Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin
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L'hiver durera encore six semaines... foi de marmotte www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-divers/200902/02/01-823293-lhiver-durera-encore-six-semaines-foi-de-marmotte.php
L'admission universitaire
Portes ouvertes dans les universités
Contingentement universitaire - Cotes R des derniers admis -
Admission en médecine au Québec
Description de programmes universitaires
Aide en orientation
PRÉALABLES SPÉCIFIQUES POUR L’ADMISSION COLLÉGIALE À L’AUTOMNE 2010
Le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport a publié le vendredi 23 janvier 2009 la grille des préalables spécifiques exigés pour l’admission collégiale des élèves qui seront diplômés du régime de sanction des études J5. Vous trouverez cette information en cliquant sur la rubrique intitulée « Conditions particulières 2010-2011 » sur le site du MELS à l’adresse suivante : www.mels.gouv.qc.ca/ens-sup/ens-coll/programm.asp Ces préalables sont applicables aux élèves qui obtiendront la sanction de leur DES à compter de juin 2010 au secteur des jeunes. Certaines questions liées à la transition vers ce nouveau régime demeurent à résoudre, mais le document publié par le MELS devrait être d’un précieux secours pour les conseillers du secondaire et leurs élèves qui ont à effectuer des choix en mathématiques et parmi certaines options de sciences physiques, de chimie ou de physique en vue de l’admission au collégial pour l’automne 2010. Bulletin du SRAM
Ce document du MELS mentionne plusieurs modifications aux conditions particulères d’admission par exemple : Gestion de commerce (DES seulement) Techniques de comptabilité et de gestion (Math de 4e sec. TS ou SN) Tourisme, Gestion hotelière et GER (DES seulement) Design industriel (Math de 5) Les 2 aménagements (Math de 5 CST) Bioécologie (Math de 5 et Chimie) TSO (Math de 5 et STE ou SE de 4) Électronique (Math de 4 ) Prothèses dentaires (DES seulement) Hygiène dentaire (Chimie) Analyses biomédicales (Math de 4 et Chimie) Réadaptation physique (Physique) Orthèses visuelles (Math de 5 et Physique)
Lancement ce matin de la Communauté virtuelle de partage Nous constatons que plusieurs échangent portent sur les préalables du collégial qui viennent tout juste d’être publiés. C’est justement pour apporter un soutien aux c.o. que l’Ordre a développé une Communauté virtuelle de partage, un site internet à accès protégé qui vous permet d’échanger sur les questions reliées au renouveau pédagogique. La Communauté virtuelle de partage sera lancée ce matin, à 11 h 30, par web diffusion à l’adresse suivante : http://www.choixavenir.ca/ Tous les c.o. oeuvrant au secondaire ont reçu ce matin un rappel de l’invitation pour le lancement officiel accompagné de leur mot de passe et leur code d’accès personnalisés. À propos de vos préoccupations sur les préalables, nous tentons présentement d’identifier un spécialiste qui pourra venir répondre à vos questions sur le Forum d’échange de la Communauté virtuelle de partage. Diane Tremblay Coordonnatrice aux communications, secteur orientation dtremblay@occoppq.qc.ca
Pour vous aider dans vos questionnements:
Est-ce que le fait d’avoir modifié les mathématiques pour ne plus parler de math faibles et math fortes a réellement changé? NON, dans la réalité de l'organisation scolaire cela n'a rien changé. C'est encore les élèves forts qui sont classés en math SN ou TS, et les élèves faibles en math CST. C'est bien beau les intérêts, mais il ne faut pas oublier les capacités et la motivation des élèves. Peu de programmes collégiaux demandent spécifiquement les math. CST. (Seulement 2 programmes). Est-ce que cela veut dire que ces deux programmes n’acceptent pas les élèves qui ont les Math SN ou TS? Encore une fois, cela n'a rien changé. Au niveau des préalables collégiaux, les math CST sont l'équivalent de mat 514 alors que les mat TS ou Sn sont l'Équivalent des 436. C'est différent au niveau du contenu des cours, il va sans dire, mais au niveau des préalables, cela n'a presque rien changé. Donc les programmes qui exigent la séquence CST peuvent tout aussi bien accepter des élèves qui ont réussi leur TS ou SN, car la valeur est supérieure. (C'est comme les math 536 qui sont supérieures aux math 514.....) À quoi ça mène de faire CST de 5e secondaire? Bonne question...Peut-être mieux préparer les élèves à des études supérieures....On ne mentionne rien sur les mises à niveau non plus...Je me demande si elles existent toujours... Est-ce que les programmes collégiaux ont ajusté leurs préalables ? Oui, il est à noter que pour certains programmes, les préalables de mathématiques et/ou de sciences ont changés alors il faut faire preuve de prudence. Par exemple, le programme Gestion de commerces demandait dans le régime J4 des mat436, alors