21 août 2012

V 11 No 2: Grève dans les cégeps - Les étudiants vulnérables ont écopé

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
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août 2012
Test d'aptitude études dentaires
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Admission tardive université
Informations importantes étudiants du collégial
Portes ouvertes universitaires automne 2012
Le Projet de loi 21 psychothérapie
Zone Membres - Lettres de l'ACOC et informations sur la Tournée universitaire 2012-2013

Conseiller à la gestion des études Période d'affichage 22-08-2012  au  31-08-2012 Secteur de travail: Faculté de médecine Statut: Affectation temporaire ou contrat temporaire Admissibilité: Ouvert à tous Si vous ou de vos proches pensez être le ou la collègue idéal pour venir travailler avec moi au Bureau de l'admission de la Faculté de médecine Guy Labrecque (nouveau poste en affection temporaire au début avec possibilité de prolongement!) www.rh.ulaval.ca/cms/site/rh/accueil/emplois/emplois_professionnels

Grève dans les cégeps - Les étudiants vulnérables ont écopé. Les taux d’échec et d’abandon sont plus élevés chez les plus faibles. Le taux de réussite est légèrement en baisse dans les cégeps grévistes, mais il y a des échecs inquiétants chez les élèves à risque. Dans les quelques cégeps grévistes où la reprise de la session d’hiver 2012 s’est achevée en juin plutôt qu’en août, les taux de réussite, quoiqu’en baisse, sont moins alarmants qu’appréhendé. Mais les échecs et les abandons touchent particulièrement les étudiants les plus vulnérables. Certains se voient carrément montrer la porte. Les étudiants de quelques cégeps ont décidé, démocratiquement, de rentrer en classe un peu avant que tombe le projet de loi 78, devenu loi 12. À Saint-Jean-sur-Richelieu, Joliette, Sherbrooke et en Outaouais, par exemple, où les étudiants ont dû reprendre le fil de leur session en accéléré après 8, 9, 10 ou même 11 semaines de grève. Ils ont complété leurs derniers examens à la fin de juin. La tendance, selon ce qu’a pu constater Le Devoir ? Un taux de réussite légèrement en baisse, mais des échecs inquiétants chez les élèves déjà désignés comme à risque à l’automne 2011. Au campus de Joliette du cégep régional de Lanaudière, la grève a duré 11 semaines. Puis les étudiants ont réintégré les cours de façon démocratique. De la mi-mai au 28 juin, ils ont dû « mettre toutes leurs énergies » à finir la session, raconte la directrice du cégep, Chantale Perreault. Résultat ? Un taux de réussite de 85 %, soit une baisse de 2 % par rapport à l’hiver 2011. Même si elle est fière du résultat, Mme Perreault s’inquiète pour ceux qui ne sont pas revenus et ont donc essuyé un échec dans plus de quatre cours. Plusieurs d’entre eux, ayant connu d’autres échecs aux sessions précédentes, auraient dû être exclus. Mais la direction a décidé de faire preuve de « souplesse » dans l’application du règlement. Dix étudiants seulement, sur 2500, se sont vu montrer la porte. Aux autres, on a laissé une chance, sous condition de réussir à l’automne. À Saint-Jean-sur- Richelieu, on a été moins « souple ». Ce sont 224 étudiants en échec qui se font exclure à l’issue de cette session pas comme les autres, une hausse de 50 % par rapport à 2011. Soit ils ont été incapables de suivre le rythme, avec neuf semaines de cours reprises en six, des journées allongées et une cadence accélérée de remise des travaux. Soit on ne les a plus jamais revus en classe après la grève. « Ils ont le droit d’en appeler de la décision », explique Lucie Lahaie, la directrice des études par intérim. « On va décider au cas par cas, mais si la seule raison évoquée est la grève, ça ne sera pas suffisant » pour casser la décision, avertit celle qui doit composer avec un cégep qui a pratiquement atteint sa pleine capacité. Les étudiants exclus pourront présenter une nouvelle demande d’admission dans six mois. D’autres choisiront plutôt une autre voie, comme un diplôme d’études professionnelles (DEP). Le taux de réussite des cours à cet établissement enregistre une baisse pareille à celle du cégep de Joliette, passant de 83 à 81 %. « Ça s’est somme toute bien passé. On peut noter que l’écart de réussite est heureusement plus faible que ce à quoi nous pouvions nous attendre, ce qui nous réjouit beaucoup d’ailleurs », dit Mme Lahaie. « Même si ç’a été dur pour les plus faibles » concède-t-elle. Conseiller pédagogique au même cégep, Réjean Montpetit dit qu’« on ne peut pas nier que le mouvement étudiant a eu un impact. Les plus faibles ont payé le prix. Ils n’ont pas nécessairement eu l’encadrement nécessaire pour réussir, même si de notre côté on a fait tout ce qu’on pouvait avec les ressources disponibles ». Les étudiants plus faibles au secondaire admis tout de même au cégep ont pu trouver la marche trop haute, de même que des étudiants composant avec des difficultés d’apprentissage, par exemple. Bref, la clientèle la plus vulnérable à qui il manquait parfois quelques points pour atteindre la note de passage, malgré tous les efforts consentis. « En juin, il y en a qui ont craqué », selon la conseillère en orientation Hélène Trudeau. Stress et découragement additionnés parfois de problèmes financiers ont mené certains à « choisir » les cours à sacrifier, raconte-t-elle. Soirs, fins de semaine : les étudiants du cégep de l’Outaouais aussi ont ramé pour finir la session d’hiver 2012 après la grève, explique la directrice des études JoAnne Paradis. Même si les données sur les échecs sont indisponibles, on sait que 14 % des étudiants ont déclaré, par sondage, qu’ils ne reviendraient pas. Pour eux, c’est l’échec assuré. « Nous, on était contents ! On avait peur que ce soit le quart ou le tiers qui ne reviendraient pas ! », dit Mme Paradis. Selon cette dernière, le cégep n’enverra pas davantage de lettres de renvoi cette année, malgré tout. Au cégep de Sherbrooke, on dit ne pas avoir calculé non plus les taux de réussite. Mais les taux d’abandon varient d’un programme à l’autre, selon la directrice générale Marie-France Bélanger, passant de moins de 5 % à plus de 10 % selon les disciplines. Là aussi, on a décidé d’appliquer avec souplesse le règlement qui mène les étudiants en situation d’échecs répétés au renvoi. « On fait du cas par cas, mais on ne veut pas les pénaliser indûment pour la grève, explique Mme Bélanger. On veut être équitable et souple ». www.ledevoir.com/societe/education/356934/les-etudiants-vulnerables-ont-ecope

