Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin www.quelquechosedelacoc.blogspot.com
(790 membres, 11e saison du bulletin électronique)
Vue du mont Andante
vallée du parc national de la Jacques-Cartier
août 2012
Informations importantes pour les étudiants du collégial
Universitaire
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Moteur de recherche pour retrouver un article dans les Archives du bulletin Remarquez le moteur de recherche du bulletin sur le site à droite. Il suffit d'entrer un mot significatif et vous obtenez les numéros archivés (plus de 200 numéros) sur le sujet recherché ainsi que les liens Internet consultés. Fameux ! L'essayer, c'est l'adopter. http://quelquechosedelacoc.blogspot.com/
À noter à votre agenda
Admission tardive à l'université
Admission universitaire
Lettre pour souligner les impacts et enjeux liés à la grève
étudiante
AIDE PÉDAGOGIQUE INDIVIDUEL Remplacement 35 heures/semaine À
la fin du processus de sélection et jusqu’en février 2013 (avec possibilité de prolongation) Dates du concours :
Du 10 au 17 août 2012 www.cmontmorency.qc.ca/images/stories/fichiers_offres_d_emploi/P2012-204-295-02R_2e_concours.pdf
Aide pédagogique individuelle et conseiller en orientation Collège
Jean de Brébeuf Temps complet (poste en remplacement jusqu’au 30
août 2013). Les candidats déjà inscrits sur notre site "Dotation
électronique" peuvent postuler en
cliquant sur l’affichage du poste et en suivant les instructions. Les nouveaux
candidats doivent s’inscrire à titre d’invité et suivre la procédure indiquée
sur le site. http://www.brebeuf.qc.ca/collegial/le-college/offres-demploi
Vous serez alors dirigé dans notre
banque de candidatures où vous pourrez compléter votre profil et soumettre
votre curriculum vitae et tout autre document que vous jugerez pertinent
(lettre de présentation, diplômes, attestation, etc.) La date limite pour
déposer votre candidature est le 20 août 2012 à 16 h. www.brebeuf.qc.ca/public/c41d68f5-9dba-45bb-9799-679a6ea1e45b/api_et_conseiller_dorientation_aout_2012.pdf
L’'ACOC a fait parvenir une lettre adressée à la CREPUQ (ainsi qu'à la Fédération des cégeps) pour
souligner les impacts et enjeux liés à la grève étudiante du printemps 2012.
Voir la section Membre du site.
Dur coup pour la grève générale illimitée
Trois cégeps ont voté hier pour le retour en classe ; la
grève se poursuit au Cégep du Vieux-Montréal www.ledevoir.com/societe/education/356752/dur-coup-pour-la-greve-generale-illimitee
Grève: les étudiants passent au vote
Les étudiants en service social de l'Université de Montréal
(UdeM) étaient les premiers, lundi soir, à se prononcer sur la reconduction de
la grève. Au lieu de rentrer en classe le 27 août prochain, le membres de
l'association étudiante (AÉSSUM) ont décidé de poursuivre leur grève www.lapresse.ca/actualites/dossiers/conflit-etudiant/201208/06/01-4562844-greve-les-etudiants-passent-au-vote.php
Conflit étudiant - La CLASSE appelle à la poursuite de la grève. Pas de mot d’ordre des fédérations étudiantes universitaire et collégiale. Un premier cégep décide de poursuivre la grève. Les membres de l’Association étudiante du Cégep Saint-Laurent (AECSL), affiliée à la CLASSE, ont décidé par une faible majorité de poursuivre la grève, mais à condition qu’un plancher de 20 000 grévistes au Québec soit respecté. Sur les quelque 3500 membres que compte l’association, 261 ont voté pour, 243 contre et 14 se sont abstenus. Plusieurs cégeps doivent également se prononcer sur la grève cette semaine. Les cégeps Édouard-Montpetit, Maisonneuve, Marie-Victorin et Vieux-Montréal le feront aujourd’hui, Lionel-Groulx et Montmorency demain et Bois-de-Boulogne, Rosemont, Ahuntsic et Saint-Hyacinthe jeudi. www.ledevoir.com/societe/education/356660/titre
Le retour forcé en classe s'amorce dans les cégeps Qui doit rentrer quand?
Lundi 13 août
Cégep André-Laurendeau > Les élèves ont voté pour la fin
de la grève
Mardi 14 août
Cégep de Valleyfield > Les élèves ont voté pour la fin de
la grève
Collège de Maisonneuve > Les élèves votent le lundi 13
Cégep Marie-Victorin > Les élèves votent le lundi 13
Mercredi 15 août
Cégep Édouard-Montpetit > Les élèves votent le lundi 13
Cégep de Saint-Hyacinthe > Date de l'assemblée générale à
déterminer
Jeudi 16 août
Collège Lionel-Groulx > Les élèves votent le mardi 14 Collège
Montmorency > Date de l'assemblée générale à déterminer Cégep de
Saint-Jérôme > Les élèves ont voté pour une trêve électorale
Vendredi 17 août
Cégep d'Ahuntsic > Les élèves votent le jeudi 16 Collège
de Bois-de-Boulogne > Les élèves votent le jeudi 16 Collège de Rosemont > Les élèves votent le
jeudi 16 Cégep de Saint-Laurent > Les élèves votent aujourd'hui Cégep du
Vieux Montréal > Les élèves votent le lundi 13
Lundi 27 août
Université du Québec à Montréal > L'association
facultaire de sciences humaines a voté pour la grève. D'autres assemblées à prévoir.
Université de Montréal > Deux associations
départementales ont voté pour la grève. D'autres assemblées à prévoir Université Laval > Assemblées générales à prévoir. Université de Sherbrooke > L'association générale des
étudiants en lettres et communication (cycles supérieurs) a voté pour la grève.
