08 mai 2008

V 6 No 28: Baisse marquée des suicides au Québec


Du Belvédère Raoul Roy au Parc national du Bic

L'événement "Moncton, j'embarque" approche à grands pas ! Le programme complet avec l'université de Moncton ainsi que celui de l'ACC www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 . Sur cette page, vous trouverez l'information pour la prochaine assemblée générale www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=947. Le prochain bulletin vous parviendra directement de l'université de Moncton durant la semaine du 12 mai.




Baisse marquée des suicides au Québec
Le suicide chez les hommes est en baisse de 26% dans la région de Montréal et chez les adolescents du Québec, il a presque chuté de moitié (en baisse de 43%). Tels sont les faits saillants livrés hier au congrès annuel de l'Association francophone pour le savoir (ACFAS) par Mathieu Gagné, chercheur à l'Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) qui a comparé les données des périodes de référence 1997-1999 et 2003-2005. Autre fait d'importance: le recours aux armes à feu a chuté de 41% entre ces périodes. Oui, le Québec détient toujours, selon les dernières données disponibles, le triste titre de la province où l'on s'enlève le plus souvent la vie encore que là-dessus, des bémols doivent être mis. «Au Québec, le coroner en arrive très rarement à qualifier une mort «d'indéterminée» alors qu'en Ontario, c'est nettement plus fréquent», relève Brian Mishara, directeur du Centre de recherche et d'intervention sur le suicide et l'euthanasie. Comment expliquer ces baisses généralisées du suicide, qui sont moindres en milieu rural, mais tout de même là aussi très nettement ressenties? M. Gagné note que la littérature sur ce sujet évoque plusieurs hypothèses, parmi lesquelles l'amélioration des conditions socioéconomiques (baisse du taux de chômage, notamment), les efforts investis dans la prévention du suicide ou des effets de génération. Danielle St-Laurent, épidémiologiste à l'INSPQ, précise par ailleurs que les suicides sont aussi en baisse en France, en Suisse, en Belgique et au Royaume-Uni. Faut-il donc y voir la preuve que le suicide était peut-être une affaire de génération, d'ère du temps? Pas vraiment, nuance Mme St-Laurent, dans la mesure où ces pays enregistrent aussi une diminution du nombre de suicides, mais que le Québec se distingue vraiment quant à la réduction marquée de ces événements chez les adolescents. «Ce qu'il est important de se souvenir, c'est que les gens ne se tuent pas pour mourir, poursuit-il. Ils se tuent pour mettre fin à une souffrance, mais même les adultes ont un concept très enfantin de la chose. Ils se suicident pour se sentir mieux ou en pensant au mal qu'ils feront à leurs proches seulement, ce qu'ils oublient, c'est qu'ils ne seront plus là pour assister à tout ça.» Fait à noter enfin côté chiffres. Pour ce qui est des femmes - qui se suicident nettement moins que les hommes - la baisse est moins marquée: le taux pour 100 000 habitants est de 7,6 en 2005 comparativement à 8,6 en 1998. Chez les hommes, le taux de suicide par 100 000 habitants se situe à 24,8 en 2005. www.cyberpresse.ca/article/20080507/CPACTUALITES/805070904/1019/CPACTUALITES

SUICIDE ACTION MONTRÉAL
Suicide Action Montréal a maintenant son propre site Internet. Pour prévenir le suicide chez les jeunes et les moins jeunes, faites-le connaître dans chacun de vos milieux respectifs. http://www.suicideactionmontreal.qc.ca/

Voyez aussi nos hyperliens vers d'autres ressources d'aide psychosociale sur le site de l’ACOC www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=887

Info collégiale
Aide pédagogique individuel ou aide pédagogique individuelle Collège de Maisonneuve Fin du concours Le mardi 13 mai 2008 remplacement à temps partiel (2 jours semaine) Horaire : jeudi et vendredi de 8 h 30 à 16 h 30 Période : du 3 juillet 2008 au 3 juillet 2009, ou au retour de la titulaire du poste. Les personnes intéressées doivent faire parvenir leur offre de service au Service des ressources humaines en mentionnant le numéro du concours avant 16 h 30 le 13 mai 2008 à emploi@cmaisonneuve.qc.ca . Voir section Nouvelles de www.acoc.info

Le Collège Laflèche offre un poste de coordination du Bureau du registraire, du Service d'aide pédagogique et d'orientation - Fin du concours: 16 mai www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=945

