03 novembre 2008

V 7 No 12: Questions et réponses sur la CRC programme

Des oies blanches (des dizaines de milliers) au réservoir Beaudet à Victoriaville le 2 novembre 2008



Inscription au Carrefour de l’Orientation (complet pour la région de Québec, une dizaine de place pour la région de Montréal): Le raisonnement clinique : un moyen pour adapter nos interventions aux besoins de clientèles vulnérables avec Alain Dubois, c.o. Résumé: http://quelquechosedelacoc.blogspot.com/2008/10/v-7-no-8-programme-du-prochain.html Pour s’inscrire dans la région de Montréal (le vendredi 21 novembre 2008 en avant-midi au Cégep régional de Lanaudière à l’Assomption), envoyer un courriel à l'adresse nathalie.lessard@collanaud.qc.ca en mentionnant votre nom et lieu de travail (frais pour l'organisation du Carrefour de l’orientation: chèque de 40$ au nom de l'ACOC payable sur place). En après-midi au cégep de l’Assomption, M. Réjean Drolet, chargé de recherche principal à la CRÉPUQ, et Mme France Myette, registraire de l'Université de Sherbrooke et membre du sous-comité des Registraires de la CREPUQ (mandat d'apporter des modifications sur la Cote R pour l'admission de l'automne 2009 www.crepuq.qc.ca/IMG/pdf/CRC-FAQ-aout08.pdf ) aborderont les points suivants : présenter les nouveautés de la Cote R, répondre à nos questions et échanger sur des situations que nous pourrions rencontrer, bref des études de cas !

Voici deux questions posées le 15 octobre dernier (rencontre à Québec sur la CRC programme) à la régistraire de l’université de Sherbrooke.
1. Un étudiant qui a suivi math NYA
en sciences de la nature et qui l'a échoué, change de programme en sciences humaines et réussi le math 103-RE. Lorsqu'on calculera sa Cote R de sciences humaines, est-ce qu'on tiendra compte du math NYA échoué ? Réponse : Comme je l’ai déjà souligné, l’élément central à retenir avec l’implantation de la CRC par programme est à l’effet que tout cours associé à un objectif du programme est retenu aux fins du calcul de la CRC par programme. Dans ce cas-ci, le cours calcul différentiel (NYA) est associé à l’atteinte d’un objectif du programme de sciences humaines. Par conséquent, il sera pris en compte dans le calcul de la CRC. Toutefois, compte tenu qu’il a été échoué, son poids sera pondéré dans le calcul de la CRC moyenne. À titre de rappel, la règle à cet effet est la suivante : au premier trimestre d’inscription au collégial, les cours échoués ne comptent que pour le quart des unités qui leur sont attribuées, soit une pondération de 0,25 ; pour les trimestres subséquents, cette pondération est de 0,50.
2. Une détentrice d'un DEC en soins infirmiers a besoin de préalables universitaires pour aller en Médecine. Si elle s'inscrit au programme "préalables universitaires" au lieu de sciences de la nature, est-ce qu'elle aura une Cote R de calculée pour "préalables universitaires" ? Qu'est-ce qu'elle est mieux de faire ? Réponse : Comme précisé dans les documents d’information, lorsqu’une sanction de DEC est présente au dossier du candidat, l’université utilise la CRC moyenne la plus élevée entre celle du DEC complété et celle du dernier programme inscrit (sous la condition qu’au moins 16 cours soient contributoires à son calcul). Le programme "préalables universitaires", ne constituant pas en soi un programme de DEC, ne sera jamais retenu en tant que tel à des fins d’admission. Les préalables pertinents seront plutôt ajoutés, au besoin, à la CRC moyenne retenue aux fins de l’admission. Dans ce cas-ci, si la personne ne s’inscrit pas au programme de sciences de la nature, les préalables universitaires qu’elle aura complétés seront ajoutés à la CRC moyenne du DEC en soins infirmiers. Si la personne décide plutôt de s’inscrire en sciences de la nature après avoir complété son DEC en soins infirmiers, la CRC du programme de sciences de la nature sera retenue aux fins de l’admission si elle est plus élevée que celle du DEC en soins infirmiers (toujours sous la condition qu’au moins 16 cours soient contributoires à son calcul). France Myette Registraire Université de Sherbrooke
France.Myette@USherbrooke.ca

Et une autre question sur les cours complémentaires en SU
L'exemple suivant pourra confirmer que j'ai bien compris (Sylvain Lafrance, A.P.I
slafrance@cegep-fxg.qc.ca ) : -L'élève est inscrit à sa 1ère session en technique de soins infirmiers -Dans cette technique il réussi 2 cours spécifiques (biologie et pharmacologie) -À sa 2e session, il change de programme pour sciences humaines
-L'API de sciences humaines substitut les deux cours complémentaires en utilisant comme cours sources, les deux cours spécifiques réussis en soins infirmiers (bio et pharmaco). Il utilise des codes maisons (105-xxx-xx) pour ces SU. -Pour le calcul de la Cotre-R-programme, comme les cours sources utilisés pour les SU ont une compétence spécifique liée à un autre programme, ils ne seront pas comptés dans ce calcul. Est-ce exact? Réponse : Vous avez raison, ces cours ne seront pas comptés dans la CRC-programme du programme de sciences humaines, sauf si les objectifs des 2 cours spécifiques (biologie et pharmacologie) sont aussi des objectifs de formation générale, ce qui ne devrait pas être le cas. Chantal Bélanger Directrice du projet Socrate
chantal.belanger@mels.gouv.qc.ca http://www.mels.gouv.qc.ca/

Info collégiale
Le SRAM présentera les conditions d’admission en lien avec le nouveau RREC lors de la 34e RENCONTRE SECONDAIRE-CÉGEP le mercredi 26 novembre 2008, au Centre Sheraton de Montréal 9 h 15 http://www.sram.qc.ca/

Les Écoles nationales ouvrent leurs portes:
8 et 22 novembre : École nationale du meuble et de l'ébénisterie (http://www.ecolenationaledumeuble.ca/ )
16 novembre et 15 février: École nationale d'aérotechnique ( http://www.college-em.qc.ca/ )
29 novembre et 7 février: Institut maritime du Québec (http://www.imq.qc.ca/ )

Pour ceux et celles qui désirent en savoir davantage sur les métiers de la mer, le site http://www.epaq.qc.ca/ propose une intéressante navigation parmi les différents programmes de formation. Le 5 novembre, l'École des pêches et de l'aquaculture du Québec sera présente à la rencontre cégep-secondaire qui se tiendra au Cégep de la Gaspésie et des Iles à Gaspé.

RÉACTION: Que de préjugés véhiculés sur le dos des cégépiens !
(À monsieur Hugues Philippin, «C'est le cégep qui sacrifie les cégépiens», Le Soleil, 24 octobre 2008) Ainsi, selon vous, M. Philippin, le fait que le quart des cégépiens travaillent plus de 20 heures par semaine n'est en aucun cas une véritable préoccupation. Il s'agirait plutôt du cégep lui-même que vous considérez tout simplement comme une perte de temps. Vous voyant ainsi ramener à jour le débat sur l'utilité du cégep, il convient de vous rappeler quelques faits. Premièrement, entre l'entrée et la sortie de cet établissement, plus du tiers des étudiants auront effectué un changement de programme. Le cégep permet justement à tous ces étudiants d'envisager une réorientation, qui, dans un système uniquement universitaire, serait difficilement abordable du point de vue financier. D'autre part, blâmer la pertinence des cours généraux (littérature, philosophie, anglais, etc.) représente un rejet de la culture générale enseignée. Après tout, peut-on vraiment nier l'utilité d'un cours de philosophie portant sur les différentes théories éthiques? D'un cours de littérature québécoise ou d'un autre portant sur le discours oral? Tous ces cours font la promotion d'une meilleure compréhension de notre société et des enjeux qui l'entourent. On n'a qu'à regarder le piètre taux de participation aux dernières élections provinciales pour justifier tout enseignement général, celui-ci étant inévitablement porteur d'un rapprochement des individus avec la politique. Vous affirmez ensuite que l'embêtement causé par le cégep pousse de nombreux élèves à prendre une année sabbatique afin de voyager ou de travailler. Il ne faut cependant pas oublier que la majeure partie des cégépiens (âgés entre 17 et 25 ans) sont loin d'être aussi engagés dans le travail et la famille qu'à tout autre moment de leur vie, ce qui les poussent à profiter de ces instants de souplesse pour découvrir le monde. En ce qui a trait au travail, le coût des études universitaires poussent nombre d'entre eux à interrompre leurs études afin d'économiser pour cette période. Vous faites donc erreur en associant la «supposée» impertinence du cégep et le fait que de nombreux jeunes profitent d'une année sabbatique. Finalement, vous décrivez le travail comme beaucoup plus pertinent pour un élève que le cégep lui-même. Pensez-vous vraiment qu'il est plus souhaitable que les étudiants investissent leur temps dans un travail peu rémunérateur et sans lien avec leurs futures formations (dans bien des cas malheureusement) plutôt que de s'investir dans leurs études? Il est tout à fait impertinent de dire que les étudiants ne retireront ni autonomie ni sens des responsabilités au travers du cégep. Cessez donc de défendre l'intérêt supérieur de responsabilités comme l'assemblage de sandwichs, la plonge ou la vente de vêtements au détriment de l'étude et de la réussite scolaire (car il est prouvé que 20 heures de travail par semaine nuisent à la réussite scolaire, étonnamment). En conclusion, il convient de se questionner sur la pertinence d'écouter Jacques Roy, sociologue ayant étudié la question et dénonçant la surcharge de travail, ou alors vous, restaurateur sans formation liée au sujet et ayant sans aucun doute un fort intérêt (économique?) dans le travail des étudiants. * 19 ans, étudiant au Cégep Limoilou et sauveteur (10 heures par semaine)www.cyberpresse.ca/le-soleil/opinions/points-de-vue/200810/28/01-33724-que-de-prejuges-vehicules-sur-le-dos-des-cegepiens-.php

Décrochage scolaire: Courchesne veut se débarasser des «lunettes roses» La ministre de l'éducation, Michelle Courchesne, participait hier aux premières Journées interrégionales sur la persévérance scolaire, dont l'objectif est de réduire le taux de décrochage au Québec. La ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, veut se débarrasser des «lunettes roses» pour s'attaquer une fois pour toutes au décrochage scolaire. Au fil des ans, l'obsession de la réussite scolaire a mené à un nivellement par le bas qui a laissé de côté les élèves qui avaient le plus de difficultés, affirme-t-elle. «Il y a eu des périodes où le Québec a mis l'accent sur l'importance des indicateurs qui mesuraient le succès, a-t-elle affirmé au Soleil hier. C'était des orientations gouvernementales et ministérielles de l'époque. Je le sais parce qu'au sein du ministère, c'est très clair lorsqu'on parle avec les gens. (...) On parlait de nivellement par le bas et d'examens du ministère qui parfois donnaient des résultats peut-être complaisants. Pendant ce temps, on a oublié qu'il y avait des jeunes en difficulté pour qui la vie ne se déroulait pas avec autant de facilité.» La ministre Courchesne participait hier aux premières Journées interrégionales sur la persévérance scolaire, qui réunissent jusqu'à aujourd'hui près de 400 personnes au mont Sainte-Anne. Un objectif : réduire le taux de décrochage scolaire au Québec, qui frôle les 30 % dans le réseau public.Selon Mme Courchesne, le milieu de l'éducation s'est mis la tête dans le sable pendant trop longtemps. «Ç'a encouragé le tabou et perpétué le fait que ça paraissait mal de trop en parler (de décrochage scolaire). On n'a pas regardé ça en pleine face. Quand on fait l'analyse, 15 ans plus tard, on se rend compte qu'il y a ces barrières que l'on doit briser. Je pense que le Québec est rendu là.» La ministre Courchesne se réjouit évidemment de la tenue de cet événement d'envergure, qui réunit des gens du milieu de l'éducation, bien sûr, mais aussi des gens d'affaires, des élus municipaux, des intervenants jeunesse, des représentants du milieu de la santé, etc. L'exemple du Saguenay?Lac-Saint-Jean, où le taux de décrochage est le moins élevé au Québec, a montré qu'il est possible de réussir lorsque toute la communauté se mobilise. Mme Courchesne a refusé de chiffrer des objectifs en terme de réduction du décrochage scolaire. Mais elle espère voir «une diminution constante» d'ici cinq ans. Plusieurs initiatives se mettent d'ailleurs en branle. En plus de ce sommet qui permet aux régions d'échanger sur leurs bons coups et de peaufiner leur plan de match, un comité de travail instauré par le banquier Jacques Ménard élabore présentement une stratégie nationale pour réduire le décrochage, épaulé par la firme d'experts-conseils, McKinsey & Company. La Fédération des commissions scolaires a par ailleurs annoncé hier la tenue d'assises régionales sur la persévérance scolaire, du 15 novembre au 15 mars, qui permettront de faire le tour de la question et de mettre sur pied des stratégies gagnantes. Une commission parlementaire sur le décrochage scolaire doit aussi se mettre en branle cet automne dans les régions du Québec. «Pour qu'il y ait une mobilisation, il faut d'abord qu'il y ait une prise de conscience, affirme Mme Courchesne. Et je pense que c'est ce qu'on voit aujourd'hui.» www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/200810/30/01-34650-decrochage-scolaire-courchesne-veut-se-debarasser-des-lunettes-roses.php

Mot d'ordre aux employeurs: n'arrachez pas les jeunes des bancs d'école. «Faire décrocher un jeune pour accommoder les besoins d'une entreprise, c'est honteux.» www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/200810/30/01-34652-mot-dordre-aux-employeurs-narrachez-pas-les-jeunes-des-bancs-decole.php

La grande désertion
Le décrochage scolaire est l'un de ces problèmes sociaux qui ne seront jamais parfaitement résolus. Mais il a atteint au Québec de telles proportions qu'il est désormais entré dans la catégorie des problèmes lourds qui nécessitent une intervention urgente et substantielle. www.cyberpresse.ca/opinions/editorialistes/mario-roy/200810/30/01-34318-la-grande-desertion.php

Secteurs en vedette - Mines Des carrières en or
L’industrie minière québécoise aura besoin de 4 440 nouveaux travailleurs d’ici à 10 ans. Pour attirer la relève, les entreprises n’hésitent pas à offrir des conditions de travail et des salaires plus qu’alléchants. Découvrez-les à travers trois travailleurs miniers. http://carriere.jobboom.com/marche-travail/secteurs/mines/2008/10/14/7079626-jm.html

Des «sentinelles» pour prévenir le suicide
Plus de 200 participants au congrès canadien en prévention du suicide ont bravé la pluie pour venir déposer une rose devant l'Assemblée nationale. Ces roses symbolisent les 36 590 Canadiens qui se sont enlevés la vie depuis 10 ans. L'an dernier, 40 000 cégépiens ont signé une déclaration appuyant la prévention du suicide dont le slogan est «t'es important pour nous. Le suicide n'est pas une option». Cette déclaration est endossée par les deux associations en prévention du suicide, la canadienne et la québécoise. Mélanie Boisvert est psychologue au Cégep Limoilou. Comme une trentaine d'autres collègues, elle porte le chapeau de «sentinelle» en prévention du suicide. Il n'y a jamais eu de suicide dans son cégep, à la connaissance de Mme Boisvert. Mais au moins 125 tentatives de suicide, dont 11 se sont terminées par un décès, ont eu lieu en 2006-2007 dans le réseau collégial public, selon la Fédération des cégeps. Récemment, une des sentinelles du Cégep Limoilou a mis ses connaissances en application. «Cette sentinelle discutait avec un collègue, raconte Mme Boisvert. Elle s'est rendu compte que ce collègue n'allait pas du tout. Son discours était pessimiste, ce jour-là. "Je vais sacrer mon camp", disait-il. La sentinelle lui a demandé franchement s'il pensait au suicide. "Ça me passe par la tête", a répondu le collègue. La sentinelle l'a mis en contact avec le service psychologique du cégep.» Non seulement le collègue ne s'est pas suicidé, mais il a apprécié l'aide de la sentinelle. «Il a été touché de son intervention. Il a senti qu'il comptait. Il n'a pas été froissé, au contraire», pour­suit Mélanie Boisvert. Le programme sentinelle sensibilise la communauté à la prévention du suicide. Les sentinelles reçoivent une formation d'une journée dispensée par un intervenant professionnel. «On nous parle du phénomène du suicide, on nous apprend à reconnaître les signes précurseurs, la manière d'approcher une personne qu'on croit suicidaire. Nous ne faisons pas d'intervention. Nous sommes plutôt une courroie de transmission vers le Centre de prévention du suicide», explique Mélanie Boisvert, qui est aussi responsable de l'implantation du programme dans son cégep. Au Cégep Limoilou, des enseignants sont devenus sentinelles, mais aussi des agents de sécurité, des préposés à l'entretien, du personnel de bureau. Une vingtaine d'autres personnes seront formées sous peu. Le programme s'implante graduellement dans les cégeps de la région. Ce type de prévention permettra de réduire le nombre de suicides, particulièrement chez les moins de 30 ans, espère Sylvie Nadeau, directrice du Centre de prévention de suicide de Québec (418 683-4588 ou 1 866 277-3553). www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/societe/200810/28/01-33829-des-sentinelles-pour-prevenir-le-suicide.php

Suicides en hausse à Québec
Contrairement au reste de la province, le nombre de suicides a augmenté chez les moins de 30 ans à Québec. Et cela, malgré une baisse générale des suicides au Québec depuis les années 2000. www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/la-capitale/200810/27/01-33525-suicides-en-hausse-a-quebec.php

La dépression, première cause de décrochage chez les adolescents
www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/200810/28/01-33874-la-depression-premiere-cause-de-decrochage-chez-les-adolescents.php

T'es important pour nous... Le suicide n'est pas une option! - La Fédération des cégeps transmet la déclaration en prévention du suicide au reste du Canada. Quatre mois après le dépôt à l'Assemblée nationale de près de 40 000 signatures appuyant la Déclaration en prévention du suicide, la Fédération des cégeps transmet la Déclaration à l'Association canadienne de prévention du suicide afin d'en assurer la diffusion à l'échelle du Canada et d'insister sur le fait que tous ont une responsabilité en matière d'éducation et de sensibilisation à l'égard du suicide. Réunis pour une première fois autour de la problématique du suicide, des représentants du réseau collégial public, des Premières Nations et des intervenants en prévention du suicide ont profité de cette occasion pour unir leurs voix afin que le message de la Déclaration soit entendu par le plus grand nombre de Canadiens et de Canadiennes. Par ce geste hautement symbolique, qui fait suite à une marche silencieuse à la mémoire des personnes disparues par suicide, la Fédération des cégeps souhaite attirer l'attention de la population sur le fait qu'il est possible de changer les choses afin de prévenir le suicide chez les jeunes. Lancée par les 48 cégeps le 10 septembre 2007 à l'occasion de la Journée mondiale de prévention du suicide, la Déclaration en prévention du suicide stipule que l'éducation et la sensibilisation face au suicide sont l'affaire de tous. A travers leur contact direct avec les jeunes, les collèges sont bien placés pour lutter contre le suicide auprès de cette population, en mettant de l'avant des stratégies et des actions qui visent la prévention, l'intervention et la postvention. La majorité des 163 869 jeunes inscrits au cégep en 2008-2009 à l'enseignement régulier appartiennent au groupe d'âge des 15 à 24 ans, chez qui 30 % des décès sont attribuables à un suicide. Selon des données recensées par la Fédération des cégeps, au moins 125 tentatives de suicide, dont 11 se sont terminées par un décès, ont eu lieu en 2006-2007 dans le réseau collégial public. www.newswire.ca/fr/releases/archive/October2008/28/c2325.html

Les sciences trop souvent laissées au labo
www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/education/200810/27/01-33505-les-sciences-trop-souvent-laissees-au-labo.php

Santé - Infirmières
Les jeunes refusent le temps plein www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/10/20081029-055701.html

Vingt-huit étudiants derrière les barreaux
Vingt-huit étudiants de Techniques d’éducation spécialisée du Cégep Beauce-Appalaches ont passé une nuit derrière les barreaux, le 11 octobre dernier. Dans le cadre d’une activité de formation organisée par l’un de leurs professeurs, ils ont été enfermés à l’intérieur des cellules de la vieille prison du comté d’Ottawa-Carleton, endroit qui fut le théâtre de la dernière pendaison publique au Canada. www.lavoixdusud.com/article-262146-Vingthuit-etudiants-derriere-les-barreaux.html

Unique, relevée, extrême : la formation en sommellerie à l’ITHQ (Infolettre)
http://iw-217.com/v/1/d173d8694a4498c357b1acd34d416110

Info universitaire
Génie L’énergie éolienne, un volet important de l’ingénierie à l’UQAR À son campus de Rimouski, l’UQAR offre un programme de maîtrise en ingénierie qui vise à former des spécialistes dans le domaine des sciences appliquées. Récemment, l’Université a créé un programme court de 2e cycle portant spécifiquement sur l’énergie éolienne. Actuellement, une trentaine d'étudiants et de stagiaires font des travaux qui portent sur l'éolien à l'UQAR, ce qui met l'Université à l'avant-scène dans ce domaine au Québec. Les professeurs Adrian Ilinca et Chan Wang-Park sont ici en compagnie de M. André Lemieux (au milieu), du Technocentre éolien CORUS de Murdochville. La maîtrise en ingénierie (45 crédits) privilégie de nombreux domaines de recherche tant en génie électrique qu’en génie mécanique et en génie industriel. C’est un programme en extension de l’UQAC, au Saguenay. M. Chan Wang-Park est le responsable de ce programme à l’UQAR. Parmi ces domaines on trouve notamment: les machines électriques, les systèmes électromagnétiques, la commande adaptative, optimale et intelligente, le traitement des signaux, la vision numérique, la télécommunication, la télédétection, l’étude et la conception intégrée des systèmes mécaniques, électriques et électromécaniques évolués, le comportement mécanique des matériaux et des structures, la conception et la fabrication assisté par ordinateur, l’amélioration des performances des procédés et des équipements de fabrication mécanique, la productique et les systèmes industriels évolués, le contrôle et la gestion de la qualité, le comportement dynamique de véhicules lourds, et enfin, l’énergie éolienne. Les étudiants peuvent compter sur une équipe de professeurs bien aguerrie face aux exigences de l’ingénierie moderne et familière des nouvelles technologies. Les recherches se déroulent dans les laboratoires des programmes de génie de l’UQAR, souvent en collaboration avec des partenaires industriels. Ces laboratoires sont dotés de pièces majeures d’équipement: Centre d’usinage vertical; Centre de tournage multitâche; Machine à mesurer tridimensionnelle (CMM); Comparateur optique; Robot CRS; Robot GMF; Système de calibration de MO Renishaw; Caméras perfectionnées; Soufflerie subsonique, Banc d’essai, Systèmes d’acquisition et commande; Automates programmables; Analyseur de spectre; Analyseur de réseaux; Générateur de signaux; Prototypage rapide de circuits; et autres équipements. Les étudiants peuvent également travailler sur des postes de travail à haute performance, dotés de logiciels éducatifs et commerciaux de premier plan. Afin de répondre à la demande dans ce secteur en grand développement, l’UQAR offre maintenant un programme court de 2e cycle en énergie éolienne (15 crédits), qui tient compte des enjeux complexes et multidisciplinaires de ce domaine. Les étudiants peuvent s’inscrire à temps complet (un trimestre) ou à temps partiel (deux trimestres). Un cours spécial de 9 crédits vise le développement d’un projet spécifique appliqué à l’énergie éolienne. «Ce programme s’adresse aux professionnels en exercice et aux personnes détenant un diplôme universitaire de 1er cycle en sciences appliquées, en sciences fondamentales ou en sciences de la gestion», explique le directeur du Laboratoire de recherche en énergie éolienne (LREE – www.uqar.ca/lree ), M. Adrian Ilinca. Le programme utilise l’approche par compétences, qui est basée sur l’étude de cas réels de pratique professionnelle. Des projets pratiques peuvent être réalisés en collaboration avec l’industrie éolienne ou le Centre Corus (Centre de recherche en transfert technologique sur l’énergie éolienne en climat nordique), établi à Murdochville, capitale des éoliennes au Québec. http://www.eolien.qc.ca/ Les personnes qui terminent ce programme court ont la possibilité d’emprunter la passerelle qui conduit vers la maîtrise en ingénierie de l’UQAR. www.uqar.uquebec.ca/uqar-info/1008/formationseolien.asp

Autorisation d’enseigner www.mels.gouv.qc.ca/dftps
Cliquer sur "Autorisation d'enseigner" et aller sur le cinquième "picot" "La présentation du Règlement sur les autorisations d’enseigner". Ce lien vous amène à un tableau des différentes voies d'accès menant à la profession enseignante. Ce tableau permet d'expliquer le cheminement de personnes de différentes situations (ex. autres bacc., formation d'enseignement d'une autre province ou à l'extérieur du Canada). Pour évaluer des situations particulières, contacter Mme Louise Beaudoin au Ministère de l'éducation au 418-646-6581, poste 3010. Références transmises sur le Cointernet par Marie-Hélène Provost, c.o. Marie-Helene.Provost@USherbrooke.ca et Benoit Dumas c.o. bdumas@clg.qc.ca

Jeux vidéo et multimédia
Étudiants et professeurs de l’ÉTS au Festival Arcadia. Du 7 au 9 novembre 2008, le Département de génie logiciel et des TI de l’ÉTS sera un joueur à surveiller au Festival Arcadia. Plus de 30 représentants de l’École, étudiants et professeurs, se relaieront au kiosque de l’ÉTS, dans la Zone Arcadémique. Des présentations sur des sujets comme l’infographie, le multimédia, les robots autonomes terrestres et sous-marins, les interfaces, la visualisation 3D et, bien sûr, les jeux vidéos ont été préparées exclusivement pour les participants au Festival. Plus de 25 000 visiteurs sont attendus au Forum Pepsi à Montréal pour cet événement incontournable dans le domaine du multimédia et du jeu vidéo. Les amateurs expérimentés et débutants, les concepteurs et les professionnels réputés dans les domaines s’y côtoieront et partageront leur passion pour le divertissement numérique. Coupon rabais d’une valeur de 2 $ sur le prix d’entrée offert par l’ÉTS et le Festival Arcadia Horaire des conférences de l’ÉTS www.etsmtl.ca/manager/doc/arcadia_10_08.html

Différence entre CA, CMA ET CGA
L'examen pour devenir CA est plus difficile. Ceux qui échouent se rabattent sur le titre de CGA. Les CA ont une chasse gardée qui s'apelle la vérification. Ils sont les seuls à pouvoir approuver des états financiers. Un peu comme les ingénieurs qui peuvent apposer leur griffe sur des plans.Cette fonction de vérification est utilisée essentiellement par les cabinets qui font débarquer leur équipe de vérificateurs chez leurs clients. En général c'est un poste d'entrée (juniors ) dans les cabinets.Ensuite le CA en cabinet devient associé et fait un rôle conseil avec ses clients. Cela prend donc des aptitudes en démarchage de clientèle pour faire une carrière en cabinet. Après leur stage obligatoire en cabinet, tous les autres CA s'en vont travailler en entreprise. Ils y occuperont le même poste qu'un CGA ou un CMA. Ils n'y a aucune différence dans leur rôle malgré leur formation de base qui n'est pas la même. C'est à dire qu'en entreprise ils dirigent tous des employés (parfois des techniciens en comptabilité) dans le département finance de leur employeur. Ils ont un poste de haut niveau stratégique car c'est leur rôle de conseiller les décideurs et d' apporter les chiffres à l'appui. La question étant toujours : Est-ce que ça va être rentable ? (fusion, acquisition, achat d'équipement, d'immeuble, etc.) Ils font donc partie de l'équipe de direction avec les responsables des autres départements (marketing, vente, production, ressources-humaines, etc). Plus l'entreprise est grande plus il y a d'échelons. Alors la personne portera le titre de directeur avant de devenir V-P. Dans la PME ce poste est plus souvent occupée par une femme que dans la grande entreprise. On dira contrôleur des finances. Dans la plus petite entreprise, il est possible que le contrôleur des finances n'aie pas d'employé sous lui. Il fait tout lui-même. Bref CGA, CMA ET CA font tous la même chose dans les entreprises. C'est une question de goût d'engager l'un ou l'autre. Le CGA demandera un salaire moindre, et je crois que le mieux payé est le CMA. Ceux-ci disent qu'ils ont une meilleure formation en management, C'est -à-dire qu'ils comprennent mieux toutes les questions de gestion de personnel. Sylvie Desaulniers Ex conseillère en carrière en perfectionnement à L'Ordre des CA

Entente France-Québec
Le 17 octobre 2008, le président de la République française, M. Nicolas Sarkozy, et le premier ministre du Québec, M. Jean Charest, ont conclu une entente sur la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles. En vertu de cette Entente, chacun des organismes québécois chargés de la réglementation et de la délivrance des permis ou certificats nécessaires à l’exercice d’un métier ou d’une profession réglementée devra conclure avec son vis-à-vis français un Arrangement de reconnaissance mutuelle (ARM), consignant les conditions de cette reconnaissance. Un peu plus d’une centaine de métiers et professions en France et au Québec sont concernés par l'Entente. La reconnaissance des qualifications professionnelles acquise d’une autorité compétente de la France ou du Québec aura pour effet de permettre aux personnes visées d’obtenir, sur le territoire d’accueil, leur aptitude légale d’exercer. Pour ce qui est de la profession de c.o., l'Ordre est à évaluer la faisabilité d'une entente. C'est assurément un site à mettre dans vos favoris, car vous ne manquerez pas de vous faire questionner sur les possibilités de mobilité professionnelle dans le cadre de votre pratique. Vous trouverez donc sur le site une foire aux questions ainsi que la liste des métiers et professions qui concluront un ARM à brève échéance. Article du Cyberbulle mercredi 29 octobre 2008 Vol. 3 no 15 Pour en savoir plus. www.mri.gouv.qc.ca/fr/grands_dossiers/qualifications_professionnelles/index.asp

C'est quoi le génie vous avez en tête une carrière d'ingénieur...
www.oiq.qc.ca/etudiants/cegep/quoi-genie.html


Formation, documentation
En route vers les métiers du transport routier
Animé par Gildor Roy, ce site vous propose des séquences vidéos présentant les différents métiers de l'industrie du transport routier. Que vous aimiez les tâches manuelles ou le travail de bureau, vous trouverez ,sans aucun doute, un emploi dans ce secteur d'activités. Venez visionnez les témoignages de camionneurs en transport routier, de mécaniciens de véhicules lourds, de conducteurs d'autobus, de répartiteurs ou de travailleurs œuvrant au sein du personnel de soutien administratif ou à la logistique du transport. Venez découvrir ce qui anime leur quotidien! Bonne route! http://metiers.camo-route.com/

Clientèles autochtones. Quelle approche, tests et outils prévilégiez-vous avec eux? J'ai de la difficulté à les faire parler d'eux. Voici un article pour vous. www.contactpoint.ca/natcon-conat/2000/pdf/pdf-00-11.pdf Voici un meilleur que j'ai fait avec mon ainé, Art Blue, mais il est en anglais. Désolé www.ac.wwu.edu/~culture/blue-darou-ruano.htm Wes Darou deswarou@biz.videotron.ca

Sébastien dans la cave des grands
À 27 ans, Sébastien Tardif ouvre chaque semaine des crus parmi les meilleurs de la planète et a servi bien des têtes connues. Diplômé en Service de la restauration, en Sommellerie professionnelle et en Analyse sensorielle des vins du monde, il est sommelier chez XO Le Restaurant, au prestigieux Hôtel Le Saint-James de Montréal. Vidéo : http://video.google.com/videoplay?docid=2298418484739782712

Isabel Bordeleau Sommelière, restaurant Le Local, Vieux-Montréal. Isabel a fait la route des vins australiens puis britanno-colombiens avant de rouler sa bosse en Thaïlande, au Costa Rica et ailleurs sur le globe. Elle explore présentement les vins de la Loire... « J’aime découvrir les petits producteurs qui se démarquent par leur philosophie... Il ne faut pas oublier que derrière chaque bouteille se cache l’âme d’un vigneron. » Premier prix en Service de la restauration lors du gala des Grands Prix de la relève touristique 2008, Isabel, comme tous les autres sommeliers formés chez nous, fait la fierté de l’ITHQ. Lire l’intégrale de l’entrevue www.ithq.qc.ca/fr/gak.php?node=86#block3082

Station spatiale nationale mobile de l’ÉMAM
www.csdm.qc.ca/emam/ssnm.htm

Jeu interactif qui présente au participant différentes tâches à réaliser à l'intérieur d'un centre d'entraînement en aérospatiale. Le joueur devra réaliser avec succès différentes missions dans cinq domaines scientifiques ou technologiques. La réussite de ces étapes lui donne accès à une série de fiches descriptives de métiers et de professions reliés aux sciences de l'espace et à l'aérospatiale. www.scienceenjeu.ca/mars

Une approche virtuelle innovatrice pour réaliser une démarche d’exploration professionnelle des carrières du divertissement numérique. Le volet « exploration professionnelle » se réalise par le visionnement d’entrevues et de reportages vidéo réalisés auprès de professionnels oeuvrant dans 7 secteurs différents des arts, de la culture et des technologies : jeux vidéo, cinéma, musique, télévision, Internet, arts visuels et spectacle. L’élève a ainsi accès à 4 types de vidéos : des entrevues de motivation (témoignages de professionnels concernant leur métier et leur parcours professionnel), des reportages techniques (processus de production utilisés dans l’industrie), des stages d’observation virtuels (un professionnel à l’œuvre dans ses différentes fonctions) et des reportages thématiques (accès à distance à des événements traitant de la réalité de certains secteurs de l’industrie). Finalement, TechnoZone donne un accès facile et rapide à une liste de ressources et d’informations taillée sur mesure selon les besoins et intérêts de l’élève, et ce, à l’échelle de la province. Après avoir répondu à un court questionnaire en ligne, l’élève reçoit une fiche d’information personnalisée (F.I.P.) à son adresse courriel. Cette fiche contient les coordonnées et les liens Internet des centres de formation, des ressources d’aide à l’emploi et même des employeurs (dans les secteurs liés au divertissement numérique) situés près de chez lui. De plus, trois vidéos lui sont suggérées en lien avec les intérêts sélectionnés dans son questionnaire. http://www.technozone.tv/

Le Défi InteraXion est un défi de persévérance scolaire qui s’adresse aux élèves de 10 à 25 ans, fréquentant à temps plein une école publique primaire ou secondaire de la province de Québec. Il offre à des élèves à risque de décrocher ou éprouvant des difficultés à l’école la possibilité de découvrir le multimédia dans le but de les stimuler à poursuivre leurs études grâce à la réalisation de productions numériques sur une thématique à caractère social. Cet outil d’expérimentation propose aux élèves de créer une production numérique (vidéo ou journal) en équipe sur le thème Exploration citoyenne : À la découverte de ta communauté ! Les élèves sont amenés à expérimenter différents rôles au sein de leur projet : photographe, infographiste, rédacteur, réalisateur, caméraman, monteur vidéo, etc. Pour obtenir toutes les modalités de participation ainsi que les documents et tutoriels nécessaires, consultez la section « documentation » du site Web (http://interaxion.cybercap.qc.ca/ ). Une fois les équipes inscrites, elles ont jusqu’au vendredi 17 avril 2009 pour remettre leur projet. Tous les participants ayant terminé leur projet recevront un certificat de reconnaissance lors du Gala Reconnaissance à la fin du Défi. C’est également à cette occasion que plusieurs prix seront offerts aux équipes gagnantes ainsi qu’à leurs responsables. À titre de première démarche d’exploration des carrières du multimédia, nous recommandons aussi l’outil « TechnoZone », une autre initiative de CyberCap (http://www.cybercap.qc.ca/ ). En fait, il s’agit de visites virtuelles, c’est-à-dire d’entrevues et de reportages vidéo réalisés auprès de professionnels travaillant dans différents secteurs du divertissement numérique.

Enfin, le Ministère dévoile ce que les élèves doivent apprendre
Huit ans après le début de la réforme, le ministère de l'Éducation indique enfin "«ce que les élèves doivent apprendre chaque année». www.ameqenligne.com/showNewsPermit.asp?id=25846 Sur Internet : Pour consulter le document Progression des apprentissages en français - Enseignement primaire, consultez le lien suivant : www.mels.gouv.qc.ca/sections/publications/index.asp?page=fiche&id=626 Pour consulter le document Libellé des compétences en termes usuels, consultez le lien suivant : www.mels.gouv.qc.ca/sections/programmeFormation/index.asp?page=libelles


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Documents sur l'admission universitaire
Le guide d'admission universitaire au trimestre d'hiver 2009 est maintenant en ligne
www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=915 Raymond Jean, c.o.

À noter à votre agenda
Comité organisateur du 8e Congrès 2009 de l'ACOC: 20-21-22 mai à l'université de Sherbrooke www.acoc.info/accueil/affichage.asp?B=810 Diaporama (album) du 7e congrès à Moncton www.flickr.com/photos/10892802@N08/sets/72157605167634050/show Une partie des photos sont aussi sur le site du Bulletin http://www.quelquechosedelacoc.blogspot.com/ Vous pouvez transmettre des documents reçus à la suite d’une conférence, peu importe le colloque ou congrès, ou un lien Internet à acoc@videotron.ca

Bruno Tremblay, c.o. secrétaire général de l'ACOC
ACOC@videotron.ca

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