que maintenant dans le régime J5, on demande seulement le DES, donc n'importe quelle séquence de mathématiques de 4e secondaire (CST ou TS ou SN). La séquence CST est supposé être plus exigeante que le 514??? OUI, la séquences CST est plus difficile que les math 416-514. Le programme est plus chargé. Par exemple, les élèves voient certains contenus plus tôt dans leur cheminement scolaire qu'auparavant. Cela est vrai au 1er cycle également. Donc les élèves sont «supposés» être bien préparés lorsqu'ils étudient en 4e secondaire....Ce qui n'est pas le cas de nos élèves doubleurs cette année en 4e secondaire. Ceux-là la trouve très difficile car ils leur manque considérablement de contenu de la 3e secondaire. Et les élèves devaient pouvoir passer par la CST pour les programmes pré-U du secteur des sciences humaines ou sciences sociales… à la lecture du document, je comprends que pour les sciences humaines « avec math », ils auront besoin de TS ou SN? Oui, les élèves peuvent passer par la séquences CST pour accéder aux programmes de sciences humaines et arts et lettres. Toutefois, ils ont besoin de leur Math TS ou SN de 5e secondaire pour faire les sciences humaines avec math au Cégep. C'est comme avant...Rien n'a changé de ce côté. Est-ce que nous sommes revenues au point de départ ou alors est-ce à cause de notre incompréhension du document? Un peu des deux...Je note une certaine incompréhension mais c'est compréhensible.... C'est maintenant plus difficile pour les élèves et leurs parents de faire un choix éclairé pour leur futur. Demander à un ado de 14-15 de choisir la bonne séquence de mathématiques pour ouvrir les bonnes portes de son avenir, c'est un gros défi. De plus la longueur des noms des séquences ne nous facilitent pas la tâche.... Nous n'avons pas encore parlé ici des préalables en sciences....Le préalable en sciences de l'environnement remplace les sciences physiques 436. Je trouve cela très dommage pour nos futures infirmières. Dans une petite école secondaire comme la mienne, seuls les élèves «forts» ont accès à ce cours en 4e secondaire. Et ce n'est pas nécessairement le bon profil d'élèves pour faire un parcours fort avec les math SN et les 8 périodes de sciences (sciences techno + sciences environnement). Disons que cela n'a pas vraiment changé comparé aux groupes d'élèves qui avaient accès aux sciences physiques 436, et c'est très décevant. Voilà, j'espère que vous comprenez mieux maintenant. Marilyn Bélanger, c.o. École secondaire Bon-Pasteur et C.E.A. l'Islet-Nord Commission scolaire de la Côte-du-Sud (message sur le Cointernet)
Info collégiale
L’équipe d’OrientAction produit deux Bulletins par année, l’un au Printemps et l’autre à l’Automne. Ces Bulletins se retrouvent sur le site d’OrientAction et, en plus, 1000 copies papier sont distribuées à des professionnels et à des étudiants en développement de carrière lors de colloques, congrès ou autres rencontres. L’équipe d’OrientAction est à la recherche d’articles pour le prochain Bulletin du Printemps 2009. Avez-vous le goût d’en écrire un ? Avez-vous le goût de partager avec d’autres professionnels un projet, une recherche, une réflexion, une intervention réussie ? Si oui, écrivez-le et soumettez-le nous à l’adresse suivante : admin@orientaction.ca. Nous nous ferons un plaisir de le diffuser. Quelques informations complémentaires pour produire votre article : Les articles sont rédigés bénévolement par des professionnels qui travaillent dans le domaine de la carrière ou de l’orientation. Les auteurs sont clairement identifiés et même présentés dans une courte note biographique à la fin de chaque article. Les articles abordent des sujets variés pouvant rejoindre les préoccupations de différents milieux de pratique en développement de carrière : milieu scolaire, de l’employabilité, organisationnel, communautaire, pratique privée, et autres au Québec ou hors Québec. Les sujets d’articles doivent intéresser plusieurs intervenants et s’adressent aux professionnels et non à leurs clients. Le ton des articles doit être informatif et non promotionnel. Chaque article compte entre 600 et 1500 mots. L’équipe d’OrientAction effectue une révision linguistique des articles et il est possible que nous raccourcissions le texte au besoin. Si un changement est susceptible d’affecter le sens du texte, nous demandons l’autorisation de l’auteur. L’auteur d’un article peut évidemment réutiliser son article par la suite, mais nous demandons de préciser qu’il a été écrit pour le Bulletin OrientAction. En plus de la version imprimée, les articles sont mis en ligne et archivés sur le site OrientAction. Les moteurs de recherche peuvent répertorier ces pages et votre article jouit d’une meilleure visibilité. Vous vous sentez inspirés? Envoyez-nous votre proposition d’article à : admin@orientaction.ca Toute l’équipe d’OrientAction.