Le MELS prédit des baisses d'effectifs étudiants plus importantes en 2021-2022 Selon des prévisions du ministère de l'Éducation, l'effectif étudiant en 2021-2022 sera plus bas qu'en 2006-2007 pour l'ensemble des universités. Le Ministère prévoit qu'à l'Université de Sherbrooke et à Bishop's la baisse sera supérieure à la moyenne québécoise, tout comme pour cinq autres universités de la province. Selon le Ministère, outre les universités sherbrookoises, les autres établissements qui seront plus touchés par cette diminution sont Laval, l'UQTR, l'UQAC, l'UQAR et l'UQAT. C'est ce qui ressort des prévisions des effectifs étudiants en équivalence au temps plein (EEETP réalisées par le ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS). La marge d'erreur est d'environ 2 pour cent pour les prévisions de l'ensemble du réseau universitaire. L'utilisation de ces statistiques sert surtout à des fins budgétaires. Ces chiffres excluent certains étudiants, entre autres ceux inscrits aux nouveaux programmes que la ministre Michelle Courchesne n'a pas encore autorisés ou ceux inscrits comme auditeurs libres. Quels facteurs peuvent expliquer les baisses de clientèle en 2021-2022? Selon Stéphanie Tremblay, responsable des relations avec la presse au MELS, cela s'explique notamment parce que la population en âge d'aller à l'université amorcera une baisse dans quelques années. Du côté de l'UdeS, la direction ne se montre pas inquiète. "Ça fait longtemps qu'on a appris à vivre avec ces prévisions un peu défaitistes. On préfère se concentrer sur nos résultats plutôt que sur des prévisions", commente Martin Buteau, vice-recteur aux études, aux ressources informationnelles et secrétaire général à l'UdeS. Soulignant qu'il ne dénigre pas les prévisions faites par le MELS, il précise que l'institution peut tout de même travailler sur plusieurs paramètres qui n'entrent pas dans les calculs du Ministère et qui contribuent à améliorer la situation. De plus, rappelle-t-il, l'UdeS a connu au cours des dernières années des hausses importantes de ses inscriptions. "On se démarque nettement de toutes les autres universités au Québec. Pourquoi ça arrêterait demain matin? Si on regarde les modèles faits il y a quelques années, on prévoyait enregistrer des baisses. www.cyberpresse.ca/article/20080430/CPTRIBUNE/804260979/5206

Le Cégep de Sherbrooke aura besoin d'unités modulaires pour loger son surplus d'étudiants Connaissant une importante croissance de sa clientèle, le Cégep de Sherbrooke devra utiliser des unités modulaires mobiles à compter de la prochaine rentrée scolaire afin d'accueillir tous les étudiants. La direction consultera également son personnel sur une modification de la plage horaire des cours et souhaite obtenir du ministère de l'Éducation le feu vert pour un agrandissement. Déjà, en 2007, le Cégep a atteint un nombre d'étudiants aussi important qu'en 1996, une année record. La direction s'attend à environ 300 étudiants de plus pour l'automne 2008 et à une autre augmentation d'au moins 200 étudiants pour 2009. L'institution prévoit accueillir quelque 6150 étudiants à l'automne 2008. "Au premier tour d'admission, on a 145 demandes de plus qu'en 2007. Au deuxième tour, on en a 125 de plus", illustre le directeur général du Cégep de Sherbrooke, Sylvain St-Cyr. Si ces chiffres ne se traduisent pas tous en inscriptions, ils sont cependant un bon indicateur de la situation vécue au Cégep. Le processus d'admission compte quatre tours. Avant d'en arriver à l'implantation d'unités modulaires, d'autres solutions ont été examinées, dont la location d'espaces. Cependant, les scénarios de location ne se sont pas avérés concluants, souligne M. St-Cyr. Selon lui, ce type d'unités modulaires est utilisé dans d'autres établissements collégiaux. Les deux unités jumelées ensemble formeront l'équivalent de six classes. Elles seront installées aux extrémités des pavillons 6 et 3. Il s'agit d'une mesure transitoire qui coûtera environ 300 000 $. Plusieurs facteurs expliqueraient cette hausse d'effectifs: l'évolution du nombre d'élèves au secondaire et l'augmentation du taux de persévérance scolaire, conséquence de la mobilisation régionale dans ce dossier, entre autres. "Nous observons également, depuis quelques années, une augmentation du nombre de diplômés au secondaire, provenant de la région, qui viennent au Cégep de Sherbrooke. Non seulement le nombre de diplômés du secondaire augmente, mais ces diplômés viennent en proportion plus grande poursuivre leurs études collégiales au Cégep de Sherbrooke", peut-on lire dans un document de l'institution. Les modifications apportées au règlement sur le régime des études collégiales auraient également un impact favorable sur l'effectif étudiant. www.cyberpresse.ca/article/20080429/CPTRIBUNE/804290632/5206

