Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin
(860 membres, 11e saison du bulletin électronique)
Partenaires du Xe Congrès de l'ACOC à l'UQAT
Bon printemps en fleurs
Section Nouvelles
Congrès 2013 de l'ACOC
Information Colloque Dialogue 2013
Rencontre annuelle psy et c.o. cégeps
et universités
Admission tardive à l'université automne
2013
Admission universitaire
L'AEP en milieu scolaire .... ou un grignotement de
la formation collégiale! L'AEP en milieu scolaire, développée avec la
bénédiction du MELS par les Commissions scolaires du Québec ne cesse de générer
des aberrations. L'AEETÉE reçoit de nombreux témoignages des départements de
Techniques d'éducation à l'enfance du réseau collégial qui soulèvent de
nombreuses questions et suscitent une certaine irritation. En ce qui concerne
la colère, elle s'annonce à l'horizon. Il n'y a que notre sens du décorum qui
nous retient encore! Développée en 2010, l'AEP en milieu scolaire est devenue,
pour la majorité des commissions scolaires, l'exigence de formation pour le
personnel éducateur de leurs services de garde. Le programme permet, 390 heures
plus tard, d'accéder à la banque d'éducateurs et d'éducatrices potentiels dans
un service de garde de ladite commission scolaire. Sans cette formation, pas
moyen de « rentrer dans le système »! Or, des diplômés du DEC en TÉE, offerts
dans le réseau collégial, se voient refuser le privilège de postuler dans les
services de garde en milieu scolaire. Faut l'faire! Ces personnes ont passé des
milliers d'heures sur les bancs des collèges, parfois pendant 3 longues années,
à développer 22 compétences professionnelles pour un total de plus de 2 490
heures. Et la commission scolaire, qui s'affuble du titre « d'autorité
compétente » en matière d'exigence de formation pour son personnel, a décidé de
ne pas reconnaître leur formation. Mais bon sang... trouvez l'erreur! Et
s'il-vous-plaît, tenez-nous au courant des détails qui semblent nous
échapper!!! Une anecdote édifiante! En ce moment, parmi les
étudiantes et les étudiants du collégial en TÉE, une rumeur plutôt malsaine
mais très compréhensible circule. « Le MELS ne reconnaît pas le DEC ou l'AEC
pour les services de garde en milieu scolaire. » Ajoutez à cela une baisse
évidente de motivation pour les élèves du collégial, déjà engagés dans la
formation, qui se destinent au milieu scolaire. Pourquoi se taperait-on 3 années
d'études si une AEP de 390 heures est la seule formation reconnue pour œuvrer
auprès des enfants du primaire en services de garde? Voilà ce que ça fait
lorsqu'une « autorité compétente » se
mêle de brouiller les cartes. Une compétition inter-ordre inquiétante Nous
voilà en face d'une compétition entre des ordres d'enseignement que l'AEETÉE
qualifie d'inquiétante, sinon désolante. Le réseau collégial offre une
formation en TÉE très complète, qui couvre le développement de l'enfant de 0 à
12 ans. Que les détracteurs de cette affirmation prennent rendez-vous avec les
directeurs des études des cégeps et qu'ils essaient de prouver le contraire...
les devis ministériels, la liste de compétences professionnelles, les descriptions
de cours et les plans cadres de cours en font foi. Lorsque des commissions
scolaires développent une formation professionnelle qui réduit de façon
substantielle les compétences et les connaissances requises pour assurer un
emploi au sein de leur personnel éducateur en services de garde, et que de
surcroit elles ne reconnaissent pas un diplôme collégial reconnu par le MELS pour
assumer un poste similaire, ces commissions scolaires participent à la
déqualification d'un diplôme d'enseignement supérieur. L'AEETÉE persiste et
signe... c'est de compétition inter-ordre déloyale. Et la qualité des services aux familles? Comme les
profs du collégial croient en ce qu'ils font, nous sommes d'avis qu'il faut
tout de suite sonner le sifflet du rassemblement derrière ce qui pourrait
s'avérer un grignotement subtil mais évident de la formation collégiale. Danielle
Carbonneau Présidente de l'AEETÉE 2012-2013 http://aeetee.ca/191-laep-en-milieu-scolaire-ou-un-grignotement-de-la-formation-collegiale
AEP en milieu scolaire
En décembre dernier, des membres de l’Exécutif de
l’AEETÉE rencontraient la Fédération des commissions scolaires notamment sur la
question de la reconnaissance des diplômes de formation collégiale pour œuvrer
auprès des enfants des SGEMS. Les
représentants de la Fédération nous confirmaient alors qu’ils étaient tout à
fait d’accord avec notre point de vue : un DEC ou une AEC devraient être
reconnus! Or, il y a quelques semaines,
le département du Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue qui rencontrait la personne responsable du
dossier des SGEMS de la Commission scolaire Harricana stipulait que c’était la
Fédération des commissions scolaires qui l’invitait à ne reconnaître que l’AEP
comme formation valable. Qui dit
vrai?! Il est malheureux de constater
que des institutions si « sérieuses » ne soient pas capables d’assumer leur
point de vue respectif. Entre temps, au Cégep du Vieux-Montréal, le département
a obtenu un dégagement de .20ETC pour analyser
la question des stages en milieu scolaire en lien avec la prolifération
des refus de certaines écoles d’accueillir des stagiaires du DEC, les places de
stages étant prioritairement réservées aux élèves de l’AEP des commissions
scolaires concernées. Des rencontres
avec des intervenants de ces commissions scolaires sont prévues au projet pour
tenter d’explorer des pistes de solutions.
De plus, un dépliant de promotion de la formation est sur la planche à
dessin. http://aeetee.ca/284-articleaepmars2013
Un nouveau programme d'études est lancé. Éducatrice
en service de garde en milieu scolaire (publié
en 2011). Les commissions scolaires se sont dotées d'un nouveau programme
d'études destiné à répondre aux besoins spécifiques des services de garde en
milieu scolaire. Ce nouveau programme, d'une durée de 390 heures, conduit à
l'obtention d'une attestation d'études professionnelles (AEP). Ce type de qualification a été développé par
les commissions scolaires. L'AEP est destiné à répondre à des besoins du marché
du travail pour lesquels il n'existe aucune formation spécifique. Le programme
permet aux adultes d'acquérir un ensemble de compétences visant l'exercice de
tâches spécialisées reliées à un poste de travail; il s'agit donc d'une
formation qualifiante et transférable.