Les activités socioculturelles dans les cégeps : un tremplin vers la réussite éducative La Fédération des cégeps est heureuse de souligner le lancement de la programmation 2008-2009 du Réseau intercollégial des activités socioculturelles du Québec (RIASQ). Depuis maintenant treize ans, le RIASQ produit des événements mettant en lumière de jeunes talents qui, par leur créativité et leur engagement, enrichissent la vie culturelle et artistique du Québec. En plus d’offrir aux étudiants et aux étudiantes du réseau collégial diverses plateformes leur permettant d’explorer et de développer leur fibre créatrice, les activités produites par le RIASQ — Cégeps en spectacle, le Festival intercollégial de théâtre, le Festival intercollégial de danse, l'Exposition intercollégiale d'arts plastiques et le Circuit intercollégial d’improvisation — contribuent à faire des cégeps de véritables milieux de vie. Au même titre que les activités parascolaires offertes dans les cégeps, ces événements permettent aussi aux étudiants et aux étudiantes de prendre part à des projets stimulants, d’explorer et d’apprendre à se découvrir tout en enrichissant leur formation. La Fédération des cégeps profite donc de ce coup d’envoi pour rappeler toute l’importance que revêt la pratique d’activités socioculturelles dans le cadre d’une formation collégiale. Par la motivation et la persévérance qu’elle suscite chez les jeunes, cette forme d’engagement représente un tremplin vers la réussite éducative. Le Réseau intercollégial des activités socioculturelles du Québec (RIASQ) est un organisme partenaire de la Fédération des cégeps. www.newswire.ca/fr/releases/archive/January2009/27/c3114.html
Bonis - Cadres des cégeps Un cadeau aberrant Les primes au rendement versées aux cadres du Cégep régional de Lanaudière ont atteint 64 585 $ en 2008. En pleine crise économique, les bonis versés aux cadres des cégeps ont augmenté de 9 % l'an dernier, une situation jugée «aberrante» par certains observateurs, qui estiment que l'argent aurait mieux servi ailleurs. Des données obtenues par Le Journal de Montréal révèlent que les collèges québécois ont versé 1,7 M$ en montants forfaitaires à 753 cadres en 2008. Cela représente une hausse d'environ 150 000 $ par rapport à l'année précédente, alors que 719 gestionnaires avaient eu droit à de telles primes. Ces montants forfaitaires comprennent les primes au rendement, ainsi que certains bonis consentis lors de promotions ou de réaffectations. La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) juge que l'augmentation de ces primes salariales n'est pas acceptable. «En période de crise économique, on trouve ça un peu tordu», lance Xavier Lefebvre-Boucher, président de la FECQ, qui représente 42 000 cégépiens. «C'est aberrant, ajoute-t-il. Malgré le dernier investissement de 70 M$ dans les cégeps, les classes sont toujours surchargées, la tâche enseignante est lourde et il y a des cégeps qui n'ont même pas de psychologue.» Tasha Kheiriddin, de l'Institut Fraser, estime qu'une telle hausse des primes n'est pas appropriée en période de turbulences économiques. «Ce n'est pas un bon exemple (que donne le gouvernement)», dit-elle. «Dans une conjoncture économique difficile, c'est plus facile pour les compagnies privées de faire les changements nécessaires, souligne Mme Kheiriddin. Elles peuvent décider de réduire les salaires ou de couper dans les bonis.» La ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, est étonnée que les primes versées aux cadres des cégeps aient bondi de 9 % en un an. «La ministre trouve ça élevé», dit son attaché de presse, Jean-Pascal Bernier. «On va revenir avec des projets de loi sur la gouvernance des universités et sur la gouvernance des cégeps, indique-t-il. On vise une meilleure reddition de comptes dans les collèges.» MONTANTS FORFAITAIRES VERSÉS AUX CADRES DES CÉGEPS 2006 1 480 826$ distribués à 737 cadres 2007 1 561 735$ distribués à 719 cadres 2008 1 707 996$ distribués à 753 cadres Source : ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/01/20090130-080700.html Hausses obligatoires Malgré les soubresauts de l'économie, les collèges n'ont pas le choix de verser des bonis au rendement à leurs gestionnaires, affirme la Fédération des cégeps. «Ils ont l'obligation de prévoir le traitement, mais aussi le versement des primes au rendement des cadres», indique la porte-parole de la Fédération, Caroline Tessier. La rémunération des gestionnaires des cégeps est encadrée par un règlement gouvernemental, souligne-t-elle. Selon Caroline Tessier, l'augmentation de 9%des montants versés aux cadres l'an dernier s'explique par l'augmentation de salaire qu'ils ont reçue. Le montant de la prime versée est basé sur la rémunération. Ce boni ne dépasse généralement pas 2% du salaire annuel, sauf pour les directeurs généraux et les directeurs des études, qui peuvent obtenir une prime représentant entre 5%et 6%de leur salaire. Le salaire annuel d'un directeur général pourrait atteindre 142 187$ cette année. Un directeur des études pourrait gagner jusqu'à 119 870$. Le salaire annuel maximal des autres cadres du réseau sera 106 976$ cette année. www.canoe.com/archives/infos/quebeccanada/2009/01/20090130-081500.html
Les métiers de la santé en promo
Pour le réseau de la santé, l'enjeu est majeur : combler 3900 postes de tout genre cette année, et 4300 en 2016-2017. www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/sante/200901/27/01-821498-les-metiers-de-la-sante-en-promo.php
L’équilibre travail-études est essentiel à la réussite scolaire Le travail rémunéré ne doit pas compromettre les études www.messagerverdun.com/article-293513-Lequilibre-travailetudes-est-essentiel-a-la-reussite-scolaire.html
