01 octobre 2010

V 9 No 5: Valeur des collégiens et réussite scolaire

Après l’édition, l'information est ajustée, s'il y a lieu,
sur le site du bulletin
(701 membres, 9e saison du bulletin électronique)
Étudiante en ethnologie au Guatemala
Volcan  Tajumulco 4 220 mètres
Cliquez sur l'image pour l'animation
   Section Nouvelles www.acoc.info
Admission universitaire au trimestre d'hiver 2011
Programmes universitaires ouverts au trimestre d'hiver 2011
Portes ouvertes dans les universités
Admission à la maîtrise en orthophonie de l'Université Laval

700e membre de l’ACOC le 30 septembre 2010 :
Chantal Bisson, Université de Sherbrooke, Conseillère d'orientation

CONSEILLÈRE OU CONSEILLER D’ORIENTATION au cégep de St-Hyacinthe Charge de projet 2 à 4 jours/semaine Durée prévue : jusqu’au plus tard le 30 juin 2011 avec possibilité de prolongation Direction des études et de la vie étudiante (Secteur de l’organisation et du cheminement scolaires) Les personnes intéressées doivent poser leur candidature accompagnée d’un curriculum vitae à jour auprès du Service des ressources humaines au courriel suivant rh@cegepsth.qc.ca en indiquant le numéro du concours 10-11-P(cp)-10 en spécifiant l'emploi pour lequel vous postulez dans l’objet du courriel AVANT LE MARDI 5 OCTOBRE 2010, à 8 h. www.cegepsth.qc.ca/portal/page/portal/accueil/a_propos_de_nous/faire_carriere_au_cegep/emplois_disponibles_au_cegep/CO%20charge%20de%20projet_sept%202010x.pdf

Champlain Regional College requiert les services d’une ou d’un AIDE PÉDAGOGIQUE INDIVIDUEL pour un travail permanent à temps partiel (60%) à Champlain Regional College (St. Lambert Campus) http://crc-sher.qc.ca/home/posting237.pdf  DATE LIMITE POUR LES CANDIDATURES Jeudi, le 14 octobre 2010 Service des ressources humaines CHAMPLAIN REGIONAL COLLEGE (ST. LAMBERT CAMPUS) human.resources@champlaincollege.qc.ca  Pour information Pierre Bureau, c.o. pbureau@cje-isj.com

Valeur des collégiens et réussite scolaire : Filles et garçons au collège : des univers parallèles ? : étude sur la problématique des genres et la réussite scolaire en milieu collégial, Cégep de Ste-Foy, 2010. ROY, Jacques (chercheur principal), Josée Bouchard et Marie-Anne Touchette, chercheuses associées, en collaboration avec Gilles Tremblay et Simon-Olivier Fournier. www.cdc.qc.ca/parea/787516-roy-valeur-cegepiens-reussite-scolaire-ste-foy-PAREA-2010.pdf  200 pages

Le thème du Carrefour de l'orientation, qui aura lieu le 30 novembre prochain (inscription à venir bientôt) à l’UQAR-Lévis en avant-midi, sera: Soutenir l'orientation scolaire et professionnelle : méthodes pour intégrer une meilleure prise en compte des relations sociales de nos clients. Description de l'atelier : La connaissance de soi implique initialement la « re » connaissance de soi. Les relations sociales de nos clients contribuent à soutenir et à mobiliser les pensées, les émotions et les comportements favorables à la construction du projet professionnel de jeunes adultes. Toutefois, comment intégrer ces dimensions « extérieures » au processus un à un ? L'atelier vise à décrire les différents rôles pouvant être joués par les relations sociales selon la nature et les formes d'échanges interpersonnels, de même qu'à proposer des pistes de réflexion et d'intervention adaptées. Conférencier : Louis Cournoyer est professeur en counseling de carrière à l'Université du Québec à Montréal. Ses travaux de recherche portent sur la persévérance aux études collégiales, la construction du projet professionnel chez les jeunes adultes, ainsi que le rôle des relations sociales et des réseaux sociaux sur l'orientation scolaire et professionnelle. Conseiller d'orientation depuis 15 années, il possède une expérience variée auprès des jeunes adultes et adultes. Il est engagé au sein de plusieurs comités professionnels ayant pour objet le développement professionnel des c.o.

