Pour s’inscrire au 6e Congrès de l’ACOC en partenariat avec HEC Montréal (30 mai au 1er juin 2007), allez à la page du Congrès 2007 www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=950 pour consulter le Programme (ainsi que la description des conférences et suggestions d'hébergement) et compléter le Formulaire d’inscription. La date limite pour s'inscrire au congrès est le vendredi 18 mai. Nous sommes 458 membres inscrits au bulletin électronique de l’ACOC. Les 9 partenaires du 6e Congrès de l'ACOC (à jour le 25 avril):
Info collégiale
Échange de poste
J'occupe un poste à temps pleins de c.o. et d'aide pédagogique individuel au cégep de Matane. Ma convention collective CSQ me permet d'échanger mon poste pour un autre poste dans une autre institution (Article 5-11.01). Si vous avez des intérêts pour travailler dans la région de Matane, communiquez avec moi. Je suis ouvert à toute sorte de proposition. Je regarde plus particulièrement dans la région du Saguenay Lac Saint-Jean et dans la grande région de Québec. Claude Lalancette CO et API lalancettec@cgmatane.qc.ca
Cégep de Sherbrooke: transport en commun à faible coût
Dès l'automne prochain, les étudiants du Cégep de Sherbrooke auront accès au transport en commun à faible coût. L'institution et la Société de transport de Sherbrooke (STS) ont conclu une entente de trois ans à cet effet. Les étudiants inscrits à temps complet devront débourser 50$ par session pour une passe universelle de transport en commun. Un tel laissez-passer sera également disponible pour la période estivale au coût de 45$. Quant aux étudiants qui vivent à l'extérieur du territoire desservi par la STS et qui utilisent une voiture, ils se verront rembourser leur vignette de stationnement s'ils transportent au mois deux autres passagers. « On espère faire de l'utilisation du transport en commun une habitude de vie et retarder l'achat d'une première voiture », affirme la directrice générale du Cégep, Micheline Roy. Il s'agit de la deuxième entente du genre que la STS conclut avec une institution d'enseignement. Les étudiants de l'Université de Sherbrooke ont accès au transport en commun gratuitement depuis 2004. www.monemploi.com/ma_formation/actualites/cegep-sherbrooke-transport-commun-faible-cout-6851.html
Nouvelle passerelle DEC en Techniques de réadaptation physique continuum en physiothérapie
Entente exclusive entre le collège François-Xavier Garneau et l’Université Laval! Une nouvelle passerelle sera mise en place afin de favoriser un meilleur arrimage entre la formation en Techniques de réadaptation physique du collège François-Xavier Garneau et la nouvelle formation universitaire. « Avec l’implantation du continuum baccalauréat maîtrise en physiothérapie, prévue pour l’automne 2008, cette passerelle permettra de reconnaître 12 crédits universitaires du futur continuum aux détenteurs du DEC en Techniques de réadaptation physique du Collège. Le DEC devra avoir été obtenu dans les trois années précédant l’admission au continuum, laquelle s’effectuera selon les critères et les procédures en vigueur. Les détenteurs d’un DEC en Techniques de réadaptation qui ne répondront pas aux conditions spécifiées précédemment pourront obtenir une reconnaissance d’acquis. Les dossiers seront toutefois évalués sur une base individuelle par la direction de programme. », explique Hélène Moffet, directrice du programme de physiothérapie de l’Université Laval. « Nous sommes heureux de cette entente exclusive avec l’Université Laval, partenaire naturel compte tenu de la proximité géographique. Cette passerelle constitue un moyen favorisant l’accession au titre de physiothérapeute pour nos finissants. Sans compter que cette mesure s’ajoute aux places que réserve l’Université aux personnes diplômées en Techniques de réadaptation physique. », témoigne Stéphane Mailloux, responsable du programme au Collège. En septembre 2008, il est prévu que le programme de baccalauréat de l’Université Laval soit remplacé par un continuum baccalauréat maîtrise en physiothérapie. Ce rehaussement de la formation est conditionnel à l’obtention de l’approbation du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport. Pour plus d'information : Hélène Moffet, Ph.D., pht Directrice du programme de physiothérapie Université Laval rea@rea.ulaval.ca
Info universitaire