Projet de loi 50 modifiant le Code des professions - Un effet pervers pour le public Des techniciens en éducation spécialisée, il y en a 18 000 au Québec qui accompagnent nos enfants, nos adolescents, nos adultes jeunes et âgés. Partout sur le terrain, dans le quotidien des personnes en difficulté, qui vivent des problématiques reliées au développement, à la santé mentale, à une déficience intellectuelle, à un handicap physique, à la maladie d'Alzheimer, à la toxicomanie, à la prostitution, à l'exclusion sociale, à l'autisme, et on en passe. Ils sont dans nos écoles, dans la rue, dans nos centres de crise, dans les centres jeunesse, dans les centres de jour, les CHSLD, les CLSC, les organismes communautaires, les services aux familles, etc. Ils sont partout, et pourtant, malgré cette omniprésence, le projet de loi 50 du gouvernement de Jean Charest, qui entend réviser le Code des professions pour mieux encadrer certaines pratiques, a réussi à ne pas les voir, à ne pas en tenir compte. En fait, le projet de loi pourrait même réduire leur champ de pratique en réservant à d'autres -- des experts! -- des activités professionnelles qu'ils exercent depuis longtemps avec satisfaction. Les personnes en difficulté, les employeurs, les responsables en milieux de stage, tous l'ont dit: ils sont satisfaits de la formation des éducateurs spécialisés donnée dans 23 collèges de toutes les régions du Québec, ils sont satisfaits du travail des éducateurs spécialisés sur le terrain. Alors, pourquoi réduire leur champ de pratique? Parce que nous sommes à une ère d'experts. Vous connaissez? Le risque de la professionnalisation envisagée est de hiérarchiser l'intervention plutôt que de favoriser la tâche difficile de la concertation. Le public peut justement visiter le site de la commission parlementaire tenue au début de mars dernier sur ce projet de loi afin de constater les nombreuses inquiétudes présentées au ministre quant aux impacts sur le système d'aide aux personnes en difficulté. L'association des professeurs en techniques d'éducation spécialisée (APPTES), entre autres, y a présenté un mémoire qui analyse clairement les enjeux de ce projet de loi. Son adoption précipitée causera davantage de préjudices au public plutôt que d'assurer sa protection. www.ledevoir.com/2008/04/30/187500.html?fe=3776&fp=141330&fr=81762

Info universitaire
Des universités vulnérables
Au milieu des années 80, la même proportion de jeunes hommes et de jeunes femmes de moins de 30 ans, soit environ 25 %, entraient au baccalauréat. Vingt ans plus tard, l’écart s’est creusé de façon phénoménale entre garçons et filles. Les universités québécoises peuvent se vanter d’avoir, en moins de 20 ans, fait grimper la fréquentation universitaire de 18 % à plus de 25 % chez les jeunes de 20 à 24 ans. Dans un avis à la ministre de l’Éducation rendu public hier, le Conseil supérieur de l’éducation (CSE) applaudit cette victoire en matière d’accessibilité. Mais il met aussi le doigt sur les maux qui minent le système universitaire du Québec et qui, s’ils ne sont pas traités, nuiront à sa compétitivité. Bilan de santé. www.cyberpresse.ca/article/20080507/CPSOLEIL/80506282/1019/CPACTUALITES

Les femmes et les sciences : l’exception mathématique
Si les femmes sont très minoritaires dans des domaines comme l’informatique et la physique, elles doivent nécessairement l’être en mathématiques aussi, n’est-ce pas? Eh bien non, justement, et bien malin qui pourra l’expliquer. Au cours des cinq dernières années, à l’Université Laval, 44 % des diplômés du Département de mathématiques et de statistiques étaient des femmes. À l’échelle de la province, les programmes de maths accueillent en général entre 40 et 45 % d’étudiantes depuis 1999, et les programmes de statistiques entre 40 et 60 %, d’après des données de la Chaire pour les femmes en sciences et génie. Mais qu’ont donc les maths que n’ont pas le génie et les ordinateurs? «Je n’ai pas vraiment d’explication, admet Nadia Ghazzali, elle-même professeure de statistique à l’Université Laval. Peut-être que celles qui s’inscrivent le font par défi intellectuel.» Peut-être aussi, poursuit-elle, que la taille généralement petite des départements de mathématiques crée un climat de camaraderie dans lequel les femmes sont à l’aise. Mais les quelques étudiantes en mathématiques rencontrées mercredi dans les corridors de l’Université donnent un autre son de cloche : «parce que j’aime les maths», disent-elles simplement. «Je voulais être médecin, mais j’ai le cœur hyper-sensible, alors ce n’était pas pour moi», témoigne Anne-Sophie Julien, 20 ans, qui termine sa deuxième année en statistiques. Mme Julien espère travailler en statistiques médicales, mais dit être la seule de son année à s’intéresser à ce domaine. «Les maths, ce n’est pas vraiment intuitif, mais c’est organisé, et les femmes aiment bien comprendre la structure, ce qui est derrière les choses», dit quant à elle Joëlle Boucher, 20 ans, étudiante en maths-informatique. Deux autres étudiantes interviewées par Le Soleil ont par ailleurs dit étudier en maths dans le but de devenir enseignantes. www.cyberpresse.ca/article/20080505/CPSOLEIL/80504119/6584/CPSOLEIL