Collégial
La cote R - Ne tirons pas sur les cégépiens. Dans sa forme actuelle, la cote R est bel et bien un obstacle à la réussite scolaire Jacques Roy - Professeur-chercheur au Cégep de Sainte-Foy et à l'Observatoire Jeunes et Société 27 septembre 2010. Avec des collègues en milieux collégial et universitaire, je conduis des travaux sur la réussite scolaire en milieu collégial depuis 2001. Parmi les irritants cités par les cégépiens dans le cadre de nos études figurait régulièrement une disposition portant sur la cote de rendement au collégial, appelée familièrement la cote R. Un examen plus attentif de cette disposition nous a permis de constater que l'application de cette mesure dans sa forme actuelle est inéquitable et aléatoire pour les cégépiens, qu'elle sert mal la réussite scolaire en plus d'être fort préjudiciable à long terme pour certains étudiants dans leur parcours scolaire, notamment pour ceux et celles qui choisissent de se diriger à l'université. Je m'explique. Une bêtise bureaucratique. La cote R est un mécanisme servant essentiellement à la sélection des étudiants du réseau collégial dans différents programmes universitaires. Elle est administrée par la Conférence des recteurs et des principaux des universités du Québec (CREPUQ). Elle est en quelque sorte «imposée» au réseau collégial pour des fins de sélection. Le principal problème d'application de la cote R — et il est de taille — réside dans le fait qu'un étudiant n'ayant pas effectué l'ensemble des évaluations d'un cours, soit parce qu'il a abandonné le cours avant la date permise pour ne pas avoir un échec à son bulletin ou qu'il a été exclu d'un cours par son département en raison d'un nombre d'absences élevé, voit la note qu'il a cumulée dans le cours, au moment de son retrait, rapportée sur 100 %. Ainsi, un étudiant qui aurait cumulé 40 points sur 50 à la date de son abandon ou de son exclusion, verra inscrite à son bulletin, la note «40 %»: le 40 sur 50 est rapporté mécaniquement sur 100 %. De «très bon» qu'il était (40 sur 50 représente une note de 80 %), le même étudiant devient «cancre»! Ainsi, la note de «40 %», qui n'aura rien à voir avec une évaluation des apprentissages de l'étudiant, demeurera toujours au bulletin, même si l'étudiant reprend le cours avec succès. Contrairement au Code criminel qui prévoit des dispositions permettant dans certains cas de faire disparaître un dossier criminel, la note de l'étudiant reste à vie. Conséquences sur la réussite. L'application de cette cote est porteuse de conséquences sur l'ensemble du cheminement scolaire de l'étudiant. Cependant, ses conséquences sont peu visibles pour les cégépiens et pour les professeurs. C'est ce qui explique en partie le peu de sensibilisation et de mobilisation contre cette mesure préjudiciable pour la réussite scolaire des collégiens. C'est souvent quelques années plus tard qu'un étudiant en mesurera toutes les conséquences lorsque, par exemple, sa cote R sera insuffisante pour rentrer dans tel département ou telle faculté à l'université, ou encore, pour un changement de programme ou de collège. Ainsi, dans certains programmes universitaires à fort contingentement, il en faut parfois peu, sur le plan de la cote R, pour faire la différence entre une admission et un refus; quelques décimales peuvent faire la différence. Or, un étudiant ayant, par exemple, abandonné deux cours (ou ayant totalisé un nombre trop élevé d'absences dans ces cours) pourra voir sa note varier suffisamment pour faire une différence. Dès lors, les trajectoires scolaires deviennent plus complexes et les effets pervers et négatifs de la cote R s'additionnent au fil du temps. Quant au dénombrement des étudiants porteurs de conséquences tangibles (un des arguments pour le maintien de cette mesure), il sera toujours, par définition, difficile à estimer en raison de la diversité des parcours scolaires. Juste et équitable. Depuis quelques années, la CREPUQ tente de remédier à ces inconvénients. Par exemple, lorsqu'il y a un changement de programme, on retiendra la meilleure cote R selon l'un ou l'autre programme (ou les autres). Également, les étudiants en première session verront leur cote compter pour une valeur moindre que les notes totalisées par la suite. Mais il s'agit d'«ajustements» appliqués sur une structure totalement inéquitable d'évaluation scolaire des étudiants. C'est la logique même de la mesure qu'il faut changer! De fait, on est à mille lieues de l'un des principes fondamentaux des politiques d'évaluation «juste» et «équitable» des apprentissages dans les collèges. Sur le plan intellectuel, il est parfaitement indéfendable de rapporter une note sur 100 %, alors que la totalité des évaluations n'ont pas été effectuées. À ma connaissance, il s'agit d'un phénomène unique au réseau collégial. Tant au primaire qu'au secondaire ou à l'université, on ne rapporte pas une note partielle sur 100 %. À l'université, on indiquera, par exemple, la mention «abandon avec échec», sans inscrire une note scolaire sans réelle signification au bulletin de l'étudiant. Pourquoi ne pas faire comme le réseau universitaire? Après tout, le cégep fait aussi partie de l'enseignement supérieur! Pourquoi ce qui est bon et juste pour l'un ne le serait-il pas pour l'autre? D'autant que, quantitativement, le bassin des autres notes est largement suffisant pour évaluer rigoureusement la valeur scolaire de l'étudiant à des fins d'admissibilité à l'université ou dans d'autres programmes collégiaux. Actuellement, les promoteurs de cette mesure considèrent que celle-ci permet d'éviter que des étudiants abandonnent des cours avant leur terme, évitant ainsi une mauvaise note au bulletin. Pour contrer le problème, ils ont mis en place un remède qui est deux fois plus néfaste que le problème identifié. Car la cote R ne reflète pas le degré des apprentissages de l'étudiant; au contraire, elle défie tout principe d'évaluation objectif et équitable. C'est comme si on avait mis au monde un «monstre bureaucratique» qu'on tente périodiquement d'habiller pour le rendre plus convenable par des révisions successives. En réalité, dans sa forme actuelle, la cote R est bel et bien un obstacle à la réussite scolaire! www.ledevoir.com/societe/education/296962/la-cote-r-ne-tirons-pas-sur-les-cegepiens  À la fin de l’article, il y a des commentaires des lecteurs dont celui-ci de Carl Brabant. Une cote comportant une large part d'arbitraire. Pour calculer la cote R, on fait intervenir une donnée appelée indice de force de groupe. L'étudiant n'a que très peu de prise sur cet élément (1/nombre total d'étudiants). En conséquence, ses résultats sont colorés et parfois torpillés par une intervention administrative devant laquelle il est totalement impuissant. Étant donné la plus grande difficulté des garçons de se plier à des règles et de se conformer, la cote R sanctionne lourdement tout écart de parcours académique. C'est peut-être leur faute mais, à ce petit jeu, les garçons finissent généralement perdants face aux filles. Les statistiques d'admission à l'université sont là pour le prouver.