Universitaire
L’UQAR : partenaire majeur d’un réseau de recherche canadien sur la santé des océans. Une équipe de recherche de l’Université du Québec à Rimouski participe à la création d’un vaste réseau pancanadien visant à développer les recherches scientifiques sur la santé des océans. Ce réseau est dirigé par l’Université Memorial, de Terre-Neuve, et financé principalement par le Conseil de recherche en sciences et en génie du Canada (CRSNG), par Pêches et Océans Canada et par la province de Terre-Neuve et Labrador. Il implique la collaboration de 60 chercheurs dans une quinzaine d’universités et ministères d’un océan à l’autre du Canada, avec un budget de près de 10 M $ sur cinq ans. Le CRSNG verse 5 millions $ sur ce montant, dont environ 500 000 $ directement à l’UQAR. www.uqar.qc.ca/uqar-info/0109/santeoceans.asp
Besoin d'idées jeunes
Les étudiants en génie de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) pourraient participer à un projet né sous l'égide du Cirque du Soleil. Ils seraient ainsi appelés à mettre au point des engins qui permettront de créer de nouveaux numéros. Le projet est encore embryonnaire, mais pourrait se réaliser d'ici quelques mois. Pour l'instant, les responsables du cirque s'affairent encore à tisser des liens avec l'UQAT et les universités de Sherbrooke et de Montréal. « Là on a actuellement montré ce que nous on fait ici à l'UQAT. Quand on regarde ce qu'on fait notamment dans le secteur du génie bien entendu. Toute la question de la création, nouveaux médias, l'ergonomie, gestion de projets », précise la rectrice de l'UQAT, Johanne Jean. En sollicitant ainsi le processus de création des étudiants, le Cirque du Soleil pense qu'il accédera à des idées novatrices. « Ils peuvent donc à partir d'un problème particulier le voir sous un angle nouveau et sous un angle rafraîchissant. Et à ce moment-là même nous challenger », explique le vice-président casting et performance du Cirque du Soleil, Bernard Petiot. Le Cirque du Soleil devrait entre autres proposer aux étudiants de renouveler l'idée du diable qui bondit hors de sa boîte. Les étudiants devront ainsi se creuser la tête pour adapter le concept à un nouveau numéro de cirque à l'aide d'objets de performances acrobatiques. www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2009/01/27/004-cirque-soleil_n.shtml
Du nouveau pour les nouvelles de l’UdeM! L'Université de Montréal a créé un tout nouveau portail, le site http://www.nouvelles.umontreal.ca/ , où se retrouvent désormais toutes les nouvelles de l'Université et de sa vaste communauté. Le site devient un carrefour de l'information où les internautes trouveront les articles du journal FORUM, les communiqués de presse émanant du Bureau des communications et des relations publiques, des unités de l'UdeM ou de ses établissements affiliés, un calendrier des activités, les clips vidéo de « Forum en clips », des dossiers thématiques et une revue de presse quotidienne. Un bulletin hebdomadaire appelé UdeMNouvelles rassemble l'essentiel des nouvelles de la semaine, dans un courriel. Vous recevez maintenant ce bulletin puisque vous étiez abonné au précédent bulletin, iForum, ou aux listes d'envoi du service des relations de presse de l'UdeM.
Rachel Cotton, doctorante en musique et kinésiologue en devenir Rachel Cotton a dû interrompre son doctorat en interprétation à la suite de douleurs musculosquelettiques. C'est au cours de son année sabbatique que l'idée d'entreprendre des études en kinésiologie lui est venue. La musique adoucit les mœurs, mais sa pratique intensive peut entrainer des troubles musculosquelettiques. Les muscles, les tendons et même les articulations peuvent être sujets à des douleurs intenses. Rachel Cotton en sait quelque chose. Il y a deux ans, l'étudiante en interprétation à la Faculté de musique a dû interrompre momentanément son doctorat en raison de maux au dos, aux bras, aux poignets et aux mains. «Je souffrais de courbatures constantes et d'une grande fatigue, raconte la pianiste. Juste tenir un livre me faisait mal.» Bursites, tendinites, arthrite, surmenage... Plus de la moitié des musiciens ont au cours de leur carrière à composer avec des blessures ou des problèmes de santé liés à la pratique de leur instrument, selon une étude américaine menée auprès de 4000 instrumentistes à vent et à cordes membres d'un orchestre. Une autre étude effectuée en 1997 auprès de 56 orchestres internationaux confirme ces données. Les principales causes de leurs tensions et souffrances sont la répétition à outrance de certains mouvements et les postures prolongées en position assise et souvent astreignantes requises par la forme de l'instrument. Les contraintes de performance engendreraient aussi un grand stress chez certains. Après 23 ans à pousser la machine à fond – «Je m'exerçais quotidiennement de trois à quatre heures en plus des répétitions comme accompagnatrice et chambriste» –, Rachel Cotton en paie la note! C'est littéralement le cas. Les ostéopathes et les physiothérapeutes coutent cher. Et, comme la plupart des musiciens, Mme Cotton est travailleuse autonome. Elle n'a donc pas bénéficié d'une indemnisation pendant son arrêt de travail. «En général, dans les écoles de musique, on ne nous apprend pas assez à faire attention à notre posture. Quand l'ergonomie n'est pas un élément négligé, elle est souvent mal appliquée», déplore la jeune femme âgée de 30 ans. À son avis, la prévention devrait commencer dès le premier contact avec l'instrument. «Sinon les mauvaises habitudes s'installent et, à la longue, il est difficile de s'en défaire», affirme-t-elle. Malgré les douleurs physiques, le plus difficile dans son cas a été l'aspect psychologique entourant l'arrêt de ses études. «Il n'est pas facile d'exposer sa douleur au grand jour, de prendre du repos et de réaliser qu'on ne pourra peut-être pas devenir concertiste», confie la pianiste. D'autant plus que, pour la grande majorité des médecins, la douleur des musiciens est volontiers attribuée à un problème somatique à prédominance féminine. Comment en effet prendre au sérieux quelqu'un qui semble en bonne santé et qui se plaint d'un mal invisible? «Le phénomène est encore méconnu au Québec de sorte qu'il est compliqué de trouver rapidement de l'aide spécialisée», souligne l'étudiante. Parce qu'elle n'arrivait pas à obtenir de soutien médical, Rachel Cotton s'est mise en quête d'information. «Je suis allée à la bibliothèque de l'Université et j'ai pris à peu près tout ce que je trouvais sur le sujet, mentionne-t-elle. Je voulais comprendre ce que je vivais. Mais, dans les ouvrages disponibles, le langage était très technique. Je n'y comprenais pas grand-chose. J'ai donc décidé de m'inscrire au baccalauréat en kinésiologie. J'ai eu la piqure.» Aujourd'hui, la pianiste se porte mieux. Elle a même terminé ses études de troisième cycle en musique sous la direction de Paul Stewart, qui, précise-t-elle, lui a apporté beaucoup d'appui et d'aide technique. «J'ai pu recommencer à jouer du piano graduellement.» Comme les sportifs qui reviennent à la compétition après un retrait forcé. Un athlète ne songerait jamais, en effet, à courir un marathon ou à entreprendre immédiatement un entrainement intensif après avoir subi une blessure grave. «On ne s'en remet jamais totalement. Il faut donc apprendre à écouter son corps et à ne pas aller trop loin», indique Rachel Cotton. Elle n'a pas mis un point final à sa carrière de musicienne – «J'enseigne et je fais des contrats ici et là» –, mais d'autres rêves, notamment celui de mettre sur pied une clinique consacrée aux musiciens, lui permettent d'envisager positivement l'avenir. «J'aimerais que, d'ici quelques années, on puisse parler de médecine musicale au même titre qu'on parle de médecine sportive. Et surtout de médecine préventive pour les musiciens!» conclut la future kinésiologue. www.nouvelles.umontreal.ca/campus/parlons-des-personnes/rachel-cotton-doctorante-en-musique-et-kinesiologue-en-devenir.html
Du désordre surgit la beauté
Illustration de l'écoulement de l'eau à travers la mouture de café à partir des propriétés fractales du mouvement brownien réalisée par Yvan Saint-Aubin «Les mathématiques possèdent non seulement la vérité, mais la beauté suprême, une beauté froide et austère, comme celle d'une sculpture», a dit un jour le mathématicien et philosophe Bertrand Russell. Yvan Saint-Aubin, professeur au Département de mathématiques et de statistique, est de ceux qui éprouvent ce sentiment esthétique devant les découvertes souvent inattendues réalisées en mathématiques. Il en a même fait l'objet d'une conférence présentée au dernier congrès de la Société mathématique du Canada, conférence reprise en novembre à l'Université Laval à l'occasion des «Grandes Conférences» du Centre de recherches mathématiques. www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-technologies/du-desordre-surgit-la-beaute.html
Le «travail émotionnel» est essentiel à la tâche de l'infirmière Pour l'infirmière, affronter une situation éprouvante en faisant abstraction de ses émotions n'est pas une mince affaire. Cette approche devrait faire partie de la formation de base et du soutien en milieu de travail Johanne (nom fictif) est infirmière dans un centre de santé et de services sociaux. Chaque semaine, elle doit visiter une jeune mère de famille monoparentale dont les deux enfants sont gravement handicapés. L'ainé n'a qu'un seul bras et qu'une seule jambe; le cadet a été confié à une famille d'accueil en raison d'une atteinte cérébrale congénitale due à une négligence parentale et sa mère ne le voit qu'une fois par semaine. Le père les a abandonnés tous les trois pour partir avec une autre femme. Pour l'infirmière qui doit voir au bien-être physique et psychologique de cette famille, affronter une telle situation éprouvante et désespérante en faisant abstraction de ses émotions n'est pas une mince affaire. En plus des services de base à assurer, son travail implique une charge additionnelle que les spécialistes ont nommée «travail émotionnel». www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/le-travail-emotionnel-est-essentiel-a-la-tache-de-linfirmiere.html
Du rêve à la réalité pour l'Épervier
L'avion entièrement conçu par des étudiants en génie a effectué son premier vol d'essai en décembre www.usherbrooke.ca/udes/journal/affiche/2008-2009-vol-2/no11/actualite/article/3952
L'École Polytechnique de Montréal inaugure le premier baccalauréat canadien en génie biomédical Le 29 janvier, l'Ecole Polytechnique de Montréal inaugurait officiellement le premier baccalauréat canadien en génie biomédical, en présence de la ministre de l'Education, du Loisir et du Sport du Québec, Mme Michelle Courchesne, du président de l'Ordre des ingénieurs du Québec, M. Zaki Ghavitian, des représentants du réseau de la santé, et des 41 premiers étudiants inscrits au programme. Lancée à l'automne 2008, cette formation multidisciplinaire axée sur les sciences de la vie amène plusieurs étudiantes à s'intéresser aux carrières en génie. Contingenté, le programme accueille présentement 41 étudiants : 26 jeunes femmes et 15 jeunes hommes, soit 63 % d'inscriptions féminines. En comparaison, les femmes comptent actuellement pour 11,8 % des membres de l'Ordre des ingénieurs du Québec. Soulignons que le nouveau