31 octobre 2013

V 12 No 7: Mon retour au cégep

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
(830 membres, 12e saison du bulletin électronique)
Site de l'ACOC pour l'ISEP (centre virtuel)
L’Ancienne-Lorette 31 octobre 2013
L’Ordre célèbre cette année son cinquantième anniversaire. 
Section Nouvelles
Admission universitaire à l'hiver 2014
Programmes universitaires ouverts en hiver 2014
Portes ouvertes universitaires
Le doctorat en médecine de l'Université de Sherbrooke en tournée
Conférences mini-sciences de la santé de l'Université McGill
Scientifiques d'un jour à l'UQAM
Perfectionnement inter-ordres - Journées de concertation
Présentations de Dialogue 2013

Aide pédagogique individuelle au Collège Brébeuf. Temps complet Entrée en fonction : 9 décembre 2013 (poste en remplacement jusqu’au 20 juin 2014). La date limite pour déposer votre candidature est le 15 novembre 2013 à 16 h. www.brebeuf.qc.ca/collegial/le-college/offres-demploi

Un seul site web pour accéder à toutes les formations offertes aux adultes dans les cégeps. Dans le cadre de la campagne Mon retour au cégep, qu'elles ont mise en œuvre en 2010 pour amener un plus grand nombre d'adultes à se former et à se perfectionner au cégep, les directions de la formation continue et des services aux entreprises des 48 collèges publics du Québec lancent le tout nouveau site Internet monretouraucegep.com, qui se veut l'outil de référence le plus complet qui soit en matière d'information sur les services offerts aux adultes dans les cégeps. www.monretouraucegep.com

  
Exercer plusieurs métiers à la fois: le refus de choisir Josiane O'Rourke est à la fois professeure de yoga, traductrice et en voie de devenir enseignante en français langue seconde. Certains accumulent les boulots pour joindre les deux bouts. D'autres acceptent un travail d'appoint en attendant que leur carrière principale décolle. De son côté, Josiane O'Rourke a fait le choix de concilier plusieurs métiers en s'offrant le privilège de vivre pleinement ses deux passions: les langues et le yoga. http://affaires.lapresse.ca/cv/201310/15/01-4699801-exercer-plusieurs-metiers-a-la-fois-le-refus-de-choisir.php

Se tailler une carrière sans diplôme universitaire. Certains remettent en question la valeur des diplômes universitaires. L'animateur Stéphan Bureau s'est forgé son propre parcours. Il a fait son cégep en un an et n'a pas terminé sa dernière année de baccalauréat. Malgré tout, cela ne l'a pas empêché de percer dans le monde des médias. Il se dit profane et se voit comme un entrepreneur. Ayant l'ambition de réaliser ses projets, il trouvait que s'asseoir sur les bancs d'école le ralentissait. Selon lui, l'école ne favorise pas l'autonomie. Il parle de son expérience, en compagnie du sociologue Éric Pineault. Le journal Métro Montréal publie une série d'articles sur le mouvement « Non aux études universitaires ». La série se poursuit jusqu'au vendredi 18 octobre.  Stéphan Bureau est le porte-parole de la deuxième Saison de la lecture de Montréal, qui a commencé le 20 septembre et se poursuit jusqu'au 25 novembre. Le thème de cette année se décline en trois questions : Tu lis où? Tu lis quand? Tu lis quoi? Entrevue avec Stéphan Bureau : Mouvement Non aux études universitaires
EN COMPLÉMENT  Site de Saison de la lecture de Montréal À lire dans le journal Métro : « Non aux études universitaires » À écouter : « Apprendre par soi-même » À écouter : « Pirater son éducation » www.radio-canada.ca/emissions/medium_large/2013-2014/chronique.asp?idChronique=316540

Non aux études universitaires
«Pourquoi devriez-vous aller à l’université quand vous êtes dans la vingtaine?» demande Dale Stephens. À ce sujet: À bas la vieille écoleTrois décrocheurs entrepreneurs se confientDavid Rusenko: «Fondez votre compagnie à 20 ans!» Le principe «université = emploi» ne vaut plus. En effet, certains des jeunes les plus brillants boudent les cours pour créer des entreprises. De nos jours, la plupart des jeunes fréquentent l’uni­versité, y compris ceux qui ne tenaient pas à y aller et ceux qui ne sont pas faits pour le travail académique. On nous dit qu’avoir un diplôme est essentiel pour survivre dans l’économie actuelle. Mais est-ce vraiment le cas? En Espagne, 53 % des jeunes sont sans emploi, et pourtant un grand nombre d’entre eux possèdent un diplôme universitaire. C’est la raison pour laquel­le une nouvelle tendance fait surface : éviter d’aller à l’université. «Nous constatons une croissance folle de l’intérêt qu’on nous porte, dit Dale Stephens, le fondateur de UnCollege, une organisation qui encourage les adolescents à laisser tomber l’éducation supérieure. Cette année, nous avons reçu 200 demandes pour les 10 places disponibles dans notre programme d’année sabbatique. Les universités sont parfaites pour acquérir un certain type de connaissances, mais il y a trop de spécialisations au sein des domaines d’études», poursuit l’homme de 21 ans. À ce sujet: -À bas la vieille école -Trois décrocheurs entrepreneurs se confient -David Rusenko: «Fondez votre compagnie à 20 ans!» http://journalmetro.com/monde/386890/non-aux-etudes-universitaires/

Le comité organisateur du 7e Symposium étudiant du CRIEVAT vous invite à participer en grand nombre à cet événement, qui se déroulera dans le cadre de la Semaine québécoise de l'orientation. Semblable à un colloque scientifique, le Symposium étudiant du CRIEVAT rassemble près d’une centaine de personnes du secteur de l’orientation et des domaines connexes et a pour objectifs : de permettre aux étudiants des cycles supérieurs et membres du CRIEVAT de contribuer activement au rayonnement de leur discipline en diffusant leurs plus récents travaux scientifiques ; d’offrir un lieu d’échange et de réflexion pour les étudiants, chercheurs et professionnels ; de promouvoir le CRIEVAT au sein de la communauté étudiante ; de sensibiliser, dès le 1er cycle, les étudiants en sciences de l’orientation à la recherche dans cette discipline. 7 étudiant-e-s viendront exposer leur projet de recherche au public le 8 novembre prochain. Notons également la présence de Laurent Matte, président de l’Ordre des conseillers et conseillères d’orientation du Québec, qui prononcera un discours et sera là pour répondre à vos questions. Saisissez l'opportunité de venir réfléchir avec nous sur des problématiques actuelles, tout en encourageant la relève de demain ! Faites vite, car les places sont limitées! www.crievat.fse.ulaval.ca/recherches_interventions/activites/symposium2013/

Le mercredi 27 novembre prochain entre 14h30 et 16h00 au PEPS (Hall du 2e étage PEPS. Stationnement payant), une vingtaine de stagiaires en kinésiologie de l'Université Laval présenteront, sous forme de kiosques, leur milieu de stage aux étudiants de 2e année. Ces derniers auront l'occasion de connaître différents milieux de travail et les tâches associées. J'ai pensé inviter les c.o. des CÉGEPS de la région de Québec afin qu'ils puissent bénéficier de cette occasion d'échanges et ainsi mieux connaître notre profession. Linda Drolet, kinésiologue, M.Sc., PEC-SCPE Coordonnatrice des stages et responsable de formation pratique Université Laval Département de kinésiologie Linda.Drolet@kin.ulaval.ca

Cahier spécial dans le Devoir sur la Semaine des professionnel 2013 http://www.ledevoir.com/documents/cahier_special/pdf/87c3c8d689ff2bb25c6e10899bf98d2d8583f69e.pdf