Cool! Les Technos! Déjeuner-causerie 21 octobre, de 8 h 30 à 10 h Bistro du Centre de formation professionnelle des Riverains (CFP) 120, rue Valmont, à Repentigny 8 h 30 Accueil des partenaires du secondaire et du collégial, au Bistro Déjeuner-causerie Portrait et perspectives d’emploi du domaine des TIC : découvrez des métiers passionnants! Les TIC : un portrait de l’emploi; Présentation des différents cheminements scolaires possibles dans l’univers des TIC : Des carrières passionnantes et diversifiées Préalables, parcours et formations en informatique Nos étudiants : des acteurs de premier plan 10 h Fin du déjeuner-causerie Pour ceux et celles qui le souhaite, visite du parcours Cool! Les Technos! Des activités, des animations scientifiques, des offres de formation et la participation de professionnels de l'industrie font partie de la programmation. Place à la relève dans les technos! Ce déjeuner-causerie se déroule dans le cadre de la semaine de promotion de l’industrie des TIC, et ce, afin d’assurer une relève suffisante pour combler les besoins criants de main d’œuvre dans cette industrie. En effet, selon les données compilées par TECHNOCompétences, d’ici 2014, plus de 7 500 postes par année seront pourvus dans 20 professions liées étroitement aux technologies de l’information et des télécommunications! Faites partie de ceux et celles qui détiendront des informations de qualité en lien avec cette industrie! Soyez « Cool » : confirmez votre présence! Avant le 13 octobre auprès de Catherine Léveillée, à la Commission scolaire des Affluents, par téléphone (450 492-9400, poste 3100) ou par courriel (catherine.leveillee@sg.csaffluents.qc.ca). Consultez la programmation complète sur le site http://www.coollestechnos.qc.ca/  . Les partenaires fondateurs de Cool! Les Technos! École de technologie supérieure CFP des Riverains, CSA Collège de Rosemont TechnoMontréal TechnoCompétence Les Journées carrières Techno, prise deux www.directioninformatique.com/DI/client/fr/DirectionInformatique/Nouvelles.asp?id=59427

