dans vos milieux respectifs, et pour lesquelles la mise en oeuvre d'habiletés stratégiques (ou politiques) pourrait vous aider à atteindre vos objectifs. Cela peut être la description d'une situation problématique ou conflictuelle comme il peut également s'agir d'un projet que vous aimeriez implanter dans votre milieu. Vous pouvez m'écrire de courts textes descriptifs ou encore m'appeler pour m'en faire part (même si vous ne venez pas au congrès). Je veillerai à préserver la confidentialité de chacun. Nancy Blanchet Conseillère d'orientation Cégep André-Laurendeau 514.364.3320 ext. 176 nblanchet@claurendeau.qc.ca

Relance de l’opération de passation du Test de l’intelligence émotionnelle : un outil pour connaître les élèves du collégial afin de mieux les aider. Voir sur le site de l’ACOC à la section Nouvelles www.acoc.info Collaboration des c.o. pour test de l'intelligence émotionnelle. En bref, il s’agit de : 1- Choisir les groupes-classes 2- Prévoir un local muni d’ordinateurs branchés sur Internet 3- Faire signer à chaque étudiant un formulaire de consentement de transmission de sa cote R. Joseph Chbat Tél: 514-381-4293 P. 358 Cell: 514-237-6699 jchbat@videotron.ca ou jchbat@grasset.qc.ca

Journée annuelle qui réunit les c.o. et psy. des cégeps et universités : L’INFORMATION : MIROIR AUX ALOUETTES (piège séduisant qui fascine et qui trompe) OU SOURCE DE CONNAISSANCES? Le vendredi 23 mars 2007 de 9h00 à 16h00 PAVILLON PRINCIPAL (PAV. ROGER GAUDRY) U. de Montréal PIÈCE M-415. Yvon Trottier, c.o. Yvon.Trottier@collegeahuntsic.qc.ca Pour inscription, aller sur le site de l’ACOC www.acoc.info à la section Nouvelles Colloque des c.o. et psy

Lors du renouvellement à l’Ordre, dois-je payer l’assurance responsabilité professionnelle? www.orientation.qc.ca L’assurance responsabilité professionnelle est obligatoire pour tous les membres actifs qui exercent au Québec à temps plein, à temps partiel ou occasionnellement. Cependant, selon votre milieu de travail, vous pouvez, si vous le désirez, demander l’exemption. La liste des secteurs pouvant être exemptés est fournie en annexe F du Guide du membre. Vous devez obligatoirement remplir et signer cette annexe pour avoir droit à l’exemption. Si vous ne fournissez pas cette annexe et que vous ne payez pas votre assurance, un solde apparaîtra à votre dossier et retardera l’envoi de votre carte de membre et de vos reçus d’impôt. Source: Foire aux questions pour la période de renouvellement des cotisations pour l'année 2007-2008 sur le site de l’OCCOPPQ.

La nouvelle interface de Repères
https://reperes8.reperes.qc.ca/reperes4/asp/Reperes.aspx?

Info collégiale
L'opération 1er mars : Le rôle des parents dans l'orientation des jeunes
www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/operation-1er-mars-role-des-parents-6534.html

L'industrie des TIC dépassée par sa croissance
Les observateurs de la scène québécoise des technologies de l'information et des communications sonnent l'alarme. Selon eux, le secteur manque de relève. D'un côté, les emplois se multiplient. De l'autre, les jeunes sont nombreux à croire que l'industrie ne s'est pas encore relevée des années noires qu'elle a connues au début de la décennie. Les programmes de formation en informatique produisent donc trop peu de diplômés pour combler les besoins des employeurs.
http://technaute.lapresseaffaires.com/nouvelles/texte_complet.php?id=81,12399,0,022007,1331614.html

