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(860 membres, 11e saison du bulletin électronique)
Sanguinaire du Canada
(L'Ancienne-Lorette mai 2013)
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Sanguinaire du Canada
(L'Ancienne-Lorette mai 2013)
Section Nouvelles
Congrès 2013 de l'ACOC
Information Colloque Dialogue 2013
Rencontre annuelle psy et c.o. cégeps
universités
Admission tardive à l'université automne
2013
Admission universitaire
Cégeps - C’est la fin du programme arts et lettres.
La littérature n’est plus qu’une «option» dans le nouveau programme culture et
communication. Exit le programme collégial arts et lettres, bonjour culture et
communication. Le ministre de l’Enseignement supérieur, Pierre Duchesne, a
officiellement approuvé le 18 avril dernier le nouveau programme d’études
préuniversitaires qui devra entrer en vigueur dès l’année scolaire 2015-2016
dans tous les cégeps du Québec. Un changement pas seulement cosmétique qui
suscite déjà de vives réactions. Culture et communication a pour objectif de «
donner à̀ l’élève une formation équilibrée qui comprend une formation
culturelle de base et une formation générale » afin de lui permettre de
poursuivre à l’université dans les domaines des « arts, des langues, des
lettres, des sciences de l’éducation ou des communications », précise-t-on dans
le document explicatif du programme, dont Le Devoir a obtenu copie. À la
lecture de ce document au jargon hermétique, quelques nouveautés. On constate
d’abord d’emblée que la littérature devient une « option » (profil) aux côtés
de six autres (théâtre, arts, médias, langues, multidisciplinaire et cinéma).
La formation spécifique de ce nouveau programme est aussi bonifiée de 30 heures
pour un total de 705 heures, rattrapant presque totalement l’écart avec
d’autres programmes comme sciences de la santé et sciences humaines. Quoi
d’autre ? On y lit, entre les lignes, une volonté plus ferme du gouvernement
d’insister sur l’histoire dans ce programme qui ne comptait aucun cours
obligatoire (ni en formation générale ni en formation spécifique). « Dans les
sondages auprès des étudiants, une des lacunes qui est ressortie est les
connaissances générales en histoire. Les jeunes pouvaient bien connaître les
techniques de montage en cinéma, ou l’actualité cinématographique, mais ils
manquaient de connaissances générales en histoire, dans la chronologie. Par
exemple, quand on parlait du cinéma dans l’époque de “l’entre-deux-guerres”,
les jeunes avaient de la difficulté à la situer », explique David Descent,
conseiller pédagogique au cégep régional de Lanaudière, à Terrebonne. L’un des
objectifs du nouveau programme culture et communication était de mieux arrimer
les programmes collégiaux et les programmes universitaires et d’assurer un «
continuum de formation ». Certains contenus théoriques, notamment en cinéma, se
dédoublaient entre les deux niveaux d’études. Le nouveau programme fait aussi
disparaître certains cas étranges, comme le fait que feu le programme arts et
lettres avait un profil… en arts et lettres. Il répond aussi à un souhait
d’uniformiser le programme entre les cégeps, sans obliger à ce que les cours
soient tous les mêmes d’un établissement à l’autre. Mais selon M. Descent, le
ministère voulait répondre aux préoccupations des étudiants pour qui le terme «
communication » avait davantage de résonance, comparativement au mot « lettres
», qui fait un peu « vieilli ». « [Le ministère] s’est aperçu que 45 % des gens
allaient dans le profil communication. Il drainait tellement de gens que le
ministère s’est dit qu’il allait le nommer ainsi », constate-t-il. Sans être du
pareil au même, le programme change tout en s’inscrivant dans la continuité du
précédent. « C’est comme si on jetait à terre une maison et qu’on la
rebâtissait exactement pareille, mais avec des matériaux différents, qu’ils
soient plus durables ou à la mode », résume un enseignant au cégep. N’empêche
que le programme était vieux et qu’il méritait une modernisation, comme l’ont
évoqué plusieurs. Pour Luc Bouchard, professeur de littérature au cégep du
Vieux-Montréal, qui a réfléchi comme bien d’autres de ses collègues à ce
changement de programme, c’est le nom « culture et communication » qui pose
problème. « Je trouve ça d’une infinie tristesse que lettres disparaisse.
C’était ce sur quoi l’éducation était fondée depuis toujours. La littérature,
c’est l’étude des textes, la transmission du savoir par la lecture…, dit-il.
Dans culture et communication, ça devient une option, alors que, bien que je
sois prof dans cette discipline, il m’a toujours semblé que le meilleur moyen
d’accéder à la culture était d’abord et avant tout la littérature »,
poursuit-il. M. Bouchard déplore que le mot « oeuvre » ait été remplacé dans le
programme par « objet culturel ». « Un objet culturel, ça peut être L’homme
rapaillé, mais ça peut être aussi une bouteille d’eau », fait-il remarquer. Le
blogue pARLE prof a recensé plusieurs réactions à l’avènement du nouveau
programme. Plusieurs enseignants craignent que culture et communication mène
davantage les élèves à s’inscrire à l’université dans des disciplines relevant
des sciences humaines. En accord avec le terme « culture », le directeur du
Département des littératures de langue française à l’Université de Montréal,
Benoît Melançon, craint que le mot communication n’induise une certaine «
professionnalisation ». « Les gens travaillent dans le domaine de la
communication, mais on ne peut pas dire la même chose du domaine des lettres.
On n’est pas du tout dans une logique professionnalisante », a-t-il soutenu. www.ledevoir.com/societe/education/377665/c-est-la-fin-du-programme-arts-et-lettres?utm_source=infolettre-2013-05-08&utm_medium=email&utm_campaign=infolettre-quotidienne
Programme d'études préuniversitaires Culture et communication - Un programme plus complet pour un meilleur arrimage avec l'université. Le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie, M. Pierre Duchesne, tient à préciser que la révision du programme d'études préuniversitaires Arts et lettres, maintenant appelé Culture et communication, prévoit des cours de littérature. L'ajout de 2 unités et de 30 heures d'enseignement pour un total de 705 heures en ce qui concerne la formation spécifique du programme Culture et communication permet de rattraper l'écart avec le programme Sciences humaines. Comme la précédente formation, celle-ci permettra toujours aux étudiants inscrits d'avoir accès aux programmes universitaires des domaines des arts, des lettres, des langues, des sciences de l'éducation et des communications. « Le programme Culture et communication met l'accent sur le développement de compétences générales et permettra aux étudiants d'être formés adéquatement avant leur entrée à l'université. La culture s'y trouve à la fois dans son sens traditionnel, qui se rapporte aux arts et aux lettres, et dans son sens large, c'est-à-dire les éléments de culture et de civilisation qui caractérisent des sociétés, telles les langues. Le terme communication vient, pour sa part, rappeler que les arts, les lettres et les langues s'inscrivent dans un processus de communication », a fait savoir le ministre Duchesne. Cette révision s'inscrit à la suite d'une vaste démarche d'élaboration et de consultation entreprise en 2009. Cette démarche, qui a fait appel à l'expertise d'enseignants du collégial de même que de directions des études des collèges et des universités, avait pour objectif de déterminer les attentes du milieu universitaire pour les diplômés du programme. Une analyse comparative du profil de formation attendu et du programme Arts et lettres a permis d'établir que le programme en vigueur ne répondait plus aux besoins de formation exprimés par le milieu. La refonte de ce programme d'études répond donc aux besoins de formation actuels des étudiants et présente un niveau rehaussé. L'appellation Culture et communication vise à mieux refléter la diversité de la formation proposée dans l'offre de cours bonifiée. Le nouveau programme comprend sept options : les arts, la littérature, le cinéma, les langues, les médias, le théâtre ainsi qu'une option multidisciplinaire. « Malgré son titre, aucun cours de littérature n'était obligatoire dans le programme Arts et lettres. Grâce à l'ajout de 30 heures d'enseignement, les étudiants qui veulent véritablement se concentrer sur la littérature pourront désormais le faire davantage », a mentionné le ministre Duchesne. Soulignons que cette refonte, adoptée en avril dernier, peut faire l'objet d'une implantation dans les 62 collèges qui proposaient déjà le programme Arts et lettres dès l'automne 2013. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Mai2013/08/c5001.html