Réussite scolaire au Cégep: gars et filles: même univers Selon une étude, les différences entre garçons et filles au cégep existent, mais ne sont pas significatives. Au cégep, les différences entre garçons et filles qui réussissent bien ne sont pas énormes. C'est plutôt lorsque les étudiants en arrachent que l'écart se creuse : les raisons qui les poussent à abandonner le cégep sont souvent bien différentes. Voilà la conclusion d'une étude menée par l'équipe du sociologue Jacques Roy, qui enseigne au Cégep de Sainte-Foy. L'objectif de la recherche, financée par le ministère de l'Éducation, était de déterminer jusqu'à quel point les garçons et les filles qui franchissent les portes des cégeps sont différents et comment intervenir au besoin. Plus de 600 cégépiens répartis dans 27 collèges ont été interrogés. Jacques Roy en conclut que des différences entre garçons et filles existent, mais elles ne sont pas assez significatives pour affirmer qu'ils évoluent dans des «univers parallèles». Les filles s'engagent dans leurs études de manière plus conformiste, en se pliant aux règles, alors que les garçons entretiennent un rapport plus distancié. «Lorsqu'un prof présente son plan de cours, les filles posent souvent des questions pour comprendre les exigences du prof et mieux s'y conformer alors que les gars vont poser des questions davantage pour contester le nombre de points accordés à tel travail ou tel examen par exemple», explique-t-il. Mais ces différences restent néanmoins superficielles. Lorsqu'on les interroge sur leurs valeurs - un «terrain fertile pour distinguer les filles et les garçons» -, les réponses sont semblables. Les valeurs reliées à la famille, au bonheur, au bien-être et aux proches trônent au sommet de la liste dans les deux camps. D'autres similitudes permettent à Jacques Roy de conclure qu'il n'y a pas lieu de modifier les approches pédagogiques pour enseigner différemment selon le sexe. «On ne voit pas de différence au niveau de l'apprentissage», dit-il. Mais dans les rangs des étudiants en difficulté, «c'est une autre paire de manches», lance M. Roy. Les différences selon le sexe sont beaucoup plus grandes. Les garçons sont deux fois plus nombreux à affirmer que le manque d'intérêt pour les études et le temps consacré à un emploi pourraient les amener à abandonner le cégep, alors que chez les filles, ce sont les difficultés scolaires qui apparaissent comme le principal obstacle. Le niveau de stress est d'ailleurs beaucoup plus élevé chez les cégépiennes: deux fois plus de filles que de garçons affirment être «très stressées» par leurs études. Pour mieux cibler les interventions auprès des garçons en difficulté, lors de rencontres individuelles par exemple, M. Roy propose de mettre l'accent sur la motivation. «Il faut les ramener à des choses qui peuvent susciter leur intérêt, pour qu'ils embarquent dans leurs études», dit-il. Mais de là à dire que les collégiens et collégiennes évoluent dans deux «univers parallèles», il y a un grand pas que le chercheur refuse de franchir. «Finalement, on se rend compte qu'il y a plus de différences entre les gars qui réussissent bien et ceux qui sont à risque qu'entre les garçons et les filles en général», conclut-il. www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/201009/24/01-4326464-reussite-scolaire-au-cegep-gars-et-filles-meme-univers.php

Études postsecondaires Les étudiants plus endettés que jamais. Un rapport du Conseil canadien sur l'apprentissage publié mercredi révèle que la dette moyenne d'un diplômé universitaire a atteint 26 680 $ l'an dernier, tandis que celle d'un diplômé collégial s'élevait à 13 600 $. De 1995 à 2005, la proportion d'étudiants qui doivent rembourser un prêt après l'obtention de leur diplôme est passée de 49 % à 57 %, ajoute le rapport. « Cette croissance du niveau d'endettement coïncide avec l'annonce récente selon laquelle le Programme canadien de prêts aux étudiants avait atteint, pour la première fois, son plafond de 15 milliards de dollars, exigeant ainsi une attribution de fonds supplémentaires », souligne le Conseil canadien sur l'apprentissage. Faits saillants du rapport du Conseil canadien sur l'apprentissage. Environ 60 % des diplômés universitaires et 45 % des diplômés collégiaux ont accumulé certaines dettes d'études. La dette d'études au premier cycle au Canada a doublé pendant les années 1990, passant de 12 271 $ en 1990 à 24 706 $ en 2000. Depuis, la dette d'études moyenne a toutefois augmenté de seulement 9 %. Le tiers des diplômés qui ont consolidé leurs prêts en 1994-1995 ont manqué à leurs engagements dans les 10 ans qui ont suivi. Les jeunes issus de familles à revenu élevé sont plus de deux fois plus susceptibles de poursuivre des études universitaires que leurs pairs issus de familles à faible revenu, malgré le Programme canadien de prêts aux étudiants. Dans le cadre du régime de prêts du gouvernement fédéral, un emprunteur se retrouve en situation de défaut de remboursement après neuf mois de retard. Les prêts en souffrance sont alors transférés à des agences de recouvrement qui utilisent parfois des méthodes agressives. Un défaut de remboursement peut aussi faire diminuer la cote de crédit de l'emprunteur. www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2010/09/22/001-dettes_etudes_postsecondaires.shtml