Le Cégep de Drummondville décroche deux nouveaux programmes techniques Québec vient d’autoriser le Cégep de Drummondville à ajouter à sa carte de programmes «Techniques de gestion de commerces» et «Techniques de maintenance industrielle». Le premier sera disponible dès cet automne tandis que le second, en 2008. Avec l’obtention de ces deux programmes techniques, un seul autre est en attente d’autorisation au Cégep de Drummondville, soit «Techniques ambulancières». www.expressparole.com/article-78414-Le-Cegep-decroche-deux-nouveaux-programmes-techniques.html

Programme du colloque organisé par la Fédération des cégeps sur la prévention du suicide. Ce colloque a lieu les 23 et 24 mai 2007 au Mont St-Anne. Tarif réduit avant le 15 mars.
www.fedecegeps.qc.ca/index.php?section=61&PHPSESSID=9c5141b969d358635ceae133616d9389

Éducation spécialisée: difficile d'obtenir des services
Plus de 30 % des parents dont l'enfant a besoin de services d'éducation spécialisée disent avoir de la difficulté à les obtenir, révèle une nouvelle étude de Statistique Canada. Et 75 % d'entre eux affirment que le problème est le manque de ressources professionnelles. www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/operation-1er-mars-role-des-parents-6534.html

Le cégep Édouard-Montpetit ouvre la porte à l'anglais
L'École nationale d'aérotechnique de Saint-Hubert, qui accueillera une cohorte anglophone, a grand besoin de nouveaux élèves. «L'ENA a perdu 1000 de ses 1500 élèves depuis cinq ans», a dit Serge Brasset, directeur général du cégep Édouard-Montpetit, auquel est rattachée l'ENA. La tragédie du 11 septembre 2001 et les coupes de postes chez Bombardier ont causé cette désaffection, injustifiée maintenant que le marché a repris. Jusqu'à cette année, le cégep anglophone John-Abbott offrait le DEC en maintenance d'aéronefs en collaboration avec l'ENA, ce qui permettait de former les anglophones. Mais John-Abbott, qui n'attirait qu'une trentaine d'élèves par an, a décidé de se retirer. Le cégep anglophone Champlain aurait pu prendre le relais au lieu de laisser la place à Édouard-Montpetit, selon M. Sabourin. Il est désormais bien tard, puisque la période d'inscription au programme en anglais est en cours à Édouard-Montpetit (jusqu'à aujourd'hui). Le cégep devra ensuite obtenir l'accord final du Ministère, qui dépendrait du nombre d'intéressés. «La demande est en traitement», s'est contenté de dire François Lefebvre, porte-parole du MELS. www.cyberpresse.ca/article/20070301/CPACTUALITES/703010738/1019

INDUSTRIE FORESTIÈRE Des inscriptions en chute libre
Comment attirer des jeunes dans une industrie qui a si mauvaise presse? "L'absence de main-d'oeuvre est un défi immense, voire gigantesque", a-t-il admis d'entrée de jeu lors de cette rencontre organisée par l'Association forestière de la Vallée du Saint-Maurice (AFVSM). Et sur le terrain, les difficultés de recrutement se font cruellement sentir au Centre de formation professionnelle Bel-Avenir. Au 1er mars 2006, les 75 inscriptions pour le diplôme d'études professionnelles en pâtes et papiers avaient permis le démarrage de deux cohortes de 22 élèves à l'automne alors que pour l'instant, on n'en compte que... 16! Quant à l'état des inscriptions au Cégep de Trois-Rivières pour le diplôme d'études collégiales en pâtes et papiers, on se disait incapable de fournir les informations...Pourtant, à l'été 2006, après deux tours d'admission, l'établissement n'avait reçu que 12 demandes alors que la moyenne des dernières années se situait plutôt autour de la trentaine. "Les inscriptions sont tout de même en chute libre tant au niveau des ingénieurs forestiers que des techniciens et ce n'est pas par manque d'efforts, mais ça ne marche pas", a-t-il simplement lancé. Selon lui, l'industrie forestière se comporte comme si elle tentait d'améliorer une bougie dans l'espoir qu'elle va produire de l'électricité. "C'est difficile à accepter, mais il faut faire autre chose car on est en train de perdre du monde qui a cru à la forêt", soutient M. André. Un constat que s'est empressé de confirmer Guy Sylvestre, du ministère des Ressources naturelles et de la Faune, qui vient de voir certains de ses techniciens forestiers quitter non seulement leur emploi, mais aussi, leur profession. Et, évidemment, la mauvaise image du secteur forestier vient accentuer la crise de recrutement. D'où la création toute récente de l'Alliance pour la relève forestière qui, découlant du comité sectoriel, se penchera en juin sur des pistes de solutions. En attendant, le milieu mauricien aura l'occasion de "se prendre en main" lors d'une rencontre, le 12 mars prochain, au local de l'Association forestière "pour penser autrement" et étudier des scénarios. www.cyberpresse.ca/article/20070226/CPNOUVELLISTE/702260786/5052