Campus satellite dans Lanaudière de la faculté de médecine de l'Université Laval : Une décision déconcertante! Le gouvernement du Québec s'apprête à annoncer la création d'un campus satellite de la faculté de médecine de l'Université Laval dans la région de Lanaudière. Cette initiative s'inscrit dans la mise en place des réseaux universitaires intégrés de soins de santé (RUIS), dont l'objectif est d'offrir des soins de santé et des services de formation sur les territoires désignés. Cette fois-ci, ce seront Joliette et Repentigny, qui en profiteront. Le vice-doyen de la faculté de médecine de l'Université de Montréal, le docteur François Lessard, confirme avoir été avisé de la décision du gouvernement, il y a un mois. Il admet avoir été étonné étant donné que Joliette fait partie intégrante du réseau de l'UDM. Or, la décision du ministère était, semble-t-il, irrévocable. En outre, selon le président de la Fédération des médecins spécialistes du Québec, Gaétan Barette le choix du lieu est incohérent. L'Université Laval devrait, dit-il, desservir prioritairement les régions de son territoire traditionnel, comme Rimouski et Rivière-du-Loup. Ainsi, il estime que l'Est du Québec perd une chance unique. www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/est-quebec/2007/04/27/002-satellite_medecine.asp
Un appareil prometteur en développement à l'UdeS
Une équipe de chercheurs de Sherbrooke pourrait bientôt associer son nom à une première mondiale en matière de lutte aux différentes détresses respiratoires sévères. Ce faisant, un nombre appréciable de vies pourraient être sauvées. Il y a en effet beaucoup d'optimisme du côté du laboratoire de génie mécanique de l'Université de Sherbrooke, avec le professeur Philippe Micheau en tête, face aux travaux en cours depuis plusieurs années, comme a pu le constater La Tribune. Il s'agit du projet Inolivent qui, sans être un secret d'État, n'a guère fait jaser sur la place publique jusqu'à maintenant. En tandem avec le néonatologiste Dr Hervé Walti, du CHUS, l'idée consiste à mettre au point un appareil différent de la technologie actuellement utilisée pour les cas graves de détresse respiratoire. Cela concerne autant le nouveau-né que l'adulte et l'aîné. www.cyberpresse.ca/article/20070423/CPACTUALITES/704230759/5206
S'exiler pour étudier la médecine
Montréalais d'origine, le Dr Bruce Garfield voulait être médecin. Il le voulait si fort qu'il s'est exilé dans les Caraïbes pour suivre sa formation après avoir été refusé dans les facultés de médecine du Québec. Et il n'est pas le seul. Environ 1500 Canadiens étudient actuellement la médecine à l'étranger, estime le Service canadien de jumelage pour les résidents (CARMS), un organisme à but non lucratif qui aide les futurs médecins dans leur démarche pour trouver un poste de résidence. L'organisme a mené un sondage auprès de 526 Canadiens qui étudient la médecine ailleurs qu'au Canada et aux États-Unis. Près de 6 % d'entre eux sont des Québécois. Plus du tiers des répondants affirment s'être exilés parce qu'ils avaient été refusés par les facultés de médecine du Canada. Pourtant, 98 % d'entre eux espèrent revenir terminer leur formation au pays ou y travailler. Comme le Dr Garfield. Il a commencé ses études dans les années 90, au moment où les admissions en médecine étaient au plus bas au Québec. «La raison majeure de mon départ est que, malheureusement, je n'étais pas accepté ici», lance le médecin âgé de 36 ans. Refusé à l'Université McGill, il s'est tourné vers l'Université St. George, dans les Caraïbes. Les deux premières années de formation se donnent à Grenade, tandis que les troisième et quatrième années de médecine se font dans des hôpitaux américains. Le Dr Garfield a été affecté à l'Hôpital méthodiste de Brooklyn, à New York. Il y a aussi complété sa résidence, avant de se spécialiser en rhumatologie au Vermont. Il a dû s'exiler sept ans. «Quand j'étais à l'étranger, c'était très difficile de revenir au Canada. Je le savais, mais je voulais vraiment être médecin. Je m'étais dit que si je devais rester aux États-Unis, j'y resterais», lance-t-il aujourd'hui. Les règles ont été revues au fil des ans. Les examens, uniformisés à travers le Canada. À son retour, le Dr Garfield a réussi les examens du Conseil médical canadien et obtenu le permis de pratique délivré par le Collège des médecins du Québec. Il travaille aujourd'hui à l'hôpital Jean-Talon et dans des cliniques externes, en plus d'être secrétaire de l'Association des rhumatologues du Québec. Pour les étudiants en formation qui souhaitent revenir faire leur résidence au Canada, c'est beaucoup plus compliqué. «Le problème que nous avons avec ces étudiants, c'est que nous n'avons pas de garantie quant à la qualité de leur formation», explique le vice-doyen aux affaires médicales de l'Université de Montréal, le Dr Raymond Lalande. Outre les Caraïbes, les étudiants qui partent à l'extérieur optent souvent pour des universités en Irlande, en Pologne, en Europe de l'Est ou en Australie, indique le sondage mené par CARMS. La qualité des formations diffère. Il faut être prudent, note le Dr Nick Busing, président et directeur général de l'Association des facultés de médecine du Canada. «Pour ceux qui étudient en Irlande, nous avons une idée de leur niveau de formation, mais ailleurs, nous n'avons pas les moyens d'évaluer la scolarité.» Au Canada, 2500 étudiants sont acceptés en médecine chaque année. Les refus sont cinq fois plus élevés. L'Université McGill a reçu 1179 demandes d'admission en médecine cette année. Elle en a accepté 172. L'Université de Montréal a reçu 2038 demandes. Elle a retenu 259 candidatures. La faculté avait atteint sa capacité maximale avec 220 étudiants, mais l'ouverture d'un campus décentralisé à Trois-Rivières lui a permis d'en accueillir une trentaine d'autres. Même si les facultés ont augmenté le nombre d'admissions, pour tenter d'enrayer la pénurie de médecins, il n'y a pas assez de places pour tous les aspirants médecins. «Je ne suis pas surpris que les jeunes partent. Ça prouve que ces gens ont une telle volonté de devenir médecins que même devant un refus ici, ils sont prêts à payer pour aller ailleurs», lance le Dr Yves Lamontagne, président du Collège des médecins. Et ils paient cher. À l'Université St. George, il en coûte 37 000 $ US par année. Plusieurs des 300 Canadiens qui y sont inscrits en médecine - dont 16 Québécois - peuvent espérer obtenir une bourse. Mais elle ne couvre que 30 à 40% des frais. www.cyberpresse.ca/article/20070422/CPACTUALITES/704220514/5358
Les étudiants promettent «un automne chaud»
Les étudiants promettent «un automne chaud» au gouvernement de Jean Charest qui s’apprête à hausser les frais de scolarité dès la rentrée de septembre prochain. www.cyberpresse.ca/article/20070425/CPACTUALITES/70425106/5206
Nouveau certificat en gestion Développement international et action humanitaire à l’Université Laval
La Faculté des sciences de l’administration lance un nouveau certificat en développement international et action humanitaire pour l’automne 2007. Le certificat entend répondre aux besoins du futur gestionnaire qui a une préoccupation marquée pour les valeurs telles la générosité, l’équité, l’empathie, la tolérance et la justice. Ce nouveau programme s’adresse au titulaire d’un DEC ou l’équivalent ou au candidat adulte au sens reconnu par l’Université Laval. Le candidat doit aussi avoir acquis 30 crédits universitaires en administration ou un autre diplôme jumelé à une expérience professionnelle pertinente, être bilingue, avoir obtenu une promesse de stage interculturel humanitaire correspondant aux objectifs du cours Stage interculturel humanitaire (GIE-22848) ou obtenu un stage de Managers sans frontières, organisme associé au programme. Compte tenu de l’obligation de faire un stage sur le terrain, dans un pays en développement, la demande d’admission doit être accompagnée d’une lettre de motivation et d’un curriculum vitae. D’une durée de 3 sessions, le certificat a pour objectif d’amener l’étudiant à découvrir les réalités de la coopération internationale ou de l’action humanitaire en étant capable de participer effectivement à la gestion d’un projet. Il vise plus particulièrement à sensibiliser l’étudiant aux problématiques du sous-développement et à la gestion efficace d’un projet humanitaire dans des situations particulières : logistique tendue, ressources limitées, environnement hostile. Un stage obligatoire de 3 à 6 mois à l’étranger concrétise la théorie apprise pendant la formation. Le certificat comporte 24 crédits dont un choix de 4 cours à option et de cours sur mesure en gestion ou autres domaines tels géographie, communication, sciences des religions, sciences sociales, langues, déterminés par la direction du programme, ainsi qu’un stage obligatoire de 6 crédits, pour un total de 30 crédits. Ce programme accepte de nouveaux candidats aux sessions d’automne et d’hiver. Il est possible de s’inscrire dès maintenant à la session d’automne 2007. Élise Cormier Directrice du programme Elise.Cormier@ctb.ulaval.ca site www.mngsf.org
Certificat en coopération internationale
La Faculté de l'éducation permanente de l'Université de Montréal procédait aujourd'hui au lancement d'un certificat en Coopération internationale. Destiné aux personnes désireuses d'acquérir les connaissances et les habiletés nécessaires à l'exercice de leur rôle de coopérant ou de volontaire, ce programme tient lieu de complément à leur formation initiale et leur permet d'acquérir une formation spécifique reconnue pas les organismes voués à la coopération internationale. Le Certificat, une formation de premier cycle universitaire, prépare les étudiants à une expérience enrichissante sur les plans professionnel, social et culturel et leur permet d'acquérir un savoir-faire spécifique afin qu'ils puissent exercer un rôle de soutien et mieux comprendre les contextes dans lesquels s'inscrit la coopération internationale. Toutes les dimensions du programme ont été développées en étroite collaboration avec le Carrefour canadien international (CCI), le Centre canadien d'étude et de coopération internationale (CECI), le Canadian University Services Overseas (CUSO), Equiterre, Jeunesse Canada Monde, Oxfam-Québec et le Service d'assistance canadienne aux organismes (SACO / CESO). On peut obtenir plus de renseignements sur le Certificat en coopération internationale en s'adressant à la Faculté de l'éducation permanente www.fep.umontreal.ca/cooperation Renseignements: Louise Blanchette, Responsable de programme louise.blanchette@umontrela.ca
Ingénierie : Le courant passe à nouveau
Le génie traverse présentement une période faste avec un taux de chômage de 3,4 % seulement, ce qui est presque le plein emploi. Pour sa part, le génie électrique, qui regroupe 23 % des ingénieurs, a connu des hauts et des bas au cours des dernières années. " À la fin des années 90, les entreprises avaient de la difficulté à recruter des ingénieurs électriciens car tout le monde en voulait! Cependant, avec l'éclatement de la bulle technologique au début des années 2000 et les problèmes rencontrés par des entreprises comme Nortel, ce secteur du génie a été passablement malmené. D'importantes vagues de licenciements ont suivi et plusieurs ingénieurs se sont retrouvés sans emploi ", explique Lise Lauzon, gestionnaire du Service carrière chez Serviq, la corporation de services des ingénieurs du Québec. La situation tend toutefois à se replacer et les entreprises, notamment celles du secteur des produits électriques et électroniques, de même que les entreprises spécialisées dans les composantes d'ordinateurs, recommencent à embaucher. " Il ne faudra qu'une année ou deux avant que tout rentre dans l'ordre. Les affaires ont repris et les employeurs qui avaient dû supprimer de nombreux postes ont de nouveau besoin de personnel ", poursuit-elle. " Le génie requiert une formation de quatre ans. Aussi, quand un finissant du cégep décide de prendre cette voie, il choisit habituellement le type de génie qu'il aime, mais, souvent, il se base aussi sur la situation du marché. Le problème que nous constatons est alors le suivant : à la fin de cette formation, la situation peut avoir changé du tout au bout et les besoins des entreprises peuvent ne plus correspondre avec les qualifications de la main-d'œuvre disponible ", explique Radu Kaufman, directeur exécutif de Serviq qui suggère par conséquent aux futurs ingénieurs de choisir leur branche de génie d'abord en fonction de leurs intérêts. www.monemploi.com/mon_emploi/chronique/ingenierie-courant-passe-nouveau-6847.html
Projet de robotique à l'Université Laval: partenariat avec GM Canada
General Motors Canada s'associe à Human Augmentation Project, un projet de recherche en systèmes robotiques mené à la faculté des sciences et de génie de l'Université Laval. Grâce à une subvention de 3,1 M$ de GM et du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), Clément Gosselin, professeur et chercheur à la Faculté des sciences et de génie, travaillera à mettre au point de nouveaux types de robots qui peuvent interagir avec les humains et mener à plusieurs applications concrètes. Le projet profitera aussi à plusieurs étudiants. Au total, pendant cinq ans, plus de 15 étudiants, chercheurs et professionnels de recherche évolueront dans l'équipe de Clément Gosselin au sein du Laboratoire de robotique de l'Université Laval. www.monemploi.com/ma_formation/actualites/projet-robotique-universite-laval-partenariat-avec-6852.html
Pénurie d'arpenteurs-géomètres au Québec
Pour la première fois depuis la création de l'Ordre des arpenteurs-géomètres du Québec (OAGQ) voilà 125 ans, l'effectif de l'organisme est en baisse. L'an dernier, l'OAGQ a enregistré deux fois plus de départs à la retraite (30) que de nouvelles recrues au sein de son groupe (15). La pénurie d'arpenteurs-géomètres est directement liée à un manque de relève. La cohorte 2006 en sciences géomatiques de l'Université Laval comptait seulement 15 finissants alors que dans les années 1980, le nombre a grimpé à près d'une centaine. La rareté d'arpenteurs-géomètres résulte également du manque de main-d'oeuvre causée principalement par l'ampleur de la Réforme du cadastre du territoire québécois et par le dynamisme du marché de l'immobilier. Selon Pierre Tessier, président de l'OAGQ, la méconnaissance des multiples facettes de la profession pourrait expliquer la faible relève enregistrée à l'Ordre au cours des dernières années. Ainsi, l'avènement de l'informatique a complètement transformé la pratique et l'arpentage est désormais associé à la géomatique moderne. À titre d'exemple, même les endroits inaccessibles peuvent maintenant être cartographiés grâce à l'imagerie satellitaire et aux capteurs GPS. Cette science est très jeune et il y a beaucoup de place pour la relève. Mais peu importe la spécialité, arpentage foncier ou géomatique, le taux de placement est présentement de 100 % et la variété d'offres est impressionnante. De plus les conditions salariales sont excellentes. Selon un sondage auprès des membres de l'Ordre, la moyenne annuelle est de 85 000$. Pour devenir membre de l'Ordre des arpenteurs-géomètres du Québec, une personne doit obtenir un diplôme universitaire reconnu, réussir des examens d'admission et réaliser un stage de formation. Au Québec la formation est dispensée par le département des sciences géomatiques de l'Université Laval. www.monemploi.com/mon_emploi/actualites/penurie-arpenteurs-geometres-quebec-6848.html
Pavillon interdisciplinaire en santé à l'UQTR: les travaux commencent en mai Les pelles mécaniques se feront entendre dès le lendemain du congrès de l'ACFAS, en mai, sur les terrains de l'UQTR, alors que s'amorcera la construction du nouveau Pavillon interdisciplinaire en santé qui sera situé presque en face du CAPS. Cette construction de 9 millions $ de trois étages (incluant le sous-sol) regroupera les laboratoires des diverses disciplines offertes dans le secteur de la santé à l'UQTR dont les sciences infirmières, les sages-femmes, l'ergothérapie (qui démarrera en septembre 2008) et les salles d'apprentissage par problèmes de médecine. www.cyberpresse.ca/article/20070427/CPNOUVELLISTE/704270863/5052
Formation en cybercriminalié : un outil indispensable
Les policiers qui enquêtent sur un dossier de cybercriminalité ont maintenant accès à une formation spécialisée en la matière. Environ 250 personnes étaient réunies hier à l'École nationale de police du Québec à Nicolet afin de prendre part au troisième colloque sur la cybercriminalité. Pendant ce colloque, il a été question de la nature des crimes commis via Internet, des moyens technologiques pour les contrer et de formation. La SQ a rencontré l'École nationale de police et a contacté l'école Polytechnique de Montréal afin de monter un certificat en cyberenquête. Disponible depuis janvier, ce certificat offert à Québec et à Montréal fait le tour de tout ce que doit savoir un policier lorsqu'il fait face à un délit commis sur le web. www.cyberpresse.ca/article/20070427/CPNOUVELLISTE/704270876/5409 Lire aussi Débusquer les cybercriminels www.cyberpresse.ca/article/20070430/CPACTUALITES/704300576/1019
Nouveau baccalauréat en communication marketing à l’UQAM
L’UQAM offrira, à compter de septembre 2007, un programme de baccalauréat en communication marketing. Elle est la seule université québécoise à présenter un tel programme et à former des spécialistes dont la créativité, le sens des affaires et la vision stratégique leur permettront d’occuper des postes de choix dans ce domaine. On peut faire une demande d’admission à ce programme jusqu’au 1er mai 2007. Le baccalauréat en communication marketing de l’UQAM a été créé à l’initiative de l’Association des agences de publicité du Québec (AAPQ), dans l’objectif de préparer adéquatement la relève à œuvrer dans l’univers de la publicité en formant des professionnels ayant acquis une réflexion stratégique en communication marketing. Pour consulter la description du programme : www.faccom.uqam.ca/commarketing et www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=66631&B=1
Formation, documentation
Colloque de l'Association Dialogue collèges/universités Inc.
L’équipe de Dialogue collèges/universités est heureuse de vous présenter le programme préliminaire du colloque Dialogue 2007. Ce dernier se tiendra au Campus du Fort Saint-Jean les 12, 13 et 14 septembre prochain. Nous vous invitons à réserver dès maintenant ces dates à votre agenda et à transmettre cette invitation à vos collègues. D’ici la fin mai, vous recevrez le programme officiel du colloque Dialogue 2007 ainsi que les informations concernant l’inscription et l’hébergement. Pour vous mettre en appétit, voici le programme préliminaire ainsi que le thème du colloque Dialogue 2007 (disponible sur le site de l'ACOC www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=948) : Thèmes : L'avenir des partenariats entre les collèges et les universités Conférences : Regards sur les nouveaux défis que vivent nos institutions d’études supérieures Madame Carole Beaulieu Rédactrice en chef de la revue L’actualité L'arrimage des ordres d'enseignement professionnel et technique : les DEP-DEC, les parcours de formation en continuité et les DEC-BAC Madame Sylvie De Saedeleer, sociologue Panel : du collège à l’université : où les passerelles nous mèneront-elles ? Monsieur Pierre Chenard, registraire Université de Montréal, Madame Nicole Lafleur présidente de la Commission d'évaluation de l'enseignement collégial et Monsieur Christian Ragusich directeur de l’enseignement collégial MELS Débat : Les campus virtuels et l’internationalisation de l’éducation Monsieur Jean-François Comeau directeur des opérations informatiques Collège Lasalle, Madame Sophie Morin agente de recherche École nationale d’administration publique (ENAP) et Monsieur Claude Vaillancourt secrétaire générale d’ATTAC-Québec Les lendemains des contrats de performance universitaire Madame Michèle Beaudoin vice-présidente de la Fédération du personnel professionnel des universités et de la recherche La Cote R et Socrate : où en sommes-nous ? Monsieur Réjean Drolet agent de recherche CREPUQ, Madame Danielle Fleury registraire Université Laval et Madame France Myette registraire Université de Sherbrooke Informations et nouveautés universitaires Animatrice et animateur :Madame Jocelyne Boivin-Bérubé Responsable d’information et de promotion Université Laval et Monsieur Daniel Bizier c.o. Collège Édouard-Montpetit Au plaisir de vous rencontrer en septembre prochain. Bernard Pomerleau, président bpomerle@alcor.concordia.ca ou dialogue2005@concordia.ca
Mission Antarctique : conférence de M. Jean Lemire au Cégep de Sainte-Foy Le Cégep de Sainte-Foy invite Jean Lemire, biologiste et chef d'une mission scientifique réalisée sur le Sedna IV qui a parcouru l'an dernier l'Antarctique à prononcer une conférence le mercredi 2 mai à 12 h, à la Salle Albert-Rousseau. En septembre 2005, Jean Lemire et son équipe, à bord du Sedna IV, entreprend la plus importante mission scientifique et cinématographique de son histoire. Cette mission de 430 jours, appelée Mission Antarctique, se veut d’abord un voyage d’exploration pour aller constater les effets des changements climatiques sur le grand continent de glace, mais aussi une profonde réflexion sur les grands enjeux de notre société.Le chef de mission se confie dans une présentation haute en images. Les billets pour cette conférence sont offerts au grand public, au coût de 10 $. Les personnes intéressées doivent téléphoner au secrétariat du Service des activités socioculturelles et communautaires du Cégep de Sainte-Foy au (418) 659-6600, poste 3726.
Les grands rendez-vous du 75e Congrès de l'ACFAS
Du 7 au 11 mai, le campus de l'UQTR fourmillera d'activités savantes et résonnera des voix des plus grands chercheurs francophones partageant leur savoir. Mais sachez que le Congrès de l'ACFAS vous réserve aussi de grands rendez-vous socioculturels. http://entete.uqtr.ca/description.php?no_fiche=6455
Suède: baisse de 6% de l'obésité dans les écoles sans sucreries
www.cyberpresse.ca/article/20070423/CPACTUEL/70423127/1015
Nouveau-Brunswick - Publication d'une brochure sur la fessée comme moyen de discipliner les enfants Une nouvelle publication sur la fessée comme moyen de discipliner les enfants a été lancée par le Service public d'éducation et d'information juridiques du Nouveau-Brunswick (SPEIJ-NB). www.educationinfonet.com/nouvelle_detail.asp?ID=66545&B=1
Découverte d'une planète habitable
À vendre : planète neuve, à la taille et au climat comparables à la Terre. Probablement sans pollution industrielle. Pourrait nécessiter de la terraformation pour accroître son taux d'oxygène. Si intéressé, envoyer un message à environ 10 millions de kilomètres à gauche de l'étoile Gliese 581. Réponse d'ici 41 ans. www.cyberpresse.ca/article/20070425/CPSCIENCES/704250681
Mieux-être - L'ignorance des émotions
Ma réaction? L'ignorance des émotions ouvre la porte aux dérives, médicales, pharmaceutiques... et journalistiques, ai-je envie d'ajouter. Le très grand manque d'éducation émotionnelle induit une distorsion de la réalité et nous rend vulnérables à la médicalisation. Comme si la détresse était une maladie, et la tristesse, une dépression. On n'a plus le droit d'être triste? On ne fait plus la différence entre la tristesse et la déprime?
www.ledevoir.com/2007/04/28/140895.html?fe=891&fp=141330&fr=17238
Une suggestion de lecture d'Érick Beaulieu, c.o.www.erickbeaulieu-co.com/plus.html
ARTICLES SIGNÉS ÉRICK BEAULIEU, c.o. Le diplôme vs. le marché du travail (Jobboom) Prévention burnout (bulletin aux médias de l'OCCOPPQ) Le rôle du conseiller d'orientation (Orientaction) Conseiller d'orientation et marché du travail (Le Devoir) Approche renouvelée (Formation à l'OCCOPPQ) Évaluer les causes de l'indécision (Revue de l'OCCOPPQ) ENTREVUES RADIOPHONIQUES D'ÉRICK (mp3) Indécision (ChoqFM) Épuisement professionnel (ChoqFM) Burn-in (présentéisme) (Radio-Canada)
Avant d'imprimer, pensez à l'environnement.
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Guide sur l’admission universitaire Automne 2007 : www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915
Raymond Jean, c.o. gestionnaire du site www.acoc.info
Bruno Tremblay, c.o. secrétaire de l'ACOC ACOC@videotron.ca
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