Les enseignants des cégeps à travers le monde http://issuu.com/cegepinternational/docs/cegep-international-mobilite-enseignante-vol-1-17-

Vidéo : La chirurgienne des livres http://journallepeuple.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=119905&id=515  À l'heure du livre électronique, Diane Blais, «relieure» professionnelle, célèbre le dixième anniversaire de son entreprise Reliure Multi-Services implantée à Beaumont. Contrairement à ce que l'on peut penser, le livre est loin d'être mort. http://repertoireppo.qc.ca/fr/outils/fiche/chirurgienne-des-livres-586.html

TAUX DE DÉCROCHAGE ANNUEL : UN CALCUL QUI REFLÉTERA MIEUX LA RÉALITÉ. Le MELS annonce que le calcul du taux de décrochage annuel se fera dorénavant à partir des données du mois d'août plutôt que du mois de janvier www.communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Septembre2010/28/c6043.htm

POMPIERS DE MONTRÉAL 300 postes d’ici trois ans http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/national/archives/2010/09/20100918-213618.html

Universitaire

Compétition en gestion pour le collégial
Les étudiants de niveau collégial qui songent à se lancer un jour dans le milieu des affaires sont invités à mettre leurs talents à l'épreuve dans le cadre d'une toute nouvelle compétition que viennent de lancer en grandes pompes les étudiant de l'UQTR. «Place à la relève en gestion», une compétition connue sous le nom de «Place à la jeunesse», à Ottawa et organisée par l'École Gestion Talfer, sera offerte à l'UQTR par les étudiants membres du comité organisateur des Jeux du commerce. L'UQTR emboîte le pas et remettra plus de 15 000 $ en bourses d'admission aux gagnants afin de mettre du piquant dans la compétition. Tous les cégeps du Québec sont invités à prendre part à cette activité, mais l'équipe de recrutement se déplacera uniquement dans les établissements suivants: le Cégep de Trois-Rivières, le Collège Shawinigan, le Collège Laflèche, le Collège Éllis de Drummondville, le Collège Édouard-Montpetit ainsi que les Cégeps de Granby, Lanaudière, Victoriaville, Saint-Jean-sur-Richelieu, Saint-Hyacinthe, Drummondville et Sorel-Tracy. www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/economie/201009/29/01-4327606-competition-en-gestion-pour-le-collegial.php

Éducation Les hommes craignent les salles de classe du primaire. Les hommes frissonnent à l'idée d'enseigner dans les écoles primaires par peur d'être catalogués comme gais ou ayant des tendances pédophiles, révèle une étude universitaire ontarienne. Des enseignants témoignent de leur expérience dans le document publié cette semaine par l'Université Nipissing, à North Bay. «Ne t'approches d'aucun élève! En tant qu'homme, tu es plus susceptible d'être l'objet de soupçons, et tu dois être plus prudent qu'une femme», a témoigné un des participants aux chercheurs universitaires. Un autre enseignant cite les désavantages de la profession pour un homme. «J'ai tenu la main d'une fille et on m'a dit tout de suite de faire attention tandis que ça se fait chez les femmes tous les jours», a mentionné un des 223 répondants masculins qui se sont prêtés à l'analyse. Ces craintes seraient à l’origine d’un important déséquilibre au chapitre des ressources. Le corps enseignant dans les écoles primaires en Ontario est composé à 90 % de femmes. Une situation similaire a été observée aux États-Unis, en Australie, en Nouvelle-Zélande et en Grande-Bretagne, précise l’étude. Des éducateurs et des citoyens mettent l'accent sur l'importance des hommes en éducation pour améliorer l'apprentissage des garçons et pour servir de modèle à suivre, note l’étude. Les chercheurs recommandent que le monde de l'enseignement se penche sur les appréhensions des éducateurs masculins afin d'éliminer les attitudes négatives à leur égard, et celles associées aux hommes qui veulent entrer dans la profession. http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/national/archives/2010/09/20100924-184515.html