Science : le nombre de femmes diminue à l’université
Dans certaines disciplines comme les sciences de la santé et la biologie, les femmes sont toutefois majoritaires depuis plusieurs années et devraient le rester encore longtemps. Les femmes n’ont pas fini de bouder les sciences, et en particulier des disciplines comme la physique et l’informatique. Malgré tous les efforts investis au cours des dernières années pour attirer les étudiantes vers ces bastions masculins, elles sont aujourd’hui encore plus minoritaires qu’avant dans les facultés de sciences et génie du Québec. Bien qu’elles composent plus de 50 % des étudiants dans toutes les autres facultés, «les femmes forment maintenant 25 % des étudiants inscrits en sciences et génie, mais elles étaient 34 % en 1999, alors ça diminue», a constaté mercredi Nadia Ghazzali, professeure de statistiques à l’Université Laval, lors de son premier discours à titre de directrice de la Chaire CRSNG/Industrielle Alliance pour les femmes en sciences et génie au Québec. «On peut se dire que 25 %, ce n’est pas si pire que cela, mais il y a des domaines comme le génie informatique et le génie électrique (…) où elles forment moins de 10 % des effectifs», a renchéri le doyen de la faculté, Guy Gendron. Dans certaines disciplines proches des rôles féminins traditionnels, comme les sciences de la santé et la biologie, les femmes sont majoritaires (parfois largement) depuis déjà plusieurs années et devraient le rester encore longtemps. Mais les autres secteurs écopent. Dans un document coécrit par Claire Deschênes, professeure de génie mécanique et ancienne directrice de la Chaire sur les femmes en sciences, on apprend que seulement 12,2 % des nouvelles étudiantes choisissaient les sciences et génie en 2005 au Québec, alors qu’elles étaient 17,6 % en 1999. Ce désintérêt touche tout le monde, sans égard au sexe, mais il reste que cette proportion était encore de 38,2 % chez les jeunes hommes en 2005. Même dans les programmes de génie, où on aurait pu croire que les taux de femmes ne pouvaient pas être plus bas, elles ont perdu du terrain, ne représentant plus que 16,5 % des étudiants, contre 18,4 % en 1999. Et en informatique, la dégringolade est tout simplement spectaculaire : de 28 % des nouveaux inscrits en 1999, les femmes n’étaient plus que 10 % six ans plus tard. www.cyberpresse.ca/article/20080505/CPSOLEIL/80504117/6584/CPSOLEIL

En trois langues, s.v.p.! HEC Montréal présente sa toute première cohorte trilingue C'est avec beaucoup d'enthousiasme et de fierté que HEC Montréal célèbre le succès de ses premiers finissants du baccalauréat en administration des affaires (B.A.A.) trilingue, un programme instauré en 2005 qui demeure à ce jour unique en Amérique du Nord. Ce programme a permis à 68 étudiants de se doter de fortes habiletés de gestion et de mieux comprendre la culture des affaires, et ce, en trois langues, soit le français, l'anglais et l'espagnol. Les voilà fins prêts à prendre d'assaut le marché du travail ou à poursuivre des études supérieures. Durant les trois premiers trimestres du programme, les étudiants du B.A.A. trilingue suivent cinq cours en français, cinq cours en anglais et cinq cours en espagnol. A partir du troisième trimestre, ils poursuivent leurs études à l'étranger, dans une langue autre que leur langue maternelle, par l'entremise du programme d'échanges internationaux de l'Ecole, qui compte 87 établissements partenaires répartis dans 32 pays, dont l'Espagne, l'Argentine, le Chili, le Royaume Uni, Hong-Kong et Singapour. A leur retour, les étudiants reprennent le cheminement normal du programme. Quelque 150 autres étudiants sont inscrits au B.A.A. trilingue en première et deuxième année et le programme continue de gagner en popularité. www.cnw.ca/fr/releases/archive/May2008/06/c5171.html

Surveiller la surveillance!
Benoît Gagnon vient de lancer son ouvrage Repenser le terrorisme: concept, acteurs et réponses La Société de transport de Montréal (STM) travaille actuellement à l’implantation d’un système de cartes à puce qui a «fait ses preuves ailleurs dans le monde, dans des villes telles que Lyon, Paris, Barcelone et Milan», selon le site Web de la Société. Mais cette technologie pourrait ouvrir la porte à des usages illicites de renseignements personnels, selon Benoît Gagnon, doctorant en criminologie. «Le fait de payer son titre de transport avec sa carte de crédit ou de débit, puis de se déplacer dans le réseau pourrait permettre de suivre les activités de consommation de l’utilisateur», donne-t-il comme exemple. À 30 ans, Benoît Gagnon est un penseur important dans le domaine de la sécurité intérieure et du terrorisme, comme en témoignent son rôle à la présidence du groupe de travail de la Commission de l’éthique de la science et de la technologie et ses diverses activités de chercheur. Le colloque tenu à l’UQAM a été un moment fort de sa carrière puisqu’il y a présenté deux conférences et qu’il a participé à un débat sur le thème du livre qu’il faisait paraitre. «Avec ma double formation en science politique et en criminologie, j’ai une bonne boite à outils», indique le chercheur associé à la Chaire de recherche du Canada en sécurité, identité et technologie. Après avoir fait un baccalauréat et une maitrise en science politique à l’UQAM, il a entrepris son doctorat en criminologie à l’Université de Montréal avec Stéphane Leman-Langlois. Sa thèse porte sur le cyberterrorisme. Ce qui explique ses succès si tôt dans sa carrière? Le fait qu’il s’est intéressé au terrorisme avant les évènements du 11 septembre 2001, ce qui lui a donné une longueur d’avance sur les autres chercheurs. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1337/221

Sages-femmes: une image «grano» colle à la pratique
Nadeige Gaillard et sa fille Lia, posent dans le lit où elle est née il y a 10 mois, à la maison de naissance Côte-des-Neiges. Quand Nadeige Gaillard est tombée enceinte, elle a tout de suite su qu'elle voudrait accoucher en maison de naissance. «Je me suis inscrite sur une liste d'attente, puis j'ai consulté un médecin. Il ne m'accordait que cinq minutes par rencontre. Il me traitait de façon expéditive. Je n'ai pas aimé ça. J'ai été bien contente d'avoir une place ici!» dit-elle. Ici, c'est la maison de naissance Côte-des-Neiges. Il y a 10 mois, c'est à cet endroit que Mme Gaillard a donné naissance à sa petite Lia. «Les sages-femmes ont du temps pour toi. Elles t'écoutent, elles s'occupent de ton côté émotionnel, dit Mme Gaillard. J'ai adoré mon expérience.» Toutes les femmes ayant accouché en maison de naissance rencontrées dans le cadre de ce dossier sont du même avis: accoucher en maison de naissance est un plaisir. Malgré cette apparente popularité, les sages-femmes peinent à se départir de leur image de «grano». «Les gens pensent encore qu'on travaille sans outil, en brûlant de l'encens», déplore la présidente du Regroupement Les sages-femmes du Québec, Céline Lemay. Pourtant, toutes les sages-femmes doivent suivre une formation de quatre ans à l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). «Le baccalauréat est sérieux. Pour y être admises les candidates doivent posséder au moins un DEC et avoir suivi des cours de sciences. Elles suivent aussi plusieurs stages dès leurs 2e année de cours», explique Raymonde Gagnon, professeure à l'UQTR. www.cyberpresse.ca/article/20080501/CPACTUALITES/805010716/6685

Les sages-femmes auront du renfort
Le Québec compte actuellement huit maisons de naissance, mais le gouvernement prévoit en construire 20 de plus. Dans sa nouvelle politique de périnatalité, attendue à l'été, le ministre de la Santé, Philippe Couillard, confirmera sa volonté d'impliquer les sages-femmes dans 10% des 80 000 naissances qui ont lieu chaque année au Québec. Actuellement, seulement 1,5% des grossesses sont suivies par ces professionnelles de la santé. Pour en arriver là, le gouvernement compte doubler le nombre de diplômées en pratique sages-femmes et construire 20 nouvelles maisons de naissance. Cette accélération du développement de la pratique sage-femme sera accueillie comme une bouffée d'air frais dans la profession car, actuellement, les 85 sages-femmes du Québec ne suffisent pas à la tâche. En 2006, 1460 Québécoises ont accouché avec l'aide d'une sage-femme. Si cette tendance semble marginale, elle a tout de même augmenté de 23% au cours des trois dernières années. www.cyberpresse.ca/article/20080501/CPACTUALITES/805010714/1019

Les médecins frileux envers les maisons de naissance En 2006, un groupe de femmes de la Montérégie a voulu créer une maison de naissance dans leur région. Elles ont contacté le centre de santé et de services sociaux (CSSS) Pierre-Boucher de Longueuil, qui a tout d'abord semblé intéressé. www.cyberpresse.ca/article/20080501/CPACTUALITES/805010717/1019

Québec appuie sur l'accélérateur
D'ici le début de l'été, la nouvelle politique de périnatalité du Québec sera rendue publique par le ministère de la Santé. La Presse a appris que le gouvernement annoncera sa volonté d'accroître la présence des sages-femmes au Québec. Cette reconnaissance est fort attendue par ces professionnelles, qui ont longtemps été confinées à un rôle marginal et entaché de préjugés. www.cyberpresse.ca/article/20080501/CPACTUALITES/805010715/1019

Bigbang en vue
L’Université de Montréal sera aux premières loges pour participer à l’expérience du Grand Collisionneur hadronique Un aperçu du coeur du détecteur ATLAS pendant sa phase de montage. Dans quelques mois débutera l’une des expériences les plus attendues par tous les physiciens de la planète et qui vise à reproduire les particules élémentaires qui existaient dans la soupe cosmique originale moins de une seconde après le bigbang. Connue sous le nom de projet ATLAS (A Toroidal LHC Apparatus), cette expérience sera rendue possible grâce à la mise en service du Grand Collisionneur hadronique (ou LHC pour son appellation anglaise), prévue cet été. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1317/221

Rodolphe De Koninck, géographe explorateur
Le professeur relate son parcours universitaire dans un livre publié aux PUM. «Outre l’étude de notre empreinte écologique, de son histoire comme de son avenir, la géopolitique et la géographie des religions représentent deux autres domaines de la connaissance auxquels les géographes doivent continuer de contribuer en priorité», selon le professeur Rodolphe De Koninck. (Photo: Bernard Lambert) «Je ne me souviens pas d’avoir décidé de faire carrière en géographie. C’est un concours de circonstances qui m’a amené, à l’âge de 19 ans, à assurer la totalité des cours de géographie offerts dans un collège préuniversitaire de Fort Portal, en Ouganda, au cœur de l’Afrique. J’ai rapidement éprouvé un intense plaisir à étudier et à enseigner cette discipline», confie le géographe Rodolphe De Koninck, qui vient de publier un ouvrage sur le sujet aux Presses de l’Université de Montréal (PUM). Car la géographie, c’est aussi la pédologie et la biogéochimie, l’aérobiologie, la palynologie, l’hydrologie fluviale, la modélisation des systèmes complexes, le développement durable, le système d’information géographique, la télédétection, la géographie des transports, la géographie urbaine, etc. Des champs où le géographe est amené à entreprendre de très nombreuses recherches. Bref, l’auteur réussit le tour de force de présenter en 72 pages l’histoire de la géographie et les différents axes de recherche qui préoccupent les chercheurs de nos jours, en plus de nous introduire dans son propre univers, la géographie humaine. Spécialiste du rôle de l’agriculture dans les pays en développement, particulièrement de l’Asie du Sud-Est, Rodolphe De Koninck parle également des fureurs de la terre et de ses thèmes de prédilection, dont, au premier chef, l’enseignement et la recherche. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1341/221

Les doctorants mal préparés au marché du travail
Les universités du Québec décernent de plus en plus de doctorats, mais préparent mal ceux qui en héritent au marché du travail, selon une étude du Conseil national des cycles supérieurs de la Fédération étudiante universitaire du Québec (CNCS-FEUQ). « Il faut donner un nouveau souffle à la formation doctorale », prévient le professeur Jean Nicolas, coauteur de l'étude. « Il y a 30 ans, la majorité des carrières destinées aux titulaires de doctorats étaient professorales. Aujourd'hui, de 50% à 80% des emplois se trouvent à l'extérieur des universités ». Or, la formation ne s'est jamais adaptée à cette nouvelle réalité. « Pour le moment, les doctorants ne sont pas attrayants pour les entreprises. On ne leur apprend pas à mettre en valeur ce qu'ils pourraient faire à l'extérieur du monde universitaire », explique M. Nicolas, titulaire de la chaire pour l'innovation dans la formation de chercheur de l'Université de Sherbrooke. Résultat, les doctorants ont « de plus en plus de difficulté à trouver un emploi », constate Frédéric Lalande, président du CNCS-FEUQ. « Dans certains domaines, les taux de chômage sont absolument hallucinants. En sciences naturelles et génie, on frôle les 12% ». Pour le regroupement étudiant, « la nécessité de préparer les diplômés pour des carrières non traditionnelles s'impose ». Et vite. De nombreux pays occidentaux ont déjà entrepris de réformer le doctorat. En retard « On est clairement en retard sur ce mouvement, dit M. Nicolas. En France et en Angleterre, le doctorat est dans le collimateur depuis une quinzaine d'années. Aux États-Unis, il est difficile de trouver une université qui ne participe pas à un projet de réforme doctorale. Au Québec, pourtant, il n'y a aucune réflexion à ce sujet ». L'enjeu est d'autant plus important que le Québec et le Canada comptent de plus en plus d'étudiants au doctorat. Entre 2000 et 2004, le nombre d'inscriptions a crû à un taux moyen de 7% par année. Et même si le Canada se situe toujours en queue de peloton, parmi les pays de l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), en ce qui concerne la proportion de diplômés dans la population, il rattrape peu à peu son retard. Mieux encore, selon Jean-Pierre Robitaille, de l'Observatoire des sciences et des technologies de l'UQAM, le Québec décerne désormais davantage de doctorats par million d'habitants que l'Ontario, le Canada et les États-Unis. « L'enjeu n'en est plus un de quantité, dit M. Nicolas. L'enjeu, c'est la qualité et l'employabilité de nos doctorants ». « Les étudiants doivent acquérir des compétences plus larges que la seule aptitude à faire de la recherche, poursuit le professeur. Par exemple, beaucoup de diplômés ne savent pas comment s'y prendre pour obtenir des brevets. C'est pourtant ce type de connaissance qui va les rendre intéressants pour une entreprise ». Crever la bulle universitaire Bref, il faut crever la bulle universitaire. « Le problème, c'est qu'en tant qu'étudiant, on est souvent poussé dans un parcours de formation où on ne se fait jamais vraiment demander ce qu'on veut faire après, explique M. Lalande. On nous dit: « Tu as une maîtrise, va au doctorat. Tu as un doctorat, va au postdoctorat... » Alors on poursuit, on poursuit, et rendu au bout, on se rend compte que ça ne nous plaît pas, qu'il n'y a pas de perspective de carrière intéressante dans notre domaine ». De plus, le professeur Nicolas plaide pour une révision complète du processus d'évaluation des programmes doctoraux, qui se déroule actuellement en vase clos au sein des universités. « Il faut vraiment qu'on puisse jeter un regard objectif et indépendant sur la qualité des programmes, un peu comme cela se fait lors de l'évaluation d'un projet de recherche par des experts internationaux ». « L'évaluation par les pairs a des limites, surtout qu'ils sont souvent débordés par d'autres tâches, renchérit M. Lalande. L'idée de faire venir des experts ou des agences indépendantes sur la question de la formation doctorale est très intéressante. Ailleurs, ça a donné de bons résultats, alors il n'y a aucune raison de ne pas le faire ici ». www.cyberpresse.ca/article/20080430/CPACTUALITES/804300728/5358/CPPRESSE