Le développement de ce nouveau programme a été jugé nécessaire, étant
donné la complexification et la transformation des tâches en service de garde
en milieu scolaire. D'ailleurs, à compter de juin 2013, cette attestation sera
exigée pour toute personne qui désire postuler à un emploi dans un service de
garde d'une commission scolaire. «Le
modèle des programmes d'attestation d'études professionnelles permet de
répondre à des besoins spécifiques du marché du travail et aux besoins des
personnes en situation de recyclage, de réorientation ou de perfectionnement.. www.hebdosregionaux.ca/monteregie/2011/11/23/educatrice-en-service-de-garde-en-milieu-scolaire
Exemple d’OFFRE D’EMPLOI ÉDUCATEUR(TRICE) EN
SERVICE DE GARDE Être titulaire d’un diplôme de 5e secondaire. Posséder des
aptitudes sur le plan des relations humaines. Posséder ou obtenir un document
attestant la réussite d’un cours de secourisme. Les candidats retenus
pourraient devoir suivre et compléter l’attestation d’études professionnelles
(AEP) en service de garde en milieu scolaire (durée de 390 heures). Selon la
convention collective en vigueur pour le personnel de soutien. Le salaire
varie, selon l’expérience, entre 17,48$ et 21,40$ de l’heure. www.csdps.qc.ca/fileadmin/user_upload/accueil/ESG_-_ecoles_01.pdf
PowerPoint de présentation de la Fédération des
commissions scolaires du Québec de l’AEP Éducatrice/éducateur en service de
garde en milieu scolaire www.fcsq.qc.ca/fileadmin/medias/PDF/Services_de_garde/Presentation_de_R._Goyer_et_Diane_Martel.pdf
Financement
accordé à la CS des Découvreurs pour élaborer le programme en juillet 2010 Éducatrice,
éducateur en service de garde en milieu scolaire. Le programme d’études prépare
à l’exercice de la profession éducatrice, éducateur en service de garde en
milieu scolaire. Le rôle principal et habituel de l’éducatrice ou de
l’éducateur consiste à organiser, préparer et animer une variété d’activités
favorisant, dans le cadre du projet éducatif de l’école, le développement
global des élèves de l’éducation préscolaire et de l’enseignement primaire dont
elle ou il a la garde, tout en assurant leur bien-être et leur sécurité. Le
programme d’études Éducatrice, éducateur en service de garde en milieu scolaire
vise à : -Rendre la personne efficace dans l’exercice de sa profession soit : Exercer
les fonctions et exécuter les tâches spécifiques; Évoluer adéquatement dans un
milieu de travail en favorisant le développement d’une éthique professionnelle,
une communication efficace avec les enfants, les collègues de travail, les
parents, d’autres intervenants, etc., le développement d’une préoccupation
constante du bien-être et de la sécurité des enfants et leur développement. -Favoriser
l’intégration de la personne à la vie professionnelle, soit : Connaître le
contexte particulier de la profession choisie; Connaître ses droits et
responsabilités comme travailleuse ou travailleur. -Favoriser la mobilité
professionnelle de la personne, soir: Adopter une attitude positive à l’égard
de divers types d’enfants et de divers milieux; Accroître sa capacité
d’apprendre, de s’informer, de se documenter et de se perfectionner; Atteindre
la polyvalence nécessaire pour travailler dans divers de services de garde en
milieu scolaire. Un emploi est assuré pendant la formation si la personne
inscrite est choisie par la Commission scolaire des Découvreurs. www.manouvellecarriere.com/programmes/educatrice-educateur-en-service-de-garde-en-milieu-scolaire
Pour consulter la Liste des modules
prévus au programme de formation-La formation mène à une Attestation d’études
professionnelles (AEP-00232) www.manouvellecarriere.com/wp-content/uploads/2013/03/LISTE-DES-MODULES.pdf
LES SERVICES DE GARDE EN MILIEU SCOLAIRE :INSCRIRE
LA QUALITÉ AU COEUR DES PRIORITÉS Avis du Conseil supérieur de l’éducation en
2006 (version abrégée) www.cse.gouv.qc.ca/fichiers/documents/publications/Avis/50-0452-01.pdf
À compter de juin 2013, toutes les éducatrices et
éducateurs des services de garde en milieu scolaire devront détenir une
attestation d'études professionnelles : éducatrice, éducateur, en service de
garde en milieu scolaire. Suivez une formation accréditée par le ministère de
l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) spécialisée et adaptée aux services
de garde en milieu scolaire montréalais et donnée par des spécialistes du
milieu. www.formationexperts.ca/educateur_service_garde.html
Emplois d’été : Comment trouver du boulot? Dans la recherche d’un travail d’été,
l’improvisation n’a pas sa place. En structurant votre démarche, vous
augmenterez vos chances de dénicher un emploi fait pour vous. www.jobboom.com/carriere/emplois-d-ete-comment-trouver-du-boulot/
Emplois d’été : Où les trouver?
Les emplois d’été se cachent un peu partout. Pour
les trouver, il faut troquer ses œillères contre un objectif grand angle. «Des
études l’ont démontré : les employeurs ont tendance à embaucher des gens qu’ils
connaissent ou qui leur ont été envoyés, indique Martine Boutin, conseillère en
emploi chez Option-travail/Carrefour jeunesse-emploi Sainte-Foy. Mettez votre
réseau à contribution dans vos recherches.» Ce réseau, c’est entre autres :
votre famille, vos amis et leurs parents, vos voisins, vos profs et intervenants
scolaires, etc. N’oubliez pas les médias sociaux (Facebook et compagnie),
ajoute la conseillère en emploi au Carrefour jeunesse-emploi de Sherbrooke,
Isabelle Landry. Utilisez les ressources
scolaires et communautaires «Pour connaître les offres d’emploi en lien avec
votre formation ou les entreprises susceptibles d’engager l’été, consultez vos
professeurs, vos directeurs de programme ou de stage, de même que les services
de placement, d’aide à l’emploi ou d’orientation scolaire de votre établissement
scolaire», conseille Martine Boutin. Les organismes jeunesse spécialisés en
employabilité et les centres d’emploi gouvernementaux peuvent aussi vous aider
dans vos recherches. Fréquentez les salons de l’emploi Allez visiter les salons
et foires d’emploi dans votre école ou ceux destinés à un public plus large
dans votre localité. Surveillez aussi les portes ouvertes dans les entreprises
qui vous intéressent. Cela permet de connaître les offres estivales et
d’enrichir votre réseau de connaissances. Visez les emplois saisonniers Une variété d’emplois saisonniers sont
accessibles aux jeunes, dit Isabelle Landry. «Parmi les employeurs potentiels,
il y a les camps de vacances et de jour, les clubs de golf, les jardineries,
les plages et les piscines publiques, les terrains de camping, les festivals,
les sites touristiques ou historiques, etc. Vous pourriez aussi offrir vos
services pour de menus travaux comme la peinture, la tonte de gazon et le
gardiennage.» Cherchez dans le marché caché En plus d’éplucher les journaux
locaux, les vitrines des commerces, les babillards et les sites d’emplois, vous
devez explorer le marché caché, fait valoir Martine Boutin. «Faites une balade
dans votre quartier pour y découvrir l’étendue des entreprises, des usines, des
restaurants, des boutiques, des organismes communautaires, des fermes, etc. Par
la suite, vous pourrez communiquer avec eux pour voir les possibilités
d’emploi.» «Plusieurs grandes entreprises développent des programmes d’emplois
d’été destinés aux jeunes, ajoute Isabelle Landry. C’est le cas, par exemple,
du Canadien Pacifique, de Desjardins, de Borden Ladner Gervais et de Postes
Canada. Visitez les sites Web des organisations qui vous tentent pour dénicher
les offres.» Communiquez avec les villes et les gouvernement «Les emplois offerts par votre municipalité
et les gouvernements – provinciaux et fédéral – constituent d’autres pistes à
explorer», soutient Isabelle Landry. Au Québec, le site Placement étudiant du
Québec peut vous aider. Partout au pays, les guichets emplois de Service Canada
et de la Commission de la fonction publique du Canada sont aussi utiles. www.jobboom.com/carriere/emplois-d-ete-ou-les-trouver/
Chris Hadfield fait ses adieux à l'ISS en chantant
un titre de Bowie. L'astronaute canadien Chris Hadfield a interprété en
apesanteur la chanson Space Oddity de David Bowie avant de quitter la Station
spatiale internationale (ISS) pour revenir sur Terre où il est attendu mardi
matin après une mission de cinq mois. Dans une vidéo enregistrée à bord de
l'ISS, qui remporte un grand succès sur l'internet, l'astronaute moustachu
chante le titre de Bowie, qui signifie «Singularité spatiale». Pendant la
chanson qui dure un peu plus de cinq minutes, le Canadien se déplace en
apesanteur, saisit sa guitare qui tourne sur elle-même, joue de l'instrument et
observe l'espace à travers les hublots de l'ISS. «Avec respect pour le génial
David Bowie, voici Space Oddity, enregistrée dans la station. Un dernier aperçu
du monde», a écrit Hadfield sur son compte Twitter pour présenter la chanson.La
voix et le solo de guitare de l'astronaute ont été enregistrés dans l'ISS, mais
le mixage a été effectué par une équipe sur Terre. La chanson sur YouTube avait
déjà été visionnée plus d'un demi-million de fois (530 719) lundi après-midi.
