15 novembre 2007

V 6 No 10: Cotes R des derniers admis à l'université en automne 2007

Ah! comme la neige neigera! (St-Augustin 11/11/07)

Section Nouvelles de http://www.acoc.info/ Les cotes R des derniers admis à l'université en automne 2007. Ce document réalisé par Hélène Trudeau, c.o. au Cégep St-Jean-sur-Richelieu traite des cotes R des derniers admis aux programmes universitaires contingentés au trimestre d'automne 2007. Un gros merci à notre collègue de partager avec nous le fruit de son travail. www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=836 ou www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 ou le lien du document pdf www.acoc.info/database/Image_usager/2/Raymond%20Jean/Cote%20R_2007_HTrudeau.pdf

Inscription au Carrefour de l'orientation
Le prochain Carrefour de l'orientation à Québec portera sur Le bilan de compétences avec Richard Locas, c.o. Chargé d’affaires professionnelles à l’OCCOPPQ. Il a fait dernièrement une conférence en Belgique qui fut très appréciée. Plan de la rencontre : comment se fait un bilan des compétences, les liens avec l'approche orientante et la reconnaissance des acquis et des compétences. Pour s’inscrire, envoyer un courriel à acoc@videotron.ca . Cette rencontre aura lieu l'avant-midi du 5 décembre au nouveau campus de l’UQAR à Lévis de 9h00 à 12h00 à la Salle de réunion 2032, frais de 20$ payable sur place (un reçu vous sera remis). Il sera possible de dîner à la cafétéria du campus.

N’oubliez pas qu’en après-midi à l'UQAR-Lévis, il y aura une rencontre organisée par Jacques D’Astous jacques_dastous@uqar.qc.ca Conseiller en recrutement et en communication dans leur nouveau campus (invitation par courriel déjà transmise)


Le lendemain (6 décembre) aura lieu la Journée des partenaires 2007 à l'université Laval (rencontre annuelle d’échanges et d’information) organisée par Jocelyne Boivin c.o. responsable de promotion et d'information sur les études (invitation par courriel déjà transmise)
jocelyne.boivin@br.ulaval.ca La journée se déroulera par des présentations, des démonstrations et des visites.


Le prochain Carrefour de l'orientation à Montréal portera sur Les dilemmes éthiques au collégial – savoir les reconnaître et les résoudre le 15 janvier 2008 (a.m. et p.m.) au Cégep Ahuntsic, frais de 70$ payable sur place (dîner inclus, un reçu vous sera remis). Pour s’inscrire, transmettre un courriel à Philippe Brosseau, c.o. président de l’ACOC pbrossea@cstj.qc.ca Les professionnels font de plus en plus face à des cas complexes où s’enchevêtrent les besoins du client, les attentes du milieu de travail ainsi que leurs propres valeurs et compétences. Peu importe leur milieu de pratique, ils se sentent le plus souvent dépourvus devant ces dilemmes, ne sachant trop comment y faire face ni quelles décisions prendre dans les circonstances. Afin de résoudre ce genre de situation, il est nécessaire de savoir en reconnaître les enjeux et d’identifier les règles qui s’appliquent, notamment celles prévues au nouveau Code de déontologie. Ces étapes s’inscrivent dans une méthode d’analyse et de prise de décision permettant de résoudre les dilemmes éthiques de manière responsable. L’atelier se déroulera de manière interactive, à partir des cas apportés par les participants qui pourront tester en équipe la méthode proposée. Me Geneviève Roy Conseillère juridique à l’OCCOPPQ et Dominique Trudel, ps.éd. Chargée d’affaires professionnelles et coordonnatrice à la formation continueà l’OCCOPPQ.

Moncton, j’embarque!
http://faislesaut.com/ Directement du secondaire à l'université. Allez sur le site du bulletin pour visionner l’invitation du président de l’ACOC Philippe Brosseau c.o. www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/2007/10/vido.html Pour le moment, 43 membres des 26 institutions suivantes ont déjà signifié leur intérêt. À l’ouest (16) : les cégeps St-Laurent, Abitibi-Témiscamingue, St-Jean-sur-Richelieu, Granby, St-Jérôme, Sherbrooke, Lanaudière, St-Hyacinthe, Outaouais, Vieux-Montréal, Rosemont, Héritage, le Collège international Marie de France, le Collège St-Jean-Vianney, l’université de Sherbrooke et Trav-Action. À l’est (10) : Jonquière, Limoilou, Gaspésie, F.-X. Garneau, St. Lawrence, Ste-Foy, St-Félicien, Lévis-Lauzon, Chicoutimi et Psycho-Carrière. Peu importe votre lieu de travail (cégeps, écoles secondaires, CJE, écoles privées, universités pratique privé …), le Conseil exécutif de l’ACOC aimerait connaître les membres intéressés à participer à notre prochaine rencontre annuelle en partenariat avec l’université de Moncton. Veuillez transmettre un courriel à acoc@videotron.ca en précisant : -prénom, nom et lieu de travail -embarquement dans l’autobus à Montréal-Rive sud, Lévis ou Rivière-du-Loup -loger sur le campus ou non -et finalement, votre intention de vous inscrire (environ 200$) au colloque de l’ACC débutant le 14 mai (nous reviendrons au Québec le vendredi 16 mai). Le Comité de perfectionnement pour le 7e congrès 2008 de l'ACOC en partenariat avec l'Université de Moncton Je suis partant pour Moncton – J’ai hâte à Moncton du 12 au 16 mai 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810