La relation d’aide : le noyau dur – Jacques Limoges La relation d’aide peut devenir très complexe en impliquant de multiples ingrédients relationnels s’articulant sur plusieurs niveaux. Ainsi, dans le cadre d’un Programme de formation axé sur les compétences en counseling d’emploi, Higgins (1991) proposait l’habilitation et l’évaluation formelle de 26 habilités selon 6 niveaux de maîtrise et certains seuils étaient requis (niveau x fréquence) pour être certifié. Si de telles « complexifications » sont pertinentes lorsqu’il est question de professionnalisation d’experts en ce domaine, elles le sont beaucoup moins lorsqu’il s’agit d’entraide, par exemple, lors de démarches d’accompagnement, de tutorat ou de mentorat. Par ailleurs, même pour ces experts, il est impératif de revenir de temps à autre à l’essentiel. Or cet essentiel constitue ce que j’ai surnommé la trousse de montagne. Cette trousse comprend 4 interventions de base soit : l’intervention exploratoire celle qui invite la personne à en dire plus sans se sentir menacée; l’intervention d’écoute celle qui traite ce qui a été déjà dit par cette personne sans qu’elle se sente menacée; l’intervention affective celle qui aborde (explore, nomme, etc.) les sentiments de l’autre ou de soi; l’intervention d’identification honnête celle qui va au vif du sujet sans être menaçante pour la personne. Une trousse si petite et légère que son délai d’efficacité s’approche de zéro; si petite et légère qu’il est possible de l’apporter en tout temps et partout : à un repas, dans une chambre à coucher, dans le métro, dans l’auto, au super marché, en camping, à la plage et même lors de l’escalade d’une montagne très à pic d’où cette appellation! D’une métaphore à l’autre Pour représenter ces 4 ingrédients, j’ai d’abord utilisé dans l’ordre, le télescope, la loupe, le cœur et l’index. À l’usage, il est devenu évident que ces symboles ne reflétaient pas bien la finalité d’une relation d’aide, c’est-à-dire la découverte de quelque chose de précieux apportant un nouvel éclairage sur la situation à l’étude. Alors, depuis j’opte pour des « outils » qui concourent à la découverte d’un trésor enfoui dont on ignore la position, le contenu, les dimensions, etc. Je parle donc maintenant d’une : Intervention « pelle » Intervention « brouette » Intervention « tamis » Intervention « pic » Une relation d’aide aidante Pourquoi cette trousse est si efficace ? À l’examen, on découvre que cette trousse reprend les 4 étapes d’une résolution de problème telle que définie dans l’ADVP, chacune de ces interventions correspondant à un mode spécifique de pensée : l’intervention exploratoire → pensée divergente, l’intervention d’écoute → pensée convergente, l’intervention affective → pensée évaluative, l’intervention d’identification → pensée implicative. Grâce à cette trousse le désir d’aider se transforme en relation d’aide pour finalement découvrir que la relation aide. [1] PARA, programme d’amélioration de la relation d’aide, supports technologiques http://orientaction.ca/2013/10/la-relation-daide-le-noyau-dur-jacques-limoges/

L'École pour moi. Parcours de raccrochage scolaire Le film « L'école pour moi » documente les parcours comparés de quatorze jeunes de 16-20 ans en processus de raccrochage scolaire dans quatre pays, soit le Québec, la France, la Belgique et l’Espagne. Les jeunes parlent de leur parcours depuis les difficultés ayant mené au décrochage jusqu’à la démarche de raccrochage. Ce film s’inscrit dans le cadre du programme de recherche PARcours sur l’accompagnement des jeunes en processus de raccrochage scolaire. Le documentaire a été réalisé par Jonathan Durand et été coordonné par Danielle Desmarais, professeure à l’École de travail social de l’UQAM. http://vimeo.com/66082249

Le taux de décrochage est à la baisse au Québec
Le taux de décrochage des jeunes de moins de 20 ans a chuté de 4% au cours des dernières années et s'établit désormais à 16%. Si un vent d'optimisme souffle sur ceux qui cherchent à accroître la persévérance scolaire, des experts estiment que la partie la plus difficile du travail est à venir. «On a fait le travail qui était le plus facilement réalisable. On va maintenant se buter à des réalités socio-économiques qui ne concernent pas que le milieu de l'éducation», a indiqué hier le président de BMO Groupe financier Québec, Jacques Ménard, qui a créé en 2008 le Groupe d'action sur la persévérance scolaire après avoir publié un essai sur la question. M. Ménard est aussi coprésident des Grandes Rencontres sur la persévérance scolaire (GRPS), qui rassembleront 1500 participants du 4 au 6 novembre au Palais des congrès de Montréal, sous le thème de la petite enfance. L'organisation a dévoilé hier les résultats d'un sondage Léger mené pour la Fondation Lucie et André Chagnon sur la perception des Québécois par rapport à la persévérance scolaire. En tout, 40% des répondants craignent que leur enfant ne termine pas leurs études secondaires. Jacques Ménard dénonce le fait que peu de ressources sont attribuées aux écoles primaires afin de cibler les enfants qui présentent des difficultés d'apprentissage. «Il faut plus de spécialistes dans les écoles. [...] Effectivement, ça coûtera plus cher, ou il faudra voir comment on alloue les ressources. Mais les commissions scolaires peuvent jouer un rôle intéressant pour diagnostiquer, calibrer et distribuer les ressources. Je ne suis pas de ceux qui croient qu'on doit les abolir»,  a-t-il indiqué. «Si on peut dépister rapidement un jeune à risque qui a besoin d'un suivi particulier, on arrivera à le stimuler, le socialiser de façon telle qu'il ne soit pas effrayé par les lettres et les chiffres», explique M. Ménard. Les garçons ont toujours plus de mal que les filles à terminer leurs études secondaires. Avant l'âge de 20 ans, le taux de décrochage de ce groupe dépasse les 30% dans certains milieux défavorisés. Or, l'écart entre les filles et les garçons se rétrécit, constate Pierre Fortin, professeur émérite au département des sciences économiques de l'Université du Québec à Montréal (UQAM). «Les projets mis en place par les communautés de base, les professeurs et les directions d'école fonctionnent. C'est vraiment l'entrepreneuriat scolaire qui est en route, et c'est fantastique. Les solutions viennent de la base, pas de Québec», indique l'économiste. Un exemple qui a profité aux garçons est le régime de travail-études mis en place dans certaines écoles, soutient M. Fortin. Les élèves étudient trois jours par semaine, puis travaillent dans des entreprises locales le reste du temps. Le ministère de l'Éducation était au départ contre une telle mesure, mais des projets-pilotes ont prouvé la pertinence de cette approche, dit-il. «Un autre élément qu'il faut considérer est le taux de raccrochage scolaire dans la vingtaine et la trentaine. Les jeunes adultes qui n'ont pas de diplôme d'études secondaires retournent sur les bancs d'école. À 44 ans, seulement 10% des Québécois n'ont toujours pas de diplôme», ajoute le professeur de l'UQAM. «L'optimisme est tout à fait justifié. Le décrochage baisse, et ça avance. On peut s'en réjouir.» www.lapresse.ca/actualites/education/201310/22/01-4702567-le-taux-de-decrochage-est-a-la-baisse-au-quebec.php

Conseillers et conseillères d'orientation - Un ordre est apparu il y a 50 ans dans la foulée du rapport Parent. «Nous avons le devoir d’humaniser le rapport de la personne à son emploi», précise Josée Landry. Il y a 50 ans, la Corporation des conseillers d’orientation professionnelle du Québec est née dans le sillage du rapport Parent, où l’orientation était conçue comme la pierre angulaire du système d’éducation. Depuis, le métier a considérablement évolué, soulevant au passage des enjeux éthiques qui se sont complexifiés à mesure que la société a évolué. Alors que, il y a un siècle, on choisissait la plupart du temps son métier pour la vie, le monde du travail est aujourd’hui confronté à des problématiques d’un tout autre ordre : les crises économiques, la précarité ou les restructurations ont fait basculer les travailleurs dans une dynamique d’orientation tout au long de la vie. De plus, la recherche constante d’un équilibre entre le travail et la vie personnelle, l’évolution des attentes autour des choix professionnels et le besoin de se réaliser dans le travail font aujourd’hui partie des préoccupations centrales. De ce fait, l’orientation relève désormais du développement de la personne et s’inscrit dans un projet de vie, si bien que les 2350 conseillers d’orientation qui font partie de l’Ordre doivent maîtriser un éventail de connaissances aussi bien sociologiques qu’économiques et psychologiques. Orienter quelqu’un est loin d’être un geste mécanique, pour lequel il suffit de faire passer un test ou de consulter les statistiques d’emploi. En effet, le travail du conseiller d’orientation implique « un accompagnement de la personne dans les décisions relatives à son parcours professionnel », explique Josée Landry, vice-présidente de l’Ordre. À travers une démarche complexe, parfois longue et jamais automatique, il faut faire un bilan des compétences pour savoir « ce qui les représente le mieux comme activité professionnelle et pour cerner leur potentiel ». Avant toute chose, il s’agit pour le conseiller de « comprendre la dynamique de la personne et de son travail avant de passer à l’action ». Alors qu’en 1963 97 % de la clientèle des conseillers d’orientation venait des écoles, cette proportion est aujourd’hui tombée à moins de 50 %. En effet, loin de se limiter à une clientèle scolaire qui se demande ce qu’elle fera après avoir fini son cégep, les pratiques se sont considérablement diversifiées au fil des décennies. Certains consultent parce qu’ils ont besoin de définir et de clarifier leur projet professionnel après l’école ou une période de chômage. Les conseillers d’orientation interviennent également auprès de personnes qui sortent handicapées ou fortement diminuées d’une maladie ou d’un accident. Parmi les autres cas de figure, citons l’insertion professionnelle, qui concerne les décrocheurs ou les professionnels qui veulent se réorienter, mais aussi les retraités qui, face au spectre de l’inactivité, cherchent un moyen de se redéfinir, ou encore les immigrés qui ne peuvent plus exercer le métier dans lequel ils ont acquis leur expertise. Il peut enfin s’agir de consultations en entreprise pour aider les dirigeants à mieux comprendre la dynamique organisationnelle, à évaluer la relève et à chercher à savoir si les employés occupent un poste qui leur convient. Dans la plupart des cas, les conseillers d’orientation prennent en charge des clients qui se trouvent dans une situation de fragilité, dans un tournant de leur carrière. « La plupart des clients qui consultent sont des adultes qui éprouvent des difficultés au travail et qui sont malheureux. » Puisqu’il s’agit « d’interrogations profondes, liées à leur identité professionnelle et à leur place dans leur milieu de travail », la relation à instaurer doit être basée sur la confiance. « Nous faisons de la psychologie du travail, poursuit Josée Landry. Nous avons le devoir d’humaniser le rapport de la personne à son emploi. » Une exigence délicate lorsqu’il s’agit d’évaluer des clients aux besoins particuliers, souffrant par exemple d’anxiété, d’un handicap ou de TDAH. L’expertise des conseillers d’orientation déborde ainsi largement sur le terrain de la santé mentale, et c’est dans cette perspective que l’évaluation en orientation professionnelle de personnes atteintes d’un trouble mental ou neuropsychologique est, depuis la loi 21, une activité réservée à l’Ordre. www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/389554/un-ordre-est-apparu-il-y-a-50-ans-dans-la-foulee-du-rapport-parent

Boucar Diouf (conférencier d’ouverture lors du congrès de l’ACOC à l’UQAR) En entrevue, Richard Martineau rencontre l'humoriste, conteur, biologiste, animateur et auteur Boucar Diouf. Originaire du Sénégal, installé au Québec depuis le début des années 1990, Boucar Diouf a pour le Québec un amour aussi indéfectible qu'inconditionnel. Dans cet entretien à coeur ouvert, il se livre sans détour sur sa jeunesse en Afrique de l'Ouest, ses premières années à Rimouski, où il était chargé de cours à l'université, et son coup de foudre pour ce Québec qu'il définit comme « métissé serré ». La tempête violente sur les réseaux sociaux déclenchée le printemps dernier à la suite de la publication d'un texte d'opinion où il s'exprimait contre la fraternité raciale l'a profondément ébranlé et lui a laissé des cicatrices. « Les noirs ne sont pas un groupe monolithique et je ne suis la propriété de personne » , plaide-t-il. http://zonevideo.telequebec.tv/media/7460/boucar-diouf/les-francs-tireurs

Difficultés des garçons à l'école: un modèle scolaire «à refaire en entier» Dominic Gagnon, aujourd'hui président fondateur de l'agence Piranha, a passé à travers son parcours scolaire de justesse. On le disait voué à l'échec. «L'école, ça m'a zéro marqué. On m'a dit que j'allais rien faire de bon dans la vie», lance tout de go Dominic Gagnon, président fondateur de l'agence Piranha à Québec. Pour le lauréat de plusieurs prix d'entrepreneuriat âgé de 26 ans, c'est parce que le système scolaire est fait pour les filles que les garçons décrochent ou du moins, n'accrochent pas comme leurs profs le souhaiteraient. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201310/17/01-4700842-difficultes-des-garcons-a-lecole-un-modele-scolaire-a-refaire-en-entier.php

Souper en famille: une protection contre le suicide Contrairement à la croyance populaire, le fait de bien dormir, d'avoir une bonne estime de soi ou de faire du sport ne protège pas ces jeunes en difficultés de commettre l'irréparable, selon l'étude. Les soupers en famille et la lecture protègent les adolescents du suicide bien plus que l'activité physique ou l'estime de soi, révèle une toute nouvelle étude dont La Presse a obtenu copie. Une découverte qui ouvre la porte « à des interventions simples, très faciles et peu coûteuses pour aider les jeunes à risque », dit la professeure Jessica Rassy de l'École des sciences infirmières de l'Université de Sherbrooke, dont les travaux seront officiellement présentés dans le cadre du congrès de l'Ordre des infirmières du Québec à la fin octobre. La chercheuse s'est penchée sur le cas de 101 jeunes de 12 à 17 ans atteints d'un trouble de l'humeur et présentant un risque suicidaire. Ses découvertes sont surprenantes. Contrairement à la croyance populaire, le fait de bien dormir, d'avoir une bonne estime de soi ou de faire du sport ne protège pas ces jeunes en difficultés de commettre l'irréparable. Mais le fait de manger avec leur famille au moins deux fois par semaine, d'avoir plusieurs sources de lecture différentes, de ne pas fumer ou de ne pas avoir d'amis qui fument et de ne pas consommer drogues et alcool a un impact réel sur leurs tendances suicidaires. « Même moi, ça m'a étonné, confie la chercheuse. Je n'avais pas réalisé à quel point un simple souper de famille pouvait avoir un impact. » Selon elle, ces moments privilégiés renforcent le lien affectif entre l'enfant et ses parents et favorisent le support familial et la communication. Plus les repas collectifs sont fréquents, meilleure est la protection. Même équation pour la lecture. Plus un adolescent lit différents types de publications, un livre, un journal et un site internet, par exemple, plus il est protégé contre le suicide. « On ne sait pas exactement pourquoi, mais une des hypothèses est que des intérêts variés permettent plus facilement d'occuper son temps », dit Mme Rassy. Mais attention : la lecture à elle seule n'est pas suffisante. Pas plus que le fait de ne pas fumer ou de ne pas consommer de drogue. « C'est une combinaison de plusieurs facteurs qui peut aider les jeunes souffrant de troubles de l'humeur », dit l'infirmière. « Le but est de trouver ce qu'ils font déjà dans leur quotidien et de le renforcer. De souligner les forces plutôt que de chercher ce qui ne fonctionne pas dans leur vie. Par exemple, en les encourageant à manger avec leurs parents. C'est quelque chose qui peut se faire facilement et qui a un vrai impact. » Portrait-robot de l'adolescent suicidaire - 41 % des ados atteints d'un trouble de l'humeur et présentant un risque suicidaire ont une forte confiance en eux à l'école contre 79 % des adolescents québécois en général. Plus de huit sur dix consacrent 5 heures ou moins par semaine à leurs devoirs. - 16 % ont un emploi étudiant rémunéré contre 29 % des ados en général. - Seuls 15 % se disent satisfaits de leur sommeil et un maigre 4 % sont reposés à leur réveil. Chez les ados dits « normaux », seule une mince minorité souffre de troubles du sommeil. - 31 % font peu d'activité physique contre 13 % des jeunes Québécois. - La majorité a fumé dans les 30 derniers jours, contre une minorité de jeunes Québécois. - Plus de 72 % ont consommé de l'alcool dans la dernière année et la moitié a pris de la drogue. Cela se compare au comportement des adolescents en général. www.lapresse.ca/vivre/societe/201310/16/01-4700451-souper-en-famille-une-protection-contre-le-suicide.php

Les femmes médecins sont meilleures que les hommes. Les chercheurs ont étudié les interventions des médecins auprès de patients diabétiques âgés. La qualité des soins prodigués par les femmes médecins est supérieure à celle de leurs collègues masculins. La productivité de ces derniers est cependant plus grande. C'est la conclusion à laquelle est parvenue une équipe de recherche de l'Université de Montréal qui a étudié les données de facturation de plus de 870 médecins québécois, dont la moitié étaient des femmes, en fonction de leurs interventions auprès de patients diabétiques âgés. «Les femmes ont obtenu des scores significativement plus élevés en matière de conformité aux guides de pratique. Elles sont plus nombreuses que les hommes à prescrire les médicaments recommandés et à planifier les examens requis», explique l'auteure principale de l'étude, Valérie Martel, qui a consacré son mémoire de maitrise à ce sujet au Département d'administration de la santé. Roxane Borges Da Silva, professeure à la Faculté des sciences infirmières, a codirigé le travail de maitrise de Mme Martel, aujourd'hui étudiante en médecine à l'Université Laval et présidente de la Fédération médicale étudiante du Québec. Régis Blais, professeur au Département d'administration de la santé et directeur de la recherche de Mme Martel, complétait l'équipe. www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20131015-les-femmes-medecins-sont-meilleures-que-les-hommes.html

Faut-il permettre l'usage de Facebook pendant les cours? Au terme d'un sondage mené auprès de 31 000 collégiens du Québec – dont 92 % avaient un profil Facebook actif –, Bruno Poellhuber et ses collègues ont réalisé que des élèves avaient formé des groupes Facebook pour leurs cours et y engageaient des discussions sur des sujets abordés en classe, le plus souvent à l'insu de l'enseignant. L'usage de cette plateforme, active à l'approche des examens ou en période de production des travaux d'équipe, constitue la preuve, selon ce professeur du Département de psychopédagogie et d'andragogie de la Faculté des sciences de l'éducation de l'Université de Montréal, que les nouvelles technologies peuvent servir la cause de l'apprentissage. «Il faut apprendre à vivre avec les réseaux sociaux plutôt que de tenter de les contenir et de limiter leur portée», estime ce chercheur rattaché au Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante. www.nouvelles.umontreal.ca/campus/petit-guide-de-survie-des-enseignants/20131008-faut-il-permettre-lusage-de-facebook-pendant-les-cours.html

Il faut redonner au public le moyen de reprendre confiance en ses ordres professionnels. Le Conseil interprofessionnel du Québec multiplie les initiatives pour assurer une meilleure protection de la population www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/389810/il-faut-redonner-au-public-le-moyen-de-reprendre-confiance-en-ses-ordres-professionnels

Travailleurs sociaux - Des valeurs de chacun à l’insertion sociale. «Chacun de nos membres est évalué selon sa pratique». Ce texte fait partie d'un cahier spécial. Chaque jour, le travailleur social doit gérer des conflits de valeurs dans l’intérêt des personnes et de la société dans son ensemble. L’éthique est présente dans chacun des gestes qu’effectuent les 12 000 travailleurs sociaux que compte le Québec. Ils doivent sans arrêt remettre en question leur pratique et mener un processus de réflexion qui permette de régler des conflits de valeurs. Une nécessité d’autant plus essentielle qu’ils font face à un public souvent en situation de souffrance physique ou de détresse sociale. www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/389555/des-valeurs-de-chacun-a-l-insertion-sociale 

L’urbaniste, un intégrateur en matière de développement durable. Le congrès anniversaire voudra rien de moins que «civiliser le changement» Un des rôles de l’urbaniste est de s’assurer que les projets de développement sur l’ensemble du territoire dans un secteur particulier soient intégrés et respectent les règles de l’art. Ce texte fait partie d'un cahier spécial. Ils sont quelque 800 urbanistes à être membres d’un ordre professionnel au Québec, dont le vaste mandat se rapporte à la planification et à la gestion du développement rural, urbain et régional. Ils sont des guides qui utilisent leurs compétences pour éclairer les élus et les citoyens dans leur prise de décisions affectant les territoires et leurs habitants. À l’occasion des 50 ans d’existence de l’Ordre des urbanistes du Québec, son président, Robert Cooke, jette un éclairage sur cette profession. www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/389809/l-urbaniste-un-integrateur-en-matiere-de-developpement-durable

Commissions scolaires: compressions, mais plus de cadres L'application de la loi 100, qui forçait le remplacement d'un retraité sur deux dans le personnel ne donnant pas de services aux élèves, a nécessité des cumuls de responsabilités pour des professionnels qui ont pu ainsi être reclassés comme cadres. Depuis des années, elles sont dans la ligne de mire des politiciens qui, tous partis confondus, exigent des réductions de dépenses. Pourtant, le nombre des cadres dans les commissions scolaires a augmenté constamment depuis six ans. Entre 2006 et 2012, on comptait 333 cadres de plus dans les 72 commissions scolaires du Québec. Au même moment, le personnel de soutien diminuait: moins de concierges, moins de techniciens, moins de secrétaires, ce qui a permis de réduire de 10,9% les frais d'administration en trois ans. Mais s'il y a moins d'indiens... le tableau du Ministère montre qu'il y a néanmoins plus de chefs. L'application de la loi 100, qui forçait le remplacement d'un retraité sur deux dans le personnel ne donnant pas de services aux élèves, a nécessité des cumuls de responsabilités pour des professionnels qui ont pu ainsi être reclassés comme cadres. Québec visait une réduction des frais administratifs de 10% avec sa loi - les commissions scolaires soutiennent avoir réduit ces frais de 15%. Selon un tableau du ministère de l'Éducation, obtenu par La Presse, sur la «répartition du personnel d'encadrement des commissions scolaires», les 333 personnes de plus qualifiées comme cadre signifiaient une augmentation de 6% sur la période couverte. En terme d'équivalents à temps complet - certains n'ont pas fait toute l'année comme cadre -, on constate que les commissions scolaires avaient 302 cadres de plus, une augmentation de 5,4% pour cette période. En 2011-2012, elles comptaient 7020 cadres, comparativement à 6687 en 2006-2007. Le nombre de cadres a augmenté rapidement, surtout entre 2006 et 2009, montrent les chiffres du ministère de l'Éducation. Par groupe, on constate que ce sont les «cadres de gérance», ceux qui, par exemple, s'occupent des aspects techniques et des «ressources matérielles» dans le réseau des écoles primaires et secondaires, qui ont le plus augmenté; on parle ici de 150 personnes sur la période, une augmentation de 16,8%. Les «cadres des services», les coordonnateurs de l'administration dans son ensemble, ont augmenté de 132 personnes, une majoration de 10,9%. En revanche, le nombre de directeurs d'école a reculé à cause des fusions d'établissements. On compte 50 directeurs de moins, mais 35 directeurs adjoints de plus. Pour l'éducation des adultes, des centres qui gèrent leurs budgets sans trop de contrôle de la part des commissions scolaires, on observe une croissance de 17% du nombre de directeurs adjoints, 57 individus ont eu une promotion. Dans les commissions scolaires comme telles, on trouve 6 directeurs généraux de moins, mais 20 directeurs adjoints de plus. Sur la période visée, ce groupe de cadres a augmenté de 8,4%. www.lapresse.ca/actualites/education/201310/20/01-4701710-commissions-scolaires-compressions-mais-plus-de-cadres.php

