27 août 2008

V 7 No 2: Règles assouplies au collégial

Le temps des baleines

Règles assouplies au collégial
Les règles d’admission au collégial ont aussi été assouplies, ce qui permet aux collèges d’ouvrir leurs portes à davantage d’étudiants. Dans certains cégeps, les élèves à qui il ne manque qu’un cours pour obtenir leur diplôme d’études secondaires (DES) peuvent être admis à condition qu’ils réussissent le cours manquant pendant leur première session. Cette mesure sera obligatoire pour tous les cégeps à compter de l’automne 2009, mais elle est déjà en vigueur dans plusieurs établissements cette année, indique M. Dumais (directeur du SRACQ). www.cyberpresse.ca/article/20080825/CPSOLEIL/80824145/5019

Section Nouvelles http://www.acoc.info/
La cote R par programme et l'admission à l'automne 2009 : Les informations suivantes sont issues du site de la CREPUQ http://www.crepuq.qc.ca/
Information sur la cote de rendement au collégial
-CRC : modifications en vigueur pour la gestion des admissions du trimestre d'automne 2009
-Questions et réponses sur la cote de rendement au collégial (Voir les questions 5-6-7-8)
Pour faciliter la compréhension de ces règles, des exemples fictifs traduisant un certains nombre de cas potentiels sont présentés à l'annexe B du document « La cote de rendement au collégial: ce qu'elle est, ce qu'elle fait », page 21 et suivantes. Voir aussi la page 14 : 3.4 LA CRC MOYENNE PAR PROGRAMME Le CLES a adopté la recommandation du CGBEC à l’effet que, pour l’admission de l’automne 2009 et des trimestres suivants, le MELS prévoie dans son système (Socrate) un mécanisme permettant de lier chacun des cours au programme d’études, de sorte qu’une CRC moyenne pour chaque programme de DEC, auquel le candidat a été inscrit pendant son cheminement, puisse être calculée. Pour procéder à la sélection des candidatures, les établissements universitaires utilisent la CRC moyenne du dernier programme de DEC dans lequel le candidat s’est inscrit, sous la condition qu’au moins 16 cours soient contributoires à son calcul. Au besoin, les cotes de rendements des résultats de cours qui constituent des préalables pertinents à l’admission dans certains programmes sont intégrées au calcul de la cote moyenne. Si le calcul de la CRC moyenne du dernier programme ne repose pas sur au moins 16 cours, c’est la CRC moyenne globale, c’est-à-dire celle qui inclut tous les résultats obtenus au collégial par le candidat, qui est retenue aux fins de l’admission. Par ailleurs, lorsqu’une sanction de DEC est présente au dossier du candidat, l’université utilise la CRC moyenne la plus élevée entre celle du DEC complété et celle du dernier programme inscrit (sous la condition qu’au moins 16 cours soient contributoires à son calcul). Si plusieurs sanctions de DEC sont présentes au dossier, l’université utilise la CRC moyenne la plus élevée entre celles des DEC complétés et celle du dernier programme inscrit (toujours en respectant la condition des 16 cours).

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Info collégiale
Aide pédagogique individuel Cégep de Saint-Laurent temps plein
Les candidatures des personnes intéressées doivent être reçues à la Direction des ressources humaines, à l’attention de Mme Manon Robichaud, au plus tard le 8 septembre 2008, à 16 h 30. Direction des ressources humaines Concours A08-P-18 drh@cegep-st-laurent.qc.ca Télécopieur: 514 747-2311Personne(s) ressource(s) Manon Robichaud mrobichaud@cegep-st-laurent.qc.ca

Une c.o. aux ressources humaines d’un collège
Les membres du Conseil d'administration du cégep de l’Abitibi-Témiscamingue ont aussi résolu à l’unanimité d’entériner la recommandation du comité de sélection et de nommer Madame Louise Laganière au poste de coordonnatrice aux Ressources humaines. Louise au cours des dernières années a collaboré à des nombreux processus de dotation. Aurèle Jalbert c.o. aurele.jalbert@cegepat.qc.ca

Academos - Cybermentorat
-Du nouveau à venir pour les élèves du collégial en janvier 2009.
-Le nouveau site Academos sera mis en ligne le 1er septembre 2008. Afin de permettre le transfert des données de l'ancien site vers le nouveau, il est nécessaire de fermer le site entre le 25 août et le 1er septembre 2008 inclusivement.

Elles représentent 1,2% de la main-d'oeuvre active : La construction et les femmes est un mariage à consolider. Les femmes dans le secteur de la construction ont manifestement gagné du terrain au plan de l'emploi et de la formation au cours des dernières années. L'organisme FRONT (Femmes regroupées en options non traditionnelles) juge toutefois ces avancées insuffisantes, tandis que la Commission de la construction du Québec les considère encourageantes. En 2006, 1552 femmes étaient actives dans l'industrie de la construction assujettie, ce qui représente 1,2 pour de la main-d'oeuvre active dans ce secteur. Dix ans auparavant, en 1996, cette proportion était quatre fois moindre, de 0,27 pour cent. Profitant depuis 12 ans d'un Programme d'accès à l'égalité (PAE), le FRONT avait espéré réaliser une percée plus importante, a révélé l'organisme mercredi en conférence de presse. A l'heure du bilan et à la suite d'une recherche menée auprès de 15 travailleuses de la construction, l'organisme dénonce à la fois les employeurs et les organisations syndicales de ce secteur pour la discrimination à l'embauche, l'isolement sur les chantiers de construction, le harcèlement, le manque de considération, d'écoute et de soutien. Les femmes estiment toujours faire face à des préjugés tenaces quant à leurs compétences et leurs capacités physiques. Dans ce contexte, l'organisme FRONT y va d'une série de recommandations susceptibles de provoquer un déblocage. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/05/20080528-121524.html

De l'argent neuf pour la rentrée collégiale
À Québec, c’est le Cégep Limoilou qui connaît la plus forte augmentation cette année, avec une hausse de 31% des offres d’admission. En réalité, cette augmentation se traduira par un bond de 25% des inscriptions. Cette année, les cégeps commencent l’année scolaire avec plus d’argent dans leurs coffres, gracieuseté du fédéral. Une bouffée d’oxygène attendue depuis longtemps, mais dont la répartition des sommes ne fait pas l’unanimité puisqu’aucun nouveau prof ne sera embauché. www.cyberpresse.ca/article/20080825/CPSOLEIL/80825096/5019

Rentrée collégiale : hausse du nombre d’étudiants Les cégeps font le plein de nouveaux étudiants. Comme l’an dernier, le nombre d’offres d’admission est en hausse dans les collèges de la capitale et de l’Est du Québec, avec une augmentation qui frôle les 8 %. Même des cégeps en région parviennent à déjouer le déclin démographique. Les chiffres du Service régional d’admission au collégial de Québec (SRACQ) ne sont pas encore définitifs, mais ils permettent déjà de tracer un bon portrait de l’année à venir, indique son directeur, Guy Dumais. En date du 21 août, les offres d’admission des 15 cégeps du SRACQ étaient en hausse de 7,7 % par rapport à l’année précédente. www.cyberpresse.ca/article/20080825/CPSOLEIL/80824145/5019

Institut maritime de Rimouski
Un nouvel atelier d'ici un an. L'Institut maritime de Rimouski investira 4,3 millions de dollars pour agrandir ses locaux. Le centre de recherche de l'institution, Innovation maritime, disposera à l'automne 2009 de nouveaux espaces pour le prototypage d'équipement lourd. Depuis sa création en 2001, Innovation maritime a réalisé une centaine de projets dont le plus spectaculaire est un simulateur d'évacuation pour les sous-mariniers. Pour effectuer ce type de travaux d'envergure, le centre devait louer des locaux pour chaque projet. C'était devenu une contrainte lorsqu'on avait besoin d'utiliser de l'outillage et de l'équipement lourd, rapporte le directeur de l'Institut maritime Alain Richard. « L'atelier de prototypage va nous donner un nouveau souffle », ajoute M. Richard. La construction du nouvel atelier coïncide avec une restructuration du centre collégial de transfert technologique (CCTT) de l'Institut. Depuis l'an dernier, le personnel a été réduit de 30 à 9 employés. Le directeur intérimaire d'Innovation maritime, Nicolas Parent, explique que le centre a conservé les experts clés, mais établira dorénavant des partenariats de recherche avec d'autres entreprises. L'atelier sera construit en lieu et place de l'actuel atelier de menuiserie situé derrière l'institut. www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2008/08/25/001-imq-rimouski.asp