Les étudiants reçoivent une facture plus élevée Même si les élections n’ont pas eu lieu, des universités haussent déjà les droits de scolarité. À McGill, les droits de scolarité pour un semestre au 3e cycle ont bondi à 1201,95 $. La rentrée universitaire approche à grands pas, et certains étudiants ont déjà reçu une facture plus élevée, a constaté Le Devoir. Plusieurs universités ont commencé à envoyer des factures majorées, correspondant à la hausse imposée par le gouvernement Charest de 254 $ sur sept ans.  À l’Université McGill, Jim (nom fictif), étudiant au doctorat, a reçu le 4 août une facture qui fixait, parmi d’autres frais, les droits de scolarité du 3e cycle pour un semestre à 1083,90 $. Deux jours plus tard, il a reçu une seconde facture, plus élevée, de 1201,95 $, payable au plus tard le 31 août. À l’Université du Québec à Montréal (UQAM), les factures majorées sont envoyées depuis la mi-juillet, mais les étudiants devront l’acquitter quelques semaines après la rentrée, qui se fera en même temps pour tous les étudiants, soit le 1er octobre. À l’Université de Montréal, les factures seront envoyées à la mi-septembre. L’Université Laval fera de même pour ses étudiants qui commenceront les cours au lendemain des élections le 5 septembre, mais procédera à un second envoi, décalé, aux étudiants qui commenceront le 1er octobre. À l’Université Concordia, la facture majorée est générée par Internet au moment de l’inscription en ligne. Si les universités disent ne faire qu’appliquer les directives ministérielles, la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) trouve ce choix prématuré étant donné que les élections pourraient changer la donne. « C’est très précipité. On se demande ce que cache cet empressement à demander aux étudiants de payer alors qu’on est en pleine élection. Rien n’indique que la hausse va être maintenue », a dit la présidente de la FEUQ, Martine Desjardins. Elle fait remarquer que l’empressement du gouvernement à bonifier l’aide financière n’est toutefois pas le même, puisque les changements promis aux prêts et bourses n’entreront en vigueur que le 1er octobre. Si le Parti libéral n’est pas réélu, la hausse pourrait effectivement être suspendue pour le semestre d’automne 2012 qui s’amorce. Ce serait le cas avec un gouvernement péquiste, a souligné la chef du Parti québécois, Pauline Marois, qui souhaite néanmoins une indexation du coût des études. Les montants de la hausse déjà perçus seraient ainsi remboursés. Advenant un gouvernement dirigé par la Coalition avenir Québec, la majoration des droits de scolarité sera suspendue jusqu’en janvier 2013, avait précisé son chef, François Legault. Son parti propose toutefois une augmentation de la facture de 200 $ par année pendant cinq ans. La plupart des universités ont déjà planifié leurs budgets en fonction de la hausse des droits de scolarité, qui doit leur rapporter un financement supplémentaire de 160 millions. Elles devront s’adapter si les directives gouvernementales changent. « On n’a pas de scénario pour le lendemain de l’élection. Si le gouvernement nous demande de changer, on va s’ajuster », a indiqué Mathieu Filion, du service des communications de l’Université de Montréal. www.ledevoir.com/societe/education/357334/les-etudiants-recoivent-une-facture-plus-elevee