Formation, documentation
Vous connaissez certainement mes articles sur le site ORIENTACTION www.orientaction.ca/bulletins/v5-n1/v5-n1b.html Le chercheur d'emploi a enfin un outil pratique à la portée des doigts. Il suffit de se rendre sur le site de MONEMPLOI.COM www.monemploi.com/mon_emploi/liens-commerciaux/copilote/copilote.html et de passer pour une vingtaine de dollars Coach de recherche d'emploi Dominique Clavier est l'auteur de ce questionnaire. C'est un petit bijou pour la personne à la recherche d'un emploi. Vous pouvez encourager votre client à le passer en ligne. Le questionnaire s'ajuste à sa situation et propose, en conséquence, entre 140 et 180 questions de type « vrai ou faux ». Wilfrid Larochelle, c.o. wilfrid.larochelle@alphaomega.qc.ca http://www.alphaomega.qc.ca/ http://pao.careerid.com/

Les Québécois peu portés sur la formation continue À peine 40% des adultes québécois suivent des programmes de formation continue. Le pourcentage des Québécois de 16 à 65 ans ayant participé à des cours, des programmes ou d'autres activités de formation en 2003 dépasse à peine les 40 %, alors que la moyenne canadienne se situe à près de 50 %, selon des données publiées mardi par Statistique Canada. www.cyberpresse.ca/article/20080429/CPSOLEIL/80429154/6584/CPSOLEIL

Le CAPRES a tenu le 17 avril 2008, deux activités d’animation dans le cadre du colloque du CTREQ sur la réussite éducative – Ensemble nous innovons! Un Panel sur les passages et les rythmes de passage secondaire-collégial-universitaire et un atelier sur le transfert de connaissances en éducation postsecondaire. www.uquebec.ca/capres/fichiers/CTREQ-2008.shtml

Anxiété à l’école : «un monstre dans le ventre»
Les études les plus modérées indiquent que près d'un jeune sur sept ressentira les symptômes d'un trouble anxieux. Cela peut engendre un refus ou une phobie scolaire. Au moins un jeune sur 20 vivra un épisode sérieux de refus scolaire. Dans la majorité des cas, ce sont des élèves avec des troubles anxieux. Trop souvent, ils sont oubliés dans le fond de la classe car ils ne dérangent pas, déplorent des experts. Pourtant, ces jeunes ont autant besoin d'aide que leur camarades turbulents : leur peur d'aller à l'école pourrait se traduire par des mois d'absence. www.cyberpresse.ca/article/20080502/CPACTUALITES/805020636/6488

Une nouvelle réalité sociale
Les écoles ne sont pas assez sensibilisées à l'importance des troubles anxieux chez les jeunes, estiment plusieurs spécialistes de la question consultés par La Presse. «On essaie d'entrer dans les écoles, mais c'est une porte fermée», déplore la directrice de l'organisme Phobies-Zéro, Marie-Andrée Laplante. www.cyberpresse.ca/article/20080502/CPACTUALITES/805020635/6488