Chris Hadfield est par ailleurs suivi par plus de 800 000 personnes sur Twitter
où il a publié des photos et vidéos spectaculaires de l'ISS et de la vie à
l'intérieur de la station spatiale. L'astronaute doit faire son retour sur
Terre à bord d'une capsule Soyouz et atterrir mardi à 02H31 GMT dans les
steppes du Kazakhstan, de même que le cosmonaute russe Roman Romanenko et
l'astronaute américain Tom Marshburn. Chris Hadfield, qui a été commandant de
l'ISS, a supervisé pendant le week-end les travaux de deux astronautes
américains de l'ISS, sortis dans l'espace pour remplacer une pompe défectueuse
de la station afin de stopper une fuite d'ammoniac lors d'une mission d'urgence
sans précédent. www.lapresse.ca/sciences/astronomie-et-espace/201305/13/01-4650219-chris-hadfield-fait-ses-adieux-a-liss-en-chantant-un-titre-de-bowie.php
Le "Prix lutte contre l'homophobie 2013"
décerné à Ariane Moffatt. À l'approche de la Journée internationale contre
l’homophobie, qui se tient le 17 mai, la Fondation Émergence remettra lundi le
13 mai le Prix lutte contre l'homophobie 2013 à
l'auteure-compositeure-interprète Ariane Moffatt. "Sans faire mystère de
son orientation sexuelle, Ariane Moffatt a tout simplement levé le voile sur un
aspect de sa personnalité et de sa propre identité, faisant ainsi preuve
d’authenticité", souligne Mme Martine Roy, présidente de la fondation. Les
plus récents Prix lutte contre l'homophobie ont été remis en 2012 à l'auteure
Fabienne Larouche, en 2011 au cinéaste Xavier Dolan, en 2010 au dramaturge et
romancier Michel Tremblay et en 2009 à l'animateur Dany Turcotte. La Journée
internationale a cette année pour thème Combattez le virus Web de l’homophobie.
"L’homophobie est de plus en plus présente dans le Web et dans les médias
sociaux. L’anonymat d’Internet permet de répandre des propos abusifs et de
véhiculer une cyberhomophobie qui peut avoir de graves conséquences." La
cyberhomophobie est "la diffusion d’attitudes négatives envers
l’homosexualité et l’identité de genre. Elle présente souvent les minorités
sexuelles comme étant inférieures ou anormales et peut prendre la forme de blagues,
de moqueries, de propos haineux et hostiles, de dénigrement et de stéréotypes
envers les personnes homosexuelles et transsexuelles." Mise sur pied par Gai Écoute en 2000, la
Fondation Émergence est l'initiatrice de la Journée internationale contre
l'homophobie qui a vu le jour en 2003. www.psychomedia.qc.ca/orientation-sexuelle/2013-05-12/prix-lutte-contre-l-homophobie-2013-ariane-moffatt
L'intimidation à l'école modifie l'expression d'un
gène et la réaction future au stress. L'intimidation à l'école change la
structure entourant un gène impliqué dans la régulation de l'humeur, ce qui
rendrait les victimes plus vulnérables aux problèmes de santé mentale en
vieillissant, selon une étude québécoise publiée dans la revue Psychological
Medicine. L'étude, menée par Isabelle Ouellet-Morin de l'Université de
Montréal, visait à mieux connaître les mécanismes qui expliquent comment les
expériences difficiles, telle qu'une "expérience de victimisation à
l'enfance", dérèglent la réponse aux situations stressantes. Ces
expériences modifient à la fois la réponse au stress et le fonctionnement de
gènes impliqués dans la régulation de l'humeur. www.psychomedia.qc.ca/stress/2012-12-19/intimidation-ecole-gene-reactions-au-stress
La mixité en emploi http://cameo-outaouais.ca/zone-interactive-2
L’emploi temporaire croît plus vite que le
permanent. Le Québec et le Canada créent des emplois, mais nombre de ces postes
disparaissent après quelques années, voire quelques mois seulement : depuis
2002, la croissance de l’emploi temporaire (avec une date de péremption)
surpasse celle de l’emploi permanent, à durée indéterminée. Tour d'horizon
d'une tendance lourde. De 2002 à 2012, l’emploi permanent au Québec a crû de
285 000 ou 10,8 %. Pendant la même période, l’emploi temporaire a augmenté de
60 700 ou 13,5 %, indique l’Institut de la statistique du Québec. http://argent.canoe.ca/nouvelles/lemploi-temporaire-croit-plus-vite-que-le-permanent-7052013?p=535082
Lancement
de la série Web de la FSE (CSQ) pour valoriser la profession enseignante La Fédération des syndicats de
l’enseignement (FSE-CSQ) lance cette semaine la série de courts-métrages Web «
Prof, ma fierté », composée d’une douzaine de capsules permettant de faire
connaissance avec de multiples facettes de la profession enseignante. Cette
série présentera la réalité quotidienne des enseignantes et enseignants, tant
au secteur des jeunes et à l’éducation des adultes qu’à la formation
professionnelle. Elle nous la fera mieux connaître sous certains angles, par
exemple le travail enseignant auprès des élèves en difficulté, l’adaptation aux
milieux défavorisés, l’enseignement en milieu carcéral ou encore les défis
d’enseigner dans un petit village. « Depuis plusieurs années, la FSE a fait une
priorité de la valorisation de la profession enseignante parce que celle-ci a
été trop souvent mise à mal sur la place publique. Pourtant, les enseignantes
et enseignants peuvent être extrêmement fiers du très bon travail qu’ils font
au quotidien. C’est d’ailleurs en essence ce que leur ont dit le millier de
témoignages reçus au cours de la campagne Ces profs qui ont changé nos vies »,
explique la présidente de la FSE, Manon Bernard. « Nous croyons aussi qu’il est
essentiel de mieux reconnaître le rôle primordial que jouent nos enseignantes
et enseignants dans la construction de notre avenir collectif, et nous pensons
que bien au-delà de certains préjugés véhiculés, par ailleurs souvent inexacts,
il faut faire davantage connaître la nature et la diversité du travail
enseignant, qui doit combiner une expertise pédagogique indéniable et une passion
toujours renouvelée pour relever les défis qui sont les nôtres », a-t-elle
ajouté. La diffusion de cette série Web a débuté le 13 mai et se poursuivra
jusqu’au 7 juin. Les vidéos seront publiées au rythme de trois par semaine
(lundi, mercredi et vendredi) et sont accessibles sur le site Internet www.profmafierte.com ,
ainsi que sur la page Facebook de la FSE www.facebook.com/FSECSQ
Travailler après la prison. Élise vient de passer
plus de 20 ans derrière les barreaux pour le meurtre d'un policier.
L'embaucheriez-vous? Plusieurs téléspectateurs d'Unité 9 accepteraient sans
doute de donner une seconde chance au personnage interprété par Micheline
Lanctôt. Mais dans la réalité, les employeurs n'ont pas la possibilité de voir
évoluer les détenus et de s'attacher à eux. Plusieurs refusent tout simplement
de considérer leur candidature, même s'ils ont généralement commis des délits
beaucoup moins sérieux que celui d'Élise. «On associe toujours le casier
judiciaire à des crimes violents et graves, mais on peut en avoir un pour
ivresse au volant ou vol à l'étalage, par exemple», nuance Michel Monette,
président du Comité consultatif clientèle judiciarisée adulte. Environ 14% de
la population canadienne en a un. Sylvie Beaudin, elle, a été condamnée à 12
mois d'emprisonnement pour culture de cannabis. Elle prétend avoir plaidé
coupable dans l'espoir de réduire la peine de son conjoint de l'époque. Depuis
février, la femme de 52 ans loge à la Société Élizabeth Fry, un organisme en
réinsertion sociale. Lorsqu'elle est autorisée à retourner dans son patelin,
elle travaille. Sylvie Beaudin fait partie des chanceuses. Ses anciens
employeurs et amis ont accepté de lui garder son poste pendant sa détention.
«Ils ont une bonne opinion de moi, ils savent que je suis une bonne personne,
note-t-elle. Je m'occupe de l'entretien ménager de leur entreprise et de leur
maison. J'ai même gardé leurs enfants.» Durant sa détention, elle a veillé à entretenir
les liens avec eux. «C'est plus facile quand des gens qui t'aiment et te font
confiance t'attendent à ta sortie, souligne Mme Beaudin. Certaines filles
pleurent parce qu'elles n'ont pas envie de retourner travailler. Elles
craignent de faire face à la musique. C'est dur de trouver un nouvel emploi
avec un dossier.» Le retour sur le marché du travail est d'autant plus
difficile que plusieurs entreprises vérifient systématiquement les antécédents
judiciaires des candidats intéressants. L'informatisation des plumitifs des
palais de justice rend la démarche très facile, explique M. Monette. En
principe, on ne peut écarter une personne en raison de son casier judiciaire, à
moins qu'il soit en lien avec l'emploi. Mais la discrimination est difficile à
prouver. Les patrons donnent habituellement une autre raison. En général, les
femmes judiciarisées seraient toutefois avantagées. «Elles semblent faire moins
peur aux employeurs que les hommes, constate Michel Monette. Elles travaillent
aussi davantage dans des domaines où il n'y a pas de vérification systématique
des antécédents judiciaires comme la restauration ou l'entretien ménager.»
Néanmoins, elles craignent souvent le moment où elles devront rencontrer un
employeur, constate Ruth Gagnon, directrice générale de la Société Elizabeth
Fry du Québec. «C'est certainement la partie la plus stressante de leur
processus d'intégration, note-t-elle. Mais c'est aussi une des dernières. Pour
trouver un emploi, il faut se vendre et avoir confiance en soi.» Souvent, les
ex-détenues doivent d'abord travailler sur elles-mêmes. Des formations
scolaires et des ateliers de cheminement personnel sont offerts dans les
prisons et pénitenciers pour favoriser la réinsertion sociale. Ensuite, des
organismes en employabilité peuvent aider les personnes judiciarisées. «Dans
nos programmes, nous enseignons notamment aux participants des façons
d'annoncer qu'ils ont un casier judiciaire, souligne M. Monette. Ils doivent
remettre à l'avant leur capacité à occuper l'emploi.» La personne n'est pas
obligée de mentionner son casier judiciaire tant qu'on ne le lui demande pas,
rappelle-t-il. Par contre, si elle fait une fausse déclaration, ce peut être un
motif de renvoi ou de non-embauche. Et ce, même si elle a obtenu une suspension
de son casier (un pardon). LE TRAVAIL APRÈS LA PRISON EN CHIFFRES 800 000
Québécois ont un casier judiciaire; 6% des femmes ont un casier judiciaire au
Québec; 20% des hommes ont un casier judiciaire au Québec; 750 000 heures
d'enseignement ont été offertes à 5000 personnes incarcérées dans les prisons
québécoises en 2011; 1500 contrevenants ont profité de services en
employabilité au Québec en 2011; 32 jours, c'est le temps médian pour qu'un
délinquant fédéral décroche un emploi avec l'aide du Service d'emploi dans la
collectivité (ne comprend pas tous les ex-détenus); 500 délinquants ont obtenu
une formation professionnelle au Québec dans les pénitenciers fédéraux en
2011-2012. Sources : Service correctionnel du Canada, ministère de la Sécurité
publique du Québec et Comité consultatif clientèle judiciarisée adulte http://affaires.lapresse.ca/cv/vie-au-travail/201305/08/01-4648751-travailler-apres-la-prison.php
Nouveau-Brunswick - Un projet aide les étudiants en
soins infirmiers auxiliaires à accéder au baccalauréat en sciences infirmières.