Info collégiale
Présentation du programme d'attestation d'études collégiales (AEC) "Répartiteur et répondant en centre d'appels d'urgence" A l'heure où le rôle des centres d'appels primaire et secondaire occupe une place grandissante dans la stratégie de sécurité publique de la province, de nouvelles préoccupations sont apparues à l'égard du fonctionnement de ces centres. L'attestation d'études collégiales LCA.A0 "Répartiteur et répondant en centre d'appels d'urgence" a été élaborée par le Cégep Beauce-Appalaches à la suite d'une demande du milieu. Dans les faits, il n'existe aucun programme de formation ministériel traitant de l'ensemble des appels d'urgence, tels que le 9-1-1, santé, incendie et police. A ce jour, la charge complète des formations était assumée par les centrales. Seulement deux (2) collèges offriront ce programme. Le Cégep Beauce-Appalaches offrira dès le 14 janvier 2008 ce programme "en ligne" sur Internet en mode synchrone, c'est-à-dire un mode où le formateur interagit en temps réel avec les apprenants, permettant ainsi à un plus grand nombre de personnes de bénéficier de ce programme provincial. Cette formule plait de plus en plus aux gens, pas besoin de se déplacer et aucun frais de stationnement. La formation en ligne est flexible et conviviale et permet de concilier plus facilement étude/famille. De plus, comme chacun des modules est enregistré, les étudiants ont la possibilité de reprendre au besoin les cours manqués en différé. Tandis qu'à compter de février 2008, le Collège Montmorency offrira le programme en classe. http://www.cegep-beauce-appalaches.qc.ca/ et http://www.cmontmorency.qc.ca/ www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=77554&B=1

Seconde entente d’arrimage entre La Cité collégiale et l’Université du Québec en Outaouais
Les étudiants qui se dirigent en administration auront un choix de plus à compter de septembre 2008, à la suite d’une entente qui a été conclue entre La Cité collégiale et l’Université du Québec en Outaouais (UQO). Grâce à cette entente, les étudiants pourront s’outiller d’une formation à la fois pratique et universitaire avant d’affronter le marché du travail et obtenir à la fois un diplôme d’études collégiales et un baccalauréat et ce, en une année d’études de moins par rapport au parcours scolaire normal. Cette formation, convient-il de souligner d’emblée, est enrichie, si bien que le nombre de cours est plus élevé. Selon les dispositions de ce partenariat, un étudiant pourra suivre des études réparties sur deux années à La Cité collégiale. Il obtiendra son diplôme d’études collégiales en administration des affaires au terme de sa première année à l’Université du Québec en Outaouais, résultat d’un chevauchement voulu entre les programmes des deux institutions. Dès le début de ses études à La Cité collégiale, il pourra sélectionner ce profil et, parallèlement, faire une demande d’entrée au baccalauréat en administration des affaires – concentration finance à l’UQO, où il suivra deux années d’études universitaires. Les étudiants qui s’inscriront à ce programme devront atteindre une note de 70 % et la maintenir. De plus, s’ils veulent franchir les étapes en moins de temps, ils devront s’inscrire au trimestre d’été pendant leur passage à l’Université du Québec en Outaouais.
www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=77953&B=1

Sur ce site, on y trouve les programmes d'études, de travail, de volontariat par pays. C'est un site destiné aux jeunes qui veulent visiter l' Europe.Certains programmes sont réservés aux étudiants universitaires; toutefois, un survol rapide m'a permis de voir qu'il y avait au moins un projet pour les jeunes du secondaire (15-18 ans).
www.international.gc.ca/canada-europa/youth/programs_ca-fr.asp et le site www.ambafrance-ca.org/rubrique.php3?id_rubrique=339