Collégial
Le portefeuille des étudiants aminci par la grève. Des étudiants en grève n’auront pas à attendre l’éventuelle hausse des droits de scolarité pour se serrer la ceinture. La grève générale illimitée et la rentrée scolaire extraordinaire du mois d’août risquent de causer des répercussions sérieuses sur les finances des grévistes. Ceux qui doivent absolument travailler pour financer leurs études devront coupler leur emploi à une fin de session hiver 2012 condensée par la loi 12. Éliane Laberge, la présidente de la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ), s’inquiète du sort des cégépiens qui doivent encaisser une charge de travail de « douze semaines en sept ». Quant à l’aide financière, elle sera carrément coupée pour plusieurs étudiants qui ont travaillé davantage durant les six mois de grève. Si les premiers versements des prêts et bourses doivent être octroyés au début de l’année scolaire 2012-2013, les bonifications promises par le gouvernement Charest se feront attendre jusqu’au 1er octobre, si elles sont maintenues après les élections. Or Martine Desjardins, la présidente de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ), doute que ce délai puisse être respecté : « Les hauts fonctionnaires du gouvernement à qui nous avons parlé ne savaient plus sur quel pied danser. On doit changer tous les modes de calcul, réinvestir l’argent, réadapter les tests de crédit, et au milieu de tout cela, on déclenche des élections. Pourtant, la hausse, elle, n’arrivera pas en retard. Le gouvernement nie clairement ses responsabilités au profit de la campagne électorale. » Finalement, l’aide financière n’a pas été reconduite depuis la fin avril (période marquant habituellement la fin de session) pour plusieurs bénéficiaires en débrayage. La Coalition large de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante (CLASSE) « dénonce cet arrêt de versements problématiques pour les étudiants et les parents », aux dires de la co-porte-parole Jeanne Reynolds, qui y voit une « mesure cachée » visant à « mettre fin à la grève en resserrant la corde autour du cou des gens qui en ont le plus besoin ». Pour pallier les lacunes dans l’aide financière gouvernementale, des associations étudiantes telles que celle du cégep de Saint-Laurent rassemblent des fonds d’entraide qui fournissent notamment une aide alimentaire aux étudiants dans le besoin. Au cours du printemps, la FEUQ a organisé plusieurs spectacles-bénéfices ayant permis d’offrir des bourses alimentaires et du matériel scolaire aux étudiants et parents dans le besoin. La CLASSE a institué samedi un comité d’action qui devrait faire connaître d’ici les prochains jours sa stratégie de réponse aux besoins financiers extraordinaires des étudiants qui ont fait la grève ce printemps. Le cégep de Saint-Hyacinthe s’est joint hier aux huit autres cégeps qui ont décidé de rentrer en classe depuis la semaine dernière. Les 1300 membres présents ont voté une trêve de la grève pour une durée indéterminée, avec un taux de participation d’environ 35 %. Du côté de l’Association des étudiants en musique de l’Université de Montréal, qui compte 634 membres, la grève a été reconduite jusqu’au 6 septembre, avec un faible taux de participation de 14 %. www.ledevoir.com/societe/education/356935/le-portefeuille-des-etudiants-aminci-par-la-greve

L'industrie du tourisme peine à recruter dans Charlevoix Les gens de Charlevoix refusent d'exercer les métiers de base en tourisme. «Les métiers de base en tourisme, les travailleurs ne veulent pas les faire, et ce, même si on a des gens disponibles.» Ce constat vient du directeur général de Tourisme Charlevoix, Jacques Lévesque. M. Lévesque réagissait au reportage publié dans Le Soleil de mardi sur la présence de travailleurs étrangers pour répondre aux besoins de l'industrie touristique de Charlevoix. Les difficultés de recrutement en hôtellerie et en restauration pressenties il y a plusieurs années sont maintenant réelles pour les membres de Tourisme Charlevoix. Ces métiers souvent saisonniers, réputés difficiles et payés au salaire minimum, n'attirent pas non plus la relève, d'où notamment le recrutement de travailleurs étrangers par le Fair mont Manoir Richelieu. «Ça fait 10 ans que c'était prévu, ce creux de disponibilité de la main-d'oeuvre en tourisme. Et ce n'est pas unique à notre région», rappelle M. Lévesque. Hélène Marchand, directrice de la réputée Auberge des 3 Canards à La Malbaie, constate que «trouver des gens passionnés et formés en hôtellerie est devenu très difficile. Pourtant, en Europe, ces métiers sont très bien vus, et les gens, très compétents. Ici, c'est comme si c'était des emplois terribles.» Selon elle, ces métiers ont «été mal représentés par le passé», d'où ce désintérêt pour les occuper. La directrice du Mouvement action chômage de Charlevoix, Dani Harvey, croit que cette disette de travailleurs touristiques est «une responsabilité partagée entre les employeurs et les travailleurs». Elle qui a une «liste noire d'employeurs chez qui plus personne ne veut aller» milite pour «des conditions de travail décentes. Il faut aussi que les employeurs se mettent à la page de la conciliation travail-famille», croit-elle. Alors que la saison touristique bat son plein, Emploi-Québec affichait hier 187 offres d'emploi à pourvoir pour Charlevoix, dont 43 en restauration et en hôtellerie, soit un peu plus de 24 %. À la même date, pour la Ville de Québec, des 3707 offres d'emploi affichées, près de 600 étaient dans le secteur de l'hébergement et de la restauration. «Le recrutement dans ce secteur a toujours été un peu difficile», constate Serge Durand, responsable des communications à la direction régionale d'Emploi-Québec pour la Capitale-Nationale. «Dans Charlevoix, la problématique est surtout au niveau du bassin de main-d'oeuvre. Ce sont des emplois occupés à 25 % par des jeunes, et il y en a de moins en moins.» Emploi-Québec et les intervenants locaux travaillent depuis huit ans à déjouer ces difficultés de recrutement. Foires de l'emploi, affichage des postes et diffusions radiophoniques sont au nombre des actions régulières pour informer et recruter des travailleurs. «Le phénomène fait en sorte que la Table d'immigration, notamment, fait des efforts pour attirer des gens de l'extérieur. La démographie ne se renverse pas facilement», ajoute M. Durand. À l'École d'hôtellerie de Charlevoix, où sont données des formations professionnelles en cuisine et en restauration, la directrice Lina Boudreault peine à recruter des jeunes. «Il faudra peut-être aussi renouveler les conditions de travail en offrant, par exemple, des horaires rotatifs les fins de semaine et les soirées. Ça vaut aussi au niveau de la formation où nous proposons maintenant des horaires de cours à temps partiel et de la reconnaissance d'acquis. Et il faut valoriser ces métiers.» www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/les-regions/201208/08/01-4563500-lindustrie-du-tourisme-peine-a-recruter-dans-charlevoix.php