Les diplômés des programmes d'études en soins infirmiers auxiliaires pourront
s'inscrire au baccalauréat en sciences infirmières offert par l'Université du
Nouveau-Brunswick, campus de Saint John, dans le cadre d'un projet pilote
appuyé par le ministère de l'Éducation postsecondaire, de la Formation et du
Travail. « Ce programme de transition devrait contribuer de façon importante à
répondre aux besoins actuels et futurs en matière de ressources infirmières et
fournir de nouvelles voies au personnel infirmier auxiliaire autorisé dans la
province, a déclaré le ministre de l'Éducation postsecondaire, de la Formation et
du Travail, Danny Soucy. « Il s'agit d'une des façons dont notre gouvernement
contribue à équilibrer les besoins du marché du travail. » Dans le cadre du
programme, les diplômés des programmes de formation de deux ans en soins
infirmiers auxiliaires offerts par le New Brunswick Community College et le
Collège communautaire du Nouveau-Brunswick pourront accéder à la troisième
année du baccalauréat en soins infirmiers offert au campus de Saint John. Pour
être admissibles, les étudiants doivent suivre un programme de transition
comprenant six cours précis, avoir une note d'au moins C et maintenir une
moyenne pondérée cumulative d'au moins 3,0 (B). « Le campus de Saint John de
l'Université du Nouveau-Brunswick est fier de former des infirmiers et des
infirmières depuis 1985 », a affirmé le vice-recteur responsable du campus de
Saint John de l'Université du Nouveau-Brunswick, Robert MacKinnon. « Depuis ce
temps, nous avons amélioré continuellement nos programmes et nous avons
continué à élaborer des programmes d’études qui tiennent compte des nouvelles
tendances. Ce programme de transition est un exemple de notre engagement
continu visant à créer un environnement propice à l'avancement de l'excellence
dans la profession d'infirmier. » Deux cohortes d'un maximum de 24 étudiants
chacune participeront à ce projet. Les étudiants de la première cohorte seront
admis en janvier 2014 et obtiendront leur diplôme en 2016. Ceux de la deuxième
cohorte devraient obtenir leur diplôme en 2017. « Nous sommes ravis que l'Université du
Nouveau-Brunswick, campus de Saint John, reconnaisse l'excellente formation
offerte par le New Brunswick Community College et le Collège communautaire du
Nouveau-Brunswick ainsi que les connaissances et les compétences du personnel
infirmier auxiliaire autorisé du Nouveau-Brunswick. » http://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/nouvelles/communique.2013.05.0409.html Pour de plus
amples renseignements sur le programme, communiquez avec Boon Kek, Université
du Nouveau-Brunswick, campus de Saint John, 506-648-5646, boon.kek@unb.ca ; ou Carol Kennard-Clark, Association
des infirmières et infirmiers auxiliaires autorisés du Nouveau-Brunswick,
1-800-942-0222, lpnoffice@anblpn.ca
Infirmière: une profession en transformation Les besoins en matière de soins de santé sont en
évolution. La profession d'infirmière vivra de profondes transformations au
cours des prochaines années, prédit Lucie Tremblay, présidente-directrice
générale de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ). «Les
maladies chroniques sont plus nombreuses, souligne Mme Tremblay. Elles se
traitent davantage dans la communauté, c'est-à-dire à domicile, dans les
groupes de médecine familiale et dans les CLSC. On prévoit que d'ici 10 ans,
environ 75% des soins seront donnés dans la communauté. Actuellement, 75% le
sont dans les établissements de santé. Il faut donc préparer la relève pour ce
défi-là.» En conséquence, l'OIIQ a recommandé au gouvernement de rehausser la
formation initiale des infirmières. Si sa proposition est acceptée, les
nouvelles venues devront détenir un baccalauréat pour entrer dans la
profession. La Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ)
s'inquiète toutefois de la rapidité avec laquelle on souhaite mettre en place
ce changement, soit dès 2014. Actuellement, 45% des infirmières optent pour le
DEC-Bac. Il s'agit d'une technique en soins infirmiers suivie de deux années à
l'université pour décrocher un baccalauréat, mentionne Mme Tremblay. L'OIIQ
réclame également plus de pouvoirs pour ses membres. Depuis le 15 avril, des
ordonnances collectives nationales permettent aux infirmières de faire le suivi
de patients ayant de l'hypertension artérielle, du diabète, un taux de
cholestérol anormal ou prenant des médicaments pour prévenir la formation de
caillots sanguins. L'Ordre aimerait maintenant que les infirmières puissent
prescrire certains médicaments et demander des radiographies et des analyses de
laboratoires. «Le grand défi actuellement est l'accessibilité aux soins. Nous
sommes convaincues que les infirmières sont la clé pour l'augmenter», indique
Mme Tremblay. http://affaires.lapresse.ca/cv/infirmieres/201305/13/01-4650281-infirmiere-une-profession-en-transformation.php
Pierre Bellemo, infirmier scolaire Pourquoi avez-vous choisi ce métier? J'ai accepté
ce poste parce que j'avais besoin de changement. J'avais quelques appréhensions
à travailler avec les adolescents, mais je suis tombé sous le charme très
rapidement. http://affaires.lapresse.ca/cv/infirmieres/201305/13/01-4650298-pierre-bellemo-infirmier-scolaire.php
Les maternelles québécoises débordent Un «baby-bump» frappe les maternelles de plein
fouet. En septembre, des centaines d'enfants n'auront pas de place dans leur
école de quartier et devront commencer le primaire loin de chez eux. Pendant
que les commissions scolaires tentent désespérément de trouver de la place pour
tous ces nouveaux élèves, la grogne monte chez les parents www.lapresse.ca/actualites/education/201305/08/01-4648649-les-maternelles-quebecoises-debordent.php
Trop de profs au secondaire. La Commission scolaire
de Montréal prévoit une diminution d'environ 300 élèves en septembre dans la
trentaine d'écoles secondaires de son territoire. Des semaines d'incertitude se
dessinent dans les écoles secondaires. Plusieurs enseignants, dont certains ont
leur permanence depuis 5, 10 ou 15 ans, risquent de ne pas avoir de poste dans
leur commission scolaire à l'automne. Le nombre d'élèves au secondaire atteint
un creux. Que ce soit en éducation physique, en mathématiques ou en univers
social, des enseignants permanents, d'expérience, se retrouvent en «excédent de
champ». Non seulement il n'y a plus de poste pour eux dans leur école, mais il
pourrait ne pas en avoir dans toute la commission scolaire. Dans les pires cas,
ils seront mis en disponibilité au bureau régional et ils pourraient devoir
enseigner dans une autre commission scolaire. La Commission scolaire de
Montréal prévoit une diminution d'environ 300 élèves en septembre dans la
trentaine d'écoles secondaires de son territoire. Une vingtaine d'enseignants
sont actuellement en excédent de champ, principalement en français langue
seconde, en mathématiques et en sciences, indique le porte-parole Alain Perron.
1000 élèves de moins à Laval À Laval, une quarantaine d'enseignants ont appris
au cours des derniers jours qu'ils sont dans cette situation. On comptera 1000
élèves de moins l'an prochain, explique Jean-Pierre Archambault, porte-parole
de la Commission scolaire de Laval. Le portrait final ne sera toutefois connu
qu'au début du mois de juillet. Des déménagements et des élèves en situation
d'échec qui reprendront des cours pendant l'été font en sorte que les groupes
vont fluctuer. Des enseignants devraient être rappelés. «À la fin du processus,
les enseignants mis en disponibilité devraient se compter sur les doigts d'une
main», estime M. Archambault. Il reste que la situation est difficile à vivre
pour ces enseignants. D'année en année, ce sont souvent les mêmes, souligne la
conseillère syndicale Diane Fortin, du Syndicat de l'enseignement de la région
de Laval. Seulement en mathématiques et en sciences, 21 enseignants sont
touchés actuellement. Le syndicat est d'avis que la Commission scolaire met
trop d'enseignants en disponibilité pour ses besoins réels. Ils vivent une grande
tension pendant des semaines, avant d'être finalement rappelés, dénonce Mme
Fortin. «La Commission scolaire joue de prudence, un peu trop à notre goût»,
dit-elle. Pour éviter que leurs enseignants ne se retrouvent au bureau
régional, certaines commissions scolaires essaient de leur offrir un autre
poste, temporaire, mais adapté à leurs compétences. «L'employeur essaie
d'éviter que l'enseignant quitte définitivement la Commission scolaire pour
aller travailler dans une autre, de façon à garder une certaine stabilité et
une expertise dans ses écoles», explique Éric Gingras, vice-président du
Syndicat de Champlain pour la section Marie-Victorin, sur la Rive-Sud. Un
enseignant en éducation physique au secondaire peut ainsi enseigner au
primaire. Un permanent peut remplacer une personne en congé de maternité, une
tâche habituellement attribuée à un enseignant en début de carrière. «Nous ne
prévoyons pas d'impact majeur chez nous», confirme Catherine Giroux,
porte-parole de la Commission scolaire Marie-Victorin. Elle précise qu'au cours
des dernières années, la commission scolaire a «toujours réussi à replacer son
personnel enseignant» et que ce devrait être le cas cette année encore, malgré
une baisse de clientèle d'environ 300 élèves. Les données du ministère de
l'Éducation prévoient que le nombre d'élèves au secondaire recommencera à
augmenter légèrement à partir de 2016 www.lapresse.ca/actualites/education/201305/07/01-4648598-trop-de-profs-au-secondaire.php
Programme d'études préuniversitaires Culture et
communication - Un programme plus complet pour un meilleur arrimage avec
l'université. Le ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche, de la
Science et de la Technologie, M. Pierre Duchesne, tient à préciser que la
révision du programme d'études préuniversitaires Arts et lettres, maintenant
appelé Culture et communication, prévoit des cours de littérature. L'ajout de 2
unités et de 30 heures d'enseignement pour un total de 705 heures en ce qui
concerne la formation spécifique du programme Culture et communication permet
de rattraper l'écart avec le programme Sciences humaines. Comme la précédente
formation, celle-ci permettra toujours aux étudiants inscrits d'avoir accès aux
programmes universitaires des domaines des arts, des lettres, des langues, des
sciences de l'éducation et des communications. « Le programme Culture et
communication met l'accent sur le développement de compétences générales et
permettra aux étudiants d'être formés adéquatement avant leur entrée à
l'université. La culture s'y trouve à la fois dans son sens traditionnel, qui
se rapporte aux arts et aux lettres, et dans son sens large, c'est-à-dire les
éléments de culture et de civilisation qui caractérisent des sociétés, telles
les langues. Le terme communication vient, pour sa part, rappeler que les arts,
les lettres et les langues s'inscrivent dans un processus de communication », a
fait savoir le ministre Duchesne. Cette révision s'inscrit à la suite d'une
vaste démarche d'élaboration et de consultation entreprise en 2009. Cette
démarche, qui a fait appel à l'expertise d'enseignants du collégial de même que
de directions des études des collèges et des universités, avait pour objectif
de déterminer les attentes du milieu universitaire pour les diplômés du
programme. Une analyse comparative du profil de formation attendu et du
programme Arts et lettres a permis d'établir que le programme en vigueur ne
répondait plus aux besoins de formation exprimés par le milieu. La refonte de
ce programme d'études répond donc aux besoins de formation actuels des
étudiants et présente un niveau rehaussé. L'appellation Culture et
communication vise à mieux refléter la diversité de la formation proposée dans
l'offre de cours bonifiée. Le nouveau programme comprend sept options : les
arts, la littérature, le cinéma, les langues, les médias, le théâtre ainsi
qu'une option multidisciplinaire. « Malgré son titre, aucun cours de
littérature n'était obligatoire dans le programme Arts et lettres. Grâce à
l'ajout de 30 heures d'enseignement, les étudiants qui veulent véritablement se
concentrer sur la littérature pourront désormais le faire davantage », a
mentionné le ministre Duchesne. Soulignons que cette refonte, adoptée en avril
dernier, peut faire l'objet d'une implantation dans les 62 collèges qui
proposaient déjà le programme Arts et lettres dès l'automne 2013. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Mai2013/08/c5001.html
Les
habitudes technologiques au cégep : résultats d'un enquête effectuée auprès de
30724 étudiants Contexte de l'enquête « Nous
vivons aujourd’hui dans
une société axée
sur l’information, et
ce, sous différents aspects. Les
compétences technologiques et
informationnelles deviennent de
plus en plus importantes sur le marché du travail et
dans la société. Les technologies de l’information et des communications (TIC)
se sont imposées
dans notre quotidien.
Loin de représenter
une simple mode, elles constituent maintenant des outils essentiels.
Comment les étudiants des établissements
d’enseignement collégial québécois
se positionnent‐ils dans
cette nouvelle réalité? Comment
se comparent‐ils à leurs voisins américains ou européens? L’usage
des TIC au
collégial n’est pas
sans susciter des
réflexions importantes. Pour
les cégeps, ces établissements d’enseignement postsecondaires créés au
Québec il y a près de 45 ans, les
technologies offrent de
très nombreux avantages
pour ce qui
concerne l’enseignement et la
recherche, mais posent aussi des défis majeurs. Par exemple, la pression à investir
dans les TIC
place les cégeps
et collèges devant
des choix difficiles.
Les priorités institutionnelles se
voient parfois même
ébranlées. Il appartient
aujourd'hui à toute
la communauté des établissements postsecondaires du Québec de
s’interroger sur des enjeux tels que l’imposition de programmes d’achat
obligatoire d’ordinateurs portables, de tablettes électroniques, de tableaux
blancs interactifs, ou encore,
l’implantation de cours en ligne. » http://cdeacf.ca/actualite/2012/05/29/habitudes-technologiques-cegep-resultats-dun-enquete
Le rapport www.sondagetic.org/cegeps/RapportSyntheseFinal.pdf
Collégial
Gaspésie-les Îles : demandes
d'admission en hausse dans les cégeps. Les demandes d'admission sont en hausse
dans les cégeps de la région. Le Cégep de Matane et le Cégep de la Gaspésie et
des Îles ont tous deux enregistré une augmentation de 13 % du nombre de
demandes par rapport à l'an dernier. Les établissements s'expliquent cette
hausse par l'influence des nombreuses campagnes publicitaires et les incitatifs
offerts aux étudiants pour venir étudier dans la région. Roland Auger,
directeur du cégep de la Gaspésie et des Îles Le directeur du Cégep de la
Gaspésie et des Îles, Roland Auger, souligne toutefois que ces méthodes pour
attirer les étudiants coûtent cher. « On ne pourra pas, si on a pas un coup de
pouce du côté du ministère de l'Éducation réussir à passer au travers et puis
continuer dans cette foulée-là. Ça ne peut pas être seulement que les cégeps de
la région qui financent ça », a-t-il déclaré. Par ailleurs, le nombre d'inscriptions
à l'École des pêches et de l'aquaculture du Québec, à Grande-Rivière, demeure
problématique. Le nombre d'inscriptions est insuffisant pour offrir les trois
autres programmes liés à la pêche et l'aquaculture. Tout comme l'an dernier,
seul le programme de mécanique marine accueillera une nouvelle cohorte
d'étudiants lors de la prochaine rentrée. www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2013/05/08/002-cegep-demande-hausse.shtml
Le DEC en Tourisme est offert en
partenariat avec le Cégep de Matane. Ce programme menant à un diplôme
en Techniques de tourisme du Cégep de Matane permet d’étudier en
téléenseignement et en formation à distance grâce à un partenariat avec le
Cégep@distance. En simultanée avec les étudiants en classe au Cégep de Matane,
les cours spécifiques au programme peuvent être suivis en téléprésence en salle
de classe à Montréal ou en ligne en vidéoconférence à la maison. Les cours de formation
générale commune et complémentaire doivent être suivis à distance selon la
formule d’autoformation avec encadrement personnalisé du Cégep@distance.
Qu’est-ce que la téléprésence et la vidéoconférence? En téléprésence, vous
participez en direct dans une salle de classe du Cégep@distance à Montréal, en
compagnie d’autres étudiants, au cours donné par un professeur situé dans le
collège partenaire. Grâce à des caméras et à des écrans situés dans chacune des
classes, vous pouvez voir l’enseignant donner le cours et interagir avec lui,
au même titre que les étudiants présents dans sa classe. Ceux-ci, ainsi que
l’enseignant, peuvent également vous voir sur leurs écrans et interagir avec
vous. La vidéoconférence permet quant à elle de vivre la même expérience en
ligne à partir de votre domicile. La téléprésence et la vidéoconférence vous
permettent d’être intégré à une cohorte avec l’avantage d’élargir les horizons
grâce à des échanges avec des étudiants situés aux quatre coins du Québec.
Consultez également… Téléprésence et vidéoconférence ou comment étudier en
tourisme aux quatre coins du Québec http://cegepadistance.ca/accueil-etudiant/programmes-et-cours/nos-programmes/dec-techniques-de-tourisme-414-a0/
Prêts et bourses: les étudiants
réclament et remboursent plus Pour l'année financière 2012-2013,
430 000 étudiants ont compté sur les deniers publics pour se former dans les
collèges et les universités de la province contre 420 000 l'année précédente et
410 000 en 2010-2011. Au cours des dernières années, de plus en plus de
Québécois ont réclamé des prêts et bourses au gouvernement de la province pour
financer leurs études. Ils ont aussi été plus nombreux à remettre les sommes
empruntées. Pour l'année financière 2012-2013, 430 000 étudiants ont compté sur
les deniers publics pour se former dans les collèges et les universités de la
province contre 420 000 l'année précédente et 410 000 en 2010-2011.
L'augmentation est constante puisqu'elle correspond à 10 000 emprunteurs
supplémentaires par année, l'équivalent de 2,4 %. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/education/201305/13/01-4650474-prets-et-bourses-les-etudiants-reclament-et-remboursent-plus.php
Collège de Valleyfield -
Connaissez-vous votre profil sexe? Un nouveau site web pour vous aider à mieux
le connaître. C'est au Café chez Rose du Collège de Valleyfield, entourée
d'étudiants et d'étudiantes, que madame Ginette Pariseault, directrice de santé
publique locale du Centre de santé et de services sociaux du Suroît, a dévoilé
le microsite monprofilsexe.com. Les infections transmissibles sexuellement et
par le sang (ITSS) prennent une ampleur épidémique particulièrement chez les
jeunes : parmi les 3762 cas d'ITSS déclarés en 2012 en Montérégie, plus de 2000
cas, soit près du 2/3, étaient des jeunes âgés entre 15 et 24 ans. Sur le
territoire du Suroît, en 2012, 160 cas d'ITSS ont été répertoriés dont la très
grande majorité était des cas de chlamydia. Il faut donc rehausser les efforts
pour sensibiliser ce groupe d'âge à l'importance d'adopter des comportements
sexuels sécuritaires ainsi qu'à se faire dépister. À cet effet, le lancement du
microsite monprofilsexe.com, développé par la Direction de santé publique de
l'Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie, s'adresse aux
jeunes, particulièrement aux 18-24 ans. Il sera un outil efficace pour
interpeller les jeunes adultes, croit madame Pariseault : « C'est une
excellente façon d'informer et de sensibiliser les étudiants au phénomène des
ITSS, qui demeure très préoccupant. Grâce à sa formule ludique et interactive,
le site web suscitera sans doute un intérêt chez ce public amoureux des
nouvelles technologies», conclut-elle. Quant à Docteure Ariane
Charliers-Lazure, médecin à la clinique jeunesse du CLSC de Salaberryde-
Valleyfield, elle affirme qu'il faut redoubler d'efforts pour que les jeunes
saisissent l'importance de porter le condom et d'adopter des pratiques
sexuelles sécuritaires : « La progression des ITSS est importante sur le
territoire, et nous constatons des cas chez un public de plus en plus jeune. Le
manque de connaissances, la banalisation des infections et de leurs
conséquences sont des éléments qui peuvent expliquer pourquoi nous vivons une
épidémie d'ITSS; nous devons donc poursuivre nos efforts de sensibilisation
pour freiner cette progression importante », affirme-telle. Êtes-vous audacieux
ou plutôt intrépide avisé? Une visite sur monprofilsexe.com vous permettra de
découvrir votre profil, fictif soulignons-le, et vous renseignera sur les bons
comportements à adopter pour limiter les risques d'infections. Plusieurs
sections pertinentes ont aussi été pensées afin d'aider les jeunes dans leur
cheminement, entre autres, les sections « Saviez-vous que? » et une
cartographie des 23 CLSC et cliniques jeunesses offrant des services de
dépistage sur le territoire de la Montérégie. Pour plus d'information,
rendez-vous sur le site monprofilsexe.com. Une infirmière disponible au Collège
de Valleyfield. Parmi les autres moyens déployés dans la région pour encourager
les jeunes à se faire dépister, notons la présence de madame Karine Girard,
infirmière aux services intégrés de dépistage et de prévention des ITSS au CSSS
du Suroît. Celle-ci sera disponible sur rendez-vous, le mercredi matin, de 8 h
à midi, à même les locaux du Collège de Valleyfield jusqu'à la fin de la
session. Le directeur des affaires étudiantes au Collège de Valleyfield,
monsieur Éric Tessier, s'en réjouit : « Le Collège met beaucoup d'efforts pour
faire la promotion des saines habitudes de vie auprès des étudiants. Il nous
apparaît aussi essentiel de leur faciliter l'accès à des services de santé et
de prévention et en ce sens, la présence d'une infirmière au Collège répond à
notre souci de mieux servir nos étudiants en regard de leur santé globale ».
Pour plus d'information concernant le microsite, le dépistage des ITSS ou
encore sur la Clinique jeunesse 12-24 ans du CLSC de Salaberry-de-Valleyfield,
téléphonez au 450 371-0143. Des ressources sont disponibles gratuitement et les
consultations sont confidentielles. Sinon, rendezvous dès maintenant sur
monprofilsexe.com pour découvrir « votre profil sexe »! www.colval.qc.ca
Formation continue du Cégep de
Sainte-Foy - Nouvelle formation offerte en ligne pour se préparer aux examens
de l'Autorité des marchés financiers. Les futurs courtiers et agents
d’assurance de dommages des particuliers partout au Québec disposent d’un
nouvel outil pour se préparer aux examens de l’Autorité des marchés financiers
(AMF) grâce à la formation continue du Cégep de Sainte-Foy. Une toute nouvelle
formation offerte entièrement sur le web permettra aux quelques 1 000 personnes
par an qui passent les examens de l’AMF de s’y préparer de la meilleure façon
qui soit, grâce aux nouveaux Modules de formation préparatoire aux examens de
l’AMF. Une fois inscrite aux cours, la personne dispose de trois mois pour
compléter la formation, et ce, au moment et à l’endroit qui lui convient, une
formule unique au Québec. À travers une série de trois modules comprenant
exercices et tests pratiques sur le web, la personne inscrite au cours peut
étudier toutes les notions abordées aux examens de l’AMF, du droit en assurance
de dommages, à l’assurance de biens des particuliers, en passant par l’assurance
automobile des particuliers et des entreprises. Les cours s’adressent autant
aux personnes qui s’apprêtent à passer pour la première fois les examens de
l’AMF qu’à ceux qui doivent se préparer à une reprise d’examen. «Le Cégep de
Sainte-Foy est un leader en formation en assurance. Nous fournissons à
l’industrie une main-d’œuvre qualifiée depuis plus de 20 ans. Nos nombreux
programmes et cours de formation en sont la preuve, souligne Paul Thériault,
directeur de la formation continue du Cégep de Sainte-Foy. C’est cette large
expertise que nous souhaitons offrir à l’ensemble des personnes intéressées à
mener une carrière en assurance de particuliers à travers la province,
ajoute-t-il. Et nous souhaitions le faire dans des conditions qui répondent aux
besoins de ces personnes avec une formation offerte totalement en ligne et une
formule asynchrone où l’étudiant choisit lui-même le moment qui lui convient
pour suivre son cours», conclut-il. Les Modules de formation préparatoire aux
examens de l’AMF sont offerts au coût de 150 $ pour un module, 250$ pour deux
modules et 300 $ pour les trois. L’inscription s’effectue en ligne via le site
web de la formation continue. http://dfc.cegep-ste-foy.qc.ca/accueil/programmes/programmes-aec-et-dec/modules-de-formation-preparatoire-aux-examens-de-lamf/
Universitaire
Universitaire
Le top mondial 2013 des facs de droit
QS World University publie son classement des meilleures
écoles de droit à l'échelle mondiale pour l'année 2013. Votre fac y
figure-t-elle ? L'Université McGill se classe 27ème Si vous étudiez le droit à l’Université
McGill, l’Université de Montréal ou l’Université Laval, vous faites partie des
facultés de droit de renommée internationale. En effet, McGill se classe 27ème,
l’UdeM entre la 101ème et 150ème position, et Laval entre 151ème et 200 ème
position du classement mondial des écoles de droit, dévoilé par QS. Dommage
pour les facs de droit de Sherbrooke et de l'UQAM qui ne figurent pas dans le
classement. www.droit-inc.com/article10121-Le-top-mondial-2013-des-facs-de-droit
Prescriptions par les pharmaciens: le projet bat de l'aile La plupart des pharmaciens s'attendent à un surcroît de
travail avec l'entrée en vigueur des nouvelles responsabilités dévolues aux
pharmaciens en vertu de la loi 41 qui a été adoptée en décembre dernier. La
possibilité que les pharmaciens prescrivent certains médicaments ou
renouvellent certaines ordonnances sans l'aval d'un médecin est compromise,
selon l'Association québécoise des pharmaciens propriétaires (AQPP). Il y a une
impasse dans les discussions entre le gouvernement et les pharmaciens sur leur
rémunération. «On tourne en rond dans un comité avec le ministère de la Santé.
Après plusieurs rencontres, on ne s'entend pas sur la couverture des services.
On ne s'entend pas sur les coûts de ces services pour les pharmaciens
propriétaires», a commenté, lundi, le président de l'Association, Jean
Thiffault. www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/sante/201305/13/01-4650472-prescriptions-par-les-pharmaciens-le-projet-bat-de-laile.php
Médicaments: une application mobile de l'Association
québécoise des pharmaciens propriétaires. L'Association québécoise des
pharmaciens propriétaires (AQPP) lance l'application gratuite pour téléphones
intelligents Mon pharmacien. Cette dernière est disponible pour l'iphone, ipad
et les appareils fonctionnant avec un système d'exploitation ios. Elle peut
être téléchargé l'App Store. Elle permet notamment de: - gérer la prise de médicaments au moyen
d'alertes - consulter le répertoire des médicaments disponibles au Québec -
consulter une description des médicaments (mode d'emploi, contre-indications) -
trouver la pharmacie la plus près de chez soi. www.psychomedia.qc.ca/medicaments/2013-05-09/application-ios-iphone-ipad-mon-pharmacien
Le pharmacien d'hôpital, ce méconnu www.nouvelles.umontreal.ca/culture/livres/20111205-le-pharmacien-dhopital-ce-meconnu.html
Vidéos de la Faculté de foresterie, géographie et géomatique
de l’université Laval www.youtube.com/ffggtv
Le département de génie chimique de l'École Polytechnique
de Montréal www.youtube.com/watch?v=iF36VV5RJvs
Documentation
Les travailleurs migrants
combleraient 75% des emplois créés. Au Québec, 90% des
nouveaux emplois nets créés en 2011 ont été occupés par des travailleurs
migrants, selon l'analyse du CTC. Plus de 75 % des
nouveaux emplois créés au Canada en 2010 et 2011 ont été dotés par des
travailleurs migrants internationaux, révèle une étude dévoilée hier par le
Congrès du travail du Canada (CTC). www.lapresse.ca/le-droit/economie/201305/11/01-4649897-les-travailleurs-migrants-combleraient-75-des-emplois-crees.php?p=535666
La
maltraitance laisserait des traces cérébrales liées à une vulnérabilité future.
Les adolescents ayant souffert d'abus ou de violences dans l'enfance présentent
des altérations au niveau de la matière blanche du cerveau, selon une étude
américaine publiée dans la revue Neuropsychopharmacology du groupe Nature. Ces
altérations sont non seulement liées à la maltraitance mais également au
développement subséquent de troubles psychiatriques. La matière blanche est constituée des fibres
nerveuses qui ont pour fonction la transmission des informations entre
différentes régions du cerveau. Au début de l'étude, les adolescents exposés à
la maltraitance présentaient des perturbations de la matière blanche dans
certaines régions du cerveau telles que l’hippocampe comparativement aux
participants témoins. www.psychomedia.qc.ca/stress/2012-08-04/maltraitance-vulnerabilite
La grippe
pendant la grossesse quadruplerait le risque de trouble bipolaire. La grippe
influenza pendant la grossesse pourrait quadrupler le risque de trouble
bipolaire chez les enfants plus tard dans la vie, selon une étude publiée dans
le Journal of the American Medical Association (JAMA) Psychiatry. Raveen Parboosing
du Albert Luthuli Central Hospital (Durban, Afrique du Sud) et ses collègues
ont mis en relation les données d'une étude menée avec des femmes enceintes
entre 1959 et 1966 avec des données concernant leurs enfants. Dans cette
cohorte, 214 femmes ont contracté la grippe pendant leur grossesse. Chez leurs
enfants, 92 cas de trouble bipolaire ont été identifiés à l'âge adulte. Ce qui
correspond à un risque multiplié par 4, selon la comparaison avec un groupe
témoin. www.psychomedia.qc.ca/trouble-bipolaire/2013-05-09/grippe-pendant-la-grossesse-augmente-le-risque
Notre
mission : Structurer et offrir des services professionnels afin
d'améliorer le lien humain-chien; Regrouper les professionnels cynologues et
cynophiles et favoriser leur reconnaissance; Favoriser la qualité des relations
avec le public ainsi qu'interprofessionnelles en faisant respecter une éthique
professionnelle commune. Au canada, il est interdit par la loi de vendre un
chien comme étant de race pure sans ses papiers d'enregistrement et propriété! www.apeecq.org/index.php/fr
La direction de l’UQAT est heureuse de vous accueillir pour le Xe congrès de l’ACOC en 2013 (28 au 31 mai, à la même semaine que le Festival des Guitares du Monde en Abitibi-Témiscamingue) ANNE-MARIE NADEAU Agente de recrutement Service des communications et du recrutement Campus de Rouyn-Noranda Anne-Marie.Nadeau@uqat.ca Osez l’Abitibi-Témiscamingue lors du Xe Congrès de l’ACOC. C’est avec plaisir et fébrilité que l’équipe du Service des communications et du recrutement vous attend pour vous faire connaître notre université, mais surtout, pour vous faire vivre l’expérience UQAT! Le nord-ouest du Québec regorge de beautés et de trésors peu connus. Profitez du congrès de l’ACOC pour découvrir ce qui se cache de l’autre côté du Parc De La Vérendrye. Avant-goût de la programmation : expérimentation du studio MoCap; La culture autochtone; L’art-thérapie; Visite minière; Festival des guitares du monde en Abitibi-Témiscamingue; Les défis d'orientation durant la transition au collégial; et plus encore! www.uqat.ca/acoc2013 Nos partenaires:
C'est officiel: l'OCCOQ recevra le Congrès mondial de l'Association internationale d'orientation scolaire et professionnelle (AIOSP) à Québec du 3 au 5 juin 2014.
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