D'autres assemblées à prévoir. www.lapresse.ca/actualites/dossiers/conflit-etudiant/201208/13/01-4564530-le-retour-force-en-classe-samorce-dans-les-cegeps.php
Conflit étudiant - La CLASSE appelle à la poursuite de la grève. Pas de mot d’ordre des fédérations étudiantes universitaire et collégiale. Un premier cégep décide de poursuivre la grève. Les membres de l’Association étudiante du Cégep Saint-Laurent (AECSL), affiliée à la CLASSE, ont décidé par une faible majorité de poursuivre la grève, mais à condition qu’un plancher de 20 000 grévistes au Québec soit respecté. Sur les quelque 3500 membres que compte l’association, 261 ont voté pour, 243 contre et 14 se sont abstenus. Plusieurs cégeps doivent également se prononcer sur la grève cette semaine. Les cégeps Édouard-Montpetit, Maisonneuve, Marie-Victorin et Vieux-Montréal le feront aujourd’hui, Lionel-Groulx et Montmorency demain et Bois-de-Boulogne, Rosemont, Ahuntsic et Saint-Hyacinthe jeudi. www.ledevoir.com/societe/education/356660/titre
Des milliers de finissants du secondaire subiront les
contrecoups de la grève étudiante. Des milliers de finissants du secondaire
devront subir les conséquences d’une grève étudiante pour laquelle ils n’ont
pas voté et certains pourraient en payer un lourd prix. De 7000 à 8000
finissants devront en effet composer avec une session compressée à leur entrée
dans les 14 collèges qui ont dû réaménager leur calendrier en raison du
conflit. www.ledevoir.com/societe/education/355659/des-milliers-de-finissants-du-secondaire-subiront-les-contrecoups-de-la-greve-etudiante
Conflit étudiant - Des professeurs dénoncent la loi 12
Quelques centaines de professeurs ont dénoncé la loi 12,
l'ancien projet de loi 78, lors d’une conférence de presse à l’UQAM
aujourd’hui. Des professeurs de cégep et d’université respecteront
d’abord les décisions démocratiques des étudiants avant de se soumettre à la
loi 12 (l'ancien projet de loi 78) lors de la rentrée scolaire. Quelques
centaines d’entre eux ont dénoncé la loi d’exception lors d’une conférence de
presse à l'Université du Québec à Montréal (UQAM) aujourd’hui. www.ledevoir.com/societe/education/356170/conflit-etudiant-des-professeurs-denoncent-la-loi-12
Les étudiants d’abord
Des professeurs entendent respecter le vote des assemblées
plutôt que la loi 12 www.ledevoir.com/societe/education/356214/les-etudiants-d-abord
Le point sur la prochaine session
L’Université Laval planifie la rentrée d’automne avec soin
après une saison de conflit étudiant. Souplesse. Imagination. Ces deux mots
reviennent souvent dans la bouche de Bernard Garnier lorsqu’il explique comment
l’Université Laval a fait face au conflit étudiant ce printemps. «Pour lutter
contre le chaos, il faut surtout éviter les positions crispées et le
dogmatisme», constate le vice-recteur aux études et aux activités
internationales. Moins affectée que d’autres établissements, l’Université a
toutefois dû user de créativité pour faire face aux événements. Beaucoup
d’accommodements ont été nécessaires pour trouver des solutions sur mesure aux
quelque 500 cours touchés par la grève – cours suivis par 16 211 étudiants. Selon
le vice-recteur, cette tâche gigantesque a pu être accomplie grâce à une très
bonne collaboration avec les professeurs, les doyens et les directeurs de
départements, mais aussi avec les associations étudiantes. Quelques exemples
parmi d’autres? Même des départements très grévistes, comme celui
d’anthropologie, ont accepté que les étudiants étrangers, dont les droits de
scolarité représentent 15 000 dollars par an, reçoivent leurs cours pour ne pas
les pénaliser. Même chose pour les finissants au baccalauréat qui ont pu ainsi
terminer leur scolarité normalement. À l’École de service social, où les
étudiants ont fait la grève pendant six semaines, les professeurs ont accepté
de donner leurs cours la fin de semaine et le soir pour que leurs étudiants
puissent commencer leur stage comme prévu, début mai. Depuis l’adoption de la
loi 78, le 18 mai dernier, l’Université réfléchit par ailleurs à la forme que
doit prendre le rattrapage de la session d’hiver 2012. Les établissements
d’enseignement doivent en effet trouver des manières de permettre aux étudiants
de poursuivre la session. Les cours qui n’ont pu être terminés jusqu’à présent
seront donc donnés de la mi-août à la fin septembre. Cela touche, par exemple,
les étudiants de théologie et de philosophie, toujours en grève. Vont-ils
retourner en classe? «On ne veut pas forcer les gens à étudier, mais le doyen
prépare un plan de rattrapage actuellement», répond Bernard Garnier. Le début
de la rentrée universitaire va donc varier selon les disciplines étudiées.