Programme d'études préuniversitaires Culture et communication - Un programme plus complet pour un meilleur arrimage avec l'université. Le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche, de la Science et de la Technologie, M. Pierre Duchesne, tient à préciser que la révision du programme d'études préuniversitaires Arts et lettres, maintenant appelé Culture et communication, prévoit des cours de littérature. L'ajout de 2 unités et de 30 heures d'enseignement pour un total de 705 heures en ce qui concerne la formation spécifique du programme Culture et communication permet de rattraper l'écart avec le programme Sciences humaines. Comme la précédente formation, celle-ci permettra toujours aux étudiants inscrits d'avoir accès aux programmes universitaires des domaines des arts, des lettres, des langues, des sciences de l'éducation et des communications. « Le programme Culture et communication met l'accent sur le développement de compétences générales et permettra aux étudiants d'être formés adéquatement avant leur entrée à l'université. La culture s'y trouve à la fois dans son sens traditionnel, qui se rapporte aux arts et aux lettres, et dans son sens large, c'est-à-dire les éléments de culture et de civilisation qui caractérisent des sociétés, telles les langues. Le terme communication vient, pour sa part, rappeler que les arts, les lettres et les langues s'inscrivent dans un processus de communication », a fait savoir le ministre Duchesne. Cette révision s'inscrit à la suite d'une vaste démarche d'élaboration et de consultation entreprise en 2009. Cette démarche, qui a fait appel à l'expertise d'enseignants du collégial de même que de directions des études des collèges et des universités, avait pour objectif de déterminer les attentes du milieu universitaire pour les diplômés du programme. Une analyse comparative du profil de formation attendu et du programme Arts et lettres a permis d'établir que le programme en vigueur ne répondait plus aux besoins de formation exprimés par le milieu. La refonte de ce programme d'études répond donc aux besoins de formation actuels des étudiants et présente un niveau rehaussé. L'appellation Culture et communication vise à mieux refléter la diversité de la formation proposée dans l'offre de cours bonifiée. Le nouveau programme comprend sept options : les arts, la littérature, le cinéma, les langues, les médias, le théâtre ainsi qu'une option multidisciplinaire. « Malgré son titre, aucun cours de littérature n'était obligatoire dans le programme Arts et lettres. Grâce à l'ajout de 30 heures d'enseignement, les étudiants qui veulent véritablement se concentrer sur la littérature pourront désormais le faire davantage », a mentionné le ministre Duchesne. Soulignons que cette refonte, adoptée en avril dernier, peut faire l'objet d'une implantation dans les 62 collèges qui proposaient déjà le programme Arts et lettres dès l'automne 2013. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Mai2013/08/c5001.html
Tu es formidable, le sais-tu? Nous vivons dans une
société de performance... Nous vivons dans une société de performance où l’on
doit toujours être au sommet de sa forme, où l’on ne parle plus du plaisir de
marcher, mais plutôt du nombre de kilomètres que l’on court, où à la question
comment vas-tu? La réponse est malheureusement, trop souvent : ça va trop vite!
On ne s’étonne donc plus de savoir qu’à chaque jour au pays, 500 000 personnes
s’absentent de leur travail à cause de problèmes de santé mentale et qu’un
tiers de la population souffrirait d’anxiété. Ces troubles ne sont pas qu’un
énorme fardeau social et économique, ils privent l’être humain de qualité de
vie et de bonheur. Idéalement, il nous faudrait prévoir un temps d’arrêt pour
reconnaître, ses besoins, ses forces, ses limites, et définir ce qui est
important à nos yeux. Malheureusement, notre vie nous oblige souvent à ne pas
pouvoir le faire. On se dit que les problèmes de santé mentale et l’épuisement
c’est pour les autres. De plus, un grand nombre de Québécoises et Québécois
espèrent la solution miracle pour garder une bonne santé mentale. Mais, cette
solution miracle contre le stress, la dépression et l’anxiété n’existe pas. Par
contre, fortifier l’estime de soi est un facteur de protection considérable
pour prévenir ces derniers et nous pouvons tous le faire à chaque jour de notre
vie ! Le bien-être psychologique se cultive jour après jour socialement,
collectivement et individuellement. En mai, l’Association canadienne de la
santé mentale – Division du Québec (ACSM) lancera la campagne « TEF » (Tu Es
Formidable!), une formule à la portée de tous et qui fait du bien. Pas besoin
de consulter un professionnel de la santé pour en bénéficier. C’est simple,
pendant la Semaine de la santé mentale et pendant toute l’année qui suit,
pourquoi ne pas administrer la formule « TEF » à vos proches en prenant le temps
de dire à vos parents, vos enfants, vos amis, vos voisins, vos collègues qu’ils
sont formidables, et ce, autant dans les petites que les grandes choses de la
vie. Et puis pourquoi ne pas le dire à vous-même. Vous serez surpris de l’effet
immédiat de la formule « TEF ». Il stimule les anticorps de l’estime de soi, un
ingrédient incontournable pour favoriser la bonne santé mentale. L’estime de
soi agit comme le système immunitaire de la conscience, offrant résistance,
force et une capacité de régénération tout au long de l’année. Lorsqu’il est
faible, notre résistance face aux adversités de la vie est diminuée. L'estime
de soi affecte donc notre pensée, nos choix, notre façon d'être et de faire. Nous
avons tous un rôle à jouer pour améliorer notre propre santé mentale, et aussi
celle des autres. La simple phrase « Tu es formidable! Le sais-tu ? » a un
potentiel thérapeutique extraordinaire. Elle est à la fois une mesure
d’immunisation et d’humanisation. Profitons de la Semaine nationale de la santé
mentale, du 6 au 12 mai, pour donner la formule« TEF » et soutenir l’estime de
soi. Nadia Rochefort Conseillère en promotion et prévention en santé mentale ACSM
Saguenay www.santementale.ca
Un Canadien sur cinq est né à l'étranger. Parmi les
pays du G8, le Canada est ainsi le 2e pays comptant le plus d'immigrants,
derrière l'Australie où 26,8% de la population est née à l'étranger. www.lapresse.ca/actualites/national/201305/08/01-4648700-un-canadien-sur-cinq-est-ne-a-letranger.php
Six grandes tendances du travail de demain www.lesaffaires.com/blogues/olivier-schmouker/six-grandes-tendances-du-travail-de-demain/556825#.UYF4n734g1L
Alors, vous voulez un doctorat? Les dures réalités
du doctorat universitaire Les inscriptions au doctorat dans les universités
ontariennes ont pratiquement doublé au cours de la dernière décennie, alors que
les deux tiers environ des doctorants aspirent à devenir professeurs
d'université. Si l'on considère que les professeurs canadiens à temps plein
sont maintenant les mieux rémunérés de leur profession dans le monde -
travaillant davantage d'heures mais bénéficiant d'une plus grande satisfaction
au travail que leurs homologues des autres pays -, on comprend la validité de
cette aspiration. Mais d'après deux nouveaux rapports du Conseil ontarien de la
qualité de l'enseignement supérieur (COQES), la demande de postes de professeur
à temps plein surpasse de beaucoup l'offre. On estime que moins de 25 % des
doctorants au Canada obtiendront un poste à plein temps de chercheur ou
d'enseignant menant à la permanence, ce qui suscite un mécontentement
grandissant chez les actuels détenteurs d'un doctorat et les nouveaux diplômés
quant à leur degré de préparation à embrasser une carrière non universitaire.
L'article En question du COQES intitulé « En quête d'un doctorat? L'attrait,
les écueils et les résultats de la poursuite d'un doctorat » est une analyse
détaillée de la recherche actuelle sur le paysage changeant du doctorat en
Ontario. « Au-delà des laboratoires et des bibliothèques : Les cheminements de
carrière possibles après des études de doctorat » est une étude qualitative des
vues de 67 doctorants et titulaires de doctorat (en majorité) de deux
universités de l'Ontario qui s'appuie sur 12 groupes de réflexion et 4
entretiens téléphoniques réalisés au cours de l'été et de l'automne de 2012.