Info universitaire
Beaucoup de boulot, mais peu de candidats
Directeurs d’école, enseignants, médecins, policiers : il y a du boulot dans le Grand Nord. Mais les candidats sont rares. Et quand ils viennent, ils repartent au bout de deux ans. Il y a quatre ans, l’hôpital de Kuujjuaq a perdu d’un coup cinq de ses sept médecins. Pas un seul n’a pu être remplacé. Malgré la présence de médecins « dépanneurs » qui viennent donner un coup de main dans le Grand Nord, ce départ massif a dégradé la qualité des soins. Un exemple : autrefois, les femmes des villages de la baie d’Ungava venaient accoucher à Kuujjuaq. Mais avec deux médecins permanents, ce n’est plus possible. Dès la 37e semaine de grossesse, les femmes sont donc envoyées à Montréal, laissant leurs proches, y compris leurs autres enfants, derrière elles. Et encore, ce n’est que la pointe de l’iceberg, croit Nathalie Boulanger, médecin à Kuujjuaq. Car les médecins dépanneurs peuvent difficilement assurer le suivi des patients. « Quand un patient souffre d’hypertension, chaque médecin recommence le traitement à zéro », déplore le Dr Boulanger. En cas de dépression, c’est pareil : « Il n’y a rien de pire que de raconter son histoire à 25 personnes différentes. » À Kuujjuaq, cinq postes de médecins sont toujours vacants. Et bientôt, il y en aura un sixième : Nathalie Boulanger a décidé de revenir à Montréal, après 17 ans de médecine arctique. L’autre problème, c’est que ceux qui tentent l’aventure du Grand Nord repartent souvent au bout d’un ou deux ans. Or, tous sont unanimes : ici, il faut au moins un an pour absorber le choc culturel et devenir vraiment efficace. La pénurie de personnel alourdit la tâche de ceux qui restent – ce qui rebute les futurs candidats. C’est le cercle vicieux. Prenez la police qui est ici gérée par l’administration locale, le Kativik Regional Government. Les policiers sont postés à deux par village. Pour attirer des candidats, on embauche des agents qui ne sont pas encore passés par l’Académie de police de Nicolet. Ils ne sont pas armés. Deux policiers sans armes dans des villages de chasseurs où chacun possède un fusil : les agents n’ont pas le temps de s’ennuyer. Résultat : un roulement d’enfer. « En 10 ans, pour pourvoir 55 postes, nous avons donné 600 badges », dit le chef Jobbie Epoo. Même chose dans les écoles. Cette année, la commission scolaire Kativik cherche 11 directeurs pour son réseau de 17 écoles. Et 69 enseignants sur 370 personnes sont à remplacer. « Parfois, trois enseignants se succèdent dans la même classe. Les enfants pensent que c’est leur faute, ils se sentent abandonnés », dit la coordonnatrice Sarah Airo. Et se sentir abandonnés, les enfants du Nunavik n’ont vraiment pas besoin de ça... www.cyberpresse.ca/article/20080602/CPACTUALITES/80602016/6782

Étudier en médecine, tout un programme! (vidéo) L’étudiante Annie-Claude Thiffault a toujours rêvé d'avoir le stéthoscope au cou. Annie-Claude est étudiante en médecine à l’Université de Montréal. Devenir médecin est son rêve d’enfance. Elle nous livre ici ses impressions sur ses études et sur les exigences de sa future carrière. http://nouvelles.umontreal.ca/content/view/1603/337/

Le Conseil supérieur de l'éducation a rendu public l'avis intitulé Projet de règlement modifiant le Règlement sur les autorisations d'enseigner. Cet avis ainsi que le communiqué de presse sont publiés sur le site du Conseil. www.cse.gouv.qc.ca/FR/Publications/index.html?lstPublication=Avis&lstCommission=ALL Avis favorable sur le projet de règlement modifiant le règlement sur les autorisations d'enseigner.

Formation, documentation
Un reportage surprenant de Québec Science - Enseignement de la lecture chez les jeunes: des méthodes à risque! L'enseignement de la lecture dans les écoles du Québec n'est pas adapté au fonctionnement du cerveau des enfants. C'est ce que révèle un fascinant reportage publié dans la dernière édition du magazine Québec Science. S'appuyant sur des études d'imagerie médicale et des recherches en neuropsychologie, les spécialistes interviewés affirment que le matériel didactique répandu dans les écoles, et approuvé par le ministère de l'Education, fait la promotion de méthodes qui peuvent être nuisibles aux enfants. Selon une réputée spécialiste, ces méthodes entraîneraient en effet un retard de près de six mois dans l'apprentissage de la lecture. Et pour les élèves souffrant de dyslexie ou d'autres troubles d'apprentissage, le retard risque d'être insurmontable. L'enjeu est de taille, car la majorité de ceux qui ne savent pas lire adéquatement à la fin de la première année -un élève sur trois! -seraient de futurs décrocheurs, affirme une des chercheuses rencontrées. Puisqu'on ne peut modifier le cerveau des jeunes, peut-être faudrait-il modifier l'enseignement! http://newswire.ca/fr/releases/archive/August2008/25/c3022.html


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Documents sur l'admission universitaire
Le guide d'admisssion du trimestre d'hiver 2009 sera mis en ligne au début d'octobre 2008
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Raymond Jean, c.o.

À noter à votre agenda
Carrefour de l’orientation
(thème possible: L'orientation et la clientèle des services adaptés) le mercredi 26 novembre 2008 à l’UQAR-Lévis jumelé avec une rencontre avec les représentants des deux campus et la journée des partenaires de l’université Laval, le lendemain, jeudi le 27 novembre 2008 Diaporama (album) du 7e congrès à Moncton www.flickr.com/photos/10892802@N08/sets/72157605167634050/show Une partie des photos sont aussi sur le site du Bulletin http://www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/ Vous pouvez transmettre des documents reçus à la suite d’une conférence, peu importe le colloque ou congrès, ou un lien Internet à acoc@videotron.ca

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

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