16 octobre 2013

V 12 No 6: C.O. un rôle central dans la réussite éducative

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
(830 membres, 12e saison du bulletin électronique)
Site de l'ACOC pour l'ISEP (centre virtuel)
Le Veendam passant entre
Beaumont et l'Île d'Orléans (octobre 2013)
L’Ordre célèbre cette année son cinquantième anniversaire. 
Section Nouvelles
Admission universitaire à l'hiver 2014
Programmes universitaires ouverts en hiver 2014
Portes ouvertes universitaires
Le doctorat en médecine de l'Université de Sherbrooke en tournée
Conférences mini-sciences de la santé de l'Université McGill
Perfectionnement inter-ordres - Journées de concertation
Le c.o. a un rôle central dans la réussite éducative
Un Ordre professionnel pour les sexologues
Présentations de Dialogue 2013

Conseiller(ère) d'orientation (services adaptés) Remplacement temps partiel Dès que possible jusqu'au 30 avril 2014 Collège Ahuntsic Horaire de travail : 7 heures / semaine, le lundi de 8 h 30 à 16 h 30  Date et heure de fin de l'affichage externe :  2013-10-23 16:00 www.collegeahuntsic.qc.ca/college/travailler-au-college-ahuntsic/emplois-offerts

C.O. un rôle central dans la réussite éducative. « On considère trop souvent les conseillères et conseillers d’orientation comme de simples administrateurs de tests », se désole Hélène Trudeau, qui est aussi présidente de l’Association des C.O. du collégial (ACOC). « Notre rôle est bien plus complexe. « Madame, je ne sais pas quoi faire dans la vie ! » est un cri de désespoir qu’Hélène Trudeau, conseillère d’orientation au cégep Saint-Jean-sur-Richelieu, a entendu maintes fois au cours de sa carrière. « Pour faire un choix éclairé, il faut une certaine dose de maturité ainsi qu'une volonté à s’engager dans une démarche d’orientation. Cela prend également de la disponibilité d’esprit, car l’indécision, la peur de se tromper, les fausses croyances, ou l’anxiété peuvent paralyser. Une partie de notre rôle consiste donc à faire diminuer la tension de la personne qui consulte afin de lui permettre de faire un choix qui soit en accord avec ses intérêts, ses talents, ses aptitudes et sa personnalité. Il faut aussi dédramatiser le choix de carrière, tout en faisant preuve d’empathie eten se mettant au diapason de l'étudiante ou de l'étudiant qui est devant nous afin de l’aider à mettre des mots sur ses attentes », explique-t-elle. 
Tout comme sa consoeur, Claude Lévesque n’utilise pas souvent les tests. « On perçoit trop fréquemment le conseiller d’orientation comme un agent extérieur à la réussite, déplore-t-il. Or, quand les jeunes décrochent, c’est souvent qu’ils n’ont pas encore trouvé leur voie, et notre rôle à nous, c’est justement de les aider à trouver un sens à leur projet d’études. De ce point de vue, le rôle des conseillères et conseillers d’orientation est central dans la réussite éducative. » Claude Lévesque, conseiller d’orientation au cégep de Sorel-Tracy depuis cinq ans, abonde dans le même sens : « Mon rôle ne consiste pas à prendre la décision pour eux, mais bien à mettre à leur disposition les outils qui leur permettront de faire des choix éclairés en fonction de leurs aspirations et de leurs talents. Il arrive que les jeunes, ou encore leurs parents, expriment des attentes irréalistes. Or, ce n’est pas tout le monde qui peut entreprendre des études dans des domaines fortement contingentés. Il faut parfois les ramener à plus de réalisme, en faisant preuve de franchise et de doigté », estime-t-il. 