Pour la 12e année consécutive, le concours Chapeau, les filles! récompense celles qui osent sortir des sentiers battus Le concours Chapeau, les filles! a pour but de favoriser la diversification des choix de carrière des jeunes filles et des femmes et d'encourager celles qui sortent des sentiers battus à persévérer jusqu'à l'obtention de leur diplôme. Le concours se tient dans toutes les régions du Québec et s'adresse aux étudiantes en formation professionnelle au secondaire ou en formation technique au collégial. Les étudiantes du niveau universitaire, pour leur part, peuvent participer au volet Excellence Science du concours. Ce concours permet l'attribution de prix régionaux et de prix nationaux.
www.mels.gouv.qc.ca/sections/chapeau

9e édition de l'évènement « Les filles et les sciences : un duo électrisant! » Avis à toutes les « geekettes », ainsi qu'à leurs parents et enseignants! En 2008 se tiendra la 9e édition du « Duo », grande journée thématique destinée à faire découvrir l'univers des sciences et des technologies aux adolescentes de secondaire 2 et 3, c'est-à-dire à l'âge décisif des choix d'orientation. Réunissant quelque 400 jeunes filles chaque année, cet évènement scientifique, pédagogique, ludique et gratuit comprend aussi un volet expressément conçu pour les intervenants scolaires (enseignants, conseillers en information scolaire et professionnelle et conseillers en orientation) et un autre à l'intention des parents. Le 9e « Duo » aura lieu le samedi 16 février prochain à l'École Polytechnique de Montréal.
http://www.lesfillesetlessciences.ca/ .

Les emplois de la révolution numérique
Dans une journée normale, la plupart d'entre nous échangent des courriels, téléphonent sur un cellulaire, travaillent sur un ordinateur (souvent en réseau), surfent sur le Web et regardent probablement les Têtes à claques ou YouTube en catimini. Le flot d'information est immense et touche autant la gestion de données vitales que les divertissements futiles. Derrière ce flot numérique continu, il y a plusieurs emplois. Toutes ces technologies en apparence disparates ont en commun l'informatique et on regroupe les métiers qui en dépendent sous l'abréviation de TI (technologies de l'information) ou sous celle, plus large, de TIC (technologies de l'information et des communications). Au Québec, environ 150 000 emplois appartiennent à cette catégorie. Au Canada, le Conseil des technologies de l'information et des communications estime que l'emploi dans ce secteur devrait croître annuellement de 2,3% jusqu'en 2010. Cela signifie 58 000 nouveaux emplois au pays au cours des prochaines années. De plus, même si la moyenne d'âge des travailleurs canadiens du secteur est de moins de 40 ans, on prévoit qu'il faudra remplacer 31 000 travailleurs qui quitteront les TI pour une raison ou une autre (retraite, réorientation de carrière, etc.) durant cette période. Cela fait au total 89 000 personnes à embaucher, dont environ 16 000 au Québec! Les perspectives de carrière sont donc plutôt favorables et déjà aujourd'hui plusieurs entreprises peinent parfois à recruter ou à empêcher leurs travailleurs de passer chez un concurrent plus offrant. Pourtant, il y a une dizaine d'années, les jeunes semblaient se ruer massivement vers les carrières en TIC. Mais, au tournant de 2001, l'éclatement de la bulle spéculative entourant les technologies a sensiblement refroidi les ardeurs. Par exemple, l'Université Laval, qui recevait annuellement plus de 1 000 inscriptions pour son programme en informatique, n'en a reçu que 600 pour l'année 2006-2007. La rareté de la main-d'œuvre est désormais une des plus grandes préoccupations de l'industrie.
www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/les-emplois-revolution-numerique-7373.html Voir : http://www.macarriereenjeux.com/ et www.macarrieretechno.com/ pour obtenir des informations sur les les métiers du jeu interactif.

Une première collation de diplômes en Stratégies d’intervention en développement du langage du Cégep de La Pocatière et du Centre d’études collégiales de Montmagny. C’est avec beaucoup de fierté que le Service de la formation continue du Cégep de La Pocatière et du Centre d’études collégiales de Montmagny a procédé, au cours d’une cérémonie officielle, à la remise de 49 diplômes à des finissantes du programme Stratégies d’intervention en développement du langage. Cette attestation d’études collégiales, offerte à temps partiel à La Pocatière, Rivière-du-Loup, Montmagny et Saint-Romuald a permis à ces 49 étudiantes de développer et d’acquérir les compétences requises pour intervenir adéquatement auprès des enfants manifestant des difficultés ou des problèmes de langage, sous la supervision des orthophonistes et en collaboration étroite avec des professionnels de la santé et de l’éducation. Le Service de la formation continue du Cégep de La Pocatière profite de l’occasion pour exprimer sa reconnaissance à l’Ordre des orthophonistes et audiologistes du Québec pour leur précieuse collaboration et leur implication dans ce projet. Rappelons, en terminant, que cette attestation d’études collégiales vise, notamment, à satisfaire les besoins de plus en plus nombreux et pressants de la clientèle enfantine âgée entre 0 et 12 ans et ce, sous la supervision et en collaboration avec l’orthophoniste.
www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=77721&B=1