Universitaire
L’économie, c’est pour tout le monde. Jim Stanford n’est pas un économiste comme les autres. Abhorrant les graphiques et les calculs savants, il est plutôt du genre à interpréter un blues à la guitare (un clip sur YouTube en fait foi) pour intéresser le commun des mortels à des questions comme la prospérité, le travail ou les inégalités. Employé par le syndicat des Travailleurs canadiens de l’automobile, il prend régulièrement part aux débats publics, que ce soit comme chroniqueur dans le Globe and Mail, comme panéliste au journal télévisé de la CBC ou comme blogueur dans le site du Forum économique progressiste. Il publiait en novembre 2011 la version française de son dernier essai, intitulée Petit cours d’autodéfense en économie – l’abc du capitalisme. Son message aux travailleurs ordinaires : l’économie, ce n’est pas sorcier et, surtout, ça vous regarde! www.jobboom.com/carriere/l-economie-c-est-pour-tout-le-monde

Les 250 000 emplois de Charest: pas une promesse, une menace http://jobboomblog.com/point-de-vue/les-250-000-emplois-de-charest-pas-une-promesse-une-menace/

Documentation
QU'EST-CE QUE LE DÉVELOPPEMENT DU POUVOIR D'AGIR (DPA)? Il existe plusieurs définitions légèrement différentes pour décrire le DPA de manière plus ou moins abstraite. On peut toutefois s'appuyer sur cette acception générale selon laquelle il s'agirait : D'un processus par lequel des personnes accèdent ensemble ou séparément à une plus grande possibilité d'agir sur ce qui est important pour elles-mêmes, leurs proches ou la collectivité à laquelle elles s'identifient. AFFICHE  PROGRAMME  FORMULAIRE D'INSCRIPTION. Les inscriptions se terminent le 15 septembre au colloque international sur l’approche centrée sur le développement du pouvoir d’agir des personnes et des collectivités Changer le monde au quotidien. Vous pouvez vous inscrire à l’adresse suivante : www.ladpa.ulaval.ca Par ailleurs, nous profitons de ce message pour vous mentionner que l’atelier 13 est maintenant complet et qu’il reste seulement quelques places dans les ateliers 5 et 11. En souhaitant avoir le plaisir de vous rencontrer en septembre, veuillez agréer l’expression de nos sentiments distingués. L’équipe du Laboratoire de recherche sur le Développement du Pouvoir d’Agir des personnes et des collectivités (LADPA) de l’Université Laval

Carte des nouvelles mines au Québec www.jobboom.com/carriere/test-mines  
  

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À noter à votre agenda
   
La direction de l’UQAT est heureuse de vous accueillir pour le Xe congrès de l’ACOC en 2013 (28 au 31 mai, à la même semaine que le Festival des Guitares du Monde en Abitibi-Témiscamingue http://www.fgmat.com/ ) ANNE-MARIE NADEAU http://www.uqat.ca/services/personnel/fiche.asp?Fiche=080242 Agente de recrutement Service des communications et du recrutement Campus de Rouyn-Noranda Anne-Marie.Nadeau@uqat.ca   Osez l’Abitibi-Témiscamingue lors du Xe Congrès de l’ACOC.  C’est avec plaisir et fébrilité que l’équipe du Service des communications et du recrutement vous attend pour vous faire connaître notre université, mais surtout, pour vous faire vivre l’expérience UQAT! Le nord-ouest du Québec regorge de beautés et de trésors peu connus.  Profitez du congrès de l’ACOC pour découvrir ce qui se cache de l’autre côté du Parc De La Vérendrye. Avant-goût de la programmation : expérimentation du studio MoCap; La culture autochtone; L’art-thérapie; Visite minière; Festival des guitares du monde en Abitibi-Témiscamingue; et plus encore!  

L'OCCOQ recevra le colloque international d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec en 2014.

Bruno Tremblay, c.o. conseiller aux communications de l'ACOC acocinfo@gmail.com

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