Les étudiants de (la ville de) Laval s'endettent deux fois plus qu'ailleurs au Québec. Les étudiants au cégep et à l'université au Québec ont emprunté en un an plus de 481 M $ du gouvernement et ont obtenu près du double en bourse, révèlent les plus récentes données du ministère de l'Éducation du Loisir et du Sport (MELS) obtenues par TC Media. Alors que le prêt octroyé par étudiant a atteint en moyenne 2518$ en 2010 au Québec, il frise le double dans certaines régions. C'est à Laval (la région) que les étudiants fréquentant les établissements postsecondaires se sont vus octroyer, toutes proportions gardées, les plus importantes sommes de l'État québécois en 2010, soit la plus récente année pour laquelle le MELS détient des données. En moyenne, c'est 5 271,16 $ qui ont été octroyés en prêts pour chacun des 1 973 étudiants de la région de Laval ayant reçu l'aide de l'État, soit 1,87 fois plus qu'ailleurs au Québec. Montréal arrive deuxième avec un prêt par étudiant emprunteur de 3 528 $. La région de la Capitale nationale suit avec 3 335 $, devant la Mauricie (3 265 $). Au total, le gouvernement garantissait en 2009-2010 pour quelque 3,4 G $ pour l'ensemble des prêts étudiants. À l'inverse de Laval, le Nord-du-Québec (qui ne compte toutefois que 61 emprunteurs) est la région où les étudiants emprunteurs ont obtenu le moins en prêts pour leurs études, avec une moyenne de 1 639,34 $. La région de Lanaudière suit avec 1 906,31 $ par étudiant. «On veut aider ces gens-là, car ils seront la société de demain. Les revenus familiaux sont moindres et il faut évaluer les besoins réels des étudiants. C'est pourquoi il y a eu quand même quelques réformes après le Sommet sur l'enseignement supérieur. Comme l'aide supplémentaire aux familles. Avant, le plafond (donnant droit à l'aide financière) arrêtait à 28 000 $ de revenu familial et maintenant, c'est 35 000 $ et ce sera 45 000 $ en 2015-2016», fait valoir le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et des Technologies, Pierre Duchesne. Les faillites explosent. Les prêts étudiants et autres dettes contractées auprès d'institutions financières ou cartes de crédit finissent par peser lourd sur le budget et sont parfois… fatals. Selon le MELS, le nombre de faillites chez les étudiants emprunteurs auprès de l'État est passé de 1 241 à 1 863 entre 2006-2007 et 2009-2010, soit une hausse de 50%. À noter que le délai après lequel les étudiants peuvent être libérés de leurs créances concernant les prêts est passé, en 2010, de dix à sept ans, ce qui a possiblement contribué à faire augmenter le nombre de faillites. «L'endettement diminue depuis 2007. Les étudiants québécois sont beaucoup moins endettés que leurs collègues du Canada anglais ou que les Américains. Ils remboursent à 90% leurs emprunts. Les faillites demeurent quand même très rares. On a bonifié l'aide financière aux études et ce sera la première fois dans l'histoire que le volume de bourses sera supérieur au volume de prêts. De cette façon, on contribue à l'enrichissement collectif», rapporte le ministre Duchesne. De son côté, Fabien Major, expert en finances personnelles, s'étonne de voir un aussi haut taux de faillites. «C'est inquiétant et très décevant. Ça part mal dans la vie quand tu commences comme ça. En même temps, de nos jours, le crédit est tellement facile à obtenir. C'est pourquoi il est plus important que jamais de créer des bases pour l'éducation au budget, car il ne faut pas oublier que faire faillite, ça hypothèque l'avenir pendant environ 10 ans. Ça m'inquiète, car on manque énormément d'éducation financière. On fonce sans savoir où ça va nous mener. Surtout que les taux d'intérêt ne feront que monter dans les prochaines années.» L'après-études. Au terme de ses études, l'étudiant québécois aura contracté une dette moyenne de 12 875 $. En travaillant pendant ses études, à raison de quelques heures par semaine ou pendant la période estivale, l'étudiant peut s'en sortir sans y aller d'un autre emprunt, par exemple auprès d'une institution financière. «Outre ceux qui empruntent auprès du gouvernement, c'est une minorité d'étudiants qui empruntent auprès d'une institution financière pendant leurs études. C'est dû à des pratiques de saine gestion de crédit que nous avons réussi à leur inculquer ou qu'ils ont développé», explique Nancy Scott de Desjardins. «Quand les étudiants empruntent, ils vont surtout faire une demande de marge de crédit ou de carte de crédit. Généralement, la limite moyenne pour une carte de crédit étudiante est de 300 $. Ils ne profitent pas de limites excessives, ce qui fait que les faillites sont rares. C'est même une infime minorité», ajoute notre experte. www.lanouvelle.net/Actualites/2013-10-15/article-3428656/Les-etudiants-de-Laval-sendettent-deux-fois-plus-quailleurs-au-Quebec/1 L’endettement étudiant du Québec en chiffres www.lanouvelle.net/PageVolante/5522/Lendettement-etudiant-au-Quebec-en-chiffres

Webfolio
Mon Webfolio offert sans frais supplémentaires aux abonnés de REPÈRES. La Société GRICS désire informer ses membres et clients à l’effet que Mon Webfolio, un outil de préparation à l’entrée sur le marché du travail, a été intégré à REPÈRES et est offert, sans frais supplémentaires, à l’ensemble des abonnés de REPÈRES.  Mon Webfolio a été conçu par le Service de placement de l’Université de LAVAL (SPLA). REPÈRES, site officiel de l’information scolaire et professionnelle qui est utilisé par les institutions d’enseignement et organismes d’aide à l’emploi au Québec, a été développé par la Société GRICS. L’intégration par la Société GRICS du produit Mon Webfolio dans REPÈRES est le fruit d’une entente formelle de collaboration entre la Société GRICS et le Service de placement de l’Université de LAVAL (SPLA). Mon Webfolio est une activité qui compte trois modules axés sur la connaissance de soi et du marché ainsi que sur la mise en œuvre du projet d’entrée sur le marché du travail.  Chacun des modules comprend des exercices d’autoévaluation, des lectures, des outils de réflexion et des documents d’information. Mon Webfolio s’adresse aux étudiants et diplômés ainsi qu’aux professeurs et conseillers en emploi. Sylvie Corbeil Ventes, marketing et communications  corbeils@grics.qc.ca

Changer les mentalités… dans les cégeps du Québec? La crainte de l’étiquetage associée au trouble mental est très grande, et c’est ce qui explique en grande partie que l’on soit si réticent à dévoiler ses difficultés à ses amis, à sa famille et à des professionnels de la santé. La stigmatisation associée au trouble mental est un enjeu majeur, mais le plus souvent invisible. Pourtant, elle a de graves impacts psychosociaux sur la personne atteinte, et ce, dans plusieurs sphères de sa vie. Il arrive fréquemment que les personnes souffrant d’un trouble mental nous disent même que la stigmatisation et la discrimination leur sont plus pénibles que le trouble lui-même. Heureusement, de plus en plus d’acteurs d’horizons divers reconnaissent que la lutte contre la stigmatisation et la discrimination mérite toute notre attention, au même titre que les soins et services en santé mentale. En 2009, la Commission de la santé mentale du Canada marquait un pas déterminant en ce sens en lançant l’initiative Changer les mentalités, la plus importante démarche jamais entreprise au Canada en vue d’éradiquer la stigmatisation associée aux troubles mentaux. Cette initiative d’envergure vise quatre cibles jugées prioritaires, notamment les jeunes. Les milieux collégiaux du Québec peuvent-ils encourager les étudiants à parler ouvertement et positivement des troubles mentaux et à adopter des attitudes et comportements respectueux à l’égard de ceux qui sont touchés par ces troubles? Des initiatives menées en contexte scolaire ont produit des résultats prometteurs. Par exemple, trois évaluations (Boyer, 2002; Lesage, 2011) ont conclu à l’efficacité du programme Solidaires pour la vie, qui vise la démystification des maladies mentales, la reconnaissance des signes et symptômes de la dépression et la demande d’aide chez les jeunes de 14 ans et plus. Les effets positifs d’une intervention fondée sur le contact ont également été observés dans une université de l’Alberta (Lillie, 2011). Basé sur une rencontre suivie d’une période d’échanges entre des personnes ayant un trouble mental et des étudiants, ce type d’intervention est déjà reconnu pour avoir du succès auprès d’élèves du secondaire (Stuart, 2006; Pinfold, 2005). Dans le futur, les milieux collégiaux pourront bénéficier de davantage de ressources. À l’issue d’une vaste opération d’évaluation de projets partout au Canada, Changer les mentalités permettra de mettre au point des outils de lutte contre la stigmatisation fondés sur les pratiques les plus prometteuses. Un appui en toute cohérence aux efforts déployés par les milieux collégiaux pour prévenir le suicide, un des enjeux prioritaires de l’heure. À suivre de près! www.blogue.qualaxia.org/2013/09/24/changer-les-mentalites-dans-les-cegeps-du-quebec

C’est avec plaisir que je vous invite à prendre connaissance de l'avis du Conseil supérieur de l’éducation intitulé Un engagement collectif pour maintenir et rehausser les compétences en littératie des adultes, rendu public le 17 septembre 2013. Vous pouvez télécharger la version intégrale et abrégée de l'avis en cliquant sur ce lien. www.cse.gouv.qc.ca/FR/Publications/index.html

Ces enfants que l’on voudrait « normaux »… http://joyeusescatastrophes.com/ces-enfants-lon-voudrait-normaux


Taux de diplomation
Les commissions scolaires loin derrière les écoles privées http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/national/archives/2013/10/20131011-135125.html

Plusieurs parents québécois financeront les études de leurs enfants le temps venu. En 2007, près de six enfants québécois sur dix, âgés de 17 ans et moins, ont des parents qui ont accumulé de l'épargne destinée à financer leurs études postsecondaires, une des plus faibles proportions au Canada. Même si les revenus jouent un rôle déterminant, au Québec comme dans le reste du Canada, une part plus importante des parents du Québec privilégient l'option de soutenir financièrement leurs enfants plutôt au moment de leurs études postsecondaires. D'ailleurs, les parents québécois sont proportionnellement moins nombreux à évoquer le manque d'argent comme raison pour ne pas épargner, soit le tiers comparativement aux deux tiers dans le reste du Canada. La moins grande connaissance des programmes de subventions influe sur l'épargne-études au Québec. Ces résultats sont tirés d'un article publié le 1er octobre par l'Institut de la statistique du Québec dans le bulletin Données sociodémographiques en bref. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Octobre2013/01/c5970.html

Financement et gouvernance scolaire : 50 ans après le Rapport Parent, une réflexion en profondeur s'impose. Face à l'impasse devant laquelle se retrouvent aujourd'hui le gouvernement et les commissions scolaires, trois associations regroupant plus de 1 200 directions d'établissement scolaire constatent que l'heure est venue, pour le système scolaire québécois, de faire le bilan. Tout en reconnaissant que de nombreux aspects sont à conserver, les directions d'établissement maintiennent, comme elles l'ont maintes fois répété, que des changements et des améliorations s'imposent. http://fr-ca.finance.yahoo.com/actualites/financement-et-gouvernance-scolaire-50-ans-apr%C3%A8s-le-014500223.html

La ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, Mme Marie Malavoy, a profité de la Semaine contre l'intimidation et la violence à l'école, qui se tiendra jusqu'au 4 octobre prochain, pour inviter la population à accomplir des gestes de « cyberappréciation » sur les réseaux sociaux. « De la cour d'école aux réseaux sociaux, nous devons lutter contre l'intimidation et la violence. Cette année, nous avons choisi le thème de la « cyberappréciation ». Comme adultes ou parents nous sommes souvent les modèles desquels s'inspirent les jeunes. Donnons l'exemple et ayons, dans le cyberespace comme dans nos relations de tous les jours, un comportement respectueux. Soyons branchés sur le positif », a déclaré la ministre…. À cette fin, de nombreuses activités seront réalisées dans les écoles. Parmi celles-ci, mentionnons les ateliers sur la « cyberappréciation », un concept élaboré à l'école primaire du Parc-Orléans de la Commission scolaire des Premières-Seigneuries de Québec. Des capsules vidéo, le site www.branchepositif.gouv.qc.ca , un guide d'animation, des outils de référence et des dépliants seront aussi mis à la disposition des élèves. Ces nouveaux outils pédagogiques sont offerts gratuitement aux commissions scolaires http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Septembre2013/30/c5727.html

Vidéo d'animation de trois minutes présentant les opportunités offertes en formation professionnelle et technique. Libre de droits, cette vidéo se veut un outil pour sensibiliser les jeunes aux nombreux choix de carrière dans les métiers spécialisés.

Trois catégories de troubles mentaux, selon l'analyse de chercheurs. Les troubles mentaux sont traditionnellement considérés comme des entités catégoriques distinctes, mais le taux élevé de comorbidité (plusieurs troubles présents en même temps) remet en question ce point de vue. Dans un article publié dans la revue Clinical Psychological Science, Avshalom Caspi de l'Université Duke et ses collègues indiquent qu'environ la moitié des personnes qui répondent aux critères diagnostiques d'un trouble répondent également, en même temps, aux critères diagnostiques d'un autre trouble. "Les taux élevés de comorbidité entre les troubles mentaux suggèrent que la psychopathologie peut présenter une structure plus parcimonieuse que celle impliquée par les nosologies (classifications) actuelles qui identifient de nombreux troubles distincts", disent-ils. Pour tester cette hypothèse, ils ont étudié les données recueillies dans une très grande étude menée sur 40 ans avec des participants âgés initialement de 18 à 38 ans (1). Ils ont testé plusieurs modèles statistiques afin de déterminer ceux qui représentaient le mieux les données. L'analyse factorielle confirmatoire (technique statistique vérifiant la pertinence de certains facteurs hypothétiques pour expliquer les covariances entre troubles) a montré que la structure des troubles mentaux pourrait se résumer par trois dimensions principales : une dimension qualifiée d'«intériorisation» qui contribue à la dépression et à l'anxiété, une dimension d'«externalisation» qui contribue aux troubles antisociaux et à l'utilisation problématique de substances, et une dimension «trouble de la pensée» responsable des symptômes de psychose. www.psychomedia.qc.ca/sante-mentale/2013-10-04/categories-de-troubles-mentaux

De bonnes augmentations de salaires prévues à Québec en 2014. Les travailleurs de la région de la Capitale-Nationale peuvent s'attendre à empocher des majorations salariales plus élevées que leurs collègues des autres régions du Québec en 2014. Alors que le budget global d'augmentations salariales des entreprises est estimé, en moyenne, à 2,9 % au Québec pour l'année prochaine, selon la firme Normandin Beaudry, il atteint 3,3 % dans la Capitale-Nationale. www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/vie-au-travail/201310/01/01-4695392-de-bonnes-augmentations-de-salaires-prevues-a-quebec-en-2014.php 

Freud ne résiste pas à l'analyse
Personnalité complexe, sans cesse décriée ou adulée, Freud a marqué, et continue de marquer, la discipline qu’il a créée. Même si ses détracteurs sont depuis toujours nombreux. «La psychanalyse n'est, au fond, qu'une foire aux illusions entretenue par ses adeptes, affirme Serge Larivée, qui vient de publier “La psychanalyse ne résiste pas à l'analyse”. À quand la fin de la mascarade?» s'interroge-t-il.  À son avis, la psychanalyse, inventée par Sigmund Freud, n'obéit pas aux critères d'une véritable démarche scientifique, et ce, même si elle constitue un système de croyances sophistiqué. «Ce système conceptuel n'est pas cohérent avec ce qu'il est censé expliquer», estime le professeur de l'École de psychoéducation de l'Université de Montréal qui a analysé les données du corpus de la psychanalyse à la lumière d'une démarche scientifique www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-sociales-psychologie/20130826-freud-ne-resiste-pas-a-lanalyse.html

Cinq secteurs d’emplois risqués au Québec Blessures physiques, exposition à la poussière, vapeurs toxiques et bien d’autres éléments rendent l’industrie des mines, carrières et puits de pétrole un secteur dangereux. Chaque année, des travailleurs se blessent ou perdent la vie dans l’exercice de leurs fonctions. Voici les cinq secteurs d’activité les plus dangereux au Québec. Services médicaux et sociaux «En raison des nombreux facteurs que nous devons prendre en considération, notamment la proportion de travailleurs blessés par rapport au nombre de travailleurs dans un domaine donné, il est impossible d’affirmer avec certitude qu’un secteur d’activité est réellement le plus dangereux», mentionne Geneviève Trudel, porte-parole de la Commission de la santé et sécurité au travail (CSST). On peut toutefois dire, selon les données de 2012, que les services médicaux et sociaux comptent le plus grand nombre d’accidents du travail et de maladies professionnelles. Ce secteur d’activités regroupe tous les emplois occupés dans les hôpitaux, les CLSC, les CHSLD, etc. Industrie manufacturière. Selon les statistiques de l’Association des commissions des accidents du travail du Canada (ACATC), l’industrie manufacturière a fait 45 morts au Québec en 2011. Foresterie, textile, meubles, bois… ce secteur d’activité comprend les établissements dont l’activité principale est la transformation de matières ou de substances en nouveaux produits par des procédés mécaniques ou physiques. Industrie de la construction Exposition à l’amiante, sécurité déficiente sur les chantiers; l’ACATC recense 22 morts dans l’industrie de la construction en 2011. Ce secteur couvre les activités de la construction, de la réparation et de la rénovation d’immeubles et d’ouvrages de génie civil ainsi que le lotissement et l’aménagement de terrains. Industries des mines Blessures physiques, exposition à la poussière, vapeurs toxiques et bien d’autres éléments rendent l’industrie des mines, carrières et puits de pétrole un secteur dangereux, qui a compté 14 morts en 2011, toujours selon les chiffres de l’ACATC. Industrie du transport et de l’entreposage Onze morts ont été recensés par l’ACATC dans l’industrie du transport et de l’entreposage en 2011. Selon la définition d’Industrie Canada, « ce secteur comprend les établissements dont l’activité principale consiste à fournir des services de transport de personnes et de marchandises, des services d’entreposage des marchandises et des services liés au transport et à l’entreposage. Les modes de transport visés sont le transport routier (transport par camion, transport en commun et transport terrestre de voyageurs), le transport ferroviaire, le transport par eau, le transport aérien et le transport par pipeline.» Professions codées Si, au Québec, il est impossible de calculer les risques de lésions professionnelles par profession détaillée, c’est parce que la CSST codifie les professions selon une classification datant de 1971, alors que les données sur les effectifs de la main-d’œuvre, fournies par l’Institut de la statistique du Québec ou Statistique Canada, sont produites selon une classification des années 2000. «Puisque ces deux classifications ne concordent généralement pas entre elles au niveau des professions détaillées, il est impossible de calculer les risques de lésions pour chacune d’elles», explique Patrice Duguay, professionnel scientifique à l’Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et sécurité du travail (IRSST). http://click.xydo.com/toolbar_view/3430/14/839?e=W1VOSVFVRV0