L’homophobie très présente chez les adolescents
Dans les écoles secondaires, les remarques antigaies ne proviennent pas que de quelques élèves isolés, mais sont beaucoup plus répandues qu’on ne le croit. Près du cinquième des adolescents (18,2 %) ont un comportement homophobe, révèle une étude menée par un chercheur de l’Université Concordia. Après avoir distribué 1097 questionnaires dans des écoles de la région de Montréal en 2006, le professeur Gilbert Émond en est venu à la conclusion que «le complexe homophobe touche tous les niveaux par des mots, des menaces, des humiliations. On entend des choses comme “mon ami s’est fait enfermer dans sa case pendant deux heures, c’est le concierge qui l’a sorti de là. Quand il est revenu la semaine d’après, il n’avait plus le goût de vivre”.» Les 18,4 % de «tyrans», comme les appelle M. Émond, s’en prennent à une proportion équivalente de jeunes, parmi lesquels 13,6 % ripostent aux insultes ou les prennent à la blague, et 4,4 % les subissent passivement. La balance, soit près de 64 %, ne prend pas part au phénomène. «Il y a une norme non dite d’adhésion à une hiérarchie masculine, qui est sexiste et dominante», dit le professeur pour expliquer la fréquence de l’homophobie. Bien que les tyrans soient en majorité des garçons, on y trouve tout de même 40 % de filles. Elles aussi, dit-il, «participent à la hiérarchie masculine, à l’édification de l’“homme alpha”, de celui qui est “le chef”». Les victimes qui ne répliquent pas sont composées à 63 % de garçons, tandis que 86 % des cibles qui ripostent sont des jeunes hommes. Parmi les victimes, on trouve une proportion relativement grande de jeunes qui sont attirés par des gens du même sexe, soit 16 %, alors qu’environ 5 % des élèves déclarent avoir des désirs homosexuels. Cela signifie toutefois qu’un surprenant 84 % des cibles de gestes homophobes sont, en fait, hétérosexuels. «Pour ceux qui ont une sexualité confortable et qui peuvent tourner ça à la blague, cela peut passer, mais le message que ça lance aux gais et lesbiennes, c’est “méchant”, “pas bon”, “sti d’fif”», déplore M. Émond. www.cyberpresse.ca/article/20080506/CPSOLEIL/80505262/6584/CPSOLEIL

Lecture et mathématiques Les jeunes Québécois bons premiers Que ce soit en lecture, en mathématiques ou en sciences, les élèves de 13 ans du Québec ont obtenu de meilleurs scores que les élèves des autres provinces et territoires canadiens. C'est ce que montre le rapport du Programme pancanadien d'évaluation (PPCE), publié par le Conseil des ministres de l'Éducation du Canada sous le titre Évaluation du PPCE-13 de 2007. La lecture :Les élèves québécois ont cumulé à l'épreuve de l'an dernier un score moyen de 526 en lecture. Pour les auteurs du programme, c'est un résultat significativement supérieur au résultat moyen pour l'ensemble du Canada, fixé à 500. La seule province dont le résultat se situe dans la moyenne canadienne est l'Ontario (502). Les résultats des élèves de toutes les autres provinces sont inférieurs à cette moyenne. Le Programme nous apprend aussi que les filles obtiennent un score significativement supérieur à celui des garçons dans l'ensemble du Canada. De plus, la proportion de filles dont le rendement se classe au niveau 3 est supérieure à celle des garçons. Dans l'ensemble, le rendement en lecture de 88 % des élèves canadiens est équivalent ou supérieur au niveau 2, c'est-à-dire le niveau attendu pour ce groupe d'âge. Le niveau 2 de lecture Le rendement d'un élève est équivalent au niveau 2 si son score se situe entre 380 et 575. Les mathématiques : En mathématiques, les élèves québécois dament encore le pion aux élèves de toutes les autres provinces et territoires. Les Québécois de 13 ans ont cumulé à l'épreuve de l'an dernier un score moyen de 517. Les auteurs du rapport jugent, encore une fois, que leur score est significativement supérieur au score moyen pancanadien. Seuls les élèves de l'Ontario (506) et de l'Alberta (499) ont des résultats dans la moyenne pancanadienne qui est encore de 500. Les trois provinces qui ont obtenu les scores les plus faibles en mathématiques: Dans l'évaluation en mathématiques, il n'y a aucune différence significative entre les scores moyens des garçons et ceux des filles de l'ensemble du Canada. Les sciences : En sciences, le Québec n'est plus le seul à occuper le haut du pavé. Il cède le premier rang à l'Alberta, qui obtient un score moyen de 524, tandis que les Québécois ont enregistré un score de 511. En sciences, comme dans les deux autres disciplines, les jeunes Ontariens ont des résultats (499) dans la moyenne canadienne. Le rapport révèle qu'il n'y a pas de différence significative entre les scores moyens des garçons et des filles de l'ensemble du Canada. En présentant le rapport, le président du Conseil des ministres de l'Éducation du Canada et ministre de l'Éducation du Nouveau-Brunswick, Kelly Lamrock, a déclaré: « Les résultats publiés aujourd'hui fourniront aux ministres de l'Éducation une base pour l'examen de leurs programmes d'études ainsi que de leurs politiques et de leurs pratiques liées au milieu d'apprentissage de leurs élèves ». www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2008/04/28/002-test-eleve-13ans.shtml


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Guide d'admission universitaire - Automne 2008 Version du 13 février 2008 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Programmes universitaires encore ouverts à l'admission www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=942 Raymond Jean, c.o.

À noter à votre agenda
Carrefour de l’orientation
(thème à préciser) le mercredi 26 novembre 2008 à l’UQAR-Lévis jumelé avec une rencontre avec les représentants des deux campus et la journée des partenaires de l’université Laval, le lendemain : jeudi le 27 novembre 2008

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

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