Certaines, comme ethnologie, histoire de l’art et sociologie, pourraient
démarrer leur session d’automne 2012 le 1er octobre et la terminer le 11
janvier 2013. Les examens seront donc décalés par rapport aux dates
habituelles. Tous les étudiants reprendraient ensuite le 21 janvier 2013 pour
la session d’hiver. Cette disposition touche aussi certains départements et
facultés qui accueillent des étudiants des cégeps touchés par la grève. Cela
représente 800 étudiants, soit 10 % des nouvelles admissions. La Faculté de
médecine, qui en accueille 50, entamera cette première session en octobre
plutôt qu’en septembre, comme les autres facultés de médecine francophones. En
sciences de l’administration, la Faculté va sans doute regrouper dans une même
classe les 60 étudiants qui termineront tout juste leur cégep. Ils intégreront
les autres groupes après avoir suivi des cours de rattrapage. Pour vous
informer sur la formule retenue par votre département ou faculté, communiquez
avec ses responsables. Au Département de sociologie, les cours reprendront cet
automne à la date prévue, soit le 4 septembre. www.aufil.ulaval.ca/articles/point-sur-prochaine-session-33874.html
Le printemps de toutes les émotions
Les étudiants ont beaucoup appris lors du dernier trimestre,
même si ce n’était pas toujours en classe www.aufil.ulaval.ca/articles/printemps-toutes-les-emotions-33873.html
Grève: au moins 5% des cégépiens ont abandonné leurs cours
Le gouvernement de Jean Charest a décidé d'augmenter les
droits de scolarité de 1625 dollars en cinq ans, une hausse décriée par des
dizaines de milliers d'étudiants. » Près de 5% des cégépiens en grève
abandonnent, en partie ou en totalité, leurs cours du trimestre d'hiver. Un
taux qui pourrait grimper, puisqu'en moyenne, 10% des cégépiens n'ont pas
encore fait part de leurs intentions. C'est ce qui ressort d'une compilation
maison réalisée auprès de 8 des 14 cégeps qui devront poursuivre le trimestre
d'hiver en août. Les cégeps ont consulté leurs élèves la semaine dernière pour
savoir s'ils comptent poursuivre ou non leur trimestre d'hiver. La loi spéciale
(78) prévoit qu'ils devaient donner leur réponse avant le 15 juin. Plusieurs ne
l'ont pas encore fait, si bien que plusieurs cégeps leur laissent une dernière
chance et comptent attendre encore un peu avant de leur attribuer la mention
d'échec. C'est notamment le cas au cégep du Vieux Montréal, où 28% des élèves
n'ont pas fait part de leurs intentions. Au cégep André-Laurendeau, la
direction souhaite également attendre encore un peu; environ 5% des élèves ont
l'intention d'abandonner un ou plusieurs cours, et 10% n'ont pas répondu. «Nous
avons 150 abandons, ce n'est pas banal. Quant aux 300 autres qui n'ont pas
daigné répondre, ça montre que l'intérêt à revenir est mitigé», s'inquiète le
directeur général Hervé Pilon. Il précise toutefois que «ça aurait pu être
pire». Les directions générales des cégeps ont exprimé à plusieurs reprises
leurs craintes de voir de nombreux abandons à la suite de la grève qui dure
depuis plus de quatre mois. «Au plus fort de la grève, on a beaucoup craint les
effets de la grève sur l'abandon scolaire. Il reste qu'un jeune qui abandonne,
c'est un de trop», affirme la porte-parole de la Fédération des cégeps,
Caroline Tessier. Avec des taux respectifs de 11% et de 10%, ce sont le cégep
de Saint-Laurent et le collège Édouard-Montpetit qui présentent le plus
d'abandons de cours dans la compilation de La Presse. De plus, quelque 6% des
élèves fréquentant le collège Édouard-Montpetit n'ont pas fait part de leurs
intentions. Par l'intermédiaire du service d'aide pédagogique, la direction
tente actuellement de joindre ceux pour qui cette décision risque d'entraîner
des conséquences importantes - par exemple, retarder leurs études d'un an. «On
valide avec eux la décision qu'ils viennent de prendre», explique Josée Mercier,
directrice adjointe aux études au service de l'organisation scolaire. Le
Collège de Valleyfield fait de même. Dans cet établissement, 10% des cégépiens
n'ont pas répondu à la consultation, et plusieurs dossiers sont actuellement en
cours d'analyse, indique le directeur général, Guy Laperrière. Le collège
Lionel-Groulx et le collège Ahuntsic présentent un taux d'abandon qui s'établit
respectivement à 3% et à 4%, et recensent un taux de non-réponse de 6% et de
7%. En raison de la grève, la loi prévoit que les cégépiens pourront abandonner
des cours pour des «motifs raisonnables» sans avoir la mention d'échec. La
mention «incomplet permanent» figurera sur leur relevé de notes, ce qui n'aura
aucun impact sur leur cote R. Plusieurs en ont fait la demande. Au cégep
Marie-Victorin, 130 élèves ont annoncé leur intention d'abandonner leurs cours,
ce qui équivaut à 4%. De ce nombre, près de 80 ont demandé la mention
«incomplet». www.lapresse.ca/actualites/dossiers/conflit-etudiant/201206/18/01-4536243-greve-au-moins-5-des-cegepiens-ont-abandonne-leurs-cours.php
L'inclusion, d'hier à demain Odette Raymond Conseillère
services adaptés Aide à l'apprentissage et à l'intégration Cégep du Vieux
Montréal Cet article a été diffusé dans la Revue Pédagogie collégiale de
l'Association québécoise de pédagogie collégiale (AQPC) à l’été 2012 (VOL.25,
No4). Pédagogie collégiale est une revue « phare » pour les acteurs de
l’enseignement supérieur. Elle cherche, notamment, à guider les intervenantes
et les intervenants de la pédagogie au collégial, à éclairer les interventions
en présentant une information riche et variée, à annoncer les changements
pressentis dans le milieu de l’éducation. Elle est aussi une revue « reflet »,
enracinée dans la réalité, témoin des pratiques des personnes qui oeuvrent dans
le milieu collégial. Enfin, la revue se veut une revue « d’animation » par la
suggestion de pistes de réflexion et d’action. Les étudiants « en situation de
handicap », que l’on nomme aussi « à besoins particuliers », sont bien présents
dans les établissements d’enseignement supérieur. Les étudiants, les
professeurs, les professionnels, les gestionnaires, des partenaires externes,
de même que, dans bien des cas, les parents contribuent à l’inclusion de cette
population sans cesse croissante. Or, sa présence et les caractéristiques des
situations de handicap en cause soulèvent des défis nouveaux et stimulants pour
les milieux collégial et universitaire. Cela étant, nous ne pouvons passer sous
silence les besoins de sensibilisation, d’information et de formation des
professeurs et des professionnels des collèges. Ces derniers, malgré toute leur
bonne volonté, n’ont pas toujours les outils pour faire face aux demandes que
cette population leur fait. Nous devons aussi considérer la nécessité de
structures adéquates pour répondre aux besoins grandissants de cette
population. Dans le cadre du présent article, nous exposerons le contexte
éducatif et social dans lequel évoluent ces étudiants, mais nous aborderons
tout d’abord la terminologie utilisée pour parler d’eux. www.uquebec.ca/capres/fichiers/art-O.Raymond-aout-2012.shtml
Bienvenue sur le nouveau blogue Orientation et clientèle
émergente! www.acochandicap.blogspot.ca
Ce blogue se veut un lieu virtuel d'échange, de partage d'information et de
réflexion pour tout professionnel de l'orientation scolaire et professionnelle.