Collégial
Nouveau cours d'histoire au cégep : des enseignants ont certaines craintes. Une cinquantaine d'enseignants de niveau collégial ont exprimé vendredi après-midi à Québec certaines inquiétudes au ministre de l'Enseignement supérieur Pierre Duchesne au sujet de l'arrivée du nouveau cours d'histoire obligatoire du Québec dans les cégeps, tel qu'annoncé récemment par le gouvernement Marois. www.radio-canada.ca/regions/quebec/2013/10/04/009-enseignants-cegeps-manifestation-quebec-nouveau-cours-histoire-nationale.shtml

Ontario - Davantage de services en santé mentale pour les étudiantes et étudiants des universités et des collèges Le gouvernement de l'Ontario lance une nouvelle ligne d'assistance de santé mentale pour les étudiantes et étudiants des collèges et universités dans le cadre de la Stratégie de santé mentale et de lutte contre les dépendances. Les étudiantes et étudiantes des collèges et des universités peuvent appeler Allo J'écoute, un service qui offre à l'échelle de la province un soutien jour et nuit et 365 jours par an aux étudiantes et étudiants du postsecondaire qui ont des préoccupations en matière de santé mentale. Allo J'écoute est un service gratuit, anonyme et parfaitement confidentiel qui offre un counselling professionnel, des renseignements et un aiguillage vers des ressources locales. http://news.ontario.ca/tcu/fr/2013/10/davantage-de-services-en-sante-mentale-pour-les-etudiantes-et-etudiants-des-universites-et-des-colle.html

La création et l’utilisation continue d’un wiki en tourisme La plupart des programmes collégiaux en tourisme offrent un cours spécifique intitulé « English for tourism ». Au Cégep Champlain-St. Lawrence, nos étudiants sont dans un DEC bilingue en tourisme que nous offrons avec le Cégep Limoilou. Le programme débute à Limoilou en français, avec quelques cours en anglais. J’y donne deux cours : « English for tourism » et « Professional Communication in Tourism ». Les étudiants font ensuite leur deuxième année à St. Lawrence en anglais. La fonction des cours que je donne est de permettre aux étudiants d’apprendre la terminologie ainsi que d’acquérir les compétences d’affaires nécessaires dans l’industrie du tourisme. Mes cours les préparent aussi à l’étude de l’industrie touristique dans le cadre d’une immersion en langue anglaise. Lors de leur seconde année d’étude, ils auront à suivre des cours de marketing dans l’industrie du tourisme, à apprendre à superviser une équipe en anglais et à préparer des forfaits touristiques. Ils devront aussi apprendre à préparer des documents professionnels en anglais. Mes étudiants reconnaissent l’importance de maîtriser une deuxième langue, et ils sont très motivés! www.profweb.qc.ca/fr/publications/recits/angie-stevens/index.html

L’étude des figures de style littéraires par l’intermédiaire de la BD. J’ai fait partie de la cohorte expérimentale des enseignants qui ont mis au point l’actuelle épreuve ministérielle de français. Je connais donc bien les défis de cet exercice et la place que devraient y occuper les figures de style. Pour aider mes étudiants à s’approprier les notions liées aux figures de style, la bande dessinée m’apparaît être un outil très puissant. Les auteurs de BD sont des utilisateurs ingénieux de figures de style, aussi bien dans le graphisme que dans le texte. Pendant des années, j’ai utilisé leurs œuvres dans les cours de littérature. Je projetais sur acétates des planches particulièrement éloquentes pour expliquer des figures de style. À partir de cet enseignement plus ou moins magistral, s’est développée l’idée d’un didacticiel interactif où l’image serait explorée de manière plus approfondie et animée. J’ai nommé ce didacticiel BD Style. Après une première tentative sur CD-ROM, grâce à la générosité des auteurs qui ont bien voulu céder leurs droits, BD Style est maintenant en ligne : www.bdstyle.ca . Allez y jeter un coup d’œil! www.profweb.qc.ca/fr/publications/recits/letude-des-figures-de-style-litteraires-par-lintermediaire-de-la-bd/index.html

Questionnaire gratuit pour s'autoévaluer au niveau de notre potentiel comme entrepreneur sur le site de la BDC.  Voici le lien:  www.bdc.ca/FR/centre_conseils/outils_analyse_comparative/Pages/autoevaluation_entrepreneur.aspx

Un agriculteur se suicide tous les deux jours en France. Un agriculteur se suicide tous les deux jours en France, selon une étude rendue publique par l'Institut de veille sanitaire (InVS) le 10 octobre. Cette étude s’inscrit dans le plan de prévention du suicide dans le monde agricole, annoncé par le ministère de l’Agriculture en mars 2011 et dont la mise en œuvre a été confiée à la Mutualité sociale agricole (MSA). Pour cette étude, qui porte sur les années 2007, 2008 et 2009, la population étudiée a été limitée aux chefs d’exploitation et à leurs conjoints collaborateurs, en activité professionnelle. La population étudiée comporte en moyenne 500 164 personnes par an dont 68 % d’hommes et 32 % de femmes. Durant les trois années, 2 769 décès ont été observés chez les hommes et 997 chez les femmes. www.psychomedia.qc.ca/sante-mentale/2013-10-10/suicide-chez-les-agriculteurs-france

Universitaire
La kinésiologie à l'École nationale de cirque
Les artistes-athlètes de l'École nationale de cirque (ENC) exécutent des prouesses dont les résultats impressionnent toujours. Pour y arriver, ils doivent passer un nombre incalculable d'heures à s'entrainer tout en complétant leurs études. Mais comment leur en demander plus ? Grâce à leur partenariat, l'ENC  et le Département de kinésiologie de l'Université de Montréal tenteront d'optimiser les façons de faire de l'École afin d'améliorer les performances des artistes. www.nouvelles.umontreal.ca/multimedia/forum-en-clips/20130926-la-kinesiologie-a-lecole-nationale-de-cirque.html

Pharmaciens: les besoins sont grands. Le nombre d'étudiants et de pharmaciens est en hausse, mais les besoins croissent aussi rapidement. Il manque donc toujours de candidats pour remplir tous les postes offerts, particulièrement en milieu hospitalier. http://affaires.lapresse.ca/cv/emplois/201309/30/01-4694771-pharmaciens-les-besoins-sont-grands.php

Il y a peu d'universitaires hypermétropes
On prescrit parfois à tort un médicament aux enfants hypermétropes quand le port de lunettes pourrait dans certains cas supprimer les difficultés de concentration. Les hypermétropes doivent forcer leurs yeux pour voir de près, ce qui engendre des difficultés de lecture. Parfois, aucun symptôme d'hypermétropie n'est apparent, car leurs yeux accommodent. Mais les conséquences sont grandes. Selon Jean-Marie Hanssens, ce léger handicap sous-diagnostiqué peut entraver leur parcours scolaire. «Il y a très peu de données sur le sujet, mais on constate que les hypermétropes dont le trouble visuel n'est pas corrigé entreprennent rarement des études à l'université. Ils décrochent bien avant.» www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20130930-il-y-a-peu-duniversitaires-hypermetropes.html

L'homme qui fait parler les Inuits. Alain Cuerrier devant le Jardin des Premières-Nations, au Jardin botanique de Montréal. L'oxyrie de montagne (Oxyria digyna) est une plante abondante dans la toundra arctique et les Inuits la nomment qunguliq. Le nom de cette plante, raconte Mitiarjuq Nappaaluk en riant, illustre la grimace que la personne fait en croquant dans la feuille. «Les Inuits forment un peuple rieur et chaleureux. Il y a bien sûr des problèmes sociaux dans la population, mais le temps que j'ai passé auprès d'eux m'a permis de les découvrir sous leurs bons jours; leurs connaissances sur la nature sont particulièrement riches», dit l'ethnobotaniste Alain Cuerrier, qui a publié aux Éditions MultiMondes, en collaboration avec l'Institut culturel Avataq et deux coauteurs, le premier guide trilingue des Plantes des villages et des parcs du Nunavik (2011). Il parachève ces temps-ci la publication d'une collection de livres richement illustrés consacrés au savoir biologique des Inuits. www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-technologies/20130930-lhomme-qui-fait-parler-les-inuits.html

Un diplôme en ligne... presque gratuit!
Obtenir son diplôme en suivant ses cours en ligne, est-ce bien possible? Quelque 20 millions d'étudiants de 203 pays sont actuellement inscrits à des MOOC, les massive open online courses. Tout comme les formations à distance, ces cours permettent d'apprendre de n'importe où, n'importe quand. Et c'est gratuit. Du moins en apparence. «De chez soi, il est désormais possible, qu'on soit pauvre ou riche, de suivre des cours de l'Université Harvard, de l'Université Stanford et du MIT [Massachusetts Institute of Technology]. Sur le plan de l'accès de masse à l'enseignement universitaire, c'est extraordinaire.» www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-leducation/20130930-un-diplome-en-ligne-.-presque-gratuit.html

Description des conférences à la carte de l’université Laval http://www2.ulaval.ca/fileadmin/ulaval_ca/gabarit/images_futurs/Conseillers/Conferences-a-la-carte.pdf

Un nouveau bac en sciences infirmières à l'UdeS. Si tout se passe comme prévu, l'Université de Sherbrooke offrira à compter de l'automne 2015 un nouveau baccalauréat de formation initiale en sciences infirmières sur le campus de la santé de même qu'à Longueuil. www.lapresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201310/01/01-4695015-un-nouveau-bac-en-sciences-infirmieres-a-ludes.php

Votre psy en est-il réellement un ?
En un an, 300 dossiers de pratiques illéagales de psychothérapie ont été soumis à l'Ordre des psychologues du Québec. Depuis 16 mois, tous ceux qui prétendent exercer la psychothérapie doivent détenir un permis. Afin que les Québécois soient conscients de l'existence de charlatans et qu'ils participent activement à leur dénonciation, l'Ordre des psychologues a lancé, lundi, une vaste campagne de publicité. www.lapresse.ca/videos/actualites/201310/07/46-1-votre-psy-en-est-il-reellement-un-.php/45b20aa0a1e64eddb4eae9fefa037647

Une étude révèle qu'un nombre croissant de nouveaux médecins spécialistes n'arrivent pas à se trouver un emploi au Canada www.guidesanteenligne.com/detail_news.php?ID=454852&cat=;28  

Documentation
Ne te tais pas, Janette
J'ai beaucoup aimé lire hier matin dans les journaux la lettre écrite par Janette Bertrand au nom de toutes les Janettes de la province. J'ai aimé lire des femmes, personnalités artistiques et autres, exprimant ainsi leur crainte de voir la religion reprendre une place révolue au Québec et, notamment, imposer des reculs en matière d'égalité. www.lapresse.ca/debats/chroniques/marie-claude-lortie/201310/16/01-4700088-ne-te-tais-pas-janette.php

Québec ignore le nombre de fonctionnaires qui travaillent avec le public S'il est facile  de connaître le nombre d'infirmiers, enseignants ou éducateurs qui interagissent avec le public, on ignore le nombre de fonctionnaires qui ne rencontrent jamais les citoyens, mais qui seraient cependant soumis aux règles de la neutralité religieuse. Québec ignore combien de fonctionnaires n'interagissent pas avec le public dans leur travail, mais ne pourraient néanmoins pas porter de signes religieux ostentatoires sous la Charte des valeurs québécoises. Les employés du secteur public :

Les Janettes et les psys scouts. Nathalie Petrowski. Elles ne sont pas aussi nombreuses que les défuntes Yvettes, mais leurs voix portent autant. Je parle des Janettes qui, sous les auspices de leur chef, Janette Bertrand, viennent de s'inviter dans le débat sur la Charte et sur son aspect le plus médiatisé: le voile. Estimant que l'égalité des sexes est compromise par le retour du religieux dans les institutions publiques, les 20 Janettes se sont déclarées pour la Charte dans une lettre ouverte publiée dans les journaux. Hier, leur lettre venait à peine d'être publiée que déjà on les accusait d'être passéistes, rétrogrades, paternalistes et le pire qualificatif de tous: vieilles, donc un peu gâteuses, un peu radoteuses et complètement à côté de leurs pompes. Permettez que je me porte à leur défense. D'abord, exception faite de Janette, 88 ans, et de Denise Filiatrault, 82 ans, les autres Janette sont dans la trentaine, la quarantaine ou la cinquantaine. Bref, elles ne sont pas toutes du même moule générationnel. Elles ne sont pas non plus issues du même moule professionnel puisque certaines sont comédiennes, scénaristes, écrivaines et productrices, et d'autres, travailleuses sociales, enseignantes, étudiantes ou militantes. Certaines, comme Julie Snyder, Denise Robert, Chantal Renaud, Michelle Blanc ou Édith Cochrane sont connues; d'autres, pas du tout. Ce sont pour la plupart des féministes qui ont vu le Québec se libérer du joug de l'Église catholique et les femmes prendre leur place dans une société de plus en plus laïque. Celles qui n'ont pas vécu cette révolution parce qu'elles n'étaient pas encore nées se sont fait raconter par leur mère ou leur grand-mère comment c'était quand l'Église était omniprésente, omnipuissante et décidait tout pour tout le monde. Elles ne veulent pas retourner en arrière et je les comprends. Personne ne veut retourner à la grande noirceur d'antan. Hier, dans les médias électroniques, ce sont surtout les voix de Janette et de Denise Filiatrault qu'on a entendues. Et comme ni Janette ni Denise ne sont de politiciennes de métier, elles ont semblé parfois confuses ou un brin échevelées. Il y a eu dérapages et des propos qui manquaient de nuances. Mais je préfère mille fois le manque de nuances de ces dames d'un certain âge qui, en passant, n'ont pas une cellule raciste ou xénophobe en elles. À ce sujet, qu'on se souvienne seulement de Hairspray, la comédie musicale multiculturelle, multiraciale et inclusive montée par Denise Filiatrault l'été dernier. Oui, je préfère mille fois les dérapages des Janettes que certaines divagations des 19 psys scouts qui ont signé une lettre contre la Charte dans le quotidien The Gazette au même moment. D'abord les signataires, des messieurs, pour la plupart issus du département de psychiatrie de McGill, n'évoquent pas une seule fois la question de l'inégalité entre les hommes et les femmes véhiculée par les différentes religions. Ils fondent leur propos uniquement sur le respect des droits de la personne, sans égard pour les droits souvent bafoués des femmes. Leur apologie d'une société où la diversité mène le bal et encourage le dialogue entre les différentes races, cultures et religions, est louable et, dans un certain sens, rejoint le discours du gouvernement Marois, bien qu'ils refusent de le reconnaître. Mais là où les psys scouts dérapent en grand c'est lorsqu'ils écrivent et je cite: «La preuve a été faite que ceux qui pratiquent une religion ou toute autre tradition morale ou spirituelle ont une meilleure santé mentale.» Pardon? Est-ce que j'ai bien lu? Puisque je ne pratique aucune religion et ne me promène pas avec un dieu portatif sur ma tête ou autour du cou, je suis quoi? En moins bonne santé mentale? Déprimée? Dépressive? Peut-être même carrément folle? Parce que je ne prie pas, je suis donc perdue et dépositaire d'une vision du monde qui est forcément noire, pessimiste et privée de sens? Et les kamikazes qui se font sauter dans des autobus bondés au nom d'Allah, eux, sont-ils en meilleure santé mentale que moi? Et tous les prêtres pédophiles pratiquants que l'Église catholique a engendrés et protégés, eux aussi étaient plus équilibrés et épanouis que moi.  Que d'éminents chercheurs et profs d'une grande université comme McGill puissent endosser de telles énormités dépasse l'entendement. Ce qu'ils nous disent, c'est que ceux qui ont la certitude de l'existence de dieu ont une supériorité mentale et morale sur ceux qui doutent. Autant dire que je doute que j'aille un jour consulter ces messieurs. Quant aux Janettes, je ne sais pas si elles doutent. Mais je crois comprendre qu'elles ont la conviction intime que les femmes au Québec ont fait trop de chemin sur la route de l'émancipation, pour le libre choix et contre la soumission à un maître ou à un dieu, pour retourner en arrière. À ce chapitre, je ne peux que leur donner raison. www.lapresse.ca/debats/chroniques/nathalie-petrowski/201310/16/01-4700097-les-janettes-et-les-psys-scouts.php

Notre calendrier pour nos formations données à l’automne est maintenant disponible. Vous retrouverez, en fichiers joints, les aperçus de ces formations. Nous sommes présentement à finaliser une nouvelle formation qui sera réservée aux plus expérimentés du GROP, à suivre… Mélanie Roy, adj.adm. www.psymetrik.com  info@psymetrik.com Formation www.psymetrik.com/html/fr/formation.php

L'exercice comparé aux médicaments pour les maladies cardio-vasculaires et le diabète. L'exercice est potentiellement aussi efficace que plusieurs traitements par médicaments pour les personnes atteintes de maladies coronariennes, ayant eu un accident vasculaire cérébral (AVC) ou présentant un prédiabète, selon une analyse des études scientifiques publiée dans le British Medical Journal. www.psychomedia.qc.ca/sante-cardiovasculaire/2013-10-02/diabete-exercice-compares-aux-medicaments 

Une caractéristique du cerveau d'Einstein pourrait expliquer sa grande intelligence www.psychomedia.qc.ca/intelligence/2013-10-08/einstein-cerveau

Cinq façons d'acheter le bonheur!
Les chercheurs en psychologie Elizabeth Dunn de l'Université de Colombie britannique et Michael Norton de l'Université de Harvard décrivent dans leur nouveau livre, "Happy Money: The Science of Smarter Spending" cinq façons de dépenser l'argent qui rend plus heureux, contrairement à ce que dit l'adage. Acheter des expériences Les recherches montrent que les expériences apportent plus de bonheur que les biens matériels, en partie parce que les expériences sont plus susceptibles d'apporter un sentiment de connexion avec les autres. Également parce qu'elles sont plus stimulantes, contribuent à divers apprentissages et au développement personnel. S'offrir certains plaisirs de façon occasionnelle. L'abondance, disent-ils, est l'ennemi de l'appréciation. En général, plus nous sommes exposés à quelque chose, plus l'impact diminue. Acheter du temps. Quand on peut se le permettre, conseillent-ils, il peut être avantageux de décider d'embaucher quelqu'un pour tondre son gazon ou encore de dépenser un peu plus sur un item plutôt que de conduire à travers la ville afin d'économiser 10%. "Nous sacrifions trop souvent notre temps libre juste pour économiser un peu d'argent", écrivent-ils, alors que "plusieurs d'entre nous souhaitons avoir plus de temps pour faire plus ce que nous aimons". Payer maintenant, consommer plus tard. "Consommer plus tard donne du temps pour que les attentes positives se développent" écrivent-ils. Payer pour des vacances à l'avance peut aider à en profiter plus car au moment de faire le voyage vous êtes moins concentré sur le coût. La méthode permet aussi de lutter contre la "puissance du maintenant". Cela est particulièrement vrai quand il s'agit de payer au moyen des cartes de crédit. Dans une étude citée par les auteurs, 30 personnes étaient invitées à évaluer leurs frais de cartes de crédit avant d'ouvrir leur facture mensuelle. Chaque participant sous-estimait combien il avait dépensé à crédit de près de 30 % en moyenne. Investir pour les autres. Les études montrent, rapportent les auteurs, que dépenser même de petites sommes d'argent pour les autres augmente son propre niveau de bonheur. "Avant de dépenser ces 5 $ de la façon que vous le feriez normalement", disent-ils, "arrêtez pour vous demander: est-ce que cet argent contribue à rendre heureux? Est-ce que je le dépense de la manière qui va me donner plus de bonheur pour mon argent?"  www.psychomedia.qc.ca/consommation/2013-10-09/acheter-le-bonheur
  

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À noter à votre agenda

C'est officiel: l'OCCOQ recevra le Congrès mondial de l'Association internationale d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec du 4 au 6 juin 2014. L'ACOC sera au rendez-vous ! Sur le site de l'Ordre  les frais d'inscription
.
Le nouveau Conseil exécutif et les Comités
Partenaires du Xe Congrès 
de l'ACOC à l'UQAT

En 2012-2013, nous avons franchi le cap des
100 000 visites du Bulletin (127 000) 
et 500 000 du site ACOC (593 000)

Bruno Tremblay, c.o. conseiller aux communications de l'ACOC acocinfo@gmail.com

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