08 juin 2010

V 8 No 29 : Le retour de la présidente

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin (672 membres)

Le soleil des feux de forêts
à L'Ancienne-Lorette le 31 mai 2010, 15:57:41

Section Nouvelles www.acoc.info
Nouveau baccalauréat en sciences biomédicales à l'Université Laval
Il est encore temps de faire une demande d'admission à l'université
Le retour de la présidente Hélène Trudeau au C.E. de l'ACOC

Aide pédagogique individuel / Concours No 10-11: PR-10 CÉGEP MARIE-VICTORIN Fin du concours Le jeudi 17 juin 2010 Régulier, Temps plein www.ameqenligne.com/detail_poste.asp?NoPoste=13778

Aide pédagogique (60%) Conseiller pédagogique (40%) CONCOURS NO 10-11 : PR-05 CÉGEP MARIE-VICTORIN Montréal Fin du concours Le jeudi 17 juin 2010 temps plein www.ameqenligne.com/detail_poste.asp?NoPoste=13772

Le Conseil supérieur de l'éducation du Québec a rendu public le 27 mai 2010 un avis intitulé Regards renouvelés sur la transition entre le secondaire et le collégial. Nous vous invitons à prendre connaissance de ceux-ci à l’adresse http://www.cse.gouv.qc.ca/

Collégial
Vers trois cégeps indépendants dans Lanaudière? Concertation du Cégep régional de Lanaudière sur un changement de gouvernance. Le Cégep régional de Lanaudière a dû trancher entre deux hypothèses : le maintien du modèle actuel de gouvernance du Cégep régional ou la création dans Lanaudière de trois cégeps autonomes avec la volonté de préserver certains acquis régionaux. Tenant compte des résultats de consultations faites dans le cadre du projet de loi 44, le conseil d’administration du Cégep régional adoptait la résolution de recommander à la ministre la création de trois cégeps autonomes à Joliette, L’Assomption et Terrebonne avec une volonté de préserver certains acquis régionaux. Le processus de consultation de l’Assemblée nationale sur la loi 44 se poursuit en commission parlementaire. La décision sans appel relève de l’Assemblée nationale. Advenant que la loi adoptée à l’Assemblée nationale prévoit la création de trois cégeps, le conseil a notamment résolu de recommander à la ministre de prévoir une période de transition approximative de deux ans et un budget pour mener à bien la transition entre l’adoption de la loi 44 et l’instauration formelle de trois cégeps. « Si la décision est prise, nous analyserons ce qui restera en commun, mais il est clair que la formation continue restera, ainsi que la coordination régionale des programmes d’éducation », précise M. Lachance. www.hebdorivenord.com/article-456796-Vers-trois-cegeps-independants-dans-Lanaudiere.html

Calendrier 2010-2011 du calcul des étalons par session de la CRC. 18 juin 2010. Calcul des étalons servant de base pour le calcul des CRC (cotes de rendement au collégial) des élèves. Calcul des étalons pour permettre le calcul de la CRC et de la moyenne pondérée des CRC. Les étalons sont calculés pour la première fois pour les cours du trimestre d'hiver 2010 et des cinq trimestres antérieurs. L'accessibilité de la CRC est le lundi matin suivant cette date (21 juin 2010). 1er octobre 2010. Calcul des étalons servant de base pour le calcul des CRC (cotes de rendement au collégial) des élèves. Calcul définitif des étalons pour permettre le calcul de la CRC et de la moyenne pondérée des CRC des élèves qui feront une demande d'admission à l'université pour le trimestre d'hiver 2011. Les étalons sont recalculés pour les cours du trimestre d'été 2010 et des cinq trimestres antérieurs. L'accessibilité de la CRC est le lundi matin suivant cette date (4 octobre 2010). 14 janvier 2011. Calcul des étalons servant de base pour le calcul des CRC (cotes de rendement au collégial) des élèves. Calcul provisoire des étalons pour permettre le calcul de la CRC et de la moyenne pondérée des CRC des élèves qui feront une demande d'admission à l'université pour le trimestre d'automne 2011. Les étalons sont calculés pour la première fois pour les cours du trimestre d'automne 2010 et ils sont mis à jour pour les cours des cinq trimestres antérieurs. L'accessibilité de la CRC est le lundi matin suivant cette date (17 janvier 2011). 4 février 2011. Calcul des étalons servant de base pour le calcul des CRC (cotes de rendement au collégial) des élèves. Calcul définitif des étalons pour permettre le calcul de la CRC et de la moyenne pondérée des CRC des élèves qui feront une demande d'admission à l'université pour le trimestre d'automne 2011. Les étalons sont recalculés pour les cours du trimestre d'automne 2010 et des cinq trimestres antérieurs. L'accessibilité de la CRC est le lundi matin suivant cette date (7 février 2011). 17 juin 2011. Calcul des étalons servant de base pour le calcul des CRC (cotes de rendement au collégial) des élèves. Calcul des étalons pour permettre le calcul de la CRC et de la moyenne pondérée des CRC. Les étalons sont calculés pour la première fois pour les cours du trimestre d'hiver 2011 et des cinq trimestres antérieurs. L'accessibilité de la CRC est le lundi matin suivant cette date (20 juin 2011).

1er colloque du Réseau intercollégial des intervenants psychosociaux - Un nouveau réseau pour mieux aider les jeunes des cégeps aux prises avec des difficultés d'ordre psychosocial. La Fédération des cégeps est heureuse d'annoncer le lancement du Réseau intercollégial des intervenants psychosociaux à l'occasion d'un premier colloque qui se déroule le 7 et 8 juin 2010, à Québec. Organisé en collaboration avec la Fédération des cégeps sous le thème "Ensemble, maintenir l'équilibre pour mieux intervenir", ce colloque réunira des intervenants œuvrant directement auprès des étudiants du collégial qui font face à une problématique psychosociale ou à de la détresse psychologique. "Certains jeunes vivent des problèmes complexes et les gens qui œuvrent tous les jours sur le terrain sont les mieux placés pour leur venir en aide. La création de ce réseau vient répondre au besoin des intervenants qui travaillent auprès de ces jeunes de briser l'isolement et d'échanger sur leurs pratiques", a indiqué Mme France Turgeon, directrice des services aux étudiants au Cégep de Sherbrooke et présidente du comité de travail sur la création du Réseau intercollégial des intervenants psychosociaux. "En mettant à profit les expertises et les expériences de chacun, le nouveau réseau permettra d'aborder de façon plus globale les différents aspects de la santé psychosociale des étudiants, en plus de favoriser les initiatives concertées en matière de sensibilisation, de prévention et d'intervention", a-t-elle ajouté. Le Réseau a pour mission de soutenir les intervenantes et les intervenants psychosociaux dans leur pratique auprès des étudiants du collégial aux prises avec des difficultés d'ordre psychosocial (santé mentale, suicide, troubles alimentaires, drogues, cyberdépendance, etc.). Il regroupe quelque 200 psychologues, psychoéducateurs, conseillers d'orientation, travailleurs sociaux, membres du personnel infirmier et autres intervenants de terrain travaillant dans les cégeps. www.lescegeps.com/nouvelles/2010-06-07_1er_colloque_du_reseau_intercollegial_des_intervenants_psychosociaux

La zoothérapie enseignée au cégep www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2006061934 Attestations d'études collégiales à temps partiel Stratégies d'intervention en zoothérapie www.cegeplapocatiere.qc.ca/MyScriptorWeb/scripto.asp?ps_id=95151&resultat=596142