Il est fait en collaboration avec l'Association des conseillers d'orientation
du collégial (ACOC). Son objectif ? Répondre à un besoin de co-développement
professionnel au sujet d'une nouvelle clientèle de plus en plus importante dans
les collèges. L'orientation auprès de personnes en situation de handicap ou
ayant des problèmes de santé mentale semble préoccupante pour la majorité des
intervenants. Face à des clients qui ont des besoins particuliers, notre
approche, nos objectifs de travail habituels et nos outils de travail
conventionnels ne conviennent pas toujours. Une adaptation s'impose, mais
comment ? Par où commencer ? Pour ma
part, je travaille depuis quelques temps exclusivement avec une clientèle en
situation de handicap ou ayant des problèmes de santé mentale au Collège
Montmorency. En voyant le besoin d'échange de mes collègues, j'ai eu le goût
d'animer ce blogue où je vous partagerai à la fois mes expériences et recevrai
vos commentaires et idées. Chaque billet aura un thème, sur lequel je vous
inviterai à commenter, poser des questions et partager vos expériences, nous
donner des liens Internet, déposer des documents en ligne, etc. Pour lancer la réflexion, je vous invite à
nous faire part de ce que vous connaissez de la clientèle émergente. Que
comprenez-vous de la situation des gens qui en font partie ? En quoi leurs
besoins sont différents de ceux de la clientèle régulière ? Pour alimenter
votre réflexion, je vous suggère d'aller consulter les sites suivants : www.matransition.com et www.fmm-mif.ca
. Vous trouverez une mine d'or d'informations sur les différents
troubles et diagnostics. J'ai très hâte d'échanger avec vous ! http://acochandicap.blogspot.ca/2012/06/bienvenue-sur-le-blogue-de-lorientation.html À bientôt ! Émilie Robert, c.o. Publié par acocblogue@gmail.com
Dépliant psychothérapeute http://media.ofsys.com/T/OFSYS/H/581362/bmZWhH/OP_Dépliant_Psychothérapie_v4.pdf
Québec serre la vis aux psychothérapeutes
Un permis obligatoire délivré par l’Ordre des psychologues
devrait permettre d’enrayer la prolifération des pseudo-thérapeutes utilisant
les techniques les plus farfelues. La loi, qui a été annoncée par le ministre
de la Justice, Jean-Marc Fournier, hier à Montréal, vise à contrôler la
prolifération de pseudo-psychothérapeutes utilisant les techniques les plus
diverses, de celle des chakras à la mort en conscience. Ne s’improvisera plus
psychothérapeute qui veut. À partir de jeudi prochain, il faudra détenir un
permis de l’Ordre des psychologues du Québec pour pratiquer la psychothérapie.
De plus, ce permis ne pourra être délivré qu’aux membres d’ordres
professionnels préétablis, dont les médecins, les psychologues, les
travailleurs sociaux et les thérapeutes conjugaux et familiaux, les conseillers
en orientation, les infirmières, les ergothérapeutes, et les psychoéducateurs.
Tous, hormis les médecins et les psychologues, devront par ailleurs avoir fait
une maîtrise dans le domaine de la santé mentale, suivre une formation de 576
heures, et effectuer un stage de 600 heures en psychothérapie. En fait, le
titre de psychothérapeute seul n’existera plus, il sera accolé à un autre titre
: ergothérapeute, conseiller en orientation, etc. La loi, qui a été annoncée
par le ministre de la Justice, Jean-Marc Fournier, hier à Montréal, vise à
contrôler la prolifération de pseudo-psychothérapeutes utilisant les techniques
les plus diverses, de celle des chakras à la mort en conscience. On sait
qu’encore récemment, une femme est morte « cuite » par sudation dans le cadre
de l’une de ces séances de thérapie douteuse, visant à lui faire vivre « une
mort en conscience », à Durham-Sud. « Récemment, l’Ordre des psychologues a
mené un sondage qui indiquait que 85 % des gens croyaient qu’un
psychothérapeute était un psychologue », rappelle Rose-Marie Charest,
présidente de l’Ordre des psychologues du Québec. Or, comme les
psychothérapeutes n’étaient pas membres de l’Ordre des psychologues, ce dernier
ne pouvait entamer de représailles contre les charlatans. Cette loi est une
première au Canada, expliquait hier le ministre Fournier. C’est ce qui explique
le temps qu’on a dû mettre pour la concocter. « Cela fait 20 ans que l’on
demande cette réglementation », ajoute Rose-Marie Charest. Déjà, il y a une
dizaine d’années, un reportage de Radio-Canada dénonçait le fait que tout un
chacun pouvait s’improviser psychothérapeute sans garantir la qualité des
services. Et au quotidien, l’Ordre recevait des plaintes de psychologues dont
les clients avaient suivi des thérapies par lesquelles on promettait de
rétablir le lien avec la mère ou de guérir de sévices sexuels en trois fins de
semaine. « On a voulu faire le ménage dans les approches, dans la mesure du
possible », dit Rose-Marie Charest. Désormais, les psychothérapeutes attitrés
devront s’être spécialisés dans l’une des quatre approches reconnues : soit
l’approche cognitive comportementale, l’approche psychodynamique, l’approche
humaniste ou l’approche systémique-interactionnelle. La loi comporte également
une clause de droits acquis, qui permettra à des psychothérapeutes qui
utilisent déjà l’une de ces approches et qui ont un baccalauréat en santé
mentale de continuer de pratiquer. L’Ordre donnera deux ans aux
psychothérapeutes pour faire leur demande de permis. « Nous croyons recevoir de
1000 à 2000 demandes de permis au cours des deux prochaines années », estime
Rose-Marie Charest. Mme Charest estime aussi que la loi permettra de rendre la
psychothérapie plus accessible, notamment dans les services publics où elle est
demandée. Ceux-ci pourront en effet engager des gens pratiquant la
psychothérapie en étant assurés de la qualité des services offerts, dit-elle. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/352839/quebec-serre-la-vis-aux-psychotherapeutes
Orientation et ressources humaines - François Bernatchez.
Parmi les sujets de discussion qui reviennent souvent dans mes conversations
avec des c.o., des parents et des employeurs,
il y a celui de la relation entre le monde de l’orientation et celui des
ressources humaines. Le sujet polarise les opinions. Je peux comprendre cette
polarisation. D’une part, le monde de l’orientation est tourné, pour
l’essentiel, autour des intérêts. Il y a évidemment beaucoup d’autres facettes
et je ne veux rien minimiser. Par contre, quand vient le temps de faire
explorer le monde des métiers et professions, la codification de Holland
constitue la référence incontournable. Ainsi, si j’aime la mécanique, je vais
être mis en contact avec d’autres métiers et professions où les gens qui s’y
trouvent aiment également la mécanique. D’autre part, le monde des ressources
humaines est tourné, pour l’essentiel, autour de la personnalité, du savoir-être
et des habiletés qui peuvent permettre de répondre aux besoins des entreprises.
En fait, on essaie en ressources humaines de s’assurer que la bonne personne se
retrouve à la bonne place. C’est largement démontré maintenant dans la
littérature scientifique que la personnalité permet de prédire correctement
l’ajustement « personne – organisation » (P-O fit) alors que les intérêts, pris
isolément, n’ont qu’une corrélation très ténue, dans les meilleurs des cas,
avec ce même ajustement. Donc, on a compris depuis longtemps qu’il ne suffit
pas que j’aime la mécanique pour que cela fasse de moi un mécanicien bien
adapté et capable d’en faire une carrière. Or, comment harmoniser « …dans la
vie, il est important de faire ce qu’on aime… » avec « …avez-vous ce qu’il faut
pour travailler dans notre entreprise ?... ». En fait, on peut faire les plus
beaux plans d’orientation, tôt ou tard, le client devra passer par un ou
l’autre des départements de ressources humaines. C’est généralement à ce
dernier endroit que s’affrontent les intérêts et la personnalité. C’est que
l’entreprise, si elle veut survivre et progresser, doit engager des personnes
capables de produire. Souvent, la polarisation dans les débats entre
l’orientation et les ressources humaines tourne autour de la notion de
bien-être voire même du bonheur. Est-ce le rôle de l’orientation de rendre les
gens heureux en misant sur la qualité de la relation et en explorant les
intérêts, ou bien est-ce le rôle de l’orientation de développer des solutions
réalistes en misant sur la qualité de la relation et en misant sur l’ensemble
des caractéristiques de la personne ? Dans toutes mes discussions, pas une fois
on me dit que la personnalité ce n’est pas important. Par contre, quand vient
le temps de développer des solutions basées sur les corrélations entre la
personnalité et les choix de programmes de formation et les choix de métiers et
professions, les discussions deviennent plus polarisées. Je suis un tenant de
la nécessité d’harmoniser le marché du travail à partir de la personnalité et
des intérêts. Je n’y vois aucune contradiction avec l’exploration des
possibilités qui s’offrent. Et vous, est-ce que vous optez, au final, dans le
sens des intérêts ou bien dans le sens de la personnalité dans vos
recommandations ? Ce serait intéressant de vous entendre. Au plaisir www.orientaction.ca/index.php?option=com_content&view=article&id=357&catid=36
Le décrochage n'a plus de sexe
Autrefois lié aux garçons, l’abandon des études serait en
progression chez les filles. Comparativement aux filles, les garçons décrochent
davantage, ont de moins bons résultats et fréquentent en moins grand nombre le
cégep et l’université. C’est du moins le discours qu’on entend généralement sur
la réussite scolaire des jeunes au Québec. Mais cela correspond-il vraiment à
la réalité? En fait, les choses tendent à changer depuis quelques années.
Claire Lapointe, professeure et directrice du Département des fondements et
pratiques en éducation, a présenté un portrait plus nuancé de la situation dans
une conférence prononcée lors de la 10e Université féministe d’été qui a eu
lieu récemment sur le campus. Les garçons décrochent plus que les filles avant
20 ans, mais ils sont nombreux à reprendre leurs études après cet âge, a révélé
la chercheuse. De récentes données du ministère de l’Éducation révèlent ainsi
un écart de 9 % entre le taux de décrochage des filles et celui des garçons.
Ces données se basent sur le pourcentage de jeunes adultes qui n’ont pas de
diplôme d’études secondaires à l’âge de 19 ans. Si on tient plutôt compte des
adultes des deux sexes qui n’ont pas de diplôme à l’âge de 24 ans, l’écart
diminue à 4 %, ce qui tend à démontrer que le phénomène n’est pas si marginal
qu’on le pense chez les filles. Des spécialistes de la question soutiennent que
les approches développées auprès des garçons pour contrer le décrochage n’ont
pas atteint leur but, en plus de laisser complètement les filles de côté. Dans
certaines régions du Québec, le phénomène tend à augmenter chez les filles et à
diminuer chez les garçons. Le décrochage est non seulement un problème présent
chez les filles, mais il a aussi des répercussions plus négatives sur leur
avenir que sur celui des garçons, a souligné Claire Lapointe. Par exemple,
beaucoup de jeunes femmes sans diplôme se retrouvent à travailler dans des
magasins à grande surface au salaire minimum, alors que les hommes, eux,
occupent des emplois beaucoup mieux payés sur des chantiers de construction.
«Sans nier les effets négatifs liés aux garçons, il faut continuer à se poser
des questions sur les jeunes des deux sexes qui n’arrivent pas à obtenir leur
diplôme d’études secondaires, dit-elle. On sait déjà que les jeunes filles à
risque de décrocher présentent davantage de troubles intériorisés, le plus
fréquent étant la dépression, tandis que les garçons souffrent de troubles de
comportement.» Selon une étude réalisée au printemps par l’Institut de
recherches et d’études féministes de l’Université du Québec à Montréal et
lancée par la Fédération autonome de l’enseignement, la violence familiale,
l’inceste ou l’obligation de jouer un rôle de soutien pour la famille seraient
des facteurs qui contribueraient davantage au décrochage des filles. Du côté
des résultats scolaires, il est faux de prétendre que rien ne va plus pour les
garçons, selon Claire Lapointe. Oui, les femmes réussissent mieux en français
et en sciences, mais les garçons obtiennent de meilleurs résultats en maths et
en anglais. Oui, les femmes vont plus au cégep et à l’université, mais 70 %
d’entre elles choisissent d’étudier dans des disciplines menant à des emplois
plus précaires et moins bien payés. À la fin de sa conférence, Claire Lapointe
a rappelé qu’il y avait maintenant plus de femmes que d’hommes dans les
universités du monde, sauf en Afrique subsaharienne et en Asie de l’Ouest et du
Sud. Si elles dominent dans les domaines liés à la santé, à l’éducation, aux
services sociaux, aux arts et aux sciences humaines, elles ne sont que 25 % à
travailler dans le domaine scientifique comme chercheuses. Enfin, les deux
tiers des personnes analphabètes dans le monde sont de sexe féminin. «Les
écarts de fréquentation scolaire diminuent, mais la parité est loin d’être
atteinte, surtout au secondaire, soutient Claire Lapointe. Et c’est en milieu
rural que la situation des femmes est la moins enviable.» www.aufil.ulaval.ca/articles/decrochage-plus-sexe-33882.html
Collégial
ESSAI EN LIGNE - Les perceptions
de c.o. du collégial à l'égard des collégiens ... selon Katherine Coté. Premier
travail d’essai d’une série prévue de 4 à 5 autres sur les pratiques
professionnelles des conseillers d’orientation du réseau public d’enseignement
collégial. Le présent essai est celui de la finissante Katherine Coté. Coté, K.
(2012). Les perceptions entretenues par des conseillères et des conseillers
d’orientation du réseau d’enseignement collégial public, à l’égard de
l’indécision vocationnelle des collégiennes et des collégiens, dans le cadre de
leur pratique professionnelle. Rapport d’activité dirigée, maîtrise en
carriérologie. Montréal : Université du
Québec, Montréal. Lors de la journée
annuelle de formation continue de l’Association des conseillers d’orientation
du collégial (ACOC) du 1er novembre 2010, quinze conseillères et conseillers
d’orientation furent sélectionnés selon une stratégie d’échantillonnage non
aléatoire. Un résumé descriptif de la recherche ainsi qu’une invitation à en
discuter oralement après la journée de formation de l’ACOC ont constitué en la
méthode de recrutement des sujets. Louis Cournoyer, chercheur responsable de ce
projet, a présenté cette recherche aux participant(e)s potentiel(le)s qui
devaient tous être membres de l’Ordre des conseillers et des conseillères
d’orientation du Québec pour ainsi se prévaloir d’une certaine homogénéité en
regard de leur formation initiale et de leurs obligations déontologiques. De
plus, il fallait s’assurer que ces spécialistes de l’orientation travaillaient
principalement en consultation auprès de jeunes collégiennes et collégiens dans
le secteur de l’information scolaire et de l’orientation professionnelle.
Aussi, ils devaient exercer leur pratique de l’orientation dans un cégep
francophone car les entretiens semi-structurés ont été conduits dans la langue
française. L’origine ethnique, la culture et le sexe ne furent en aucun cas des
motifs de discrimination pour participer à cette recherche. Les c.o.[1] qui
répondaient à ces critères pouvaient alors laisser leurs coordonnées s’ils
étaient intéressés à participer à cette recherche sur des heures rémunérées par
leur employeur dans leur milieu de travail. Dans les jours suivants, un
rendez-vous fut fixé par téléphone dans l’optique de planifier sur leur lieu de
travail une entrevue semi-dirigée d’une durée d’environ une heure et trente
minutes avec les conseillères et conseillers d’orientation étant toujours
intéressés à participer à ce projet de recherche. Geneviève Ménard, auxiliaire
de recherche à l’Université du Québec à Montréal, a eu la responsabilité
d’effectuer la prise de contact téléphonique tout en rappelant le contenu du
projet de recherche incluant ses objectifs, procédures, avantages et risques à
participer, mesures de confidentialité ainsi que sa durée. De plus, la conduite des entretiens semi-structurés
fut la tâche d’une auxiliaire de recherche rattachée au projet. Toutefois, les
régions où travaillaient ces conseillères et conseillers d’orientation a été la
seule partie du recrutement et de la sélection des sujets qui fut aléatoire. En
fait, les professionnel(le)s interviewé(e)s provenaient des cégeps des régions
suivantes : une totalité de 15 participants incluant (n=12) femmes et (n=3)
hommes provenant de différentes régions de la province (Bas-Saint-Laurent, 3;
Québec, 3; Chaudières-Beauce-Appalaches, 2; Mauricie, 1; Centre-du-Québec, 1;
Montréal, 4; Outaouais, 1) et de 11 collèges d’enseignement général et
professionnel (CEGEP) ont répondu favorablement à l’invitation de participation
à cette recherche. Les participants et
les participantes ont été rencontrés une seule fois, dans leur milieu de
travail et à des heures qui leur étaient déjà rémunérées par leur employeur. Au
début de la rencontre, un formulaire d’information et de consentement de
participation était remis et lu à haute voix, puis signé par le participant ou
la participante. La participation au projet étant volontaire, les participants
et les participantes étaient libres de mettre fin à leur participation en tout
temps au cours de cette recherche. Les données ont été recueillies au moyen de
l’administration d’un guide d’entretien qui est composé de questions à réponses
ouvertes et semi-ouvertes. La durée moyenne des entrevues a été d’une heure et
demie. http://orientationpourtous.blogspot.ca/2012/06/essai-en-ligne-les-perceptions-de-co-du.html
SOMMAIRE DU RAPPORT D’ACTIVITÉ
DIRIGÉE (ESSAI Les perceptions de c.o. du collégial à l'égard des collégiens)
Dans notre société québécoise actuelle, l’indécision quant au choix de carrière
préoccupe beaucoup d’acteurs dont les étudiants, les parents, les enseignants,
les conseillers d’orientation ainsi que les décideurs des institutions
scolaires et gouvernementales. Ainsi, dans notre société de performance, la
pression à diplômer est fort présente chez plusieurs jeunes qui ne se sentent
pas toujours assez matures au niveau vocationnel pour prendre une décision
éclairée quant à leur avenir professionnel. De surcroît, plusieurs recherches
scientifiques se sont penchées sur le phénomène de l’indécision vocationnelle
chez les adolescents et les jeunes adultes. Toutefois, un questionnement
demeure : mais, qu’en est-il des perceptions des conseillères et des
conseillers d’orientation concernant l’indécision vocationnelle ? En ce sens, cette
recherche vise à examiner les perceptions entretenues par des conseillères et
des conseillers d’orientation du réseau d’enseignement collégial public, à
l’égard de l’indécision vocationnelle des collégiennes et des collégiens, dans
le cadre de leur pratique professionnelle. À vrai dire, les conseillères et
conseillers d’orientation effectuent l’évaluation des besoins en orientation
par l’entremise d’entrevues de counseling individuel. Par conséquent, leur
jugement professionnel se retrouve influencé par leurs perceptions des
situations vécues par leurs clients. Effectivement, cela peut amener chez ces
derniers des perceptions variables quant à la réalité des problématiques
d’orientation des jeunes qu’ils rencontrent, notamment en matière d’indécision.
En fait, peu d’études concernant les perceptions de conseillères et conseillers
d’orientation ont été effectuées jusqu’à tout récemment. Pour ce faire, la
méthodologie de cet essai consiste en une recherche qualitative exploratoire
par une analyse thématique séquencée suite à une lecture flottante du verbatim
des quinze conseillères (n=12) et conseillers (n=3) d’orientation interviewés.
La collecte de donnée a été effectuée en un temps seulement. L’analyse des
résultats issue des verbatim des conseillères et conseillers d’orientation a
permis de dégager six grands thèmes dont leurs doutes quant au niveau de
maturité vocationnelle des jeunes, leurs perceptions des réactions émotives et
comportementales chez les jeunes indécis, leurs pistes d’intervention pour contrer
l’indécision vocationnelle, l’influence de l’environnement social dans une
décision d’orientation, leurs constatations des mesures actives entreprises
pour l’orientation et l’entrée au collégial comme étant une période
transitionnelle charnière dans la vie des collégiennes et collégiens. En
dernier lieu, les résultats semblent démontrer que les conseillers
d’orientation interviewés se basent en grande partie sur une approche
d’intervention basée sur la psychologie développementale en orientation. Par
contre, les résultats n’ont pas fait clairement état des perceptions des
conseillères et conseillers d’orientation quant à la pression sociétaire pour
se décider sur le plan vocationnel. Toutefois, ils ont mentionné la pression
parentale que subissent certains collégiens. Finalement, les conseillères et
conseillers d’orientation n’ont pas abordé les attitudes à privilégier dans une
situation d’indécision vocationnelle, mais ils ont plutôt discuté à propos des
réactions émotives et comportementales qui sont nuisibles au processus
décisionnel, notamment l’anxiété, le manque de confiance en soi, et la
procrastination. Pour consulter l’essai http://www.slideshare.net/louisco/les-perceptions-entretenues-par-des-conseillres-et-des-conseillers-dorientation-du-rseau-denseignement-collgial-public-lgard-de-lindcision-vocationnelle-des-collgiennes-et-des-collgiens-dans-le-cadre-de-leur-pratique-professionnelle
Universitaire
Reconnaissance des acquis
Documentation
L’Université affirme sa volonté de reconnaître tant les
acquis scolaires que l’expérience. L’Université se dote d’une politique de
reconnaissance des acquis scolaires et extrascolaires. Ainsi en ont décidé les
membres du Conseil universitaire lors de leur séance ordinaire du 12 juin.
Bernard Garnier, le vice-recteur aux études et aux activités internationales, a
fait la présentation du projet de politique qui a par la suite été adopté par
le Conseil. Cette politique entrera en vigueur à la session d’hiver 2013. «Avant
la rédaction de la version finale de la politique, le comité d’élaboration a effectué
une tournée de l’ensemble des facultés afin de vérifier si le projet répondait
bien aux attentes, aux besoins et aux questionnements», explique Serge Talbot,
directeur général du premier cycle et responsable du dossier. Le comité a
également consulté les deux grandes associations étudiantes, l’ÆLIÉS et la
CADEUL. «Il était important de le faire, poursuit-il, puisque c’est pour les
étudiants que l’Université a entrepris cette démarche qui vise à favoriser la
réussite scolaire et à accélérer l’obtention du diplôme.» La démarche de
reconnaissance des acquis s’adresse tant aux candidats à l’admission qu’aux
étudiants inscrits à un programme, et ce, aux trois cycles d’enseignement. Elle
permet d’obtenir la reconnaissance officielle de ce que le candidat ou
l’étudiant a retiré de formations diverses ou d’expériences variées. «La
politique s’inscrit dans un mouvement international qui postule que l’on
apprend toute notre vie et dans différents contextes», indique Serge Talbot. Les acquis sont soit des connaissances, des
compétences ou des habiletés. Ils ont été obtenus, soit au cours d’une
scolarité, soit à l’extérieur du milieu de l’enseignement. Reconnaître des
acquis, cela signifie, par exemple, accorder une équivalence de cours ou une
exemption de cours préalables. La politique met l’accent sur la reconnaissance
de l’expérience. En l’adoptant, l’Université présente de façon plus affirmée sa
volonté de s’engager dans une démarche concertée de valorisation des acquis.
Elle s’engage à consolider et à harmoniser les pratiques en leur assurant un
encadrement. Un conseiller en reconnaissance des acquis extrascolaires sera
engagé à la session d’automne 2012 et relèvera de la Direction générale des
programmes de premier cycle. Deux documents serviront de base à la démarche de
reconnaissance: le Catalogue institutionnel d’équivalences de cours et de
crédits et le Guide institutionnel de reconnaissance des acquis extrascolaires.
www.aufil.ulaval.ca/articles/reconnaissance-des-acquis-33871.html
La Politique sera accessible d’ici la
fin juillet à l’adresse suivante: http://www2.ulaval.ca/notre-universite/documents-officiels.html
Le département de génie chimique à l'École Polytechnique a
préparé un vidéo promotionnel pour faire connaître le programme de génie
chimique. www.youtube.com/watch?v=iF36VV5RJvs Hélène Chatillon Coordonnatrice au soutien
promotionnel des programmes de génie chimique Polytechnique de Montréal
Nouveau microprogramme en thérapie
Un microprogramme de deuxième cycle en thérapie conjugale et
familiale débute cet automne. Ce programme, composé de quatre cours réparti sur
quatre sessions, est offert par l’École de service social. Il s’adresse
spécifiquement aux intervenants des milieux pratiques (centres jeunesse,
centres de santé et de services sociaux, hôpitaux, organismes communautaires,
milieux scolaires) désireux de parfaire leur formation dans le domaine de la
thérapie conjugale et familiale. Au terme de cette formation, les diplômés
seront aptes à évaluer le fonctionnement d’un couple ou d’une famille de façon
multidimensionnelle et rigoureuse. De plus, ils seront en mesure de réaliser
des interventions de base auprès de couples et de familles en s’appuyant sur
les techniques probantes dans le domaine. Le microprogramme est ouvert aux
titulaires d’un baccalauréat en service social, psychologie, psychoéducation,
criminologie, sexologie et sciences infirmières, ou d’un diplôme équivalent.
Pour être admis, le candidat doit avoir acquis un minimum d’une année
d’expérience comme intervenant dans un établissement du réseau des services
communautaires, du réseau des services de santé et des services sociaux, ou du
réseau scolaire. Il doit aussi faire de l’intervention régulièrement ou
ponctuellement auprès de familles (comme psychoéducateur, travailleur social,
éducateur, criminologue, etc.). Ce microprogramme accepte de nouveaux candidats
tous les deux ans, à la session d’automne. Il est possible de faire une demande
d’admission jusqu’au 15 août. Pour plus de détails sur cette formation: http://capsule.ulaval.ca/cms/site/capsule
Une profession en mutation
Les journalistes scientifiques de demain seront majoritairement
des femmes diplômées de sciences www.aufil.ulaval.ca/articles/une-profession-mutation-33868.html
Documentation
Reconnaître les psychopathes (ou
personnalités antisociales) par leur façon de parler www.psychomedia.qc.ca/sante-mentale/2011-10-23/reconnaitre-psychopathie-personnalite-antisociale-langage
Quotient intellectuel: les femmes
auraient rejoint et dépassé les hommes. Cette année, pour la première fois
depuis 100 ans, les femmes obtiendraient un résultat moyen de quotient
intellectuel (QI) plus élevé que les hommes, selon un chercheur en psychologie
néo-zélandais qui prépare un livre surle sujet. Les femmes ont déjà obtenu en
moyenne 5 points de moins que les hommes, indique James R. Flynn de l'Université
Otago. Ces 100 dernières années, précise-t-il, les résultats ont augmenté chez
les hommes et chez les femmes, mais un peu plus rapidement chez ces dernières.
Le chercheur est connu pour avoir identifié, dans les années 1980, ce qui a été
appelé l'effet Flynn, selon lequel le QI moyen augmente de 3 à 7 points (selon
les études) par décennie dans les pays industrialisés. http://www.psychomedia.qc.ca/intelligence/2012-07-15/quotient-intellectuel-femmes-hommes
Les
bénéfices du café pour la santé se confirment de plus en plus http://www.psychomedia.qc.ca/sante/2012-07-07/benefices-du-cafe
Durée de
vacances optimale pour le bien-être mental et professionnel. Les bénéfices pour
le bien-être mental et professionnel des vacances atteindraient un pic après
environ 10 jours, selon une thèse doctorale de l'University of the Rockies (États-Unis). Dena Ann Dries a mené cette étude avec 143
employés à temps plein, âgés de 21 à 62 ans, l'âge médian étant de 41 ans. Des
vacances assez longues peuvent aider à stabiliser la santé mentale et favoriser
le "bien-être professionnel". Mais, a constaté la chercheuse,
"il y a un point à partir duquel ajouter des journées de vacances cesse
d'améliorer la satisfaction par rapport au travail et d'avoir un impact sur le
maintien à l'emploi et le bien-être professionnel", dit-elle. Les participants
qui prenaient plus que 3 semaines de vacances ne présentaient aucune différence
significative (concernant différentes variables mesurées) par rapport à ceux
qui prenaient environ 10 jours à l'exception de ceux qui étaient en état de
"burn-out extrême", dit-elle.
Des études précédentes, indique-t-elle, ont conclut que 10 à 14 jours
peuvent être une durée de vacances optimale.
Dov Eden, chercheur en psychologie organisationnelle à l'Université de
Tel Aviv, qui a mené des études sur l'impact des vacances selon diverses
conditions, recommande de prendre des vacances relativement courtes mais plus
nombreuses lorsque possible. Il souligne l'importance de vraiment décrocher du
travail http://www.psychomedia.qc.ca/sante-mentale/2010-07-20/duree-de-vacances-optimale-pour-le-bien-etre-mental-et-professionnel
L’industrie du recyclage et ses emplois. Au Québec, plus de
10 000 travailleurs s’affairent à récupérer, à trier, à réemployer, à recycler
et à valoriser des matières qui seraient autrement destinées au rebut. Le
valoriste est un nouveau type de professionnel dont le travail consiste à
trouver des usages novateurs pour des matières issues de nos bacs à
recyclage. www.jobboom.com/carriere/l-industrie-du-recyclage-et-ses-emplois/
Alerte à minuit
Diffuser une lumière bleue et rouge
pourrait aider à ajuster l’horloge interne des travailleurs de nuit www.aufil.ulaval.ca/articles/alerte-minuit-33864.html
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Moteur de recherche pour retrouver un article dans les Archives du bulletin Remarquez le moteur de recherche du bulletin sur le site à droite. Il suffit d'entrer un mot significatif et vous obtenez les numéros archivés (plus de 200 numéros) sur le sujet recherché ainsi que les liens Internet consultés. Fameux ! L'essayer, c'est l'adopter. http://quelquechosedelacoc.blogspot.com/
À noter à votre agenda
La direction de l’UQAT est heureuse de vous accueillir pour le Xe congrès de l’ACOC en 2013 (28 au 31 mai, à la même semaine que le Festival des Guitares du Monde en Abitibi-Témiscamingue http://www.fgmat.com/ ) ANNE-MARIE NADEAU http://www.uqat.ca/services/personnel/fiche.asp?Fiche=080242 Agente de recrutement Service des communications et du recrutement Campus de Rouyn-Noranda Anne-Marie.Nadeau@uqat.ca Osez l’Abitibi-Témiscamingue lors du Xe Congrès de l’ACOC. C’est avec plaisir et fébrilité que l’équipe du Service des communications et du recrutement vous attend pour vous faire connaître notre université, mais surtout, pour vous faire vivre l’expérience UQAT! Le nord-ouest du Québec regorge de beautés et de trésors peu connus. Profitez du congrès de l’ACOC pour découvrir ce qui se cache de l’autre côté du Parc De La Vérendrye. Avant-goût de la programmation : expérimentation du studio MoCap; La culture autochtone; L’art-thérapie; Visite minière; Festival des guitares du monde en Abitibi-Témiscamingue; et plus encore!
L'OCCOQ recevra le colloque international d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec en 2014.
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