Le Centre d’études collégiales de Carleton s’adapte à sa réalité et change son nom Fondé en 1989, le Centre d’études collégiales de Carleton a permis à près de 1500 jeunes de la région d’obtenir leur diplôme d’études collégiales.Provenant principalement de la région comprise entre Nouvelle et New Richmond, la population du Centre s’est maintenue et a même progressé au cours des dernières années en accueillant des élèves de partout sur les territoires des MRC d’Avignon et de Bonaventure.Afin d’être conséquent avec cette nouvelle réalité régionale, le Centre d’études collégiales de Carleton devient le Centre d’études collégiales Baie-des-Chaleurs. Avec des programmes uniques comme les DEC 2 ans en Techniques de comptabilité et de gestion, Techniques de bureautique et Techniques d’intervention en délinquance, le Centre d’études collégiales Baie-des-Chaleurs entend continuer son développement en accueillant des élèves en provenance du Québec et du Nouveau-Brunswick. www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=77736&B=1

La SAQ crée un Fonds pour enrichir les programmes d'enseignement en sommellerie. Dans le cadre de la Semaine de la formation professionnelle et technique, la Société des alcools du Québec annonce la création d'un Fonds SAQ de développement en sommellerie. Ce fonds a pour objectif de contribuer à l'essor des institutions d'enseignement accréditées qui offrent le programme conduisant à une attestation de spécialisation professionnelle (ASP) en sommellerie. La SAQ investira ainsi 500 000 au cours des cinq prochaines années. Ces sommes viendront contribuer à enrichir les programmes d'enseignement en sommellerie et à développer des infrastructures à des fins pédagogiques. Le Québec est de plus en plus une destination gastronomique de choix pour les touristes d'ici et d'ailleurs. Les diplômés détenant une ASP en sommellerie sont embauchés comme sommeliers, maîtres d'hôtels ou serveurs dans les hôtels et restaurants souvent reconnus pour leurs caves à vin. De là l'importance de suivre les tendances de consommation et les nouveautés dans le monde du vin. La création du Fonds SAQ en sommellerie vient appuyer l'enrichissement des connaissances des futurs diplômés, de fidèles et réputés ambassadeurs du monde du vin et des spiritueux. Les sommes seront attribuées sur une base annuelle à chacune des institutions en regard du nombre d'élèves formés, du nombre d'heures de formation, ainsi que du statut temporaire ou permanent de l'autorisation d'enseignement émise par le Ministère de l'Education, du Loisir et du Sport du Québec.
www.monemploi.com/ma_formation/actualites/saq-cree-fonds-pour-enrichir-les-7383.html

Info universitaire
Entrez voir la VIDÉO : Mission: accueillir les étudiants internationaux. Cette semaine, l'équipe formée de Anne-Marie Francoeur, Joanie Ebacher et Myriam Laporte rencontrent des étudiants de l'UQTR qui ont pour mission d'accueillir leurs camarades venus du monde entier. http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=6812

Réussite scolaire: tout se joue avant 5 ans
Ce sont les habiletés en mathématiques et en lecture ainsi que la capacité d'attention qu'un enfant développe à l'âge préscolaire qui prédisent ses succès scolaires futurs. Bien davantage que son comportement ou son milieu social. Un enfant de 4 ans qui distingue déjà les nombres, les lettres, les couleurs et les formes a plus de chance de bien réussir à l'école, révèle ainsi une nouvelle étude d'envergure. Publiée cette semaine dans la revue de l'American Psychological Association, la recherche pourrait bien sceller un débat vieux de plusieurs décennies. «Deux camps existent depuis longtemps. D'un côté ceux qui croient que les compétences sociales sont les plus importantes dans la préparation d'un enfant à l'école et les autres, qui croient plutôt que ce sont les habiletés cognitives», explique l'une des coauteurs de l'étude, Linda Pagani, chercheuse au Centre de recherche de l'hôpital Sainte-Justine. L'étude a été menée à partir de six études longitudinales réalisées auprès de 36 000 enfants du Canada, des États-Unis et de la Grande-Bretagne. Il ne s'agit donc pas de cas cliniques. Les résultats sont probants pour les auteurs. Les habiletés en mathématiques sont la variable la plus importante pour prédire le succès scolaire, non seulement en mathématiques, mais aussi dans les autres matières. Les habiletés en lecture ainsi que la capacité de l'enfant de se concentrer pour effectuer une tâche sont les autres variables importantes. Cette étude révèle donc que le comportement social - par exemple un enfant agressif - n'a rien à voir avec son apprentissage futur. Les chercheurs n'ont également pas noté de différences entre les enfants issus de milieux défavorisés et ceux de classes sociales aisées, ceux dont les parents sont divorcés et les autres, ni entre les garçons et les filles. «Nous avons été extrêmement surpris des résultats», lance d'ailleurs Mme Pagani, qui est aussi professeur titulaire à l'École de psychoéducation de l'Université de Montréal et chercheuse au Center for Analysis of Pathways from Childhood to Adulthood de l'Université du Michigan. Avec 10 autres coauteurs, elle a participé à cette vaste étude dirigée par le Dr Greg J. Duncan, un économiste américain. Si tout se joue chez l'enfant d'âge préscolaire, il ne faut rien imposer, nuance tout de même Mme Pagani en analysant les résultats de l'étude. «L'enfant a besoin d'apprendre de façon informelle, dans la vie quotidienne, en s'amusant. L'enfant doit être inspiré, attiré à l'idée d'apprendre. Nos résultats ne suggèrent pas de s'asseoir avec un enfant de 4 ou 5 ans et de le forcer à apprendre.» Pour développer des habiletés en mathématiques, l'enfant peut apprendre à mettre la table en comptant le nombre de convives et les couverts pour chacun d'eux. En ce qui concerne la lecture et le vocabulaire, l'enfant apprend lorsqu'un adulte lui fait la lecture en suivant chacun des mots du bout des doigts. «De cette façon, il comprend que l'adulte ne fait pas seulement regarder les images d'un livre en inventant une histoire sortie de son imagination», lance Mme Pagani. Cette nouvelle étude permet de prédire les résultats scolaires chez un enfant de troisième année. Une année charnière, poursuit Mme Pagani. Plusieurs recherches ont en effet démontré que c'est en troisième année du primaire que la performance scolaire devient stable pour la durée des études primaires et secondaires.
www.cyberpresse.ca/article/20071113/CPACTUALITES/711130492/1019/CPACTUALITES

Lancement du nouveau site Internet du MBA de l'ESG UQAM
L’École des sciences de la gestion (ESG UQAM) lance le nouveau site Internet du MBA :
http://mba.esg.uqam.ca/ Sur le thème MBA inc. Incorporez votre emploi à vos études, ce site présente cinq programmes de maîtrise en administration des affaires qui s’adressent à autant de profils de candidats : MBA pour cadres général (Executive MBA) Pour les cadres dans une entreprise depuis au moins quatre ans qui souhaitent parfaire leurs pratiques de gestion. MBA pour cadres sectoriels (Executive MBA) Pour les cadres possédant au moins quatre ans dans le domaine des technologies, des services ou des finances. Ce programme offre une spécialisation dans trois domaines d’expertise : Technologies (Gestion de la technologie, Gestion des bio-industries, Logistique et transport) Services (Gestion des villes et métropoles, Entreprises collectives, Administration des services de santé, Gestion du tourisme) Finances (Financement des entreprises, Immobilier, Sciences comptables) MBA Services financiers Pour les directeurs ou professionnels dans une institution financière, une compagnie d’assurance ou une firme de courtage depuis au moins quatre ans. MBA Conseil en management Pour toute personne qui possède de l’expérience dans le domaine de la consultation et qui souhaite se perfectionner. MBA Sciences et génie Pour les diplômés d’une école d’ingénieurs ou dans une discipline scientifique (par exemple en chimie, biologie ou informatique) et qui n’ont aucune expérience en gestion. Poursuivre un MBA à l’ESG UQAM permet de se perfectionner en gestion, d’enrichir son réseau d’affaires et de promouvoir sa carrière. L’École propose une formule incluant : un enseignement en classe alternant avec des séances de travail et des observations sur le terrain; plus de 130 enseignants qui font le pont entre la théorie et la pratique grâce à leur propre expérience du monde des affaires; une pédagogie qui s’appuie sur la participation en classe et qui forme au travail d’équipe; une durée de programmes et des horaires de cours adaptés aux besoins des étudiants. Le MBA pour cadres de l’ESG UQAM s'offre à raison d'une fin de semaine par mois – vendredi, samedi, dimanche – sur un horizon de deux ans. Le programme est également donné conjointement avec d’autres universités en Afrique (Algérie, Mali, Maroc, Sénégal et Tunisie), en Amérique latine (Équateur, Mexique, Pérou et République dominicaine), en Europe (France et Pologne) et en Asie (Chine). Soulignons d’ailleurs que le MBA pour cadres offert en Pologne s’est classé au 1er rang du mensuel Home & Market (2007) et de la revue WPROST (2005 et 2006). Puis, celui offert en France figure au top 5 du classement SMBG 2007 des meilleurs programmes de MBA en France.Dates limites pour soumettre sa candidature : Admission au trimestre d’hiver 2008 MBA pour cadres général : 15 novembre 2007 MBA pour cadres sectoriels : 15 novembre 2007 (certaines spécialisations seulement) Admission au trimestre d’automne 2008 MBA Conseil en management : 1er mars 2008 MBA Sciences et génie : 1er avril 2008 MBA pour cadres général : 15 mai 2008 MBA pour cadres sectoriels : 15 mai 2008 MBA Services financiers : 15 juin 2008 www.ameqenligne.com/nouvelle_detail.asp?ID=77433

L’Association des universités et collèges du Canada souligne la Semaine de l’éducation internationale Les 92 établissements membres de l’Association des universités et collèges du Canada se joindront aux universités et aux éducateurs de 85 pays du monde entier pour célébrer la quatrième édition annuelle de la Semaine de l’éducation internationale. Depuis 2004, la Semaine de l’éducation internationale permet de mettre en lumière le rôle essentiel que joue l’éducation internationale dans l’acquisition de connaissances et de compétences dont les Canadiens ont besoin pour évoluer dans une société de plus en plus mondialisée. La Semaine de l’éducation internationale se déroule cette année du 12 au 16 novembre, sous le thème Citoyenneté pour le monde – Préparer les diplômés pour l’avenir. Le site Web officiel de la Semaine de l’éducation internationale
http://www.iew-sei.ca/ propose de précieuses ressources en matière d’éducation internationale, renseigne sur les diverses façons de prendre part aux activités et dresse la liste des événements de la Semaine.

Profession chef d’orchestre
Le Québec s’est taillé une place notable dans la formation de chefs d’orchestre, une profession qui ne relève pas que de l’apprentissage. Qualifié d’« espiègle » dans La Presse du lendemain, le chef donnera « toute la mesure de son talent des plus ludiques » non seulement dans cette œuvre de Brahms, mais aussi dans les autres pièces présentées gratuitement au public montréalais ce soir-là. « Quand on dirige, il ne faut pas avoir la fraction d’un doute sur ce qu’on veut entendre », affirmera, quelques jours plus tard, ce professeur de la Faculté de musique de l’Université de Montréal qui a assisté tout l’été le chef attitré de l’OSM, Kent Nagano, et qui dirigera la formation dans 20 concerts cette année. « C’est probablement ce qu’il y a de plus difficile dans ce métier : ne jamais douter de soi. » Cette confiance extrême ne s’apprend pas sur les bancs de l’école. Pas plus que le charisme et le leadership, deux autres qualités essentielles à tout chef d’orchestre. Pour le reste, il y a le programme de direction d’orchestre, que Jean-François Rivest supervise avec Paolo Bellomia depuis 1999 et qui a rapidement acquis une réputation internationale. « Autrefois, nous allions suivre des cours de direction aux États-Unis; aujourd’hui, nous accueillons des étudiants américains », fait observer M. Bellomia, compositeur et chef venu à l’UdeM pour ce projet. Avec cinq inscriptions au maximum (actuellement deux à la maitrise et trois au doctorat), les demandes sont beaucoup plus nombreuses qu’on peut en accepter. La dernière fois qu’on a affiché un poste, 14 candidats se sont présentés. Cela semble peu? Pas quand on sait que, pour passer l’entrevue, il faut produire un document vidéo dans lequel on vous voit diriger L’histoire du soldat, d’Igor Stravinski, Prélude à l’après-midi d’un faune, de Claude Debussy, et la Troisième symphonie, de Ludwig van Beethoven… Comment devient-on chef? Le plus souvent en passant d’un instrument bien maitrisé (Jean-François Rivest était violoniste virtuose dès l’âge de 11 ans) à l’instrument « total », qui englobe tous les autres. « J’ai une formation de pianiste et j’ai joué tous les genres de musique, incluant le jazz et le populaire », relate Paolo Bellomia. Le chant choral est actuellement l’un des loisirs artistiques les plus populaires du Québec. On peut comprendre que le Québec engendre des joueurs de hockey… mais on ne peut pas parler de tradition en matière de direction d’orchestre. Qui se souvient du fondateur de l'OSM en 1894, Guillaume Couture (1851-1915)? N’eût été la salle de concert de la Place-des-Arts qui porte son nom, Wilfrid Pelletier (1896-1982) ne serait certainement pas dans la mémoire collective. Les modèles de Yannick Nézet-Séguin, Jacques Lacombe et Bernard Labadie se nomment plutôt Karajan, Guilini et Ozawa… « C’est vrai que le Québec forme de nombreux chefs, et le Canada anglais s’en rend compte, explique Jean-François Rivest. Pourquoi? C’est mystérieux. Peut-être est-ce en raison de notre côté latin, mais aussi du caractère conciliant et sensible des hommes québécois. » Car, il faut bien le dire, même si la profession est ouverte autant aux hommes qu’aux femmes, le maestro est le plus souvent un homme. « Cela change tranquillement », note Mélanie Léonard dont l’ensemble, Prima, spécialisé dans la musique contemporaine, jouit d’une excellente réputation sur la scène musicale montréalaise. Elle dirige aussi avec plaisir les grandes œuvres des répertoires classique et romantique.
www.diplomes.umontreal.ca/revue/413/art2.html