Le Collège François-Xavier-Garneau offre un DEC intensif en logistique du transport à compter de l’automne 2007. Offert à la session d’automne et exclusif dans la grande région de Québec, cette formation intensive permettra à des étudiants ayant déjà complété un DEC ou réussi la majorité des cours de formation générale de compléter le programme en deux ans au lieu de trois. « Pour le jeune, cette formation lui permet d’avoir uniquement des cours spécifiques en logistique du transport, c’est donc très stimulant ! En plus, la demande de main-d’oeuvre est très importante et les perspectives professionnelles sont fort intéressantes. », explique Serge Julien, professeur et responsable du programme Techniques de la logistique du transport. En effet, le taux de placement est de 100 % dans ce programme où la demande dépasse largement l’offre! Le domaine de la logistique du transport est en plein essor et offre de multiples opportunités d’emploi. Le DEC intensif s’ajoute à l’offre du Collège dans ce programme :Deux stages rémunérés en alternance travail-études (optionnel); un stage d’été rémunéré à Vancouver (optionnel); immersion anglaise à Vancouver (optionnel); ateliers de conversation anglaise (optionnel); possibilité d’étudier pendant une année à Lyon en France; première session commune avec les programmes en Gestion de commerces et Techniques de comptabilité et de gestion; possibilité de commencer le programme aussi à l’hiver Le programme Techniques de la logistique du transport offre une solide formation sur la gestion des mouvements de personnes et de marchandises. Chaque jour, des marchandises de toutes sortes et des personnes circulent par voies terrestre, maritime, ferroviaire et aérienne. Vêtements, aliments, produits manufacturés, matières premières transigent ainsi d'une frontière à l'autre et sont acheminés vers des entreprises, des commerces au détail, des entrepôts, des centres de distribution, etc. Le Collège forme des techniciens autonomes et polyvalents qui pourront faire face aux besoins grandissants de la mondialisation des échanges. Les techniciens en logistique du transport s’engagent dans une carrière stimulante dans des milieux de travail aussi diversifiés que : des entreprises manufacturières de produits de consommation et des commerces de détail, des entreprises spécialisées dans le transport de marchandises et dans le transport de personnes, des sociétés de transit ainsi que les douanes et les courtiers en douane. www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=63724&B=1

Info universitaire
La chasse aux étudiants est ouverte

La lutte que se livrent les universités pour recruter les étudiants est particulièrement féroce cette année. L'Université d'Ottawa a dépensé plus de 60 000 $ pour recouvrir la station de métro Berri-UQAM de publicité, tandis que Sherbrooke loue pour 21 000 $ un panneau aux abords du pont Champlain. Même les toilettes des cégeps sont envahies par les réclames des universités, à l'approche de la date limite d'inscription du 1er mars. Le déclin du nombre de jeunes commence à inquiéter les universités. La hausse des inscriptions n'a été que de 0,5 % l'automne dernier au Québec, soit trois fois moins que l'année précédente. Avec le départ des enfants des baby-boomers, les universités pourraient bientôt se retrouver avec des classes vides, selon David Foot, professeur d'économie à l'Université de Toronto spécialiste de la démographie. «Ne présumez pas que la situation actuelle (nombre record d'inscriptions) va persister», a-t-il dit en conférence à Toronto à la fin de janvier. Les prévisions du ministère de l'Éducation lui donnent raison : le secondaire perdra plus de 20 % de son effectif au cours des 10 prochaines années. Cela se répercutera forcément dans les cégeps et les universités. D'autant plus que le pourcentage de jeunes poursuivant des études supérieures va stagner ou même commencer à diminuer, selon M. Foot. La chasse aux étudiants fait le bonheur de la Société de transport de Montréal, qui vend de l'espace publicitaire à Concordia, McGill, l'UQAM, l'Université d'Ottawa, de nombreux cégeps et écoles privées. «On est probablement le meilleur endroit où annoncer, puisque 59 % de nos usagers ont de 18 à 24 ans», a dit hier Loren Thibeault, vice-présidente aux ventes de Métromédia Plus. L'Université d'Ottawa est la plus présente, avec ses annonces à la radio, dans les trains de banlieue, les journaux, les colonnes Morris et le métro. Tourniquets, murs, escaliers mécaniques : toute la station Berri-UQAM est couverte des panneaux de l'Université d'Ottawa, une opération qui coûte au minimum 60 000 $. «Dans ce cas, c'est plus cher, puisqu'il y a plus d'espace occupé», a indiqué Mme Thibeault. Ces publicités visent à promouvoir les inscriptions aux cycles supérieurs, que l'Université d'Ottawa souhaite voir augmenter de 33 % d'ici 2010. «On a choisi Montréal à cause de la proximité et parce qu'on offre de nombreux programmes dans les deux langues», a-t-il précisé. Seuls 13 % des 33 600 étudiants de l'Université d'Ottawa viennent du Québec (automne 2005). Initiative plus originale, la Ville de Sherbrooke a loué pour 21 000 $ un panneau près du pont Champlain en collaboration avec six institutions d'enseignement, dont les universités de Sherbrooke, Bishop's et les cégeps de Sherbrooke et Champlain-Lennoxville. Son slogan : «Sherbrooke, plus que jamais première de classe!» «On veut être connus et reconnus comme ville de savoir, a expliqué Charlotte Gosselin, chef des communications à la Ville de Sherbrooke. Annoncer à Montréal dans le mois qui précède les inscriptions nous a paru un bon moment.» L'Université de Sherbrooke a d'autres initiatives en solo, puisqu'elle annonce dans les toilettes des cégeps, les autobus, les quotidiens et les hebdos. «On est un peu partout au Québec, a dit Serge Cabana, directeur des communications de l'Université de Sherbrooke, dont 85 % de la clientèle vient de l'extérieur de l'Estrie. www.cyberpresse.ca/article/20070223/CPACTUALITES/702230833/1019

L’École de réadaptation de l'université de Montréal aura sa maitrise et son doctorat. À l’automne 2008, la Faculté de médecine offrira des programmes de recherche de maitrise et de doctorat en réadaptation dans le but de former des «chefs de file dans leur domaine»: théoriciens, chercheurs, éducateurs, administrateurs et intervenants. En 2006, 34 étudiants étaient inscrits à la maitrise et 22 au doctorat.
À la Faculté de l’éducation permanente (FEP) s’ajoutera un programme l’automne prochain: le certificat en coopération internationale. Ce créneau est important au Canada puisque plusieurs organismes se consacrent à l’aide humanitaire. Par ailleurs, l’École polytechnique a obtenu l’aval de la Commission pour créer un certificat en plasturgie, un secteur d’avenir regroupant les techniques liées à la transformation des matières plastiques. Actuellement, l’industrie du plastique et des composites regroupe au Québec 30 000 travailleurs. Un certificat similaire existe à l’Université Laval depuis 2001, mais celui de Polytechnique est le premier offert à Montréal, où l’industrie est principalement concentrée. Le nouveau certificat sera composé de 10 cours et de 1 stage obligatoire. Au Département de pharmacologie, on créera des options «neuropharmacologie», «pharmacologie clinique», «pharmacologie intégrative cardiovasculaire» et «pharmacologie moléculaire» dans le programme de maitrise en pharmacologie. À la Faculté des sciences de l’éducation, le Département de psychopédagogie et d’andragogie offrira à la rentrée un micro-programme de «soutien à l’apprentissage». La Faculté de théologie et de sciences des religions a procédé à la création d’une option «traduction de la Bible» dans son programme de maitrise et l'option «santé, spiritualité et bioéthique». «Ce programme permettra de former les intervenants en soins spirituels qui travaillent dans le milieu de la santé ». «Il y a actuellement de 200 à 300 de ces intervenants au Québec ». La plupart ont été formés sur le tas et un bon nombre d’entre eux prendront leur retraite au cours des prochaines années.» Enfin, HEC Montréal collabore avec l’Université McGill pour créer un «EMBA» destiné aux cadres en exercice qui possèdent de 10 à 20 ans d’expérience. Les écoles de gestion s’unissent pour fournir à ces étudiants «les connaissances, les habiletés et la vision grâce auxquelles ils pourront relever avec succès les défis qui se présenteront à eux», comme l’indique le document de présentation (hiver 2008). www.iforum.umontreal.ca/Forum/2006-2007/20070226/R_1.html

Formation, documentation
La réussite scolaire des autochtones du Québec est problématique
Malgré un léger et récent redressement, la réussite scolaire des jeunes autochtones du Québec est sérieusement compromise, constate un rapport soumis à l'Assemblée nationale. Deux autochtones sur trois vivant sur une réserve n'ont même pas obtenu leur diplôme secondaire. Cette proportion est de 31,5 pour cent chez les allochtones (non autochtones), indique le rapport de la commission parlementaire de l'Éducation, qui a étudié pendant un an la réussite scolaire chez les autochtones du Québec.
www.cyberpresse.ca/article/20070301/CPACTUALITES/70301145/1019

L'industrie manque de bouchers
La directrice de l'école, Marjolaine Breton, explique que ce secteur est méconnu. Elle souligne que le cours offert n'a rien à voir avec les images d'abattoir diffusées abondamment lors du conflit à l'usine Olymel de Vallée-Jonction. Les besoins de bouchers avaient diminué, il y a quelques années, avec l'arrivée des grandes chaînes d'alimentation qui font préparer à l'avance leurs coupes de viandes, souvent à l'extérieur des magasins. Mais selon Mme Breton, les choses ont changé. « On est revenu beaucoup plus à un service très personnalisé. Vous trouvez en comptoir maintenant, plein de petites coupes spéciales. Donc, y'a comme une demande accrue au niveau de la main-d'oeuvre en boucherie », dit-elle. Malgré les perspectives d'emploi intéressantes, les centres de formation parviennent difficilement à combler toutes les places disponibles dans le domaine de la boucherie. www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/Quebec/2007/02/26/003-bouchers_penurie.shtml

Sondage: une majorité de Québécois veulent plus d’autonomie dans la gestion scolaire - Il est temps de remettre en question les commissions scolaires Les commissions scolaires ne sont pas indispensables, affirme le professeur Robert Gagné, directeur de l’Institut d’économie appliquée à HEC Montréal et chercheur associé à l’Institut économique de Montréal (IEDM). Dans une Note économique de l’IEDM, Robert Gagné explique que les commissions scolaires, comme structure, ne sont pas essentielles à la fourniture de services éducatifs et que la taxe scolaire n’est pas un moyen approprié de financer l’éducation. De plus, le faible taux de participation aux élections scolaires démontre la désaffection populaire envers la démocratie scolaire. À partir de cette analyse, il appelle le gouvernement à engager une réflexion visant à abolir ces structures et à accroître l’autonomie des écoles, notamment sur le plan de la gestion de leurs ressources humaines. « Nous attendons beaucoup des écoles. Nous scrutons leur performance. Elles doivent avoir l’autonomie administrative suffisante pour relever les défis qui leur sont propres », de conclure le professeur Gagné. Par ailleurs, l’IEDM a commandé un sondage Léger Marketing pour vérifier l’ouverture des Québécois à certaines options de réforme du système d’enseignement. Il appert que trois Québécois sur quatre (74%) sont favorables à ce que les écoles primaires et secondaires publiques aient autant d’autonomie que les écoles privées pour l’embauche et le congédiement de leurs professeurs. Plus de la moitié des Québécois (54%) sont favorables à ce que le gouvernement permette aux écoles publiques de se détacher de leur commission scolaire et de transiger directement avec le ministère de l’Éducation, comme c’est le cas pour les écoles privées. Enfin, la moitié des Québécois (49%) seraient d’accord pour que la taxe scolaire soit éliminée et que les écoles primaires et secondaires soient plutôt entièrement financées par des taxes et impôts provinciaux.
www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=63830&B=1

Une génération full narcissique
Ils ont leurs propres téléphones cellulaires, leurs propres iPod et leurs propres pages sur MySpace et YouTube, où ils racontent leur vie fabuleuse. Depuis qu’ils sont tout petits, on leur dit qu’ils sont uniques. Faut-il s’étonner qu’une nouvelle étude arrive à la conclusion que ces jeunes, ceux de la génération Y, sont encore plus narcissiques que leurs prédécesseurs, y compris ceux de la génération X, qui l’étaient déjà beaucoup? L’étude a été réalisée par cinq universitaires qui ont examiné les réponses à un questionnaire psychologique auquel se sont soumis plus de 16 000 étudiants américains d'âge collégial sur plus de 25 ans. Le questionnaire – The Narcissistic Personality Inventory – demande aux participants de réagir à des phrases comme celles-ci : «Si j’étais le chef suprême, le monde serait un meilleur endroit»; «Je pense que je suis une personne spéciale»; «J’aime être le centre d’attention». L’étude révèle notamment que les deux tiers des étudiants d’aujourd’hui font preuve d’un plus grand narcissisme que la moyenne des étudiants de1982. La téléréalité, avec des émissions comme American Idol et Survivor, aurait contribué à gonfler l’ego des membres de la génération Y. Selon les experts, les gens narcissiques éprouvent plus de mal à nouer des relations intimes et à accepter les revers de la vie. «Je suis très, très inquiète», déclare un des auteurs de l’étude. «J’ai peur que nous nous dirigions vers une société où les gens se comporteront mal avec les autres, dans la rue comme dans leurs relations.» www.cyberpresse.ca/article/20070228/CPBLOGUES13/70227226

Le taux d'emploi des 25-29 ans est à 98%. La génération X fait la loi sur le marché du travail ! Les jeunes des générations X et Y font face à un marché du travail en pleine évolution. Dans certains secteurs, ils ont le haut du pavé et sont en mesure de bien négocier leurs conditions de travail. À 33 ans, Sébastien Perreault est chef de la planification financière chez Merck Frosst (MRK) depuis trois ans et demi. Diplômé de l'université Georgia State en 1998 et détenteur d'un MBA, il a été recruté par la firme Nortel Networks sept mois avant d'avoir terminé ses études. «Je n'ai jamais eu de problèmes à me trouver un emploi. Avec mon employeur actuel, j'ai pu négocier un salaire intéressant et mes conditions de travail», souligne-t-il. Dans plusieurs domaines, la tendance s'est inversée pour les jeunes diplômés. «Avant, ils avaient de la difficulté à se trouver du travail. Aujourd'hui, ils ont le choix de leur employeur», atteste Isabelle Hudon, présidente de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. En fait, «le taux d'emploi des 25 à 29 a grimpé à 98 %, alors qu'il était de 85 % il y a 25 ans», précise Pierre Fortin, économiste à l'UQAM.- Dans les milieux où les besoins de personnel sont importants, comme en pharmaceutique, en aéronautique ou en ingénierie, les entreprises rivalisent d'imagination pour offrir de meilleures conditions à leurs travailleurs. «Les jeunes veulent un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie familiale. Ils sont même prêts à faire des concessions sur le plan salarial pour avoir une qualité de vie au travail», affirme Michel Audet, professeur au département des relations industrielles de l'Université Laval. Merck Frosst offre aussi depuis peu un congé personnel de 3 à 12 mois pour ceux qui veulent réaliser un rêve ou simplement prendre une pause.«Ce programme est né de la demande des employés. Nous cherchons à soutenir leur engagement et à éviter les démissions», indique Brigitte Charest, chef du service Avantages sociaux et retraite. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2007/02/20070227-063333.html

Générations X et Y La grande séduction généralisée
La firme d'ingénierie André Simard et associés, une PME de Québec qui compte une quarantaine d'employés, illustre cette tendance. Pour attirer les ingénieurs et les dessinateurs techniques, elle a adhéré au programme expérimental du ministère de la Famille, des Aînés et de la Condition féminine visant la mise en place de mesures de conciliation travail-famille. «À part les horaires flexibles, la semaine de quatre jours, la journée du vendredi, qui se termine à 15h l'hiver et à 12h l'été, nous remboursons le quart des forfaits sportifs familiaux de nos employés et nous faisons un tirage de 125$ quatre fois l'an », dit Mélanie Saumur, directrice des ressources humaines et des communications. Outre le service de nettoyage, l'entreprise songe à mettre en place un service de garagiste pour les changements de pneus saisonniers, un club vidéo et une bibliothèque virtuelle. «Dans certaines entreprises, des services de traiteur sont également mis à la disposition des employés pour le dîner et le souper pour attirer les jeunes et retenir le personnel», atteste Catherine Lafrance, consultante en gestion à FPR Groupe conseil. Cependant, les programmes de conciliation travail-famille sont plus fréquents dans les grandes entreprises ou institutions publiques, d'après Maude Rochette, du ministère de la Famille, des Aînés et de la Condition féminine. http://argent.canoe.com/archives/lca/infos/quebec/2007/02/20070227-062858.html

Générations X et Y Une génération déloyale?
Les jeunes travailleurs ont la réputation de butiner d'un emploi à l'autre. Pour Tania Saba, professeure au département des relations industrielles de l'Université de Montréal, ces comportements sont plutôt le reflet du marché du travail. «Les jeunes n'espèrent plus faire carrière dans une seule entreprise», dit-elle. Dans certains secteurs, les conditions penchent favorablement du côté des jeunes travailleurs. «Le marché de l'emploi s'est beaucoup amélioré depuis 15 ans. Le taux d'emploi des 15 ans et plus est de 60,3% en 2006, alors qu'il était de 56% en 1991 », dit Normand Roy, directeur du Centre d'étude sur l'emploi et la technologie à Emploi-Québec. D'après lui, le quart des travailleurs vivant dans la précarité sont des jeunes et des personnes qui travaillent à temps partiel par choix ou pour concilier leurs charges familiales. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2007/02/20070227-062606.html

Bulletin « branché sur Academos » du mois de mars 2007 : www.academos.qc.ca 1.Deux arrivées... et un départ 2.Faites partie de l'équipe dynamique d'Academos! 3.6e colloque sur l'approche orientante 4.Retour sur le lancement officiel des activités d'Academos 2006-2009 5.Sur Academos...- Portraits de mentors - Professions et métiers des nouveaux cybermentors - Rappel : Formation sur l'écoute 6.Academos recherche des cybermentors!
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Guide sur l’admission universitaire Automne 2007 : www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915
Raymond Jean, c.o. Webmestre

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC ACOC@videotron.ca

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