Les inscriptions à un programme de doctorat en Ontario ont augmenté, passant de
plus de 10 000 en 1999 à un peu plu de 19 000 en 2009, cette hausse étant
largement attribuable au financement des gouvernements fédéral et provincial,
qui anticipaient le départ à la retraite des membres âgés du corps professoral
et un effectif croissant d'étudiants de premier cycle (en particulier en
Ontario). S'il ressort toujours des données que les titulaires d'un doctorat au
Canada affichent les plus faibles taux de chômage, la réalité actuelle est
qu'il y a carence d'occasions d'emploi dans le secteur universitaire - ce que
les participants des groupes de réflexion imputent à des réductions de
financement, à la fin du départ à la retraite obligatoire, à des classes plus
peuplées, à davantage de cours dispensés en ligne et au recours croissant à des
postes contractuels pour remplacer les professeurs qui prennent leur retraite.
Pourtant, malgré la pénurie d'emplois d'enseignant dans les universités, de
nombreux programmes de doctorat, en particulier en sciences sociales et en
sciences humaines, continuent de former et d'encadrer des étudiants en vue
d'une carrière universitaire qui se présente de plus en plus rarement. Et les
étudiants au doctorat qui poursuivent une carrière non universitaire se sentent
souvent démunis après avoir décroché leur diplôme, en particulier s'ils ont eu
peu de contacts avec le monde extérieur au secteur universitaire. Dans l'étude
qualitative, la plupart des participants ont déclaré que leurs études de
troisième cycle ne les avaient pas suffisamment préparés à une carrière hors de
l'habituelle sphère universitaire. Certains ont mentionné qu'ils étaient
incapables de parler ouvertement à leurs superviseurs de ce qu'ils pensent ou
de leurs projets hors du monde universitaire. Si des efforts sont actuellement
déployés pour offrir aux candidats au doctorat des stages et une exposition à
des cheminements de carrière non universitaires, il s'agit en grande partie
d'initiatives volontaires qui ne font pas partie des exigences de la plupart
des programmes de troisième cycle. Et si les recherches montrent que les
doctorants estiment avoir eu un conseiller diligent et bénéficié d'une bonne
qualité d'enseignement, il reste que ces étudiants sont moins enthousiastes en
ce qui concerne leur cheminement de carrière et l'acquisition d'autres
compétences professionnelles. Les deux rapports préconisent un certain nombre
d'améliorations, dont la création d'un répertoire central de toutes les
possibilités et occasions qui appuient, chez les étudiants, l'acquisition de
compétences professionnelles et la formation professionnelle (un référentiel
qui, idéalement, serait partagé ouvertement entre les programmes d'une
université et entre universités), ainsi que de fournir aux étudiants un accès à
de l'information sur les choix de carrière et les compétences recherchées. On
presse les gouvernements de réexaminer leurs objectifs de promotion d'une
hausse des inscriptions aux programmes de doctorat et de se demander si les
investissements consentis à ce titre produisent les résultats désirés, alors
que les programmes de troisième cycle devraient reconnaître que la majorité des
titulaires de doctorat n'obtiendront pas de poste universitaire à plein temps.
On conseille aux étudiants de se demander se demander si un programme de
doctorat répond réellement à leurs buts et intérêts personnels et à leurs
aspirations professionnelles. Ils devraient parler à d'autres étudiants et à de
récents diplômés au sujet de leurs expériences, se renseigner sur les
possibilités de perfectionnement professionnel et insister pour que leur
programme universitaire leur fournisse des statistiques sur les résultats
obtenus sur le marché du travail et sur les cheminements de carrière des
récents diplômés. SOURCE : Conseil ontarien de la qualité de l'enseignement
supérieur http://www.newswire.ca/fr/story/1155433/alors-vous-voulez-un-doctorat-les-dures-realites-du-doctorat-universitaire
Le nouveau site Web du Cégep@distance est en ligne.
Le nouveau site Web du Cégep@distance est maintenant pleinement déployé à www.cegepadistance.ca Le nouveau site a été organisé de sorte à
répondre aux besoins des différentes clientèles du Cégep@distance : étudiants,
réseau de l’éducation, entreprises et public. Ceux-ci trouveront ainsi
facilement l’information qui les concerne, entre autres grâce à des menus
détaillés. Il est à noter que le Cégep@distance a déployé les efforts
nécessaires afin de rendre son site conforme aux standards d’accessibilité du
Web pour les personnes handicapées (SGQRI 008-01). « Au cours des dernières
années, notre offre de service a cheminé selon les besoins de nos clientèles.
En même temps, les technologies et les standards du Web ont évolué rapidement.
Notre nouveau site nous permet de répondre aux besoins de nos publics avec les
solutions technologiques les plus appropriées. Il nous permet de demeurer à
l’avant-garde en tant que chef de file en formation collégiale à distance, » a
affirmé le directeur du Cégep@distance, Viet Pham. Parmi les améliorations, un
engin de recherche présent en permanence dans l’entête du site permet de
rechercher des cours par numéro ou titre de cours ainsi que du contenu dans le
site. L’engin effectue des suggestions en cours de frappe en distinguant les
cours et les pages d’information. Les pages de description de cours ont quant à
elles été réorganisées et affichent des renseignements plus complets. En terme
d’organisation du site, les étudiants inscrits et les tuteurs trouveront
pratique le bouton « Accès » situé en tout temps dans l’entête et leur
permettant d’accéder à l’environnement d’apprentissage. De plus, les personnes
familières avec le Cégep@distance apprécieront trouver les documents de
référence en pied de page. Conçu avec Wordpress, le site présente un visuel
actualisé. De nombreuses vidéos réparties dans ses pages (témoignages,
émissions produites par le Cégep@distance et information sur l’établissement)
le rendent plus dynamique. À venir dans les prochains mois : amélioration de la
version mobile et mise en ligne de la version anglaise. www.lescegeps.com/nouvelles/20130502_le_nouveau_site_web_du_cegepdistance_est_en_ligne
Avis du Comité consultatif sur l'accessibilité
financière aux études concernant l'annulation de bonifications à l'aide
financière aux études. Le Comité consultatif sur l'accessibilité financière aux
études rend public un avis transmis au ministre de l'Enseignement supérieur, de
la Recherche, de la Science et de la Technologie portant sur un projet de
règlement qui prévoit l'annulation de bonifications à l'aide financière aux
études. Ces bonifications étaient liées à une hausse prévue des droits de
scolarité à l'enseignement universitaire à compter de 2012-2013. Elles
concernent le Programme de prêts et bourses et le Programme de prêts pour les
études à temps partiel. www.gouv.qc.ca/portail/quebec/pgs/commun/asurveiller/infos/actualites_130502_etudes/?lang=fr
3ème Plan autisme : il est temps que la
psychanalyse laisse sa place, dit la ministre (France). Marie-Arlette Carlotti,
ministre déléguée chargée des personnes handicapées et de la lutte contre
l’exclusion, a présenté jeudi 2 mai le 3ème Plan autisme (2013-2017). Le plan
est doté d'une enveloppe de 205 millions d’euros, représentant 18 millions de
plus que le 2ème plan, pour financer cinq axes d’intervention : - le diagnostic
précoce, - l’accompagnement tout au long de la vie depuis l’enfance, - le
soutien aux familles, - la recherche, - la formation de l’ensemble des acteurs.
Le plan préconise notamment un dépistage dès 18 mois et une orientation vers
les méthodes éducatives et non plus psychanalytiques. "En France depuis
quarante ans, l'approche psychanalytique est partout, et aujourd'hui elle
concentre tous les moyens. Il est temps de laisser la place à d'autres méthodes
pour une raison simple: ce sont celles qui marchent, et qui sont recommandées
par la Haute autorité de santé (HAS)", a-t-elle déclaré au Parisien.
"Que les choses soient claires", a-t-elle ajouté, "n'auront les
moyens pour agir que les établissements qui travailleront dans le sens où nous
leur demanderons de travailler". "Les recommandations de l’Agence
nationale de l’évaluation et de la qualité des établissements et services
sociaux et médico-sociaux (ANESM) et de la HAS feront référence pour l’ensemble
des professionnels", est-il précisé.
En ce qui concerne le diagnostic précoce, "à partir du premier
trimestre 2015, profitant de la refonte du carnet de santé, nous y inclurons
une grille de dépistage des premiers signes, dès l'âge de 18 mois", a
également précisé Mme Carlotti au Parisien. Parmi les annonces : la création de
350 places dites "de répit", permettant des placements de courte
durée (contre 40 actuellement); 700 places pour les petits en unité
d'enseignement en maternelle; la formation de 5.000 professionnels du secteur
médico-social aux méthodes éducatives et 1.500 places d'accueil de plus pour
les adultes autistes. www.psychomedia.qc.ca/autisme/2013-05-02/3eme-plan-2013-2017-france
À l’émission Tout le monde en parle, Luc Vigneault,
un ex-psychiatrisé devenu intervenant/chargé de cours/conférencier, est venu
parler de problèmes de santé mentale. Il mentionnait entre autres que la
découverte de nouvelles passions et des projets intéressants sont essentiels
pour retrouver du plaisir et de l’équilibre mental. www.radio-canada.ca/emissions/tout_le_monde_en_parle/saison9/document.asp?idDoc=290408#leplayer
(cliquer sur le vidéo Luc Vigneault) Voici, un peu dans la même veine, un
article parlant des bienfaits de l’activité physique pour la santé mentale : www.santelog.com/news/neurologie-psychologie/troubles-mentaux-les-benefices-des-activites-physiques-adaptees-apa-_10344_lirelasuite.htm
Pierre Bureau, c.o. Un monde beau, même
schizo www.lapresse.ca/le-soleil/arts-et-spectacles/television-et-radio/201305/05/01-4647846-un-monde-beau-meme-schizo.php
TROUBLES MENTAUX: Les bénéfices des Activités Physiques Adaptées (APA) www.santelog.com/news/neurologie-psychologie/troubles-mentaux-les-benefices-des-activites-physiques-adaptees-apa-_10344_lirelasuite.htm
Un ordre professionnel des biologistes réclamé www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/201304/26/01-4645092-un-ordre-professionnel-des-biologistes-reclame.php Dernières nouvelles Des organisations
réclament la création d'un ordre des biologistes. Association des biologistes
du Québec, Conservation Nature et Québec Arbres www.abq.qc.ca S’appuyant sur le cas du
boisé Neilson à Québec Des organisations réclament la création d’un Ordre des
biologistes www.abq.qc.ca/site/pdf/communiquer/CO13-04-26_Communique_NQ-ABQ-QuebeArbres.pdf
DSM-5 pour smartphone : l'application "DSM-5
Diagnostic Criteria Mobile App" L'American Psychiatric Publishing lancera
l'application mobile DSM-5 Diagnostic Criteria Mobile App permettant un accès
hors ligne aux critères diagnostiques du DSM-5, la cinquième édition du
Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders publié par l'American
Psychiatric Association dont la sortie est prévue pour le 22 mai. L'application
pourra être achetée via le iTunes store et l'Android market à partir du premier
juin. Elle permet de rechercher par menu ou par mot clé (par troubles ou
symptômes) ou par codes ICD (CIM) ainsi que de sélectionner des contenus pour
référence ultérieure. www.psychomedia.qc.ca/dsm-5/2013-05-03/application-smartphone-dsm-5-diagnostic-criteria-mobile-app
Le National Institute of Mental Health (NIMH)
américain se distance du DSM-5 de l'American Psychiatric Association www.psychomedia.qc.ca/sante-mentale/2013-05-03/diagnostics-psychiatriques-le-nimh-se-distance-du-dsm-5
Une année sans Internet
Combien de temps êtes-vous capable de passer sans Internet?
Paul Miller est un journaliste spécialisé en nouvelles technologies pour The
Verge. Il vient de relever le défi de passer une année complète sans se
connecter à Internet. En 2012, alors âgé de 26 ans, le jeune homme est au bout
du rouleau. Il sent qu’Internet, qui joue un rôle central dans sa vie depuis
qu’il a 12 ans, est en grande partie responsable du surmenage dont il se sent
affublé. Il prend donc la décision de se déconnecter pendant un an. Au départ,
c’est une décision très personnelle. Il dit vouloir retrouver « le vrai Paul
Miller », réaliser des projets personnels, se détacher de la superficialité
d’Internet. C’est alors que son employeur lui propose de lui verser son salaire
afin qu’il tienne un journal pour documenter son expérience. Le 30 avril 2012,
à 23 h 59, il débranche son Internet, il échange, selon ses termes, « mon
téléphone intelligent pour un téléphone idiot », et il entame une nouvelle vie,
hors ligne. « J’ai eu tort. » Voilà la première phrase de son bilan, publié un
an plus tard. Au cours des premiers mois, la vie sans Internet est une
révélation : il prend le temps de s’arrêter, d’apprécier les petites choses, il
rencontre des gens, il fait du sport, il perd du poids, il lit des livres, il
écrit… Puis, petit à petit, la réalité le rattrape. Sans nécessairement
s’ennuyer d’Internet, il réalise qu’il recommence à prendre des mauvais plis:
il peut passer des journées complètes seul, assis sur son divan, à ne rien
faire, à simplement écouter de la musique ou à jouer à des jeux vidéos. Il
réalise également qu’il ne parvient pas à maintenir les contacts personnels,
qu’il s’isole de plus en plus, et qu’à ce chapitre, Internet lui manque. « On a
gaspillé beaucoup d’encre pour se moquer du faux concept d’un ami Facebook,
mais je peux vous dire qu’un ami Facebook, c’est mieux que rien », dit-il. Il
en vient à la conclusion que ce n’est pas Internet qui a fait de lui ce qu’il
est. Et que dans nous sommes qui nous sommes, avec ou sans Internet, et que
s’il y a des choses de nous qui nous déplaisent, ce n’est pas le fait d’être ou
non sur Internet qui va y changer quoi que ce soit. Un an plus tard, il conclut
en disant qu’il s’apprête à retourner sur Internet, qu’il n’a aucune idée de
comment ça va se passer, « mais au moins, dit-il, je serai connecté ». Un
documentaire d’une quinzaine de minutes relate son expérience. Vous pouvez
également lire les chroniques rédigées par Paul Miller pendant cette année hors
ligne. http://blogues.radio-canada.ca/surleweb/2013/05/02/une-annee-sans-internet
Rompre le silence sur le suicide - Une chercheuse
de Concordia utilise l'art pour illustrer les effets transculturels du suicide.
À partir des exercices faits tout au long du symposium, les chercheurs ont
cerné les thèmes transculturels du suicide qui se dégageaient des discussions
et des œuvres d’expression créatrice des participants. Il y avait entre autres
le suicide en tant que tabou, la dissimulation et l’isolation, l’impact
multigénérationnel, l’observation d’autrui et l’observation par autrui. Comme
le fait remarquer la Pre Silverman : « Pour la première fois, les participants
ont pris conscience que le tabou du suicide touche chaque culture, chaque
communauté, chaque classe et chaque condition sociale. » www.concordia.ca/now/media-relations/communiques-de-presse/20130506/rompre-le-silence-sur-le-suicide.php
«La plupart des gens qui sont présentement en arrêt
de travail le sont pour cause de troubles mentaux» Une pathologie mentale sur
deux apparaît avant 14 ans! www.ledevoir.com/societe/sante/377116/la-plupart-des-gens-qui-sont-presentement-en-arret-de-travail-le-sont-pour-cause-de-troubles-mentaux?p=534820
La Génération Y, une définition contextuelle avant
tout. La génération Y est mal définie. Souvent identifiés par leurs
hypothétiques traits communs, les "jeunes" nés entre 1980 et 2000
correspondent rarement à la caricature qu'on en fait. Peut-être car nombre des
articles et ouvrages sur eux sont rédigés par ceux qui n'en sont pas ? Le principal problème d'une approche dite "par
les traits" est qu'elle tente d'identifier des points communs dans une
population donnée, tendant alors régulièrement à la caricature. La génération Y
n’est pas homogène, pas plus que les autres, mais le contexte dans lequel elle
a grandi l’a doté d’éléments culturels communs. Ni plus, ni moins. www.journaldunet.com/management/expert/54153/la-generation-y--une-definition-contextuelle-avant-tout.shtml?p=534959
Développement de l'école « 2.0 » - Un projet
innovateur unit sept commissions scolaires de la région
Laval-Laurentides-Lanaudière Le
développement de l'école « 2.0 » prend une ampleur intéressante partout au
Québec et témoigne bien de toute la créativité du milieu de l'éducation. Dans
la région Laval-Laurentides-Lanaudière (LLL), un projet innovateur prendra
bientôt forme au profit des nombreux élèves qui ont à suivre des cours d'été.
En effet, les sept commissions scolaires de la région LLL ont créé des cours
d'été en ligne en histoire, en français, en mathématiques et en sciences. www.rlll.ca
Emploi-Québec, une porte d’entrée vers les agences
controversées de location de personnel. Le secteur de la transformation alimentaire
figure parmi ceux qui ont le plus recours aux agences de location de personnel,
auxquelles s’adressent de nombreux immigrants. Emploi-Québec contribue à
l’essor des agences de location de personnel en affichant leurs offres sur son
portail Web. Confus, des gens se font ainsi recruter malgré eux dans des
emplois plus précaires. www.ledevoir.com/politique/quebec/377664/emploi-quebec-une-porte-d-entree-vers-les-agences-controversees-de-location-de-personnel?
Collégial
Le Cégep de Lévis-Lauzon et l'UQAR
lancent un outil convivial pour trouver un logement hors campus sur le Web. Le
Cégep de Lévis-Lauzon et l'UQAR lancent leur nouveau site Internet www.lelhc.qc.ca .
Un outil incontournable pour les étudiants qui souhaitent trouver un logement à
proximité de leur établissement d'enseignement. Cette nouvelle version du site
de logements hors campus à Lévis offre davantage de fonctionnalités aux
propriétaires d'immeubles résidentiels et aux locateurs. « Les propriétaires
peuvent se créer un compte et annoncer gratuitement leurs logements à louer.
Comme il s'agit d'une interface dynamique, ils ont désormais la liberté de
gérer eux-mêmes la publication et le retrait de leur annonce lorsque leur
logement est loué », indique Allan Dumas, régisseur du Centre sportif et du
Service des résidences au Cégep de Lévis-Lauzon. Le site a été modifié afin de
faciliter la recherche d'un logement hors campus aux étudiants avec les
derniers moyens techniques. « Les étudiants ont la possibilité de faire une
recherche de logement à l'aide d'une carte ou d'une liste et de voir des photos
des logements disponibles », mentionne Sébastien Dubé, coordonnateur aux
Services aux étudiants de l'UQAR au campus de Lévis. « Grâce à une application
de Google, ils peuvent connaître la distance exacte entre le logement ciblé et
leur établissement d'enseignement. » Hébergé et administré par le Cégep de
Lévis-Lauzon, le site Web fonctionne selon un principe de libre-service. Son
utilisation est d'ailleurs gratuite tant pour les annonceurs que pour les
étudiants. « Notre objectif était de créer un site convivial et épuré. Nous
sommes convaincus que les internautes vont apprécier sa facilité d'utilisation
», conclut M. Dumas.
Groupe Collegia offrira un
programme de Guide d'aventure unique au Québec www.cegepgim.ca/155-nouvelles-collegia/623-groupe-collegia-offrira-un-programme-de-guide-d-aventure-unique-au-quebec
Groupe Collegia offrira l'AEC
Numérisation et archivage à compter de septembre 2013 à Matane . Groupe
Collegia, le consortium des services de formation continue du Cégep de Matane
et du Cégep de la Gaspésie et des Îles, offrira l’attestation d’études
collégiales (AEC) Numérisation et archivage à compter du 16 septembre 2013 à
son centre de Matane. Ce programme a comme principal objectif de formation de
développer chez les candidats des habiletés et des aptitudes pour assumer des
fonctions de préposé au courrier virtuel et au contrôle des documents, ainsi
que de préposé à la saisie et à la préparation des documents. À l’issue de leur
formation, les diplômés seront aptes à exercer des tâches relatives aux profils
de technicien à la gestion de documents, de préposé au contrôle des documents
ou encore de préposé à la saisie et à la préparation de documents au sein
d’organismes gouvernementaux, publics ou privés. Cette AEC de 645 heures,
réparties sur 21 semaines, sera dispensée à temps plein de septembre 2013 à
février 2014. Les étudiants du programme auront la possibilité de compléter un
stage rémunéré de 13 semaines auprès d’un organisme de la région de Matane. Les
personnes intéressées à s’inscrire à ce programme d’études devront détenir un
diplôme d’études secondaires ou posséder une formation jugée suffisante par le
cégep accompagnée d’une expérience de travail pertinente. La date limite pour
déposer sa candidature est fixée au 24 mai 2013. Pour en savoir plus, www.collegia.qc.ca/etudier/etudier-a-temps-plein
Levée de boucliers contre
l'Institut Confucius à Québec La signature d'un accord
confidentiel avec la Chine qui permet l'installation au cégep Limoilou, à
Québec, d'un controversé Institut Confucius crée des remous au sein de cet
établissement. L'association étudiante locale (AGEECL) s'oppose farouchement à
cette initiative pour des raisons éthiques et morales. Elle voit en cet Institut
un outil de propagande et d'«endoctrinement».
«Ce sera la version officielle de la Chine, où, par exemple, on nous
convaincra que le Tibet est chinois», déplore Philippe Dubois, secrétaire aux
affaires externes de l'AGEECL, en entrevue à La Presse. À l'issue d'une
assemblée générale tenue hier midi, l'association étudiante demande donc à la
direction du cégep de «briser» cette entente «honteuse», dévoilée en présence
de la ministre Agnès Maltais le 26 février dernier. Les Instituts Confucius,
dont le siège est à Pékin, sont surveillés par nombre de services de
renseignement parce qu'ils sont considérés au minimum comme un outil
d'influence, de «puissance douce» (soft power) du gouvernement chinois.
Certains les suspectent aussi de servir de paravent pour des activités
d'espionnage en raison des partenariats tissés avec des entreprises de haute
technologie chinoises. Illustration parfaite de cette crainte, la responsable
montréalaise de l'Institut a déjà confié à La Presse avoir reçu plusieurs
visites d'agents du SCRS. «Comment une institution publique québécoise
peut-elle s'associer avec un organisme dirigé par le Parti communiste chinois?»
questionne M. Dubois. Il dénonce les
contraintes édictées par la Chine. En particulier le fait, selon l'article 6 du
règlement des Instituts, que les lois chinoises «prévalent» et ne doivent pas
être violées.«Inadmissible et honteux» Dans un mémoire déposé hier,
l'association étudiante considère aussi les «conditions d'embauche des
enseignants de mandarin fournis par la Chine comme inacceptables». Les adeptes
du Falun Gong, religion bannie en Chine, seraient ainsi exclus. «Nous ne
pouvons rester indifférents devant de telles pratiques qui violent nos lois
nationales, lit-on dans le mémoire étudiant. Le cégep se retrouve à endosser de
telles pratiques, ce qui est inadmissible et honteux.» Le Parti communiste
chinois a ouvert un premier Institut Confucius en 2004 en Corée du Sud. Signe
de son succès, aujourd'hui, on en compterait près de 358 dans 105 pays. Celui
de Limoilou sera une «antenne» de celui du Collège Dawson. Officiellement, sa
mission est de «favoriser les relations avec la Chine, en offrant la
possibilité d'acquérir une meilleure compréhension de la culture et de la
civilisation chinoises». Dans un rapport secret consacré en 2006 aux Instituts
Confucius, les services de renseignement canadiens écrivent que la «Chine veut
que le monde s'éprenne d'elle et de tout ce qui est chinois». Selon le SCRS,
cette «puissance douce» va de pair avec la campagne de l'empire du Milieu pour
«accroître sa puissance militaire et son pouvoir économique». Le directeur
général du cégep n'a pas rappelé La Presse. www.lapresse.ca/actualites/education/201305/01/01-4646648-levee-de-boucliers-contre-linstitut-confucius-a-quebec.php
Formation collégiale en soins
vétérinaires : une première au Canada grâce au Collège boréal et à la SPCA de
l'Ontario. À l’occasion de l’ouverture officielle de la nouvelle aile
vétérinaire du campus du Collège Boréal à Sudbury, la présidente-directrice
générale de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux
(SPCA) de l’Ontario, Mme Kate MacDonald, et le président du Collège Boréal, M.
Denis Hubert-Dutrisac, ont dévoilé un partenariat novateur facilitant le
partage de ressources et de connaissances entre ces deux établissements. Grâce
à ce partenariat avec la SPCA de l’Ontario, le Collège Boréal devient le premier
collège au Canada à enseigner les techniques vétérinaires nécessaires aux
refuges pour animaux. Les axes de collaboration entre la SPCA de l’Ontario et
le Collège Boréal portent sur la création d’un nouveau Refuge et centre
pédagogique de la SPCA de l’Ontario pour la région de Sudbury et du district,
ainsi que l’utilisation conjointe de la nouvelle aile vétérinaire du Collège
Boréal. Cet espace de 5 000 pieds carrés est doté des dernières innovations en
matière de médecine animale : radiographie numérique, système de ventilation
ajustable selon les espèces, salle d’opération à la fine pointe de la
technologie, section complète en dentisterie animale, salles de quarantaine.
D’une durée de 5 ans, ce partenariat permettra également aux étudiantes et aux
étudiants du programme de Techniques de soins vétérinaires du Collège Boréal de
bénéficier de l’expertise de la SPCA de l’Ontario (partage de manuels, de
protocoles, etc.), d’approfondir leurs connaissances théoriques et pratiques,
tout en obtenant de nouvelles possibilités de stages, de travail bénévole et
d’opportunités d’emploi par le biais du réseau ontarien de la SPCA. «
Aujourd’hui, le Collège Boréal et la SPCA de l’Ontario mettent en commun des
ressources complémentaires afin d’offrir l’excellence en matière de formation
vétérinaire collégiale » souligne M. Hubert-Dutrisac. « Forts des avantages que
procure ce partage de savoir et d’installations ultramodernes, et de notre
collaboration avec l’Université de Guelph – Campus d’Alfred, les premiers bénéficiaires
de ce partenariat à l’échelle de la province sont les étudiants du Collège
Boréal ».mMme MacDonald mentionne quant à elle la portée de ce nouveau
partenariat « Grâce à une approche ouverte et innovante, la SPCA de l’Ontario
est heureuse de contribuer davantage à la protection des animaux ainsi qu’à la
formation d’une main-d’œuvre qualifiée capable de répondre aux besoins
spécifiques de ce secteur d’activité. Le modèle que nous avons développé en
collaboration avec le Collège Boréal s’avère des plus prometteurs et intéresse
d’ores et déjà nos homologues de la Colombie Britannique et de la Nouvelle
Écosse ». Depuis l’année 2000, le programme de Techniques de soins vétérinaires
du Collège Boréal est offert conjointement avec l’Université de Guelph – Campus
d’Alfred. En 16 ans d’existence, ce programme aura ainsi permis à 432 étudiants
d’obtenir ce diplôme collégial de deux ans. www.collegeboreal.ca
Hausse des inscriptions au Cégep
de la Gaspésie et des Îles - Une stratégie de recrutement efficace mais
dispendieuse pour le cégep. Le deuxième tour de demandes d’admission, qui s’est
terminé le 1er mai dernier, a confirmé la tendance à la hausse des demandes du
1er tour. Pour l’ensemble de ses campus, le Cégep a 162 nouvelles demandes
d’admission, du jamais vu en plus de 10 ans. Ces résultats sont le fruit de
nombreux efforts de recrutement à coûts élevés pour le Cégep et la Conférence
des élus qui financent ces activités. Le Cégep demande ainsi des mesures à court
terme au gouvernement du Québec afin d’aider au recrutement étudiant à
l’extérieur de sa région et de pallier ainsi la baisse démographique. Avec les
efforts réalisés en promotion, d’année en année, le Cégep augmente
graduellement sa proportion d’étudiants provenant de l’extérieur de la Gaspésie
et des Îles-de-la-Madeleine et les demandes d’admission du 1er et 2e tour cette
année vont en ce sens. Les coûts ne peuvent toutefois continuer d’être assumés
complètement par la région, ce qui représente une iniquité entre cégeps de
milieux urbains et ruraux. Parmi les actions de promotion réalisées cette
année, notons entre autres l’octroi d’incitatifs financiers et des rencontres
avec des élèves du 5e secondaire des régions suivantes : Outaouais, Montérégie,
Montréal, Laval, Centre-du-Québec, Estrie, Capitale-nationale et du Bas
St-Laurent. Le Cégep a également participé aux salons de l’Éducation de
Montréal et de Québec et a orchestré deux campagnes publicitaires, donnant une
visibilité notamment sur VRAK-TV, TOU.TV et le métro de Montréal. Ces efforts
de promotion s’ajoutent à ceux mis en place en Gaspésie et aux
Îles-de-la-Madeleine, afin de poursuivre le recrutement dans le bassin naturel
de l’établissement. www.cgaspesie.qc.ca
Universitaire
La Société québécoise des professionnels en relations
publiques décerne un prix d'excellence à l'UQO. L’équipe de la Direction des
communications et du recrutement de l’Université du Québec en Outaouais (UQO)
vient de remporter un Prix d’excellence décernée par la Société québécoise des
professionnels en relations publiques (SQPRP) dans la catégorie communications
électroniques et interactives pour son guide personnalisé virtuel des études.
En septembre 2012, lors du lancement du site monguide.uqo.ca, l’UQO devenait la
première université québécoise à proposer un guide des études personnalisé
disponible en ligne. Plus de 1 000 guides des études générés via PDF ou
expédiés par la poste ont été commandés par les étudiants depuis sa mise en
linge. Le guide virtuel de l’UQO agit donc comme alternative au guide des
études traditionnel, auparavant imprimé et distribué à plus de 15 000
exemplaires de 276 pages. Cette initiative représente une économie de plus de 2
millions de pages imprimées et entraîne une réduction marquée de nos coûts de
production. Le visuel convivial du guide, son accessibilité en ligne, sa grande
facilité d’utilisation et sa mise à jour en temps réel en font aussi un outil
dernier cri en termes d’information scolaire. «Ce nouveau guide des études
s’harmonise parfaitement avec la dimension humaine et l’encadrement
personnalisé qui distinguent notre université. Ici, chaque étudiant compte et
notre nouveau guide des études reflète l’unicité de chacun », explique Jean
Boileau, directeur des communications et du recrutement de l’UQO. « Nous avons
également réussi à réduire les coûts d’impression de 80 % par rapport à ceux du
guide des études imprimé. En plus de s’inscrire dans les nouvelles tendances
technologiques, notre nouveau guide répond aux exigences en termes de
développement durable », ajoute le directeur. La Société québécoise des
professionnels en relations publiques est le plus vaste réseau de
professionnels en relations publiques au Québec. Elle compte près de 600
membres qui œuvrent dans plusieurs champs de pratique, dans tous les secteurs
d'activités, dans les organismes gouvernementaux et communautaires aussi bien
que dans les entreprises privées. Les futurs étudiants peuvent commander en
ligne un guide d’études via l’adresse http://monguide.uqo.ca
L'UQO, première université au Québec à offrir une visite à
l'intérieur ses campus sur Google Street View. L’Université du Québec en
Outaouais (UQO) offre dorénavant aux internautes une visite virtuelle en 360
degrés à l’intérieur de ses campus de Gatineau et de Saint-Jérôme sur Google
Street View. Elle devient la première université au Québec à s’afficher ainsi
sur le moteur de recherche. «La technologie Street View explique le directeur
des communications et du recrutement de l’UQO, Jean Boileau permet de donner
vie à nos laboratoires, classes et diverses installations tels la voute
immersive unique de cyberpsychologie, le laboratoire de recherche en
photonique, les ateliers de l’école multidisciplinaire de l’image, la salle
d’urgence du département des sciences infirmières, les studios de la radio
étudiante de REEL RADIO, le centre sportif et les nombreuses classes et salles
de réunion de nos trois pavillons. Non seulement ces images apparaîtront dans
les recherches Google, sur Google Maps et sur Google+ Local mais elles sont
aussi intégrées au site internet de l’Université et à nos réseaux sociaux. »
Cette technologie est aussi compatible avec toutes les plateformes: téléphone
intelligent, tablette et PC/Mac. D’ailleurs, l’UQO a lancé en avril dernier une
version de son site Web destinée aux mobiles. Le service de visite virtuelle à
l’intérieur des entreprises et lieux publics est offert par Google depuis mai
2012. Les quelques 400 photos panoramiques des campus Alexandre-Taché,
Lucien-Brault et de Saint-Jérôme de l’UQO ont été réalisées par l’entreprise
Virtuo 360 certifiée par Google. La visite peut être effectuée sur le site de
l’UQO à l’adresse: www.uqo.ca/360 .
Université du Québec: 10 des 11 établissements menacent de
quitter la CRÉPUQ «Il n'y a personne qui
reproche quoi que ce soit à la CRÉPUQ ou aux autres universités. C'est plutôt
un constat que ça ne marche plus», a expliqué la présidente de l'Université du
Québec, Sylvie Beauchamp. La Conférence des recteurs et des principaux des
universités du Québec (CRÉPUQ) ne tient désormais qu'à un fil. Dix des onze
chefs d'établissement du réseau de l'Université du Québec ont fait part de leur
l'intention de quitter le navire cet automne si l'organisation conserve sa
forme actuelle www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201304/30/01-4646144-universite-du-quebec-10-des-11-etablissements-menacent-de-quitter-la-crepuq.php
La CREPUQ éclate
C'est son 50e anniversaire cette année, mais ça risque
d'être son dernier. Neuf autres universités claquent la porte de la Conférence
des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ), ce qui signe
son arrêt de mort sous sa forme actuelle. www.lapresse.ca/actualites/education/201305/01/01-4646278-la-crepuq-eclate.php
Quatre petites universités, dont Bishop's, ont formé une
alliance stratégique www.lapresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201305/03/01-4647160-quatre-petites-universites-dont-bishops-ont-forme-une-alliance-strategique.php
250 000 $ l'an pour diriger la CRÉPUQ Si le directeur
général de la Conférence des recteurs et des principaux des universités du
Québec (CREPUQ), Daniel Zizian, ne peut plus parler au nom de la majorité des
recteurs des universités, il empoche tout de même plus de 250 000 $
annuellement, un salaire comparable et, dans certains cas, supérieur aux leurs www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201305/02/01-4647020-250-000-lan-pour-diriger-la-crepuq.php
Le baccalauréat en neurosciences maintenant offert! C’est
avec fierté que l’Université de Montréal vous annonce l’ouverture à l’admission
de son nouveau baccalauréat en neurosciences, sous l’égide de la Faculté de
médecine! Ce nouveau programme couvre l’ensemble des divers domaines des
neurosciences: moléculaire, cellulaire, intégrative (systèmes sensoriels et
moteurs), comportementale, cognitive et computationnelle. On y aborde le
système nerveux durant toutes les phases du cycle de vie : du développement de
l’embryon jusqu’au vieillissement. Le nouveau programme comporte plusieurs
types d’activités: cours de base dans les disciplines connexes (biologie
moléculaire et cellulaire, biochimie, biostatistique, génétique, pathologie,
pharmacologie, physiologie et psychologie), incluant des cours théoriques ainsi
qu’une formation pratique en laboratoire; cours en neurosciences, incluant les
cours théoriques et pratiques; et un cours de stage de recherche (3e année)
permettant l’intégration des connaissances ainsi que le développement des
habiletés techniques et de la pensée critique. Ce programme donnera une
formation de premier plan aux étudiants se destinant à des carrières en
recherche (avec la possibilité d’un accès direct au doctorat en sciences
neurologiques - cheminement honor) et/ou aux études supérieures. Il permettra
aussi de se préparer à entreprendre un programme de formation professionnelle
en médecine, physiothérapie, ergothérapie, psychologie, orthophonie,
audiologie, sciences infirmières, optométrie, médecine dentaire, médecine
vétérinaire, pharmacie, etc. Finalement, la formation de base en neurosciences
servira comme préparation à d’autres carrières – éthique, marketing, gestion,
comptabilité, informatique (ex.: développement des logiciels éducatifs),
industrie (biotechnologie, pharmaceutique, agro-alimentaire, technologie
médicale), droit, maisons d’édition, consultant scientifique, etc. D’autres
possibilités peuvent s’ajouter avec les développements technologiques futurs
(ex.: en neuroéconomique). La capacité d’accueil est limitée à 50 places pour
l’admission à l‘automne 2013. La cote R minimale prévue est de 28, mais il est
possible qu’elle soit plus élevée dépendamment de la qualité des candidatures
reçues. Aux candidats ayant déjà rempli une demande d’admission à l’UdeM pour
ce trimestre, il suffit de remplir le formulaire en ligne d’ici le 1er juin
2013 pour que leur candidature soit évaluée pour ce nouveau programme. Si
aucune demande d’admission n’a été faite pour l’automne 2013, il faut soumettre
une demande d'admission au programme d’ici le 1er juin 2013. Pour toute
question concernant le programme, contactez C. Elaine Chapman, professeur
titulaire et responsable du baccalauréat en neurosciences à c.elaine.chapman@umontreal.ca .
Pour toute question concernant l’admission au programme, contactez le service
de l’admission au 514 343-7076.
UQAR - Déploiement du DEC-BAC en sciences infirmières dans
l'Est-du-Québec www.uquebec.ca/communications/article.cfm?archive=0&annee=2012&cat=1&newsid=9886
L'analyse des réseaux sociaux comme outil d'analyse des
trajectoires individuelles : pistes de conception http://orientationpourtous.blogspot.ca/2013/04/lanalyse-des-reseaux-sociaux-comme.html
Documentation
L'empathie
inhiberait la pensée analytique et vice-versa www.psychomedia.qc.ca/cognition/2012-11-08/empathie-et-pensee-analytique
DSM-5:
Sommes-nous tous fous? Xanax, la pilule miracle qui mène en enfer. Séries
télévisées, romans, débats: les troubles psychiatriques sont sortis de
l'anonymat. Faut-il pour autant alimenter cette tendance à tout psychiatriser?
Où est la limite entre timidité et phobie sociale, entre habitude et addiction,
entre tristesse et dépression? Quand faut-il consulter et prendre des
médicaments? Avec la question sous-jacente: où se situe la frontière entre la
normalité et la folie? http://www.rts.ch/emissions/36-9/4752542-dsm-5-sommes-nous-tous-fous-xanax-la-pilule-miracle-qui-mene-en-enfer.html
Les
psychopathes ne seraient pas neurologiquement aptes à se préoccuper des autres www.psychomedia.qc.ca/psychologie-de-la-personnalite/2013-04-27/psychopathie-cerveau
Personnalité:
l'honnêté-humilité et leur contraire inclus dans un "Big six" www.psychomedia.qc.ca/psychologie-de-la-personnalite/2013-01-08/modele-six-facteurs-hexaco
Les 10
pays les plus avancés socialement (PHOTOS) http://quebec.huffingtonpost.ca/2013/04/29/pays-socialement-avances-suede-uk-canada-suisse-france_n_3179618.html#slide=2391520
Indochine
: le clip choc sur l’intimidation (Ce morceau parle de la différence, et en
particulier d'un jeune garçon, dans un internat, subissant des moqueries dues à
son homosexualité). Le groupe français met en scène le harcèlement à l’école
dans une nouvelle vidéo ultraviolente. Son chanteur, Nicola Sirkis, défend
l’idée d’une démarche éducative. Dans
cet extrait du clip « College Boy », un adolescent se fait tabasser par des
camarades de classe. | (DR.) Attention ! Ames sensibles s’abstenir. Le
nouveau clip d’Indochine, « College Boy », deuxième single de l’album paru le
11 février, est un électrochoc. La vidéo, à voir en avant-première sur notre
site Internet aujourd’hui, met en scène des ados beaux comme des anges. Sauf
qu’ils font vivre un enfer à l’un de leurs camarades. Nicola Sirkis : «On ne
cherche pas le scandale» Il y a d’abord
des boulettes de papier lancées sur la victime en pleine salle de
classe, puis son casier dégradé, une balle de basket envoyée en pleine figure.
Au fil des minutes, la tension monte jusqu’à atteindre l’insoutenable. Le gamin
est passé à tabac, à terre. Des coups de pied, des coups de poing.
L’humiliation ne s’arrête pas là. Elle va même jusqu’au bout de l’horreur.
L’adolescent est attaché à une croix puis exécuté à coups de revolver par
certains élèves tandis que d’autres filment la scène avec leur téléphone
portable. Les adultes autour, eux, préfèrent se voiler la face, un bandeau sur
les yeux pour ne pas voir les atrocités en cours. Provocation, coup marketing,
buzz outrancier? A priori, Indochine n’a pas besoin de ça. Le groupe est l’un
des plus populaires de France, vend énormément de disques, fédère plusieurs
générations. Sa tournée d’automne dans les Zénith affiche déjà complet et son
Stade de France prévu en juin 2014 devrait vite en faire de même. C’est aussi à
cause de cette popularité que son clip va surprendre, bouleverser, déranger
malgré son propos sur le harcèlement à l’école, son esthétique en noir et blanc
et sa réalisation virtuose signée Xavier Dolan, jeune Québécois branché à qui
l’on doit le remarqué « les Amours imaginaires ». « Je voulais aller jusqu’au
bout non pas pour choquer, mais pour montrer que cette situation est possible
parce rien ne l’empêche, explique le cinéaste. La question n’est pas de se
demander pourquoi suis-je allé aussi loin mais qu’est-ce qui empêcherait un
groupe d’adolescents d’aller aussi loin alors que le lobbying des armes aux
Etats-Unis est très puissant. C’est ma vision nord-américaine, mais des gens se
font lapider partout. » Faut-il néanmoins réaliser un clip ultraviolent pour
dénoncer l’ultraviolence? La question ressurgira inévitablement en découvrant
la vidéo. Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), garant des images diffusées
à la télévision, reste sceptique. Indochine et son réalisateur assument. « Dire
que ça encourage la violence, c’est complètement stupide, s’insurge Xavier
Dolan. Est-ce vraiment plus violent que tous les films qui arrivent sur nos
écrans tous les jours? Il n’y a pas d’ambiguïté dans le message de non-violence
du clip. On est immédiatement dans l’empathie avec le personnage. » Le
réalisateur défend l’idée d’un clip sur l’intolérance et l’indifférence des
adultes, des autorités face à ce genre de situation. « Pour moi, la société
fonctionne selon le concept de la meute. On en fait partie ou pas. Et c’est
très difficile de s’y opposer, d’être contre un ensemble de personnes. » Malgré
tous ces arguments, il est peu probable que « College Boy » soit diffusé dans
la journée sur les chaînes de clips. « Ça m’embête, rétorque Xavier Dolan. Sur
ce genre de chaînes, on voit tellement de scénarios racistes, violents,
dégradants notamment pour les femmes. Cela me paraît absurde que ce clip soit
censuré. » www.leparisien.fr/musique/indochine-le-clip-choc-02-05-2013-2773375.php La vidéo www.youtube.com/watch?v=9OB2kb-MoVU&feature=youtu.be
Clip de Xavier Dolan : vives réactions en France www.lapresse.ca/arts/musique/201305/03/01-4647142-clip-de-xavier-dolan-vives-reactions-en-france.php
Xavier Dolan signe un clip controversé pour Indochine www.lapresse.ca/arts/musique/201305/02/01-4646947-xavier-dolan-signe-un-clip-controverse-pour-indochine.php
Des jeux
vidéos pour ralentir le déclin cognitif chez les personnes âgées. Des jeux
vidéo qui représentent un entraînement pour la vitesse de traitement mental et
certaines habiletés peuvent ralentir le déclin cognitif chez les personnes
âgées, montre une étude publiée dans PLOS One. "Comme nous vieillissons,
nos esprits perdent progressivement des capacités de "fonctions
exécutives" qui contrôlent des activités mentales cruciales, telles que la
mémoire, l'attention, la perception et la résolution de problèmes",
soulignent les chercheurs. " Des études montrent qu'une perte des
fonctions exécutives se produit alors que les gens atteignent l'âge mûr; d'autres
indiquent que le déclin cognitif commence dès 28 ans, ajoutent-ils.
L'amélioration de la vitesse de traitement est considérée importante pour
plusieurs raisons, explique le chercheur. "Comme nous vieillissons, notre
champ visuel se réduit", explique Wolinsky. Ce qui est appelé l'effet de
vision en tunnel et contribue à expliquer pourquoi la plupart des accidents se
produisent aux intersections parce que les gens plus âgés regardent droit
devant et sont moins conscients de la périphérie", donne-t-il en exemple.
Ceux qui ont joué au Tour Road ont aussi obtenu de meilleurs résultats à des
tests impliquant les fonctions exécutives dans d'autres domaines que la
cognition visuelle, tels que la concentration, l'agilité pour passer d'une
tâche mentale à une autre, et la rapidité à laquelle une nouvelle information
est traitée. L'amélioration était de 1,5 ans à 7 ans. L'exercice, conçu par des
chercheurs en neurosciences, permet des gains significatifs qui se généralisent
à la vie quotidienne, concluent les chercheurs. www.psychomedia.qc.ca/capacites-cognitives/2013-05-03/entrainement-cerebral-jeu-video
La direction de l’UQAT est heureuse de vous accueillir pour le Xe congrès de l’ACOC en 2013 (28 au 31 mai, à la même semaine que le Festival des Guitares du Monde en Abitibi-Témiscamingue) ANNE-MARIE NADEAU Agente de recrutement Service des communications et du recrutement Campus de Rouyn-Noranda Anne-Marie.Nadeau@uqat.ca Osez l’Abitibi-Témiscamingue lors du Xe Congrès de l’ACOC. C’est avec plaisir et fébrilité que l’équipe du Service des communications et du recrutement vous attend pour vous faire connaître notre université, mais surtout, pour vous faire vivre l’expérience UQAT! Le nord-ouest du Québec regorge de beautés et de trésors peu connus. Profitez du congrès de l’ACOC pour découvrir ce qui se cache de l’autre côté du Parc De La Vérendrye. Avant-goût de la programmation : expérimentation du studio MoCap; La culture autochtone; L’art-thérapie; Visite minière; Festival des guitares du monde en Abitibi-Témiscamingue; Les défis d'orientation durant la transition au collégial; et plus encore! www.uqat.ca/acoc2013
Transport gratuit offert par l'UQAT,
hébergement et repas inclus
pour les c.o. du collégial
La date limite d’inscription du 26 avril 2013 est dépassée.
Pour vérifier la possibilité de s'inscrire, envoyer un message à acocinfo@gmail.com
C'est officiel: l'OCCOQ recevra le Congrès mondial de l'Association internationale d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec du 3 au 5 juin 2014.
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Quelque Chose de l'ACOC
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