20 ans d'innovation : L'apprentissage par problème continue d'évoluer à la FMSS À la Faculté de médecine et des sciences de la santé, les étudiants sont appelés à mettre à l’épreuve leurs connaissances auprès de patients standardisés qui leur présentent des situations crédibles. En 1987, la Faculté de médecine de l'UdeS initiait une petite révolution et transformait radicalement les méthodes pour former de nouveaux médecins. L'apprentissage par problème (APP) se voulait une méthode pédagogique innovatrice remplaçant les cours magistraux par un apprentissage en petits groupes axés sur une démarche active de l'acquisition de connaissances. Cette approche allait confondre les sceptiques et permettre à l'UdeS de devenir un chef de file dans la formation des médecins. La semaine dernière se tenait un colloque soulignant les 20 ans de l'APP, en vue de faire un bilan, mais aussi d'entrevoir les perspectives d'avenir pour actualiser une méthode qui en a inspiré plusieurs. L'apprentissage par problème, c'est une méthode qui favorise une approche active à l'apprentissage. Huit à neuf étudiants discutent «à froid» avec un professeur d'un problème de santé vécu par un ou une patiente, c'est-à-dire en utilisant les connaissances qu'ils possèdent déjà. Par la suite, les membres du groupe doivent étudier la problématique de façon individuelle et approfondir les connaissances liées au problème posé. Le groupe se retrouve pour discuter du même problème plus en profondeur et formuler des hypothèses. Tout au long des échanges, le professeur pose des questions, oriente la discussion et commente les solutions apportées. Les étudiantes et étudiants sont initiés à la méthode APP dès la première activité du programme et développent leurs habiletés d'apprentissage durant la totalité de leur programme.
www.usherbrooke.ca/liaison_vol42/n06/a_app.html