baccalauréat attire des étudiants de haut calibre puisque leur cote R moyenne (cote de rendement au collégial) est de 32,8. Qu'en disent les premiers étudiants? "Faire partie de la première cohorte canadienne à suivre un tel programme est très excitant", affirme Alexe Boudreau-Pinsonneault, une jeune étudiante qui souhaite d'ici quelques années contribuer à la qualité de vie des gens et au bien-être de la société. "C'est une spécialité très humaine et l'innovation en génie biomédical ouvre des possibilités exaltantes", abonde William Sanger, un jeune homme passionné qui se dirige vers une carrière en recherche. "Le baccalauréat est exigeant, mais les cours sont variés et stimulants. Les projets intégrateurs sont un plus dans notre formation. Dès la première année, nous avons été confrontés à des problèmes réels d'ingénierie et nous avons dû apprendre à travailler en équipe. Un peu à l'image de pionniers, nous avons la chance d'être initiés à une discipline en émergence qui amène un déferlement d'idées novatrices", ajoute William. Ce qui distingue l'ingénieur biomédical d'un ingénieur de formation classique, c'est qu'il est capable d'analyser un problème à la fois du point de vue de l'ingénieur et de celui du professionnel de la santé. L'ingénieur biomédical travaille en collaboration avec des professionnels d'autres disciplines : médecins, biologistes, thérapeutes, administrateurs. Le nouveau programme de baccalauréat permettra aux étudiants d'acquérir de solides connaissances en biochimie, en biologie cellulaire et moléculaire, en physiologie, en mathématiques, en physique, en chimie, en informatique et en génie. Outre des cours, la structure du programme prévoit des projets intégrateurs ainsi qu'un stage de 4 mois obligatoire. Multidisciplinaire, le baccalauréat préparera les étudiants à relever des défis dans les entreprises vouées au développement d'équipements biomédicaux, celles du secteur pharmaceutique et des sciences de la vie, les hôpitaux, les firmes de génie conseil, les centres de recherche d'hôpitaux universitaires, les agences gouvernementales et les universités. La formation les préparera également à poursuivre des études supérieures en génie biomédical ou dans des disciplines connexes telles que la médecine. "Cette profession est relativement jeune et méconnue, et le secteur industriel québécois est encore en émergence. Au Québec, on compte actuellement 350 PME spécialisées dans les technologies de la santé. Il s'agit d'une industrie encore modeste, mais les exportations enregistrent une croissance de 22 % par an", affirme le Pr Pierre Savard, responsable du nouveau programme de baccalauréat. "Avec ses projets de construction de deux nouveaux centres hospitaliers universitaires, la région du Grand Montréal représente un pôle de croissance remarquable pour l'industrie des sciences de la vie, et les diplômés de l'Ecole Polytechnique de Montréal sont appelés à y jouer un rôle de premier plan", ajoute Christophe Guy, directeur général de Polytechnique. L'Ecole Polytechnique, qui compte une vingtaine de professeurs de grande réputation dans ce domaine (dont 7 chaires de recherche du Canada et 2 chaires industrielles du CRSNG), est une pionnière pour ce qui est de la formation en génie biomédical : elle offre, en effet, des programmes de maîtrise depuis 1972 et des programmes de doctorat depuis 1980, conjointement avec l'Université de Montréal. "Certains de nos chercheurs ou de nos diplômés ont participé à la création de nouvelles entreprises québécoises qui se consacrent à la mise au point d'outils de diagnostic et de traitement novateurs. Pensons notamment à Biorthex (implants orthopédiques), Biosyntech (régénération du cartilage), Orthosoft (chirurgie assistée par ordinateur), Tomovision (imagerie médicale), Y3D (analyse du mouvement), Cryocath (arythmies cardiaques), pour ne nommer que celles-là", indique Pierre Savard. Soulignons que depuis 2000, Polytechnique a reçu des subventions totalisant plus de 63 M$ pour la création d'infrastructures de recherche et de laboratoires destinés au développement de nouvelles applications biomédicales. Apparue il y a plus d'un siècle avec l'utilisation des rayons X et de l'électrocardiographie, la pratique du génie biomédical a pris son véritable essor à partir des années 1960 avec la mise au point du transistor et de l'ordinateur, qui ont rendu possible des applications telles que le pacemaker, la tomodensitométrie et l'imagerie par résonance magnétique. De nos jours, le génie biomédical rassemble de nombreuses spécialités, du génie tissulaire au génie orthopédique en passant par la bio-instrumentation. Avec le vieillissement de la population et le besoin constant d'accroître l'efficacité des systèmes de santé par l'innovation technologique, la pratique du génie biomédical connaît une évolution accélérée. Qu'il s'agisse de réparer des cartilages, de permettre aux aveugles de voir, de contrôler la croissance des os pour corriger des malformations ou de cibler avec une précision nanométrique la livraison de médicaments dans le corps, les chercheurs et les ingénieurs biomédicaux posent aujourd'hui les jalons d'une nouvelle médecine plus performante et moins invasive. Les premiers diplômés du baccalauréat en génie biomédical formés à Polytechnique atteindront le marché du travail en 2012. Annie Touchette annie.touchette@polymtl.ca site www.guidesanteenligne.com/news_mail.asp?ID=104192
Le Cirque du Soleil tisse des liens avec l'UdeS Le Cirque du Soleil a tissé des liens en septembre dernier avec sept écoles québécoises de génie et de design afin de développer des concepts pouvant être un jour utilisés sous une forme quelconque dans des spectacles. La Polytechnique, l'ETS, l'Université de Sherbrooke, l'Université du Québec en Abitibi, l'UQAM, l'Université de Montréal et le cégep du Vieux-Montréal sont les institutions participantes. Le Cirque leur propose des thèmes relatifs aux objets de performances acrobatiques que les institutions peuvent intégrer dans leurs cours sous formes de projets et d'ateliers. www.cyberpresse.ca/la-tribune/arts-spectacles/200901/28/01-821745-le-cirque-du-soleil-tisse-des-liens-avec-ludes.php
Formation, documentation
La mardi 20 janvier dernier Septembre éditeur donnait le coup d'envoi à la 8e édition de l'Opération 1er mars en lançant, par WebDiffusion, le Palmarès des carrières 2009. Avec ses 150 métiers et professions prometteurs, ses entrevues avec des travailleurs, son dossier Orientation et plus encore, le Palmarès des carrières 2009 constitue un outil de référence de premier plan pour tous ceux et celles qui s'apprêtent à faire un choix de carrière ou de réorientation ainsi que pour les différents intervenants en choix de carrière, en orientation, en information scolaire et professionnelle et en emploi. C'est pourquoi nous vous invitons à explorer le Palmarès des carrières 2009 en compagnie de M. Martin Rochette, directeur général de Septembre éditeur en visionnant la WebDiffusion disponible à cette adresse : http://septembre.com/webdiffusion. Notre invité, Sylvain Talbot conseiller en communication chez Emploi Québec, vous guidera quant à lui à travers les pages du site ToutPourReussir.com du gouvernement du Québec.
Investissements de Québec Inscriptions record pour opérer des machineries lourdes Le gouvernement Charest mise beaucoup sur les travaux d'infrastructures pour stimuler notre économie. Il entend dépenser 42 milliards de dollars d'ici quatre ans. Il semble que ces dépenses ont un effet direct sur les inscriptions à des programmes de formation pour conduire de la machinerie lourde. Malgré le coût élevé des frais de scolarité, environ 50 000$ dans le secteur privé, les inscriptions sont à la hausse. Les raisons qui expliquent cette hausse: un taux de placement des opérateurs de machinerie lourde excellent et un revenu par année pouvant atteindre 81 000$. Qui dit mieux? http://lcn.canoe.ca/infos/national/archives/2009/01/20090122-193349.html Reportage http://lcn.canoe.ca/cgi-bin/player/video.cgi?file=/lcn/actualite/regional/20090122_rp.wmv
Je suis de la région des Laurentides et pour avoir aussi travaillé à la CSST, je peux dire qu'il n'y a pas tant d'emploi dans ce domaine. Certains clients ont suivi la formation et n'ont jamais trouvé d'emploi. Est-ce la formation, la motivation, les techniques de recherches d'emploi? La formation n'était pas reconnue il y a quelques années et ne menait pas à un DEP. Aujourd'hui, ils sont reconnu par le ministère de l'éducation. En tout cas E.N.C.E.L.. Par contre, lorsque les clients connaissent quelqu'un qui y travaille déjà, ça aide un peu. Les salaire n'atteignent pas les 81,000.00$ annoncés. Ça, c'est dans le grand nord ou en Alberta!
Ici, les gens peuvent s'attendre à commencer à des taux horraire variant entre 19.00$ et 25.00$, dépendamment du secteur (résidentiel, institutionnel ou voirie). Je vous conseille le sit http://www.ccq.org/ Nathalie Brodeur, conseillère d'orientation (message sur le Cointernet)
La nouvelle grammaire pour les nuls
Pascale Lefrançois est une mordue du français qui affectionne les dictées.En grammaire, savez-vous ce que sont un déterminant et un prédicat? Si vous avez des enfants d'âge scolaire, c'est ainsi qu'ils ont appris à nommer l'article et le complément. Bien des parents en perdent leur latin. «Cette fameuse nouvelle grammaire a besoin d'être démythifiée; tout n'a pas été remplacé et elle n'est pas très différente de ce que nous avons appris», déclare Pascale Lefrançois, professeure au Département de didactique. Pour éclairer les parents qui ont toutefois besoin d'explications afin de pouvoir aider leurs enfants dans leurs devoirs, la professeure a conçu une série de 13 émissions qu'elle anime depuis le 13 janvier sur les ondes du Canal Savoir et qui est destinée au grand public. Intitulée Des nouvelles de la grammaire, la série présente la grammaire telle qu'elle est enseignée depuis la révision de 1995. Toutes les notions essentielles – nouvellement créées ou inchangées – sont abordées: le déterminant, le prédicat, la phrase autonome, la phrase transformée, l'adjectif, les accords, la «grammaire du texte», etc. www.nouvelles.umontreal.ca/enseignement/faculte-des-sciences-de-leducation/la-nouvelle-grammaire-pour-les-nuls.html Horaire www.canal.qc.ca/television/rapport_croiser.php?debut=1231736400&fin=1239508800&no_serie=UMTL-0129_001-002-003-004-005-006-007-008-009-010-011-012-013&no_document=-1&titre_serie=Des%20nouvelles%20de%20la%20grammaire&nom_saison=Hiver%202009&fiche=3408
La réforme toujours malmenée
Décidément, la réforme de l’éducation, désormais mieux connue sous le nom de renouveau pédagogique, n’a pas fini de faire couler de l’encre. Huit ans après le début de sa mise en place, on s’interroge abondamment sur son efficacité. S’il est maintenant trop tard pour revenir en arrière, des corrections devront être apportées. www.infobourg.com/sections/editorial/editorial.php?id=13947&utm_source=Bulletin_Edu_CA-FR&utm_medium=Email&utm_term=ReformeMalmenee-LienFinal&utm_campaign=BullEdu_Fev09
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Documents sur l'admission universitaire
Guide d'admission universitaire - Automne 2009 - Version du 20 janvier 2009 en collaboration avec Luc Thifault du Collège de Valleyfield www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Raymond Jean, c.o.