La FEC-CSQ se positionne face à l'augmentation des EHDAA au collégial. "On entend beaucoup parler, souvent avec raison, de l'arrivée dans les cégeps à l'automne 2010 des premiers élèves de la réforme. Notre organisation syndicale souhaite mettre de l'avant un autre enjeu tout aussi important, soit l'augmentation marquée de jeunes cégépiennes et cégépiens ayant des troubles d'apprentissage et de santé mentale", déclare Mario Beauchemin, président de la FEC-CSQ, qui briguera un troisième mandat lors de ce Congrès. Rappelons que, selon la Fédération des cégeps, le nombre de jeunes atteints de troubles d'apprentissages ou de santé mentale a été multiplié par 8 entre 2000 et 2008. À cela, il faudrait également ajouter celles et ceux atteints de troubles envahissants du développement. "Le problème principal réside dans le fait que le financement ne suit pas l'augmentation du nombre de cas. Le ministère de l'Éducation du Loisir et du Sport devrait donc être plus cohérent et financer pleinement l'obligation d'accommodement aux besoins particuliers des étudiantes et des étudiants qu'il impose aux collèges. Ce que nous comptons demander, ce sont des balises et des limites afin que l'intégration au collégial des jeunes avec des troubles d'apprentissage ou de santé mentale se fasse correctement sans alourdir la tâche des enseignantes et des enseignants, tout en maintenant les exigences de diplomation", précise Mario Beauchemin. "Si on ajoute à l'enjeu des différents troubles que connaissent nos étudiantes et étudiants, les autres facettes de la diversité de la population étudiante - comme les parcours atypiques dus notamment aux nouvelles règles d'admission et à la réforme ou encore la diversité culturelle - il devient plus aisé de comprendre certaines de nos demandes de négociation. D'ailleurs, le Conseil supérieur de l'éducation a publié récemment un avis sur la transition secondaire-collégial", conclut Mario Beauchemin. www.csq.qc.net/index.cfm/2,0,1676,9656,2323,0,html?action=display&BoxID=16085&LangID=2&KindID=2&complete=yes

Colloque sur l'enseignement aux étudiants différents http://www.cyberpresse.ca/le-quotidien/progres-dimanche/201006/04/01-4287035-colloque-sur-lenseignement-aux-etudiants-differents.php

Universitaire
Examen de français: sanctions allégées pour les futurs profs qui échouent. Désormais, les étudiants qui échouent à l'examen après trois tentatives n'auront pas accès au stage, mais ils pourront continuer à suivre des cours dans leur programme d'études. Les universités assouplissent les sanctions pour les futurs profs qui échouent à l'examen obligatoire de français. En cas d'échec, ils ne seront ni suspendus ni expulsés du programme, mais ils ne pourront pas non plus décrocher leur brevet d'enseignement. Le Test de certification en français écrit pour l'enseignement (TECFEE) - obligatoire pour tous les futurs profs depuis l'automne - causent bien des maux de tête aux facultés et aux départements des sciences de l'éducation. En février, Le Soleil rapportait que dans certains programmes, à peine 25 % des étudiants avaient obtenu la note de passage après une tentative. Les étudiants doivent réussir cet examen avant leur troisième stage, qui survient généralement pendant la troisième année de leur baccalauréat de quatre ans. Les futurs profs ont trois chances d'atteindre le seuil de réussite, fixé à 70 %. Selon ce qui était prévu au départ, un troisième échec devait entraîner la suspension du programme pour une durée d'un an et un quatrième échec, l'expulsion définitive. Par ailleurs, un étudiant qui échoue de justesse le TECFEE pourra dorénavant faire une dernière et ultime reprise quelques mois après son troisième échec plutôt que de devoir attendre un an avant de retenter sa chance. «On voulait leur donner plus de souplesse», ajoute le doyen, qui tient à souligner que le contenu de l'examen n'a pas changé. Certaines facultés jonglent avec l'idée d'accorder tout de même un baccalauréat en enseignement aux étudiants qui n'auront pas réussi le TECFEE. Ce diplôme ne leur donnera toutefois pas accès au brevet d'enseignement, puis qu'ils n'auront pas complété leur stage. D'autres universités étudient la possibilité d'offrir un baccalauréat général à ceux qui arriveront à cumuler 90 crédits. «Puisque la décision est récente, on doit étudier différents scénarios. Si des étudiants ont déjà accumulé 75 crédits, on a avantage à voir comment ils peuvent compléter un baccalauréat», indique Marcel Monette, doyen de la Faculté des sciences de l'éducation à l'Université Laval. www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201005/20/01-4282504-examen-de-francais-sanctions-allegees-pour-les-futurs-profs-qui-echouent.php

Examen obligatoire de français: une cinquantaine d'échecs à Laval (sur 500 étudiants). Le portrait est plus sombre à l'Université de Sherbrooke : 123 étudiants sont en échec après deux tentatives, ce qui correspond à un taux de réussite de 67 %. Ils auront droit à leur troisième chance à la fin juin, après avoir suivi un cours intensif de français. «Les formateurs sont d'accord avec le fait que l'examen est exigeant. Ça fait peut-être mal aux étudiants, mais il faut que le message soit clair», affirme Julie Desjardins, vice-doyenne à la faculté des sciences de l'éducation. Du côté de l'Université du Québec à Rimouski, une vingtaine d'étudiants ne feront pas leur stage à l'automne, puisqu'ils ont échoué au TECFEE pour la troisième fois, ce qui porte le taux de réussite à 76 %. À la suite de la décision de ne pas suspendre les étudiants qui échouent pour une troisième fois, l'UQAR a entrepris des démarches afin de changer sa réglementation. La direction de l'Université recommande de ne pas les suspendre, mais cette position doit d'abord recevoir l'aval de la Commission des études, explique Pierre Laplante, doyen des études de premier cycle. À l'Université du Québec à Chicoutimi, les étudiants ont passé pour la première fois l'examen en avril. Le taux de réussite est de 47 %. À l'Université du Québec en Outaouais, seulement 32 % des étudiants qui ont passé l'examen pour une deuxième fois ont obtenu la note de passage. www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201005/20/01-4282506-examen-obligatoire-de-francais-une-cinquantaine-dechecs-a-laval.php

Avis sur le projet de règlement modifiant le Règlement sur les autorisations d'enseigner. Dans un avis sur le projet de règlement modifiant le Règlement sur les autorisations d'enseigner, le Conseil supérieur de l'éducation considère que comme la mobilité au Québec du personnel enseignant formé ailleurs au Canada est déjà possible avec les dispositions actuelles, les exigences pour l'obtention du brevet permanent d'enseigner au Québec pour des personnes formées à l'extérieur du Québec devraient être maintenues. Soulignons que les modifications proposées dans le projet de règlement modifiant le Règlement sur les autorisations d'enseigner font suite à l'entrée en vigueur de l'Accord sur le commerce intérieur (ACI) qui a pour objectif d'améliorer le commerce entre les provinces et territoires canadiens et d'assurer une pleine mobilité de la main-d'œuvre entre ces juridictions. Le Conseil n'est pas favorable aux propositions de modifications telles qu'elles apparaissent dans le projet de règlement publié, puisqu‘il considère que le mécanisme actuel d'encadrement de la profession enseignante, qui assure la protection du public, ne contrevient en rien à la pleine mobilité des enseignants titulaires d'une autorisation d'enseigner obtenue dans une autre juridiction canadienne. En effet, ceux-ci peuvent occuper un emploi aux mêmes conditions d'exercice et de rémunération que les enseignants formés au Québec, tout en répondant aux exigences de qualification pour l'obtention du brevet du Québec. Ces exigences consistent notamment en la réussite d'un stage probatoire et d'un cours sur le système scolaire québécois. De plus, le Conseil considère que la période de probation exigée, en plus de permettre d'évaluer les compétences en enseignement, favorise l'insertion en emploi. Le Conseil invite donc le ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport à continuer à procéder à une évaluation au cas par cas pour s'assurer que les candidats possèdent les compétences nécessaires à l'exercice de la profession enseignante au Québec. Par ailleurs, le Conseil est d'avis qu'il faut que le Ministère continue d'indiquer, sur l'autorisation d'enseigner délivrée, à quel programme au Québec équivaut la formation reçue par les personnes titularisées dans une autre juridiction canadienne. En effet, le Conseil considère qu'il appartient au Ministère, aux fins de la délivrance du brevet, de vérifier les compétences des candidats demandeurs et d'établir l'équivalence de programme relativement aux formations offertes en enseignement par les universités québécoises. Le Conseil a examiné d'autres modifications au Règlement, notamment celles qui ont pour but de rendre permanentes certaines voies de formation à l'enseignement et d'accès à la profession. À ce chapitre, même si le Conseil se déclare favorable à une certaine diversification des parcours de formation, il ne recommande pas de rendre ces programmes permanents tant qu'une évaluation n'aura pas permis de statuer sur leur bien-fondé et leur pertinence. Il propose plutôt de prolonger l'échéance de 2012 à 2016 afin de permettre au Ministère d'effectuer une telle évaluation. À cette fin, le Conseil invite les universités à faire le bilan de ces programmes. Le Conseil a analysé les modifications au Règlement sur les autorisations d'enseigner à la lumière d'un certain nombre de critères tels que : la protection du public; le bien-fondé, la précision et la souplesse d'application des modifications proposées; il a aussi pris en considération les principes mis en avant dans ses avis antérieurs qui touchent la profession enseignante et ce même Règlement sur les autorisations d'enseigner, à savoir : que la formation initiale doit s'inscrire dans le courant de professionnalisation qui marque l'enseignement ici et ailleurs; que la formation à l'enseignement qui conduit à la délivrance d'une autorisation d'enseigner respecte le référentiel de compétences établi par le ministère de l'Éducation en 2001; que les voies d'accès et les cheminements de formation à l'enseignement peuvent être diversifiés, notamment à l'aide de la reconnaissance des acquis scolaires et expérientiels. www.cse.gouv.qc.ca/FR/bulletin/index.html#2010-05-19#

Profs non qualifiés pour combler la pénurie. Vu le manque criant de personnel qualifié, au moins 54 des 1 181 professeurs de la commission scolaire des Grandes-Seigneuries ne possèdent pas de permis d'enseigner. C'est ce qu'a confirmé l'organisme au Reflet cette semaine. Selon les chiffres du ministère de l'Éducation, ils seraient même plus nombreux, soit 61. La majorité d'entre eux (43) possèdent un baccalauréat. Quatre autres ont un diplôme d'études collégiales et neuf, un d'études professionnelles. Un seul a un diplôme d'études secondaires. Dix enseignent l'anglais, une matière dans laquelle les professeurs qualifiés sont «une denrée rare», indique Mylène Godin, responsable des communications à la commission scolaire. Neuf autres donnent des cours de mathématiques. Pour le reste, on les retrouve en adaptation scolaire, art dramatique, musique, sciences et éducation physique, notamment. Tous ont reçu une tolérance d'engagement de la part du ministère de l'Éducation. «Il s'agit d'une permission exceptionnelle qui autorise un employeur à engager, pour dispenser le service d'éducation préscolaire ou pour enseigner au primaire ou secondaire, une personne qui n'est pas titulaire d'une autorisation d'enseigner», explique Ahissia Ahua, porte-parole au ministère. Pour obtenir les quelque 60 tolérances, la commission scolaire a d'abord dû démontrer son incapacité à embaucher du personnel qualifié. En 2008-2009, elle s'était vu accorder 97 permissions. À la commission scolaire, on assure que ces professeurs, bien qu'ils ne soient pas formés en enseignement, dispensent des cours de qualité aux élèves. «Tout est fait en bonne et due forme, déclare Mme Godin. Par exemple, on a un enseignant en art dramatique à qui on reconnaît son expérience dans le domaine du théâtre.»Dans certains cas, dit-elle, les employés ont toutes les qualifications requises. Il ne leur manque plus que le permis à proprement parler. «On a des étudiants de la 4e année du baccalauréat. Ils ont une expérience puisqu'ils ont fait des stages. On a une autre enseignante qui a obtenu son diplôme aux États-Unis. Le ministère évalue présentement si elle aura à faire des cours supplémentaires pour que son cours soit reconnu ici», informe la porte-parole. «Et ces gens-là sont encadrés par les directions d'école au même titre que les autres enseignants», ajoute-t-elle. Les tolérances d'engagement sont revues annuellement. «C'est certain qu'à chaque début d'année, on y va selon notre liste d'employés temps plein et temps partiel. Après, on comble les autres postes avec le personnel non qualifié. On s'assure toutefois que ces personnes soient à la hauteur de nos attentes, qu'elles rencontrent tous nos critères d'embauche», assure-t-elle. http://monteregieweb.com/main+fr+01_300+Profs_non_qualifies_pour_combler_la_penurie.html?ArticleID=642276&JournalID=27

Relève publicitaire – HEC Montréal décroche la première place. L’équipe de HEC Montréal a fièrement remporté la 19e édition du Concours de la Relève publicitaire de l’Association des professionnels de la communication et du marketing (APCM). Cette année, les équipes devaient élaborer une stratégie d'exploitation de commandite. Le client, TELUS et la Station Mont-Tremblant accompagnés de l’agence Youville communauté créative, ont ainsi bénéficié des recommandations stratégiques et créatives formulées par les étudiants. Les étudiants du baccalauréat en administration des affaires, spécialisation marketing, de HEC Montréal sont Sandrine Clermont-Lord, Anthony Hachez, Marie-Élizabeth Lajoie, Marc Laurent-Atthalin, Catherine Maranda, Émilie McAllister-Lapierre. Ils étaient encadrés par M. René Gendreau, professeur de marketing et responsable des compétitions académiques. « L’équipe de l’École était formée d’étudiants dont les forces sont diversifiées de manière à assurer la meilleure complémentarité entre les membres, explique le professeur Gendreau. La proposition que nos étudiants ont faite aux clients s'est particulièrement bien démarquée par rapport aux stratégies présentées par les autres équipes. La stratégie de nos étudiants s’est différenciée par une couverture complète de tous les aspects de la commandite entre TELUS et Mont-Tremblant. » Cette compétition annuelle permet à la relève étudiante en communication, marketing, administration, publicité et design d'appliquer concrètement les notions et les concepts appris au cours de leur formation et de développer une véritablement campagne de communication marketing pour un client. Les universités Laval (administration et communications), ESG-UQAM, Concordia (John-Molson) et Sherbrooke étaient en compétition avec HEC Montréal. À ce jour, l'École a décroché six fois la première place au concours de la Relève publicitaire. www.hec.ca/nouvelles/2010/nouv201036.html

Université de Sherbrooke - Saguenay et Moncton saluent leurs premiers finissants au doctorat en médecine. Cérémonies émouvantes aux deux sites de formation. Un projet de fous! Mauril Gaudreault, doyen associé à Saguenay de la Faculté de médecine et des sciences de la santé, réagissait ainsi, en 2004, lorsque le doyen Réjean Hébert lui a présenté l’idée de déployer le programme de doctorat en médecine au site de Saguenay. Même type de réaction du professeur Aurel Schofield à Moncton et des membres des communautés médicales de ces deux sites, qui ont pourtant décidé d’embarquer dans cette aventure et de concrétiser la formation de médecins au Saguenay et au Nouveau-Brunswick. Six ans après ces premières rencontres de planification et quatre ans après l’arrivée des premières recrues, les 22 étudiantes et étudiants du site de Saguenay et les 23 du site de Moncton termineront leurs études médicales prédoctorales d’ici quelques jours. www.usherbrooke.ca/medias/nouvelles/nouvelles-details/article/12265

Pénuries de professionnels au Québec: l'urgence d'agir rapidement. La pénurie de main-d'oeuvre, c'est déjà la réalité dans 20 des 51 professions réglementées au Québec. Ces 20 professions pour lesquelles les employeurs n'arrivent pas à trouver tout le personnel nécessaire relèvent tou tes du secteur de la santé. «Tout porte à croire que cette situation pourrait s'aggraver dans les prochaines années», avance le directeur général du Conseil interprofessionnel du Québec (CIQ), Jean-François Thuot, en entrevue au Soleil. Le Conseil regroupe 45 ordres professionnels qui encadrent 51 professions exercées par 340 000 personnes travaillant dans trois grands domaines d'activité : la santé et les relations humaines; le droit, l'administration et les affaires ainsi que le génie, l'aménagement et les sciences. Avec le déclin de la population active qui devrait s'amorcer à compter de 2013 en raison du vieillissement des Québécois et la diminution prévue des inscriptions dans les cégeps à partir de l'an prochain et dans les universités à compter de 2016, la liste des professions éprouvant des maux de tête à combler tous les postes qui deviendront vacants sur le marché du travail va s'allonger. «Nous travaillons avec l'hypothèse vraisemblable que les effectifs professionnels risquent d'être en déclin dans les prochaines années», précise M. Thuot, qui voit poindre dans un horizon pas trop lointain une pénurie dans le secteur du génie. En plus d'avoir déjà à affronter des pénuries de professionnels dans la santé - près de 30 % des professionnels sont des infirmières ou des médecins - la région de la Capitale-Nationale devrait se retrouver aux prises avec une rareté d'arpenteurs-géomètres et d'ingénieurs forestiers. «Les programmes universitaires conduisant à l'exercice de ces deux professions vivent certaines difficultés de recrutement d'étudiants.» «Les ordres professionnels ne sont pas des obstacles», répond M. Thuot. «Leur mandat est de s'assurer que les personnes qui veulent exercer une profession réglementée possèdent les compétences pour le faire. L'étalon de mesure pour établir cette évaluation, c'est la formation que l'on donne aux Québécois. Les corporations n'en demandent pas plus, pas moins aux personnes immigrantes formées à l'étranger», explique-t-il en insistant pour dire qu'il n'y a pas de quotas et que les outils d'évaluation ne laissent aucune place à l'arbitraire. «À peine 15 % des demandes de reconnaissance des compétences sont refusées. On est loin des scénarios catastrophes soulevés par les médias.» Selon le directeur général du CIQ, le nombre de demandes de reconnaissance des compétences traitées par les ordres professionnels a bondi de plus de 500 % depuis 2001. D'un peu moins de 1000 par année, il est passé à plus de 4000 en raison principalement de tous les efforts déployés pour attirer des immigrants au Québec. www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201005/18/01-4281753-penuries-de-professionnels-au-quebec-lurgence-dagir-rapidement.php


Formation, documentation
L'Office des personnes handicapées du Québec et le ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale invitent les employeurs, les personnes handicapées et la population en général à visiter le site http://www.ensembleautravail.gouv.qc.ca/ Voir le site du CAMO www.camo.qc.ca/actualites/communiques.php?eventID=703

Parcours professionnel de personnes ayant joint la fonction publique du Québec. Dans le cadre de la Semaine québécoise des personnes handicapées du 1er au 7 juin, le Secrétariat du Conseil du trésor tient à présenter le parcours professionnel de certaines personnes qui ont joint la fonction publique du Québec. Pour découvrir des histoires réussies d’intégration en emploi de personnes handicapées, consultez la nouvelle section Témoignages du site Internet du Secrétariat du Conseil du trésor. Visitez cette section régulièrement, car d’autres histoires y seront déposées périodiquement. www.tresor.gouv.qc.ca/ressources-humaines/acces-a-legalite-en-emploi/temoignages

L'Office des personnes handicapées du Québec a lancé aujourd'hui le rapport de consultation intitulé Adapter sa pratique professionnelle à l'égard des personnes handicapées. Cette activité s'est tenue à Montréal au Salon Prendre sa place! dans le cadre de la Semaine québécoise des personnes handicapées. Le rapport qui vient tout juste d'être rendu public découle d'une consultation menée par l'Office auprès de membres de divers ordres professionnels avec la collaboration du Conseil interprofessionnel du Québec. Il s'agit d'une étude inédite au Québec. Le rapport donne une premièredescription d'une pratique professionnelle adaptée à l'égard des personneshandicapées. Il cerne certains éléments de compétence requis des membres dediverses professions pour que leurs services répondent mieux aux besoins despersonnes handicapées. De telles adaptations à la pratique professionnelle sont de plus en plus nécessaires en raison, notamment, du vieillissement de la population qui viendra accroître le nombre de personnes handicapées. Le document présenté aujourd'hui vise à soutenir les ordres professionnels dans leur démarche à cet égard. Il constitue une base pour amorcer leur réflexion. En se l'appropriant, ils pourront l'ajuster à leur pratique afin qu'il devienne un outil performant pouvant améliorer le travail de leurs membres auprès des personnes handicapées. Madame Céline Giroux, directrice générale de l'Office, qui a pris la parole lors du lancement, a souligné l'importance d'accorder à cette question toute l'attention qu'elle requiert. «Les ordres professionnels ont à se préoccuper de la qualification de leurs membres au regard des services qu'ils offrent aux personnes handicapées, a-t-elle déclaré. Nous souhaitons que le soutien des ordres professionnels et des établissements de formation initiale et continue au développement d'une pratique adaptée contribue à construire une société plus inclusive.» www.camo.qc.ca/actualites/communiques.php?eventID=704

Le studio d'animation Frima créera 150 emplois à Québec www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/jeux-et-logiciels/201006/02/01-4286100-le-studio-danimation-frima-creera-150-emplois-a-quebec.php

L'industrie de l'assurance manque de main-d'œuvre www.cyberpresse.ca/le-soleil/dossiers/zone-affaires/201005/30/01-4285235-lindustrie-de-lassurance-manque-de-main-doeuvre.php

Main-d'oeuvre dans l'industrie du bois: pénurie en vue sur la Côte-Nord www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/les-regions/201005/30/01-4285242-main-doeuvre-dans-lindustrie-du-bois-penurie-en-vue-sur-la-cote-nord.php

Les étudiants ont beau jeu
Plusieurs employeurs saisonniers, qui engagent normalement des étudiants pendant la période estivale, sont aux prises avec de sérieux problèmes de recrutement. C'est notamment le cas des camps de vacances qui peinent à pourvoir leurs postes d'animateurs. « C'est la première année qui nous en manque autant à ce temps-ci de l'année. Notre camp de formation commence le 9 juin, alors on commence à trouver ça un peu plus difficile. Ça commence à être un petit peu plus stressant », a admis la directrice du Camp « O » Carrefour, Roseline Jean. www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2010/05/31/005-emploi_ete_etudiants.shtml

Qui a piqué mon fromage ? est l'histoire édifiante de deux tout petits hommes, les minigus Polochon et Baluchon, et de deux souris, Flair et Flèche, qui évoluent dans un labyrinthe. Les quatre compères se repaissent de fromage tous les jours à un endroit précis du dédale. Mais un beau matin, leur gruyère vient à disparaître. Cette épreuve prendra les uns au dépourvu... et sera surmontée avec brio par les autres. Le fromage symbolise les objectifs personnels, familiaux ou professionnels que chacun se fixe. Le labyrinthe représente le cadre de notre quête – le couple, le foyer, l'entreprise ou la société. Et les quatre personnages incarnent, chacun à sa mesure, une part de nous-mêmes. Cette fable souriante vise à chasser nos peurs, nos inhibitions et nos préjugés face au changement. Elle nous incite à l'anticiper, à le dédramatiser, et même à nous en réjouir. La grande surprise que nous réserve cet étonnant récit est que, en la matière, les êtres humains ont beaucoup à apprendre des rongeurs ! Source : www.piloter.org/livres-entreprise/developpement-personnel/Qui-a-pique-mon-fromage---9782840985983.htm



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À noter à votre agenda
En 2011, le 9e congrès de l’ACOC aura lieu en partenariat avec l’UQTR les 1er, 2 et 3 juin.


Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC ACOC@videotron.ca


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Quelque Chose de l'ACOC




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Les modalités d'inscription au bulletin sont mentionnées sur le site www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/2006/08/v-5-no-1-modalits-dinscription-au.html

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