Formation, documentation
Psychologie : Nuit noire sur une page blanche… MICHEL ROY En vacances… sur la page. La page est blanche, immaculée, pour ne pas dire vierge. Elle n'attend que moi pour prendre vie et couleur et me révéler à tous avec une pointe d'impudeur! Mais pour l'instant elle est blanche, offerte aux idées les plus folles… comme celle d'écrire cet article sur la page blanche… La page blanche est pleine de promesses, d'anticipation plaisante… Mais elle est là, passive. Elle attend que j'agisse, que je montre de quoi je suis capable. Elle me nargue gentiment : allez, détends-toi, laisse-toi aller, fais voir ta créativité, exprime-toi! Peu à peu, devant ce territoire vierge, s'installe un léger malaise, diffus, mais tenace. J'ai chaud. J'ai envie de voir ce qui se passe ailleurs, dehors. De toute façon, je ne suis pas pressé. Je veux me laisser inspirer et une page blanche, ce n'est pas très inspirant. Quoi dire? Comment le dire? Ah, ce n'est pas ma journée. J'ai sûrement quelque chose de mieux à faire. Je te reverrai plus tard, page blanche, ne t'inquiète pas… Mais je ne peux pas laisser tomber. Il y a cette échéance que je ne peux dépasser. Et ce maudit papier que je dois noircir avec quelques idées intelligentes, un propos bien tourné. Car cette page sera mon «présentoir», ma carte de visite : «Tiens, c'est ce qu'il pense… C'est ainsi qu'il s'exprime… Drôle de style, drôle de personne probablement!» Et si je laissais tomber? Impossible. Je ne peux plus reculer. Rame, rame, rame donc, le tour du monde nous ferons…Tout ce qu'il me reste à faire, c'est d'avancer, de poser un mot devant l'autre et de commencer à écrire. Un mot devant l'autre. Écrire. N'importe quoi mais le faire. Sortir de ma paralysie et de mon désir d'avoir du génie. Placer un mot et un autre et un autre et finir par faire une phrase, accoucher d'une idée… et recommencer. C'est la seule façon de m'en sortir. Produire. Bien sûr, ce n'est pas très bon, mais j'ai déjà presque rempli une page blanche. Voilà enfin une matière sur laquelle je peux travailler, un morceau brut de ma pensée que je pourrai peaufiner, raturer au besoin, même jeter à la poubelle et recommencer. Non, ce n'est pas le flot d'idées jaillissantes que j'espérais. Ça ressemble plutôt à un mince filet, mais c'est quand même une source de sens que je suivrai, que j'alimenterai et qui me mènera peut-être au torrent. Peut-être pas. Mais au moins, je bouge, je crée, je travaille. Ma pensée a pris son erre d'aller. Ça m'encourage. Et au moment où je me rends compte que ça y est, que je suis parti, je perds le fil et… plus rien. Ça se peut pas! C'est pas vrai. Non! Ça ne va pas recommencer. Non! Je n'ai qu'une page et il m'en faut deux. Je n'y arriverai donc jamais. Eh, oh, minute! Ce n'est pas en m'énervant de la sorte que je m'en sortirai. D'abord me calmer, respirer par le nez… Attendre un peu… Me distraire quelques minutes peut-être, marcher, respirer à fond… Harmonie du soir… sur le papier. Bizarre de processus que celui de la création. Rien n'est jamais acquis. Des fois, ça vient tout seul, c'est tellement facile. Je me sens alors si brillant. D'autres fois, c'est le contraire, il faut bosser, endurer les affres du vide, chercher, se battre au corps à corps avec soi pour ne pas s'enfuir… Dans ces moments-là, j'ai bien peur d'être une cruche. Mais je persiste, je tiens bon et, en désespoir de cause, je me décide à aligner un mot et un autre et à recommencer à écrire. N'importe quoi... J'aurai bien le loisir après de réviser, de corriger et, peut-être, finalement, pourquoi pas, d'apprécier le fruit de mon travail. Qu'en diront les autres? Je ne sais pas. Verront-ils l'effort? Pas sûr. Est-ce qu'ils aimeront? Je l'espère. Tout compte fait, moi, je serai satisfait, parce que, devant la page blanche, je n'aurai pas abdiqué. J'aurai affronté mes démons, mes peurs, ma paralysie, et j'aurai écrit, un mot à la fois, le fond de ma pensée. C'est tout ce que je pouvais faire et je l'ai fait, bel et bien fait. Advienne que pourra! Et puisqu'il faut que j'ajoute quelques lignes pour contenter mon rédacteur en chef, je vous assure que le texte qui précède décrit ce qui m'est arrivé en écrivant cet article. Parti de rien ou à peu près pour arriver à quoi? À vous intéresser à poursuivre la lecture jusqu'au bout, à ce que je vois. À décrire un processus et des angoisses que vous connaissez sûrement vous aussi. Finalement, à ne pas être trop mécontent du résultat. Maintenant, advienne que pourra! www.usherbrooke.ca/liaison_vol42/n06/a_psycho_4206.html

L'anorexie frappe de plus en plus tôt
L’anorexie frappe de plus en plus tôt. Habituées à voir poindre des jeunes filles de 12 ou 13 ans avec un diagnostic en poche, les intervenantes de la Maison l’Éclaircie en voient de plus en plus qui n’ont que huit ou neuf ans. Un paradoxe, à l’heure où l’obésité infantile fait de plus en plus la manchette.
www.cyberpresse.ca/article/20071108/CPSOLEIL/71108166/6787/CPSOLEIL/article/20071109/CPACTUEL/71109026/6685
Survivre à sa première évaluation
Rien de plus angoissant qu’une évaluation de rendement! Une bonne préparation permet pourtant d’y faire face avec sérénité... et d’en retirer des bénéfices.
http://carriere.jobboom.com/carriere/guide-survie/nouvel-emploi/2007/10/18/4586314.html


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Une version simplifiée du Guide d'admission universitaire Hiver 2008 par Raymond Jean, c.o.
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Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC ACOC@videotron.ca

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