UQO, visitez dès aujourd’hui la section réservée aux professionnels de l’information scolaire intitulée C.O. et C.I.S.E.P.! Vous y trouverez une foule de renseignements utiles, notamment le tableau des cotes R des derniers admis aux programmes contingentés (disponible sous peu). http://uqo.ca/co-cisep

La salaire moyen atteint 855,66$ par semaine au Canada. Jamais le nombre de Québécois ayant déclaré des revenus de 100 000$ ou plus n'aura grimpé autant en une seule année. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/macro-economie/201009/24/01-4326160-la-salaire-moyen-atteint-85566-par-semaine-au-canada.php

Université Laval - Inauguration du plus important complexe intégré de formation en sciences de la santé au Québec www.relationsmedias.ulaval.ca/comm/2010/septembre/inauguration-plus-important-complexe-integre-formation-2941.html

Les futurs comptables ont toute une série d’épreuves à réussir en début de carrière : les entrevues d’embauche, les stages, les examens. À la rescousse : Les carrières de la comptabilité 2011, un concentré de conseils pratiques et de témoignages. http://www.myvirtualpaper.com/doc/Carrieres-Comptabilite/jedicpt11/2010072901/

Diplômé au Canada et sans emploi
Les études ne garantissent pas un emploi aux immigrants reçus à l'âge adulte www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/296470/diplome-au-canada-et-sans-emploi

Documentation Formation
Journée Repères À Québec, la journée aura lieu le jeudi 7 octobre 2010 au Pavillon Alphonse-Desjardins de l'Université Laval. À Sherbrooke, la journée se tiendra le lundi 18 octobre 2010 au Pavillon A2 de l'Université de Sherbrooke. À Montréal, la journée se déroulera le jeudi 28 octobre 2010 au Pavillon A de l'École de technologie supérieure. Pour y participer, nous vous invitons à visiter notre site Internet à l’adresse suivante http://reperes.grics.qc.ca/Reperes2010  Vous y trouverez tous les renseignements sur le déroulement des journées, sur la conférence d’ouverture ainsi que sur les ateliers présentés à ces journées REPÈRES.

Épargnez-vous trop pour la retraite? http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/finances-personnelles/201009/28/01-4327199-epargnez-vous-trop-pour-la-retraite.php

Offres d’emploi. Présentement, plus de 130 postes sont affichés sur le site Internet du CAMO au www.camo.qc.ca/offres

Quelques sites intéressants pour améliorer son français
www.ccdmd.qc.ca/fr http://www.cafe.edu/  www.fep.umontreal.ca/francais.html  www.formationadistance.umontreal.ca/liste.html  www.teluq.uqam.ca/siteweb/services/test_fr_sel.html http://www.123cours.com/  www.azurlingua.com/sites.html   http://www.ladictee.fr/

Une intégration timide du nouvel orthographe dans les écoles. Un an après l’implantation de la nouvelle orthographe, son intégration est plutôt timide, voire mitigée, dans les écoles de la région. http://monteregieweb.com/main+fr+01_300+Une_integration_timide_dans_les_ecoles.html?ArticleID=663279&JournalID=10

Le Web mobile : choisir sa présence et sa stratégie marketing www.appac.qc.ca/BULLETINS%20APPAC/Vol2No4Sept2010/WebMobile.html



---------------------------------------------------------------------
Moteur de recherche pour retrouver un article dans les archives du bulletin Remarquez le moteur de recherche du bulletin sur le site à droite. Il suffit d'entrer un mot significatif et vous obtenez les numéros archivés (149 numéros) sur le sujet recherché ainsi que les liens Internet consultés. Fameux ! L'essayer, c'est l'adopter. http://quelquechosedelacoc.blogspot.com/

À noter à votre agenda
En 2011, le 9e congrès de l’ACOC aura lieu en partenariat avec l’UQTR les 1er, 2 et 3 juin. www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=971

Prochain Carrefour de l’orientation à l’UQAR-campus de Lévis : le mardi 30 novembre 2010 a.m. Le Carrefour sera suivi d’un dîner et d’une rencontre avec l’UQAR en aprè-midi. La Journée des partenaires de l’université Laval aura lieu le lendemain 1er décembre.


Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC ACOC@videotron.ca

Abonnement au bulletin électronique
Quelque Chose de l'ACOC

Votre courriel :


Les modalités d'inscription au bulletin sont mentionnées sur le site www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/2006/08/v-5-no-1-modalits-dinscription-au.html

Aucun commentaire: