Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin
(830 membres, 12e saison du bulletin électronique)
Site de l'ACOC pour l'ISEP (centre virtuel)
Site de l'ACOC pour l'ISEP (centre virtuel)
Le Veendam passant entre
Beaumont et l'Île d'Orléans (octobre 2013)
Beaumont et l'Île d'Orléans (octobre 2013)
L’Ordre célèbre cette année
son cinquantième anniversaire.
Section Nouvelles
Conseiller(ère) d'orientation (services adaptés) Remplacement temps partiel Dès que possible jusqu'au 30 avril 2014 Collège Ahuntsic Horaire de travail : 7 heures / semaine, le lundi de 8 h 30 à 16 h 30 Date et heure de fin de l'affichage externe : 2013-10-23 16:00 www.collegeahuntsic.qc.ca/college/travailler-au-college-ahuntsic/emplois-offerts
Admission universitaire à l'hiver
2014
Programmes universitaires ouverts
en hiver 2014
Portes ouvertes universitaires
Le doctorat en médecine de
l'Université de Sherbrooke en tournée
Conférences mini-sciences de la
santé de l'Université McGill
Perfectionnement inter-ordres -
Journées de concertation
Le c.o. a un rôle central dans la
réussite éducative
Un Ordre professionnel pour les
sexologues
Présentations de Dialogue 2013
Conseiller(ère) d'orientation (services adaptés) Remplacement temps partiel Dès que possible jusqu'au 30 avril 2014 Collège Ahuntsic Horaire de travail : 7 heures / semaine, le lundi de 8 h 30 à 16 h 30 Date et heure de fin de l'affichage externe : 2013-10-23 16:00 www.collegeahuntsic.qc.ca/college/travailler-au-college-ahuntsic/emplois-offerts
C.O. un rôle central dans la réussite éducative. «
On considère trop souvent les conseillères et conseillers d’orientation comme
de simples administrateurs de tests », se désole Hélène Trudeau, qui est aussi
présidente de l’Association des C.O. du collégial (ACOC). « Notre rôle est bien
plus complexe. « Madame, je ne sais pas quoi faire dans la vie ! » est un cri
de désespoir qu’Hélène Trudeau, conseillère d’orientation au cégep Saint-Jean-sur-Richelieu,
a entendu maintes fois au cours de sa carrière. « Pour faire un choix éclairé,
il faut une certaine dose de maturité ainsi qu'une volonté à s’engager dans une
démarche d’orientation. Cela prend également de la disponibilité d’esprit, car
l’indécision, la peur de se tromper, les fausses croyances, ou l’anxiété
peuvent paralyser. Une partie de notre rôle consiste donc à faire diminuer la
tension de la personne qui consulte afin de lui permettre de faire un choix qui
soit en accord avec ses intérêts, ses talents, ses aptitudes et sa
personnalité. Il faut aussi dédramatiser le choix de carrière, tout en faisant
preuve d’empathie eten se mettant au diapason de l'étudiante ou de l'étudiant
qui est devant nous afin de l’aider à mettre des mots sur ses attentes », explique-t-elle.
Tout comme sa consoeur, Claude Lévesque n’utilise pas souvent les tests. « On
perçoit trop fréquemment le conseiller d’orientation comme un agent extérieur à
la réussite, déplore-t-il. Or, quand les jeunes décrochent, c’est souvent
qu’ils n’ont pas encore trouvé leur voie, et notre rôle à nous, c’est justement
de les aider à trouver un sens à leur projet d’études. De ce point de vue, le rôle des conseillères et conseillers
d’orientation est central dans la réussite éducative. » Claude Lévesque,
conseiller d’orientation au cégep de Sorel-Tracy depuis cinq ans, abonde dans
le même sens : « Mon rôle ne consiste pas à prendre la décision pour eux, mais
bien à mettre à leur disposition les outils qui leur permettront de faire des
choix éclairés en fonction de leurs aspirations et de leurs talents. Il arrive
que les jeunes, ou encore leurs parents, expriment des attentes irréalistes.
Or, ce n’est pas tout le monde qui peut entreprendre des études dans des
domaines fortement contingentés. Il faut parfois les ramener à plus de
réalisme, en faisant preuve de franchise et de doigté », estime-t-il.
Les étudiants de (la ville de) Laval s'endettent
deux fois plus qu'ailleurs au Québec. Les étudiants au cégep et à l'université
au Québec ont emprunté en un an plus de 481 M $ du gouvernement et ont obtenu
près du double en bourse, révèlent les plus récentes données du ministère de
l'Éducation du Loisir et du Sport (MELS) obtenues par TC Media. Alors que le
prêt octroyé par étudiant a atteint en moyenne 2518$ en 2010 au Québec, il
frise le double dans certaines régions. C'est à Laval (la région) que les
étudiants fréquentant les établissements postsecondaires se sont vus octroyer,
toutes proportions gardées, les plus importantes sommes de l'État québécois en
2010, soit la plus récente année pour laquelle le MELS détient des données. En
moyenne, c'est 5 271,16 $ qui ont été octroyés en prêts pour chacun des 1 973
étudiants de la région de Laval ayant reçu l'aide de l'État, soit 1,87 fois
plus qu'ailleurs au Québec. Montréal arrive deuxième avec un prêt par étudiant
emprunteur de 3 528 $. La région de la Capitale nationale suit avec 3 335 $,
devant la Mauricie (3 265 $). Au total, le gouvernement garantissait en
2009-2010 pour quelque 3,4 G $ pour l'ensemble des prêts étudiants. À l'inverse
de Laval, le Nord-du-Québec (qui ne compte toutefois que 61 emprunteurs) est la
région où les étudiants emprunteurs ont obtenu le moins en prêts pour leurs
études, avec une moyenne de 1 639,34 $. La région de Lanaudière suit avec 1
906,31 $ par étudiant. «On veut aider ces gens-là, car ils seront la société de
demain. Les revenus familiaux sont moindres et il faut évaluer les besoins
réels des étudiants. C'est pourquoi il y a eu quand même quelques réformes
après le Sommet sur l'enseignement supérieur. Comme l'aide supplémentaire aux
familles. Avant, le plafond (donnant droit à l'aide financière) arrêtait à 28
000 $ de revenu familial et maintenant, c'est 35 000 $ et ce sera 45 000 $ en
2015-2016», fait valoir le ministre de l'Enseignement supérieur, de la
Recherche et des Technologies, Pierre Duchesne. Les faillites explosent. Les prêts étudiants et autres dettes
contractées auprès d'institutions financières ou cartes de crédit finissent par
peser lourd sur le budget et sont parfois… fatals. Selon le MELS, le nombre de
faillites chez les étudiants emprunteurs auprès de l'État est passé de 1 241 à
1 863 entre 2006-2007 et 2009-2010, soit une hausse de 50%. À noter que le
délai après lequel les étudiants peuvent être libérés de leurs créances
concernant les prêts est passé, en 2010, de dix à sept ans, ce qui a
possiblement contribué à faire augmenter le nombre de faillites. «L'endettement
diminue depuis 2007. Les étudiants québécois sont beaucoup moins endettés que
leurs collègues du Canada anglais ou que les Américains. Ils remboursent à 90%
leurs emprunts. Les faillites demeurent quand même très rares. On a bonifié
l'aide financière aux études et ce sera la première fois dans l'histoire que le
volume de bourses sera supérieur au volume de prêts. De cette façon, on
contribue à l'enrichissement collectif», rapporte le ministre Duchesne. De son
côté, Fabien Major, expert en finances personnelles, s'étonne de voir un aussi
haut taux de faillites. «C'est inquiétant et très décevant. Ça part mal dans la
vie quand tu commences comme ça. En même temps, de nos jours, le crédit est
tellement facile à obtenir. C'est pourquoi il est plus important que jamais de
créer des bases pour l'éducation au budget, car il ne faut pas oublier que
faire faillite, ça hypothèque l'avenir pendant environ 10 ans. Ça m'inquiète,
car on manque énormément d'éducation financière. On fonce sans savoir où ça va
nous mener. Surtout que les taux d'intérêt ne feront que monter dans les
prochaines années.» L'après-études. Au terme de ses études, l'étudiant
québécois aura contracté une dette moyenne de 12 875 $. En travaillant pendant
ses études, à raison de quelques heures par semaine ou pendant la période
estivale, l'étudiant peut s'en sortir sans y aller d'un autre emprunt, par
exemple auprès d'une institution financière. «Outre ceux qui empruntent auprès
du gouvernement, c'est une minorité d'étudiants qui empruntent auprès d'une
institution financière pendant leurs études. C'est dû à des pratiques de saine
gestion de crédit que nous avons réussi à leur inculquer ou qu'ils ont
développé», explique Nancy Scott de Desjardins. «Quand les étudiants
empruntent, ils vont surtout faire une demande de marge de crédit ou de carte
de crédit. Généralement, la limite moyenne pour une carte de crédit étudiante
est de 300 $. Ils ne profitent pas de limites excessives, ce qui fait que les
faillites sont rares. C'est même une infime minorité», ajoute notre experte. www.lanouvelle.net/Actualites/2013-10-15/article-3428656/Les-etudiants-de-Laval-sendettent-deux-fois-plus-quailleurs-au-Quebec/1
L’endettement étudiant du Québec en chiffres www.lanouvelle.net/PageVolante/5522/Lendettement-etudiant-au-Quebec-en-chiffres
Webfolio
Mon Webfolio offert sans frais supplémentaires aux
abonnés de REPÈRES. La Société GRICS désire informer ses membres et clients à
l’effet que Mon Webfolio, un outil de préparation à l’entrée sur le marché du
travail, a été intégré à REPÈRES et est offert, sans frais supplémentaires, à
l’ensemble des abonnés de REPÈRES. Mon
Webfolio a été conçu par le Service de placement de l’Université de LAVAL
(SPLA). REPÈRES, site officiel de l’information scolaire et professionnelle qui
est utilisé par les institutions d’enseignement et organismes d’aide à l’emploi
au Québec, a été développé par la Société GRICS. L’intégration par la Société
GRICS du produit Mon Webfolio dans REPÈRES est le fruit d’une entente formelle
de collaboration entre la Société GRICS et le Service de placement de
l’Université de LAVAL (SPLA). Mon Webfolio est une activité qui compte trois
modules axés sur la connaissance de soi et du marché ainsi que sur la mise en
œuvre du projet d’entrée sur le marché du travail. Chacun des modules comprend des exercices
d’autoévaluation, des lectures, des outils de réflexion et des documents
d’information. Mon Webfolio s’adresse aux étudiants et diplômés ainsi qu’aux
professeurs et conseillers en emploi. Sylvie Corbeil Ventes, marketing et
communications corbeils@grics.qc.ca
Changer les mentalités… dans les cégeps du Québec? La crainte de l’étiquetage associée au trouble
mental est très grande, et c’est ce qui explique en grande partie que l’on soit
si réticent à dévoiler ses difficultés à ses amis, à sa famille et à des professionnels
de la santé. La stigmatisation associée au trouble mental est un enjeu majeur,
mais le plus souvent invisible. Pourtant, elle a de graves impacts
psychosociaux sur la personne atteinte, et ce, dans plusieurs sphères de sa
vie. Il arrive fréquemment que les personnes souffrant d’un trouble mental nous
disent même que la stigmatisation et la discrimination leur sont plus pénibles
que le trouble lui-même. Heureusement, de plus en plus d’acteurs d’horizons
divers reconnaissent que la lutte contre la stigmatisation et la discrimination
mérite toute notre attention, au même titre que les soins et services en santé
mentale. En 2009, la Commission de la santé mentale du Canada marquait un pas
déterminant en ce sens en lançant l’initiative Changer les mentalités, la plus
importante démarche jamais entreprise au Canada en vue d’éradiquer la
stigmatisation associée aux troubles mentaux. Cette initiative d’envergure vise
quatre cibles jugées prioritaires, notamment les jeunes. Les milieux collégiaux
du Québec peuvent-ils encourager les étudiants à parler ouvertement et
positivement des troubles mentaux et à adopter des attitudes et comportements
respectueux à l’égard de ceux qui sont touchés par ces troubles? Des
initiatives menées en contexte scolaire ont produit des résultats prometteurs.
Par exemple, trois évaluations (Boyer, 2002; Lesage, 2011) ont conclu à
l’efficacité du programme Solidaires pour la vie, qui vise la démystification
des maladies mentales, la reconnaissance des signes et symptômes de la dépression
et la demande d’aide chez les jeunes de 14 ans et plus. Les effets positifs
d’une intervention fondée sur le contact ont également été observés dans une
université de l’Alberta (Lillie, 2011). Basé sur une rencontre suivie d’une
période d’échanges entre des personnes ayant un trouble mental et des
étudiants, ce type d’intervention est déjà reconnu pour avoir du succès auprès
d’élèves du secondaire (Stuart, 2006; Pinfold, 2005). Dans le futur, les
milieux collégiaux pourront bénéficier de davantage de ressources. À l’issue
d’une vaste opération d’évaluation de projets partout au Canada, Changer les
mentalités permettra de mettre au point des outils de lutte contre la
stigmatisation fondés sur les pratiques les plus prometteuses. Un appui en
toute cohérence aux efforts déployés par les milieux collégiaux pour prévenir
le suicide, un des enjeux prioritaires de l’heure. À suivre de près! www.blogue.qualaxia.org/2013/09/24/changer-les-mentalites-dans-les-cegeps-du-quebec
C’est avec plaisir que je vous invite à prendre
connaissance de l'avis du Conseil supérieur de l’éducation intitulé Un
engagement collectif pour maintenir et rehausser les compétences en littératie
des adultes, rendu public le 17 septembre 2013. Vous pouvez télécharger la
version intégrale et abrégée de l'avis en cliquant sur ce lien. www.cse.gouv.qc.ca/FR/Publications/index.html
Ces enfants que l’on voudrait « normaux »… http://joyeusescatastrophes.com/ces-enfants-lon-voudrait-normaux
Recul du nombre d'élèves diplômés après cinq ans au
secondaire public www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201310/10/01-4698715-recul-du-nombre-deleves-diplomes-apres-cinq-ans-au-secondaire-public.php
Taux de diplomation
Les commissions scolaires loin derrière les écoles
privées http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/national/archives/2013/10/20131011-135125.html
Plusieurs parents québécois financeront les études
de leurs enfants le temps venu. En 2007, près de six enfants québécois sur dix,
âgés de 17 ans et moins, ont des parents qui ont accumulé de l'épargne destinée
à financer leurs études postsecondaires, une des plus faibles proportions au
Canada. Même si les revenus jouent un rôle déterminant, au Québec comme dans le
reste du Canada, une part plus importante des parents du Québec privilégient
l'option de soutenir financièrement leurs enfants plutôt au moment de leurs
études postsecondaires. D'ailleurs, les parents québécois sont
proportionnellement moins nombreux à évoquer le manque d'argent comme raison
pour ne pas épargner, soit le tiers comparativement aux deux tiers dans le
reste du Canada. La moins grande connaissance des programmes de subventions
influe sur l'épargne-études au Québec. Ces résultats sont tirés d'un article
publié le 1er octobre par l'Institut de la statistique du Québec dans le
bulletin Données sociodémographiques en bref. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Octobre2013/01/c5970.html
Financement et gouvernance scolaire : 50 ans après
le Rapport Parent, une réflexion en profondeur s'impose. Face à l'impasse
devant laquelle se retrouvent aujourd'hui le gouvernement et les commissions
scolaires, trois associations regroupant plus de 1 200 directions
d'établissement scolaire constatent que l'heure est venue, pour le système
scolaire québécois, de faire le bilan. Tout en reconnaissant que de nombreux
aspects sont à conserver, les directions d'établissement maintiennent, comme
elles l'ont maintes fois répété, que des changements et des améliorations
s'imposent. http://fr-ca.finance.yahoo.com/actualites/financement-et-gouvernance-scolaire-50-ans-apr%C3%A8s-le-014500223.html
La ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport,
Mme Marie Malavoy, a profité de la Semaine contre l'intimidation et la violence
à l'école, qui se tiendra jusqu'au 4 octobre prochain, pour inviter la
population à accomplir des gestes de « cyberappréciation » sur les réseaux
sociaux. « De la cour d'école aux réseaux sociaux, nous devons lutter contre
l'intimidation et la violence. Cette année, nous avons choisi le thème de la «
cyberappréciation ». Comme adultes ou parents nous sommes souvent les modèles desquels
s'inspirent les jeunes. Donnons l'exemple et ayons, dans le cyberespace comme
dans nos relations de tous les jours, un comportement respectueux. Soyons
branchés sur le positif », a déclaré la ministre…. À cette fin, de nombreuses
activités seront réalisées dans les écoles. Parmi celles-ci, mentionnons les
ateliers sur la « cyberappréciation », un concept élaboré à l'école primaire du
Parc-Orléans de la Commission scolaire des Premières-Seigneuries de Québec. Des
capsules vidéo, le site www.branchepositif.gouv.qc.ca ,
un guide d'animation, des outils de référence et des dépliants seront aussi mis
à la disposition des élèves. Ces nouveaux outils pédagogiques sont offerts
gratuitement aux commissions scolaires http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Septembre2013/30/c5727.html
Vidéo d'animation de trois minutes
présentant les opportunités offertes en formation professionnelle et technique.
Libre de droits, cette vidéo se veut un outil pour sensibiliser les jeunes aux
nombreux choix de carrière dans les métiers spécialisés.
Trois catégories de troubles mentaux, selon
l'analyse de chercheurs. Les troubles mentaux sont traditionnellement
considérés comme des entités catégoriques distinctes, mais le taux élevé de comorbidité
(plusieurs troubles présents en même temps) remet en question ce point de vue.
Dans un article publié dans la revue Clinical Psychological Science, Avshalom
Caspi de l'Université Duke et ses collègues indiquent qu'environ la moitié des
personnes qui répondent aux critères diagnostiques d'un trouble répondent
également, en même temps, aux critères diagnostiques d'un autre trouble.
"Les taux élevés de comorbidité entre les troubles mentaux suggèrent que
la psychopathologie peut présenter une structure plus parcimonieuse que celle
impliquée par les nosologies (classifications) actuelles qui identifient de
nombreux troubles distincts", disent-ils. Pour tester cette hypothèse, ils
ont étudié les données recueillies dans une très grande étude menée sur 40 ans
avec des participants âgés initialement de 18 à 38 ans (1). Ils ont testé
plusieurs modèles statistiques afin de déterminer ceux qui représentaient le
mieux les données. L'analyse factorielle confirmatoire (technique statistique
vérifiant la pertinence de certains facteurs hypothétiques pour expliquer les
covariances entre troubles) a montré que la structure des troubles mentaux
pourrait se résumer par trois dimensions principales : une dimension qualifiée d'«intériorisation» qui contribue à la dépression
et à l'anxiété, une dimension
d'«externalisation» qui contribue aux troubles antisociaux et à
l'utilisation problématique de substances, et une dimension «trouble de la pensée» responsable des symptômes de
psychose. www.psychomedia.qc.ca/sante-mentale/2013-10-04/categories-de-troubles-mentaux
De bonnes augmentations de salaires prévues à
Québec en 2014. Les travailleurs de la région de la Capitale-Nationale peuvent
s'attendre à empocher des majorations salariales plus élevées que leurs
collègues des autres régions du Québec en 2014. Alors que le budget global
d'augmentations salariales des entreprises est estimé, en moyenne, à 2,9 % au
Québec pour l'année prochaine, selon la firme Normandin Beaudry, il atteint 3,3
% dans la Capitale-Nationale. www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/vie-au-travail/201310/01/01-4695392-de-bonnes-augmentations-de-salaires-prevues-a-quebec-en-2014.php
Freud ne résiste pas à l'analyse
Personnalité complexe, sans cesse décriée ou
adulée, Freud a marqué, et continue de marquer, la discipline qu’il a créée.
Même si ses détracteurs sont depuis toujours nombreux. «La psychanalyse n'est,
au fond, qu'une foire aux illusions entretenue par ses adeptes, affirme Serge
Larivée, qui vient de publier “La psychanalyse ne résiste pas à l'analyse”. À
quand la fin de la mascarade?» s'interroge-t-il. À son avis, la psychanalyse, inventée par
Sigmund Freud, n'obéit pas aux critères d'une véritable démarche scientifique,
et ce, même si elle constitue un système de croyances sophistiqué. «Ce système
conceptuel n'est pas cohérent avec ce qu'il est censé expliquer», estime le
professeur de l'École de psychoéducation de l'Université de Montréal qui a
analysé les données du corpus de la psychanalyse à la lumière d'une démarche
scientifique www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-sociales-psychologie/20130826-freud-ne-resiste-pas-a-lanalyse.html
Cinq secteurs d’emplois risqués au Québec Blessures physiques, exposition à la poussière,
vapeurs toxiques et bien d’autres éléments rendent l’industrie des mines,
carrières et puits de pétrole un secteur dangereux. Chaque année, des
travailleurs se blessent ou perdent la vie dans l’exercice de leurs fonctions.
Voici les cinq secteurs d’activité les plus dangereux au Québec. Services
médicaux et sociaux «En raison des nombreux facteurs que nous devons prendre en
considération, notamment la proportion de travailleurs blessés par rapport au
nombre de travailleurs dans un domaine donné, il est impossible d’affirmer avec
certitude qu’un secteur d’activité est réellement le plus dangereux», mentionne
Geneviève Trudel, porte-parole de la Commission de la santé et sécurité au
travail (CSST). On peut toutefois dire, selon les données de 2012, que les
services médicaux et sociaux comptent le plus grand nombre d’accidents du
travail et de maladies professionnelles. Ce secteur d’activités regroupe tous
les emplois occupés dans les hôpitaux, les CLSC, les CHSLD, etc. Industrie
manufacturière. Selon les statistiques de l’Association des
commissions des accidents du travail du Canada (ACATC), l’industrie
manufacturière a fait 45 morts au Québec en 2011. Foresterie, textile, meubles,
bois… ce secteur d’activité comprend les établissements dont l’activité
principale est la transformation de matières ou de substances en nouveaux
produits par des procédés mécaniques ou physiques. Industrie de la construction
Exposition à l’amiante, sécurité déficiente sur les chantiers; l’ACATC recense
22 morts dans l’industrie de la construction en 2011. Ce secteur couvre les
activités de la construction, de la réparation et de la rénovation d’immeubles
et d’ouvrages de génie civil ainsi que le lotissement et l’aménagement de
terrains. Industries des mines Blessures physiques, exposition à la poussière,
vapeurs toxiques et bien d’autres éléments rendent l’industrie des mines,
carrières et puits de pétrole un secteur dangereux, qui a compté 14 morts en
2011, toujours selon les chiffres de l’ACATC. Industrie du transport et de l’entreposage
Onze morts ont été recensés par l’ACATC dans l’industrie du transport et de
l’entreposage en 2011. Selon la définition d’Industrie Canada, « ce secteur
comprend les établissements dont l’activité principale consiste à fournir des
services de transport de personnes et de marchandises, des services
d’entreposage des marchandises et des services liés au transport et à
l’entreposage. Les modes de transport visés sont le transport routier
(transport par camion, transport en commun et transport terrestre de
voyageurs), le transport ferroviaire, le transport par eau, le transport aérien
et le transport par pipeline.» Professions codées Si, au Québec, il est
impossible de calculer les risques de lésions professionnelles par profession
détaillée, c’est parce que la CSST codifie les professions selon une
classification datant de 1971, alors que les données sur les effectifs de la
main-d’œuvre, fournies par l’Institut de la statistique du Québec ou
Statistique Canada, sont produites selon une classification des années 2000.
«Puisque ces deux classifications ne concordent généralement pas entre elles au
niveau des professions détaillées, il est impossible de calculer les risques de
lésions pour chacune d’elles», explique Patrice Duguay, professionnel
scientifique à l’Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et sécurité du
travail (IRSST). http://click.xydo.com/toolbar_view/3430/14/839?e=W1VOSVFVRV0=
Collégial
Nouveau cours
d'histoire au cégep : des enseignants ont certaines craintes. Une cinquantaine
d'enseignants de niveau collégial ont exprimé vendredi après-midi à Québec
certaines inquiétudes au ministre de l'Enseignement supérieur Pierre Duchesne
au sujet de l'arrivée du nouveau cours d'histoire obligatoire du Québec dans
les cégeps, tel qu'annoncé récemment par le gouvernement Marois. www.radio-canada.ca/regions/quebec/2013/10/04/009-enseignants-cegeps-manifestation-quebec-nouveau-cours-histoire-nationale.shtml
Ontario - Davantage
de services en santé mentale pour les étudiantes et étudiants des universités
et des collèges Le gouvernement de
l'Ontario lance une nouvelle ligne d'assistance de santé mentale pour les
étudiantes et étudiants des collèges et universités dans le cadre de la
Stratégie de santé mentale et de lutte contre les dépendances. Les étudiantes
et étudiantes des collèges et des universités peuvent appeler Allo J'écoute, un
service qui offre à l'échelle de la province un soutien jour et nuit et 365
jours par an aux étudiantes et étudiants du postsecondaire qui ont des
préoccupations en matière de santé mentale. Allo J'écoute est un service
gratuit, anonyme et parfaitement confidentiel qui offre un counselling
professionnel, des renseignements et un aiguillage vers des ressources locales.
http://news.ontario.ca/tcu/fr/2013/10/davantage-de-services-en-sante-mentale-pour-les-etudiantes-et-etudiants-des-universites-et-des-colle.html
La création et
l’utilisation continue d’un wiki en tourisme La plupart des
programmes collégiaux en tourisme offrent un cours spécifique intitulé «
English for tourism ». Au Cégep Champlain-St. Lawrence, nos étudiants sont dans
un DEC bilingue en tourisme que nous offrons avec le Cégep Limoilou. Le
programme débute à Limoilou en français, avec quelques cours en anglais. J’y
donne deux cours : « English for tourism » et « Professional Communication in Tourism
». Les étudiants font ensuite leur deuxième année à St. Lawrence en anglais. La
fonction des cours que je donne est de permettre aux étudiants d’apprendre la
terminologie ainsi que d’acquérir les compétences d’affaires nécessaires dans
l’industrie du tourisme. Mes cours les préparent aussi à l’étude de l’industrie
touristique dans le cadre d’une immersion en langue anglaise. Lors de leur
seconde année d’étude, ils auront à suivre des cours de marketing dans
l’industrie du tourisme, à apprendre à superviser une équipe en anglais et à
préparer des forfaits touristiques. Ils devront aussi apprendre à préparer des
documents professionnels en anglais. Mes étudiants reconnaissent l’importance
de maîtriser une deuxième langue, et ils sont très motivés! www.profweb.qc.ca/fr/publications/recits/angie-stevens/index.html
L’étude des figures
de style littéraires par l’intermédiaire de la BD. J’ai fait partie de la
cohorte expérimentale des enseignants qui ont mis au point l’actuelle épreuve
ministérielle de français. Je connais donc bien les défis de cet exercice et la
place que devraient y occuper les figures de style. Pour aider mes étudiants à
s’approprier les notions liées aux figures de style, la bande dessinée
m’apparaît être un outil très puissant. Les auteurs de BD sont des utilisateurs
ingénieux de figures de style, aussi bien dans le graphisme que dans le texte.
Pendant des années, j’ai utilisé leurs œuvres dans les cours de littérature. Je
projetais sur acétates des planches particulièrement éloquentes pour expliquer
des figures de style. À partir de cet enseignement plus ou moins magistral,
s’est développée l’idée d’un didacticiel interactif où l’image serait explorée
de manière plus approfondie et animée. J’ai nommé ce didacticiel BD Style.
Après une première tentative sur CD-ROM, grâce à la générosité des auteurs qui
ont bien voulu céder leurs droits, BD Style est maintenant en ligne : www.bdstyle.ca . Allez y jeter un coup d’œil! www.profweb.qc.ca/fr/publications/recits/letude-des-figures-de-style-litteraires-par-lintermediaire-de-la-bd/index.html
Questionnaire
gratuit pour s'autoévaluer au niveau de notre potentiel comme entrepreneur sur
le site de la BDC. Voici le lien: www.bdc.ca/FR/centre_conseils/outils_analyse_comparative/Pages/autoevaluation_entrepreneur.aspx
La kinésiologie à l'École
nationale de cirque
Les artistes-athlètes de l'École
nationale de cirque (ENC) exécutent des prouesses dont les résultats
impressionnent toujours. Pour y arriver, ils doivent passer un nombre
incalculable d'heures à s'entrainer tout en complétant leurs études. Mais
comment leur en demander plus ? Grâce à leur partenariat, l'ENC et le Département de kinésiologie de
l'Université de Montréal tenteront d'optimiser les façons de faire de l'École
afin d'améliorer les performances des artistes. www.nouvelles.umontreal.ca/multimedia/forum-en-clips/20130926-la-kinesiologie-a-lecole-nationale-de-cirque.html
Pharmaciens: les besoins sont
grands. Le nombre d'étudiants et de pharmaciens est en hausse, mais les besoins
croissent aussi rapidement. Il manque donc toujours de candidats pour remplir
tous les postes offerts, particulièrement en milieu hospitalier. http://affaires.lapresse.ca/cv/emplois/201309/30/01-4694771-pharmaciens-les-besoins-sont-grands.php
Il y a peu d'universitaires
hypermétropes
On prescrit parfois à tort un
médicament aux enfants hypermétropes quand le port de lunettes pourrait dans
certains cas supprimer les difficultés de concentration. Les hypermétropes
doivent forcer leurs yeux pour voir de près, ce qui engendre des difficultés de
lecture. Parfois, aucun symptôme d'hypermétropie n'est apparent, car leurs yeux
accommodent. Mais les conséquences sont grandes. Selon Jean-Marie Hanssens, ce
léger handicap sous-diagnostiqué peut entraver leur parcours scolaire. «Il y a
très peu de données sur le sujet, mais on constate que les hypermétropes dont
le trouble visuel n'est pas corrigé entreprennent rarement des études à
l'université. Ils décrochent bien avant.» www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20130930-il-y-a-peu-duniversitaires-hypermetropes.html
L'homme qui fait parler les
Inuits. Alain Cuerrier devant le Jardin des Premières-Nations, au Jardin
botanique de Montréal. L'oxyrie de montagne (Oxyria digyna) est une plante
abondante dans la toundra arctique et les Inuits la nomment qunguliq. Le nom de
cette plante, raconte Mitiarjuq Nappaaluk en riant, illustre la grimace que la
personne fait en croquant dans la feuille. «Les Inuits forment un peuple rieur
et chaleureux. Il y a bien sûr des problèmes sociaux dans la population, mais
le temps que j'ai passé auprès d'eux m'a permis de les découvrir sous leurs
bons jours; leurs connaissances sur la nature sont particulièrement riches»,
dit l'ethnobotaniste Alain Cuerrier, qui a publié aux Éditions MultiMondes, en
collaboration avec l'Institut culturel Avataq et deux coauteurs, le premier
guide trilingue des Plantes des villages et des parcs du Nunavik (2011). Il
parachève ces temps-ci la publication d'une collection de livres richement
illustrés consacrés au savoir biologique des Inuits. www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-technologies/20130930-lhomme-qui-fait-parler-les-inuits.html
Un diplôme en ligne... presque
gratuit!
Obtenir son diplôme en suivant ses
cours en ligne, est-ce bien possible? Quelque 20 millions d'étudiants de 203
pays sont actuellement inscrits à des MOOC, les massive open online courses.
Tout comme les formations à distance, ces cours permettent d'apprendre de
n'importe où, n'importe quand. Et c'est gratuit. Du moins en apparence. «De
chez soi, il est désormais possible, qu'on soit pauvre ou riche, de suivre des
cours de l'Université Harvard, de l'Université Stanford et du MIT
[Massachusetts Institute of Technology]. Sur le plan de l'accès de masse à
l'enseignement universitaire, c'est extraordinaire.» www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-leducation/20130930-un-diplome-en-ligne-.-presque-gratuit.html
Description des conférences à la
carte de l’université Laval http://www2.ulaval.ca/fileadmin/ulaval_ca/gabarit/images_futurs/Conseillers/Conferences-a-la-carte.pdf
Un nouveau bac en sciences
infirmières à l'UdeS. Si tout se passe comme prévu, l'Université de Sherbrooke
offrira à compter de l'automne 2015 un nouveau baccalauréat de formation
initiale en sciences infirmières sur le campus de la santé de même qu'à
Longueuil. www.lapresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201310/01/01-4695015-un-nouveau-bac-en-sciences-infirmieres-a-ludes.php
Votre psy en est-il réellement un
?
En un an, 300 dossiers de
pratiques illéagales de psychothérapie ont été soumis à l'Ordre des
psychologues du Québec. Depuis 16 mois, tous ceux qui prétendent exercer la
psychothérapie doivent détenir un permis. Afin que les Québécois soient
conscients de l'existence de charlatans et qu'ils participent activement à leur
dénonciation, l'Ordre des psychologues a lancé, lundi, une vaste campagne de
publicité. www.lapresse.ca/videos/actualites/201310/07/46-1-votre-psy-en-est-il-reellement-un-.php/45b20aa0a1e64eddb4eae9fefa037647
Une étude révèle qu'un nombre
croissant de nouveaux médecins spécialistes n'arrivent pas à se trouver un
emploi au Canada www.guidesanteenligne.com/detail_news.php?ID=454852&cat=;28
Documentation
Ne te tais pas, Janette
J'ai beaucoup aimé lire hier matin dans
les journaux la lettre écrite par Janette Bertrand au nom de toutes les
Janettes de la province. J'ai aimé lire des femmes, personnalités artistiques
et autres, exprimant ainsi leur crainte de voir la religion reprendre une place
révolue au Québec et, notamment, imposer des reculs en matière d'égalité. www.lapresse.ca/debats/chroniques/marie-claude-lortie/201310/16/01-4700088-ne-te-tais-pas-janette.php
Québec ignore le nombre de
fonctionnaires qui travaillent avec le public S'il est facile de connaître le nombre d'infirmiers,
enseignants ou éducateurs qui interagissent avec le public, on ignore le nombre
de fonctionnaires qui ne rencontrent jamais les citoyens, mais qui seraient
cependant soumis aux règles de la neutralité religieuse. Québec ignore combien de fonctionnaires n'interagissent pas avec le
public dans leur travail, mais ne pourraient néanmoins pas porter de signes
religieux ostentatoires sous la Charte des valeurs québécoises. Les employés du secteur public :
90 823 Employés de la fonction publique 488 515 Employés de la fonction parapublique www.lapresse.ca/actualites/politique/politique-quebecoise/201310/16/01-4700056-quebec-ignore-le-nombre-de-fonctionnaires-qui-travaillent-avec-le-public.php
Les Janettes et les psys scouts. Nathalie Petrowski. Elles ne sont pas
aussi nombreuses que les défuntes Yvettes, mais leurs voix portent autant. Je
parle des Janettes qui, sous les auspices de leur chef, Janette Bertrand,
viennent de s'inviter dans le débat sur la Charte et sur son aspect le plus
médiatisé: le voile. Estimant que
l'égalité des sexes est compromise par le retour du religieux dans les
institutions publiques, les 20 Janettes se sont déclarées pour la Charte dans
une lettre ouverte publiée dans les journaux. Hier, leur lettre venait à peine d'être publiée que déjà on les accusait
d'être passéistes, rétrogrades, paternalistes et le pire qualificatif de tous:
vieilles, donc un peu gâteuses, un peu radoteuses et complètement à côté de
leurs pompes. Permettez que je me porte à leur défense. D'abord, exception faite de
Janette, 88 ans, et de Denise Filiatrault, 82 ans, les autres Janette sont dans
la trentaine, la quarantaine ou la cinquantaine. Bref, elles ne sont pas toutes
du même moule générationnel. Elles ne sont pas non plus issues du même moule
professionnel puisque certaines sont comédiennes, scénaristes, écrivaines et
productrices, et d'autres, travailleuses sociales, enseignantes, étudiantes ou
militantes. Certaines, comme Julie Snyder, Denise Robert, Chantal Renaud,
Michelle Blanc ou Édith Cochrane sont connues; d'autres, pas du tout. Ce sont pour la plupart des féministes qui ont vu le Québec se libérer du
joug de l'Église catholique et les femmes prendre leur place dans une société
de plus en plus laïque. Celles qui n'ont pas vécu cette révolution parce
qu'elles n'étaient pas encore nées se sont fait raconter par leur mère ou leur
grand-mère comment c'était quand l'Église était omniprésente, omnipuissante et
décidait tout pour tout le monde. Elles ne veulent pas retourner en arrière et
je les comprends. Personne ne veut retourner à la grande noirceur d'antan. Hier, dans les médias électroniques, ce sont surtout les voix de Janette
et de Denise Filiatrault qu'on a entendues. Et comme ni Janette ni Denise ne
sont de politiciennes de métier, elles ont semblé parfois confuses ou un brin échevelées.
Il y a eu dérapages et des propos qui manquaient de nuances. Mais je préfère
mille fois le manque de nuances de ces dames d'un certain âge qui, en passant,
n'ont pas une cellule raciste ou xénophobe en elles. À ce sujet, qu'on se
souvienne seulement de Hairspray, la comédie musicale multiculturelle,
multiraciale et inclusive montée par Denise Filiatrault l'été dernier. Oui, je préfère mille fois les dérapages des Janettes que certaines
divagations des 19 psys scouts qui ont signé une lettre contre la Charte dans
le quotidien The Gazette au même moment. D'abord les
signataires, des messieurs, pour la plupart issus du département de psychiatrie
de McGill, n'évoquent pas une seule fois la question de l'inégalité entre les
hommes et les femmes véhiculée par les différentes religions. Ils fondent leur
propos uniquement sur le respect des droits de la personne, sans égard pour les
droits souvent bafoués des femmes. Leur apologie d'une société où la diversité
mène le bal et encourage le dialogue entre les différentes races, cultures et
religions, est louable et, dans un certain sens, rejoint le discours du
gouvernement Marois, bien qu'ils refusent de le reconnaître. Mais là où les
psys scouts dérapent en grand c'est lorsqu'ils écrivent et je cite: «La preuve
a été faite que ceux qui pratiquent une religion ou toute autre tradition
morale ou spirituelle ont une meilleure santé mentale.» Pardon? Est-ce que j'ai bien lu? Puisque je ne pratique
aucune religion et ne me promène pas avec un dieu portatif sur ma tête ou
autour du cou, je suis quoi? En moins bonne santé mentale? Déprimée?
Dépressive? Peut-être même carrément folle? Parce que je ne prie pas, je suis donc perdue et
dépositaire d'une vision du monde qui est forcément noire, pessimiste et privée
de sens? Et les kamikazes qui se font sauter dans des autobus bondés au nom
d'Allah, eux, sont-ils en meilleure santé mentale que moi? Et tous les prêtres
pédophiles pratiquants que l'Église catholique a engendrés et protégés, eux
aussi étaient plus équilibrés et épanouis que moi. Que d'éminents
chercheurs et profs d'une grande université comme McGill puissent endosser de
telles énormités dépasse l'entendement. Ce qu'ils nous disent, c'est que ceux qui ont la certitude de l'existence
de dieu ont une supériorité mentale et morale sur ceux qui doutent. Autant dire
que je doute que j'aille un jour consulter ces messieurs. Quant aux Janettes, je ne sais pas si elles doutent. Mais je crois
comprendre qu'elles ont la conviction intime que les femmes au Québec ont fait
trop de chemin sur la route de l'émancipation, pour le libre choix et contre la
soumission à un maître ou à un dieu, pour retourner en arrière. À ce chapitre,
je ne peux que leur donner raison. www.lapresse.ca/debats/chroniques/nathalie-petrowski/201310/16/01-4700097-les-janettes-et-les-psys-scouts.php
Notre
calendrier pour nos formations données à l’automne est maintenant disponible.
Vous retrouverez, en fichiers joints, les aperçus de ces formations. Nous
sommes présentement à finaliser une nouvelle formation qui sera réservée aux
plus expérimentés du GROP, à suivre… Mélanie Roy, adj.adm. www.psymetrik.com info@psymetrik.com Formation www.psymetrik.com/html/fr/formation.php
L'exercice
comparé aux médicaments pour les maladies cardio-vasculaires et le diabète.
L'exercice est potentiellement aussi efficace que plusieurs traitements par
médicaments pour les personnes atteintes de maladies coronariennes, ayant eu un
accident vasculaire cérébral (AVC) ou présentant un prédiabète, selon une
analyse des études scientifiques publiée dans le British Medical Journal. www.psychomedia.qc.ca/sante-cardiovasculaire/2013-10-02/diabete-exercice-compares-aux-medicaments
Une
caractéristique du cerveau d'Einstein pourrait expliquer sa grande intelligence
www.psychomedia.qc.ca/intelligence/2013-10-08/einstein-cerveau
Cinq
façons d'acheter le bonheur!
Les chercheurs en psychologie Elizabeth Dunn de l'Université de Colombie britannique et Michael Norton de l'Université de Harvard décrivent dans leur nouveau livre, "Happy Money: The Science of Smarter Spending" cinq façons de dépenser l'argent qui rend plus heureux, contrairement à ce que dit l'adage. Acheter des expériences Les recherches montrent que les expériences apportent plus de bonheur que les biens matériels, en partie parce que les expériences sont plus susceptibles d'apporter un sentiment de connexion avec les autres. Également parce qu'elles sont plus stimulantes, contribuent à divers apprentissages et au développement personnel. S'offrir certains plaisirs de façon occasionnelle. L'abondance, disent-ils, est l'ennemi de l'appréciation. En général, plus nous sommes exposés à quelque chose, plus l'impact diminue. Acheter du temps. Quand on peut se le permettre, conseillent-ils, il peut être avantageux de décider d'embaucher quelqu'un pour tondre son gazon ou encore de dépenser un peu plus sur un item plutôt que de conduire à travers la ville afin d'économiser 10%. "Nous sacrifions trop souvent notre temps libre juste pour économiser un peu d'argent", écrivent-ils, alors que "plusieurs d'entre nous souhaitons avoir plus de temps pour faire plus ce que nous aimons". Payer maintenant, consommer plus tard. "Consommer plus tard donne du temps pour que les attentes positives se développent" écrivent-ils. Payer pour des vacances à l'avance peut aider à en profiter plus car au moment de faire le voyage vous êtes moins concentré sur le coût. La méthode permet aussi de lutter contre la "puissance du maintenant". Cela est particulièrement vrai quand il s'agit de payer au moyen des cartes de crédit. Dans une étude citée par les auteurs, 30 personnes étaient invitées à évaluer leurs frais de cartes de crédit avant d'ouvrir leur facture mensuelle. Chaque participant sous-estimait combien il avait dépensé à crédit de près de 30 % en moyenne. Investir pour les autres. Les études montrent, rapportent les auteurs, que dépenser même de petites sommes d'argent pour les autres augmente son propre niveau de bonheur. "Avant de dépenser ces 5 $ de la façon que vous le feriez normalement", disent-ils, "arrêtez pour vous demander: est-ce que cet argent contribue à rendre heureux? Est-ce que je le dépense de la manière qui va me donner plus de bonheur pour mon argent?" www.psychomedia.qc.ca/consommation/2013-10-09/acheter-le-bonheur
Les chercheurs en psychologie Elizabeth Dunn de l'Université de Colombie britannique et Michael Norton de l'Université de Harvard décrivent dans leur nouveau livre, "Happy Money: The Science of Smarter Spending" cinq façons de dépenser l'argent qui rend plus heureux, contrairement à ce que dit l'adage. Acheter des expériences Les recherches montrent que les expériences apportent plus de bonheur que les biens matériels, en partie parce que les expériences sont plus susceptibles d'apporter un sentiment de connexion avec les autres. Également parce qu'elles sont plus stimulantes, contribuent à divers apprentissages et au développement personnel. S'offrir certains plaisirs de façon occasionnelle. L'abondance, disent-ils, est l'ennemi de l'appréciation. En général, plus nous sommes exposés à quelque chose, plus l'impact diminue. Acheter du temps. Quand on peut se le permettre, conseillent-ils, il peut être avantageux de décider d'embaucher quelqu'un pour tondre son gazon ou encore de dépenser un peu plus sur un item plutôt que de conduire à travers la ville afin d'économiser 10%. "Nous sacrifions trop souvent notre temps libre juste pour économiser un peu d'argent", écrivent-ils, alors que "plusieurs d'entre nous souhaitons avoir plus de temps pour faire plus ce que nous aimons". Payer maintenant, consommer plus tard. "Consommer plus tard donne du temps pour que les attentes positives se développent" écrivent-ils. Payer pour des vacances à l'avance peut aider à en profiter plus car au moment de faire le voyage vous êtes moins concentré sur le coût. La méthode permet aussi de lutter contre la "puissance du maintenant". Cela est particulièrement vrai quand il s'agit de payer au moyen des cartes de crédit. Dans une étude citée par les auteurs, 30 personnes étaient invitées à évaluer leurs frais de cartes de crédit avant d'ouvrir leur facture mensuelle. Chaque participant sous-estimait combien il avait dépensé à crédit de près de 30 % en moyenne. Investir pour les autres. Les études montrent, rapportent les auteurs, que dépenser même de petites sommes d'argent pour les autres augmente son propre niveau de bonheur. "Avant de dépenser ces 5 $ de la façon que vous le feriez normalement", disent-ils, "arrêtez pour vous demander: est-ce que cet argent contribue à rendre heureux? Est-ce que je le dépense de la manière qui va me donner plus de bonheur pour mon argent?" www.psychomedia.qc.ca/consommation/2013-10-09/acheter-le-bonheur
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À noter à votre agenda
C'est officiel: l'OCCOQ recevra le Congrès mondial de l'Association internationale d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec du 4 au 6 juin 2014. L'ACOC sera au rendez-vous ! Sur le site de l'Ordre les frais d'inscription
.
Le nouveau Conseil exécutif et les Comités
Partenaires du Xe Congrès
de l'ACOC à l'UQAT
En 2012-2013, nous avons franchi le cap des
100 000 visites du Bulletin (127 000)
et 500 000 du site ACOC (593 000)
Bruno Tremblay, c.o. conseiller aux communications de l'ACOC acocinfo@gmail.comde l'ACOC à l'UQAT
100 000 visites du Bulletin (127 000)
et 500 000 du site ACOC (593 000)
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