À noter à votre agenda
Comité organisateur du 8e Congrès 2009 de l'ACOC : 20-21-22 mai à l'université de Sherbrooke www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810 Partenaires du 8e Congrès 2009 de l’ACOC à l'université de Sherbrooke: Allez sur le site du bulletin http://www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/ et voir à droite les logos défilés (université de Sherbrooke, cégep de Sherbrooke, Cégep de Granby-Yamaska, Séminaire de Sherbrooke, OCCOPPQ).
Formation sur le MBTI les 6 et 7 avril 2009 de 8h30 à 16h30. Le coût global de la formation serait de 350$ par personne. Le lieu de la formation serait au Cegep François-Xavier Garneau à Québec. Il manque quelques participants pour former un groupe de 15 personnes. Nous exigerons le chèque 2 mois avant la formation. Les coûts de la session comprennent : Administration pour chaque participant(e) du MBTI; Correction pour chaque participant(e); Fiche des résultats pour chaque participant(e); Cahier de formation pour chaque participant(e) à la session de formation; Formateur qualifié pour les deux (2) jours de formation; Attestation pour chaque participant(e) de la formation suivie; Suivi et coaching téléphonique ou par courriel; Taxes fédérale et provinciale. Les gens peuvent communiquer avec moi pour me faire part de leur désir de participer. Marie Lagadec, Conseillère d'orientation Cegep François-Xavier Garneau mlagadec@cegep-fxg.qc.ca
Formation de l'Institut de recherche fondamentale et clinique en psycho-orientation (IRFCPO) pour l'Hiver et le Printemps 2009. Prière de prendre note que la formation initiale prévue à Montréal en février est annulée et qu'une nouvelle session de formation initiale est prévue à Montréal le 19-20 mars + 2-3 avril 2009, en plus de celle déjà prévue fin mai et début juin. Une journée d'étude de cas est aussi offerte à Montréal le 20 mars. Ceux et celles qui souhaiteraient se procurer le manuel de formation mis à jour cet automne, au coût de 18$ (15$ + 3$ de frais d'envoi postal) peuvent le faire en passant la commande par courriel à irfcpo.formation@sympatico.ca : indiquez moi l'adresse de facturation et celle de livraison (si différente). Le manuel de formation est réservé aux personnes ayant déjà suivi la formation initiale. Pour toute information concernant la formation, prière de vous adresser directement à irfcpo.formation@sympatico.ca Louise Landry, c.o. Secrétaire générale de l'IRFCPO
Réussir ensemble : projet de transfert ciblé de résultats de recherche pour les professionnels et les enseignants du collégial. Réussir ensemble vise à favoriser l’acquisition de connaissances théoriques et pratiques relatives au rôle de l’environnement social sur la persévérance scolaire. Plus précisément, ses objectifs sont de favoriser l’élaboration d’interventions pédagogiques et/ou psychosociales globales, ainsi que faciliter la diffusion de ces nouveaux savoirs auprès des jeunes, de leurs parents et du personnel de la communauté collégiale. Les résultats utilisés dans le cadre de l’atelier sont issus de la première phase de la recherche Famille, réseaux et persévérance au collégial, menée sous la direction de Sylvain Bourdon (Université de Sherbrooke) et de Johanne Charbonneau (INRS-Urbanisation, Culture et Société). Cette recherche menée dans trois cégeps entre 2004 et 2005 a bénéficié de l’appui du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) et du Fonds québécois de recherche sur la société et la culture (FQRSC). La formation est gratuite grâce au soutien du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport. La durée de l’atelier est de 6 heures. Toutefois, il est également possible d’envisager une formule brève de 3 heures. Formations disponibles jusqu’à la fin de juin 2009. Offert dans la ville ou la région administrative des personnes intéressées, selon leurs disponibilités. Un minimum de 8 inscriptions par séance de formation est exigé. Pour s’inscrire ou pour obtenir de plus amples informations, vous pouvez communiquer avec le chargé de projet Louis Cournoyer, Ph.D., c.o. à l’adresse suivante : louis.cournoyer@usherbrooke.ca
Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC ACOC@videotron.ca
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Quelque Chose de l'ACOC
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