Bouleversements dans le métier de facteur
Yves Provencher/Métro Martin Germain Fini, le temps où les facteurs se donnaient rendez-vous à la taverne du coin pour prendre une bière en plein après-midi! Le métier de postier est aujourd’hui beaucoup plus exigeant qu’auparavant; tellement qu’on demande maintenant aux candidats de se soumettre à un test physique. Cette nouvelle exigence s’insère dans une grande restructuration de Postes Canada, qui désire économiser 250 M$ par année pour les quatre prochaines années. Ainsi, avec la poste «moderne», les facteurs ne font plus le tri du courrier (qui est effectué électroniquement) et voient leur circuit s’allonger. «Il y a un nouveau parcours qui compte 9 000 marches», révèle Martin Germain, facteur pour Postes Canada depuis huit ans. Le Syndicat des travailleurs de la poste s’inquiète de ces nouvelles conditions de travail et est d’ailleurs en arbitrage à ce sujet. Malgré tout, la profession attire de nombreux candidats, notamment parce que les exigences scolaires pour y accéder sont peu élevées. En effet, il suffit d’être titulaire d’un diplôme d’études secondaires pour soumettre sa candidature. Parmi les autres exigences : détenir un permis de conduire valide et avoir un bon dossier de conducteur, avoir de l’expérience dans les rapports avec le public, être capable de respecter les délais, avoir des compétences dans la tenue de dossiers, la préparation de rapports routiniers et l’organisation de matériel, et avoir la capacité physique de porter une sacoche de 35 lb et de soulever des boîtes de 50 lb. Le candidat retenu doit réussir une entrevue, un filtrage de sécurité, une évaluation des capacités physiques, un examen de la vue et un test de conduite. S’il est toujours dans la course à la suite de ces étapes de sélection, il doit ensuite suivre avec succès le programme de formation et réussir les évaluations de formation. Finalement, les candidats retenus commencent à travailler sur appel avant de pouvoir accéder à un statut d’employé temporaire, qui mène ensuite à la permanence. Cette période transitoire peut s’échelonner sur plusieurs années. Faits divers : Sur le Plateau Mont-Royal, un facteur monte de 5 000 à 7 000 marches par jour. Un facteur use en moyenne une paire de souliers tous les six mois. Selon la légende urbaine qui circule chez Postes Canada, après 30 ans de service, un facteur aura marché l’équivalent du tour de la Terre. Témoignage. Une journée dans la vie d’un facteur Nom : Martin Germain Emploi : facteur pour Postes Canada depuis huit ans À quelle heure commencent vos journées de travail? Six heures du matin. Je me lève tous les jours à quatre heures et demie. Quelle est la première chose que vous faites en arrivant? Je vais à mon poste de travail et je fais le tri du courrier, que je classe par adresses afin que tout soit prêt pour mon parcours. Je prends aussi mes circulaires, que j’ai préparées la veille sur mon heure de dîner. À quelle heure commencez-vous votre parcours? Je quitte le bureau vers neuf heures. Le matin, mon parcours commence à la porte d’à côté; par contre, l’après-midi, je prends l’autobus pour me rendre au début de mon circuit. Combien de temps prend votre parcours? Celui du matin dure en moyenne deux heures et demie. Même chose pour celui de l’après-midi. Je marche donc en moyenne cinq heures par jour. Quel aspect du travail préférez-vous? Travailler à l’extérieur. Je m’imagine difficilement assis à un bureau de neuf à cinq. Quelles sont les difficultés liées à votre travail? Contrairement à ce que plusieurs personnes pourraient penser, ce n’est pas le froid, mais plutôt les chaleurs extrêmes. http://click.xydo.com/toolbar_view/3468/12/839?e=W1VOSVFVRV0=

Entrevue avec un maître électricien: «Il y en a pour tous les goûts» L’électricité est un domaine assez large qui permet de toucher à plusieurs métiers.  Patrick Auger, tout comme son père Yvon, est maître électricien. Il nous en dit plus sur sa profession. Pourquoi avez-vous choisi de travailler dans le domaine de l’électricité? Comme j’ai la chance d’avoir un père entrepreneur dans l’électricité, j’ai passé quelques étés à travailler comme apprenti au sein de son entreprise. Une fois mon secondaire 5 terminé, comme je ne savais pas où aller, j’ai commencé à temps plein avec lui. Je me suis ensuite inscrit pour un DEP en électricité à l’École des métiers de la construction. Comment êtes-vous devenu maître électricien? J’ai décidé de devenir maître électricien sept ou huit ans après l’obtention de mon diplôme. Être apprenti se résume à suivre les directives tandis que c’est l’électricien, qui prend les décisions quant à la meilleure manière de faire le travail. Être maître électricien, c’est une chose complètement différente, puisqu’il faut faire des soumissions et essayer d’obtenir des contrats. Quels aspects de votre travail préférez-vous? Il faut aimer bouger, car c’est rare que nous soyons plus de deux semaines au même endroit. C’est ça qui est passionnant! Quels sont les points négatifs liés à votre profession? On sait quand ça commence, mais on ne sait pas quand ça finit! Comme électricien, si une urgence survient en fin de journée, on ne part pas avant que ça soit réparé. Comme maître électricien, C’est différent, puisqu’on est amené à faire différentes choses, comme apporter le matériel sur les chantiers, faire un peu de relations publiques ou encore régler des détails dans certains dossiers… Ça arrive donc souvent que l’on travaille sur des estimés le soir. À la différence des électriciens, nos heures supplémentaires ne sont pas payées. 57000$ En 2010, selon la CCQ, le Québec comptait 14 758 électriciens, dont 154 étaient des femmes. Les salaires annuels varient de 20 000 $ pour un apprenti, à plus de 57 000 $ pour un compagnon ayant effectué au moins 500 heures de travail. Quelles qualités doit-on posséder pour travailler dans ce domaine? Il faut être capable de travailler en équipe. La flexibilité et l’entregent sont aussi deux qualités qu’il faut avoir pour réussir dans le métier! Quels conseils donneriez-vous aux jeunes qui désirent se tourner vers cette profession? L’électricité est un domaine assez large. On peut s’orienter vers plusieurs métiers, comme ingénieur, contremaître ou encore électricien et maître électricien. On peut également choisir de travailler dans le résidentiel ou le commercial, ou même sur de gros chantiers, comme ceux des hôpitaux. Il y en a pour tous les goûts!  http://journalmetro.com/plus/carrieres/384935/entrevue-avec-un-maitre-electricien-il-y-en-a-pour-tous-les-gouts/#

Port de signes religieux: la carte des interdictions européennes Un monde sépare la Turquie, où les musulmans forment 96 % de la population, de la Suède, où à peine 3,4 % des citoyens se réclament de l'islam. Un peu perdu dans le débat entourant la charte québécoise des valeurs? Pour mieux vous y retrouver, Le Soleil vous propose un résumé de la situation dans neuf pays européens. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/societe/201310/11/01-4699123-port-de-signes-religieux-la-carte-des-interdictions-europeennes.php

Collégial
Portrait: Chantal Hébert, technicienne de laboratoire chez Danone. Chantal Hébert travaille comme technicienne de laboratoire chez Danone depuis 1996. http://affaires.lapresse.ca/cv/technologues/201310/21/01-4701955-portrait-chantal-hebert-technicienne-de-laboratoire-chez-danone.php

Faut le dire - Des fantômes pour sensibiliser les étudiants des cégeps La Société de l'assurance automobile du Québec mène une activité de sensibilisation dans une vingtaine de cégeps pour rappeler aux étudiants les conséquences de la conduite à risque. Cette activité pour le moins surprenante fait appel à un écran trois dimensions. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Octobre2013/24/c6819.html Une vidéo de l'activité peut être consultée sur le site Web http://youtu.be/zgRWYcz9xvA

Six programmes abolis, cinq revus à La Cité collégiale La Cité collégiale suspendra six programmes en plus d'amorcer une modification en profondeur de cinq autres formations, dans le cadre de son exercice de révision de la carte de programme en cours à l'heure actuelle, qui prévoit par ailleurs l'ajout de neuf nouveaux programmes, a appris LeDroit. Ces changements, annoncés jeudi matin au personnel du collège francophone d'Ottawa, font partie d'un train de mesures prévu par la Cité afin de transformer et ajuster l'offre des programmes afin de mieux répondre aux besoins du marché du travail. «À l'aube de ses 25 années d'existence, La Cité collégiale reconnaît l'importance de jeter un regard critique sur l'ensemble de sa programmation et de ses services», souligne Linda Cloutier, la vice-présidente à l'enseignement, dans une note de service dont LeDroit a obtenu copie. La révision de la carte des programmes, qui a débuté en 2012-2013, comprend quatre phases et se terminera en 2015-2016. Dans le cadre de la phase II entamée cette année, six programmes - travail en chantier résidentiel, techniques de la mécanique, fabrication de prototypes et usinage, technologie de l'information (réseaux informatiques), techniques d'aménagement de la faune, postproduction télévisuelle et mécanicien-monteur industriel - sont suspendus jusqu'à nouvel ordre. De plus, cinq programmes seront révisés en profondeur afin d'accroître leur pertinence, selon Mme Cloutier. Les formations touchées sont les troncs communs des programmes d'hôtellerie et de sécurité, ainsi que les programmes généraux d'arts et sciences, d'études présciences de la santé et d'études prétechnologie/prémétiers. En outre, La Cité collégiale prévoit modifier tous ses cursus «dans le but d'améliorer la pertinence des programmes et leur conformité aux exigences ministérielles». Cette mesure touchera notamment les cours de langues, les cours de formation générale et, s'il y a lieu, les cours de spécialisation. Le collège entend également développer neuf nouveaux programmes, sujets à l'approbation du ministère de la Formation et des Collèges et Universités, dont des formations d'assistant en pharmacie, en rénovation résidentielle, d'intégration communautaire et de jeu d'acteur pour le cinéma et la télévision www.lapresse.ca/le-droit/actualites/education/201310/17/01-4700640-six-programmes-abolis-cinq-revus-a-la-cite-collegiale.php

Le couperet tombe à La Cité collégiale
La Cité collégiale indique qu'elle offrait beaucoup plus de cours de langue que ce qu'exigent les normes ministérielles ontariennes. La Cité collégiale met la hache dans ses cours de langue française. Le collège a décidé de couper de moitié le nombre de cours de français obligatoires dans la plupart de ses programmes, selon un document interne dont LeDroit a obtenu copie. La très grande majorité des programmes compteront donc autant de cours d'anglais langue seconde que de cours de français, soit deux. Pour décrocher son diplôme, l'étudiant devra donc terminer avec succès un cours de français "générique", ainsi qu'un autre cours incorporant des notions liées à son programme. Quant aux cours d'anglais, il s'agit de «deux cours génériques, incluant la terminologie spécifique au domaine d'études». Les nouveaux cursus entreront en vigueur en septembre 2014. Les quatre cours de français obligatoires actuels visent à améliorer les compétences de l'élève dans la rédaction de textes informatifs, de textes argumentatifs, dans la présentation orale et dans la synthèse d'information. La porte-parole de La Cité collégiale, Mona Fortier, défend les nouveaux cursus en soulignant que le collège «offrait beaucoup plus de cours de langue que ce qui était requis par les normes ministérielles». «On peut dire qu'on diminue (le nombre de cours de français), mais on revient à certaines normes, explique-t-elle. On a remarqué qu'on offrait plus de cours de langue et de formation générale que d'autres collèges. [...] Parce que les autres cours sont offerts en français, l'apprentissage de la langue se fait aussi dans ces cours.» La refonte des cursus permet toutefois «l'ajout possible d'autres cours de langues» pour les programmes dont la maîtrise du français est essentielle, comme le journalisme, les relations publiques et la radiodiffusion. La Cité collégiale est en pleine révision de ses programmes. Dans le cadre de ce chantier, qui se terminera en 2015-2016, six cursus seront abolis, cinq seront revus en profondeur et neuf seront créés. Le collège offre actuellement un total de 93 programmes. Mme Fortier a été incapable d'expliquer par quoi seront remplacées les heures autrefois dédiées à l'enseignement du français. Elle précise que la refonte des programmes a entre autres été réalisée en collaboration avec des acteurs du marché de l'emploi. «Il y a des besoins qui ont été exprimés (par les employeurs)", souligne-t-elle. L'enseignement du français à La Cité collégiale a subi d'importantes réformes dans la dernière année, non sans heurts. La décision du collège de fermer son école de langue, le Centre d'apprentissage linguistique (CAL), en 2012, a provoqué l'ire de nombreux professeurs, qui ont craint une dégringolade de la qualité de l'enseignement. Un grief demandant le rétablissement du CAL est d'ailleurs en cours. «C'était la première mise à niveau en terme d'organisation, soutient Mme Fortier. On voulait faire ça pour qu'on puisse augmenter la collaboration entre les professeurs de langue et les équipes et les professeurs dans les programmes.» www.lapresse.ca/le-droit/actualites/education/201310/28/01-4704450-le-couperet-tombe-a-la-cite-collegiale.php

Bientôt un programme en cinéma Web au Campus des Îles-de-la-Madeleine. Groupe Collegia offrira la formation Conception et réalisation de films Web au Campus des Îles-de-la-Madeleine à compter de janvier 2014. Ce programme de l’École des métiers du cinéma et de la vidéo du Cégep de Rivière-du-Loup vise la formation de concepteurs et de réalisateurs de films, de clips et de publicités pour le Web. D’une durée de cinq mois, le programme Conception et réalisation de films Web permettra, entre autres, à l’étudiant d’affiner sa compréhension des communications et des médias, de scénariser des films, de se familiariser avec le tournage, le montage, de créer des effets spéciaux et de développer ses propres outils de promotion. Ce programme, tout à fait unique au Québec, axé sur la maîtrise des techniques et du langage de la vidéo, vise la formation de personnes désireuses de s’inscrire dans le milieu professionnel de la production Web, ou de personnes voulant créer des films promotionnels pour leur propre entreprise. Ce programme s’adresse bien sûr à des gens intéressés par le monde des arts, des communications, de la publicité, du cinéma et de la vidéo. Une soirée d’information sur cette formation se déroulera le mercredi 30 octobre, à 19 h, au Campus des ÎIes-de-la-Madeleine, en présence de monsieur Pierre Lesage, responsable des programmes de l’École des métiers du cinéma et de la vidéo. Pour plus d’information sur le programme Conception et réalisation de films Web, consulter le site Web de l’École des métiers du cinéma et de la vidéo : www.ecolemetierscinema.com

Les enseignants du Cégep accentuent la pression

Toujours confrontés à une possible baisse de salaire, les professeurs du Cégep de Sherbrooke augmentent les moyens de pression.Lors d'un regroupement la semaine dernière, les 46 syndicats de la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ) ont décidé d'une escalade des moyens de pression, puisque selon eux le Conseil du trésor « s'entête» à ne pas reconnaître l'ensemble des tâches des enseignants du réseau collégial dans l'évaluation de la relativité salariale. www.lapresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201310/25/01-4703584-les-enseignants-du-cegep-accentuent-la-pression.php

Universitaire
Rehaussement de la formation de la relève infirmière - L'OIIQ presse le gouvernement du Québec de prendre une decision. L'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) demande au gouvernement du Québec de fixer, d'ici au mois de décembre 2013, la norme d'entrée dans la profession infirmière au DEC-BAC ou au baccalauréat, qu'il a instamment demandée dans son mémoire déposé à l'Office des professions du Québec (OPQ), en juin 2012. Les 900 délégués réunis en assemblée générale le 28 octobre à Québec ont donné un appui massif à la démarche de l'OIIQ. « Le gouvernement du Québec a tout en main pour donner une suite positive et rapide à notre demande », déclare Lucie Tremblay, présidente-directrice générale de l'OIIQ. « Il s'agit d'une décision politique qui exige un certain courage, semble-t-il, mais il est certain qu'elle sera décisive pour les patients et pour la transformation du système de santé », ajoute-t-elle. « Pourquoi la formation pour accéder à la profession infirmière compte-t-elle deux ans de moins ici que dans toutes les autres provinces? Pourquoi les patients n'auraient-ils pas droit à des soins donnés par une relève infirmière formée comme dans le reste du Canada? demande la présidente de l'OIIQ. Il s'agit d'une forme d'iniquité puisque les patients souffrent des mêmes maladies et des mêmes problèmes de santé qu'ils résident en Ontario, au Nouveau-Brunswick, à Terre-Neuve, ou au Québec. » Partout où la formation infirmière a été rehaussée, l'attractivité des études en sciences infirmières a augmenté. C'est ce que l'on a observé dans les autres provinces et dans d'autres pays comme la Suisse romande. « Il est vrai, déclare Lucie Tremblay, que le Québec a un système d'éducation particulier et nous le respectons. À preuve, l'OIIQ propose le maintien du DEC-BAC comme cheminement et il en fait la promotion depuis de nombreuses années ». www.newswire.ca/fr/story/1250079/rehaussement-de-la-formation-de-la-releve-infirmiere-l-oiiq-presse-le-gouvernement-du-quebec-de-prendre-une-decision

Choisir la profession infirmière - Joey Scarpellino, porte-parole pour la relève infirmière. L'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) lance sa campagne annuelle de promotion pour s'assurer d'une relève infirmière auprès des jeunes de 15 à 18 ans, qui réfléchissent au choix de leur carrière. Joey Scarpellino, vedette jeunesse bien connue pour son rôle dans l'émission Les Parent, est le porte-parole de cette campagne, qui se déroulera d'octobre à mars. Depuis 2000, l'OIIQ s'investit dans des campagnes de promotion qui ont toujours porté leurs fruits. En effet, dans les années qui ont suivi ces campagnes, on a remarqué que les inscriptions dans les programmes de formation infirmière ont atteint des sommets. Et l'attractivité de la profession infirmière se maintient depuis. Les « champions » de Joey : une série Web à suivre sur https://www.facebook.com/ChoisirProfessionInfirmiere  Surveillez, notamment, la minisérie Web accessible sur une page Facebook dédiée, mettant en vedette Joey Scarpellino et ses « champions ». Ces « champions » vivront des mésaventures où l'expertise des infirmières et infirmiers sera mise à profit pour les aider à se sortir de situations surprenantes. « Ces professionnels de la santé font une vraie différence dans la vie des gens », affirme Joey Scarpellino. Joey Scarpellino sera présent au kiosque de l'OIIQ au Salon national de l'éducation de Montréal, les 17 et 18 octobre, de 10 h à 13 h et au Salon Carrière Formation de Québec, les 24 et 25 octobre, de 10 h à 13 h, pour promouvoir la profession auprès des jeunes. Ces derniers pourront discuter avec des infirmières et infirmiers et ils auront la chance de se faire photographier avec Joey. Ils pourront aussi repartir avec leur souvenir. La profession infirmière : de plus en plus populaire auprès des jeunes. Rares sont les professions qui proposent autant de choix. La profession infirmière offre plusieurs possibilités qui permettent d'adapter sa carrière à ses goûts et à ses intérêts. Elle permet aussi de travailler auprès de clientèles variées et offre une grande diversité de domaines de pratique et d'environnements de travail. « La profession infirmière est un choix judicieux pour la relève. La profession jouit d'un taux de placement de 100 % et le taux de rétention est de 92 % après cinq ans. Depuis deux ans, l'Ordre délivre plus de 3 000 permis par année, un record depuis la fin des années 1970 », a déclaré la présidente-directrice générale de l'OIIQ, Lucie Tremblay. www.oiiq.org   Découvrez la profession infirmière : infirmière clinicienne en soins à domicile La profession infirmière : un univers à découvrir Découvrez quel domaine de pratique correspond le plus à votre personnalité et à vos aspirations! Julie Casavecchia est infirmière clinicienne en soutien à domicile au CLSC de Verdun http://vimeo.com/76060734

Frédérick Carle, avocat criminaliste
Frédérick Carle, avocat criminaliste à son compte, était jusqu'à récemment président de l'Association du Jeune Barreau de Montréal. Frédérick Carle, avocat criminaliste à son compte, était jusqu'à récemment président de l'Association du Jeune Barreau de Montréal. http://affaires.lapresse.ca/cv/services-juridiques/201310/15/01-4699833-frederick-carle-avocat-criminaliste.php

Se former… et rester pauvre
Les jeunes évitent trop souvent les cours de sciences et de mathématiques au secondaire, ce qui leur ferme des portes plus tard.  Un rapport récent de la Banque canadienne impériale de commerce révèle que les étudiants canadiens évitent souvent les études universitaires qui offrent les meilleures possibilités de revenus. En effet, les étudiants sont de plus en plus nombreux à choisir des formations en sciences sociales ou en sciences humaines plutôt qu’en génie ou en informatique. Depuis 2007, le nombre de jeunes qui fréquentent le baccalauréat a augmenté de 25 % au Canada, Or, les inscriptions en sciences sociales et humaines représentent plus de 40 % de cette augmentation. En comparaison, les nouvelles inscriptions en génie n’ont augmenté que de 8 % alors qu’elles ont  diminué en informatique et en mathématiques, d’environ 5 %. Toujours selon le même rapport,  le revenu des diplômés des sciences sociales et humaines est souvent inférieur à la médiane des salaires pour l’ensemble des travailleurs (environ 900$ par semaine). En 2006, c’était  le cas de 40 % à 45 % d’entre eux et de 35 % de tous les diplômés universitaires. Si on se sert de ces pourcentages comme un indice de la valeur du retour sur l’investissement (ROI) en formation, c’est la pire performance des pays de l’OCDE. Les diplômés du génie et de l’administration expérimentent un bien meilleur ROI. De 70 % à 80 % d’entre eux ont des salaires supérieurs à cette médiane. Le rapport ne vient au fond que confirmer ce qu’on savait déjà, c’est-à-dire que le domaine d’études a un impact important sur le revenu postérieur. Il pose aussi la question : pourquoi alors les étudiants continuent-ils à s’inscrire à des formations qui leur coûtent cher, mais ne rapportent pas beaucoup? Mon expérience avec les jeunes me permet d’identifier trois raisons. Les formations qui présentent de bonnes perspectives salariales ont très souvent des exigences spécifiques et beaucoup de jeunes ne les ont pas complétées durant leurs études au secondaire ou au cégep. Particulièrement le fait que les jeunes évitent trop souvent les cours de sciences et de mathématiques, ce qui leur ferme des portes. Ensuite, le contingentement vient limiter les possibilités des jeunes. De façon directe, cela limite le nombre de places disponibles dans les programmes les plus prometteurs. De façon plus indirecte, un certain nombre de jeunes ont tendance à se disqualifier de ces programmes, parce qu’ils ne se croient pas capables d’obtenir les notes nécessaires pour décrocher une de ces places. Finalement, l’attrait de l’université est fort, de telle sorte que bien des jeunes préfèreront s’inscrire en sciences sociales lorsqu’ils ne peuvent rencontrer les exigences d’un autre programme universitaire au lieu de considérer des options plus prometteuses en formation technique ou professionnelle. Les jeunes n’évitent donc pas les formations qui conduiront à de meilleurs salaires. Dans leur désir de fréquenter l’université, ils ne font que choisir les formations au sein desquelles ils ont une chance d’être admis, considérant leur parcours scolaire antérieur. http://journalmetro.com/opinions/de-bon-conseil/387316/se-former-et-rester-pauvre/

Pharmaciens dans les établissements de santé : Le recours aux pharmaciens dépanneurs a augmenté de 17 %. L'Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (A.P.E.S.) constate une croissance de l'ordre de 17 % du recours aux services de pharmaciens dépanneurs dans le réseau de la santé depuis l'an dernier. L'utilisation, à grands frais, des services de dépannage est passée de 8 650 jours à 10 152 jours entre les exercices 2011-2012 et 2012-2013. Ce constat ressort de l'enquête annuelle 2013 de l'A.P.E.S. auprès des départements de pharmacie des établissements de santé du Québec. L'A.P.E.S. estime le coût de ces services à un minimum de 15 millions de dollars, une somme qui permettrait d'embaucher jusqu'à 150 pharmaciens à temps plein. Dans les établissements qui ont répondu à l'enquête, on compte actuellement plus de 288 postes de pharmaciens non comblés, soit 23 % des 1265 postes autorisés. « Après une pause en 2011-2012, l'accroissement du dépannage a repris de plus belle. C'est la dérive prévisible dans laquelle s'enfonce la pire pénurie de professionnels du réseau de la santé. Pour renverser la vapeur, il faut une action concertée de tous les acteurs afin d'attirer et de recruter suffisamment de pharmaciens, mais celle-ci tarde à se mettre en place », a déploré le président de l'A.P.E.S., le pharmacien François Paradis. www.guidesanteenligne.com/detail_news.php?ID=455421&cat=;28

Sur la route de Romy Vaugeois à Beijing, en Chine. Romy en camping à la Grande Muraille de Chine. Diplômée à la maîtrise en administration en 2011 et présidente du Club des diplômés en Chine, Romy Vaugeois habite la ville de Beijing depuis plus de 4 ans. Avant même de s’y établir, Romy avait déjà visité le pays à quelques reprises. Elle y a d’ailleurs séjourné dans le cadre de son baccalauréat en management international à l’Université McGill pendant un été et elle y est retournée une année complète dans le cadre de son MBA à l’Université Laval. Son adaptation à la culture chinoise s’est donc faite graduellement. La culture québécoise est bien sûr très différente de la culture chinoise. D’abord la gastronomie, on ne mange pas la même chose pour déjeuner à Beijing qu’à Québec. On y mange plutôt du riz que des rôties au beurre d’arachide! La diplômée explique que même si la nourriture est bien différente, elle y trouve son compte et apprécie cette gastronomie. Avec le rythme effréné de Beijing, les repas sont davantage pris au restaurant qu’à la maison. « Parmi tous mes amis, je suis celle qui cuisine le plus! Mais avec peu de temps libre dans une journée, il est plus facile et moins cher d’aller au restaurant », ajoute-t-elle. www.adul.ulaval.ca/sgc/site/adul/pid/21506 

Fins limiers des chiffres. Détournements de fonds, fraudes, crimes économiques, litiges financiers et commerciaux… Rien n’échappe à la vigilance des juricomptables, ces Sherlock Holmes modernes du monde des affaires. Il y a quelques années, Jonathan Allard a passé de nombreuses nuits blanches à tenter de percer les secrets de Vincent Lacroix, auteur de la fraude de 115 millions de dollars dans la tristement célèbre affaire Norbourg.  «Pendant six mois, en 2005, j’ai passé au peigne fin les contenus de centaines de boîtes de documents financiers provenant de la firme Norbourg. Pour comprendre comment la fraude avait eu lieu, il a fallu mettre à jour des processus extrêmement complexes de camouflage et de transferts de fonds à l’intérieur de Norbourg», raconte Jonathan Allard, comptable professionnel agréé expert en juricomptabilité (CPA, CA, CA • EJC) et directeur chez Navigant Conseil, une firme spécialisée en juricomptabilité chargée d’enquêter sur cette affaire. www.jobboom.com/carriere/fins-limiers-des-chiffres/ 

Documentation
Cursus en ligne www.cursusenligne.com Il faut prévoir environ 20 minutes pour répondre au questionnaire (nécessite un code d’accès). Au terme de cette démarche, vous aurez la possibilité d’imprimer votre profil Cursus. Celui-ci consiste en un dossier personnalisé comprenant jusqu'à 5 fiche-synthèses décrivant les programmes d'études qui vous intéressent le plus. Exemple de profil www.cursusenligne.com/profil/id/36 Ce code est donné aux établissements (écoles ou organismes) abonnés au questionnaire. Informez-vous auprès du service d’orientation et d’information scolaire et professionnelle pour connaître ce code d’accès.

Une vidéo sur l’intimidation fait jaser au Collège de L’Assomption. Le phénomène des pages «Spotted» agace les milieux scolaires. À la Commission scolaire des Affluents, le personnel de soutien commence à être dépassé face à la cyberintimidation, surtout depuis que les pages de type «Spotted» ont fait leur apparition sur Facebook. www.hebdosregionaux.ca/lanaudiere/2013/10/30/une-video-sur-lintimidation-fait-jaser-au-college-de-lassomption


LinkedIn est un outil de recrutement de plus en plus utilisé par les entreprises. Le groupe EMPLOIS | Réseau des entreprises pour l'intégration des personnes handicapées du CAMO PH vise à : faciliter le lien entre les chercheurs d'emploi en situation de handicap et les employeurs membres du Réseau des entreprises pour l'intégration des personnes handicapées; créer un bassin de talents et de recruteurs; favoriser le réseautage professionnel par le biais d’affichage de postes, de discussions entre les membres, d’appels à tous, etc.; permettre aux recruteurs d’effectuer des recherches parmi les compétences des membres en lien avec un poste donné. Caractéristiques du groupe Le groupe est fermé : les affichages, les échanges et les discussions sont pour les membres seulement et seuls ces derniers peuvent afficher des postes, proposer des discussions, faire des commentaires et participer au groupe. Pour devenir membre, il faut être approuvé par l'administrateur (CAMO PH). Les demandes d'adhésion acceptées : Les chercheurs d'emploi en situation de handicap; Les employeurs membres du Réseau des entreprises pour l'intégration des personnes handicapées. Éric Daigle, conseiller à l'information & aux communications CAMO pour personnes handicapées e.daigle@camo.qc.ca www.camo.qc.ca

C’est avec plaisir que je vous annonce la tenue de formations supplémentaires Optimiser sa pratique de counseling de carrière avec l’ACT. Cette formation explore comment la perspective et les techniques de l’ACT peuvent aider  les clients en orientation, en transition de carrière, en insertion et en réadaptation professionnelles à se donner une vie personnelle et professionnelle riche et pleine de sens. Elle propose une grille d’analyse et un cadre conceptuel qui apportent un éclairage novateur sur les difficultés reliées à la carrière. La thérapie d’acceptation et d’engagement (l’ACT) fait partie des thérapies cognitives et comportementales de la troisième vague. Vous trouverez en pièce jointe https://drive.google.com/file/d/0B-PdZvScjiXTZkU5TV9fa015Xzg/edit?usp=sharing  un document descriptif incluant le formulaire d’inscription. Pour informations supplémentaires : Colette Charpentier, c.o. - colette.charpentier@axion.ca Plus d’informations sur les thérapies de la 3e vague : http://www.ordrepsy.qc.ca/pdf/Psy_Qc_Novembre2009_Dossier_01_Dionne.pdf Plus d’informations sur l’ACT : http://www.psychomedia.qc.ca/psychotherapie/qu-est-ce-que-la-therapie-d-acceptation-et-d-engagement  et http://contextualscience.org/0_act_en_quelques_mots Québec - Jeudi 6 mars et vendredi 7 mars 2014 – 8 h 30 à 17 h 00 Montréal - Jeudi 17 avril et vendredi 18 avril 2014 – 8 h 30 à 17 h 00

Coopération internationale : un métier http://cooperation.courtdujour.ch

Insomnie : une thérapie psychologique sur Internet est efficace. Une thérapie cognitivo-comportementale automatisée délivrée sur Internet s'est avérée efficace pour le traitement de l'insomnie et l'amélioreration des symptômes qui accompagnent souvent l'insomnie tels que la dépression, l'anxiété et la fatigue, dans une étude publiée dans Journal of Clinical Psychology. www.psychomedia.qc.ca/sommeil/2013-10-17/insomnie-therapie-en-ligne

Avant de les traiter de «folles»...
Selon Statistique Canada, il y avait 108 000 musulmans au Québec en 2001, et on en a accueilli 24 340 entre 2000 et 2006. Tout ça, pour une population de 7,1 millions de personnes. Les Québécois veulent des immigrants, mais à la condition qu'ils leur ressemblent: francophones, catholiques pas trop pratiquants, et bien éduqués. www.lapresse.ca/le-soleil/opinions/chroniqueurs/201310/16/01-4700361-avant-de-les-traiter-de-folles.php

Les préjugés contre les athées diminuent quand les gens apprennent à quel point ils sont nombreux www.psychomedia.qc.ca/religion/2013-10-19/lien-prejuges-contre-les-athees-connaissance-de-la-prevalence

Progression de l'athéisme dans le monde : statistiques L'athéisme est en progression dans le monde selon des sondages de la firme Win-Gallup International réalisés en 2007 et en 2012. Dans le sondage de 2012, réalisé auprès de 50.000 personnes de 57 pays à travers le monde (sélectionnées au hasard afin de constituer des échantillons représentatifs des populations), 59% se disaient religieux, 23% non religieux, 13% athées et 5% ne savaient pas. La question posée était la suivante: Indépendamment du fait que vous assistiez à un lieu de culte ou non, diriez-vous que vous êtes une personne religieuse, non religieuse ou athée convaincue? www.psychomedia.qc.ca/religion/2013-10-27/atheisme-religiosite-statistiques

  

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À noter à votre agenda

C'est officiel: l'OCCOQ recevra le Congrès mondial de l'Association internationale d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec du 4 au 6 juin 2014. L'ACOC sera au rendez-vous ! Sur le site de l'Ordre  les frais d'inscription le Site du Congrès international 2014 Aperçu du programme et Conférences plénières
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Le nouveau Conseil exécutif et les Comités
Partenaires du Xe Congrès 
de l'ACOC à l'UQAT

En 2012-2013, nous avons franchi le cap des
100 000 visites du Bulletin (129 000 novembre 2013) 
et 500 000 du site ACOC (598 000 novembre 2013)

Bruno Tremblay, c.o. conseiller aux communications de l'ACOC acocinfo@gmail.com

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